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Reçu aujourd’hui — 21 juillet 20252.1 🍏 Apple

watchOS 11.6 passe en bêta 4, comme visionOS 2.6

21 juillet 2025 à 19:27

Apple vient de mettre en ligne la quatrième bêta de watchOS 11.6 ainsi que celle de visionOS 2.6. Dans les deux cas, elles arrivent peu après la 3e bêta, et Apple parle sur son site de version RC, pour Release Candidate. Les deux versions sont donc probablement identiques à la future version finale, sauf si un bug malencontreux est découvert.

watchOS 11.6.

Si c'est une version mineure dans les deux cas, il s'agit surtout des deux dernières qui vont garder la numérotation historique. En effet, Apple va unifier la numérotation de ses systèmes cet automne et watchOS passera donc de la version 11 à la 26, tout comme visionOS passera de 2 à 26. Nous pourrions presque croire au passage de Windows 98 à 2000, avec un saut de 1 902 versions !

Une version release candidate pour macOS 15.6

21 juillet 2025 à 19:20

macOS 15.6 approche de la fin de son développement puisqu'Apple diffuse ce soir la version release candidate. Cette mise à jour dont le contenu n'a rien révélé de saillant — et encore moins de mineur — arrive après 3 versions bêta. La finale ne devrait pas tarder si aucun gros bug n'impose une nouvelle RC.

Image MacGeneration.

Une 4e version pour iOS 18.6 au lieu d'une bêta d'iOS 26

21 juillet 2025 à 19:15

Nous attendions une quatrième bêta pour iOS 26, mais Apple a décidé de mettre en ligne une quatrième version de développement pour iOS 18.6 et iPadOS 18.6. Elle préfigure une version finale qui devrait arriver rapidement (Apple parle de RC sur son site; pour Release Candidate, soit une version identique à la version finale), et qui va surtout servir de variante finale pour iOS 18. C'est elle qui sera mise à jour au fil du temps pour corriger les bugs de sécurité pour ceux qui resteront sous iOS 18 par choix ou par obligation (par exemple avec un iPhone XR). La même version est aussi disponible pour les iPad, avec iPadOS 26.

Les RAMdisk ne sont pas morts et permettent plus de 30 Go/s en 2025

21 juillet 2025 à 18:42

Dans les années 90, les Mac permettaient directement de créer un RAMdisk, un espace de stockage de petite capacité stockée directement dans la mémoire vive. À l'époque, c'était une solution intéressante dans certains cas, comme sur les premiers Macintosh portables : le RAMdisk était plus rapide qu'une disquette ou un disque dur — imaginez, plusieurs Mo/s ! — et avait surtout l'avantage d'éviter de réveiller le disque dur, pour économiser quelques dizaines de minutes de batterie. Si macOS n'intègre plus d'outils pour le faire par défaut dans l'interface graphique, TmpDisk (un outil open source) est là pour pallier ce défaut, sauf si vous avez acheté un Mac avec 8 Go de RAM.

30 Go/s. Image MacGeneration.

Trente ans plus tard, les avantages et les défauts des RAMdisk restent les mêmes. Un RAMdisk offre des performances bien plus élevées que le stockage de base de nos appareils — 30 Go/s sur un Mac mini M4 Pro, des accès aléatoires très efficaces — avec deux défauts majeurs. Le premier est que le RAMdisk a une capacité limitée : comme il utilise une partie de la RAM, il ne dépasse pas au mieux quelques dizaines de Go1. La création d'un RAMdisk est d'ailleurs toujours un compromis entre les besoins du système d'exploitation et sa capacité : il ne faut pas allouer une trop grande quantité de mémoire, sous peine de ralentir le Mac2. Le second défaut est évidemment que le RAMdisk disparaît au redémarrage de l'ordinateur ou quand il est éteint3. C'est le principe même de la mémoire vive : elle doit être rafraîchie régulièrement pour garder les données.

Les options de TmpDisk. Image MacGeneration.

