Apple lance son offre Back to School en Amérique du Nord

Les vacances approchent et peut-être la nécessité de changer de forfait pour profiter de plus de DATA à partager ou à consommer à l’étranger. Les quatre principaux opérateurs alignent chacun de nombreuses offres — B&You et Free sont les plus raisonnables — et Sosh profite de la période pour augmenter certaines dotations en DATA utilisables en Europe.
La filiale d’Orange offre ces temps-ci un plus large éventail de forfaits avec quelques formules plus accessibles et un surcroît de data pour les déplacements en Europe avec un « Boost vacances » sur certaines formules.
Chez Bouygues certains forfais, comme celui de 40 Go permettent de voir venir au quotidien. Par contre quelques offres n’ont guère d’intérêt. Qu’il s’agisse de l’option 5G sur un forfait riquiqui ou du 40 Go en 5G qui est trop proche du forfait 200 Go.
Même remarque chez RED que pour B&You. Un forfait comme celui de 40 Go avec l’option 5G n’a aucune espèce d’intérêt face au 200 Go en 5G aussi et moins cher. Mais la grille est bien fournie. À noter aussi que toutes les formules — de la 2 Go à la 250 Go — ont accès à une option de 5 € qui porte la DATA à l’étranger à 40 Go avec la Suisse, Andorre et l’Amérique du Nord.
Comme d’habitude les abonnés Freebox disposent de réductions sur le Forfait 2 € (offert) et Free 5G qui passe en illimité sur la DATA et revient à 9,99 €
Si vous avez besoin de plusieurs traqueurs pour suivre vos objets et éviter de les perdre, il y a une promotion intéressante chez Amazon : quatre traqueurs noname pour 30 €, soit moins cher qu'un seul AirTag. Ce sont des produits équivalents à tous les traqueurs d'entrée de gamme, et ils offrent la même chose que les autres modèles.
Ils s'alimentent avec une pile CR2032 (comme les AirTags) et sont localisables en Bluetooth. Cette solution permet de les faire sonner quand vous êtes chez vous ou de les voir sur la carte de l'application Localiser d'Apple. Comme tous les traqueurs, AirTags compris, ils profitent du grand nombre d'appareils iOS en circulation pour effectuer un suivi même s'ils sont éloignés de votre iPhone. Les traqueurs compatibles n'offrent pas la localisation précise à courte portée (réservée aux AirTags avec un iPhone compatible UWB) mais suffisent amplement pour retrouver un sac à dos ou des clés, par exemple. Contrairement aux AirTags, ils ont l'avantage d'intégrer un trou pour une boucle. Enfin, l'autonomie réelle est probablement plus faible que les AirTags (nous avons obtenu entre six et huit mois sur les modèles compatibles, contre un peu plus d'un an sur un AirTag) mais la différence de prix compense largement ce point : ils valent 7,5 € pièce (si vous en achetez quatre).
Si vous n'aimez pas les nouvelles icônes, la transparence, le nouveau Spotlight et les coins arrondis de Liquid Glass avec macOS Tahoe, vous pouvez rester sous macOS Sequoia vous pouvez utiliser le hack fourni par Kosutami sur GitHub. Le nom est assez explicite : GoAwayLiquidGlass.
La solution demande un peu de travail. Premièrement, il faut désactiver les sécurités de macOS. Sur un Mac Apple Silicon, il faut éteindre le Mac, presser le bouton d'allumage et le garder enfoncé quelques secondes : vous devriez arriver dans la partition de restauration. Une fois le bouton Options sélectionné, il faut lancer le Terminal dans le menu et taper csrutil disable
. Vous devrez taper le mot de passe du compte principal, valider avec y
et redémarrer.
La seconde étape va être de télécharger le fichier FeatureFlags.zip
et le décompresser, pour obtenir un dossier FeatureFlags
. Il faut ensuite le glisser dans le dossier /Bibliothèque/Preferences/
qui se trouve à la racine de votre SSD (/Library/Preferences/
avec un système en anglais). Attention, il faut bien glisser le dossier complet et pas uniquement son contenu. Une fois que c'est fait, il faut redémarrer et vous devriez voir des coins moins arrondis, moins de transparence (notamment dans la barre de menus) et les icônes habituelles.
Si vous avez envie de revenir à la nouvelle interface, c'est assez simple : il faut supprimer le dossier FeatureFlags
et redémarrer. Notons enfin que ce hack ne va pas nécessairement fonctionner dans le futur. Il est actif avec la première bêta de macOS Tahoe, mais ne le sera peut-être plus ensuite.
