Apple pourrait bien changer l’emplacement de son logo sur le prochain iPhone Pro. C’est tout du moins ce qu’affirme le parfois bien renseigné Majin Bu dans un nouveau billet de blog : il estime que la Pomme serait sensiblement plus basse sur l'iPhone 17 Pro, plus près du centre inférieur de l'arrière du téléphone.
Image Majin Bu.
Pourquoi un tel changement ? Ce redesign serait imposé par la nouvelle bande de capteurs photos, qui s’étalerait sur toute la largeur de l’appareil. Selon lui, le flash et le capteur LiDAR seront déplacés vers le bord droit de l’iPhone pour un bloc d’appareil photo beaucoup plus massif. Modifier l’emplacement du logo pourrait donner un rendu plus esthétique.
L’iPhone 17 Pro devrait grandement changer de design. Il troquerait le titane contre de l’aluminium et aurait un dos composé de différents matériaux. Une bonne partie resterait en verre afin de permettre la recharge sans fil. Ce logo plus bas pourrait perturber les utilisateurs de coques MagSafe transparentes, qui ont toujours vu le logo Apple centré dans le cercle d’aimants. Selon le fuiteur, les fabricants de coques seraient en train de revoir leur copie en brisant le cercle sur la partie basse afin de laisser voir la célèbre pomme.
La coque MagSafe sur l’iPhone 16 Pro (à gauche) et l’hypothétique iPhone 17 Pro (à droite, dans un rendu signé Majin Bu).
Cette théorie a été appuyée par le parfois fiable Sonny Dickson, qui a également diffusé un rendu. Si les accessoiristes ont vu juste, cela signifie qu’Apple n’aura pas revu l’emplacement des aimants dédiés au MagSafe. Cela semble logique, car il faudrait alors repenser un paquet d’accessoires pour un changement mineur.
Deux nouvelles pour Gmail sur Android. La bonne : un bouton "marquer comme lu" arrive enfin dans les notifications. Mais aussi une plus complexe : l'intégration de l'IA Gemini se renforce, avec d'importantes contreparties pour votre vie privée.
Le rachat de Pixelmator Pro par Apple commence à se faire sentir. L’app vient d’être mise à jour et a gagné une compatibilité avec Image Playground ou les outils d’écriture d'Apple Intelligence. Pour rappel, cet éditeur d’image est vendu 60 € sur le Mac App Store.
Image Playground dans Pixelmator Pro. Image MacGeneration
Une nouvelle intégration permet de rapidement créer un calque avec Image Playground, et ce sans avoir à alterner entre deux apps. Il est également possible d’ajouter un calque dans Image Playground, ce qui permettra d’en changer facilement le style (par exemple pour le transformer en illustration ou croquis). Tout cela passe par le menu Insérer en haut de l’écran ou le remplacement d’un calque existant.
L’intégration des outils d’écriture fait que l’on peut désormais corriger, résumer, réécrire ou modifier le ton d’un texte présent dans l’app. On pourra aussi en générer via la fonction « Composer », qui fait appel à ChatGPT.
D’autres nouveautés sont à noter. On peut à présent ouvrir et retoucher les images RAW des appareils photo OM SYSTEM OM-1 Mark II prises avec le mode Haute Résolution. La prise en charge de VoiceOver a été améliorée et devrait maintenant fournir des descriptions énoncées et en braille des différents outils. La navigation au clavier avec VoiceOver été revue, tandis que laisser son curseur sur les éléments de la barre latérale affiche désormais leur nom en gros caractères. Pixelmator Pro nécessite macOS 12 au minimum, et les fonctions Apple Intelligence demandent une puce M1 ou plus.
La rumeur lancée ce matin par Ming-Chi Kuo prend d'un seul coup plus d'ampleur : oui, Apple travaillerait bien sur un nouveau MacBook d'entrée de gamme doté de la puce Apple A18 Pro, affirme MacRumors qui a trouvé une référence à ce modèle dans du code utilisé par Apple pour Apple...
Apple a publié ce soir une fournée de nouvelles bêtas pour ses systèmes actuels. macOS Sequoia 15.6, iOS 18.6, visionOS 2.6, tvOS 18.6 et watchOS 11.6 ont donc passé la deuxième après une première version publiée il y a deux semaines.
La nouvelle bêta vue sur un iPhone 15. Image MacGeneration
Apple se concentre en ce moment sur sa prochaine cuvée de systèmes qui arrivera à l’automne. On n’attend donc pas grand-chose de neuf de cette version sur la sortie, la première bêta n’ayant rien apporté. Tout juste a-t-on obtenu quelques détails sur l’écran connecté développé par Apple, dont le lancement se fait attendre.
