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OpenAI envisagerait de lancer un réseau social basé notamment sur des images générées par ChatGPT
OpenAI envisagerait de lancer un réseau social, d’après les informations rapportées par The Verge, qui cite plusieurs sources internes. L’entreprise aurait un prototype qui serait centré sur des images générées par ChatGPT, parce que qui aurait encore envie de regarder de vraies photos et des dessins créés par des humains en 2025 ? On serait encore loin d’un service prêt à être lancé néanmoins, prévient le site qui note qu’il ne s’agirait que d’un test en interne pour l’heure.

Cela fait néanmoins quelques temps que Sam Altman semble s’intéresser à la question, ce qui apporte un peu de crédit à l’idée d’un réseau social maison. Quand Elon Musk a engagé une procédure judiciaire contre son entreprise en février dernier, il a répondu sur le ton de la blague qu’il était prêt à acheter X pour une bouchée de pain. Face à Meta qui compte bien intégrer sa propre IA dans tous ses réseaux sociaux, il a répondu qu’ils allaient lancer leur propre réseau social.
Au-delà de l’idée de générer des images par ChatGPT, l’intérêt d’un réseau social pour OpenAI serait similaire à celui de Meta face à Facebook ou Instagram pour entraîner Llama, ou encore de xAI face à X pour entraîner Grok. Tous les contenus partagés par des humains sont de précieuses ressources pour créer et enrichir les grands modèles de langage indispensables à toutes les intelligences artificielles génératives comme ChatGPT. Ce dernier pourrait par ailleurs aider les utilisateurs à partager de meilleurs contenus, en écrivant ou réécrivant du texte.
Pour qu’un réseau social soit un succès, les bonnes fonctions ne suffisent néanmoins pas, il faut aussi une masse suffisante d’utilisateurs. OpenAI pourrait peut-être compter sur le succès de ChatGPT, qui a été l’app la plus téléchargée sur l’App Store en mars et qui compte un nombre d’utilisateurs très élevé. Peut-être même que la dimension sociale serait directement intégrée à l’app, et non pas dans un service à part qui devrait repartir de zéro.
Notion lance un client Gmail dopé à l’IA sur le web et pour le Mac
Notion, gestionnaire de notes à l’origine, ajoute une corde de plus à son arc avec un client mail, ou plutôt un client Gmail, puisque les boîtes mail de Google sont les seules prises en charge pour le moment. Autre restriction notable, Notion Mail est uniquement proposé sous la forme d’une webapp ou d’un client pour macOS, basé sur Electron pour afficher la version web. Une app iOS est prévue prochainement, c’est tout ce qui est annoncé à ce stade, même si on imagine que des apps pour Android et probablement pour Windows sont aussi prévues.

Ce nouveau service est en grande partie gratuit, même s’il nécessite d’avoir un compte Notion, lui aussi gratuit. Les abonnés payants n’auront aucune limite sur l’utilisation du service et de toutes ses fonctions, tandis que ceux qui ne payent pas devront s’accommoder de limites qui ne sont pas clairement définies. Quoi qu’il en soit, j’ai pu tester l’app sans payer et sans être inquiété par des fonctionnalités absentes ou bridées.
L’occasion de découvrir un client Gmail dopé à l’IA et trop proche du web, même sur le Mac. Il y a bien quelques raccourcis clavier standards de macOS (⌘,
pour ouvrir les réglages, ⌘N
pour écrire un nouveau mail par exemple), d’autres ne fonctionnent pas. Par exemple, ⌘R
ne permet pas de répondre à un message (il faut juste taper R
), puisque c’est le raccourci clavier qui recharge la vue en cours, comme dans un navigateur web. Autre bizarrerie, j’ai rencontré un bug étrange : ⌘Q
ne quitte pas l’app quand on utilise un clavier AZERTY, il sélectionne tous les mails, l’équivalent de ⌘A
, ce qui prouve que les développeurs ne gèrent que les claviers QWERTY. Il n’y a par ailleurs aucune notion de multiple fenêtres, tout se déroule au sein d’une seule fenêtre, y compris pour ouvrir un message. N’essayez même pas de glisser un fichier sur l’icône du Dock, il ne se passera rien.
À défaut d’être une bonne app native, la force de Notion Mail, c’est l’intégration de fonctionnalités liées à l’IA ainsi que sa proximité avec le contenu enregistré dans son compte Notion. Côté intelligences artificielles, outre les outils désormais courants pour suggérer des réponses (on ne peut pas obtenir le résumé d’un mail, bizarrement), on note surtout la possibilité de créer un label en posant une question en langage naturel ou alors en sélectionnant un message et en demandant de repérer automatiquement les mails équivalents. C’est l’équivalent des règles que l’on connaît bien dans tous les clients et services mail, sauf que vous n’avez pas besoin de définir les paramètres. Dites ce que vous voulez, Notion Mail doit analyser la boîte de réception et trouver des points communs pour rassembler les messages en respectant votre demande.

