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watchOS 26 : découverte de la nouvelle interface de l'app Exercice
L’iPad mini 8 aurait une puce A19 Pro, comme les iPhone 17 Pro
Selon toute vraisemblance, Apple a un nouvel iPad mini dans ses cartons. MacRumors a trouvé dans du code une référence à un iPad mini (nom de code J510/J511) équipé d’une puce A19 Pro… qui n’existe pas pour l’instant. Sauf immense surprise, cette puce inédite va être étrenner à la rentrée par les iPhone 17 Pro. Il devrait aussi y avoir une puce A19 standard, mais la future petite tablette jouirait bien de la version la plus puissante.

L’iPad mini actuel est sorti l’automne dernier pour accompagner le lancement d’Apple Intelligence. Il dispose d’une puce A17 Pro, de 8 Go de RAM et de 128 Go de stockage par défaut. C’est une très bonne petite tablette, mais elle coûte chère (à partir de 609 €) et on sait qu’Apple est capable de faire mieux.
Alors que la formule n’a pas évolué depuis 2021, la nouvelle version pourrait aussi gagner un écran OLED, ce qui ferait une différence majeure, plus encore que le changement de puce.
L’iPad mini de 8e génération pourrait sortir début 2026, mais sa date de disponibilité ne semble pas vraiment gravée dans le marbre. En tout cas, la simple mention d’un nouvel iPad mini dans le code d’Apple devrait rassurer les fans de la petite tablette, tant l’avenir de ce modèle semble souvent incertain.

Test de l’iPad mini 7 : un péché mignon
De nouveaux indices confirment un Vision Pro M5
Sans surprise, Apple ne compte pas abandonner le Vision Pro. Des morceaux de code mis en ligne par erreur et repérés par MacRumors confirment que la Pomme planche sur une révision à puce M5. Le Vision Pro est sorti en 2024 avec une puce M2, et cette révision pourrait arriver d’ici la fin de l’année.

Cela fait quelques mois que les rumeurs annoncent une révision du casque carburant à la puce M5. Il s’agirait de la seule évolution matérielle, le reste de l'appareil demeurant inchangé. Pour compenser, Apple mettrait en avant les capacités de son SoC pour l’utilisation des fonctions Apple Intelligence. Cette absence de gros changement pourrait aussi permettre de baisser un peu les prix.

Le Vision Pro 2 ferait la part belle aux fonctions Apple Intelligence grâce à sa puce M5
Le tarif devrait rester très élevé, au grand dam des curieux désirant essayer visionOS. Selon les rumeurs, Apple travaillerait sur un modèle moins cher, mais la sortie a visiblement été repoussée. Apple aurait dans ses cartons un Vision Pro allégé qu’il nomme Vision Air et dont le lancement serait prévu pour fin 2027. Ce modèle moins lourd embarquerait une puce d’iPhone pour réduire les coûts. D'après Ming-Chi Kuo, le vrai successeur du Vision Pro avec un nouveau design arriverait ensuite courant 2028.
Quelles nouveautés en approche ? Apple TV, Vision Pro 2, Studio Display 2, iPad mini 8
Apple préparerait bien un successeur au Studio Display
Le remplaçant du Studio Display ne devrait plus trop tarder de pointer le bout de son nez. Le fouineur Aaron Perris de MacRumors a observé des mentions de ce nouvel accessoire dans du code d’Apple mis en ligne accidentellement. Il y est désigné par son nom de code (J427), et les rumeurs voient venir une sortie au début 2026. On peut donc imaginer que Cupertino est en train d'effectuer des tests et de serrer des boulons.

Difficile de dire à quoi ressemblera ce nouvel écran, mais il ne devrait pas être trop difficile d’améliorer la fiche technique du Studio Display. Ce moniteur sorti en 2022 embarque une dalle LCD 5K 60 Hz, ce qui est bien sans être particulièrement impressionnant au vu du prix. La concurrence propose depuis longtemps des dalles 6K, 240 Hz ou OLED : autant de nouveautés que l’on aimerait bien voir arriver sur ce successeur. On a le droit de rêver, et un simple passage au mini-LED (la technologie du Pro Display XDR) semble le plus probable. Évoqué par certains, il pourrait améliorer la luminosité tout en donnant de meilleures couleurs.
Apple pourrait facilement bonifier certains aspects du Studio Display, comme sa webcam moyenne ou l’absence de mode HDR. Selon Mark Gurman, Apple travaillerait sur deux tailles d’écran, mais n’aurait prévu d’en lancer qu’une seule. Le journaliste de Bloomberg a également envisagé une fonction similaire au mode « En veille » de l’iPhone, permettant au moniteur d’afficher l’heure et des widgets. La sortie devrait avoir lieu début 2026 au côté de nouveaux Mac M5.
Protéger l’intérieur de votre iPhone ? RHINOSHIELD l’a fait avec la coque AirX
Et si on arrêtait de penser la coque de smartphone comme un simple pare-chocs ? Avec sa nouvelle AirX, RHINOSHIELD tente un pari inédit : protéger non seulement l’extérieur, mais aussi les composants internes de nos téléphones. Résultat ? Une coque pensée comme une véritable cellule de survie.

