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Le PDG de Qualcomm est clair : dès 2027, il n'y aura plus de modem Qualcomm dans les iPhone
Dans un entretien, le PDG de Qualcomm — Cristiano Amon — s'explique sur les dépendances qui existent encore entre Qualcomm et Apple. En effet, Apple emploie historiquement des modems Qualcomm et la société américaine équipe la majorité des iPhone depuis les iPhone 121. L'arrivée du modem Apple C1 en 2025 avec l'iPhone 16e a évidemment changé les choses, même si le modem Apple se limite à un modèle « d'entrée de gamme » actuellement.
Il explique à Yahoo Finance dans un podcast que Qualcomm espère se retrouver dans environ 70 % des iPhone qui seront lancés cette année — donc probablement les modèles 17 et 17 Pro, mais pas l'iPhone 17 Air2 — et dans 20 % des iPhone de 2026. Il indique ensuite qu'il considère pour le moment que les iPhone de 2027 ne posséderont probablement plus de modems Qualcomm. Il est par ailleurs assez lucide et clair sur ce changement : le contrat entre Apple et Qualcomm a un début et une fin, et elle est prévue pour 2027.

Si le discours se veut rassurant, il faut tout de même prendre en compte une chose : Apple est un gros client pour Qualcomm. Le chiffre d'affaires estimé de la marque pour 2025 est de 43,5 milliards de dollars (en hausse par rapport à 2023 et 2024) et Apple serait à l'origine de 5,7 à 5,9 milliards de dollars selon les analystes, soit 7 à 8 % pour 2025. Pour Qualcomm, ce n'est donc pas anodin, mais son PDG indique que les ventes augmentent et que le marché chinois reste en expansion. Dans le monde Android, Qualcomm demeure un acteur majeur, que ce soit dans le domaine du haut de gamme avec ses Snapdragon 8 ou dans les gammes inférieures. La marque, historiquement spécialisée dans les modems cellulaires, garde par ailleurs un avantage par rapport aux autres fabricants de systèmes sur puce : les puces Snapdragon intègrent dans certains cas3 le modem directement dans le système sur puce, alors que les autres (Apple compris) travaillent avec une puce séparée, ce qui augmente le coût et la complexité de la carte mère.
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Wacom aligne trois Cintiq avec de plus grands écrans et du multitouch
De nouvelles Cintiq entre au catalogue de Wacom avec parmi elles un modèle à écran multitouch. Cette gamme n'est pas à confondre avec la famille Pro qui, de par son qualificatif, propose des diagonales et résolutions supérieures et des tarifs qui le sont tout autant.

Les Cintiq "tout court" s'adressent aux graphistes qui veulent un écran sur leur tablette, mais avec un budget moins conséquent. Le fabricant japonais lance trois modèles, les Cintiq 16, Cintiq 24 et la 24 Touch avec des écrans qui grimpent maintenant à 2,5K au lieu du 1080p. Leurs résolutions s'échelonnent entre 2 560 x 1 600 pour la première et 2 560 x 1 440 pour les deux autres.


Pour comparaison, la gamme Pro est sur du 4K (3 840 x 2 160 pixels) et propose en sus un taux de rafraîchissement de 120 Hz contre 60 Hz sur les Cintiq d'entrée de gamme. Le nouveau modèle 24 Touch porte sa spécificité dans son nom puisqu'il vise les dessinateurs qui ont besoin de rapidement zoomer ou pivoter leur espace de travail d'une main tout en dessinant de l'autre.

Wacom a doté les nouvelles venues du même stylet Pro Pen 3 que les autres et aminci les châssis. La 24" est donnée comme quasiment deux fois plus mince (21 mm) que la précédente Cintiq 22. La 16" est munie de pieds pliables intégrés pour régler son inclinaison à 20° alors que les 24" ont un socle autorisant des angles de 16 à 69°.

La boutique de Wacom indique des tarifs de 790 € pour le modèle de 16", 1 400 € pour le 24" et 1 680 € pour le 24" avec l'écran mutitouch. Les livraisons interviendront dans le courant de l'été.
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La fibre Sosh passe à 2 Gb/s et au Wi-Fi 7 pour 25 €/mois
Orange tente visiblement de concurrencer les offres à bas coût de Bouygues Telecom et Free avec une nouvelle version de la Boîte Sosh. Pour 25 €/mois, Sosh propose maintenant 2 Gb/s en réception et toujours 800 Mb/s en émission (1 Gb/s en réception précédemment). L'ancienne Livebox 5, elle, laisse la place à la Livebox S. Par rapport à l'offre précédente, le prix augmente la première année — il était de 20 €/mois — mais diminue la seconde année, en passant de 26 à 25 €.

