Apple travaille de manière à ce que ses logiciels systèmes surveillent davantage l’évolution de l’autonomie de ses appareils. Avec iOS 26, les iPhone compatibles avec Apple Intelligence, disposent d’un nouveau système de gestion « adaptative ». Si votre consommation est plus élevée qu’à l’accoutumée, cette fonctionnalité de gestion adaptative diminue « légèrement » les performances et la luminosité de l’écran pour préserver l’autonomie.
watchOS 26 est doté d’une fonctionnalité relativement similaire, mais plus minimaliste, sans doute liée au fait que les montres d’Apple ne sont pas équipées d’Apple Intelligence. Quoi qu’il en soit, comme le note 9to5Mac, si la batterie de votre Apple Watch diminue de manière excessive, vous en serez informés par un message d’alerte vous incitant à passer sur le mode économie d’énergie.
Benjamin Mayo explique que sa montre s’est retrouvée récemment avec 50 % d’autonomie restante à 19 heures. Habituellement, à cette heure de la journée, s’il n’a pas fait de sport, sa montre est plus proche des 75 %. Dans son cas, l’apparition de ce message n’est pas liée à une utilisation particulière de sa montre, mais à la bêta elle-même de watchOS.
Dans la vie de tous les jours, d’autres facteurs peuvent jouer sur l’autonomie de l’Apple Watch, comme une utilisation prolongée de son GPS, de sa puce cellulaire, de son haut-parleur ou encore d’un programme trop gourmand.
Ce qui est intéressant dans son cas, c’est que l’Apple Watch est pro active. Avec 50 % d’autonomie restante, on n’est pas devant le fait accompli et il est encore possible d’adapter son usage en conséquence.
Après une petite pause, le revoilà ! Donald Trump est de retour avec un nouveau "deal commercial" entre les USA et le Vietnam. Au programme : une taxe de 20 % sur les importations de nombreux produits Apple fabriqués dans le pays, affectant des gammes entières comme les AirPods, iPad, Apple Watch et Mac.
Si toutes les rumeurs se matérialisent, l’année scolaire qui s’ouvre en septembre promet d’être incroyablement riche en nouveautés. Apple semble déterminée à accroître considérablement son portefeuille de produits afin d’initier un nouveau cycle de croissance.
En 2026, Apple devrait céder aux sirènes des écrans pliables avec un iPhone qui promet d’être vendu à un prix particulièrement salé. Initialement, la firme de Cupertino avait prévu de recourir d’abord à cette technologie pour ses tablettes et ses ordinateurs, mais il semble qu’elle ait changé son fusil d’épaule.
De tels projets continuaient à être développés en parallèle, mais ils auraient été mis en pause si l’on en croit DigiTimes. Le site asiatique affirme qu’Apple retarde le lancement de l’iPad pliable en raison de difficultés de fabrication, de coûts de production élevés pour la technologie d’écran pliable, et d’une demande relativement faible des consommateurs pour les appareils pliables de grande taille.
Concept réalisé à l’aide d’une IA
Ce n’est sans doute que partie remise. Apple pourrait revoir sa décision, notamment si le prix des technologies des écrans pliables venait à baisser. Un iPhone doté d’une telle technologie pourrait y contribuer.
Reste que les rumeurs sur un tel appareil étaient plutôt vagues. Certains évoquaient une tablette équipée d’un écran OLED avec une taille susceptible d’atteindre les 20”. On aimerait bien voir comment iPadOS 26 se comporte avec ses avancées sur un tel appareil. Il était question d’une date de commercialisation, au mieux en 2026, au pire en 2028, mais il va sans doute falloir patienter davantage pour voir un tel appareil arriver sur le marché.
Lorde est une artiste Néo-Zélandaise qui a bien réussi à faire son trou dans le milieu pop, depuis son premier album en 2013. Assez poussée sur l’esprit écologique, elle a ainsi décidé que son album Solar Power ne sortirait pas en CD, mais uniquement au format dématérialisé. Si cette promesse n’a pas été tenue jusqu’au bout (une version vinyle étant sortie), la chanteuse a cédé aux demandes des fans pour son dernier album, mais n’a pas voulu faire « comme les autres ».
Sort alors l’album Virgin, dans un plastique totalement recyclé et recyclable, et sans aluminium dans le « sandwich » qui compose le CD. Et c’est ainsi que commencent les problèmes...
Si les lecteurs optiques sont de plus en plus performants, et arrivent bien souvent à lire des galettes dans des états plus improbables les uns que les autres, il ne faut pas trop en demander non plus. Et Lorde est allée trop loin dans sa demande : de nombreux utilisateurs se plaignent sur Reddit et d’autres forums que le dernier album est impossible à lire dans leur autoradio, leur lecteur CD portable, lecteur de salon... si certains arrivent à lire la galette, ce n’est semble-t-il pas sans erreurs pour autant, l’un d’eux rapportant qu’il a pu ripper le CD, mais au prix de nombreuses erreurs et autres distorsions sonores.