Si Cupertino se tient à son rythme habituel, la prochaine bêta d’iOS/macOS 26 devrait arriver début juillet, soit potentiellement la semaine prochaine. La première bêta publique ne devrait pas tarder à pointer le bout de son nez. Patience !
Une partie de l'équipe originale d'Oculus se réunit. Nate Mitchell, co-fondateur d'Oculus, rejoint la startup Sesame, créée par l'ancien PDG Brendan Iribe. Leur objectif : créer des lunettes connectées dopées à l'IA pour concurrencer... Meta.
Dans une tribune exclusive publiée par Euronews, vingt-et-un ministres issus de treize États membres de l’Union européenne appellent à des mesures urgentes pour mieux protéger les enfants et les adolescents face aux dangers croissants des réseaux sociaux.
À l’instar de Snapchat, Google s’est subitement souvenu qu’Apple proposait une montre connectée sur laquelle on pouvait installer des applications. Google Agenda bénéficie ainsi tout juste d’une version watchOS. Celle-ci liste simplement les rendez-vous notés ainsi que les tâches enregistrées dans Google Tasks.
Google Agenda sur Apple Watch. Image WatchGeneration.
Contrairement à l’app Calendrier d’Apple, il est impossible de créer des événements depuis la montre. Et pour consulter les détails d’un rendez-vous, Google redirige vers l’iPhone.
Google Agenda offre deux complications pour les cadrans. L’une permet de voir le prochain événement prévu et l’autre affiche la date. L’application s’intègre par ailleurs à la Smart Stack de watchOS par le biais d’un widget.
Apple a prévenu ses interlocuteurs à la Commission européenne que la disponibilité de certaines fonctions d'iOS 26 pourrait être compromise du fait du DMA. Lors d'un atelier réunissant les protagonistes pour discuter de la conformité au Règlement des marchés numériques, Apple a cité l'exemple de la fonction Visited Places/Lieux visités qui ne sera pas au programme d'iOS 26 en Europe à l'automne, rapporte le Wall Street Journal.
Lieux visités. Extrait du keynote de la WWDC 2025. Source Apple.
Cette option dans Plans consigne les lieux où vous vous rendez (un magasin, un garage, une bibliothèque, un restaurant, etc) pour les retrouver plus facilement par la suite. Plans en gardera une liste chronologique et classera également ces endroits au sein de catégories.
Ce sera une fonction optionnelle mais Apple craint probablement de devoir la partager avec des éditeurs ou plateformes de tierces partie. Kyle Andeer, le vice-président des affaires juridiques d'Apple a expliqué lors de cet atelier qu'Apple redoutait des implications de sécurité pour sa plateforme si elle continuait à ouvrir son écosystème à des concurrents.
Apple a déjà mis sur la pause le lancement de la fonction de recopie de l'iPhone sur le Mac, et ce depuis son arrivée dans iOS 18 en septembre. Récemment encore elle a écarté toute idée de la proposer dans un avenir proche. Dans d'autres cas comme l'ouverture d'Apple Pay ou de l'App Store, ou l'adoption de l'USB-C sur l'iPhone (maintenant présenté comme un atout pour ces appareils) elle s'est pliée aux nouvelles règles européennes.
Apple a ajouté qu'elle était toujours en train d'évaluer lesquelles de ces prochaines fonctions pourraient avoir maille à partir avec le DMA. De son côté, un représentant de la Commission qui participait à la rencontre, a déclaré que « Le régulateur et Apple [sont] en désaccord sur la portée du DMA et sur les risques potentiels en matière de sécurité ». Autrement dit, Apple pourrait avoir pris l'habitude d'agiter ce chiffon rouge par intérêt plus que pour de véritables motifs.
En réalité, il n'y a pas que les Européens qui seront privés de cette fonction des Lieux visités lors du lancement d'iOS 26. À ce jour, Apple n'a pas prévu de la sortir tout de suite sur tous ses marchés, beaucoup manquent à l'appel. La fonction sera proposée aux État-Unis, au Canada, en Australie, au Royaume-Uni, en Suisse et en Malaisie, précise la page descriptive du nouvel iOS.
La fonctionnalité Lieux Visités de l'application Plans d'iOS 26 ne sera pas disponible pour les utilisateurs résidant au sein de l'Union européenne, ont prévenu des avocats d'Apple à l'occasion d'une session de travail organisée avec la Commission européenne dans le cadre du DMA, le Digital...
