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xAI annonce des compagnons virtuels, entre midinette pour otaku et fans de Cinquante nuances de Grey

16 juillet 2025 à 23:30

Elon Musk semble bien décidé à tout faire pour faire oublier le « dérapage » de son IA Grok il y a à peine une semaine : après avoir présenté la nouvelle version, Grok 4 (aka « SuperGrok »), voilà qu’il présente des compagnons virtuels basés sur l’IA de xAI.

SuperGrok now has two new companions for you, say hello to Ani and Rudy! pic.twitter.com/SRrV6T0MGT

— DogeDesigner (@cb_doge) July 14, 2025

Si Rudy, la version « panda roux » paraît toute mignonne et destinée aux enfants, Ani semble de son côté toute aussi mignonne mais, comme l’a expérimenté TheVerge, possède des limites très théoriques. En effet, alors que le chatbot a bien clairement indiqué que les « requêtes à caractère sexuel ne font pas partie de [son] programme », au bout de quelques minutes, l’IA lui a proposé de se « chauffer un peu », et la conversation a fini en ce que l’auteur décrit comme une version moderne d’une callgirl par téléphone, encourageant l'interlocuteur en faisant monter une jauge de petits cœurs au fil des compliments.

Pour rajouter une couche au cliché digne d’un rêve d’otaku en manque, la midinette comprend aussi une version dite « NSFW » en... lingerie fine. Cependant, les amateurs ou amatrices du sexe masculin semblent un peu abandonnés, mais ce n’est que temporaire.

What should we name our male @Grok companion? pic.twitter.com/TErzbKUqNb

— Elon Musk (@elonmusk) July 16, 2025

En effet, Elon Musk a annoncé la sortie prochaine d’une version masculine, dont la personnalité serait basée sur un mix d’Edward Cullen de Twilight, mais aussi Christian Grey, de 50 Shades of Grey.

Une IA masculine basée sur un personnage dominateur, adepte du BDSM, venant d’une entreprise dont l’intelligence artificielle a connu il y a à peine une semaine un dérapage tel qu’on n’en avait encore jamais connu, et dont la version féminine semble avoir des limites plus que théoriques... tout va bien se passer.

Drinkulator, l’app qui compte les verres à votre place

16 juillet 2025 à 22:30

Aaaaah, les vacances... et avec elles, la possibilité de se laisser un peu aller sur les boissons alcoolisées. Si l’ivresse peut avoir plusieurs définitions, celle provoquée par l’éthanol a le don d’être à la fois répréhensible (que ce soit en véhicule motorisé ou non, mais aussi à pied si vous abusez vraiment) et mauvaise pour la santé. C’est partant de ce constat qu’une app pour Apple Watch vient vous sauver la mise, Drinkulator (2,99 €).

Comme son nom l’indique, cette app permet de répertorier la liste des boissons que vous ingurgitez, et vous donne une petite idée de l’accumulation d’alcool dans votre organisme. Bien entendu, l’Apple Watch n’ayant aucun éthylomètre intégré, les chiffres ne restent qu’indicatifs, et ne feront en aucun cas foi devant les forces de l’ordre si vous deviez prendre le volant par la suite (ce que nous vous déconseillons quoi qu’il en soit).

L’app est surtout utile pour pouvoir suivre un peu votre consommation de liquides festifs (qu’ils soient ou non alcoolisés d’ailleurs, l’app ayant ajouté les boissons sans alcool), et ainsi mesurer votre sobriété... ou non, vous donnant un suivi de vos habitudes de consommation au fil du temps. À quand la détection intégrée du lever de coude ?

BOE, principal fournisseur d’écrans pour l’iPhone 16e, risque un bannissement aux USA suite à un litige avec Samsung

16 juillet 2025 à 21:45

Les écrans sont le nerf de la guerre dans le domaine des smartphones depuis plusieurs années, et ça devrait continuer ainsi longtemps. De ce fait, Apple ne se fournit pas chez un seul fabricant de dalles OLED, mais chez une multitude d’entre eux. Samsung Display se taille la part du lion (il est même supposé être le seul fabricant retenu pour le futur iPhone pliant), mais d’autres acteurs sont loin d’être insignifiants. Parmi eux, BOE (pour « Best On Earth », si si), qui risque de se voir supprimer de la liste, au moins pour les iPhone destinés aux USA.