On croyait tout connaître des coques de téléphone : anti-choc, design, compatibles MagSafe, certifiées « qualité militaire »... Mais RHINOSHIELD vient de rebattre les cartes avec un produit qui pourrait bien faire date.
AirX n’est pas une énième déclinaison marketing : c’est la première coque pensée pour protéger ce que l’on ne voit pas, l’intérieur de nos smartphones. Et à l’heure où nos téléphones stockent nos vies entières, ce changement de paradigme mérite qu’on s’y attarde.
AirX de RHINOSHIELD : la première coque pensée pour l’intérieur de votre smartphone
Cette nouvelle coque promet non seulement de préserver l’intégrité extérieure des smartphones, mais aussi, une première mondiale, de protéger leurs composants internes lors d’un choc.
L’enjeu n’est pas anecdotique. En 2025, le smartphone n’est plus un simple téléphone : c’est notre portefeuille, notre appareil photo, notre carnet de santé, notre mémoire familiale et notre clé d’accès au monde numérique. Une chute mal placée peut donc avoir des conséquences bien plus graves qu’un simple écran fissuré. Et c’est précisément là qu’intervient AirX.

Une structure intérieure pensée comme un amortisseur d’urgence
La promesse d’AirX repose sur une architecture à double couche : une chambre à air couplée à un squelette de compression. En clair, la coque absorbe et disperse l’énergie d’impact avant qu’elle ne vienne endommager les circuits internes, la batterie ou la caméra. RHINOSHIELD parle de « dissipation calibrée de l’énergie » et les chiffres sont là pour soutenir la démonstration : jusqu’à 81 % des chocs absorbés, bien au-delà des standards habituels du secteur.

L’entreprise taïwanaise a fait tester ses coques par des laboratoires tiers, y compris lors de chutes de plus de 18 mètres sur du béton. Verdict ? Non seulement l’extérieur résiste, mais les téléphones conservent également leur fonctionnalité interne. Une prouesse technique qui pourrait redéfinir nos attentes vis-à-vis des accessoires dits « haut de gamme ».
Protection multi-angle et conception intelligente
AirX ne se contente pas de protéger les entrailles du téléphone : elle soigne aussi la forme. Coins renforcés, bords surélevés, coussins d’air stratégiquement placés autour des boutons et de la caméra, la coque a été pensée pour résister à toutes les trajectoires de chute, y compris les plus acrobatiques. Face contre le sol ou angle sur bitume, AirX encaisse, protège, et continue d’assurer sa mission.
Avec un poids plume de seulement 42 grammes, AirX s’impose comme la plus légère de sa catégorie en matière de protection hautes performances. Compatible MagSafe, elle reste parfaitement fonctionnelle au quotidien, sans sacrifier ni la finesse ni l’esthétique.

Un virage éthique et environnemental
Mais RHINOSHIELD ne joue pas seulement sur le terrain technique. Depuis plusieurs années, la marque s’engage pour une production plus responsable. AirX est ainsi fabriquée à partir d’un mono-matériau exclusif (TPE), entièrement recyclable, et surtout testé sans PFAS ni BPA — ces substances toxiques qu’on retrouve encore trop souvent dans les plastiques courants.
L’engagement va plus loin avec le programme RHINO LOOP, relancé récemment en France et en Allemagne. L’idée est simple : retourner ses anciennes coques par courrier pour qu’elles soient intégralement recyclées. Le tout avec un système de récompenses à la clé, histoire de joindre l’utile à l’écologique.
Disponibilité et tarifs

AirX est déjà disponible sur le site de RHINOSHIELD, avec des déclinaisons pour iPhone 15 Pro, iPhone 15 Pro Max et toute la gamme iPhone 16. Côté tarifs, la version classique démarre à 62,99 €, la personnalisée à 65,99 €, et les éditions spéciales ou collaborations IP à 68,99 €. Pas donné, certes, mais si l’on compare aux coûts de réparation ou de remplacement d’un iPhone... le calcul devient vite rationnel !
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Apple envisagerait de donner un visage à Siri

Le HomePod mini 2 aurait une puce d’Apple Watch bien plus récente
Apple va sans doute lancer un nouvel HomePod mini d’ici la fin de l’année et elle en profiterait pour moderniser sa puce principale. D’après du code découvert par un contributeur de MacRumors, la nouvelle petite enceinte va utiliser la microarchitecture T8310. Cela signifie concrètement qu’elle devrait employer une puce S9, S10 ou pourquoi pas une future S11.