Dans le cadre de ses négociations tarifaires avec Washington, l’Indonésie a proposé aux États-Unis de co-investir dans un projet stratégique lié aux minerais critiques, a annoncé ce lundi le ministre indonésien de l’Économie, Airlangga Hartarto.
La piste d’un futur MacBook doté d’une puce d’iPhone s’épaissit déjà. MacRumors affirme avoir déniché dans du code d’Apple une référence à un Mac équipé d’une puce A18 Pro, celle-là même qui est au cœur des iPhone 16 Pro. La mention a été trouvée dès l’été dernier dans du code lié à Apple Intelligence. La machine porte l’identifiant Mac17,1.
Image Apple
C’est l’analyste Ming-Chi Kuo qui a le premier lancé le bal des rumeurs en affirmant qu’Apple préparait un MacBook muni d’une puce A18 Pro. Selon lui, ce serait un moyen de proposer un ordinateur portable plus accessible. Actuellement, le MacBook Air M4 démarre à 1 199 € chez Apple, mais son tarif descend autour de 1 000 € chez les revendeurs et ses prédécesseurs sont encore moins chers.
Quoi qu’il en soit, si ce projet venait à se concrétiser, un Mac doté d’une puce Ax serait bien sûr inédit. L’A18 Pro des iPhone 16 Pro est à peu près équivalent au M1 des premiers Mac Apple Silicon en matière de puissance.
Comme l'année dernière avec Apple Intelligence, l'Europe va encore se retrouver le parent pauvre ! En effet, Cupertino vient de confirmer que certaines fonctionnalités d'iOS 26 ne seront pas disponibles au lancement au sein de l’Union européenne.
À l’occasion de son 10e anniversaire, Apple Music voit les choses en grand. Cupertino inaugure un tout nouveau studio créatif à Los Angeles, véritable campus dédié aux artistes, à l’innovation sonore et à la connexion avec les fans.
Alors qu’Apple vient tout juste de fêter les 20 ans du podcasting, elle continue les célébrations avec Apple Music. Le service de streaming musique a en effet été lancé il y a dix ans jour pour jour. Pour l’occasion, la firme de Cupertino annonce l’ouverture cet été à Los Angeles d’un tout nouveau studio dédié à la production musicale.
Le futur complexe musical d’Apple Music à Los Angeles. Image Apple.
Plus qu’un studio, il s’agira d’un véritable complexe créatif de près de 1 400 m2 pensé pour les artistes et leur promotion. Le centre comprendra notamment deux salles de radio, un plateau de 370 m2 pour des concerts ou des évènements, une salle de mixage dédiée à l’audio spatial et des cabines acoustiques pour s’isoler du reste.
Plus proche de nous, Apple annonce une programmation spéciale sur Apple Music Radio dès aujourd’hui, avec pour commencer l’émission Don’t Be Boring: The Birth of Apple Music Radio with Zane Lowe and Ebro Darden qui reviendra sur la naissance de la radio du service. Suivra 10 Years of Apple Music, un programme s’étalant sur huit heures qui retracera les grands moments de la plateforme.
Le nouveau Replay exhaustif lancé à l'occasion du dixième anniversaire d'Apple Music. Image iGeneration.
Enfin, Apple Music accueille le Replay All Time, une liste de lecture qui se distingue du traditionnel Replay annuel en permettant aux abonnés de voir et d’écouter les morceaux qu’ils ont le plus écoutés depuis leur souscription.
Apple célèbre cette année les 10 ans d'Apple Music, son service de streaming musical qui a ouvert ses portes le 30 juin 2015. Pour l'occasion, l'entreprise vient d'annoncer l'ouverture d'un studio d'enregistrement situé à Los Angeles qui est « dédié au contenu créé par les artistes, à...
Les méthodes publicitaires d’Apple peuvent diviser, mais les chiffres parlent d’eux-mêmes : F1 : le film coproduit par Apple Original Films, réalise un démarrage tonitruant en salles, avec 145 millions de dollars récoltés pour son premier week-end d’exploitation, dont 55,6 millions sur le sol américain.
Parti après les autres, Proton Pass est en train de rattraper son retard sur la concurrence. Le coffre-fort de Proton gagne finalement en flexibilité : en plus des mots de passe, il peut stocker 14 nouveaux types d’éléments.
Proton Pass sur iPhone. Image MacGeneration.