Ceux qui attendent les AirPods Pro 3 devront peut-être ronger leur frein jusqu’à l’année prochaine. C’est au tour de l’analyste Jeff Pu de GF Securities de mettre une croix dans le calendrier pour 2026.
Une relative logique voudrait que la troisième génération de ces écouteurs arrive en septembre prochain avec les nouveaux iPhone et en prévision des ventes de Noël. Les deux premières générations ont été espacées de 3 ans. Mais selon le planning de lancements d’Apple établi par Jeff Pu pour 2025 à 2027, il n’y aurait pas d’AirPods Pro cette année. Il rejoint en cela son confrère Ming-Chi Kuo qui disait la même chose en mai dernier. Parallèlement à ces hypothèses, la première bêta d’iOS 26 contient déjà de brèves références à ces futurs écouteurs.
Dans son agenda, Jeff Pu a inscrit d’autres matériels prévus. En dehors des Apple Watch aux dates habituelles, l’analyste s’attend au « HomePad », cet écran domotique pour cette année, un « rafraîchissement » du Vision Pro en 2026 puis un « Vision Air » (a priori un casque simplifié) à partir de 2027 et des lunettes connectées la même année. Pour ces trois produits, il y a encore quelques incertitudes. Enfin, l’Apple Watch avec un lecteur de glycémie arriverait aussi en 2027.
Razer vient d'annoncer une nouvelle gamme de manettes Kishi, la v3. Elle comprend trois modèles, dont un qui est adapté à l'iPad Pro, même dans sa version 13 pouces.
La première, la Kishi v3, abandonne les iPhone Lightning. C'est une manette berceau classique, avec une prise USB-C mâle (pour la connexion au smartphone), une prise USB-C femelle (pour la charge du smartphone), une sortie jack 3,5 mm et les boutons classiques. Elle possède des sticks asymétriques, façon Xbox, et la prise USB-C femelle la rend compatible Windows, même si le format n'est pas spécialement ergonomique dans ce cas. Elle vaut 110 € chez Razer, un prix dans la moyenne pour une manette berceau filaire. Elle possède aussi deux boutons programmables à l'arrière, et Razer offre trois mois d'Apple Arcade.
La seconde, la Kishi v3 Pro, cible plutôt les petites tablettes, comme l'iPad mini. Razer indique une compatibilité jusqu'aux tablettes de 8 pouces. Elle garde les mêmes fonctions filaires en USB-C, mais gagne deux boutons supplémentaires au niveau des gâchettes. Elle est aussi dotée d'un mécanisme de retour haptique (des vibrations) mais la fonction n'est pas prise en charge sous iOS et se contente d'Android et Windows. Elle vaut 170 €, avec trois mois d'Apple Arcade offerts. Razer a la bonne idée de proposer deux versions des sticks analogiques : une avec un capuchon convexe et une seconde avec un capuchon concave.
Enfin, la Kishi v3 Pro XL garde les mêmes fonctions mais est adaptée aux grandes tablettes, de 10 à 13 pouces. Elle est donc parfaite pour jouer sur un iPad Air 13 pouces ou l'iPad Pro équivalent. Elle vaut 230 € (un prix élevé) et est livrée avec six mois d'abonnement à Apple Arcade.
Aqara commercialise aujourd’hui la U200 Lite, techniquement un nouveau produit, même si cette serrure connectée est bien connue déjà. Il s’agit d’une variante de la U200 du constructeur, la première et toujours la seule serrure connectée qui propose la fonctionnalité clés du domicile en Europe. Le côté allégé promis par le nom se retrouve dans le prix, 128 € et même moins grâce à la promo de lancement (voir à la fin), mais aussi l’abandon justement de cette fonction. Pour faire simple, Aqara commercialise la partie intérieure de la U200, sans le pavé extérieur qui contient la puce NFC obligatoire pour la fonctionnalité d’Apple.
Pour rappel, la U200 est une serrure connectée Matter qui se connecte en Thread et qui est composée de deux parties. À l’intérieur, on retrouve un moteur qui vient tourner à votre place la clé laissée sur la porte, associé à une batterie qui doit offrir jusqu’à 6 mois d’autonomie. À l’extérieur, un pavé permet d’ouvrir la serrure en saisissant un code numérique, grâce à la lecture d’empreintes ou encore en approchant un iPhone ou une Apple Watch, grâce à la fonction clés du domicile.