La Livebox S est un modèle d'entrée de gamme qui se limite à 1 Gb/s pour l'Ethernet et qui propose du Wi-Fi 7 sur deux bandes uniquement (pas de bande des 6 GHz). C'est donc mieux que la Livebox 5… mais moins que bien la Bbox Ultym ou la Freebox Pop, livrées avec les offres des concurrents. L'offre de Sosh, comme les autres, fait l'impasse sur la télévision et est sans engagement, mais elle comprend tout de même la téléphonie illimitée.

La Freebox Pop S passe à 24 €/mois et gardera ce prix pendant 5 ans

Bouygues Telecom améliore encore son offre B&You Pure fibre, laissant la concurrence loin derrière
Les offres de Bouygues Telecom et Free sont donc plus intéressantes tant sur le prix (légèrement plus faible) que sur les fonctions disponibles, Bouygues Telecom propose 8 Gb/s, Free 5 Gb/s. Mais si vous préférez passer par l'opérateur historique pour une raison x ou y, la boîte Sosh reste une offre intéressante compte tenu de son prix.
L'iPad 10 de retour à 289€, son prix le plus bas !
La fermeture de Pornhub en France fait les affaires des fournisseurs de VPN
Depuis hier après-midi, trois gros sites pornographiques dont le célèbre Pornhub ne sont plus accessibles pour les internautes français. Ce n’est pas une décision de justice qui a forcé ces sites à disparaître de notre réseau national, c’est le groupe Aylo qui gère ces sites qui a décidé de mettre en œuvre sa menace d’auto-censure, en opposition à une législation française qui l’impose de contrôler l’âge de ses visiteurs. Comme nous le relevions hier, un simple VPN suffit toutefois à contourner le blocage, puisqu’il se base uniquement sur le pays associé à l’adresse IP utilisée pour la connexion.
L’information n’est pas passée inaperçue et les habitués français des trois sites n’ont pas hésité à activer un VPN, sans doute pour la première fois pour une partie d’entre eux. Cette fermeture a ainsi fait les affaires de plusieurs services, dont ProtonVPN qui s’est réjoui sur X d’une hausse de « 1000 % » de ses abonnements dans la demi-heure qui a suivi la mise en œuvre du blocage. On ne sait pas ce que cela veut dire dans l’absolu, mais ce service n’est pas le seul à se féliciter de la manœuvre.
5PM - PornHub blocks France from accessing its website
— Proton VPN (@ProtonVPN) June 4, 2025
5.30PM - @ProtonVPN registrations increase by 1,000%
For context, this is more than when TikTok blocked Americans. pic.twitter.com/gVZynD5hPS
Contactés par nos soins, Opera n’a pas souhaité communiquer sur le sujet, mais NordVPN nous a ainsi indiqué :
Après la décision d’Aylo de bloquer l’accès à tous ses sites pour adultes, tels que Pornhub, YouPorn et RedTube, aux utilisateurs français, NordVPN a constaté une augmentation de l'utilisation de 170 % depuis hier dans le pays . Étant donné que NordVPN ne peut pas être acheté par des mineurs sans carte bancaire et donc, sans l’autorisation des parents, cette hausse des transactions provient de citoyens français adultes. À titre de comparaison, nous observons des pics similaires partout où les libertés numériques sont menacées ou où du contenu est censuré.
Un porte-parole de Proton nous a apporté quelques précisions supplémentaires par rapport au message publié sur les réseaux sociaux, avec notamment sur sa position concernant la législation française :
Nous avons développé Proton VPN pour aider les populations vivant dans des pays autoritaires à lutter contre la censure en ligne. Une passerelle d'accès aux sites pornographiques n'était évidemment pas ce que nous avions en tête, mais un VPN peut en effet être utilisé de cette manière et les inscriptions en France ont temporairement été multipliées par 10.
Nous ne pensons pas que la vérification de l'âge soit la meilleure solution pour restreindre l'accès des enfants aux contenus illicites. La vérification de l'âge n'existe pas uniquement pour les enfants, mais pour tous. Or, le fait que des sites pornographiques offshore ou tout autre tiers collectent les identités personnelles et deviennent des sources potentielles de chantage ou de hack comporte des risques. Une approche plus judicieuse sur le plan technique consisterait à implémenter des contrôles de contenu directement sur les appareils que les parents choisissent de donner à leurs enfants.
Demander aux créateurs d’appareils, à savoir principalement Apple, Google et Microsoft, d’effectuer cette vérification de l’âge pour tous les sites web n’est pas une idée nouvelle. Elle a même été adoptée dans certaines législations, au grand dam d’Apple d’ailleurs qui a tout fait pour l’éviter.