Les presseurs de cette version CD n’ont d’ailleurs pas cherché à faire valider leur création selon le Red Book, le boîtier et le disque lui-même ne mentionnant nul part le réglementaire « Compact Disc Digital Audio ». On se rappellera d’ailleurs des fameux CD audio « anti-copie » qui pullulaient il y a quelques années, et qui eux non plus ne mentionnaient pas le fameux logo, leurs caractéristiques ne respectant pas le format original.
Les artistes cherchent toujours plus à se démarquer, afin de pousser à acheter la version physique de leur album plutôt que de l’écouter en streaming. Si l’innovation a du bon, il serait bien de se rappeler le but premier d’un support audio : être lu dans un maximum de lecteurs...
Généralement, sur les bureaux, deux écoles s’affrontent : ceux qui veulent un lieu de travail bien propre, et les fans du plat de spaghettis où la mama n’y retrouverait même pas une boulette.
L’autre souci, c’est l’encombrement des multiprises : entre l’écran, le Mac, le chargeur de piles pour la Magic Mouse (pour ceux qui n’aiment pas les tortues sur le dos), pour l’iPhone, pour le dernier accessoire USB à la mode, la montre, la tablette,... on n’en finit plus.
Heureusement, fini la multiprise aussi longue que le bureau. Vous pouvez trouver maintenant des concentrateurs bien plus agréables à l’œil et plus pratique, comme celui proposé sur Amazon par Kemelo (20,99€), qui combine sur une forme relativement compacte 8 prises 230 volts avec 4 ports USB (maximum 3.4A). Trois de ces ports sont au format USB-A, le dernier en USB-C. Le tout est protégé par un para-surtenseur intégré (ce qui ne sera pas du luxe en ce moment). Qui plus est, si la prise murale est un peu trop loin du bureau (un comble, mais ça arrive), le câble secteur fait 5 mètres, de quoi parcourir la pièce !
Alors au final, dans quelle équipe vous trouvez-vous ? Team maniaque du rangement, ou spaghettis à volonté ?
L’intelligence artificielle peut avoir du bon : trouver rapidement des informations sans avoir à parcourir un site complet, résumer un texte,... mais n’en étant qu’à ses balbutiements, elle nécessite d’être surveillée, et son utilisation par une entreprise doit se faire en toute transparence. Deux règles que Crunchyroll a visiblement oubliées.
Pour une boulette, c’est une boulette... Image Crunchyroll.
C’est The Verge qui rapporte le malaise dans lequel le distributeur d’animés en ligne s’est mis, après la diffusion des derniers épisodes de Necronomico et de Cosmic Horror Show : les sous-titres contenaient de nombreuses erreurs dans de multiples langues, que ce soit anglais, allemand ou autres. Jusque là, le souci aurait pu passer pour des traducteurs un peu trop « tête en l’air », le fameux « stagiaire du dimanche ».
Mais quand le texte comprend en ouverture de l’allemand « ChatGPT said: », ou que la fin de l’épisode contient « Translated by: Translator’s name », le doute n’est plus permis.
Que l’industrie du divertissement s’intéresse de plus en plus à l’intelligence artificielle pour ce type d’usage paraît logique : non seulement l’IA peut être bien plus rapide qu’un traducteur en chair et en os, mais en plus... coûtera moins cher (il ne faut pas se faire d’illusions). Reste que dans ce cas, si l’usage d’une IA pour la traduction n’est pas mentionné, le minimum serait au moins de ne pas jurer ses grands dieux qu’on ne l’utilisera pas, comme l’a pourtant fait le patron de Crunchyroll en avril durant une interview donnée à Forbes, indiquant que l’entreprise « ne considère pas utiliser l’IA dans son processus créatif », et insistant sur le fait que l’intelligence artificielle pourrait être utilisée pour des recommandations, la personnalisation, mais en aucun cas sur le contenu lui-même.
Les entreprises sont en pleine découverte des possibilités offertes par les IA, et bien entendu, tentent de nouvelles approches pour minimiser les coûts, et maximiser les profits. Mais l’IA n’a pas bonne presse dans certains milieux, et celui de l’animé japonais est sûrement de ceux où elle est la plus détestée. Crunchyroll le sait pertinemment, a communiqué qu’elle ne sera pas utilisée pour les contenus et l’a fait par derrière, allant même jusqu’à l’économie d’une relecture humaine. Ce qu’on appelle se faire prendre la main dans le pot de confiture.
C'est un exploit d'ingénierie qui donne un peu le tournis. À Shanghai, un quartier historique de 7 500 tonnes a été déplacé par une armée de 432 robots. Une solution high-tech pour construire un immense complexe souterrain sans démolir le patrimoine.
Alors que les indices amenant à la vente à la découpe de SFR se font de plus en plus nombreux et insistants, l’opérateur amène une petite surprise, un petit bonus pour celui qui reprendra la partie réseau : une toute nouvelle box. Celle-ci n’a pas encore été présentée officiellement, mais le directeur Réseaux et Services de SFR, Olivier Tailfer, a « laissé fuiter » l’information dans un post sur LinkedIn.