Cette opération permet de trier rapidement sa boîte mail et elle fonctionne assez bien, même si j’ai vite noté de nombreux oublis. Il faut noter que Notion Mail n’est censée comprendre que l’anglais pour le moment, ce qui signifie peut-être que mes résultats auraient été meilleurs si je n’avais que des messages dans cette langue. D’autres langages seront pris en charge dans les prochains mois, on ne sait pas encore si le français sera sur la liste, mais c’est probable.
L’intégration à Notion passe quant à elle par plusieurs voies, notamment la même interface pour rédiger un mail avec le raccourci /
qui sert à changer la forme ou insérer des blocs complexes. On peut référencer un document stocké dans Notion et enregistrer les réponses fréquentes pour ne pas les saisir à chaque fois. Même si tous les utilisateurs de Gmail peuvent tester Notion Mail gratuitement, le service intéressera avant tout les utilisateurs de Notion, qui pourront exploiter les synergies entre les deux. J’ai été néanmoins surpris de ne pas en trouver plus : je m’attendais, par exemple, à pouvoir partir d’un mail pour créer un document dans Notion, ce n’est pas possible.
Sur le Mac, Notion Mail demande macOS 10.15 (Catalina) au minimum, l’interface n’est proposée qu’en anglais.
Apple place l’iPhone 6s et le dernier Mac mini Intel sur sa liste d’appareils anciens
Apple a ajouté deux produits à sa liste d’appareils qu’elle considère comme anciens : les iPhone 6s et 6s Plus ainsi que le Mac mini de 2018, le dernier avec un processeur Intel. Cela signifie qu’ils peuvent toujours obtenir des réparations officielles, mais uniquement tant qu’Apple a encore des pièces détachées dans ses stocks. Il va sans dire que le constructeur ne va plus s’embêter à produire ces pièces, alors si vous avez un modèle concerné à faire réparer, ne trainez pas trop pour l’amener en Apple Store ou contacter le SAV de la Pomme.

Ce changement de statut n’est pas une surprise, il intervient toujours entre 5 et 7 ans après la fin de commercialisation d’un produit. On y est pour le Mac mini sorti en 2018, puisqu’il a été remplacé par le premier modèle M1 commercialisé depuis 2020, il y aura cinq ans à l’automne. La sortie originale de l’iPhone 6s remonte à 2015, mais Apple l’a longtemps gardé au catalogue, le passant progressivement en entrée de gamme et il a fallu attendre 2018 pour qu’il disparaisse pleinement de la gamme, c’est-à-dire il y a 7 ans.
L’étape suivante est la bascule dans la liste des appareils obsolètes, ce qui voudra alors dire que toute réparation est impossible, en tout cas pas par la voie officielle. Apple ne gère plus ces produits et il faut passer par un réparateur tiers pour espérer une réparation, sans doute avec des pièces compatibles et en tout cas pas neuves. La bascule a lieu à partir de sept ans après la fin de la commercialisation d’un produit, le Mac mini de 2018 a donc encore un petit peu de répit.
Les listes de produits anciens et obsolètes sont maintenues par Apple à cette adresse, même si la version française n’a pas encore été mise à jour.
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Des bracelets cheville pour accrocher son Apple Watch au bras ou sous le mollet
Porter son Apple Watch au bras ou autour de la cheville ? Il y a un bracelet pour ça… Il y a quelques semaines, un article du New York Times s'intéressait à cette méthode préférée par certains utilisateurs sportifs.
Les raisons avancées pouvaient se défendre bien qu'Apple précise que le port au poignet donne des résultats plus précis (lire aussi Et pourquoi ne pas porter son Apple Watch à la cheville, après tout ?). Plusieurs bracelets conçus pour cet usage sont disponibles à des prix très éloignés des tarifs pratiqués par Apple pour ses bracelets classiques. On trouve ainsi des bracelets « de cheville » à moins de 20 € qui ne sont pas sans rappeler ceux de la Pomme, si ce n'est qu'ils sont plus longs.