Introduite en 2023 par l’Apple Watch Series 9, la puce S9 a donné un bon coup d’accélérateur aux montres : par rapport à la S8, son CPU est 60 % plus rapide, son GPU 30 % plus puissant et son moteur neuronal traite les tâches d’IA deux fois plus rapidement. Actuellement basé sur une puce S5 d’Apple Watch Series 5, le HomePod mini pourrait donc devenir plus réactif grâce à ce composant plus récent.
Sur l'Apple Watch Series 9, la puce S9 permet d’accélérer Siri, en traitant les requêtes en local sur l’appareil. Sur toutes les montres précédentes, la commande vocale était transmise sur les serveurs d’Apple pour être transcrite et la réponse revenait à la montre par le biais de la connexion Wi-Fi ou cellulaire, y compris pour lancer un minuteur. On peut espérer une amélioration de ce genre sur la nouvelle enceinte.
Le HomePod mini 2 pourrait aussi avoir une nouvelle puce Wi-Fi/Bluetooth — la première conçue par Apple —, selon une précédente rumeur. Là aussi les progrès devraient être assez significatifs, car l’enceinte actuelle, qui date de 2020, est cantonnée à du Wi-Fi 4 (802.11n).
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L’Apple TV 2025 bénéficierait d’une puce A17 Pro, une bonne avancée en perspective
Les choses se précisent pour l’Apple TV 2025. Ce nouveau modèle qui sortirait en fin d’année devrait jouir d’une puce A17 Pro, selon du code déniché par MacRumors.

L’A17 Pro a été inaugurée par les iPhone 15 Pro et elle est maintenant au cœur de l’iPad mini 2024. Accompagnée de 8 Go de mémoire vive, cette puce ouvre les portes d’Apple Intelligence et de portages de jeux consoles, comme les Resident Evil et Assassin’s Creed. Si l’utilisation de cette puce se confirme, la nouvelle Apple TV pourrait donc faire un grand bond en avant dans l’IA et les jeux vidéo.
L’Apple TV 4K actuelle, qui est sortie fin 2022, a pour sa part une puce A15, 4 Go de RAM et 64 à 128 Go de stockage. La capacité de stockage de la nouvelle génération reste inconnue pour l’heure.
D’après de précédentes rumeurs, l’Apple TV 2025 aura aussi la première puce Wi-Fi/Bluetooth conçue par Apple. Des bruits de couloir ont circulé sur un boîtier équipé d’une caméra pour des appels FaceTime sur la télé, mais ça ne semble pas vraiment pour maintenant.

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Si elle reste très discrète sur ses intentions concernant l’intelligence artificielle depuis la communication catastrophique de la WWDC 2024, ce n’est pas pour autant qu’Apple n’a plus aucun projet, ou n’avance pas dans le domaine. Mark Gurman ayant laissé traîner quelques oreilles, les choses se précisent.

Robotisés ou non, des iPad pour la maison
Cela fait déjà plusieurs mois que la rumeur d’un « iPad sur bras robotisé » se balade... et elle se renforce encore aujourd’hui : prévu pour être posé sur une table, l’objet encore nommé J595 en interne est composé d’un écran au bout d’un bras articulé dont les gestes sont prévus pour être aussi naturels que possible, et suivraient les mouvements de l’utilisateur afin de rester autant que possible face à lui. Quand l’utilisateur ne le regarde pas, il serait même prévu pour chercher son attention.