Si peu de détails sont connus pour le moment, le visuel montre déjà une box qui a à quelque chose près le même format que celle de son concurrent Orange, avec un affichage qui semble tactile et reposer sur un écran e-ink, comme proposé depuis quelques générations chez l’agrume.
Le Wi-Fi devrait rejoindre la dernière norme en vigueur, en proposant du Wi-Fi 7, et le reste des caractéristiques ne devrait plus tarder à être connu : le visuel sur la photo annonce un « lancement imminent », et le directeur déclare noir sur blanc que le produit « sera lancé dans les prochains jours ».
Si le lancement d’une toute nouvelle box peut paraître étrange alors que l’opérateur doit être revendu, commercialement les choses peuvent s’entendre : la sortie d’une nouvelle box juste avant ou même pendant les négociations permettent de présenter le réseau sous son meilleur jour, faisant preuve d’innovations et ne se reposant pas, plutôt que de laisser l’idée d’une belle endormie n’attendant que d’être cueillie. Reste à savoir si le repreneur donnera sa chance à cette box, et pendant combien de temps, avant de faire passer les abonnés sur autre chose.
Après les rumeurs annonçant un positionnement plus bas pour le logo d'Apple sur l'iPhone 17 Pro, les accessoiristes s'adaptent visiblement à ce changement. Majin Bu partage aujourd'hui les photos de nouveaux anneaux de MagSafe avec quelques aimants en moins afin qu'ils ne se surperposent pas avec...
Après l'échec de son rachat par Adobe, la plateforme de design Figma a officiellement déposé hier son dossier pour entrer en Bourse. Une opération très attendue qui révèle la bonne santé financière de l'entreprise.
Nothing a officialisé hier son Phone (3), son premier "vrai" smartphone haut de gamme. Au programme, un design qui abandonne les bandes lumineuses pour une mini-matrice de LED, quatre capteurs photo de 50 Mpx, mais aussi un processeur qui n'est pas tout à fait "flagship".
Alors que les vacances approchent, certains pourraient avoir envie de s'échapper en latitude -en s'équipant toujours en conséquence. Si les instruments techs ne sont pas toujours en tête de liste, ce randonneur bloqué à près de 3 350 mètres d’altitude dans les montagnes du Colorado ne regrettera pas d'avoir eu son iPhone sur lui.
À peine deux ans après la première version, Marshall lance déjà la Middleton II. Cette nouvelle version de son enceinte portable de milieu de gamme promet une autonomie en nette hausse, un son amélioré et l'ajout d'un microphone.
Selon une étude de l’Insee publiée le 1er juillet, 10 % des entreprises françaises (de 10 salariés ou plus) utilisent l’intelligence artificielle en 2024, contre 6 % en 2023. Malgré cette hausse, la France reste bine en dessous de la moyenne européenne (13 %) et affiche d’importants écarts selon la taille et le secteur des entreprises. Mais est-ce une mauvaise ou une bonne chose pour elle ?
Kernel Panic, c’est le podcast long format de MacGeneration réservé aux abonnés du Club iGen. Deux fois par mois, nous approfondissons un sujet lié à Apple ou au monde de la tech.
La WWDC, c’était il y a quasiment un mois ! Les développeurs se sont jetés sur les bêtas des nouveaux systèmes, qui apportent principalement la nouvelle interface Liquid Glass. Celle-ci fait la part belle aux effets de lumière et de transparence. Son arrivée divise, certains y voyant un joli renouvellement là où d’autres reprochent un manque de lisibilité.
Ce n’est pas tout, car ces nouveaux systèmes apportent également un paquet de fonctions. Plusieurs apps ont été portées d’une plateforme à l’autre, comme Téléphone qui est désormais disponible sur iPad et sur Mac. iOS a de son côté gagné une app Aperçu. Le Vision pro n’a pas été oublié avec l’arrivée de nouveaux widgets restant ancrés dans le monde réel, tandis que le design de l’app Exercice de watchOS a été repensé.
Alors que la première bêta publique ne devrait plus tarder de pointer le bout de son nez, vous vous demandez sans doute ce que valent ces nouveaux systèmes. Cet épisode est l’occasion de tirer un premier bilan en compagnie de Florian et de Baptiste Dajon, développeur de l’app iOS Bandbreite travaillant pour la branche tech de Décathlon.
Nouveau scandale pour la compagnie aérienne australienne Qantas. Les données personnelles de 6 millions de clients ont été compromises suite à un piratage. Noms, emails et numéros de téléphone sont dans la nature, même si les données bancaires seraient toujours en sécurité.
Apple finira-t-elle par sortir un iPhone pliable ? Ou bien est-ce que le projet finir par sortir de la route comme l'Apple Car ? Il semble toutefois que la firme soit davantage dans son corps de métier et que les chaines de production nettement plus avancées qu'une hypothétique voiture.
Deux ans après son lancement, Meta ajoute une messagerie privée à sa plateforme Threads. Le groupe en profite pour introduire une nouvelle fonction de mise en avant baptisée Highlighter, axée sur les contenus engageants.
