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BOE, principal fournisseur d’écrans pour l’iPhone 16e, risque un bannissement aux USA suite à un litige avec Samsung
Les écrans sont le nerf de la guerre dans le domaine des smartphones depuis plusieurs années, et ça devrait continuer ainsi longtemps. De ce fait, Apple ne se fournit pas chez un seul fabricant de dalles OLED, mais chez une multitude d’entre eux. Samsung Display se taille la part du lion (il est même supposé être le seul fabricant retenu pour le futur iPhone pliant), mais d’autres acteurs sont loin d’être insignifiants. Parmi eux, BOE (pour « Best On Earth », si si), qui risque de se voir supprimer de la liste, au moins pour les iPhone destinés aux USA.

En effet, une bataille juridique se joue depuis 2023, et l’International Trade Commission, qui veille au respect des règles d’importation aux USA dont les brevets, vient de trancher : BOE enfreint les brevets de Samsung Display sur l’OLED. Si pour le moment aucune sanction n’a été prise, le président américain Donald Trump aura deux mois, à partir de novembre de cette année, pour décider si les produits de la marque doivent être bannis du pays.

Samsung aurait lancé la production de l’écran du futur iPhone pliable
BOE risque donc de voir disparaître les commandes d’Apple concernant les produits vendus aux USA, et la pomme ne faisant généralement pas dans la complexité, l’entreprise pourrait se voir supprimée de la liste des fournisseurs de Cupertino. Ce ne serait pas une première pour BOE, qui a déjà été rayé des listings en 2022, comme le rappelle AppleInsider, pour avoir modifié les spécificités des écrans qu’elle fournissait pour les iPhone 14 sans demander la permission à Apple.
Suite à cette faute, il a fallu des années à BOE avant qu’Apple lui fasse de nouveau confiance, et même aujourd’hui l’entreprise reste un petit fournisseur face à d’autres concurrents.
Selon Apple, et certains spécialistes vont dans le même sens, BOE pourrait cependant échapper au couperet : légalement parlant, un ban concernerait les éléments importés directement par BOE aux USA, et n’affecterait pas les produits contenant des pièces BOE préalablement assemblées (notamment les iPhone 16e, qui sont majoritairement équipés d’écrans BOE). Un iPhone contenant un écran BOE pourrait donc être importé aux USA, même si la pièce prise à part était interdite de territoire.
Quoi qu’il en soit, le constructeur chinois peut être sûr d’une chose : si Apple devait être prise à parti dans la dispute entre Samsung Display et BOE, ce dernier serait lâché sans hésitation. Samsung Display a un tel poids dans le domaine des écrans de smartphones qu’il serait difficile de le remplacer, contrairement à BOE.
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- Google IA lance aux USA un chatbot appelant les professionnels pour vous, aidant ainsi les phobiques du téléphone
Google IA lance aux USA un chatbot appelant les professionnels pour vous, aidant ainsi les phobiques du téléphone
Pour la plupart des personnes, passer un appel téléphonique pour obtenir un renseignement fait partie des choses habituelles, au moins une fois par semaine, et pour certains plusieurs fois par jour. Cependant, il semble que cette « habitude » se perde, et que la Génération Z et ultérieure développe une certaine phobie de l’appel téléphonique. Heureusement, Google AI promet de voler à leur secours, au moins aux États-Unis d’Amérique dans un premier temps.
Ainsi, Google AI a développé une nouvelle fonction pour son bot, qui peut passer des appels à votre place, permettant de récupérer certaines informations comme prendre un rendez-vous, vérifier un prix ou encore la disponibilité d’un produit, etc. La fonction est encore en beta, et n’est pas disponible pour tous les types de commerces, mais c’est un début prometteur.
Comme l’indique l’exemple d’un appel à un toiletteur pour animaux dans leur présentation, l’IA vous posera quelques questions à l’avance, comme la race de votre animal, le type de service que vous souhaitez, les dates de disponibilités et comment vous souhaitez recevoir les réponses glanées par l’IA.
Bien entendu (et heureusement peut-être), les professionnels auront le choix d’accepter ou non ce type d’appel : la possibilité de refuser les chatbots par téléphone leur est laissée dans les réglages de leur profil Google. Reste qu’au bout d’un moment arrivera la boucle finale : bientôt le chatbot qui appelle un autre chatbot pour avoir des renseignements (ne rigolez pas, de plus en plus de spams téléphoniques ont supprimé l’humain, utilisant un bot à la place) ? Jusqu’au jour où l’intermédiaire téléphonique sera supprimé, laissant les bots conversationnels se répondre directement sur internet...
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Un dock Thunderbolt 5 bien équipé proposé par Razer
Razer est une marque plutôt connue pour ses produits gaming (quoique un peu en perte de vitesse depuis quelques temps face à des monstres comme Logitech). Il serait donc facile d’oublier qu’ils ne font pas que ça, et se sont vite intéressés aux possibilités offertes par le Thunderbolt.