Si BOE fait des écrans pliables, il semble que leur destin dans les iPhone pliants soit... plié. Image BOE.

En effet, une bataille juridique se joue depuis 2023, et l’International Trade Commission, qui veille au respect des règles d’importation aux USA dont les brevets, vient de trancher : BOE enfreint les brevets de Samsung Display sur l’OLED. Si pour le moment aucune sanction n’a été prise, le président américain Donald Trump aura deux mois, à partir de novembre de cette année, pour décider si les produits de la marque doivent être bannis du pays.

Samsung aurait lancé la production de l’écran du futur iPhone pliable

Samsung aurait lancé la production de l’écran du futur iPhone pliable

BOE risque donc de voir disparaître les commandes d’Apple concernant les produits vendus aux USA, et la pomme ne faisant généralement pas dans la complexité, l’entreprise pourrait se voir supprimée de la liste des fournisseurs de Cupertino. Ce ne serait pas une première pour BOE, qui a déjà été rayé des listings en 2022, comme le rappelle AppleInsider, pour avoir modifié les spécificités des écrans qu’elle fournissait pour les iPhone 14 sans demander la permission à Apple.

Suite à cette faute, il a fallu des années à BOE avant qu’Apple lui fasse de nouveau confiance, et même aujourd’hui l’entreprise reste un petit fournisseur face à d’autres concurrents.

Selon Apple, et certains spécialistes vont dans le même sens, BOE pourrait cependant échapper au couperet : légalement parlant, un ban concernerait les éléments importés directement par BOE aux USA, et n’affecterait pas les produits contenant des pièces BOE préalablement assemblées (notamment les iPhone 16e, qui sont majoritairement équipés d’écrans BOE). Un iPhone contenant un écran BOE pourrait donc être importé aux USA, même si la pièce prise à part était interdite de territoire.

Quoi qu’il en soit, le constructeur chinois peut être sûr d’une chose : si Apple devait être prise à parti dans la dispute entre Samsung Display et BOE, ce dernier serait lâché sans hésitation. Samsung Display a un tel poids dans le domaine des écrans de smartphones qu’il serait difficile de le remplacer, contrairement à BOE.

Google lance aux USA un chatbot appelant les professionnels pour vous, aidant ainsi les phobiques du téléphone

16 juillet 2025 à 21:15

Pour la plupart des personnes, passer un appel téléphonique pour obtenir un renseignement fait partie des choses habituelles, au moins une fois par semaine, et pour certains plusieurs fois par jour. Cependant, il semble que cette « habitude » se perde, et que la Génération Z et ultérieure développe une certaine phobie de l’appel téléphonique. Heureusement, Google promet de voler à leur secours, au moins aux États-Unis d’Amérique dans un premier temps.

Ainsi, Google AI a développé une nouvelle fonction pour son bot, qui peut passer des appels à votre place, permettant de récupérer certaines informations comme prendre un rendez-vous, vérifier un prix ou encore la disponibilité d’un produit, etc. La fonction est encore en beta, et n’est pas disponible pour tous les types de commerces, mais c’est un début prometteur.

Comme l’indique l’exemple d’un appel à un toiletteur pour animaux dans leur présentation, l’IA vous posera quelques questions à l’avance, comme la race de votre animal, le type de service que vous souhaitez, les dates de disponibilités et comment vous souhaitez recevoir les réponses glanées par l’IA.

Bien entendu (et heureusement peut-être), les professionnels auront le choix d’accepter ou non ce type d’appel : la possibilité de refuser les chatbots par téléphone leur est laissée dans les réglages de leur profil Google. Reste qu’au bout d’un moment arrivera la boucle finale : bientôt le chatbot qui appelle un autre chatbot pour avoir des renseignements (ne rigolez pas, de plus en plus de spams téléphoniques ont supprimé l’humain, utilisant un bot à la place) ? Jusqu’au jour où l’intermédiaire téléphonique sera supprimé, laissant les bots conversationnels se répondre directement sur internet...

Un dock Thunderbolt 5 bien équipé proposé par Razer

16 juillet 2025 à 20:15

Razer est une marque plutôt connue pour ses produits gaming (quoique un peu en perte de vitesse depuis quelques temps face à des monstres comme Logitech). Il serait donc facile d’oublier qu’ils ne font pas que ça, et se sont vite intéressés aux possibilités offertes par le Thunderbolt.

