Tim Cook, plus fort que Donald Trump ?⎜ORLM-548
Après deux ans d’attente, Apple a (enfin) renouvelé son Mac Studio qui carbure désormais à la puce M4 Max et M3 Ultra !
Chaque année, on ignore si on aura le droit à une nouvelle Apple Watch SE. Par contre à l’inverse, on peut être certain que durant l’hiver, Cupertino nous proposera de nouveaux bracelets Sport Black Unity et, peu avant l’été, un nouveau bracelet Sport Pride Edition.
Aperçu du bracelet Black Unity 2025 pour Apple Watch
Apple n’a pas échappé à la règle cette année et a lancé la commercialisation en édition limitée de son nouveau bracelet Pride. De Chine, Maxime nous a envoyé quelques photos de ce nouveau modèle.
Ce bracelet est proposé dans les Apple Store au prix de 49 €. Il est disponible pour trois tailles de boitier : 40 mm, 42 mm et 46 mm. Le bracelet en lui-même est également disponible en deux tailles : S/M et M/L. Il semble qu’en France, les Apple Store auront ce nouveau modèle en stock à partir du 23 mai.
Comme toujours, ce bracelet sera accompagné d’un nouveau cadran, qui lui sera accessible gratuitement et qui sera inclus dans watchOS 11.5. De nouveaux fonds d’écran seront également disponibles.
Les notes de version de watchOS outre le nouveau cadran, citent la possibilité de confirmer un achat avec sa montre dans l'app TV d'Apple fonctionnant sur un autre appareil que l'Apple TV. Et aussi la correction d'un bug qui pouvait empêcher l'iPhone d'afficher une notification lorsque la batterie de l'Apple Watch était remplie à 100 %.
En toute logique, watchOS 18.5 ainsi que tous les principaux systèmes d’exploitation d’Apple devraient être disponibles au téléchargement la semaine prochaine.
iOS 18.5 : ce serait pour la mi-mai
Depuis janvier 2025, Sonos a un CEO par intérim, suite au départ en catastrophe de Patrick Spence, désavoué après la sortie d’une nouvelle version de l’app de contrôle des appareils de la marque ayant déclenché une grogne spectaculaire chez les utilisateurs. Mais selon Mark Gurman, le patron temporaire souhaiterait prendre la place définitivement, jugeant que le pire de la tempête est maintenant passé avec brio.
En effet, Tom Conrad considère que l’entreprise a maintenant « tourné la page » de ses ennuis, et se sent de taille à gérer l’entreprise comme CEO officiel :
J’ai maintenant la certitude que nous avons tourné la page de nos ennuis [...] Nous avons fait de grands progrès depuis ces 90 derniers jours, et avons résolu de nombreux challenges techniques relativement complexes.
Il faut dire que la marque revient de loin, désavouée par de nombreux clients suite à la nouvelle version de son contrôleur qui a multiplié les fausses notes, avec de nombreux bugs ou des absences incompréhensibles, comme le réglage de l’alarme, laissant les utilisateurs bloqués sur leur alarme sans pouvoir la modifier ou la supprimer. La catastrophe était telle qu’un produit amené à étendre la gamme a été repoussé, afin de se concentrer sur les correctifs nécessaires.
Selon Tom Conrad, la dernière version sortie cette semaine résout la plupart des soucis encore présents, comme des difficultés de fonctionnement avec les enceintes les plus anciennes (notamment les Play:1 et Play:3), et les prochaines mises à jour prévues en 2025 devrait faire de l’app de contrôle « la meilleure version produite par Sonos ces cinq dernières années ».
Il considère ainsi que la nouvelle app « est maintenant meilleure que celle qu’elle a remplacé », et que l’entreprise est sur « le bon chemin pour restaurer la confiance de ses utilisateurs ».
Pour le CEO par intérim, tout le crédit des améliorations récentes revient à la restructuration opérée dans l’entreprise : précédemment organisée en petites unités pour chaque produit, elle est maintenant structurée à la manière d’Apple, avec une branche matériel, une autre logiciel et une dédiée au design. Cela a permis à l’entreprise de « débloquer la progression nécessaire faite sur le logiciel ».