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La France a opté pour une autre voie, en forçant chaque site web qui propose du contenu pour les adultes de vérifier l’âge de ses visiteurs. Dans un communiqué de presse publié hier en fin de journée, la ministre déléguée chargée de l'Intelligence artificielle et du Numérique Claire Chappaz a répondu aux critiques du groupe Aylo en notant en particulier que d’autres sites proposaient bien cette vérification, grâce à des « dizaines de solutions éprouvées, robustes et simples pour l’usager ». Et de conclure :
Ils ont choisi : fuir plutôt que protéger les mineurs. Refuser un contrôle de l’âge, c’est refuser l’évidence. Laisser des enfants exposés à des contenus pornographiques, c’est inacceptable. Moi, je ne plierai pas. La loi est claire, la République tient bon. Aujourd’hui, Pornhub et YouPorn préfèrent se déconnecter plutôt que d’assumer leurs responsabilités. Qu’ils partent. Ils reviendront le jour où ils seront enfin prêts à respecter nos règles. En attendant, je leur dis très clairement : bon vent.
Le FAI associatif MilkyWan qui fournit ma connexion à internet a trouvé une parade originale. En redirigeant les connexions vers Pornhub à travers un serveur situé aux Pays-Bas, il permet à ses abonnés d’accéder normalement au service, ce que j’ai pu confirmer de mon côté, en professionnel perfectionniste que je suis. Si cette solution, équivalente à un VPN configuré par l’opérateur, fonctionne parfaitement sur le plan technique, c’est avant tout un bricolage symbolique et non pas une véritable option sur le long terme.

Pour le moment, MilkyWan ne contourne pas la législation française, uniquement le blocage mis en place par un acteur privé. Si Aylo ne respecte pas la loi l’Arcom pourra sanctionner l’entreprise et faire bloquer ses sites dans le pays dès demain, 6 juin 2025. Un VPN devrait toujours permettre de passer outre ces mesures techniques, même si le géant du porno finira peut-être par céder face aux demandes de la France, qui est un gros marché pour ses sites.
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Apple préparerait du MagSafe à 45 W pour les iPhone 17
La première version du MagSafe pour les iPhone, sortie en même temps que l'iPhone 12, permet une puissance de 15 W pour la charge. La seconde variante, sortie en même temps que les iPhone 16 à l'automne 2024, peut atteindre 25 W. Pour la sortie des iPhone 17, Apple préparerait encore un nouveau bond en avant : une version capable de monter à 45 W.

91mobiles a trouvé des images d'un chargeur MagSafe de nouvelle génération, qui a été certifié par la NCC à Taiwan. Le bloc MagSafe A3502 (avec un câble de 1 mètre) et le A3503 (2 mètres) ressemblent aux versions précédentes (A2140, A2580) mais la puissance théorique est plus élevée. Dans les faits, la norme Qi 2.2 employée ici permet une puissance maximale de 50 W, mais les adaptateurs Apple montrées en photo ne peuvent atteindre que 45 W (15 V, 3 A). Et compte tenu de la perte liée aux technologies par induction, le résultat pratique sera probablement plus faible.


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MacG.co
- Cellebrite, qui perce le contenu des iPhone, s'est payé Corellium, qui virtualise les iPhone
Cellebrite, qui perce le contenu des iPhone, s'est payé Corellium, qui virtualise les iPhone
Cellebrite, le spécialiste des outils d'investigation de smartphones et de PC utilisés par des forces de l'ordre, s'est offert Corellium un spécialiste de la virtualisation d'iPhone. Deux entreprises dont les compétences se complètent et qui ont signé un achat à 170 millions de dollars, essentiellement en cash, plus 30 millions de bonus en fonction d'objectifs à atteindre.