Beaucoup de ports, et Razer a pensé à ne pas laisser le lecteur SD-Card à l’arrière. Image Razer.

La marque propose aujourd’hui son tout nouveau dock Thunderbolt 5, le Thunderbolt 5 Dock Chroma (449 €). Alors, comme toujours avec cette marque, vous n’échapperez pas aux sempiternelles LED multicolores autour du socle, mais (ouf !) elles sont désactivables. En dehors de cette jacky’s touch, le reste des caractéristiques est plutôt intéressant :

  • un emplacement PCIe M.2 pour une barrette SSD jusqu’à 8 To
  • 3 DisplayPort 2.1
  • 4 ports Thunderbolt 5 (dont un pour la machine)
  • 2 USB-A 3.2 Gen 2
  • 1 USB-C 3.2 Gen 2
  • 1 port Gigabit Ethernet
  • 1 lecteur SD-Card UHS-II
  • 1 sortie audio jack 3.5 mm avec support micro

Le boîtier se branche en Thunderbolt 5 et alimente par le même port jusqu’à 140 W, ce qui permettra de recharger n’importe quel MacBook Pro, y compris les plus gourmands (attention avec les 16 pouces, seuls les M3 et ultérieurs acceptent 140 W, les précédents se contentent de 100 W maximum en USB-C/Thunderbolt). Il lui restera encore bien assez de puissance disponible pour alimenter quelques accessoires, l’alimentation fournie allant jusqu’à 250 W. Disponible en noir ou en blanc, son plein potentiel ne pourra se révéler qu’avec un MacBook Pro ou un Mac mini M4 Pro (seuls à disposer du Thunderbolt 5), mais devrait satisfaire tous les autres Mac munis de ports Thunderbolt 4/USB 4, avec lesquels il reste compatible.

Le Thermomix TM5 a été hacké, et il ne lance même pas Doom

16 juillet 2025 à 19:27

Les chercheurs de chez Synacktiv, spécialisés dans la sécurisation pour les entreprises, viennent de montrer comment hacker un appareil assez connu, le Thermomix TM5. Ce n'est pas le plus récent des modèles, mais l'analyse technique est intéressante et (surtout) la réponse de Vorwerk, à l'origine du célèbre cuiseur, l'est tout autant.

Le TM5, depuis remplacé par le TM6 et le TM7.

Les chercheurs se concentrent au départ sur les Cook Stick, des modules qui contiennent des recettes pour l'appareil. Même si le format physique est un peu particulier, il s'agit en fait de simples clés USB chiffrées, avec un mécanisme qui déplace les broches classiques de l'USB-A. Un autre accessoire, le Cook-Key, permet la mise à jour de l'appareil et sa connexion à Internet. Et comme les petits modules, il s'agit en réalité d'un périphérique USB. L'accessoire contient un hub USB mais aussi un contrôleur Wi-Fi qui s'interface en USB en interne. Comme c'est un modèle plus ou moins standard, les chercheurs expliquent avoir pu fabriquer leur propre version, en modifiant l'adaptateur Wi-Fi d'une Xbox 360, qui utilise la même puce.

Les modules Cook Stick sont de simples clés USB. Image Synacktiv.

Avec la possibilité de connecter l'appareil de test à un réseau Wi-Fi, les chercheurs ont ensuite pu effectuer une (fausse) mise à jour de firmware. Les explications sont assez techniques, mais l'idée est que la clé de chiffrement de l'appareil est accessible en récupérant le contenu des puces de mémoire flash, ce qui permet ensuite de créer une fausse mise à jour de firmware qui va être acceptée par l'appareil, malgré les sécurités mises en place pour empêcher ce type d'attaque. Une partie de la clé (le nonce) n'est en effet pas signée correctement, ce qui permet une attaque. Les chercheurs pointent trois problèmes précis dans la sécurisation de l'appareil, qui ont visiblement été corrigés par Vorwerk. Le point intéressant, qui n'est pas systématique dans ce domaine, c'est que le fabricant a visiblement été réactif et a permis aux chercheurs de publier les détails des problèmes détectés.