Reste que l’entreprise ne sait pas encore à quel point elle sera impactée par les différentes taxes d’importation décidées par l’administration US, bien qu’elle semble avoir évité le pire en ayant déjà transféré toute sa production de Chine vers la Malaisie et le Vietnam. Bien qu’elle réfléchisse à rapatrier une partie de la production aux US, elle ne souhaite cependant pas précipiter les choses, le problème étant complexe et les volontés politiques relativement instables.
Récemment, Sonos a vu se terminer son partenariat avec Ikea, sans que l’on sache si cette fin a été décidée d’un commun accord, ou de manière unilatérale.
En tout cas, les souhaits de Tom Conrad sont clairs : « J’espère que le prochain chapitre sera ma nomination au poste de CEO permanent de l’entreprise, afin de pouvoir dérouler un plan à long terme sur 5 voire 10 ans, plutôt que les 2 ans de visibilité que j’ai actuellement. [...] J’ai de grandes idées pour le futur, et je suis impatient de pouvoir les concrétiser ».
À l’heure où les cybercriminels redoublent d’audace, un simple SMS, comme celui récemment usurpant l’identité de Doctolib, suffit à mettre en péril vos données personnelles. Heureusement, des solutions existent pour ne plus jouer les funambules au-dessus d’un gouffre numérique.
Un SMS frauduleux promettant 23 € de remboursement au nom de Doctolib fait des ravages. Derrière ce piège grossier, une réalité s’impose : nos données personnelles sont une mine d’or pour les cybercriminels. Heureusement, il existe un moyen concret de reprendre la main : Incogni.
Depuis quelques jours, les téléphones vibrent pour de mauvaises raisons. Un message, prétendument signé Doctolib, annonce un remboursement de 23 €. Le message est soigneusement calibré : la somme semble plausible, l’émetteur paraît légitime, et dans un monde où l’on jongle entre mutuelles, consultations et remboursements divers, il suffit d’un moment d’inattention pour cliquer.
Sauf que Doctolib, en réalité, ne rembourse jamais ses patients. Ce rôle est dévolu à la Sécurité sociale ou aux mutuelles. Et derrière ce SMS se cache une tentative d’hameçonnage comme on en voit fleurir chaque jour, ciblant des données aussi sensibles que précieuses. Adresse, numéro de téléphone, parfois informations bancaires : tout est bon à prendre.
Alors oui, rester vigilant est important. Mais dans un monde où l’on est traqué jusque dans son carnet d’adresses, est-ce encore suffisant ? La vraie question est ailleurs : comment empêcher que nos données personnelles circulent à notre insu ?
C’est précisément ce que propose Incogni. Pas un énième antivirus, pas un autre VPN, mais un service dédié à un seul objectif : faire disparaître vos données des bases de données commerciales et douteuses.
Créé par l’équipe derrière Surfshark, Incogni agit comme un avocat numérique. En votre nom, il contacte des centaines de courtiers en données, ces entreprises qui amassent, croisent et revendent des informations personnelles comme d’autres vendraient des oranges au marché. La force d’Incogni, c’est sa capacité à s’appuyer sur les lois existantes — RGPD en Europe, CCPA aux États-Unis — pour obliger ces courtiers à effacer vos traces.
Chaque demande est formulée dans les règles, suivie, relancée si nécessaire. Pour l’internaute, le processus est transparent : on s’inscrit, on donne mandat, et on laisse Incogni travailler. Le résultat ? Moins de fuites de données, moins de risques de se retrouver dans des listes noires, et surtout, moins d’attaques ciblées comme celle qui frappe aujourd’hui les patients de Doctolib.
L’efficacité a un prix, mais il reste raisonnable. Incogni propose la formule standard à 7,29 € par mois si l’on prend le forfait annuel, ce qui représente une économie de 50 % sur le forfait mensuel. L’éradication des données personnelles sur la toile étant un travail de longue haleine, c’est sans doute la meilleure chose à faire. D’autres formules sont également proposées : Unlimited (qui va encore plus loin dans la traque de vos données privées), Family (pour faire cela à plusieurs) et Family Unlimited (qui combine les deux formules).
Et si l’idée de vous engager vous freine, sachez qu’Incogni offre une garantie « satisfait ou remboursé » valable 30 jours. De quoi tester, constater, et décider en toute sérénité.