Dans la pratique, TmpDisk a de nombreuses options et permet de créer un volume formaté en APFS, de le monter automatiquement au démarrage, d'empêcher l'éjection — qui efface le contenu — s'il reste des données, etc. Sur un Mac mini M4 Pro avec 48 Go de RAM, le RAMdisk atteint 30 Go/s, bien plus que le SSD interne. Sur un Mac mini 2018 avec 64 Go de RAM, il se limite à 8 Go/s, une valeur qu'un SSD NVMe récent peut atteindre.

La RAM d'un Mac mini Intel est moins rapide. Image MacGeneration.

Dans la pratique, c'est surtout utile pour stocker des fichiers de logs si vous avez peur d'user de la mémoire flash (ce qui est intéressant sur des cartes comme un Raspberry Pi), ou éventuellement stocker une base de données qui a besoin d'accès très rapides. Même si les SSD modernes ont une latence faible par rapport à un disque dur, elle reste de l'ordre de la milliseconde quand celle de la mémoire vive est de l'ordre de la nanoseconde. Pour la majorité des usages, c'est évidemment une solution inutile ou compliquée à gérer, mais elle peut être intéressante dans des cas précis (et rares).


  1. Sauf si vous avez un Mac Pro de 2019 ou un Mac Studio modernes, qui peuvent contenir littéralement des centaines de Go de RAM.  ↩︎

  2. Ou de placer le fichier d'échange sur le RAMdisk, mais c'est un peu idiot.  ↩︎

  3. Quelques rares Macintosh permettaient de garder le contenu d'un RAMdisk en permanence, tant qu'une source d'alimentation — pile de sauvegarde, batterie ou alimentation — était présente, même en cas d'arrêt ou de redémarrage.  ↩︎

La France soupçonne une manipulation d'algorithmes sur X, le réseau refuse de le dévoiler

21 juillet 2025 à 18:00

Nous en avions parlé, le parquet de Paris a ouvert une enquête il y a quelques mois au sujet du réseau X (Twitter pour ceux qui refusent le changement), soupçonné de manipuler les résultats de son algorithme de recommandations. Elle a été confiée il y a peu (le 9 juillet) à la gendarmerie nationale, qui a demandé l'accès à l’algorithme de recommandation de X et aux données en temps réel concernant toutes les publications des utilisateurs de la plateforme, selon un communiqué de X sur X.

Un des experts est accusé d'être partial car il est à l'origine de #HelloQuitteX.

Et dans son message, la société pointe du doigt les experts choisis pour analyser le code, qui sont accusés d'être partiaux, avec des motivations politiques. Il s'agit notamment de David Chavalarias, à l'origine du mouvement HelloQuitteX il y a quelques mois, et de Maziyar Panahi, considéré comme étant hostile à X selon la société. Elle indique donc que la demande a été refusée, comme elle en a le droit, en expliquant que « cette enquête repose sur une application détournée du droit français, afin de servir un agenda politique, et, finalement, de restreindre la liberté d’expression. »

Du côté de la justice française, l'enquête porte sur deux accusations graves, comme l'explique Le Monde : « Altération du fonctionnement » et « extraction frauduleuse de données » d’un système informatique « en bande organisée ». Elle fait suite notamment à un signalement du député Eric Bothorel, qui suspecte le réseau d'avoir modifié ses algorithmes pour mettre en avant des thèses favorables à l'extrême droite. Il faut par ailleurs rappeler que si X indique souvent que l'algorithme est open source, ce n'est que partiellement vrai : seule une petite partie l'est — celle liée au ranking, donc le choix dans une série de messages — et le code date de 2023, sans que l'on sache s'il a été modifié depuis.

Un chargeur 3-en-1 MagSafe/Qi2 avec alimentation 40W en promo à -23% : parfait pour les vacances !

21 juillet 2025 à 18:03
Si vous disposez de plusieurs appareils Apple, comme un iPhone, une Apple Watch et des AirPods, les chargeurs 3-en-1 peuvent s'avérer très intéressants. Ce modèle d'Anker compatible Qi2 actuellement en promotion est de plus facile à caser dans un sac, par exemple afin de partir en vacances sans s'encombrer de plusieurs chargeurs.

Stellantis plonge dans le rouge et annonce 2,3 milliards d'euros de perte

21 juillet 2025 à 17:45
Avis de tempête pour Stellantis. Le géant de l'automobile (Peugeot, Citroën, Fiat...) a annoncé ce matin une perte nette de 2,3 milliards d'euros pour le premier semestre 2025, bien loin des bénéfices attendus. En cause : des ventes en berne, les tarifs douaniers américains et une énorme provision exceptionnelle.