Ce modèle extensible autour de 15 €, est présenté comme adapté à toutes les montres jusqu'aux Series 9. Cet autre, dans la même catégorie de prix, est autoagrippant comme les Boucle Sport. Ce n'est peut-être pas superflu qu'il puisse se serrer au plus près, sur les chevilles par exemple, où il pourrait avoir tendance à glisser plus facilement que lorsqu'il entoure un bras. Toujours similaire au Boucle Sport il y a cet autre bracelet plus cher (2 pour 80 €), donné comme compatible jusqu'aux Series 10 et Ultra.

Twelve South, accessoiriste reconnu, avait créé deux modèles originaux : l'Action band en 2021, un poignet éponge comme on en porte au tennis, puis un brassard l'ActionSleeve. Le second a vu son prix passer de 40 à 15$ sur le site de Twelve South depuis son lancement, mais il n'a pas eu de successeur. La version en vente n'a pas un logement au format pour le boitier des Series 10 et Ultra, il s'arrête aux précédentes générations.

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Apple ferait une promo en échange d'un recyclage de vieux accessoires et matériels
Apple s'apprêterait à lancer une campagne de récupération d'accessoires destinés au recyclage assortie d'une offre de réduction sur certains de ses petits périphériques.
D'après Mark Gurman, l'Apple Store va démarrer demain une offre de reprise de matériels — de marque Apple ou non — qui ne sont pas éligibles à ses reprises moyennant crédit. Habituellement, à côté des iPhone, Apple Watch, iPad et Mac, Apple peut vous débarrasser de matériels électronique ou informatique qui n'entrent pas dans ces catégories ou qui n'ont plus aucune valeur marchande. Ça peut être des AirPods hors d'usage, des câbles abîmés, un HomePod mini hors d'usage et hors garantie ainsi que leurs équivalents d'autres marques.

Dans le cadre de cette opération, qui devrait s'inscrire dans la célébration du Jour de la Terre, Apple proposerait en échange de cette collecte une réduction de 10% (dans une limite de 20 $) sur l'achat de petits équipements : AirPods, AirTags, Pencil, bracelet d'Apple Watch, coques d'iPhone, accessoires pour Mac, etc. La liste et les conditions exactes restent à voir.
Cette opération devrait durer durant un mois, conclut le journaliste de Bloomberg.

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iPhone des 20 ans : vers la fin de l’encoche et de la Dynamic Island ?
Avec l’iPhone X, Apple avait réussi à marquer les esprits en sortant un téléphone en avance sur son temps. Voilà à quoi devaient ressembler les smartphones modernes. La concurrence ne s’est pas trompée et a copié Apple, allant même jusqu’à améliorer le concept.

Pour les 20 ans de son smartphone, Apple veut à nouveau frapper un grand coup. Concernant les détails, on ne sait que peu de choses si ce n’est que c’est l’iPhone Pro qui devrait être revu de fond en comble et qu’il devrait faire une plus grande place au verre. Cette révélation est assez cocasse lorsque l’on relit notre test de l’iPhone X que l’on décrivait comme une plaque de verre dans la main.