Cellebrite, fondé en Israël, conçoit des appareils capables de pénétrer à l'intérieur de smartphones ou de PC (dans la mesure où les failles exploitées existent toujours) et d'en extraire les données. Ses clients type appartiennent aux forces de l'ordre qui ont parfois besoin d'obtenir des informations du téléphone d'un suspect ou d'une victime.
Corellium, depuis la Floride, s'est fait un nom en permettant de virtualiser iOS et un iPhone à distance depuis un navigateur web. Un chercheur en sécurité peut ainsi mener ses travaux et tester rapidement plusieurs pistes sans avoir à manipuler le terminal ou même en disposer. Apple avait voulu acheter Corellium en 2018 lorsqu'elle s'était lancée sur le marché. À défaut, la Pomme avait trainé Corellium en justice mais celle-ci a estimé au bout de quatre ans que la startup faisait un usage légitime d'iOS.

Cette capacité de virtualisation va trouver un nouvel écho auprès des clients traditionnels de Cellebrite avec un logiciel encore en bêta baptisé Mirror. Il permettra aux enquêteurs de produire devant un tribunal une copie virtuelle et fonctionnelle d'un téléphone et de montrer de façon plus explicite les données qu'il peut contenir. Au lieu de ne proposer aux juges et aux jurés que des copies d'écran d'outils d'investigation.
Corellium avait été fondé par un australien, Chris Wade, au parcours atypique. Très futé en bricolage informatique il était tombé à 21 ans dans un piège tendu par le Secret Service américain. L'un de ses agents s'était passer pour un client intéressé par un système d'envoi de spam mis au point par le jeune homme.
Wade avait reconnu les faits mais au vu de ses compétences, celles-ci furent utilisées secrètement par le FBI et d'autres agences. À l'issue de cette collaboration, Wade bénéficia d'une grâce présidentielle lors du premier mandat de Donald Trump. Avec l'acquisition de sa société, Chris Wade devient directeur technique de Cellebrite.
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Les iPhone 16e reçus en France peuvent aussi provenir d'Inde
Les iPhone 16e produits en Inde ne sont manifestement pas tous destinés au marché américain. L'un de nos lecteurs, en France, a réceptionné deux iPhone 16e de 128 Go commandés à 15 jours d'intervalle. Le premier arrivé est marqué comme ayant été assemblé en Chine, ainsi qu'on peut s'y attendre. Tandis que son jumeau a déboulé depuis l'Inde, la seconde terre d'asile des fabricants du téléphone d'Apple.

L'Inde est revenue en force ces dernières semaines dans l'actualité de la logistique d'Apple et de ses fournisseurs après la décision de Donald Trump d'appliquer des droits de douane à géométrie variable à travers le monde. L'Inde n'a pas été épargnée, mais dans une bien moindre mesure (27 % de hausse) que la Chine qui a plafonné un temps à 145 % d'augmentation.
Apple aurait ainsi pris la décision de faire fabriquer en Inde 100 % des iPhone qu'elle destine aux États-Unis — son plus gros marché. Il semble qu'il y ait du rab' pour d'autres marchés dont l'Europe.
Cette diversification ne date pas des coups de sang de Trump — installer des usines, former du personnel et toute la logistique autour demande du temps — mais les crises d'autorité du président américain l'ont obligée à accélérer le mouvement.

Coups bas et mauvaises manières entre l'Inde et la Chine pour la fabrication des iPhone
Cette décision de déporter vers l'Inde une part de sa production chinoise a toutefois eu le don d'agacer Donald Trump qui ne cesse de réclamer que les iPhone soient assemblés sur le sol américain. Comme on claque des doigts.

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Le pont Philips Hue améliore sa sécurité… ce qui peut bloquer certains outils
La dernière mise à jour du pont Philips Hue, qui permet de contrôler les lampes et accessoires de la marque, améliore la sécurité. Un des changements concerne les certificats employés pour le chiffrement des transmissions entre le pont Hue et les services dans le cloud ou les accessoires, comme les caméras : Signify (la société derrière la gamme Philips Hue) abandonne les certificats auto-signés.