Ces colonies de vacances où le temps d'écran n'existe pas

21 juillet 2025 à 17:45

Travailler dans une colo pour enfants intoxiqués aux écrans doit demander une sacrée dose de patience et de pédagogie au vu de ce que raconte le directeur d'un tel établissement.

Dans un article pour Wired, ce responsable décrit les jeunes, drogués aux écrans, que leurs parents envoient dans ce genre de colo d'été un peu spéciale. Ce sont des filles (pour 30%, dans le camp d'été pris en exemple) et des garçons qui ont parfois supprimé toute vie sociale. Leurs parents ont beau établir des règles, décréter des pièces de la maison « sans écran », rien n'y fait. Direction alors ces colos où le séjour peut avoisiner les 2 000 dollars par semaine (1 700 €).

Image Julie Ricard/Unsplash.

Le portrait type de la jeune fille qui fréquente ces colos consulte de manière compulsive les réseaux sociaux et leurs influenceurs tandis que les garçons sont plutôt portés sur d'interminables sessions de jeux vidéo jusqu'à des heures avancées de la nuit. L'été, sans occupation scolaire, devient un peu le pire moment de l'année pour leurs parents.

Le directeur de ce camp raconte :

La plupart des gamins ne sont pas agressifs, ils ne font pas de crises. Le plus souvent, ils boudent. Mais une fois qu’ils sortent de leur chambre, on verrouille la porte. Je leur dis : « Rester dans ta chambre à faire la tête, ce n’est pas une activité de camp. »

Leur rythme de sommeil et leur alimentation sont catastrophiques. La plupart, surtout les gamers, restent éveillés jusqu’à 2 ou 3 heures du matin. Ils ne se lèvent pas avant midi, voire plus tard. C’est un désastre. Et côté alimentation, c’est tout aussi mauvais : Doritos et Gatorade, que des cochonneries.

Alors on les met sur un emploi du temps très strict. Ils doivent être dans leur chambre à 21h30, et les lumières sont éteintes à 22h. Ensuite, on les réveille à 6h30. Je dis toujours à mon équipe : « Ne comptez pas beaucoup dormir la première semaine. »

Cette arrivée dans la colo commence par une remise des téléphones. Une année, un enfant était venu avec trois appareils. Deux furent mis de côté immédiatement, mais ce n'est que trois jours plus tard que l'existence du dernier fut découverte… sur dénonciation d'un autre jeune (peut-être jaloux ?).

Il trouvait ça marrant d’avoir réussi à passer entre les mailles du filet aussi longtemps. C’est le cas de la plupart de nos gamins : s’ils peuvent défier l’autorité, alors pour eux, c’est une victoire.

Partager sa chambre est une autre forme de contrainte puisque cela implique un minimum de relation sociale. Mais cela finit par créer un lien entre les personnes puisqu'elles se retrouvent dans la même galère : « Ils nous détestent, ils en veulent à leurs parents de les avoir envoyés ici, donc ils créent des liens entre eux, un peu malgré eux, dès le départ ».

Certains fuguent (l'un fut ramené par la police locale), un autre avait profité d'une sortie à la plage pour emprunter le téléphone de touristes et supplier sa mère (qui n'est pas venue le chercher, mais qui a inscrit son frère l'année suivante). Parmi les activités de la colo, les participants suivent des cours de sensibilisation et d'éducation aux rouages de cette industrie de l'addiction numérique : « On doit faire comprendre à ces gamins que les entreprises Tech ne se soucient pas de leur plaisir ou de leur amusement ; ce qu’elles veulent, c’est leur temps et leur argent ».