Test de la serrure connectée U200 d’Aqara : le premier modèle compatible « Clés du domicile » en Europe
Avec la U200 Lite, vous aurez le module intérieur et c’est tout. Vous pourrez toujours bénéficier de nombreux avantages liés à une serrure connectée, comme les ouvertures ou fermetures à distance par le biais de la domotique, les automatisations pour fermer le soir venu, la possibilité de prévoir des accès temporaires pour des invités, etc. Néanmoins, sans module extérieur, on perd quand même plusieurs avantages apportés par cette catégorie de produits. C’est d’autant plus vrai chez Aqara, puisque son pavé numérique intégre une puce NFC reconnue par Apple.
Reste que le prix est très mesuré, surtout pour ce lancement puisque l’entreprise propose une réduction supplémentaire de 20 % sur Amazon. Saisissez le code U200LITE
juste avant de passer la commande et vous ne paierez que 102,4 €, un excellent prix pour une serrure connectée compatible avec l’app Maison d’Apple. Aqara m’a indiqué que le pavé extérieur pourra être acheté dans un deuxième temps, même s’il n’est pas encore vendu séparément pour le moment.
Les escroqueries par SMS se sont métamorphosées. Finies les fautes grossières et les promesses absurdes. En 2025, ces attaques ciblent des profils bien réels, bâtis sur des données personnelles collectées et revendues à grande échelle. Incogni propose une méthode radicale pour tarir cette source.
Depuis janvier 2025, la France connaît une hausse fulgurante des arnaques par SMS. L’ANSSI évoque une augmentation de 45 % des signalements sur un an.
La DGCCRF fait état de plus de 80 000 victimes depuis janvier, pour un préjudice total dépassant les 30 millions d’euros. La nature même des attaques a changé. Elles ne sont plus génériques, mais adaptées à la cible. Elles exploitent des informations précises : le nom du destinataire, son opérateur, parfois un achat récent ou une adresse exacte.
Ce ciblage est rendu possible par le commerce opaque, mais légal, des données personnelles. Selon Cybermalveillance.gouv.fr, 63 % des campagnes de phishing mobile recensées en 2025 reposent sur des profils construits à partir de données revendues par des courtiers en données. Ces entreprises récupèrent vos informations via des cookies, des inscriptions à des services gratuits, des comparateurs en ligne, ou de simples clics d’acceptation.
Une fois le profil établi, il est revendu à l’unité ou en lot. Ces données alimentent ensuite les réseaux d’escroquerie, qui peuvent vous viser sans jamais vous connaître.
Face à cette industrie de la donnée, Incogni s’appuie sur une stratégie claire : utiliser le cadre légal du RGPD pour exiger la suppression de vos informations auprès des courtiers qui les détiennent.
Le service agit en votre nom. Il identifie les courtiers, envoie les demandes de suppression, relance si nécessaire, et vous tient informé des résultats obtenus. Le processus est continu. Il ne s’agit pas d’une simple purge ponctuelle, mais d’un assèchement progressif des canaux de fuite.
Contrairement aux logiciels de sécurité, Incogni ne réagit pas aux menaces : il réduit la surface d’exposition. En supprimant vos données des bases à l’origine de ces campagnes, il rend les attaques beaucoup plus difficiles à cibler. Moins de données, moins de précision, donc moins de risques.
Je réduis mon exposition avec Incogni →
Depuis avril 2025, Incogni propose plusieurs niveaux d’abonnement. Pour une personne seule, la formule mensuelle est fixée à 14,48 €. Un engagement annuel permet de faire baisser le coût à 87,48 €, soit 7,29 € par mois.
Pour une famille, l’abonnement mensuel s’élève à 30,98 €, ou 185,88 € par an, ce qui équivaut à 15,49 € par mois. Enfin, une formule dite « Unlimited », offrant une suppression continue et sans limite, est proposée à 12,99 € par mois pour une personne seule, ou 25,49 € pour une famille entière.
Ces montants sont à mettre en perspective avec le coût moyen d’une arnaque par SMS, qui selon la DGCCRF, s’élève en 2025 à 362 € par victime. Le calcul est rapide, et il est en faveur de la prévention.
Je protège mes données personnelles avec Incogni →
L’époque où l’on se contentait de supprimer les messages suspects est révolue. En 2025, l’arnaque par SMS ne relève plus du hasard. Elle s’appuie sur des données récoltées à votre insu, par des acteurs discrets mais massivement présents sur le Web. Lutter contre ce système implique d’agir là où il prend racine.
Incogni ne promet pas l’invisibilité totale, mais il offre une réponse concrète à une menace invisible. Pour celles et ceux qui refusent de rester exposés sans rien faire, il représente une voie simple, légale et efficace !