Polysoft a mis à jour le Studio Drive, son kit permettant d’augmenter la capacité de stockage du Mac Studio pour bien moins cher que ce qu’en demande Apple. Si la première version était réservée aux modèles M1 et M2, Gilles Aurejac proposera bientôt une déclinaison pour les plus récentes versions M3 Ultra et M4 Max. Le matériel est disponible sur la boutique de Polysoft. Les kits sont pour le moment indiqués comme en rupture de stock.
Studio Drive. Image MacGeneration.
Les prix ne changent quasiment pas par rapport aux versions précédentes : comptez donc 399 € pour 2 To, 799 € pour 4 To ou 1 049 € pour 8 To. Seule cette dernière déclinaison est 100 € plus chère que sur les modèles M1 et M2. Cela reste une affaire face aux tarifs pratiqués par Apple, qui demande 750 € pour 2 To ou 3 000 € pour 8 To. On notera que Polysoft a ajouté une option 16 To (2 499 €), exclusive aux machines M3.
Nous avions eu l’occasion d’essayer le Studio Drive en 2024 et multiplié par 16 (!) le stockage d’une de nos machines. La démarche nous avait pris une heure, et nous n’avons pas eu de problème depuis. Chaque achat est lié à une garantie de 5 ans, tandis que les outils et manuels imprimés sont inclus. Les précommandes ne sont pas encore ouvertes suite à des incidents de livraison sur certains lots précédents, mais le site affirme que tout sera rentré dans l’ordre d’ici le mois d’août. Tout étant géré par une petite équipe, il faudra faire preuve de patience.
L'Apple Store a rempli dernièrement ses rayons en écrans Apple Studio Display reconditionnés. Les réductions par rapport au neuf, assez peu en promo, voire tout simplement en stock, sont de quelques centaines d'euros. Les quatre variantes sont disponibles :
Studio Display, verre standard, support à inclinaison réglable à 1 489 € (-260 €)
Studio Display, verre nano-texturé, support à inclinaison réglable à 1 699 € (-300 €)
Studio Display, verre standard, support à inclinaison et hauteur réglables à 1 879 € (-330 €)
Studio Display, verre nano-texturé, support à inclinaison et hauteur réglables à 2 089 € (-370 €)
Verre standard et verre nanotexturé. Images MacGeneration.
Si le budget est disponible, on peut préférer les modèles avec le verre nano-texturé pour son action sur les reflets. Mais cela vaut d'abord pour ceux dont l'environnement de travail est surplombé de néons ou d'éclairages directs. De même, si c'est dans vos moyens, préférez le pied avec l'inclinaison et la hauteur réglables pour ajuster la dalle au plus près.
La vente de SFR et son partage entre ses concurrents ou des investisseurs est bien sur les rails mais le trajet reste sinueux. Depuis la mi-juin, Patrick Drahi a fait transmettre les informations financières de son opérateur aux parties intéressées relate BFM Business.
Image SFR
D'emblée, Orange est dans une situation différente de Bouygues et Free puisque sa place de leader sur le marché hexagonal l'empêche d'être trop gourmand. Pour les deux autres, il y a à boire et à manger chez SFR. Les abonnés SFR RED seraient ainsi moins courus que les clients fixe et mobile de SFR car moins rentables.
Ce parc de 20 millions d'abonnés mobile de SFR aiguise la convoitise de Bouygues et Free mais il y a un nœud dans l'affaire. Depuis 10 ans, SFR et Bouygues se partagent 15 000 antennes, explique BFM. Bouygues pourrait reprendre 50 % du capital du réseau pour un coût de 200 à 300 millions d'euros, cependant il exigerait en retour d'obtenir une plus grosse part des abonnés SFR.
Quant aux clients sur le fixe, ils sont 6,1 millions, et c'est Bouygues qui aurait la meilleure position pour en récupérer la plupart puisqu'il est derrière Orange et Free sur ce segment.
Le réseau de fibre optique est un autre entremêlement à dénouer. Free et Bouygues se le répartiraient par zones géographiques. Ou SFR ferait entrer un fonds d'investissement qui achèterait le lot entier ou ce fonds pourrait s'adosser aux offres des deux opérateurs.
La partie entreprise de SFR est également un fromage guetté par Free qui y verrait un moyen de faire croitre son activité professionnelle. Orange aussi serait intéressé par les abonnés mobiles pro afin de consolider sa première place dans le secteur.
Et puis il y a 300 boutiques appartenant à SFR et leurs 2 000 salariés en plus de 300 autres magasins en franchise. Les trois concurrents seraient partants pour se répartir les parts de cet autre gâteau, sachant qu'il y aura inévitablement des doublons avec des magasins voisins.
Les patrons de chacun des opérateurs ne se sont pas encore rencontrés, ajoute BFM, les négociations sont menées pour le moment par leurs proches lieutenants assistés des banques d'affaire et avocats.
Après les écouteurs, Nothing s’attaque au domaine des casques audio et vient de présenter le Headphone (1). Ce modèle se démarque par son design original doté d’éléments transparents caractéristiques de la marque. Créé en collaboration avec KEF, on nous promet donc un son « riche et naturel » avec des basses profondes, des médiums détaillés et des aigus nets.