Avec l'iPhone des 20 ans, Apple veut refaire le coup de l'iPhone X
L’une des nouveautés de l’iPhone X, c’était cette fameuse encoche qui était nécessaire pour Face ID. Quelques années plus tard, cette encoche est toujours là, même si elle a été améliorée avec l’arrivée de la Dynamic Island.
Comme le souligne MacRumors, la logique serait de refermer la parenthèse. L’iPhone des 20 ans pourrait être une réponse à l’iPhone X et faire disparaitre en grande partie, voire totalement, cette encoche. Mais est-ce vraiment possible ?
La disparition de l’encoche est une vieille rumeur. On l’évoquait déjà en 2021 pour les iPhone Pro de 2022. À l’époque, John Prosser était persuadé que ce serait la grande nouveauté de l’iPhone 14 Pro, Ming-Chi Kuo le pensait aussi alors que Mark Gurman était plus réservé. Mais, contrairement à ce que la rumeur disait, ce modèle n’a pas troqué son encoche par un simple trou.

Le passage de la caméra TrueDepth sous l’écran est un vieux serpent de mer, mais ce ne sont pas que des rumeurs. Des dépôts de brevet montrent que les ingénieurs d’Apple y pensent également. L’analyste Ross Young tablait pour sa part pour une transition complète sur les modèles Pro d’ici 2026. Quand ce spécialiste des écrans parle d’une transition complète, il parle à la fois de la caméra qui serait derrière l’écran et du dispositif nécessaire pour faire fonctionner Face ID. Manifestement, si l’on en croit les rumeurs, Apple est en retard, mais ce serait malgré tout un bel objectif pour les 20 ans. En espérant que ce modèle soit plus réussi que le Mac des 20 ans.
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Beats lance une gamme de câbles de charge tissés et colorés
Il y a du neuf chez Beats, qui vient de lancer une gamme de câbles colorés. Ceux-ci sont vendus sur la boutique officielle de la marque, qui propose différents formats et tailles. On y trouve de l'USB-C vers USB-C, mais également des modèles USB-A ou Lightning pour les appareils plus anciens. Les câbles peuvent être commandés dès aujourd’hui, avec une expédition sous un jour.

Le câble USB-C standard vers Lightning, USB-A ou USB-C de 1,5 m est facturé 24,95 €. Ils sont disponibles dans 3 coloris, à savoir rouge, gris et noir. La déclinaison USB-C vers USB-C a droit à une robe bleue qui lui est réservée. Il est possible d’opter pour un lot de 2 en coloris noir afin d’avoir une ristourne : 38,95 € le lot, soit 19,47 € l'unité. On notera que Beats propose aussi une déclinaison courte de 20 cm… vendue au même prix que les autres, et uniquement en noir.

Beats déclare que ces câbles tissés sont doux au toucher et se plient aisément tout en restant résistant. La marque explique qu’ils ont été soumis à plusieurs milliers d'heures de test. Ils seront pratiques pour profiter de la charge rapide, se brancher en CarPlay ou jouer de la musique en Lossless sur la récente Beats Pill. En revanche, pas de miracle pour ce qui est du transfert des données : on reste sur de l’USB 2.0. Cette nouveauté fait suite à l’arrivée de coques Beats pour la série iPhone 16 présentée en septembre dernier.
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- Les téléphones sous Android vont eux aussi redémarrer automatiquement après une période d’inactivité
Les téléphones sous Android vont eux aussi redémarrer automatiquement après une période d’inactivité
Google s’inspire d’une nouveauté d’iOS 18.1, qui fait que les iPhone redémarrent automatiquement après une certaine période d’inactivité. L’entreprise a ajouté un mécanisme similaire dans la dernière mise à jour de ses Google Play services, un paquet d’API intégré à la majorité des téléphones Android. Celle-ci va faire en sorte que le smartphone redémarre s’il est resté verrouillé pendant 3 jours consécutifs.

Le but de ce changement est de compliquer la vie de potentiels pirates. Après un redémarrage, le téléphone passe en mode Before First Unlock (« Avant le premier déverrouillage ») théoriquement bien plus difficile à forcer. Une fois le code tapé, le smartphone active l’authentification biométrique et est obligé de déchiffrer certaines données, ce qui le rend plus vulnérable à une attaque. Les Google Pixel ne s’en cachent pas et indiquent au démarrage qu’il faut le déverrouiller pour « activer toutes les fonctions et données ».
Google ne mentionne que les téléphones dans son billet, mais la nouveauté devrait également concerner les tablettes. Les mises à jour des services Google Play prennent généralement une ou deux semaines avant d’être complètement déployées, et l’entreprise n’a pas indiqué quels appareils pourraient en profiter. La nouveauté passant par les Google Play services, un grand nombre devrait être touché. On ne sait pas non plus si une notification apparaîtra précisant que le smartphone a redémarré, ce qui pourrait éviter de rendre certains utilisateurs occasionnels confus.
Comparatif : quels sont les avantages de l'iPad Air M3 sur l'iPad A16 ?