Tentons de faire simple1 : le certificat est la clé publique dans le cas d'une liaison de type HTTPS (sécurisée et chiffrée). Habituellement, le certificat est émis par une autorité de certification, un tiers de confiance qui va permettre à votre navigateur (par exemple) de vérifier que le certificat est bien valide. S'il ne peut pas être vérifié de cette manière, il est considéré comme invalide. Dans le cas des certificats auto-signés, c'est assez simple : il n'y a pas de vérifications et n'importe qui peut usurper l'identité de l'émetteur et donc éventuellement déchiffrer une liaison chiffrée, ce qui enlève tout l'intérêt du chiffrement.
Dans le cas du pont Hue, le passage d'un certificat auto-signé à un certificat validé par une autorité de certification améliore donc la sécurité, spécialement si vous utilisez les services dans le cloud. Elle améliore aussi la compatibilité avec certains outils, qui n'acceptent pas nécessairement les certificats auto-signés (c'est le cas de certains appels aux API avec l'app Raccourcis d'Apple). Mais ce changement amène aussi quelques problèmes avec des outils tiers : Bosch a par exemple dû mettre à jour son écosystème Smart Home pour prendre en charge le nouveau certificat. Ce changement touche aussi potentiellement d'autres solutions qui se connectent au pont Hue, donc si vous avez des problèmes de connexion avec vos lampes, c'est le moment de le vérifier. La mise à jour 1971060010 du pont Hue a en effet commencé à être déployée le 22 mai 2025, mais la mise en place est étalée dans le temps pour ceux qui effectuent des mises à jour automatiques.
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Les puristes nous pardonneront les raccourcis. ↩︎
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Microsoft Office 2021 à vie sur Mac à prix cassé : une aubaine à ne pas rater
Vous avez un Mac mais les équivalents Apple de Word ou Excel vous laissent de marbre ? Plutôt que de payer un abonnement, cette offre vous propose une licence Microsoft Office à vie pour une bouchée de pain, Et ce n’est pas une arnaque.

Nombreux sont ceux qui, après avoir grandi avec Microsoft Office, se retrouvent un peu perdus devant Pages, Numbers ou Keynote. Entre la nostalgie de Word et la puissance d’Excel, la suite d’Apple a beau avoir ses adeptes, elle ne fait pas toujours l’unanimité. Bonne nouvelle : il est aujourd’hui possible d’installer Microsoft Office 2021 Home & Business pour Mac de façon permanente, pour un prix ridiculement bas.
Une licence Office complète, pour la vie, à 79,79 €
Si vous en avez assez de payer tous les mois un abonnement juste pour créer un document Word ou envoyer un mail, Godeal24 propose ce mois-ci la licence Microsoft Office 2021 Home & Business pour Mac – 79,79 € au lieu de 249 €.
Un tarif plancher pour une licence perpétuelle, qui inclut Word, Excel, PowerPoint, Outlook, Teams et OneNote. Vous recevez votre clé immédiatement après achat, avec un lien de téléchargement pour installer la suite sans attendre.
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En plus des drones, Amazon teste la livraison par des humanoïdes
Un jour viendra peut-être où l'on devra dire à Amazon si son livreur a correctement apporté un colis sauf que le livreur en question sera un robot. Parmi les différents aspects de son activité où le remplacement des individus est envisagé, ou déjà en marche, la livraison chez les clients est l'un des plus complexes. Il y a la solution des drones — mais elle n'est pas adaptée aux zones trop urbaines — et il y a celle de confier la tâche à un humanoïde sur jambes.
D'après The Information, Amazon développe du logiciel destiné à ces robots qui apporteraient les colis aux clients. Les robots eux-mêmes seraient conçus et fabriqués par des partenaires, Amazon s'occupant d'abord de leur intelligence artificielle. Une zone de test en intérieur, de la taille d'un grand café, a été installée à San Francisco. Cet « humanoïde park » s'apparente à une course d'obstacles pour tester ces robots dans des conditions plus proches de la réalité. Inévitablement, il faudra un jour les envoyer sur le terrain pour les confronter à des imprévus et des scénarios plus variés et plus complexes.

