Les AirPods Pro 3 espérés pour septembre

Comme prévu, et après quelques mois d'attente depuis l'annonce (et quelques années depuis sa sortie initiale sur PC, PlayStation 4 et Xbox), l'excellent Cyberpunk 2077 sort enfin sur Mac. Il est disponible sur le Mac App Store, pour 83 €. Il est aussi proposé chez GoG, la boutique de l'éditeur du jeu, et il est proposé pour seulement 37,6 € actuellement. Vous le trouverez aussi sur l'Epic Games Store (60 €) et même sur Steam (60 €, 83 € dans sa version qui inclut un DLC). C'est un des rares jeux AAA récents qui fait d'ailleurs l'impasse sur les iPad et les iPhone Pro.
Si le jeu est très attendu pour la qualité de sa narration mais aussi ses graphismes, il nécessite un Mac récent. Premièrement, il ne fonctionne que sur les Mac Apple Silicon, comme de nombreux jeux récents. Deuxièmement, il impose un Mac avec 16 Go de RAM, ce qui exclut une bonne partie des Mac M1 et M2. Et troisièmement, la version du Mac App Store nécessite 149 Go d'espace libre, et Apple recommande de garder 15 % d'espace supplémentaire pour permettre aux données du jeu de se décompresser. En clair, les Mac fournis avec 256 Go de stockage (ce qui est encore le cas d'une bonne partie de la gamme) ne pourront probablement pas installer le jeu, sauf peut-être en passant par un SSD externe.
Au niveau des performances, nous vous préparons un dossier sur le sujet, mais la configuration minimale est un Mac M1 avec 16 Go de RAM, et l'éditeur indique qu'il est possible dans ce cas de jouer en 900p à 30 images/s, pour les nostalgiques de la PlayStation 4. La configuration recommandée pour jouer en 1080p à 60 images est un Mac équipé d'une puce M3 Pro avec 18 Go de RAM. Les derniers Mac à base de M4 Max, eux, devraient permettre de jouer en 1440p sans trop de soucis. Enfin, le ray tracing est disponible dès les puces M3, mais avec des performances plus faibles, comme toujours.
L'USB-C a débarqué dans les Mac en 2015 et dix ans après, Logitech découvre que la norme existe. La société suisse propose en effet enfin une version USB-C de son récepteur Bolt, pour les versions récentes de ses claviers et souris sans fil. Elle est vendue 14€, le même prix que la version USB-A.
Dans la pratique, c'est surtout une bonne nouvelle pour les utilisateurs de PC, pour une raison simple : la technologie Bolt n'est que du Bluetooth LE camouflé. Le récepteur Bolt est en réalité un adaptateur Bluetooth LE qui est vu par le système comme un périphérique HID, mais la liaison elle-même s'effectue en Bluetooth. Tous les périphériques Bolt sont donc aussi compatibles Bluetooth, et ne nécessitent pas nécessairement de dongle. Ce qui ne rend pas le récepteur inutile pour autant : il est intéressant si vous partagez un périphérique entre plusieurs ordinateurs ou si votre Mac est déjà relié à plusieurs périphériques Bluetooth, ce qui peut avoir un impact sur la qualité du signal et donc la réactivité d'une souris, par exemple. Un récepteur Bolt peut accepter six périphériques.
Logitech n'en a malheureusement pas profité pour décliner l'ancien dongle Unifying dans une variante USB-C. Pour cette connexion sans fil propriétaire encore employée dans de nombreux accessoires, l'USB-C aurait de l'intérêt : les accessoires Unifying ne sont pas nécessairement Bluetooth et ils imposent donc l'ajout d'un adaptateur USB-A vers USB-C sur de nombreux Mac.
YouTube s'apprête à lancer en France sa formule Premium Lite qui diffusera moins de pubs mais aura de la pub tout de même. Depuis mars dernier, YouTube teste cette formule Premium Lite et après quelques marchés pilotes elle est étendue à 19 pays dont la France, le seul parmi les francophones. D'autres suivront plus tard.