Pour autant il ne s'agit pas de diaboliser l'usage d'un écran : « On ne dit jamais à un gamin : « Ne joue plus jamais à un jeu vidéo, ne va plus jamais en ligne, ne consulte plus jamais tes e-mails. » Ce n’est tout simplement pas la réalité du quotidien ». Il y a néanmoins une lueur d'espoir, lorsque ce responsable dit voir revenir certains jeunes l'année suivante. Non pas qu'ils aient besoin d'une nouvelle cure, mais parce qu'ils veulent montrer aux autres qu'il y a moyen de se sortir de cette addiction…

Starlink veut muscler son réseau dès 2026, avec 1 Tb/s par satellite

21 juillet 2025 à 16:38

Starlink, le réseau de satellites qui propose une connexion à Internet partout dans le monde (dans les pays où le service est disponible), s'améliore. SpaceX vient de publier une page qui présente quelques améliorations attendues sur le réseau. La première partie se concentre sur les évolutions passées : depuis 2023, aux États-Unis, la latence moyenne est passée d'environ 45 ms à un peu moins de 25 ms1, quand le débit moyen est aux alentours de 180 Mb/s actuellement, contre environ 50 Mb/s il y a quelques années.

Le réseau selon SpaceX.

Une des raisons de ces gains provient de la présence de plus de stations au sol dans le pays : SpaceX en annonce plus de 100. Plus elles sont présentes, plus la latence moyenne diminue, alors que, dans les régions où elles sont rares, les informations doivent parfois passer par plusieurs satellites pour en atteindre une, ce qui augmente la latence. Dans nos régions, elles sont peu nombreuses : il n'y en a qu'une en France, et quelques autres en Allemagne, en Italie, en Espagne ou au Royaume-Uni.

Le document explique aussi que le nombre de satellites s'approche peu à peu de 8 000 (7 800), ce qui améliore directement la couverture et les performances. Chaque nouvelle génération permet d'améliorer la bande passante globale du réseau, mais aussi celle des satellites directement : la troisième génération, attendue en 2026, devrait permettre d'atteindre 1 Tb/s par satellite en réception (vers l'utilisateur) et 200 Gb/s en émission (vers le satellite). C'est 10 et 24x plus que la seconde génération selon SpaceX. Cette nouveauté devrait donc peut-être permettre de réduire un des défauts actuels de la solution : un débit en upload un peu faible, de l'ordre de 10 à 15 Mb/s en pratique. Enfin, Starlink devrait déployer plus de satellites dans les latitudes élevées, pour mieux couvrir l'Alaska et (probablement) l'Europe du nord.

Image Starlink.

La société met aussi en avant les possibilités du réseau pour connecter des zones inaccessibles en cas de catastrophe ou les fonctions de téléphonie mobiles, en cours de déploiement aux États-Unis chez T-Mobile. Rappelons tout de même que le réseau n'est pas capable de remplacer les fournisseurs d'accès fixes ou mobiles à l'échelle d'un pays (même si certains l'espèrent) et qu'il s'agit d'une société américaine, ce qui peut poser des soucis sur le plan géopolitique. C'est une des raisons qui explique les investissements européens récents dans OneWeb, la constellation d'Eutelsat. Qui plus est, Starlink (et les autres) sont aussi accusés de polluer l'espace, avec un impact parfois significatif sur les observations, des problèmes que SpaceX tente de réduire avec ses satellites récents.

Starlink à l

Starlink à l'essai : tout ce qu'il faut savoir sur cette connexion par satellite d'un genre nouveau


  1. La latence minimale pour une liaison est de l'ordre de 7 ms pour la connexion elle-même, sans prendre en compte la liaison entre la station de base et le reste de l'Internet.  ↩︎

iOS 27 ferait une belle place à des nouveautés pour l'iPhone pliant

21 juillet 2025 à 16:25

Avec la perspective de l'arrivée du premier iPhone pliant, on ne s'étonnera pas de lire qu'Apple va lui réserver une bonne partie des nouveautés du prochain iOS 27. C'est ce qu'écrivait hier Mark Gurman dans son infolettre dominicaine en ajoutant que le développement d'iOS 27 s'apprête à démarrer de manière formelle.

Les smartphones pliants au format livre, comme le Galaxy Z Fold dont Apple se serait inspirée, ouvrent un nouveau champ pour l'interface utilisateur. On peut avoir par exemple une grande moitié dévolue à des contrôles et des outils d'édition et l'autre moitié pour la consultation du contenu. De manière plus générale, avec un grand écran interne à sa disposition, iOS va se rapprocher des possibilités d'iPadOS où l'on peut afficher plusieurs apps et fenêtres. Il y a matière pour iOS à sortir du cadre de l'app qui occupe tout l'écran.