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Tel qu'il est envisagé, ce projet verrait un robot sortir d'un véhicule de livraison pour aller apporter son colis. Amazon aurait installé l'un de ses fourgons électriques — ceux conçus sur mesure par Rivian — dans cet espace de test.

Des questions demeurent sur la manière dont seront conduits ces fourgons. Une hypothèse pourrait être d'avoir un fonctionnement complètement autonome et le robot étant le passager. Amazon dispose déjà avec sa filiale Zoox et ses robotaxis, de compétence dans la conduite autonome. Un autre scénario, probablement plus réaliste dans un premier temps, serait de conserver le chauffeur-livreur humain qui travaillerait de concert avec le robot. Lors de chaque arrêt, l'un et l'autre s'en iraient chacun de leur côté s'occuper de leurs livraisons.

Amazon cogite déjà sur l'utilisation d'humanoïdes dans ses entrepôts. Depuis la fin 2023, Agility Robotics a signé un partenariat pour tester ses bipèdes aux côtés des manutentionnaires humains. Des robots qui sont spécialisés dans le transport et le déplacement de bacs à l'intérieur d'entrepôts. Avec une difficulté supplémentaire, ces lieux n'avaient pas été aménagés à l'origine dans cette optique. Ces robots assurent des tâches hautement répétitives et sans grand intérêt pour les employés.
GXO, un autre spécialiste de la logistique, teste également la présence d'un robot au sein d'un entrepôt pour effectuer des tâches similaires. Ils le font d'une manière un peu gauche et à une vitesse encore bien inférieure à celle d'un humain. Cela donne une idée du chemin à parcourir avant qu'un robot ne vienne sonner à la porte des particuliers, évitant et enjambant divers obstacles.

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Nouvel échec judiciaire d'Apple face à Epic Games !
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MacG.co
- Près de 350 imprimantes Canon touchées par une faille dangereuse, c'est le moment de mettre à jour
Près de 350 imprimantes Canon touchées par une faille dangereuse, c'est le moment de mettre à jour
On l'oublie parfois un peu trop, mais les imprimantes modernes, connectées à Internet en Wi-Fi, peuvent souffrir des mêmes failles que les systèmes d'exploitation de nos appareils. Canon vient de le montrer : une large partie de sa gamme a été touchée par un souci de sécurité récemment. La liste est (très) longue et comprend presque 350 modèles.

Les deux failles identifiées courant mai permettent notamment à un malandrin de récupérer les informations liées aux services LDAP (un protocole employé pour des annuaires d'entreprises) et les identifiants SMTP utilisés pour envoyer des emails depuis l'imprimante. Pour le moment, Canon n'a proposé une mise à jour de firmware que pour environ 130 modèles dans la liste, et vous devriez donc l'effectuer si vous avez un des modèles touchés. Pour les autres, la marque recommande de ne pas exposer l'imprimante sur Internet (oubliez les redirections de ports et les réseaux sans pare-feu) et de modifier les mots de passe par défaut… deux recommandations qui devraient être la base.
Les gammes touchées comprennent des imagePRESS, imageRUNNER et i-SENSYS, des modèles courantes dans les petites entreprises et parfois chez les particuliers qui impriment beaucoup. Les imprimantes touchées sont de tous les types, des multifonctions classiques aux modèles laser.
Netatmo présente une « nouvelle » station météo, qui prend quelques couleurs
Netatmo a débuté avec sa station météo, lancée en 2012 ce qui ne me rajeunit pas, et le constructeur français a invité la presse pour présenter une « nouvelle génération » de son produit iconique. J’ajoute des guillemets, car la liste des nouveautés matérielles est pour ainsi dire très courte : deux nouveaux coloris, sable et menthe, et… c’est tout. Le design ne change pas, on reste sur ce tube d’aluminium qui a très bien vieilli, il faut le reconnaître, tandis que les capteurs à l’intérieur restent les mêmes, tout comme la compatibilité avec les divers accessoires de la gamme.