YouTube Premium Lite va être facturé 7,99 € par mois contre 12,99 € pour l'abonnement Premium tout court utilisé aujourd'hui par 125 millions de clients. Pour 5 € de moins il y a nécessairement des choses qui sautent : pas de téléchargement de contenus et pas de lecture en arrière-plan non plus.
Sur le registre de l'absence de pub, qui peut être la principale raison de vouloir s'abonner, YouTube Premium Lite continuera d'en afficher dans les contenus musicaux, les clips, dans les Shorts, lorsqu'on se promène dans l'app ou lorsqu'on effectue une recherche.
La pression sera moindre en revanche ailleurs dans YouTube pour les vidéos appartenant aux catégories gaming/jeux, mode, beauté, à l'actualités et d'autres. Pour elles, il ne devrait plus y avoir d'intermèdes publicitaires. Cela reste à voir plus concrètement mais pour le moment, l'accès à cette formule en France n'est pas encore possible, le déploiement se prépare officiellement depuis hier.
YouTube Premium va peser plus sur le budget de la famille
N26 étend à 24 pays son offre eSIM Voyages qui permet d'acheter une carte téléphone virtuelle en prévision d'un séjour à l'étranger. L'Allemagne en avait eu la primeur, ce sont maintenant 24 pays1 dont les clients N26 peuvent utiliser ce service. Plutôt que d'aller chez l'un des innombrables vendeurs d'eSIM, on peut acheter la sienne directement dans l'app N26 depuis son compte utilisateur.
N26 utilise en marque blanche la plateforme de 1Global pour proposer ce service et l'habiller d'une interface simple et rapide à utiliser. On choisit son pays, son forfait en DATA et l'installation de l'eSIM sur son iPhone suit. C'est grosso modo le même principe pour les autres acteurs. Il faut rappeler que ce sont à chaque fois des eSIM contenant uniquement de la DATA, il n'y a pas de SMS/MMS ou tout simplement d'appels téléphoniques classiques possibles avec.
N26 se targue de pratiquer des tarifs plus avantageux. Sans présumer de quelques cas particuliers, c'est en effet moins cher sur 2 destinations que nous avons essayées en les comparant aux formules équivalentes en DATA et en durée (validité de 30 jours) de 2 acteurs de l'eSIM, Airalo et Ubigi, que nous avions déjà utilisé lors d'un déplacement en Asie.
Les écarts ne sont pas faramineux et les eSIM, à la base, sont vendues à des prix relativement abordables (cela dépend toutefois d'un pays à l'autre), mais sur nos échantillons, N26 est plus avantageux, à condition bien sûr d'être déjà client.
N26 pour le Japon
Airalo pour le Japon
Ubigi pour le Japon
N26 pour le Canada
Airalo pour le Canada
UBIGI pour le Canada
1Global fournit à N26 des eSIM pour 100 pays ce qui couvre large. Un point peut-être à considérer, pour comparer avec un autre prestataire, c'est la possibilité d'acheter uniquement une recharge lorsqu'on s'apprête à dépasser son quota. N26 n'est pas la seule néobanque à proposer cette facilité, Revolut le fait depuis plus d'un an… avec le même fournisseur 1Global.
France, Allemagne, Autriche, Belgique, Danemark, Estonie, Finlande, Grèce, Irlande, Islande, Lettonie, Liechtenstein, Lituanie, Luxembourg, Pays-Bas, Norvège, Pologne, Portugal, Slovaquie, Slovénie, Espagne, Suède et Suisse ↩︎
Lancée en début d’année, l’offre de crédit à 0 % proposée sur l’Apple Store s’installe dans la durée. Apple n’indique aucune date de fin sur sa boutique, mais son partenaire en précise une sur son propre site. Après avoir mentionné le 31 mars, puis le 30 juin, puis le 20 août, Cetelem stipule maintenant que l’offre de financement durera jusqu’au 28 septembre.
Sauf surprise, ce crédit à 0 % sera donc toujours en place au moment du lancement des iPhone 17, les nouvelles gammes d’iPhone étant généralement commercialisées mi-septembre. Cela étant, on ne sait pas encore avec certitude s’il sera possible d’en profiter pour étaler le paiement d’un iPhone 17, les conditions pouvant changer d’ici-là.