La marque propose aujourd’hui son tout nouveau dock Thunderbolt 5, le Thunderbolt 5 Dock Chroma (449 €). Alors, comme toujours avec cette marque, vous n’échapperez pas aux sempiternelles LED multicolores autour du socle, mais (ouf !) elles sont désactivables. En dehors de cette jacky’s touch, le reste des caractéristiques est plutôt intéressant :
- un emplacement PCIe M.2 pour une barrette SSD jusqu’à 8 To
- 3 DisplayPort 2.1
- 4 ports Thunderbolt 5 (dont un pour la machine)
- 2 USB-A 3.2 Gen 2
- 1 USB-C 3.2 Gen 2
- 1 port Gigabit Ethernet
- 1 lecteur SD-Card UHS-II
- 1 sortie audio jack 3.5 mm avec support micro

Le boîtier se branche en Thunderbolt 5 et alimente par le même port jusqu’à 140 W, ce qui permettra de recharger n’importe quel MacBook Pro, y compris les plus gourmands (attention avec les 16 pouces, seuls les M3 et ultérieurs acceptent 140 W, les précédents se contentent de 100 W maximum en USB-C/Thunderbolt). Il lui restera encore bien assez de puissance disponible pour alimenter quelques accessoires, l’alimentation fournie allant jusqu’à 250 W. Disponible en noir ou en blanc, son plein potentiel ne pourra se révéler qu’avec un MacBook Pro ou un Mac mini M4 Pro (seuls à disposer du Thunderbolt 5), mais devrait satisfaire tous les autres Mac munis de ports Thunderbolt 4/USB 4, avec lesquels il reste compatible.
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Le Thermomix TM5 a été hacké, et il ne lance même pas Doom
Les chercheurs de chez Synacktiv, spécialisés dans la sécurisation pour les entreprises, viennent de montrer comment hacker un appareil assez connu, le Thermomix TM5. Ce n'est pas le plus récent des modèles, mais l'analyse technique est intéressante et (surtout) la réponse de Vorwerk, à l'origine du célèbre cuiseur, l'est tout autant.

Les chercheurs se concentrent au départ sur les Cook Stick, des modules qui contiennent des recettes pour l'appareil. Même si le format physique est un peu particulier, il s'agit en fait de simples clés USB chiffrées, avec un mécanisme qui déplace les broches classiques de l'USB-A. Un autre accessoire, le Cook-Key, permet la mise à jour de l'appareil et sa connexion à Internet. Et comme les petits modules, il s'agit en réalité d'un périphérique USB. L'accessoire contient un hub USB mais aussi un contrôleur Wi-Fi qui s'interface en USB en interne. Comme c'est un modèle plus ou moins standard, les chercheurs expliquent avoir pu fabriquer leur propre version, en modifiant l'adaptateur Wi-Fi d'une Xbox 360, qui utilise la même puce.