Toutes les semaines, écoutez Sortie de veille, le podcast hebdomadaire de MacGeneration ! On débat de l'actualité Apple et tech des derniers jours en une quinzaine de minutes.
L’iPhone n’a pas fini d’être la vache à lait d’Apple ! Pour créer une nouvelle dynamique, Tim Cook pourrait en effet multiplier les modèles et même organiser deux grands lancements par an. Ne va-t-on pas friser l’overdose d’iPhone ? On en discute dans cette émission.
Également au sommaire, Safari va s’ouvrir aux moteurs de recherche dopés à l’intelligence artificielle, PayPal va concurrencer Apple Pay en Allemagne et Apple préparerait de nouvelles puces très spéciales.
Pour écouter Sortie de veille, c'est simple :
Bonne écoute et bon week-end !
Depuis que le Vision Pro est sorti, Apple s’est donné pour mission de démontrer ses capacités grâce à des vidéos en 3D immersive, permettant aux quelques-uns ayant acheté le casque de réalité augmentée de la marque de plonger dans des univers variés. Selon l’un de nos lecteurs ayant discuté avec une équipe de tournage bien particulière, l’une des prochaines vidéos pourrait bien porter sur la course de MotoGP sur le circuit du Mans.
En effet, plusieurs caméras Blackmagic URSA, dotées d’un capteur 12K, sont présentes sur place ce week-end, notamment dans le garage du pilote Johan Zarco courant pour LCR Honda. Équipées en version Cine Immersive, elles permettent de filmer en 3D 8K, avec un champ de vision de 180° en 90 images par seconde.
Les compétitions de MotoGP faisant partie des sports mécaniques les plus spectaculaires étant donné les vitesses atteintes par les bolides à deux roues, le rendu devrait être intéressant, que l’on soit fan de motos ou d’images impressionnantes. L’équipe de tournage présente a confirmé que les images seraient à destination de l’Apple Vision Pro, mais ni le diffuseur, ni une date de sortie ne sont connus.
Le sport mécanique fait partie de l’histoire populaire des USA, mais les acteurs locaux s’en tenaient jusqu’à récemment aux compétitions nationales, comme la Nascar ou l’IndyCar. Jusqu’à ces dernières années, ils s’étaient tenus éloignés des compétitions internationales les plus célèbres, que ce soit la MotoGP ou la Formule 1. Mais les nouveaux propriétaires des droits de ces deux compétitions, Liberty Media, est un groupe US. Ils ont donc décidé de renforcer les liens avec le pays de l’Oncle Sam, en multipliant les partenariats, publicités et autres couvertures médiatiques.
En F1, acquise depuis 2017, le raz-de-marée US est maintenant bien visible : entre les trois Grand Prix tenus sur le sol américain, les sponsors comme Google pour McLaren, Oracle pour RedBull Racing, Hewlett-Packard chez Ferrari, mais aussi les diffuseurs, avec certaines rumeurs voulant qu’Apple soit intéressée pour la retransmission des GP, l’empreinte des États-Unis d’Amérique est de plus en plus conséquente. Une app dédiée a même fait son apparition sur Vision Pro en 2024, même si elle semble avancer relativement lentement, et Netflix produit depuis maintenant plusieurs années son documentaire Drive to Survive sur les coulisses du championnat.
En MotoGP, qui n’est dans le giron de Liberty Media que depuis 2024, les choses devraient aller aussi très vite, et de voir une équipe de tournage dédiée au Vision Pro n’apparaît que logique une fois tous ces éléments connus. Il est à parier que ce ne soit qu’une des étapes de conquête du sport par les USA et par les entreprises de la tech du pays, friandes de sponsoring dans les compétitions sportives.
Merci à Antoine pour la photo et l’information.
Depuis 2008, Lego propose un site permettant au grand public de proposer ses idées, laissant ainsi tout à chacun dévoiler ses constructions dans l’espoir que le plus grand nombre y adhère, et donne ainsi envie à l’entreprise de produire l’idée à grande échelle. Et comme le rapporte 9to5Mac, une reproduction d’un Apple Store en Lego vient de passer la première étape, étant sélectionnée par la firme pour être étudiée.