Amazon organisera son événement Prime Day pendant quatre jours cette année. Ce rendez-vous estival de promotions est habituel mais il se déroulait auparavant sur deux journées. Cette fois ce sera le double, du mardi 8 au vendredi 11 juillet, a annoncé le vendeur.
En outre, chaque journée sera désormais rythmée par des « Vente Flash du jour » organisées autour de thématiques de produits. Lors de précédentes éditions les produits d'Apple avaient été concernés : AirPods, iPad, iPhone, MacBook, accessoires…
L'accès à ces promotions tous azimuts est réservée aux titulaires d'un abonnement Prime vendu 6,99 € par mois (ou 69,90 € par an) après 30 jours d'essai (il est résiliable à tout moment). Les étudiants (18-22 ans) ont droit à un tarif de 3,49 € mensuel après la période d'essai. Cette souscription comprend des livraisons plus rapides et gratuites sur de multiples produits, des accès à Amazon Music Prime, Prime Video, etc.
Après l’interdiction de la fessée il y a fort longtemps, les enfants de moins de 3 ans sont sur le point d’acquérir un nouvel acquis social : l’interdiction d’écran. C’est en tout cas ce que souhaite mettre en place la ministre de la Santé et des Solidarités, Catherine Vautrin.
Plutôt que de légiférer, la ministre souhaite impulser un changement de paradigme dans notre société. Elle fait le parallèle avec la fessée, pour laquelle, les forces de l’ordre ne vont pas vérifier dans chaque foyer si…
Pour sensibiliser les esprits, Libération rapporte que Madame Vautrin a décidé de publier « dans les toutes prochaines semaines un arrêté interdisant les écrans dans les lieux d’accueil des enfants de moins de 3 ans ». «Les professionnels ont déjà une forte sensibilité à l’impact des écrans sur les tout-petits. Ils ont contribué à l’élaboration d’un référentiel sur la qualité d’accueil qui mentionne déjà cette interdiction, et cela leur donnera une assise encore plus forte pour conseiller les parents», a fait savoir la ministre.
Le nouveau carnet de santé disponible depuis le premier janvier affiche clairement la mention « pas d’écran avant 3 ans » et préconise un usage « occasionnel, limité à des contenus à qualité éducative et accompagné par un adulte » entre trois et six ans.
Le gouvernement prévoit également de lancer une campagne publicitaire pour bien étayer son message. Cette décision fait suite à la publication d’un rapport publié par des experts de la santé demandé par le président de la République en 2024. Ce rapport a conclu que la consommation d’écran au sens large (smartphones, téléviseurs, consoles…) pour les enfants de moins de trois ans « altère durablement la santé et les capacités intellectuelles ».
Amazon fait quelques réductions de bon aloi sur quelques Apple Watch Ultra 2 tandis que s'installent des remises intéressantes sur des Series 10. Pour les Apple Watch Ultra, le vendeur retire jusqu'à 100 € au tarif des modèles suivants :
Ce modèle d'Ultra est le dernier en date sorti à l'automne dernier. Il y a eu l'ajout de cette référence en titane noir, le processeur a été modernisé, permettant par exemple de faire fonctionner Siri en local — sans l'aide de l'iPhone — pour certaines requêtes.
Il y a la puce U2 pour utiliser la localisation précise (avec des instructions plus détaillées lorsqu'on cherche son iPhone à proximité). On dispose du geste de « Toucher deux fois » pour déclencher certaines actions (comme de valider une notification) par un pincement rapide de deux doigts, sans toucher ou même regarder l'écran. L'Ultra a également des GPS plus précis, elle est plus endurante sur l'autonomie et plus costaude que les Series.
Les Apple Watch Series 10 ne sont pas oubliées et profitent d'une réduction de 70 € qui n'est pas nouvelle, mais on peut continuer d'en bénéficier sur plusieurs modèles, comme ceux-ci par exemple :
Series 10 (42 mm GPS) en Aluminium et Bracelet Sport à 379 €
Series 10 (46 mm GPS) en Aluminium et Bracelet Sport à 409 €
Series 10 (42 mm cellulaires) en Aluminium et Bracelet Boucle Sport à 499 €
Series 10 (46 mm cellulaires) en Aluminium et Bracelet Boucle Sport à 529 €
Series 10 (46 mm cellulaires) en Titane et Bracelet Sport à 779 €
Niveau timing, The Browser Company n’a peur de rien. Présenter le « successeur » d’Arc en pleine WWDC, il fallait oser. L’éditeur a peut-être jugé qu’il y avait un coup à jouer en voyant qu’Apple n’avait pas décidé de bouleverser son navigateur web, qui devient au fil des années toujours plus conservateur.