Avec la possibilité de connecter l'appareil de test à un réseau Wi-Fi, les chercheurs ont ensuite pu effectuer une (fausse) mise à jour de firmware. Les explications sont assez techniques, mais l'idée est que la clé de chiffrement de l'appareil est accessible en récupérant le contenu des puces de mémoire flash, ce qui permet ensuite de créer une fausse mise à jour de firmware qui va être acceptée par l'appareil, malgré les sécurités mises en place pour empêcher ce type d'attaque. Une partie de la clé (le nonce) n'est en effet pas signée correctement, ce qui permet une attaque. Les chercheurs pointent trois problèmes précis dans la sécurisation de l'appareil, qui ont visiblement été corrigés par Vorwerk. Le point intéressant, qui n'est pas systématique dans ce domaine, c'est que le fabricant a visiblement été réactif et a permis aux chercheurs de publier les détails des problèmes détectés.

Nous pouvons évidemment regretter que les chercheurs n'en aient pas profité pour lancer Doom sur l'appareil. Le système d'exploitation (une distribution GNU/Linux) et le système sur puce (un i.MX28 basé sur un coeur ARM9) sont en effet normalement capables de le faire. De façon plus sérieuse, ils rappellent que même si la méthode est intéressante, les risques pour les utilisateurs sont très faibles dans le cas du Thermomix TM5. D'abord parce que le hack nécessite un accès physique complet pour récupérer le contenu de la mémoire flash, et ensuite parce que l'appareil a un CPU assez daté, n'intègre ni microphone ni caméra et — par défaut — ne se connecte pas à un réseau local. Nous sommes surtout ici devant une démonstration technique de la part de Synacktiv, sans réels dangers.


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Vous avez peur pour vos données ? TeamGroup lance un SSD qui peut s'autodétruire
Si vous avez des données confidentielles et que vous voulez être certains que personne ne pourra y accéder sans votre consentement, TeamGroup, un fabricant de SSD, a une solution : un SSD avec un bouton d'autodestruction. Le P250Q-M80, dans l'absolu, est un SSD assez classique : c'est un modèle M.2 2280 équipé de mémoire flash de type TLC, avec un contrôleur PCI-Express 4.0. Il peut atteindre 7 Go/s en lecture (5,5 Go/s en écriture) et existe avec une capacité de 256 Go, 512 Go, 1 To et 2 To. Rien de fou, donc… sauf la présence du bouton.

La fonction d'autodestruction est liée à un bouton qui doit être pressé plusieurs secondes (entre 5 et 10, pour éviter les erreurs de manipulation). La destruction standard est un effacement logiciel : les données sont effacées (probablement en modifiant les clés de chiffrement) mais le SSD reste utilisable, comme s'il était neuf. La solution est complète, et prend par exemple en compte qu'une personne pourrait littéralement tirer la prise pour empêcher l'effacement : une fois le processeur démarré, il se relancera si la tâche a été interrompue.
Si vous pressez le bouton plus de 10 secondes, une destruction physique démarre : le contrôleur va modifier la tension appliquée à la mémoire flash, pour littéralement griller cette dernière. Le SSD sera donc totalement inutilisable une fois le processus terminé. Bien évidemment, c'est une solution à réserver aux cas de force majeure, dans des domaines sensibles.
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Promo : l'iPhone 16e entre 520 et 639 € au lieu de 719 €
L'iPhone 16e est proposé chez Rakuten dans une fourchette de prix allant de 519,99 € à 639 € pour la version de 128 Go, une capacité de stockage relativement confortable.
L'écart s'explique par l'origine du vendeur, mais dans tous les cas, on profite ce jour d'une remise de 30 € sur des achats supérieurs à 299 €. La première offre à 520 € provient d'un vendeur tiers, qui est bien noté, mais qui ne précise pas l'origine géographique de son lot d'iPhone 16e. Comme toujours, en cas de problème la première année on peut aller chez Apple, ensuite il faudra se débrouiller avec le vendeur.

Si l'on plus de sécurité dans son achat en contrepartie d'une réduction moins forte, Darty et Boulanger proposent chacun un iPhone 16e à 639 € au lieu de 669 € pour les promotions habituellement constatées et les 719 € de l'Apple Store.