Cette première marche n’est pas anodine : pour l’atteindre, le projet doit être soutenu par un minimum de 10 000 personnes. Cependant, tout n’est pas encore gagné : pour être validé et produit, un projet doit être confirmé par Lego... mais aussi par les détenteurs des propriétés intellectuelles utilisées. Apple autorisera-t-elle l’entreprise danoise à reproduire un Apple Store ? Rien n’est moins sûr, mais l’espoir est permis.
Jusqu’à présent, 72 projets ont été jusqu’à la production, dont un nombre conséquent reproduisant des éléments soumis à propriété intellectuelle. On y trouve pêle-mêle la DeLorean de Retour vers le Futur, l’Ecto-1 de Ghostbusters, le Light Cycle de TRON: Legacy, mais aussi la Station Spatiale Internationale ou encore la Saturn V d’Apollo 11.
Depuis la valse des taxes d’importation lancée par le gouvernement américain, le fait qu’Apple souhaite diversifier la provenance de ses appareils n’est plus tellement un secret... mais la pomme cherche tout de même à garder quelques idées cachées, comme le rapporte AppleInsider.
Si l’entreprise a déjà une chaîne d’assemblage d’iPhone 13, 14 et 15 au pays d’Ayrton Senna, et devrait débuter la fabrication d’iPhone 16, jusqu’à présent la production a été réservée au pays.
Cependant, de nombreux médias locaux font état d’un agrandissement de la chaîne de production de Foxconn à Jundiaì, au sud-est du pays. Une expansion qui ne colle pas avec une demande plus importante au niveau local, et laisse donc présager une fabrication à destination des USA, le Brésil s’étant vu octroyer des droits de douane bien plus raisonnables que la Chine.
Apple pourrait aussi en profiter pour y installer une production d’iPhone 16 Pro et Pro Max, si la montée en régime des chaînes dédiées aux modèles de base se passe bien. Pour le moment, l'entreprise a indiqué ne pas avoir changé de plans concernant sa production, bien que les médias locaux aient tous constaté l'agrandissement de la chaîne d'assemblage.
Sur Reddit, peppergrayxyz vient de montrer un PowerBook G4 intéressant : l'antique Mac portable (il a plus de 20 ans) a été modifié pour accepter un chargeur USB-C. À l'époque des PowerBook G4 — ici un modèle en aluminium, une gamme apparue en 2003 et remplacée en 2006 par les MacBook Pro —, la charge passait par une prise ronde spécifique à Apple, qui fournissait une tension de 24 V. La prise USB-C a l'avantage d'entrer facilement dans l'emplacement du connecteur d'Apple utilisé à l'époque, ce qui donne un bon résultat esthétiquement.
La modification repose sur un petit PCB (LX-AMPD1) qui intègre une prise USB-C femelle et des résistances qui permettent de forcer une tension précise au niveau du chargeur USB-C. La norme Power Delivery permet plusieurs tensions, et il est donc nécessaire de forcer celle qui convient le mieux pour le Mac. L'adaptateur installé dans le PowerBook G4 — vous trouverez de nombreuses photos sur FlickR — peut être configuré pour une tension de 5 V, 9 V, 12 V, 15 V et 20 V. Dans le cas d'un PowerBook G4, la tension de 20 V est à peu près adaptée : elle est un peu faible par rapport à ce que devrait fournir l'adaptateur secteur, mais il y a souvent une marge dans les appareils électroniques de ce type. L'auteur n'indique pas si cette différence pose des soucis pratiques, une tension trop faible pouvant (par exemple) bloquer la charge de la batterie.
Reste qu'il faut le rappeler, ce n'est pas la solution idéale : comme nous l'avions expliqué dans un test d'adapteurs MagSafe vers USB-C, travailler avec une tension trop faible ou trop élevée n'est pas une bonne idée pour les composants du Mac.
Les nombreux dangers des adaptateurs USB-C vers MagSafe pour les anciens MacBook
Les grandes révisions d'HoudaGeo prennent leur temps, il avait fallu quatre ans pour voir arriver la version 6 et 5 années auront été nécessaires pour la version 7 désormais disponible. L'application luxembourgeoise ne dévie pas de son objectif — barder les photos de données de géolocalisation — et elle l'étend aux fichiers vidéo. Une aubaine puisque les deux types de contenus ont l'habitude de se côtoyer, mais il arrive qu'on récupère des films sans ces informations complémentaires. Le principe est alors le même qu'avec les photos. On peut procéder manuellement ou importer des fichiers de données de position.