Galaxy Z Fold7. Image Samsung.

C'est sur ces capacités logicielles étroitement adaptées à ce nouveau matériel que l'on attend de voir ce que propose Apple et la manière dont les développeurs tiers pourront en profiter.

Toujours d'après Bloomberg, la clientèle chinoise est plus gourmande qu'ailleurs de ce format plutôt que la version verticale façon clapet. Tous les fabricants chinois ont des modèles pliants dans leur catalogue. Apple est surveillée avec intérêt puisqu'elle pourrait contribuer à légitimer cette catégorie en dépit des prix pratiqués — 2 000 € pour le Fold7 en 256 Go — qui écartent beaucoup de clients.

Galaxy Z Flip7 et Fold7 : grosse cure d

Galaxy Z Flip7 et Fold7 : grosse cure d'amincissement pour les derniers appareils pliants de Samsung

Hubble Network veut créer un réseau de localisation comme celui d'Apple ou de Google

21 juillet 2025 à 15:30

La société Hubble Network aime le Bluetooth. Après avoir lancé un satellite capable de se connecter en Bluetooth, elle vient d'annoncer la mise en place d'un réseau de localisation capable de fournir la position d'un appareil partout dans le monde, à la manière du réseau Localiser d'Apple ou de ses pendants chez Samsung, Google, Tile (Life 360) ou Chipolo.

Le réseau selon Hubble Network.

Dans son communiqué, la marque explique qu'elle dispose déjà de 88 millions d'appareils capables de suivre la position des appareils en Bluetooth, ce qui est peu et beaucoup à la fois. Apple dépasse largement le milliard, par exemple. Pour être intégré dans le réseau, il suffit en théorie de modifier la valeur émise en Bluetooth LE par un périphérique (que ce soit un traqueur ou un smartphone) et d'installer les outils nécessaires pour accéder au réseau lui-même et suivre des objets. La cible n'est pas le grand public, comme avec les AirTags, mais bien les entreprises : le réseau de Hubble Network est pensé pour ces dernières avec le suivi d'une flotte de véhicule, d'objets, de colis, etc.

Il n'est pas certain que la sauce prenne (Apple et Google ont une certaine avance grâce au grand nombre d'appareils compatibles) mais l'idée reste intéressante pour les entreprises. Dans tous les cas, la documentation est disponible et plus il y aura d'entreprises dans le réseau, plus la précision s'améliorera.

Du Bluetooth sur près de 600 km, avec un satellite

Du Bluetooth sur près de 600 km, avec un satellite

watchOS 26 : ce geste pichenette dont on ne peut plus se passer

21 juillet 2025 à 15:17

En ajoutant à watchOS 26 le « geste pichenette » Apple propose une manière rapide et efficace pour interagir des notifications ou revenir à son cadran. Il y a deux ans, Apple avait créé le geste Toucher deux fois pour watchOS 10 et certaines Apple Watch. Rebelote cette année dans watchOS 26 avec un geste qu'elle baptise de pichenette et qui se traduit par une option "Tourner le poignet" dans les réglages du système.

En position avant d'effectuer un geste pichenette. Image Apple

Pour résumer, le geste pichenette sert à se débarrasser de ce qu'il y a à l'écran de sa montre sans avoir à le toucher afin de revenir sur son cadran. Après avoir levé le bras pour lire une notification, vous faites ce geste de tourner sèchement le poignet (vers le haut ou vers le bas, peu importe) pour faire disparaître l'alerte et y revenir plus tard.

Même chose si un appel entrant s'affiche, un coup sec et il est ignoré. Ou si un minuteur est arrivé en fin de décompte, un geste et vous revenez sur le cadran. Pareil si vous voulez sortir de n'importe quelle application… c'est l'équivalent de la pression sur la couronne digitale.

Nicolas, qui s'est très vite habitué à cette fonction, la décrit comme naturelle et incomparablement plus pratique que le Toucher deux fois. Il se sert par exemple du geste pichenette le matin pour couper rapidement le réveil de sa montre.