Bye-bye Arc et place à Dia, qui est disponible pour le moment en exclusivité aux utilisateurs d’Arc. Ce navigateur, disponible uniquement sur Mac pour le moment, nécessite au minimum un système sur puce M1 et macOS 14.
Si la prise en charge d’Arc avait de quoi surprendre, Dia prend la forme d’un navigateur traditionnel. On regrette au passage que la barre des onglets ne soit plus sur le côté, à la manière d’Omniweb. Dia a également perdu tout ce qui faisait le charme d’Arc pour les développeurs web. Il n’est plus possible, par exemple d’afficher plusieurs pages web dans la même fenêtre.
Rien d’étonnant à cela, l’éditeur avait averti de ce changement de cap. Dia garde toutefois certaines spécificités d’Arc comme cette boite de dialogue diablement pratique dès qu’on commence à taper une URL.
Dia est un navigateur plus simple, moins déroutant et qui se distingue surtout par l’ajout d’une intelligence artificielle que l’on peut questionner à tout moment.
Dans le cas présent, on a demandé à l’assistant de Dia des informations sur la chaine Linus Tech Tips suite à notre article paru la semaine dernière. L’un des intérêts de Dia, c’est de pouvoir mettre en lien plusieurs sites ou services ouverts sur le navigateur web de The Browser Company. Dans l’exemple donné par l’éditeur, on voit par exemple une personne rédigeant un mail pour partager ses disponibilités en vue d’un rendez-vous demander à Dia de faire le nécessaire : aller chercher l’information dans son calendrier en ligne, puis prérédiger le mail correspondant. Ses fonctions IA sont également pensées pour le shopping en ligne.
Pour plus de précision, Dia propose de conserver de manière anonymisée vos données sur ses serveurs pendant une semaine. Cela permet à l’IA de Dia de mieux comprendre le contexte et de vous aider lorsque vous faites des recherches dans votre historique. Encore faudra-t-il s’assurer la confiance des utilisateurs.
Les navigateurs carburant à l’IA sont en plein boom. Dans le même genre, Opera a récemment levé le voile sur Neon, qui tout comme Dia est disponible sur invitation.
Opera Neon veut naviguer sur le web à votre place
Avec watchOS 26, Apple va compléter la transition vers le 64 bits pour ses montres les plus récentes. Le changement a été discrètement annoncé dans la session technique 334 de la WWDC 2025, repérée par MacRumors. Les Apple Watch Series 9, Series 10 et Ultra 2, ainsi que tous les modèles qui sortiront par la suite, sont désormais compatibles avec l’architecture arm64
, comme tous les autres produits conçus par Apple depuis bon nombre d’années.
En réalité, les montres pommées étaient déjà compatibles avec une architecture 64 bits, depuis les Apple Watch Series 4 qui ont été les premières à être équipées d’un processeur 64 bits. Néanmoins, Apple avait alors opté pour une architecture de transition, nommée arm64_32
. Pour simplifier, cela permet de rester sur du code exécuté en 32 bits sur un CPU 64 bits, ce qui est utile pour réduire la demande en mémoire vive et probablement plus rapide sur le matériel d’alors.
Series 4 : la transition vers le 64 bits facilitée par Bitcode ?
Les puces conçues par Apple pour les Apple Watch ont bien progressé depuis 2018, si bien que cette architecture de transition n’était sans doute plus nécessaire. À compter de watchOS 26, les montres concernées pourront exécuter du code 64 bits, consommant plus de RAM certes, mais offrant aussi des performances supérieures. Pour que cela ait un effet, il faudra toutefois que les développeurs compilent leurs apps avec la nouvelle version de Xcode. Les projets avec les paramètres par défaut seront compilés pour toutes les architectures gérées par watchOS 26, c’est l’App Store qui se chargera de transmettre la meilleure version en fonction de votre matériel.
Même si watchOS 26 deviendra un système entièrement 64 bits sur les montres récentes, ces dernières pourront toujours exécuter du code arm64_32
. C’est d’ailleurs grâce à cela que l’on peut faire tourner des apps tierces sur la première bêta, alors même qu’elles n’ont pas été compilées depuis les annonces de la semaine dernière. L’architecture reste prise en charge pour le moment, puisqu’il y a encore des Apple Watch qui en dépendent, mais à terme, watchOS devrait passer entièrement et uniquement sur l’architecture arm64
.