Les autres changements tiennent plutôt de l'amélioration que de la franche nouveauté. La fonction Camera Setup, par exemple, affiche une nouvelle interface un peu plus pratique pour gérer les infos d'heure et de date de prise de vue. La fenêtre réunit tout ce qui est nécessaire en un seul endroit au lieu d'obliger à sauter d'onglet en onglet comme précédemment. L'interface, de manière générale, n'est pas strictement en accord avec les canons de macOS, néanmoins la version 7 s'est modernisée et s'est éloignée du look rappelant les anciens macOS. La barre des outils en profite pour devenir personnalisable.
D'autres améliorations ont été apportées à l'affichage des cartes géographiques (Plans remplace Mapbox), à la vitesse de fonctionnement avec Photo, au navigateur de médias avec Photos et Lightroom, aux fonctions d'export CSV et vers Google Earth etc.
L'utilitaire est maintenant optimisé pour les Mac Apple Silicon et du ménage a été fait dans les versions de macOS acceptées, il faut au minimum le 12.4 (Monterey). Parmi les autres abandons décidés en cours de route : la compatibilité avec le téléchargement direct vers Flickr, avec Aperture et iPhotos ou encore la connexion aux appareils GPS.
L'application (toujours en anglais) peut être testée pendant 15 jours. La licence pour une personne et autant de Mac qu'on le souhaite est vendue 43 € (au lieu de 44 € en 2020) et la version famille est à 65 €. Et ce sera respectivement 27 et 40 € en venant d'une version précédente (c'est gratuit si la v.6 a été achetée après le 1er mai).
HoudahGeo 6 perfectionne son géo-tagging de photos
Razer met à disposition en test sur Mac la version 4 de son utilitaire Razer Sypnase pour configurer toutes sortes d'accessoires de la marque et synchroniser ces réglages entre plusieurs machines.
L'application permet à chacun de configurer son clavier, sa souris et tapis de souris Razer — la liste est là, elle est amenée à se compléter d'autres périphériques avec le temps en plus des 17 déjà présents.
L'utilitaire, en français, est identique dans son interface et ses fonctionnalités (détails) à celui de la version Windows, précise Razer, si ce n'est qu'il peut encore y avoir des bugs au vu de son statut de « preview » :
Avec cette version preview de Razer Synapse pour Mac, il est désormais possible de profiter de fonctionnalités avancées comme Razer Snap Tap, de créer des macros et de configurer totalement son installation RGB. L’expérience de jeu est désormais tout aussi consistante et qualitative sur toutes les plateformes.
Côté Mac, il faut absolument avoir un modèle Apple Silicon, mais pas forcément le dernier macOS, Ventura suffit. Il est conseillé par contre de ne pas utiliser en même temps l'ancienne version 2 (il n'y a pas eu de version 3 sur Mac) et cette nouvelle version 4.
Razer lance sa première souris ergonomique verticale face à Logitech
Les amateurs de montres mécaniques qui apprécient malgré tout les avantages d’une montre connectée vont bientôt avoir une nouvelle option pour avoir le beurre et l’argent du beurre. Smartlet est une nouvelle start-up française qui a imaginé un bracelet en métal pensé pour accueillir les deux : une « vraie » montre en haut et une Apple Watch ou un autre appareil connecté en bas. Cette montre secondaire cachée sous le poignet reste quand même utilisable pour suivre son activité physique ou même recevoir des notifications.
Si le concept est loin d’être révolutionnaire, on évoquait un produit similaire en 2016, cela reste une rareté sur le marché. Smartlet vise plutôt les amateurs de montres mécaniques avec son style très classique et un tarif élevé : comptez 349 € au minimum pour la version en acier et même 599 € pour un exemplaire en titane (frais de port offerts vers l’Europe et l’Amérique du Nord). Précisons qu’il s’agit de précommandes, avec des premières livraisons prévues dès le mois de juillet 2025. Le site évoque aussi une campagne de financement sur Kickstarter et une promotion de lancement à 299 €, mais ce n’est manifestement pas encore en place.