À moins de 600 € l'iPhone 16e a peut-être trouvé son public
L'iPhone 16e, nouvelle entrée de gamme d'Apple, a vite fait oublier l'iPhone SE dans ce rôle. Il propose Face ID pour le déverrouillage ou pour payer avec Apple Pay, un écran de bien plus grande taille, un bouton Action programmable, une très bonne autonomie et la partie photo s'est bien modernisée. Sa puissance est dans la norme actuelle (même processeur que l'iPhone 16) et elle ouvre l'appareil aux fonctions d'Apple Intelligence.
Une app de conseil de drague par IA fait fuiter plus de 160 000 conversations privées
Les développeurs sont nombreux à se jeter sur l’IA sans forcément prendre en compte tous les risques que cela implique côté sécurité. Dernier exemple en date : une app visant à donner des conseils de drague a laissé accessible un énorme paquet de captures d’écrans, incluant des conversations privées ou des profils de sites de rencontre. Baptisée « FlirtAI - Get Rizz & Dates », elle proposait aux utilisateurs d’envoyer une copie de leurs discussions afin de prodiguer des conseils personnalisés.

L’app incitait les utilisateurs à partager une capture de leurs discussions avant de générer des réponses grâce à un clavier spécial. Elle proposait également d’analyser les profils pour mieux adapter ses réponses. La faille a été remarquée par Cybernews, qui indique être tombée sur un espace Google Cloud détenu par le développeur iOS Buddy Network GmbH. Non sécurisé, il contenait plus de 160 000 captures d’écran.
« En raison de la nature de l'application, les personnes les plus touchées par la fuite peuvent ne pas savoir que des captures d'écran de leurs conversations existent, et encore moins qu'elles pourraient être diffusées sur internet », expliquent les chercheurs de Cybernews. La faille a depuis été colmatée et contenait aussi des photos provenant de plateformes comme Snapchat ou Instagram.
L’affaire est grave étant donné qu’elle concerne des adolescents, plus vulnérables, mineurs et ayant potentiellement des problèmes de confiance en soi. Elle pose également la question d’un éventuel pistage, des informations très privées pouvant être indiquées sur les captures. Les développeurs tentent de se dédouaner dans leur app, déclarant que les utilisateurs sont autorisés à envoyer une capture d’écran seulement s’ils ont « obtenu les approbations nécessaires de tous les utilisateurs/humains et de leurs informations mentionnées ». L’app et toutes celles du développeur ont visiblement été supprimées dans la foulée. Buddy Network GmbH est basée à Berlin, et est donc soumise au RGPD.
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Le Flipper Zero peut pirater les réseaux Thread
Connaissez-vous le Flipper Zero ? Parfois vendu comme un outil de hacker capable de faire des choses incroyables, il s'agit surtout d'une sorte de couteau suisse pour les bidouilleurs, qui offre de nombreuses fonctions mais ne permet pas (par exemple) d'ouvrir une voiture. Il se trouve facilement pour un peu moins de 250 € et certains s'amusent à planter des iPhone avec. Mais le petit boîtier est aussi capable de se connecter à des réseaux Thread.

Thread, pour rappel, est une technologie réseau, comme le Wi-Fi, le Bluetooth ou le ZigBee. Elle est utilisée par Apple pour la domotique, avec une prise en charge dans de nombreux appareils (Apple TV, iPhone, etc.). Thread est souvent employé en parallèle de Matter, qui est un protocole qui permet de simplifier la prise en charge de la domotique. Thread est la partie matérielle, et Matter la partie logicielle.

Dans une série de trois articles, András Tevesz explique comment interfacer le fameux Flipper Zero, donc, avec un réseau Thread. Ce n'est pas simple : vous aurez besoin de composants supplémentaires pour connecter le boîtier, mais aussi d'un fer à souder. Il est ensuite possible de faire des choses basiques, comme émuler une ampoule compatible Matter, qui va allumer (ou éteindre) une LED. Mais il est aussi possible, après avoir connecté le Flipper Zero à un réseau Thread, de récupérer une clé de chiffrement a priori privée. C'est bien évidemment plus une preuve de concept qu'un manuel complet pour pirater un réseau Thread, mais les articles donnent les bases pour que des personnes motivées se penchent sur le sujet.
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iPhone 17 : la future palette de couleurs déjà dans la nature ?
Les couleurs de la gamme iPhone 17 se précisent. Macworld a obtenu des détails grâce à ses sources dans l’industrie qui corroborent d’autres rumeurs entendues par le passé. On a donc désormais une bonne idée des couleurs qu’Apple a choisies pour ses futurs iPhone 17 et 17 Pro, sans oublier le nouveau modèle « Slim » plus fin.