Apple remet le destin de l'iPhone pliable entre les mains de Samsung !
iPhone pliable : Samsung fournirait l’écran de ce futur téléphone sans Face ID
Les rumeurs affirment qu’Apple travaille sur un nouveau modèle d’iPhone pliable. À la manière du Galaxy Fold, celui-ci pourrait se déplier comme un livre pour donner un appareil au format tablette. Apple ne se serait pas contentée de s’inspirer de Samsung : le géant coréen devrait également fournir les dalles de ce nouveau type d’iPhone, assure Business Korea.

Samsung Display serait l’unique fournisseur de l’écran, Apple n’ayant pas sollicité ses habituels partenaires BOE et LG. Une décision qui change de la stratégie habituelle consistant à faire jouer la concurrence entre plusieurs fabricants, et d'ainsi réduire les coûts. Selon le journal coréen, Samsung aurait un coup d’avance au niveau de la discrétion du pli de l’écran, ce qui en ferait le seul choix possible pour Cupertino.
Le fuiteur chinois Digital Chat Station, qui a eu quelques bonnes intuitions par le passé, voit venir un appareil au format 4:3 similaire à celui de l’iPad pour simplifier la compatibilité logicielle. L’écran interne de 7,76" aurait une résolution de 2,713 x 1,920, tandis que celui à l’extérieur ferait 5,49" (2,088 x 1,422). La caméra se trouverait sous l’écran avec un petit trou pour le capteur. L’appareil n’embarquerait pas le nécessaire pour Face ID. Ce nouveau modèle devrait plutôt ressusciter Touch ID sur iPhone, une théorie appuyée par Ming-Chi Kuo. La technologie devrait être intégrée dans un bouton, à la manière de ce que l’on connaît déjà sur iPad.

Le premier iPhone pliant aurait un format de livre et dépasserait allègrement les 2 000 $
Les rumeurs voudraient que ce modèle soit lancé en fin d’année prochaine. Business Korea affirme que le volume d'approvisionnement n’a pas encore été finalisé, mais l’industrie anticipe un joli score : certains évoquent 15 millions d’unités, contre les 9 millions d’envisagés initialement. On attend maintenant de connaître le prix de cet appareil, qui devrait atteindre de nouveaux sommets.
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Des fabricants affirment sur TikTok que ces produits de luxe sont en fait produits en Chine
De petits changements dans l'interface de Mail pour macOS 15.5 et iOS 18.5
La seconde salve de bêtas pour macOS 15.5 et iOS 18.5 n'a guère apporté de changements visibles, contrairement aux précédentes versions qui étaient bien chargées. On a pu tout de même en remarquer deux qui sont cependant microscopiques.
Apple continue de modifier l'interface pour la fonction des catégories dans Mail. Après avoir rendu ce réglage plus rapidement accessible avec la première bêta c'est l'une des catégories qui gagne en visibilité. Ou si peu. Tout à droite de la rangée des catégories, on aperçoit maintenant le début de la bulle « Tous les e-mails » qui pointe.


Précédemment on n'avait aucun moyen de savoir — intuitivement — qu'il y avait cette catégorie qui liste l'intégralité des courriels. Il fallait faire glisser la rangée vers la gauche avec le doigt (sur iPhone/iPad) ou cliquer sur le bouton de la catégorie affichée (ou double-cliquer sur n'importe quelle autre). Bien que documentées ces possibilités n'étaient pas franchement évidentes de prime abord.
Enfin, le bouton en forme d'enveloppe, qui lance la relève de tous les comptes mail a été déplacé dans la barre d'outils. Pourquoi ? Parce qu'au lieu de surplomber la vue du contenu d'un courrier, il est désormais logé au-dessus de la colonne de la boite de réception. Ce qui est plus logique ainsi.