Quoi qu’il en soit, ce crédit à 0 % permet d’ores et déjà d’étaler sans frais le paiement d’un iPhone, d’un Mac, d’un iPad, d’une Apple Watch, d’un Vision Pro ou d’un accessoire sur 24 mois maximum. L’offre est soumise à l’examen du dossier, de la situation financière et de l’historique d’emprunt de l’acheteur. Prenez garde : Cetelem propose aussi un crédit plus long soumis à des frais de 14,01 %. À la fin, le coût n'est pas le même.
Produit | Durée | Taux débiteur |
---|---|---|
iPhone | 12 mois | 0 % |
24 mois | 0 % | |
iPad Air, iPad, iPad mini | 4 mois | 0 % |
12 mois | 0 % | |
36 mois | 14,01 % | |
iPad Pro | 4 mois | 0 % |
20 mois | 0 % | |
36 mois | 14,01 % | |
Apple Watch | 4 mois | 0 % |
12 mois | 0 % | |
24 mois | 14,01 % | |
Apple Vision Pro | 4 mois | 0 % |
24 mois | 0 % | |
36 mois | 14,01 % | |
Accessoires | 4 mois | 0 % |
MacBook Pro, Mac Studio | 4 mois | 0 % |
24 mois | 0 % | |
36 mois | 14,01 % | |
MacBook Air, Mac mini, iMac | 4 mois | 0 % |
18 mois | 0 % | |
36 mois | 14,01 % |
Si vous êtes étudiant, parent d’étudiant ou employé d’un établissement scolaire, n’oubliez pas l’opération Back to School qui permet d’avoir en cadeau des AirPods une remise sur un autre accessoire pour l’achat d’un Mac ou d'un iPad.
Dans le monde libre (celui de l'open source, pas celui de Trump), une blague circule chaque année depuis 1991 : « L'année prochaine, ce sera l'année de Linux sur desktop ». Et 2025 pourrait bien être cette année prochaine, selon les dernières statistiques de StatCounter. Aux États-Unis, la part de marché des distributions GNU/Linux vient de dépasser 5 %, une première.
StatCounter est un service qui repose sur un traqueur installé selon eux sur environ 1,5 million de sites, qui permet de vérifier quelques informations sur les utilisateurs des sites en question. Ils annoncent environ 5 milliards de mesures (pages vues) chaque mois. En juin 2025, aux États-Unis, les distributions GNU/Linux sont donc employées par environ 5 % (5,04 %) des internautes qui utilisent un système desktop (un ordinateur au sens large, en opposition aux smartphones). Dans le même tableau, les systèmes d'Apple sont à environ 24 % (la méthode de la société mesure mal les systèmes d'Apple, qui renvoie parfois des valeurs surprenantes pour l'User Agent), ChromeOS à 2,69 % et Windows à 63,28 %. Il y a aussi une incertitude sur environ 4,77 % des mesures, qui ne sont pas attribuées.
Une des raisons probables de l'augmentation de l'utilisation de GNU/Linux vient de l'abandon de Windows 10 en octobre 2025 : une partie des utilisateurs du système de Microsoft préfère a priori passer de Windows 10 à une distribution GNU/Linux qu'à Windows 11, notamment pour des raisons matérielles. Windows 11 reste d'ailleurs assez faible dans les statistiques, avec 54,7 % des utilisateurs de Windows, contre 42,1 % pour Windows 10.
Reste que s'il est intéressant de voir les distributions GNU/Linux être de plus en plus utilisées, il faut relativiser un peu. Premièrement, la part de marché descend à 4,09 % sur les statistiques mondiales (4,2 % en Europe). Et deuxièmement, si les plateformes mobiles sont prises en compte, la valeur descend à 1,45 % au niveau mondial (et Windows à 24,72 %). En résumé, « L'année prochaine, ce sera l'année de Linux sur desktop ».
La rumeur d’un écran antireflet pour certains iPhone 17 rebondit une nouvelle fois. Au début c’était « oui », après c’était « non » et maintenant c’est de nouveau « oui ». D’après MacRumors, les sous-traitants d’Apple ont finalement réussi à obtenir un rendement suffisant pour confirmer la production à grande échelle d’un verre antireflet.