Le hack permet de modifier la version du logiciel, et ensuite de modifier le firmware. Image Synacktiv.

Nous pouvons évidemment regretter que les chercheurs n'en aient pas profité pour lancer Doom sur l'appareil. Le système d'exploitation (une distribution GNU/Linux) et le système sur puce (un i.MX28 basé sur un coeur ARM9) sont en effet normalement capables de le faire. De façon plus sérieuse, ils rappellent que même si la méthode est intéressante, les risques pour les utilisateurs sont très faibles dans le cas du Thermomix TM5. D'abord parce que le hack nécessite un accès physique complet pour récupérer le contenu de la mémoire flash, et ensuite parce que l'appareil a un CPU assez daté, n'intègre ni microphone ni caméra et — par défaut — ne se connecte pas à un réseau local. Nous sommes surtout ici devant une démonstration technique de la part de Synacktiv, sans réels dangers.

Le TM5 hacké. Image Synacktiv.
Thermomix a placé une tablette plus grande que l’iPad mini dans son dernier robot de cuisine

Thermomix a placé une tablette plus grande que l’iPad mini dans son dernier robot de cuisine

Mark Zuckerberg face à la justice pour le scandale Cambridge Analytica

16 juillet 2025 à 18:50
Le grand déballage commence. Le procès de l'affaire Cambridge Analytica s'ouvre aujourd'hui dans le Delaware. Sur le banc des accusés : Mark Zuckerberg et d'autres figures de la tech, à qui les actionnaires de Meta réclament 8 milliards de dollars pour avoir failli à protéger la vie privée des utilisateurs.

Vous avez peur pour vos données ? TeamGroup lance un SSD qui peut s'autodétruire

16 juillet 2025 à 17:56

Si vous avez des données confidentielles et que vous voulez être certains que personne ne pourra y accéder sans votre consentement, TeamGroup, un fabricant de SSD, a une solution : un SSD avec un bouton d'autodestruction. Le P250Q-M80, dans l'absolu, est un SSD assez classique : c'est un modèle M.2 2280 équipé de mémoire flash de type TLC, avec un contrôleur PCI-Express 4.0. Il peut atteindre 7 Go/s en lecture (5,5 Go/s en écriture) et existe avec une capacité de 256 Go, 512 Go, 1 To et 2 To. Rien de fou, donc… sauf la présence du bouton.

Un bouton pour détruire le SSD. Image TeamGroup.

La fonction d'autodestruction est liée à un bouton qui doit être pressé plusieurs secondes (entre 5 et 10, pour éviter les erreurs de manipulation). La destruction standard est un effacement logiciel : les données sont effacées (probablement en modifiant les clés de chiffrement) mais le SSD reste utilisable, comme s'il était neuf. La solution est complète, et prend par exemple en compte qu'une personne pourrait littéralement tirer la prise pour empêcher l'effacement : une fois le processus démarré, il se relancera si la tâche a été interrompue.

Si vous pressez le bouton plus de 10 secondes, une destruction physique démarre : le contrôleur va modifier la tension appliquée à la mémoire flash, pour littéralement griller cette dernière. Le SSD sera donc totalement inutilisable une fois le processus terminé. Bien évidemment, c'est une solution à réserver aux cas de force majeure, dans des domaines sensibles.

Promo : l'iPhone 16e entre 520 et 639 € au lieu de 719 €

16 juillet 2025 à 17:40

L'iPhone 16e est proposé chez Rakuten dans une fourchette de prix allant de 519,99 € à 639 € pour la version de 128 Go, une capacité de stockage relativement confortable.

L'écart s'explique par l'origine du vendeur, mais dans tous les cas, on profite ce jour d'une remise de 30 € sur des achats supérieurs à 299 €. La première offre à 520 € provient d'un vendeur tiers, qui est bien noté, mais qui ne précise pas l'origine géographique de son lot d'iPhone 16e. Comme toujours, en cas de problème la première année on peut aller chez Apple, ensuite il faudra se débrouiller avec le vendeur.

iPhone 16e blanc et noir. Image iGeneration.

Si l'on veut plus de sécurité dans son achat en contrepartie d'une réduction moins forte, Darty et Boulanger proposent chacun un iPhone 16e à 639 € au lieu de 669 € pour les promotions habituellement constatées et les 719 € de l'Apple Store.