Réseaux Wi-Fi, licences de logiciels, comptes bancaires, passeports ou encore numéros de sécurité sociale peuvent être enregistrés comme il se doit dans ce service chiffré de bout en bout. Chaque élément peut être accompagné d’une ou plusieurs pièces jointes faisant jusqu’à 10 Go. Si les différentes sections préétablies ne conviennent pas, on peut personnaliser tous les champs à sa guise.
Deux ans après ses débuts, Proton Pass est devenu un coffre-fort numérique assez complet. Il comprend les fonctionnalités essentielles (générateur de mots de passe robustes, remplissage automatique, partage…) et dispose d’applications pour toutes les plateformes ainsi que d’extensions pour les principaux navigateurs. Proton Pass n’est pas aussi avancé que 1Password ou aussi à son aise sur les plateformes Apple que Secrets, mais sa formule gratuite et son intégration aux offres de Proton peuvent être des arguments en sa faveur.
La formule gratuite permet de stocker un nombre illimité de mots de passe sur autant d’appareils qu’on le souhaite, mais le déverrouillage avec Touch ID n’est pas possible sur Mac. L’offre payante enlève cette limitation et ajoute plusieurs avantages (nombre illimité d'alias email, partage de coffre-fort…). L’abonnement individuel Proton Pass Plus coûte 2,99 €/mois avec un engagement d’un an. Autrement, le service est inclus dans le bouquet Proton Unlimited à 9,99 €/mois qui comprend aussi les versions premium de Proton Mail, Proton VPN, etc.
Cette année, le dos de l'iPhone aura droit à tous les honneurs. En sus de cette nouvelle présentation en forme de barre, Apple pourrait déplacer son célèbre logo sur la coque arrière de l’iPhone 17 Pro, un détail auquel elle n'avait pas touché depuis l’iPhone 11.
Précurseur dans les panneaux solaires plug&play avec et sans stockage intégré (voir nos test de la Play Max et le test de la Play 2), le français Sunology se lance dans le 100% stockage avec sa batterie STOREY !
[MàJ] Macrumors a découvert une référence à cette machine dans le code d'Apple sous la référence Mac17,1.
Nombre d'entre-vous se souviennent de l'iBook.
Lancé en 1999 cette machine était destinée à apporter aux portables Apple une machine bon marché capable de réitérer le succès des iMac. Apple a abandonné ce produit en 2006.
Elle pourrait cependant retenter une aventure similaire. Selon Ming-Chi Kuo, Apple songe à proposer un ordinateur portable non pas doté d'une puce Mx mais un A18 Pro utilisé dans les iPhone 16 Pro. Certes, on aurait une machine deux à trois fois moins puissante qu'avec un M5, mais cela suffirait à bon nombre d'utilisateur. Ce serait d'autant plus vrai que son prix pourrait être bien plus bas que les 999$ du portable le moins cher actuellement proposé. Apple songerait à en produire 5 à 7 millions en 2026 ce qui doublerait les ventes de Mac ! On peut donc imaginer que cet appareil serait vendu autour des 599$ de quoi tenter nombre de personnes que ce soit pour un ordinateur bon marché que pour une seconde machine mobile.
Après une phase de version bêta lancée il y a deux semaines, la carte grise s'intègre officiellement à l'iPhone par le biais de l'application France Identité à compter d'aujourd'hui, à temps pour les départs en grandes vacances. Le certificat d'immatriculation peut désormais être ajouté...
Apple travaillerait sur un MacBook Air vraiment pas cher pour l’année prochaine ! On serait tenté de dire que ce modèle existe déjà. Il s’agit du MacBook Air M2 qui est proposé à 749 €. Sur le papier, on n’a pas grand-chose à lui reprocher. Il s’agit d’un modèle neuf équipé de 16 Go de RAM. Évidemment, 256 Go de stock, cela ne conviendra pas à tout le monde, mais à ce prix, difficile de faire la fine bouche.
Cette promotion est organisée par Rakuten, mais le vendeur est Darty. Autant dire que vous ne risquez rien. Pour l’obtenir ce prix, il vous faut saisir le code ORDI50 à la commande. Petite cerise sur le gâteau, vous repartirez avec 31,96 € sous forme de cash back que vous pourrez ultérieurement dépenser chez Rakuten.