L’iPhone 17 de base aurait donc un noir et un blanc similaire à l’iPhone 16. On trouvera en plus de cela une déclinaison gris acier, du vert, du violet et un bleu clair. De son côté, l’iPhone 17 « Slim » disposerait d’un coloris noir similaire à l’iPhone 16 mais aussi d’un blanc un peu plus éclatant. On trouverait également un bleu clair et un or clair, que vous pouvez voir ici :

Selon les sources de Macworld, le bleu de l’iPhone 17 Slim ressemblerait à celui du MacBook Air M4. La robe or clair se rapprocherait du titane sable de l’iPhone 16 Pro. Apple aurait opté pour des couleurs moins saturées dans le but de renforcer l’impression de légèreté de l’appareil.
Pour ce qui est des 17 Pro et Pro Max, on pourra compter sur du noir, du blanc et un gris équivalent au titane naturel actuel. S’ajouterait un bleu foncé reprenant une teinte déjà vu sur le 15 Pro ainsi que de l’orange, une idée avancée il y a peu par un autre fuiteur fiable.

Le coloris orange aurait un aspect « fluorescent », et les sources précisent que les couleurs pourront différer selon la lumière (ce sera donc sans doute plus terne que les palettes illustrant l’article). La confirmation arrivera début septembre lors du grand keynote de rentrée d’Apple.
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macOS 12 Monterey bientôt obligatoire pour Google Chrome
La version actuelle de Google Chrome — la 138, sortie fin juin 2025 — est la dernière qui va être compatible avec macOS 11, Big Sur. La prochaine version, la 139 attendue en août, nécessitera donc au moins macOS 12, Monterey.

Google l'indique bien, le navigateur continuera de fonctionner mais il ne recevra plus de mise à jour de sécurité ni de mises à jour de fonctions. Ce n'est pas forcément un problème dans l'absolu, tout du moins à court terme : les sites Internet imposent rarement les dernières versions en date des navigateurs. Mais avec le temps, les failles de sécurité et les nouvelles fonctions, Chrome 138 deviendra peu à peu dangereux ou inutilisable. Rappelons que les Mac sortis ces dix dernières années acceptent généralement macOS Monterey (et les versions suivantes) : les Mac bloqués sous macOS Big Sur sont le premier MacBook de 2015, quelques iMac de 2014 et les MacBook Air et MacBook Pro de 2013 et 2014.
À moins de 600 € l'iPhone 16e a peut-être trouvé son public
À 719 €, l'iPhone 16e est un bon téléphone trop cher, à moins de 600 € c'est un bon téléphone, tout court. Le dernier-né d'Apple a peut-être rencontré son prix idéal à l'occasion des dernières promotions.

À l'issue des quatre journées Prime Day, il n'y a plus d'iPhone 16e de 128 Go sur le site d'Amazon (curieusement il n'y en a plus également sur le 512 Go blanc dont le prix, frôlant les 1 100 €, est en faible adéquation avec les prestations de ce téléphone).
Amazon n'avait pas mégoté sur les réductions puisque le 128 Go fut vendu 592 € au lieu des 719 € de l'Apple Store, un tarif record. Ce niveau de prix fut aussi constaté sur les sites d'Amazon en Italie et en Allemagne peu avant les Prime Day.
Cette pénurie n'est pas constatée partout, mais il y a quelques trous dans les stocks ici ou là. À la Fnac, il n'y a plus de 128 Go noirs (le blanc est vendu 669 €) et le 512 Go blanc manque tout aussi curieusement à l'appel. Chez Boulanger, il n'y a d'absent que chez les 256 Go, Leclerc a des 128 Go pour qui en cherche (671 €), tout comme Cdiscount et les opérateurs ne sont pas en manque non plus.
La réduction de 50 € sur le prix d'Apple fait des 669 € le nouveau tarif non officiel pour l'entrée de gamme des iPhone. On est loin néanmoins des quelque 125 € rabotés lors de ces journées de promotion pendant lesquels les stocks ont fondu.