Si ce n’est pour les couleurs extérieures, rien n’a changé sur le plan matériel. La Station Météo ORIGINAL, c’est son drôle de nom officiel, reste ainsi coincée au début des années 2010, avec sa prise micro-USB qui sert à alimenter le module principal et une connexion Wi-Fi pas toujours très performante. Je ne sais pas ce que Netatmo reproche à l’USB-C, mais après sa nouvelle caméra d’intérieur, c’est le deuxième produit présenté cette année qui doit encore composer avec le microUSB, une horrible connectique qu’on aimerait pourtant bien voir disparaître. Pas de changement aussi sur la partie connectée, la station est compatible HomeKit, mais pas Matter qui semble décidément boudé par le fabricant.

Les nouveaux standards en difficulté : Netatmo boude Matter et Nanoleaf ne veut plus de Thread
Netatmo met quand même en avant deux nouveautés pour ce modèle, avec le suivi du pollen dans l’air et le niveau d’ensoleillement et UV. Ces informations seront visibles dans l’app Netatmo Weather, aux côtés des autres données déjà proposées pour l’extérieur. C’est une excellente idée de proposer ainsi un aperçu plus complet de la situation et de permettre aux personnes qui souffrent d’allergies de mieux gérer leur environnement. Ces données ne sont toutefois pas collectées par de nouveaux capteurs intégrés la station météo, elles sont fournies par des tiers et simplement affichées dans l’app.

Ce n’est pas une critique en soi, il n’existe pas de capteurs de pollen ou UV suffisamment compacts, fiables et bon marché pour les intégrer à un tel produit. Néanmoins, le fabricant les réserve à la station « ORIGINAL », le modèle précédent en sera privé, un choix justifié par le coût de ces données, que Netatmo doit acheter à ses partenaires. À ce sujet, il faut quand même saluer le fait que la station météo fonctionne toujours sans aucun abonnement et offre un accès complet à son historique, y compris sur plusieurs années. Je peux en témoigner avec mon exemplaire, qui affiche toutes les statistiques collectées depuis 2020.
La Station Météo ORIGINAL sera en vente à partir du 10 juin pour 170 €, d’abord uniquement en couleur sable, la menthe viendra plus tard. Dans le kit de base, on trouvera comme toujours le module intérieur principal qui se connecte en Wi-Fi au réseau local ainsi que le module extérieur qui communique avec le premier via un réseau sans-fil propriétaire. Tout l’écosystème de la station reste compatible et sans changement de prix, ni nouveautés matérielles. Netatmo commercialisera des modules intérieurs accordés aux deux nouveaux coloris dans le courant du mois de juillet, mais rien n’empêche d’utiliser l’actuel en gris, la seule différence étant encore une fois le design1. Le pluviomètre et l’anémomètre maison restent compatibles.

Netatmo a décidé de conserver à la vente la première génération de sa station météo, mais à un prix théorique réduit : 150 €… ce qui est déjà son prix en pratique (voire moins en promo). Sachant que l’on trouve aisément des informations sur l’UV (dans l’app Météo d’Apple) et le pollen (il y a des dizaines d’apps sur l’App Store), c’est probablement la meilleure option si vous n’êtes pas déjà équipé, sauf si votre intérieur exige de la couleur, naturellement. Le cas échéant, vous pourrez mettre à jour votre matériel et le fabricant a prévu un processus de transfert pour toutes les données, un bon point.
Des promotions de lancement sont prévues, par exemple l’anémomètre Netatmo devrait être à moitié prix sur Amazon à condition de l’acheter avec la nouvelle station.
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Il sera même possible d’utiliser les nouveaux modules d’intérieur colorés avec l’ancienne station grise, c’est l’avantage de ne proposer aucune évolution matérielle. ↩︎
Sony va lancer un stick arcade pour PlayStation 5, une catégorie oubliée par Apple
Après une manette hors de prix pour les joueurs (la DualSense Edge) et une manette pour les joueurs en situation de handicap, Sony a annoncé un nouveau modèle dans sa gamme : le projet Defiant. Il s'agit cette fois d'un stick arcade destiné aux PlayStation 5 mais aussi aux PC.
Ce stick arcade comprend un stick analogique qui peut être restreint par un cadre, ce qui nécessite quelques explications. Sur une manette classique, la zone où se trouve le stick est circulaire et il y a donc une infinité de positions possible autour de ce cercle. Les trois cadres prévus, eux, permettent de garder le cercle, d'employer un carré — soit quatre positions — ou un octogone (huit positions), en forçant le stick dans une des positions prédéfinies. Un choix qui permet à certains de mieux effectuer les coups spéciaux : si vous déplacez le stick vers le haut, il se calera bien dans la position haute. Le stick intègre les boutons PlayStation avec des interrupteurs mécaniques et le trackpad déjà vu sur les manettes.