Images Nothing
Ce gros casque de 329g mélangeant plastique et aluminium a l’avantage d’être un peu plus léger que les AirPods Max (387g). Il fait l’impasse sur les commandes tactiles pour mettre l’accent sur les boutons physiques, présentés comme plus fiables et plus précis. On y retrouve du classique, mais aussi une touche personnalisable via l’app sur laquelle on pourra configurer différentes actions (désactiver les micros, activer l’audio spatial…).
Le Headphone (1) est un casque audio sans-fil prenant en charge la lecture Lossless en USB-C ainsi que la norme Hi-Res Audio et le codec LDAC. L’annulation du bruit est évidemment au rendez-vous, tout comme la spatialisation du son et le suivi de la tête. Nothing vante également une bonne qualité d’appels grâce aux 4 micros dédiés et un algorithme adapté même aux environnements les plus bruyants.
Un coloris noir est aussi proposé. Image Nothing
Le fabricant affirme avoir mis le paquet sur l’autonomie, avec un casque tenant 35 heures avec l’ANC ou 80 sans. Une charge rapide de 5 minutes permet de récupérer plus de 2 heures de batterie. Deux coloris sont disponibles pour un tarif de 299 €. Les précommandes ouvriront le 4 juillet sur le site de Nothing et chez certains revendeurs. L’accessoire sera ensuite lancé officiellement le 15 juillet.
Le développement du premier iPhone doté d'un écran pliant avance à bon rythme, affirme DigiTimes : Apple aurait débuté sa première phase de prototypage appelée P1 en juin. Ensuite auront lieu les étapes P2 et P3, chacune durant environ deux mois, et l'appareil serait ainsi dans les temps...
Orange lance un forfait pour les moins de 18 ans assorti de fonctions de filtrage et de blocage de contenus indésirables ou menaçants. L'offre SaferPhone consiste d'abord en un forfait bloqué, sans engagement, de 5 Go avec les SMS et MMS illimités. Cette formule est vendue 9,99 € par mois (ou 5,99 € lorsqu'un parent est déjà abonné à l'internet fixe chez Orange). En ajoutant 4 € par mois on grimpe à 35 Go.
Cela fait (très) cher le giga-octet — pour 10 €, Sosh et ses concurrents proposent des formules avec 200 Go — mais l'opérateur se rattrape par des fonctions de contrôle parental proposées, sans frais immédiats, dans un Pack Protection Enfant :
gestion du temps d'écran par jour et par plage horaire (ce sera actif fin 2025, ndlr), coupure complète de l'internet en Wi-Fi et en 4G/5G à la demande, blocage des contenus inappropriés, géolocalisation en temps réel ;
filtrage des appels de spam et démarchage ;
abonnement d'un an au service SafeBear qui analyse les contenus échangés par l'enfant (à hauteur de 3 000 envoyés et reçus par mois) sur Instagram, X, Snapchat et TikTok (les autres sont promis à une date indéterminée). Le système avertit les parents en cas de détection de propos assimilables à du harcèlement. Au bout d'un an il faudra choisir l'une des formules payantes de SaferBear pour continuer de profiter de son service.
Image SaferBear.
Pour faire fonctionner cet ensemble de services et de logiciels, Orange rembourse 50 € sur 6 modèles de smartphones lorsqu'on n'est pas déjà équipé. Il y a 3 appareils Android qui coûteront, déduction faite de la remise, de 59 à 149 €. Et trois iPhone dont le 16e qui revient à 599 €. Mais au vu de son tarif élevé, l'opérateur a glissé deux iPhone SE et 12 reconditionnés, vendus 169 et 299 €.
Le marché automobile français continue de s'enfoncer, avec une nouvelle chute de 6,7% des ventes en juin. Dans ce contexte difficile, les grands perdants sont le groupe Stellantis et Tesla (malgré un sursaut du Model Y), alors que Dacia et les marques chinoises tirent leur épingle du jeu.
Généralement tester une bêta est toujours aventureux. Non contents d'essuyer les plâtres, d'être en panne de batterie à tout moment ou de risquer de perdre un appareil en cours de route, il y a aussi les bugs, les connus, les discrets, ceux qui viennent pourrir votre quotidien. Voici ce qui m'est arrivée avec la première beta d'iOS 26 et ma... voiture !
Le verdict est tombé dans l'affaire de harcèlement chez Ubisoft. Trois anciens hauts cadres, dont l'ex-numéro 2 Serge Hascoët, ont été condamnés aujourd'hui à des peines de prison avec sursis. Une décision de justice majeure dans le #MeToo du jeu vidéo français.
Une enquête du média allemand Der Spiegel, basée sur un lanceur d'alerte, révèle les plans de Clothoff. Loin d'être effrayée par les procès, l'application de deepfake porno rachète ses concurrents et prépare des campagnes marketing agressives.