Par comparaison le Toucher deux fois peut être plus laborieux (dans la reconnaissance des pincements des doigts) et plus fatigant lorsqu'on veut enchainer plusieurs actions par ce biais.

watchOS 11 : le geste de Toucher deux fois touche à tout et partout

watchOS 11 : le geste de Toucher deux fois touche à tout et partout

Dans les deux cas, ces gestes impliquent d'avoir des Apple Watch de générations récentes : des Series 9 et une Ultra 2 au minimum.

Apple imagine une batterie externe avec dissipateur thermique !

21 juillet 2025 à 14:04
Alors que l'été est une nouvelle fois la proie des fuites et rumeurs en tout genre, voici que l'USPTO permet de revenir un peu à la réalité. En effet, on peut y trouver régulièrement un aperçu un peu plus fiable des travaux en cours d'Apple, même si un brevet ne donne pas toujours naissance à un produit ou un service.

QNAP Haute Disponibilité : la continuité sans compromis pour les pros sous macOS

21 juillet 2025 à 14:01

Graphistes, monteurs, photographes : que se passe-t-il si votre NAS principal tombe en panne au beau milieu d’une session Final Cut ou d’un export Lightroom ?

Pour ceux qui n’ont tout simplement pas le droit à l’interruption, QNAP propose désormais une solution de haute disponibilité (HA) conçue pour eux — et qui parle enfin la langue de macOS.

Une faille de disponibilité ? Inacceptable !

Quand on crée, on ne compte pas. Mais surtout, on ne s’arrête pas. Entre un montage en 8K, une retouche lourde ou une sauvegarde Time Machine en arrière-plan, la moindre indisponibilité de votre NAS peut faire dérailler un projet — ou plomber un rendez-vous client.

C’est précisément à cette problématique que répond la nouvelle solution de Haute Disponibilité QNAP. Testée et peaufinée pour le monde professionnel, elle est pensée pour garantir que, même en cas de panne matérielle soudaine, vos données restent disponibles, vos partages montés, vos workflows intacts. Et le tout sans que vous ayez à lever le petit doigt.

Deux NAS, une seule mission : zéro interruption

Le principe de la haute disponibilité QNAP est simple à résumer, mais redoutablement efficace : deux NAS synchronisés en temps réel, l’un actif, l’autre en veille. Si le premier lâche, le second prend instantanément le relais. Vos volumes réseau ne tombent pas, vos partages SMB/AFP restent accessibles, Time Machine continue sa routine.

Le cœur de cette mécanique s’appelle High Availability Manager, une interface claire qui vous permet de visualiser l’état du cluster, le « heartbeat » entre les deux machines, la latence et la synchronisation.

Interface de gestion du cluster HA de QNAP montrant l’état des nœuds, les performances réseau et la synchronisation.

Voir la documentation complète sur High Availability Manager (EN)

Compatibilité totale avec macOS

QNAP n’a pas oublié sa base créative. La solution HA est parfaitement compatible avec l’environnement Apple :

  • Time Machine, pour des sauvegardes incrémentales et automatisées
  • AFP, pour les parcs plus anciens
  • SMB, pour une compatibilité complète avec les dernières versions de macOS

Vous montez vos partages comme d’habitude, depuis le Finder, sans jamais vous soucier de la redondance sous-jacente. Le système travaille pour vous.

Comment ça marche, concrètement ?

Voici le fonctionnement simplifié de la solution :

Illustration du fonctionnement HA de QNAP avec deux NAS, un serveur témoin et un switch réseau.

Chaque NAS est connecté à un switch central, et un serveur témoin (ou watchdog) surveille l’ensemble. En cas de défaillance, c’est lui qui autorise la bascule du nœud passif en mode actif, évitant les conflits de type "split-brain".

Tout est orchestré par le lien heartbeat entre les deux appareils. Le transfert se fait en quelques millisecondes.

Une solution simple à mettre en œuvre

Pas besoin d’un DSI ou d’un architecte réseau : le système est pensé pour les petites équipes et les indépendants. L’assistant intégré vous guide de A à Z, et une fois le cluster formé, tout est pilotable via l’interface graphique QNAP.