La session entre dans quelques détails techniques qui intéresseront surtout les développeurs. Ils devront faire attention à la gestion des différents types de données, notamment pour stocker des nombres, il peut y avoir des différences entre les architectures. Le simulateur intégré à Xcode tourne toujours en mode 64 bits complet sur les puces Apple Silicon, alors mieux vaut tester sur des Apple Watch si c’est possible, pour vérifier que tout fonctionne bien dans tous les cas de figure.
The Trump Organization a annoncé en grande pompe le lancement d’un nouveau smartphone, que dis-je, une révolution dans le monde du mobile si l’on en croit Eric Trump, vice-président exécutif de l’entreprise et par ailleurs fils de l’actuel locataire de la Maison-Blanche. Cette révolution passe essentiellement par « Trump Mobile », un nouvel opérateur virtuel (MVNO) qui exploite le réseau de T-Mobile et qui propose une offre pour le moment unique avec le « Plan 47 », un forfait tout illimité (en théorie) à 47,45 $ par mois.
Pour l’accompagner, quoi de mieux qu’un smartphone Android milieu de gamme, mais doré et soi-disant fabriqué sur le sol américain ? Voici le T1SM Phone, annoncé à 499 $ avec une fiche technique très banale en 2025, à l’image du trio de caméras au dos qui associe un grand-angle de 50 mégapixels à deux capteurs de 2 mégapixels pour la macro et un effet de profondeur. Il devrait tourner sous Android 15, on peut imaginer avec une surcouche dans le même esprit doré, mais on a vraiment peu d’informations. On ne sait pas non plus exactement qui produirait l’appareil aux États-Unis, ni la puce principale utilisée… de toute manière, ce sont certainement des détails qui n’intéresseront pas les clients potentiels.
Quant au forfait, il n’est pas très intéressant même pour le marché américain, puisque de nombreuses offres similaires existent déjà et elles sont moins chères, comme le relèvent nos confrères de The Verge. La promesse d’illimité est par ailleurs toute relative, puisque les données en 5G seront bridées au-delà de 20 Go par mois. Les SMS sont censés être illimités, mais peuvent aussi être limités en cas d’abus, sans que les conditions soient précisées.
À noter qu’il n’est pas nécessaire d’acheter le T1 Phone pour souscrire un abonnement Trump Mobile, on peut l’utiliser avec n’importe quel autre smartphone 5G sur le marché. Mais ce serait quand même dommage de passer à côté de ce splendide téléphone doré, n’est-ce pas ? Si vous habitez aux États-Unis, vous pouvez laisser 100 $ pour une précommande et espérer recevoir l’appareil dès le mois d’août d’après le communiqué… ou septembre d’après le site, c’est selon. Une chose est sûre, les précommandes se déroulent aussi bien qu’on pouvait l’imaginer, si l’on en croit les premiers retours.
Mise à jour le 17/06/2025 07:43 : ajout de quelques détails supplémentaires. D’après Max Weinbach sur X, le T1SM Phone pourrait être une version dorée du REVVL 7 Pro 5G, un smartphone produit par l’entreprise Wingtech qui appartient au géant chinois Luxshare et qui est vendu aux États-Unis à 170 $ par T-Mobile.
Parmi toutes les nouveautés de macOS Tahoe, l’affichage des activités en direct de l’iPhone associé au Mac, directement dans la barre des menus est particulièrement intéressante pour suivre du coin de l’œil une action importante, que ce soit une livraison en cours, un score, une charge de voiture ou encore des détails sur un vol à venir. Cette fonctionnalité est associée au mode recopie de l’iPhone et comme elle n’arrivera toujours pas en Europe, on pouvait se dire que les activités en direct ne seront pas non plus disponibles sur le continent.
C’est d’ailleurs ce qu’Apple a confirmé auprès de nos confrères de Numerama, en ajoutant au mix l’app Téléphone qui pourrait bien disparaître de la version finale. En attendant, macOS Tahoe l’intègre bien, nous avons d’ailleurs pu la tester sur nos Mac. De la même manière, la première bêta de macOS 26 semble assez souple, puisque nous avons obtenu des activités en direct sur nos ordinateurs pommés, alors même que le mode recopie de l’iPhone était en effet inaccessible.
La situation est un petit peu floue et il est probable qu’il reste des bugs à combler, ce qui voudrait dire pour nous malheureusement que la fonctionnalité pourrait disparaître dans le courant de l’été. Une hypothèse, suggérée par @nileane@nileane.fr, serait qu’il suffit que le Mac ait droit au mode recopie au moins une fois (en étant utilisé hors des frontières européennes, ou encore en étant associé à un compte App Store enregistré hors de l’UE) pour que cela débloque la fonctionnalité. Là encore, est-ce voulu ou un bug ? Il faudra probablement attendre les futures bêtas pour le savoir.