On rappellera que ce MacBook Air M2 est le premier modèle à avoir inauguré le design actuel, qui à notre connaissance, n’a pas de souci particulier. Pour ceux qui hésitent toujours, voici la conclusion de notre test sorti en juillet 2022 :
Avec le MacBook Air M2, Apple achève la mue de son ordinateur portable emblématique. Après la version M1 qui a amélioré son cardio à un niveau inespéré, la génération M2 lui offre un nouveau physique de rêve. Le MacBook Air n'est définitivement plus cet ordinateur portable radicalement fin qui devait faire des concessions sur son équipement ou ses performances, il est devenu un petit MacBook Pro. […]
La perfection n'étant pas de ce monde, même si Apple y travaille, on doit quand même émettre quelques réserves : l'encoche n'est pas gérée de manière totalement adéquate par macOS, le SSD 256 Go moins rapide est mesquin, le coloris minuit est aussi attrayant que salissant et la puce M2 ne peut pas exploiter tout son potentiel indéfiniment. Mais qu'on ne s'y trompe pas, le MacBook Air M2 est un régal à utiliser et ringardise définitivement les MacBook Air Intel.
Le principal reproche qu’on lui faisait à l’époque, c’était son prix, il était proposé à 1499 €. Par rapport à son prix initial, il est vendu à moitié prix, mais avec deux fois plus de RAM !
Après une petite période de bêta-test, l’intégration de la carte grise dans France Identité est disponible pour tous les utilisateurs. À cette occasion, le gouvernement donne des précisions sur ce nouveau document numérique.
Vous pouvez importer la carte grise de votre véhicule si vous en êtes titulaire, co-titulaire ou locataire privé, y compris en leasing. L’import n’est pas possible si le véhicule est enregistré au nom de votre entreprise. Concernant le véhicule lui-même, il doit avoir une immatriculation française au format AA-123-AA (immatriculations après 2009) et appartenir à l’une des catégories suivantes : voitures ; tricycles et quadricycles motorisés ; cyclomoteurs à deux ou trois roues ; ou motocyclettes.
Pour importer votre carte grise dans France Identité, assurez-vous d’abord d’avoir la dernière mise à jour de l’application (version 1.3.3901). Sur l’écran d’accueil, touchez le bouton +, puis renseignez les informations de votre certificat d’immatriculation, saisissez votre code personnel France Identité et enfin scannez votre carte d’identité via NFC.
Grâce à cette nouveauté, vous pourrez donc utiliser votre iPhone pour présenter votre carte grise aux forces de l’ordre lors d’un contrôle routier. Pour rappel, vous pouvez également importer votre permis de conduire dans France Identité, qu’il soit au nouveau format comme à l’ancien.
Au passage, l’écran d’accueil de l’application a été revu : le permis de conduire n’est plus caché derrière la carte d’identité dématérialisée, il est mis en avant dans une nouvelle section « Cartes numériques », qui comprend aussi la carte grise. De plus, la vérification du contrôle du billet dans les trains fonctionne désormais avec les Ouigo.
Pour pouvoir utiliser l’application France Identité, vous devez obligatoirement l’activer avec la nouvelle carte d’identité au format carte bancaire. Si vous ne l’avez pas encore, vous pouvez demander le renouvellement anticipé de votre carte d’identité sous certaines conditions. France Identité compte désormais 2,2 millions d'utilisateurs.
À quelques jours de l'Unpacked du 9 juillet, une fuite massive dévoile presque tout des Samsung Galaxy Z Fold 7 et Z Flip 7. La bonne nouvelle, c'est que Samsung semble enfin avoir corrigé leur principal défaut : l'épaisseur.
Départ réussi pour F1 le film. La superproduction d’Apple a pris la tête du box office nord-américain en engrangeant 56 millions de dollars de recettes durant son week-end de lancement. Le démarrage est tout aussi bon à l’international, avec des revenus estimés à 89 millions de dollars. En France, le film a fait près de 160 000 entrées lors de son premier jour d’exploitation (en comptant les avant-premières), ce qui en fait le cinquième meilleur lancement de l’année.
Brad Pitt, Lewis Hamilton, Tim Cook et Damson Idris. Image Apple.
Propulsé par une campagne marketing massive, F1 est bien parti pour être le plus gros succès d’Apple dans les salles obscures. Napoléon, qui avait amassé au total 221 millions de dollars de recettes dans le monde, devrait rapidement se faire doubler par Brad Pitt, qui en est déjà à 145 millions en moins d’une semaine.