Apple dévoile ses recherches avec un modèle comportemental pour un robot-lampe
Le système doit permettre d’avoir des conversations FaceTime avec l’appareil suivant l’utilisateur, et une sorte de télécommande intégrée à l’iPhone pour permettre de pointer une autre personne présente dans la pièce, ou un endroit particulier.
La nouvelle version de Siri serait au centre de l’appareil : elle devrait permettre de tenir des conversations avancées avec plusieurs personnes à la fois, s’insérer dans un dialogue entre personnes pour proposer par exemple des idées de restaurants ou de sorties, retenir des informations, ou encore donner des recettes, à la manière du mode vocal d’OpenAI.
L’apparence visuelle de Siri n’est pas encore finalisée, et plusieurs essais existent. Si l’un d’entre eux utilise les emojis pour représenter l’assistant virtuel, une autre idée voudrait animer le logo souriant du Finder. L’idée finale serait de ressembler à une version largement améliorée de Clippy, le trombone animé de Microsoft Office dans les années 90.
Au niveau matériel, l’appareil se présente sous la forme d’un écran de 7 pouces à l’horizontale, approximativement de la taille d’un iPad mini, planté sur un bras robotisé pouvant s’étendre jusqu’à une quinzaine de centimètres autour de la base. Il va sans dire qu’avec de telles ressemblances, nombreux en interne l’ont surnommé la « lampe Pixar ».
D’autres robots sont en développement, le tout sous la houlette de Kevin Lynch, dont une version sur roulettes comme le Astro d’Amazon, ou encore un bras mécanique de bien plus grandes dimensions pour aider dans les dépôts d’Apple ou en arrière-boutique dans les Apple Store. Ce dernier projet serait nommé T1333 (Pas T-800, heureusement...) en interne, mais demanderait encore des années de mise au point.

Une autre version devrait se contenter d’un écran fixe sur une demi-sphère, nommée en interne J490. Se présentant sous la forme d’une sorte de Google Nest Hub carré, elle est elle aussi équipée d’un écran de 7 pouces, entouré d’une fine bordure noire ou blanche au choix. Elle devrait faire l’impasse sur la possibilité de s'insérer dans les conversations de la version robotisée, sans pour autant manquer d’intérêt : elle permettrait de contrôler les éléments de la maison, prendre des notes, lancer de la musique, permettre d’aller sur internet et de gérer des visioconférences, le tout avec l'aide d'un nouveau Siri, basé sur un nouveau LLM et des API de contrôle des apps tierces.
Que ce soit une version ou l’autre, elles devraient toutes les deux embarquer un nouveau système d’exploitation, nommé Charismatic en interne. Mélange de watchOS et tvOS, il devrait comporter des interfaces largement inspirées de la montre et du boîtier TV d’Apple, avec des horloges, des widgets, mais aussi des écrans animés basés sur Snoopy. L’OS est prévu pour être facilement multi-utilisateur : l’interface changerait automatiquement en reconnaissant la personne la plus proche de l’appareil, sans manipulation requise.
Concernant les icônes, elles devraient être circulaires, et sur une grille hexagonale. Cependant, l’utilisateur ne devrait pas avoir à s’en servir très souvent, Apple privilégiant les commandes vocales par-dessus tout autre élément de commande.
Siri au centre de ces appareils
Si la version fixe devrait sortir au cours de l’année 2026, elle est cependant pieds et poings liés à l’arrivée de la nouvelle mouture de Siri. Celle-ci, prévue pour le printemps 2026 semble-t-il, devrait être une toute nouvelle version basée sur l’IA générative. Pouvant piocher dans les données personnelles, elle serait en interne développée sur deux bases différentes : Linwood et Glenwood.
Linwood, entièrement maison, serait basée sur le modèle de l’équipe Apple Foundation, et utiliserait ainsi uniquement du code fait par Apple. Mais pour plus de sécurité, et avoir plusieurs options possibles, une autre version serait développée en parallèle, appelée Glenwood. Si le moteur n’est pas définitivement décidé, Apple testerait une version utilisant Claude d’Anthropic. Les deux branches de développement seraient sous la coupe de Mike Rockwell, ancien dirigeant de l’équipe responsable du Vision Pro, et mis à la tête de Siri cette année.
Une caméra, une sonnette... tout pour la maison
Apple aurait aussi dans ses cartons une caméra connectée, appelée J450, permettant la détection automatique des personnes et par la même le déclenchement de scénarios automatisés. Alimentée par batterie, elle aurait une autonomie de plusieurs mois sur une seule charge.
Dotée de reconnaissance faciale et de capteurs infrarouges, elle pourrait en plus de la sécurité allumer automatiquement les lumières quand une personne arrive, et les éteindre une fois la pièce quittée, tout comme mettre une playlist préférée quand la personne entre dans la pièce.
Apple aurait tout un panel de caméras connectées en tête, y compris une sonnette avec reconnaissance faciale. De quoi venir sur les plate-bandes d’Amazon Ring, Google Nest ou encore Roku.
Quoi qu’il en soit, il semble qu’Apple ait bien prévu de nombreuses nouveautés, espérant ainsi redynamiser ses ventes, et fidéliser encore un peu plus ses clients en s’attaquant à un domaine sur lequel elle n’est pas encore présente.
Grok, l'IA d'Elon Musk, se rebelle après avoir pris position sur Gaza
Sam Altman vient concurrencer Neuralink pour entrer dans le cerveau des humains
Améliorer l’humain... ou lui rendre des capacités qu’il a perdues. En voilà un programme. Si pendant longtemps cette possibilité est restée de la science-fiction (que tous ceux qui connaissent Ghost In The Shell se lèvent), Elon Musk a souhaité en 2016 relever le défi en créant Neuralink.