  • Synchronisation initiale automatique
  • Surveillance continue de l’état réseau et matériel
  • Logs clairs, tests de bascule disponibles
  • Alertes et rapports intégrés

C’est du niveau « plug & work », même sans expertise IT poussée.

Ce que ça change pour un pro Apple

Prenons un cas concret : vous êtes vidéaste indépendant. Votre NAS héberge tous vos projets en cours. Une panne ? Normalement, tout s’arrête.

Avec HA Manager de QNAP, votre second NAS prend automatiquement la main. Vos volumes restent accessibles dans le Finder. Vous ne perdez ni projet, ni temps, ni client.

Et mieux : vous pouvez diagnostiquer tranquillement la panne, après coup.

Un investissement stratégique

Cette technologie, autrefois réservée aux grandes infrastructures, devient accessible. QNAP propose cette solution sur plusieurs gammes de NAS professionnels, avec ou sans connectique 10 GbE, avec ou sans Thunderbolt. À vous de choisir selon vos besoins.

L’essentiel est là : protéger ce qui fait tourner votre activité. Parce qu’un NAS en panne, ce n’est pas juste une boîte HS, c’est un projet à l’arrêt. Une facture en attente. Un client perdu.

Pourquoi adopter la Haute Disponibilité QNAP quand on travaille sur Mac ?

La solution de haute disponibilité de QNAP, c’est :

  • Une continuité de service garantie, même en cas de panne NAS
  • Une compatibilité native avec macOS, AFP, SMB et Time Machine
  • Une interface claire et simple à déployer
  • Un outil accessible même aux petites structures
  • Un rempart contre les interruptions coûteuses.

Pour en savoir plus sur la solution QNAP Haute Disponibilité, visitez la page officielle : QNAP Haute Disponibilité

Pour les détails techniques et les modèles compatibles, explorez la documentation : Documentation High Availability Manager

iPhone 4 Go, chemise hawaïenne Apple, chèques de Steve Jobs, de nombreux prototypes : une vente aux enchères de produits Apple pour les collectionneurs

21 juillet 2025 à 13:05

De façon assez régulière, la maison d'enchères RR Auction propose des objets en rapport avec Apple et sa révolution. Et comme toujours, il y a quelques perles intéressantes pour les collectionneurs, comme des prototypes ou des iPhone encore sous blister. Les prix et les estimations peuvent sembler élevés, mais il faut prendre en compte la marge de RR Auction... et le fait que certaines estimations sont largement surévaluées. Nous vous avons sélectionné quelques pièces intéressantes.

Un chèque signé par Steve Jobs. Estimation : 25 000 $.
Une balle signée par Steve Wozniak. Estimation : 500 $. Tim Cook est à 400 $.
Un Apple II noir, plutôt rare. Estimation : 1 500 $.
Un Lisa complet, avec son disque dur, dans la version avec lecteur de disquettes 5,25 pouces. Estimation : 65 000 $.
Un prototype de Macintosh Portable transparent. Estimation : 50 000 $.
L'ancêtre de l'Apple TV, qui aurait pu devenir une box d'opérateur. Estimation : 1 000 $.
Le premier iPhone dans sa version 4 Go, scellé. Estimation : 50 000 $. 2 500 $ pour le même sans le blister.
Un prototype de Macintosh TV, le premier Macintosh noir, avec un téléviseur intégré. Estimation : 5 000 $.
Le premier iPod, sous blister. Estimation : 20 000 $.
Un prototype de Power Macintosh 9700, un modèle abandonné lors du retour de Steve Jobs, qui aurait pu être un Power Macintosh G3 plus haut de gamme. Estimation : 6 000 $.
Une lithographie de l'artiste belge Jean-Michel Folon, qui a illustré une partie de la documentation du Macintosh. Estimation : 1 500 $.
Une superbe chemise hawaïenne Apple. Estimation : 400 $.
Des verres à champagne Apple, proposés pour les 10 ans de la société. Estimation : 200 $.
Et plus étonnant dans une vente consacrée à Apple et Steve Jobs, un guide Tesla Model S signé par Elon Musk. Estimation : 2 000 $.

Vous trouverez aussi des prototypes d'iMac, d'iPad, des iPod sous blister, des objets signés par Bill Gates ou de vieux ordinateurs qui n'ont pas de rapport direct avec Apple.

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