Alors qu’Apple accélère sa diversification industrielle en Inde, son partenaire Foxconn vient de rappeler -très discrètement- plusieurs centaines d’ingénieurs chinois, fragilisant la montée en puissance des lignes d’assemblage d’iPhone. Ce retrait, motivé en partie par des tensions géopolitiques, interroge la capacité du pays à maintenir les standards de production imposés par Cupertino.
La Switch 2 se porte bien, merci pour elle. Nintendo a récemment tenu sa grande rencontre annuelle avec les investisseurs, pendant laquelle le président Shuntaro Furukawa a rappelé s’être excusé de ne pas pouvoir produire suffisamment de consoles pour tout le monde. « Actuellement, dans de nombreux pays, la demande de Switch 2 est supérieure à l'offre et nous ne sommes pas en mesure de la satisfaire », a-t-il déclaré avant de reconnaître que quelques actionnaires n’avaient pas encore pu mettre la main sur la machine. Un indice de plus (s’il en fallait) que la console cartonne.
La présentation de la Switch 2 avait pourtant été mouvementée. Beaucoup de joueurs ont été surpris par le prix de la machine (470 €) tandis que d’autres ont regretté un catalogue de lancement assez faiblard principalement constitué de Mario Kart World et d’une poignée de portages. Cependant, les grognons ne sont guère nombreux face aux fans de la marque : Nintendo a enregistré 2,2 millions de précommandes au Japon, puis annoncé 3,5 millions de ventes à travers le monde en l'espace de 4 jours. Les chaînes de production peinent à suivre, ce qui a forcé Shuntaro Furukawa à s’excuser une nouvelle fois :
En tant qu'entreprise, nous nous efforçons d'améliorer notre système de production afin de livrer le plus grand nombre d'unités possible. Nous nous excusons pour les désagréments causés par cette demande initiale, qui a largement dépassé nos attentes.
Bien qu’elle soit sortie il y a quasiment un mois, la console est toujours difficile à trouver sur certains marchés, comme aux États-Unis ou au Japon. Sur l’archipel, les revendeurs et Nintendo sont obligés d’organiser des loteries pour répondre à la demande. Ce problème ne concerne heureusement pas la France, où les revendeurs ont plutôt cherché à casser les prix sur les jeux pour attirer le chaland. La console seule est toujours en stock à la Fnac sans délai particulier, tandis que le pack avec Mario Kart World peut être livré sous une semaine par Amazon.
Apple a lancé le MacBook Air M4 en mars 2025, un an après le MacBook Air M3. Les premiers Macs équipés de la puce M5 sont attendus pour la fin de cette année 2025, mais Apple devrait comme l'année dernière donner la priorité au MacBook Pro et le MacBook Air devrait attendre le printemps 2026...
La trêve est plus que terminée. Donald Trump et Elon Musk se déchirent de nouveau au sujet d'une loi républicaine. Le conflit a atteint un nouveau sommet, le président menaçant d'utiliser le DOGE, l'agence créée par Musk, contre lui et évoquant même son expulsion.
Liés à iOS 26, les AirPods disposent d’une nouvelle fonctionnalité pratique si vous avez l’habitude d’écouter de la musique ou un podcast dans le lit. Une option (désactivée par défaut) permet de mettre automatiquement en pause la lecture quand les écouteurs détectent que vous vous êtes endormis.
Apple ne précise pas comment cette fonctionnalité opère, mais il y a tout lieu de penser qu’elle se base sur l’accéléromètre compris dans les écouteurs, voire le capteur de détection de la peau. En tout cas, plus besoin de configurer le minuteur d’iOS ou de votre application audio pour que la lecture s’arrête toute seule quand vous êtes dans les bras de Morphée.
La nouvelle option pour. Image WatchGeneration.
Pour l’instant, cette nouveauté est réservée au firmware en bêta distribué en parallèle d’iOS 26. Elle est présente sur les AirPods Pro 2 et les AirPods 4, qui ont en commun la puce H2. On ne sait pas encore si elle sera disponible sur des modèles plus anciens équipés de la puce H1. D’après du code déniché par MacRumors, cette mise en pause automatique sera aussi proposée sur des écouteurs Beats (seuls les Powerbeats Pro 2 ont une puce H2).
La mise à jour sera disponible pour tous à la rentrée, au moment du lancement officiel d’iOS 26.
Après la tempête Trump qui semble en stand-by, les ventes d'ordinateurs redémarrent aux États-Unis. Cette dernière va sans impulser les autres marchés, mais la dynamique reste déséquilibrée entre secteur professionnel et grand public.
La Freebox Revolution ne veut pas mourir. Lancée en 2010, la box de Free dans son édition Light fait l’objet d’une offre intéressante pour tous ceux qui sont intéressés par une connexion à Internet via la fibre optique sans se ruiner.
Cette promotion réservée aux nouveaux clients permet d’avoir jusqu’à 1 Gbit/s en téléchargement et 900 Mbit/s en téléversement pour 19,99 € par mois. Il s’agit d’une offre sans engagement. Notez cependant que l’offre passe à 29,99 € par mois au bout d’un an. Pour ceux qui l’avaient oublié, cette box, dessinée par Starck, intègre un lecteur Blu-Ray et un disque de 250 Go de stockage. Elle comprend également l’app TV OQEE de Free.