Les iPhone 17 Pro et 17 Pro Max devraient profiter de cette nouveauté, mais pas l’iPhone 17 ni l’iPhone 17 Air. À l’instar des Galaxy S24/S25 Ultra, les futurs iPhone haut de gamme pourraient donc être beaucoup plus lisibles en plein soleil ou sous des néons. De l’avis général, ce type de traitement apporte un tout nouveau confort aux derniers smartphones de Samsung.
Ce nouveau revêtement apporterait un autre avantage : il serait plus résistant aux rayures que le Ceramic Shield actuel. Cette meilleure immunité contre les rayures est également une caractéristique importante du S24 Ultra.
En partant du principe que tous les iPhone 17 disposent enfin d’un écran 120 Hz, cette rumeur d’écran antireflet et plus robuste réservé aux iPhone 17 Pro apparait comme assez crédible. Cela représenterait un nouvel avantage pour les Pro face aux modèles standards.
Vous protégez votre boîte mail, vous utilisez un mot de passe solide, vous ne cliquez jamais sur un lien douteux. Mais vos parents ? Vos ados ? Ils n’ont pas toujours les mêmes réflexes. Et pourtant, leurs données, comme les vôtres, circulent librement.
Vous êtes prudent, vous faites attention... Mais dans une famille, il suffit d’un seul maillon faible. Un formulaire rempli un peu vite, une application mobile trop curieuse, un jeu-concours « gratuit »... et les données s’échappent. Pas seulement celles de la personne concernée. Parfois, le fichier contient aussi vos coordonnées, votre mail secondaire, ou votre nom associé à une autre adresse.
Ces données sont ensuite revendues, croisées, analysées. Par des régies publicitaires, mais aussi par des entreprises moins scrupuleuses, et parfois… par des arnaqueurs. C’est ainsi qu’un simple SMS peut viser votre père, votre fille ou votre conjoint, avec un message calibré, crédible. Et qu’une arnaque devient possible.
Quand on parle de cybersécurité, on pense souvent à soi : ne pas se faire pirater, ne pas se faire voler. Mais la réalité est plus collective. Car les données ne sont pas cloisonnées. Nos vies numériques sont liées. Une seule fuite dans le cercle familial peut suffire à exposer tout le monde.
Et c’est souvent ce qui se passe. Un faux SMS à votre mère. Un appel d’un soi-disant conseiller à votre frère. Un lien bien imité envoyé à votre fils, à 17 heures, alors qu’il attend un colis ou un message important... C’est rarement de la négligence. C’est souvent une question de contexte. Et d’information mal stockée, au mauvais endroit.
Incogni, ce n’est pas juste un service qui nettoie vos traces numériques. C’est aussi une façon simple de protéger jusqu’à cinq personnes d’un coup, sans qu’elles aient à faire quoi que ce soit.
En optant pour la formule Famille, vous déléguez à Incogni l’envoi de demandes de suppression de données pour vous, mais aussi pour vos proches. Le service contacte des centaines de courtiers de données au nom de chaque personne incluse, et exige que leurs profils soient supprimés. Les réponses sont suivies, documentées, relancées. Vous pouvez consulter l’avancement à tout moment depuis un tableau de bord commun.
C’est simple à mettre en place, légal, et surtout : vous reprenez collectivement la main sur ce qui vous échappe depuis trop longtemps.
Personne ne vous appelle par votre prénom pour vous vendre une assurance dont vous n’avez jamais parlé. Moins de SMS « ciblés » qui tombent le jour où vous attendez un colis.
Moins de « coïncidences » numériques. Et surtout : moins de portes ouvertes pour une escroquerie future !
Ce n’est pas visible au quotidien. Mais c’est là. Comme une digue. Et à l’heure où les messages frauduleux imitent les vrais transporteurs, ou où les arnaqueurs se font passer pour votre banque, chaque information retirée du circuit compte.
Protéger sa famille aujourd’hui, ce n’est pas seulement mettre un mot de passe sur Netflix. C’est empêcher que leurs données tombent dans les mauvaises mains. Incogni le fait pour vous, calmement, proprement, sans surveillance constante.