Dès 2017, des expériences ont été menées sur des animaux, spécifiquement des singes et des cochons. En janvier 2024, les puces de l’entreprise ont colonisé leur premier humain : un homme tétraplégique a été équipé, lui permettant de commander le curseur d’un ordinateur par la pensée, et débloquant les étapes suivantes, à savoir tenter de rendre la vue à un aveugle, et permettre aux paralysés de commander des jambes ou bras robotisés.

Le premier patient humain de Neuralink serait en pleine forme, selon Elon Musk
Dans cette idée folle (et non sans risque, nous y reviendrons), Elon Musk est rejoint par Sam Altman et OpenAI, comme le rapporte le Financial Times.
En effet, Sam Altman s’allie à Alex Blania pour fonder l’entreprise « Merge », qui vise à concurrencer Neuralink sur le marché des implants cybernétiques. L’entreprise prévoit d’effectuer une levée de fonds pour récolter 850 millions de dollars dans un premier temps, venant largement d’OpenAI. Le nom vient de merge, ou fusion pour les francophones, représentant l’idée voulant que les ordinateurs fusionneront un jour avec les humains. Selon Altman, 2025 pourrait être le début de cette fusion.
Si l’idée peut faire rêver quant au potentiel (amélioration des performances cérébrales, de la mémoire, ajout de prothèses commandées directement par le cerveau, accès à internet ou à des mémoires externes sans avoir besoin d’un appareil externe,...), elle n’est cependant pas sans danger si elle est réalisée sans éthique (quelles limites à un implant ayant directement accès au cerveau d’une personne ?). Si les dérives d’Elon Musk sont connues de tous, Sam Altman même si plus discret n’est pas non plus un ange, ayant souvent privilégié les avancées technologiques face à l’éthique. Qui plus est, les deux hommes se connaissent, et ont un lourd passif : Elon Musk fut l’un des premiers investisseurs d’OpenAI, fondé par Sam Altman. Quand Musk a proposé de fusionner OpenAI avec Tesla en 2018, il est alors parti de l’entreprise. Depuis, les deux hommes se détestent ouvertement.
La concurrence entre les deux entreprises promet donc d’être sans pitié, et possiblement avec très peu d’éthique. Et vous, entre les deux, lequel préféreriez-vous laisser entrer dans votre cerveau ? Neuralink, Merge ou... aucun ?
Pebble Time 2 : le design final de la montre "ressuscitée" se dévoile
Il demande des conseils nutritionnels à ChatGPT et finit à l'hôpital
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John Malkovich rejoint la série Apple TV+ sur les prodiges (une autre version US de Hpi ?)
Le MacBook Air M2 en promo à 799 €, un bon plan pour la rentrée
En train de préparer la rentrée ? Vous êtes peut-être à la recherche d’un ordinateur portable. Il y a une bonne affaire actuellement chez Carrefour : le MacBook Air M2 y est vendu 799 €, uniquement dans sa couleur lumière stellaire (un doré léger). Il s’agit de la version de base dotée de 16 Go de RAM et 256 Go de stockage. La livraison se fait à domicile ou dans un point relais.

Même s’il a été lancé il y a trois ans, le MacBook Air M2 reste dans le coup. Il est léger, silencieux, performant et endurant — il tient sans aucun problème une longue journée. Deux générations lui ont succédé, mais la formule n’a pas changé, si bien qu’il est tout à fait recommandable encore aujourd’hui. Le MacBook Air M4 est, lui, vendu à partir de 1 049 € sur Amazon (150 € de moins que chez Apple).

Test du MacBook Air M2 : le saut dans l'air moderne
Les 16 Go de RAM suffisent pour un usage courant. Les 256 Go de stockage peuvent, eux, s’avérer trop faibles pour ceux qui conservent beaucoup de fichiers en local, mais l’ajout d’un SSD externe permet de compenser cette lacune. C’est un excellent ordinateur principal pour la plupart des utilisateurs, comme un étudiant, et une très bonne machine d’appoint pour ceux qui disposent déjà d’un Mac de bureau plus puissant.