L’un des défauts de cette offre est sans doute le Wi-Fi. La box accuse son âge et n’offre pas de Wi-Fi 6. Notez toutefois que l’on trouve en ce moment même des routeurs Wi-Fi à très bon prix.
Si Free lance cette offre, c’est sans doute lié au fait que les promotions sur l’internet fixe sont assez nombreuses. SFR Red propose également une offre à 19,99 € par mois, mais sans décodeur télévision. Les débits proposés sont proches (1 Gbit/s dans les deux sens) et là aussi, on peut également regretter l’absence de Wi-Fi 6.
Mais à la fin des fins, l’offre la plus intéressante, c’est peut-être bien celle de Bouygues Telecom. Vous pouvez obtenir pour 23,99 € par mois son offre Pure Fibre qui propose jusqu’à 8 Gbit/s de débit dans le sens des téléchargements et un routeur Wi-Fi 7. Il ne reste plus qu’à financer éventuellement une Apple TV pour pallier l’absence d’un module pour la télévision.
Et si les nouveautés Apple de la rentrée étaient accompagnées par une baisse de prix ? Cela parait contre-intuitif tant il a été question de guerre commerciale au mois de mars, mais ce scénario n’est pas à exclure. En effet, la politique de Donald Trump a eu pour conséquence d’affaiblir le dollar ces derniers mois.
En début d’année, un euro s’échangeait environ 1,03 $. À l’heure où nous écrivons ces lignes, le billet vert s’échange désormais à 1,18 $. Autrement dit, l’euro s’est apprécié de plus de 13 % en l’espace de quelques mois. Or, si le bitcoin peut connaître une hausse de cette ampleur en une seule journée, dans le domaine des devises, une telle évolution dans un tel laps de temps est tout sauf anecdotique.
Bien qu’il soit toujours très difficile d’anticiper les évolutions à venir du marché des changes, les observateurs estiment qu’il est assez probable que l’euro dépasse la barre des 1,2 $ prochainement. Certains estiment même que ce n’est qu’une étape et que le phénomène est appelé à se prolonger dans les mois à venir.
Apple a pour habitude de suivre d’assez près l’évolution des taux de change, surtout quand ils évoluent en sa défaveur. Quoi qu’il en soit, la firme de Cupertino fait régulièrement évoluer la tarification de l’App Store en cas de fluctuation importante. D’autre part, elle tend à ajuster ses tarifs lorsqu’elle commercialise de nouveaux produits.
Autrement dit, si la tendance persiste, on pourrait observer des baisses de prix à la rentrée lors de la présentation de la nouvelle gamme d’iPhone. Il y a cependant deux facteurs qui pourraient annihiler ce mouvement de fond chez Apple.
À l’été dernier, sans doute au moment où sont fixés les prix chez Apple, l’euro s’échangeait dans une fourchette oscillant entre 1,08 $ et 1,12 $. D’autre part, toujours dans ce contexte incertain de guerre commerciale, Apple pourrait être tentée d’accroitre ses marges dans le Vieux Continent en ne faisant que peu évoluer ses prix, de manière à financer en partie la hausse des droits de douane aux États-Unis.
Nothing a dévoilé un casque mais aussi et surtout le Phone (3) un modèle voulu plus haut de gamme que le Phone (2) lancé il y a deux ans mais qui conserve l'esthétique singulière de la marque britannique. Avec deux versions prévues à 849 et 949 € (256 et 512 Go) le Phone (3) se positionne clairement dans le haut de gamme.
Phone (3). Image Nothing.
Pour autant, là où Apple et Samsung, ses plus proches rivaux sur le papier, s'inscrivent dans une relative prudence en termes de design, Nothing joue clairement une autre partition pour se démarquer. Avec toujours ce recours à un look d'allure industriel, conçu en collaboration avec l'équipe suédoise de Teenage Engineering dont les produits ont eux-mêmes une forte personnalité.
Le Phone (3) est un grand téléphone de 6,67" (un poil en dessous d'un iPhone 16 Plus avec ses 6,7"), d'une grosse batterie de 5 150 mAh (4 685 mAh pour celle de l'iPhone 16 Pro Max) et d'un processeur Snapdragon 8s Gen 4 qui n'est pas le plus puissant du moment, mais il est sorti en avril et il met l'accent sur les tâches d'IA.
Image Nothing.
Les produits de Nothing se reconnaissent maintenant aisément, la marque s'est trouvé un style et elle s'y tient, ce modèle n'en dévie pas. Puisque tous les téléphones sont inévitablement assez identiques sur leur face avant, c'est la partie arrière qui devient le terrain d'expérimentations. Le dessin du Phone (3) suit le principe d'une division en 3 colonnes verticales dont la géométrie des lignes a été pensée pour s'inscrire dans le prolongement de celles du Phone (2) (voir l'explication des designers dans la vidéo ci-après). Plutôt qu'une face lisse sans motifs, l'arrière du Phone (3) semble tiré d'un dessin industriel que l'on n'aurait pas achevé pour laisser deviner les grandes masses internes.