En attendant, on sait que les activités en direct ne seront pas réservées aux iPhone sous iOS 26. Comme le relève 9To5 Mac, c’est Apple elle-même qui l’a confirmé dans la session 278 qui liste les nouveautés de 2026 pour les widgets. Il suffit d’un iPhone sous iOS 18 pour que ses activités en direct apparaissent sur un Mac, qui doit lui bien être sous macOS 26.
La rumeur avait vu juste : Apple a bien sorti de nouvelles bêtas ce soir et avant de vous précipiter sur votre iPhone sous iOS 26 en espérant les premiers correctifs pour pouvoir enfin lire le contenu de vos notifications et retrouver une autonomie vaguement correcte, sachez qu’il s’agit de bêtas pour les anciennes versions des systèmes. L’entreprise diffuse en effet les premières bêtas d’iOS 18.6, macOS 15.6, mais aussi watchOS 11.6, visionOS 2.6 et même tvOS 18.6, comme ça pas de jaloux !
Tous les efforts d’Apple sont concentrés sur les mises à jour annuelles depuis plusieurs semaines maintenant, alors on ne s’attend à rien de majeur dans ces versions. S’il s’avère qu’on avait tort, alors vous pouvez compter sur nous pour vous tenir au courant.
Quant aux bêtas qui nous intéressent vraiment, il faudra attendre au strict minimum la semaine prochaine, et vraisemblablement plutôt la suivante, pour recevoir la deuxième bêta développeurs d’iOS 26, macOS 26 et toutes les autres versions. La première bêta publique est attendue quant à elle début juillet, sans doute autour de la troisième ou quatrième bêta destinée aux développeurs.
« No Ads! No Games! No Gimmicks! » Tel était le mémo affiché sur le bureau de Jan Koum, cofondateur de WhatsApp, lorsqu’il dirigeait encore l’application. Onze ans après l’acquisition de la messagerie, Mark Zuckerberg vient de rayer la mention « No Ads! » : des publicités vont bientôt faire leur apparition dans l’application.
Conscient du caractère explosif du changement, Meta entoure ces pubs de quelques précautions. Elles ne s’afficheront pas dans l’onglet Discussions ni Appels, elles seront circonscrites à l’onglet Actus. C’est là où on trouve les chaînes, des canaux de diffusion à sens unique prisées par les marques et les personnalités, et les statuts, l’équivalent des stories de Snapchat ou Instagram.
« Si vous n’utilisez WhatsApp que pour envoyer des messages ou passer des appels, ça ne changera rien pour vous », souligne Will Cathcart, le directeur de l’application, auprès du journal Le Monde. C’est vrai, mais depuis son ouverture en 2023, l’onglet Actus attire 1,5 milliard de personnes chaque jour, soit un utilisateur sur deux.
Deux formats publicitaires sont prévus dans cet onglet. Il y aura des « chaînes sponsorisées » mises en avant dans l’annuaire en échange d’une contribution financière de leurs créateurs. Et il y aura des pubs sous les statuts. Par ailleurs, Meta a annoncé la possibilité pour les créateurs de chaînes de proposer des abonnements payants.
Le groupe insiste sur le fait que les messages personnels, les appels et les statuts (qui sont tous chiffrés de bout en bout) ne seront pas utilisés pour personnaliser les publicités. Cela étant, une certaine personnalisation sera bien à l’œuvre avec toutes les données suivantes :
Faut-il craindre une invasion publicitaire dans les autres sections de l’app, comme entre deux discussions ? Pas forcément. Malgré cette évolution, WhatsApp ne semble pas faire de la pub l’alpha et l’oméga de son modèle économique. D’après Will Cathcart, les services aux entreprises — comme l’intégration des services client dans l’app —, « génèrent déjà des revenus importants » qui sont « supérieurs [aux] coûts de fonctionnement de WhatsApp. »
Si Apple a intégré un son de démarrage à ses Mac depuis les débuts des Macintosh — le fameux chime —, Microsoft a préféré intégrer une petite mélodie au chargement de Windows, pour des raisons pratiques. Dans la dernière version de développement de Windows 11 (une sorte de bêta publique), le son de démarrage de Windows 11 a été remplacé par celui de Windows Vista, que vous connaissez probablement.