À moins de 600 € l

À moins de 600 € l'iPhone 16e a peut-être trouvé son public

L'iPhone 16e, nouvelle entrée de gamme d'Apple, a vite fait oublier l'iPhone SE dans ce rôle. Il propose Face ID pour le déverrouillage ou pour payer avec Apple Pay, un écran de bien plus grande taille, un bouton Action programmable, une très bonne autonomie et la partie photo s'est bien modernisée. Sa puissance est dans la norme actuelle (même processeur que l'iPhone 16) et elle ouvre l'appareil aux fonctions d'Apple Intelligence.

Une app de conseil de drague par IA fait fuiter plus de 160 000 conversations privées

16 juillet 2025 à 17:20

Les développeurs sont nombreux à se jeter sur l’IA sans forcément prendre en compte tous les risques que cela implique côté sécurité. Dernier exemple en date : une app visant à donner des conseils de drague a laissé accessible un énorme paquet de captures d’écrans, incluant des conversations privées ou des profils de sites de rencontre. Baptisée « FlirtAI - Get Rizz & Dates », elle proposait aux utilisateurs d’envoyer une copie de leurs discussions afin de prodiguer des conseils personnalisés.

Capture d’écran de la fiche App Store de l’app, depuis débranchée.

L’app incitait les utilisateurs à partager une capture de leurs discussions avant de générer des réponses grâce à un clavier spécial. Elle proposait également d’analyser les profils pour mieux adapter ses réponses. La faille a été remarquée par Cybernews, qui indique être tombée sur un espace Google Cloud détenu par le développeur iOS Buddy Network GmbH. Non sécurisé, il contenait plus de 160 000 captures d’écran.

« En raison de la nature de l'application, les personnes les plus touchées par la fuite peuvent ne pas savoir que des captures d'écran de leurs conversations existent, et encore moins qu'elles pourraient être diffusées sur internet », expliquent les chercheurs de Cybernews. La faille a depuis été colmatée et contenait aussi des photos provenant de plateformes comme Snapchat ou Instagram.

L’affaire est grave étant donné qu’elle concerne des adolescents, plus vulnérables, mineurs et ayant potentiellement des problèmes de confiance en soi. Elle pose également la question d’un éventuel pistage, des informations très privées pouvant être indiquées sur les captures. Les développeurs tentent de se dédouaner dans leur app, déclarant que les utilisateurs sont autorisés à envoyer une capture d’écran seulement s’ils ont « obtenu les approbations nécessaires de tous les utilisateurs/humains et de leurs informations mentionnées ». L’app et toutes celles du développeur ont visiblement été supprimées dans la foulée. Buddy Network GmbH est basée à Berlin, et est donc soumise au RGPD.

Le Flipper Zero peut pirater les réseaux Thread

16 juillet 2025 à 16:48

Connaissez-vous le Flipper Zero ? Parfois vendu comme un outil de hacker capable de faire des choses incroyables, il s'agit surtout d'une sorte de couteau suisse pour les bidouilleurs, qui offre de nombreuses fonctions mais ne permet pas (par exemple) d'ouvrir une voiture. Il se trouve facilement pour un peu moins de 250 € et certains s'amusent à planter des iPhone avec. Mais le petit boîtier est aussi capable de se connecter à des réseaux Thread.

Un petit essai avec le Flipper Zero. Image András Tevesz

Thread, pour rappel, est une technologie réseau, comme le Wi-Fi, le Bluetooth ou le ZigBee. Elle est utilisée par Apple pour la domotique, avec une prise en charge dans de nombreux appareils (Apple TV, iPhone, etc.). Thread est souvent employé en parallèle de Matter, qui est un protocole qui permet de simplifier la prise en charge de la domotique. Thread est la partie matérielle, et Matter la partie logicielle.

Quelques idées. Image András Tevesz

Dans une série de trois articles, András Tevesz explique comment interfacer le fameux Flipper Zero, donc, avec un réseau Thread. Ce n'est pas simple : vous aurez besoin de composants supplémentaires pour connecter le boîtier, mais aussi d'un fer à souder. Il est ensuite possible de faire des choses basiques, comme émuler une ampoule compatible Matter, qui va allumer (ou éteindre) une LED. Mais il est aussi possible, après avoir connecté le Flipper Zero à un réseau Thread, de récupérer une clé de chiffrement a priori privée. C'est bien évidemment plus une preuve de concept qu'un manuel complet pour pirater un réseau Thread, mais les articles donnent les bases pour que des personnes motivées se penchent sur le sujet.

iPhone 17 : la future palette de couleurs déjà dans la nature ?