« "F1" a captivé le public du monde entier avec son histoire d’outsider et son savant mélange de courses palpitantes et de narration centrée sur l’humain, a commenté Zack Van Amburg, coresponsable des productions vidéo d’Apple. Le démarrage exceptionnel du film reflète à la fois l’engouement pour la Formule 1 et l'histoire profondément émouvante et divertissante imaginée par l'ensemble des acteurs et de l'équipe créative. »
« Nous sommes ravis de l’accueil réservé à "F1" dans le monde entier. […] Ce succès témoigne de la vision de Joe [Kosinski, le réalisateur], Jerry [Bruckheimer, producteur], Brad [Pitt] et Lewis [Hamilton, producteur et champion de F1], ainsi que des efforts de toute la distribution et de l’équipe technique », a appuyé Jamie Erlicht, l’autre responsable d’Apple Worldwide Video.
Quant à savoir si Apple va gagner de l’argent avec ce film, c’est une autre affaire. Elle aurait dépensé 250 millions de dollars dans sa production, sans compter les dépenses engagées dans le marketing, estimées à au moins 125 millions de dollars. Et comme la distribution dans les cinémas est assurée par Warner Bros, ce dernier reçoit un pourcentage sur chaque entrée. Apple pourrait se passer de ce genre de partenaire à l’avenir en gérant elle-même la distribution.
Si F1 poursuit sur sa lancée, il n’est pas impossible que Sonny Hayes rempile pour de nouveaux Grands Prix. « J’ai des idées, oui. Mais c’est au public de décider s’il a envie d’en voir plus, a répondu le réalisateur Joseph Kosinski à Entertainment Weekly. J’ai adoré créer notre propre écurie de F1. Et j’adorerais savoir ce que l’avenir réserve à APXGP et à Sonny Hayes. »
Le mois de juillet arrive avec son lot de changements pour nous, braves automobilistes. Au programme : un bonus écologique plus généreux pour certains, le retour des 90 km/h dans un département, mais aussi de nouvelles voitures radars et une menace de grève sur les autoroutes.
Apple prévoirait toujours une fonctionnalité de synchronisation automatique des identifiants de réseaux Wi-Fi captifs entre ses différents appareils. Mark Gurman avait évoqué cette fonctionnalité le mois dernier, mais Apple ne l'a pas annoncée à la WWDC. Son développement aurait en effet...
Avec leur surface et leurs boutons relevés pour basculer sur le côté droit ou gauche, l'ergonomie des souris d'Evoluent est adaptée pour ceux qui veulent limiter la tension sur les poignets et avant-bras. Pas mal de fabricants en ont à leur catalogue, mais Evoluent a décidé de quitter le terrain.
Image Evoluent.
Dans les pages produit de ses modèles vendus exclusivement pour Mac, le fabricant américain indique qu'il jette l'éponge, apparemment pour des questions de ressources :
En raison du processus intensif nécessaire pour re-certifier notre logiciel Mac à chaque mise à jour de macOS, Evoluent ne fournit plus de logiciel pour la personnalisation des modèles VerticalMouse Bluetooth et Mac. Les fonctions de base de la souris sont prises en charge par macOS sans le logiciel Evoluent.
En résumé, il ne faudra plus compter sur un pilote dédié pour configurer les différents boutons, comme en propose par exemple Logitech avec ses modèles en général et ses souris ergonomiques Vertical en particulier. On ne pourra régler que le minimum de bouton sans profiter de toutes les possibilités de la souris. Le site spécialisé TLD rappelle que le développement de ce pilote a déjà connu et des hauts et des bas et préconise de se tourner vers le shareware USB Overdrive.
Ce changement de pied est bon à savoir, car la gamme d'Evoluent est bien présente sur Amazon et elle a comme intérêt de proposer des modèles pour les gauchers.
Les développeurs web ont finalement été entendus. En marge de la WWDC 2025, Apple a annoncé qu’il n’était plus nécessaire de passer par Xcode ni même d’avoir un Mac pour distribuer une extension pour Safari. Ce changement majeur devrait favoriser l’apparition de nouveaux modules pour le navigateur.
Les extensions Safari sont disponibles sur l’App Store. Image MacGeneration.
En théorie, les développeurs peuvent porter facilement leurs extensions Chrome ou Firefox vers Safari depuis plusieurs années, car ces trois navigateurs prennent en charge WebExtensions, un socle commun pour les modules. Mais dans la pratique, ces portages ont été freinés par le barda imposé jusque-là par Apple.
Alors que Google et Mozilla permettent de mettre en ligne très facilement une extension pour leur navigateur respectif, la Pomme demandait d’empaqueter l’extension au sein d’une application par le biais de Xcode, et donc d’un Mac. Or, les créateurs d’extensions n’ont pas forcément les moyens ou l’envie de s’acheter un nouvel ordinateur rien que pour ça.