Smartlet a mis au point un système d’attaches qui doit permettre de rapidement enlever ou remettre les deux montres, tout en les maintenant solidement en place au quotidien. On peut aussi retirer une des deux montres pour avoir un bracelet assez classique dédié à une seule montre, si c’est ce que vous préférez à un moment donné. Les détails de compatibilité sont détaillés sur le site, sachant que la version pour Apple Watch devrait gérer toutes les générations de la montre d’Apple, sauf les deux modèles Ultra. Côté montre traditionnelle, il faut un modèle en métal avec une entre-corne de 20 ou 22 mm, à choisir au moment de la commande.
Outre l’Apple Watch, les créateurs du Smartlet ont prévu des accroches pour la Pixel de Google, le Fitbit Charge, le bracelet Whoop ainsi que deux accroches génériques pour les montres avec attache de 20 ou 22 mm.
Le prix de l'iPhone 16 s'est cassé la figure chez Amazon Italie qui le propose à 751,53 €, c'est le seuil le plus bas depuis son lancement. Toutes les couleurs sauf une sont à ce tarif inédit.
Les 759 € indiqués sur la page du produit sont réduits de quelques euros une fois la TVA abaissée et les frais de port calculés. La livraison est possible entre lundi et mercredi prochain. Amazon France fait aussi une promotion sur ce modèle mais il faut débourser actuellement 866 € au lieu des 969 € de l'Apple Store.
Test de l’iPhone 16 et de l’iPhone 16 Plus : une génération intelligente
Quel que soit le prix auquel on se réfère, c'est une remise significative. L'iPhone 16 n'a guère de gros défauts, il a gagné un bouton Action pour associer à une app, un raccourci ou une fonction et il dispose du bouton de commande de l'appareil photo, comme sur les Pro.
Google Maps généralise une nouveauté ancienne, mais remaniée récemment, en la proposant aussi sur l’écran du tableau de bord contrôlé par CarPlay. Si vous n’aimez pas la flèche bleue qui affiche votre position par défaut, le service permet d’opter pour une voiture, avec depuis peu plusieurs options pour ajuster le format ou la couleur. Jusque-là, la version CarPlay de l’app n’affichait pas cette icône personnalisée, un oubli que le géant de la recherche vient enfin corriger, comme le souligne 9To5 Google en précisant que cela concerne aussi Android Auto.
Que vous utilisiez l’un ou l’autre, Google Maps respectera désormais votre choix d’icône, sur l’écran du smartphone comme sur celui de la voiture reliée au smartphone. C’est purement esthétique, il n’y a aucune différence fonctionnelle par rapport à la pointe de flèche bleue d’origine. Mais enfin, si vous aviez choisi un SUV violet ou bien une sportive jaune dans l’app, vous serez heureux de savoir que l’icône sera désormais bien visible sur CarPlay.
Si vous n’avez pas choisi d’icône personnalisée, sachez que vous devrez le faire depuis votre smartphone, en accédant aux réglages de trajet. Cela se fait par le biais d’une icône dédiée affichée lors de la recherche d’un itinéraire et avant de le lancer (à côté du menu de partage). Parmi toutes les options proposées, la dernière est dédiée à l’icône du véhicule. Vous aurez alors le choix entre six formats de voiture et huit couleurs différents, quel luxe !
Hirokazu Kore-eda, célèbre réalisateur japonais qui a signé une quinzaine de long-métrages et quelques séries, a utilisé exclusivement des iPhone 16 Pro pour tourner son dernier film, un court-métrage de près de trente minutes nommé Last Scene. C’est un projet mené avec l’aide d’Apple, qui diffuse d’ailleurs sur son compte YouTube japonais tant le film en entier (ci-dessous) qu’une vidéo making-of de quelques minutes. Ce n’est pas la première fois qu’un cinéaste de renom utilise un iPhone, Steven Soderbergh a été un pionnier dès 2018 en filmant un long-métrage destiné au cinéma avec le smartphone.