En utilisant la personnalisation de la barre d'outils, on peut le remettre à son ancienne place et retrouver ses habitudes.

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Edge : Microsoft affirme que son navigateur est désormais 9 % plus rapide
Vous utilisez Edge ? Bonne nouvelle : le navigateur de Microsoft est désormais plus réactif. L’entreprise a annoncé cette amélioration dans un billet de blog, où elle explique avoir mesuré des performances en hausse de 9 % sur Speedometer 3.0, un logiciel de benchmark simulant différents types de navigation. Cette optimisation arrive avec la version 134 de l'app, et concerne également la déclinaison pour macOS.

Microsoft explique avoir modifié le code de Edge et le moteur de rendu de Chromium pour arriver à ce résultat. La firme de Redmond annonce un temps d’ouverture de 2 % plus rapide, 5 à 7 % d'amélioration de la réactivité des pages web et une vitesse de navigation améliorée de 1,7 %. Microsoft précise cependant que tout cela changera en fonction du matériel, des sites visités et des autres applications ouvertes.
Si Edge avait comme avantage d’être plus rapide que Chrome à ses débuts, le navigateur s’est alourdi sur ces derniers mois. Microsoft met donc l’accent sur les optimisations depuis quelque temps, ayant par exemple amélioré la rapidité du menu de téléchargement ou de l’historique courant février. Vous pouvez le télécharger à ce lien.
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- La Livebox S va simplifier les installations et les dépannages grâce à son crayon optique intégré
La Livebox S va simplifier les installations et les dépannages grâce à son crayon optique intégré
La Livebox S embarque une nouvelle technologie qui devrait faire gagner du temps aux clients et à Orange lors des installations et des pannes. La box intègre un crayon optique, un outil habituellement externe servant aux techniciens à vérifier les branchements de fibre optique.

Traditionnellement, quand un client passe de l’ADSL à la fibre, un technicien vient installer chez lui un point de terminaison optique (PTO), un petit boîtier blanc collé à un mur sur lequel il vient brancher la fibre optique. Le technicien se rend ensuite dans la rue ou dans le local technique de l’immeuble pour raccorder le logement au point de mutualisation (PM), l’armoire qui comprend plein de lignes de fibre.
Quand un client a déjà un PTO et qu’il change d’opérateur de fibre, un technicien doit toujours faire le déplacement chez lui afin de raccorder le logement à l’armoire à fibre. Pour cela, il branche sur la fibre du logement un crayon optique qui envoie un signal lumineux jusqu’au point de mutualisation. Cette méthode permet d’identifier la ligne et de faire le branchement.
La Livebox S permet, elle, de se passer de l’intervention à domicile du technicien dans ce cas de figure grâce à son crayon optique intégré. Cette technologie « va simplifier le service après vente et la mise en service », assure Jean-François Fallacher, le directeur exécutif d'Orange France, auprès de DegroupTest.

En cas d’installation ou de panne, le client devra encore prendre rendez-vous avec un technicien, mais il n’aura pas besoin d’être présent à son domicile. En l’absence de signal optique, la nouvelle Livebox transmettra automatiquement une lumière rouge jusqu'au PM. Le technicien saura ainsi sur quelle ligne de fibre il doit intervenir dans l’armoire, sans brancher lui-même un crayon optique dans le domicile de l’abonné. Une fois le signal optique opérationnel, le client recevra un SMS lui indiquant que sa connexion fonctionne.
Selon Orange, cette nouveauté, développée par la division Orange Innovation dans les Côtes-d'Armor, est une première mondiale. Elle est donc intégrée à la Livebox S (fournie dans les offres Séries Spéciale Livebox Fibre et Livebox Fibre), mais pas dans la nouvelle Livebox 7 compatible Wi-Fi 7. Paradoxalement, c’est au moment où le fournisseur d’accès à internet simplifie l’installation qu’il ajoute des frais de mise en service de 49 € sur toutes ses offres…

Orange lance deux nouvelles Livebox Wi-Fi 7 (bibande) et revoit ses offres fibre