« Je refusais d'acheter un Mac et payer une licence pour avoir la possibilité de distribuer l'extension. C’est suite à une donation généreuse de Zotero [un logiciel de bibliographie, ndlr], qui utilise SingleFile pour sauver les pages web, que j'ai changé d'avis », nous racontait Gildas Lormeau à propos du portage de son extension SingleFile sur Safari.
Cette exigence est maintenant de l’histoire ancienne. Les développeurs peuvent désormais empaqueter et distribuer leurs extensions par l’intermédiaire du portail web App Store Connect. Pour les utilisateurs, cela ne change rien : les extensions sont toujours distribuées exclusivement sur l’App Store.
Il reste toutefois une charge pour les développeurs : Apple impose l’adhésion à son programme développeur qui coûte 99 $/an, quand Google fait payer juste 5 $ et Mozilla n’impose aucun frais pour la distribution d’extensions.
Apple pourrait bien casser encore un peu plus les prix de ses Mac, avec une toute nouvelle entrée de gamme pour le MacBook Air. Selon Ming-Chi Kuo, la firme préparerait un ordinateur portable encore moins cher que l'actuel MacBook Air qui démarre à 999 dollars / euros. Et petite surprise : il bénéficierait non pas d'une puce de la série M, mais d'une A18 Pro, le même SoC que celui des iPhone 16 Pr
La société Muon Space a dévoilé les premières images de son satellite FireSat. C'est le premier d'une future constellation qui promet de scanner toute la surface de la Terre toutes les 20 minutes pour détecter les départs d'incendie en temps réel.
Les premières lunettes connectées d'Apple n'arriveraient pas avant la fin d'année 2027 au plus tôt, selon Ming-Chi Kuo. L'analyste se montre ainsi moins optimiste que Mark Gurman, qui affirmait le mois dernier que ces premiers modèles pourraient arriver dès fin 2026. Ming-Chi Kuo affirme...
L’iPhone 17 Air pourrait avoir une caméra TrueDepth légèrement différente de celle des autres iPhone. D’après des photos de protège-écrans publiés par le leakerMajin Bu, l’appareil photo avant de l’iPhone 17 serait situé à gauche de la Dynamic Island, et non à droite comme sur tous les autres modèles.
Protège-écrans pour les iPhone 17. Image Majin Bu.
Si ce changement se confirme, on suppose qu’il est guidé par des contraintes de conception spécifiques à l’iPhone 17 Air, qui devrait être beaucoup plus fin que ses frères. Toujours concernant l’appareil photo avant, les quatre iPhone 17 pourraient avoir un capteur de 24 mégapixels, au lieu de 12.
Les différents composants de la caméra TrueDepth de l’iPhone X. Image Apple.
Inaugurée avec l’iPhone X, la caméra TrueDepth comprend un appareil photo ainsi que plusieurs composants (projecteurs de points, caméra infrarouge…) qui rendent notamment possible Face ID. C’est elle qui a formé l’encoche des iPhone, avant que celle-ci ne se transforme en Dynamic Island sur la plupart des modèles. Apple chercherait à réduire encore l’empreinte de cet ensemble sur la face avant de futurs iPhone.
Les rappels continuent chez Anker. Au début du mois, le fabricant avait organisé un rappel de sa batterie externe PowerCore 10 000 suite à un défaut de confection pouvant conduire à une surchauffe. La marque a aujourd’hui lancé une seconde opération concernant 5 batteries différentes. Elles utilisent toutes les mêmes batteries lithium-ion provenant du même fabricant.
Anker a donc lancé un rappel global dans ce qu’elle affirme être une manœuvre de précaution face à un risque minimal. Pour vérifier si votre batterie fait partie du lot, il faut regarder sur ses côtés : les modèles A1257, A1647, A1652, A1681 et A1689 sont concernés. Plus précisément, il s’agit des suivants :
Anker Power Bank (10K, 22.5W) — Modèle A1257
Anker Power Bank (20 000mAh, 22.5W, câble USB-C intégré) — Modèle A1647
Anker MagGo Power Bank (10 000mAh, 7.5W) — Modèle A1652
Anker Zolo Power Bank (20K, 30W, câble USB-C et Lightning intégrés) — Modèle A1681
Anker Zolo Power Bank (20K, 30W, câble USB-C intégré) — Modèle A1689
Les acheteurs malchanceux peuvent ensuite répondre à un formulaire en anglais, où il leur sera demandé une preuve d’achat et un numéro de série. Anker explique que toute unité faisant partie de ce rappel ne doit plus être utilisée même s’il n’y a pas l’air d’avoir de problème, et cela en raison « d’un risque de surchauffe, de fonte, de fumée ou d'incendie ». Attendez tout de même la confirmation du fabricant avant de vous en séparer. Il vous enverra ensuite un modèle de remplacement ou une carte cadeau. Tous les détails sont disponibles sur la page de l’opération.