Phone (2) et Phone (3). Image Nothing.
Aux trois objectifs photographiques, répond un nouvel arrivant, le Glyph Matrix. C'est un écran rond, micro-LED, associé à un bouton placé en dessous. Cet écran peut afficher un grand nombre de choses avec un style très typé fait de petits carrés : l'heure, des indicateurs de progression, la batterie, mais aussi une représentation très pixelisée de l'utilisateur qui voudra faire un selfie avec l'appareil photo arrière.
Le Glyph Matrix en haut à droite. Image Nothing.
Ce petit écran peut aussi générer des animations correspondant à un contact lors d'un appel. Et puisque les téléphones sont souvent sur vibreur, il a été conçu un moteur audio qui génère des séquences de sons très électroniques en fonction du nom de l'appelant. Les utilisateurs pourront par ailleurs créer des choses pour cet écran qui sert aussi à s'amuser. Par exemple avec un Pierre-feuille-ciseaux ou le jeu de la bouteille : elle tourne et c'est celui en face de qui elle s'arrête qui paye l'addition.
Le dos de ce téléphone est aussi pourvu d'un petit indicateur rouge qui peut s'allumer lorsqu'une vidéo est en cours d'enregistrement. Autre idée, après avoir posé le Phone (3) face contre table, un appui long sur l'Essential Key (l'équivalent du bouton Action) va automatiquement lancer la fonction dictaphone avec l'enregistrement de la conversation.
Image Nothing.
On aime ou on n’aime pas l'allure de ce téléphone, mais Nothing a le mérite de tenter quelque chose, et de s'y tenir, dans un domaine où les smartphones, en dépit de leurs différences, sont à peu près tous empreints d'un certain conservatisme dans leurs lignes.
Le Phone (3) sera en vente chez Amazon ou à la Fnac le 15 juillet, mais les précommandes débuteront le 4.
Une fuite massive a révélé les prochaines lunettes connectées de Meta. Baptisées Celeste, elles embarqueraient pour la première fois un écran et seraient contrôlées par un bracelet capable de lire vos gestes. Le futur de la RA selon Meta se précise.
L’offre de crédit à 0 % se poursuit sur l’Apple Store. Apple n’a donné aucune date de fin pour cette opération lancée au début de l’année, mais son partenaire en mentionne une sur son propre site. Cetelem avait indiqué au départ que l’offre devait se terminer le 31 mars, puis le 30 juin. Voilà maintenant l’échéance repoussée au 20 août.
Ce crédit à 0 % permet d’étaler sans frais le paiement d’un iPhone, d’un Mac, d’un iPad, d’une Apple Watch, d’un Vision Pro ou d’un accessoire sur 24 mois maximum. L’offre est soumise à l’examen du dossier, de la situation financière et de l’historique d’emprunt de l’acheteur. Les intérêts habituels sont en fait pris en charge par Apple, qui mise sur de bonnes ventes pour absorber le coût de la promotion.
Attention, Cetelem propose aussi un crédit plus long soumis à des frais de 14,01 %. Il ne faut pas se tromper d’offre. L’établissement compte sur cette opération pour attirer de nouveaux consommateurs.
Produit
Durée
Taux débiteur
iPhone
12 mois
0 %
24 mois
0 %
iPad Air, iPad, iPad mini
4 mois
0 %
12 mois
0 %
36 mois
14,01 %
iPad Pro
4 mois
0 %
20 mois
0 %
36 mois
14,01 %
Apple Watch
4 mois
0 %
12 mois
0 %
24 mois
14,01 %
Apple Vision Pro
4 mois
0 %
24 mois
0 %
36 mois
14,01 %
Accessoires
4 mois
0 %
MacBook Pro, Mac Studio
4 mois
0 %
24 mois
0 %
36 mois
14,01 %
MacBook Air, Mac mini, iMac
4 mois
0 %
18 mois
0 %
36 mois
14,01 %
« Une fois que [les clients] ont téléchargé notre application sur leur téléphone, il est ensuite possible de leur proposer d'autres produits comme des prêts personnels, des prêts à la rénovation énergétique, etc. », explique Franck Vignard, directeur général de BNP Paribas Personal Finance, la maison mère de Cetelem, aux Échos. Dans ce groupe, le montant moyen d'un crédit à la consommation pour un smartphone est de 700 € environ, contre 1 200 € pour un iPhone. On comprend l’appétit des organismes de crédit pour les clients d’Apple.
Si vous êtes étudiant, patientez un peu : l’offre Back to School devrait bientôt démarrer en France. Autrement, il y a de nombreuses bonnes affaires sur les Mac et les iPhone chez les revendeurs à l’occasion des soldes.
La plateforme de streaming d’Apple et sa branche cinéma misent gros sur leurs stars les plus bankables. Au programme : une nouvelle série choc avec Jennifer Aniston et une potentielle réunion explosive entre Brad Pitt et Tom Cruise sur circuit.