À chaque fois, il ressort de ces expériences que l’on peut obtenir de très belles images avec l’iPhone et que le format plus compact permet d’explorer de nouvelles idées. Plus étonnant peut-être, le mode Cinématique a été utilisé à plusieurs reprises pour ajouter du flou sur l’arrière-plan et le mode Action a stabilisé une séquence tournée avec un iPhone tenu à bout de bras. La vidéo évoque aussi le téléobjectif 5x qui a servi sur d’autres plans et même les styles photographiques, qui ont servi pour les photographies prises pendant le tournage.
Le smartphone d’Apple a été exploité pleinement pour ce projet, qui est avant tout une publicité pour l’iPhone bien sûr, mais qui fournit aussi aux amateurs de Kore-eda un nouveau film à découvrir. Les deux vidéos sont en japonais, on peut activer des sous-titres en anglais que YouTube pourra traduire automatiquement si vous le lui demandez.
Apple a trouvé un bon angle pour promouvoir le Vision Pro : revoir les premiers mois de la vie de son nouvel enfant en vidéo spatiale. Pour qui a déjà testé le casque d'Apple, il y a une véritable sensation d'immersion dans l'image et a fortiori lorsque c'est un film.
Dans son clip de célébration de la fête des Mères, Apple s'est adjoint les services d'un couple dont le mari a filmé son épouse et leur second enfant pendant sa première année. Le cadeau de fête des Mères étant un montage que la mère découvre dans le Vision Pro, en version spatiale, comme si elle les revivait (presque) pour de vrai.
C'est objectivement une bonne idée puisque ce sont des instants très particuliers, bien plus que d'autres à plein d'égards, que l'on ne peut revivre. À ceci près que la pub, vue en dehors du Vision Pro, ne rend pas compte de la sensation que l'on peut éprouver. C'est tout le problème lorsqu'on veut montrer ce que l'on peut éprouver dans le Vision Pro… sans Vision Pro. La spatialité tombe à plat.
Filmer en vidéo spatiale nécessite d'avoir iOS 18 sur des iPhone 15 Pro et tous les modèles d'iPhone 16 (hors iPhone 16e). Détail, ces vidéos pèsent deux fois plus lourd que leur équivalent standard (130 Mo la minute en 1080p SDR et 30 i/s).
Mise à jour le 9 mai : macFUSE 5.0 est distribué dans une première version bêta. Son développeur précise qu'il a abandonné la prise en charge de macOS 10.9 jusqu'à 10.15 pour démarrer à partir de macOS 11 (Big Sur en 2020).
Article du 14 avril
FSKit étant finalement implémenté dans macOS 15.4, les développeurs peuvent tirer profit de ce framework qui facilite l’ajout de systèmes de fichiers. C’est ce que va faire Benjamin Fleischer avec macFUSE, un logiciel lui-même destiné à simplifier la prise en charge de systèmes de fichiers supplémentaires sur macOS.
macFUSE 5 laissera le choix aux utilisateurs : soit l’installation classique avec une extension du noyau, soit l’installation allégée grâce au framework FSKit. L’avantage de cette dernière, c’est qu’il ne sera pas nécessaire de basculer son Mac en « sécurité réduite » pour utiliser le programme, l’intérêt de FSKit étant justement que les systèmes de fichiers deviennent des extensions exécutées dans l’espace utilisateur.
macFUSE 5 va conserver la méthode d’installation traditionnelle pour ceux qui le souhaitent car le nouveau framework n’offre pas encore toutes les possibilités permises par une extension du kernel. « La version actuelle de FSKit est destinée aux volumes locaux. Cela implique des limitations qui peuvent s'appliquer lors du montage d'un système de fichiers distribué ou réseau. […] Pour de nombreux systèmes de fichiers FUSE, l’infrastructure FSKit sera le premier choix, pour d'autres, l’infrastructure de l'extension du noyau restera le plus adapté », explique le développeur. La date de sortie de macFUSE 5 n’a pas encore été annoncée.
FUSE-T, une autre implémentation de FUSE sur macOS (qui ne nécessite pas d’extension du noyau, contrairement à macFUSE), va se tenir à l’écart de FSKit à court terme. Après une discussion avec un ingénieur d’Apple, son développeur estime que le nouveau framework n’est pas pertinent pour l’instant. Dans cet échange, l’employé de Cupertino soulignait justement que FSKit n’était pas pensé pour les volumes réseau, tout en précisant avoir bien conscience de cette demande.