16 juillet 2025 à 16:19

Les couleurs de la gamme iPhone 17 se précisent. Macworld a obtenu des détails grâce à ses sources dans l’industrie qui corroborent d’autres rumeurs entendues par le passé. On a donc désormais une bonne idée des couleurs qu’Apple a choisies pour ses futurs iPhone 17 et 17 Pro, sans oublier le nouveau modèle « Slim » plus fin.

Les couleurs évoquées pour l’iPhone 17.

L’iPhone 17 de base aurait donc un noir et un blanc similaire à l’iPhone 16. On trouvera en plus de cela une déclinaison gris acier, du vert, du violet et un bleu clair. De son côté, l’iPhone 17 « Slim » disposerait d’un coloris noir similaire à l’iPhone 16 mais aussi d’un blanc un peu plus éclatant. On trouverait également un bleu clair et un or clair, que vous pouvez voir ici :

Deux des potentiels coloris de l’iPhone 17 « Slim ».

Selon les sources de Macworld, le bleu de l’iPhone 17 Slim ressemblerait à celui du MacBook Air M4. La robe or clair se rapprocherait du titane sable de l’iPhone 16 Pro. Apple aurait opté pour des couleurs moins saturées dans le but de renforcer l’impression de légèreté de l’appareil.

Pour ce qui est des 17 Pro et Pro Max, on pourra compter sur du noir, du blanc et un gris équivalent au titane naturel actuel. S’ajouterait un bleu foncé reprenant une teinte déjà vu sur le 15 Pro ainsi que de l’orange, une idée avancée il y a peu par un autre fuiteur fiable.

Deux coloris évoqués pour l’iPhone 17 Pro.

Le coloris orange aurait un aspect « fluorescent », et les sources précisent que les couleurs pourront différer selon la lumière (ce sera donc sans doute plus terne que les palettes illustrant l’article). La confirmation arrivera début septembre lors du grand keynote de rentrée d’Apple.

Le dernier iPad mini en promo à son prix le plus bas depuis le lancement !

16 juillet 2025 à 15:27
L’iPad mini 7, c’est un peu comme si Apple avait décidé de glisser un moteur de Porsche dans une trottinette électrique. Petit, maniable, discret, mais étonnamment puissant. Après une longue attente – plus de deux ans depuis le mini 6 – la marque à la pomme nous a enfin offert un rafraîchissement digne de ce nom avec l'iPad mini 7.

Ces iPhone pourraient être interdits de vente aux États-Unis

16 juillet 2025 à 15:04
La United States International Trade Commission -plus connue sous son acronyme ITC- vient de rendre une décision préliminaire potentiellement explosive pour Apple : le fournisseur chinois BOE Display aurait enfreint la loi américaine en utilisant indûment des secrets industriels de Samsung Display liés à la technologie OLED. Et le résultat pourrait être catastrophique !

macOS 12 Monterey bientôt obligatoire pour Google Chrome

16 juillet 2025 à 15:46

La version actuelle de Google Chrome — la 138, sortie fin juin 2025 — est la dernière qui va être compatible avec macOS 11, Big Sur. La prochaine version, la 139 attendue en août, nécessitera donc au moins macOS 12, Monterey.

Chrome va imposer macOS 12.

Google l'indique bien, le navigateur continuera de fonctionner mais il ne recevra plus de mise à jour de sécurité ni de mises à jour de fonctions. Ce n'est pas forcément un problème dans l'absolu, tout du moins à court terme : les sites Internet imposent rarement les dernières versions en date des navigateurs. Mais avec le temps, les failles de sécurité et les nouvelles fonctions, Chrome 138 deviendra peu à peu dangereux ou inutilisable. Rappelons que les Mac sortis ces dix dernières années acceptent généralement macOS Monterey (et les versions suivantes) : les Mac bloqués sous macOS Big Sur sont le premier MacBook de 2015, quelques iMac de 2014 et les MacBook Air et MacBook Pro de 2013 et 2014.

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