La première mise à jour matérielle de l'Apple Vision Pro se rapproche : selon Ming-Chi Kuo, le lancement de la production de masse de l'Apple Vision Pro M5 serait prévu pour le dernier trimestre de cette année. Une indiscrétion qui correspond parfaitement aux précédentes informations de Mark...
Votre compte a été suspendu, un paiement suspect a été détecté, cliquez ici pour récupérer votre colis... Ces messages ne viennent ni de votre banque, ni de La Poste.
Ils s’appuient sur un système bien plus vaste, alimenté par vos propres données personnelles. Incogni propose de couper le robinet.
Quand l’attaque semble venir de l’intérieur
Les campagnes de phishing actuelles ne visent plus au hasard. Elles sont calibrées. Le prénom est exact, l’adresse aussi. L’horaire d’envoi du SMS tombe au bon moment. Et même le type de carte bancaire ou d’abonnement téléphonique semble connu.
Si ces escroqueries paraissent si crédibles, c’est que leurs auteurs n’ont plus besoin de deviner. Ils achètent, tout simplement. Les fichiers qui contiennent toutes ces informations sont vendus par des sociétés appelées data brokers. Leur métier ? Agréger, croiser, affiner… puis revendre.
Ces fichiers ne sont pas piratés : ils sont compilés légalement à partir de tout ce que vous laissez derrière vous en ligne — inscription à une newsletter, cookie accepté, compte ouvert sur un site marchand. Et c’est précisément à ce niveau qu’Incogni intervient.
Incogni : la protection avant même que le piège ne se déclenche
Contrairement à un antivirus ou à un bloqueur de spam, Incogni agit en amont. Il ne se contente pas de bloquer les attaques, il les rend impossibles — ou du moins, beaucoup plus difficiles — en supprimant les données qui les rendent efficaces.
Le service envoie automatiquement, et de façon répétée, des demandes de suppression à plus de 200 courtiers en données personnelles. Il s’appuie sur les bases juridiques du RGPD en Europe, du CCPA aux États-Unis, et du PIPEDA au Canada. Et il suit chaque cas jusqu’à résolution.
L’utilisateur n’a rien à faire, hormis remplir les informations de base (nom, email, adresse, téléphone) et signer une autorisation. Ensuite, Incogni agit seul. Le tableau de bord permet de visualiser les suppressions en cours, celles réussies et celles refusées — avec transparence.
Ce processus n’est pas ponctuel. Incogni maintient une pression continue sur les courtiers pour éviter que les informations ne soient simplement réimportées quelques mois plus tard. Il s’agit d’une hygiène numérique régulière, et non d’un coup de balai passager.
Incogni ne peut pas tout faire. Il n’efface pas les contenus publics ni les données postées volontairement sur les réseaux sociaux. Il n’agit pas non plus dans les zones non couvertes par des législations similaires au RGPD. Et certains courtiers refusent parfois d’obtempérer.
Mais là où Incogni est efficace, c’est sur la majorité des bases utilisées dans les campagnes de phishing, de fraude ou de publicité ciblée. Moins de données disponibles signifie moins de portes ouvertes.
Pour qui est-ce utile ?
La réponse est simple : tout le monde. Les particuliers qui reçoivent trop d’appels frauduleux. Les familles qui veulent protéger les données de leurs proches. Les indépendants, cadres ou élus, souvent plus exposés. Les seniors, cible privilégiée des escrocs.
Incogni est un outil de défense discret, sans alerte ni complexité technique, mais avec un effet tangible : la baisse des sollicitations non désirées.
La meilleure attaque, c’est l’anticipation. En effaçant ses traces chez les courtiers, on devient plus difficile à cibler. On ne sort pas du système, mais on devient invisible pour ceux qui l’utilisent à des fins malveillantes.
Pour un tarif raisonnable, Incogni automatise cette disparition partielle, mais décisive.
Après un lancement tardif sur le segment, Apple poursuit ses efforts dans le domaine des casques et lunettes ARVR. C'est une très longue et ambitieuse feuille de route que Ming-Chi Kuo vient de dévoiler, : les lunettes connectées et les casques AR/VR seront un segment-clé de l’après-iPhone.