La connexion du stick arcade ne s'effectue a priori pas en Bluetooth (Sony ne le précise pas), mais soit avec une connexion filaire (en USB-C), soit avec une liaison PlayStation Link. Déjà vue sur quelques accessoires audio, elle permet une liaison avec une latence faible, avec un récepteur USB.
Où sont les sticks arcade Apple ?
Avec un peu de chance, Apple ajoutera la prise en charge du stick arcade dans ses systèmes d'exploitation en 2026, l'année où il devrait sortir. En effet, Apple prend en charge ce genre de périphériques explicitement depuis 2023 (macOS Sonoma et iOS 17) mais il n'existe pas à notre connaissance de sticks arcade compatibles directement avec les appareils Apple sur le marché.

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Apple rétrogradée : les marchés doutent avant la WWDC
Lors de cette WWDC, Apple va devoir rassurer son monde, notamment sur le front de l’intelligence artificielle. Elle devra convaincre les développeurs d’utiliser ses technologies. L’une des grandes annonces de la WWDC serait que ces derniers puissent tirer profit d’Apple Intelligence dans leurs apps. C’est la suite logique, mais encore faut-il que ses technologies soient à la hauteur de ce que fait la concurrence.

Kernel Panic : que nous réserve la WWDC 2025 ?
Beaucoup se questionnent quant à la capacité d’Apple à relever le défi de l’intelligence artificielle générative. C’est vrai chez les utilisateurs, pour qui Apple Intelligence n’a sans doute pas changé leur quotidien. Mais c’est également aussi vrai pour les investisseurs qui commencent à regarder le dossier Apple avec circonspection.
Entre la prise de conscience tardive d’Apple de s’attaquer à ce sujet et les déboires de Siri, les analystes commencent à se poser des questions. Ces derniers avaient initialement favorablement accueilli Apple Intelligence. Ils voyaient dans cette technologie un moyen pour Apple d’enclencher un nouveau cycle de croissance entre renouvellement de matériel et vente additionnelle de services.

Un an plus tard, le constat est amer. Apple est des sept géants de la tech aux US, celui qui connait le moins bon parcours boursier depuis le début de l’année. L’action a perdu plus de 16% depuis le 1er janvier. Même Tesla (-12 %) parvient à faire mieux, tandis que Microsoft et Nvidia sont dans le vert ! L’action Apple a particulièrement souffert de la guerre commerciale au printemps, mais ce qui inquiète les investisseurs, c’est l’absence de catalyseurs à court terme qui permettraient de remettre le titre sur une meilleure trajectoire.
Forts de ce constat, les analystes de Needham & Company ont revu leur position sur le dossier passant d’achat à neutre. Ils estiment que l’action avec un ratio cours/bénéfice supérieur à 26 est trop valorisée et estiment qu’il serait intéressant de se repositionner sur le dossier si le titre de l’action se négocie dans une fourchette comprise entre 170 $ et 180 $. Hier, AAPL a fini la séance à 202,82 $.
Les emmerdes, ça vole toujours en escadrille
L’autre source d’inquiétude pour Needham & Company, ce sont les services. Apple fait face à toujours plus de menaces réglementaires qui pourraient lui coûter cher. L’accord avec Alphabet qui lui permet de placer son moteur de recherche par défaut dans Safari est notamment cité. Il rapporte, rappelons-le, chaque année plus de 20 milliards de dollars à Apple. Vous ajoutez à cela la guerre commerciale de Donald Trump qui devrait apporter de nouveaux rebondissements et les difficultés récurrentes d’Apple en Chine… Tout cela fait que l’optimisme n’est pas de mise. De ce fait, Needham & Company ne voit pas comment l’iPhone 17 pourrait inverser la tendance.
La stratégie d’Apple est simple : faire le dos rond en attendant des jours meilleurs. L’année prochaine, Apple fêtera son cinquantième anniversaire et prévoit à cette occasion de lancer de nouveaux produits qui pourraient lui permettre de repartir de l’avant. L’iPhone pliable et les lunettes connectées auront un grand rôle à jouer !

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