Officiellement, c'est un bug et Microsoft a ajouté une ligne dans les notes de version de la mise à jour en question. Mais en pratique, c'est plus probablement un Easter Egg moqueur (c'est-à-dire une référence un peu cachée) ou une blague qui n'est pas assumée : la nouvelle interface unifiée d'Apple, Liquid Glass, a en effet été comparée dès son annonce la semaine dernière à l'interface Aero de Windows Vista. Il peut bien évidemment s'agir d'une coïncidence, mais les chances qu'un bug implique justement la partie audio d'un système d'exploitation lancé il y a plus de 18 ans sont tout de même assez faibles, surtout quelques jours après un regain d'intérêt pour ce dernier.
Liquid Glass : le verre est dans la pomme
Aura Display, une société américaine, propose une solution surprenante pour ceux qui veulent une grande surface de travail avec un ordinateur portable : le Triple Aero 15,6" Max. C'est un assemblage de trois moniteurs 15,6 pouces (1080p) sur un support, qui propose l'équivalent d'un moniteur de 43 pouces (très) large, en 48:9.
La solution est astucieuse sur un point : pour éviter les contraintes des ordinateurs qui ne prennent pas en charge plusieurs moniteurs externes (les MacBook Air, même M4, se limitent à deux écrans externes, par exemple), il y a une carte graphique USB intégrée. Les trois moniteurs ne nécessitent donc qu'une prise USB-C pour la connexion (et un second câble relié à un adaptateur USB-C de 65 W pour l'alimentation) et un pilote. Aura Display a malheureusement choisi une puce Silicon Motion, qui a le désavantage d'être plus lente que les contrôleurs de DisplayLink. Les pilotes existent pour Windows, macOS (Apple Silicon compris), GNU/Linux (Ubuntu explicitement) et même Android.
Test d'adaptateurs DisplayLink : une bonne solution pour brancher plusieurs écrans à un Mac M1/M2 ?
Ce choix amène évidemment des performances nettement inférieures à un écran piloté directement depuis une carte graphique classique, mais rend le tout plus flexible. C'est suffisant pour travailler, mais pas pour jouer ni pour regarder des vidéos en streaming, car les solutions USB tendent à ne pas fonctionner avec les protections (DRM) des services comme Netflix.
Les trois dalles sont assez classiques, et similaires aux écrans portables que vous pouvez acheter pour moins de 100 €. Il s'agit de dalles IPS, avec de bons angles de vue mais un contraste faible (1200:1 annoncé), une définition correcte compte tenu de la diagonale (1 920 x 1 080 pour 15,6 pouces) et une luminosité maximale acceptable (350 cd/m²). L'ensemble pèse 3,2 kg et se replie facilement grâce au support en forme de chevalet, ce qui rend le tout à peu près portable.
Pour les amateurs de consoles ou pour ceux qui voudraient tenter de se passer de la carte graphique USB intégrée, le support intègre trois entrées mini HDMI, placées au niveau du moniteur central. Il est donc possible de relier une console à une des dalles (ou n'importe quel autre appareil) pour travailler avec plusieurs sources.
Le prix de lancement est de 525 €, ce qui est un peu élevé pour trois moniteurs 15,6 pouces portables, mais probablement justifié par le support et la carte graphique USB. Le prix officiel, lui, est visiblement de 613 €. Sans être un produit parfait, c'est une solution qui pourrait trouver un public de niche, pour ceux qui veulent un espace de travail large et transportable sans trop mettre l'accent sur la qualité de l'image.
Test d’écrans portables à bas prix : bonne affaire ou déception garantie ?
Orange a sorti récemment une mise à jour assez importante pour son application Orange TV sur Apple TV. La version 11.4.1 disponible depuis le début du mois améliore la qualité de l’image pour les chaînes de France Télévisions. Le bitrate (la quantité de données transmises) a été doublé à 10 Mb/s pour proposer une image plus nette. La définition, elle, reste en 1080p, mais le bitrate plus élevé amène plus de détails et diminue les défauts liés à la compression. Cette qualité « HD+ » va être déployée au cours du mois sur les autres chaînes de la TNT, si ce n’est pas déjà fait.
En plus de cela, l’opérateur a peaufiné d’autres aspects de son application. La fonction enregistreur, la pagination des pages et la fluidité de la rubrique « Programme TV » ont été améliorées. Orange signale également une mise à jour de son player vidéo ainsi que des corrections de bugs.
Cette application tvOS est incluse dans votre abonnement si vous avez un décodeur TV Orange (oui, c’est paradoxal). C’est une option offerte sur demande pour les clients Livebox, Livebox Up et Max (hors Just Livebox et Cheat_code_18_26). Autrement, elle coûte 5 €/mois.
Comment regarder les chaînes de télé sur l’Apple TV : toutes les apps et offres disponibles