À ce tarif, même sans MagSafe ni objectif ultra grand-angle, l'iPhone 16e s'avère un très bon iPhone pour une population de clients très diverse. On ne s'étonnera pas dès lors qu'il se soit bien vendu. À cela il faut ajouter la disparition des stocks d'iPhone 14 neufs qui font mécaniquement se porter les achats vers des modèles plus récents.

Test de l’iPhone 16e : pour tout le monde, ou presque
Le prochain rendez-vous pour retrouver de tels tarifs pourrait être le Black Friday fin novembre où l'on ne serait pas surpris de recroiser des iPhone 16e avec des réductions attractives.
[Mise à jour à 15h15] : correction apportée à propos de l'absence d'Apple Intelligence, ce qui n'est évidemment pas le cas.
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- Certains iPhone pourraient être interdits de vente aux États-Unis à la suite d'un litige entre fabricants d’écrans
Certains iPhone pourraient être interdits de vente aux États-Unis à la suite d'un litige entre fabricants d’écrans
Apple pourrait bien avoir du mal à vendre certains iPhone aux États-Unis à la rentrée. Selon le média coréen ETNews (via MacRumors), des iPhone 15, 16 et 17 à l’écran produit par BOE pourraient se voir bannis du territoire. Le fabricant chinois est accusé d’avoir violé certains secrets commerciaux de Samsung en matière d’écrans OLED.

L’affaire a commencé en 2023 : Samsung Display avait alors attaqué BOE en l’accusant d’utiliser sa technologie propriétaire pour la fabrication d’écrans OLED. Une plainte a été déposée en 2025 aux États-Unis, le coréen demandant des dommages-intérêts pour manque à gagner et enrichissement injustifié. La Commission internationale du commerce des États-Unis (ITC) lui a récemment donné raison. Elle a établi que BOE et sept de ses filiales avait détourné une technologie OLED de Samsung Display.
La justice recommande donc un blocage des importations de certains panneaux OLED de BOE aux États-Unis. Une ordonnance l’empêchant de vendre ses stocks et de fournir de futures livraisons aux sous-traitants d’entreprises américaines est également évoquée. Heureusement pour Apple, les appareils déjà fabriqués ne devraient pas être concernés par l’interdiction de vente. Le verdict n’est pas définitif, mais devrait probablement prendre effet plus tard dans l’année.
De multiples iPhone vendus aux États-Unis embarquent un écran fabriqué par BOE. Ces modèles sont les 15, 15 Plus, 16 et 16 Plus ainsi que le plus récent 16e. Certains devraient rester au catalogue après la présentation de l’iPhone 17 à la rentrée : Apple serait obligée de rediriger ces modèles vers d’autres marchés.
Une telle annonce pourrait chambouler les plans d’Apple pour la rentrée, car on ne sait pas si les prochains modèles comme l’iPhone 17 embarqueront un écran BOE. Des rumeurs estiment que tous les futurs téléphones disposeront d'un écran ProMotion cette année, ce que BOE ne fabrique pas pour le moment. Cependant, certains estiment que l’entreprise va fournir pour la première fois les dalles des 17 Pro et Pro Max vendus en Chine… et uniquement là-bas, BOE n’ayant pas réussi à atteindre les critères de performance élevés d’Apple. Bref, l'affaire pourrait se corser au fil du temps.
L’ITC a le pouvoir de bannir l’importation de certains produits aux États-Unis, mais aussi d’en interdire la vente. C’est elle qui a empêché Apple de vendre certaines Apple Watch dans son bras de fer avec Masimo lié à son capteur de mesure de la SpO2. Sauf coup de théâtre, il semble donc qu’Apple n’aura bientôt plus le droit d’importer des iPhone aux écrans fabriqués par BOE aux États-Unis, ni d’y vendre les stocks existants de ces modèles.