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La dernière publicité d’Apple évoque une fonction d’Apple Intelligence qui est bien réelle et utile
Dans sa dernière publicité, Apple évoque l’une des fonctionnalités d’Apple Intelligence qui existent déjà sur tous les appareils compatibles et qui en plus est utile. La vidéo plutôt amusante met en avant la gomme magique intégrée à l’app Photos pour effacer discrètement la photographe malencontreusement placée dans l’axe d’un miroir. Contrairement à la publicité pour le nouveau Siri, celle-ci devrait rester en ligne…

Gomme magique : que vaut l’outil d’effacement d’Apple face à celui de Google ?
Word pour iOS peut transformer des notes orales en documents structurés grâce à Copilot
Microsoft a récemment annoncé une nouveauté pour la version iOS de Word, son célèbre traitement de texte. Sur l’iPhone, l’app est désormais capable de créer un document à partir de notes vocales, en reposant sur l’intelligence de Copilot pour comprendre ce que vous dites et l’organiser de manière structurée, comme si vous le faisiez avec un clavier. L’idée est de simplifier la création de documents complexes sur un appareil mobile où la saisie de texte n’est pas simple.
L’intelligence artificielle à la manœuvre derrière Copilot doit faire le gros du travail de transcription et surtout de mise en forme à votre place et créer un document à peu près correct, qui pourra toujours être ajusté par la suite sur un ordinateur. Microsoft a prévu par défaut trois domaines différents pour aider l’IA à organiser vos paroles : on peut créer soit un document avec des sections, soit des notes libres organisées logiquement en paragraphes, soit un courriel. Les utilisateurs pourront ajouter d’autres modes, en indiquant alors à Copilot le type de document qu’il doit générer.
Une fois le mode choisi, il suffit d’enregistrer le texte à l’aide d’un microphone, comme celui intégré à l’iPhone. Word se charge de transmettre l’audio à Copilot pour une transcription intelligente, qui s’adapte au mode demandé et à ce que vous dites pour tenter de déterminer comment organiser le texte. À la fin de ce processus, l’app affichera un aperçu et il est alors possible soit de conserver le document tel quel, soit de le modifier à la main, soit encore de le repasser à la moulinette de l’IA pour obtenir un résultat différent. C’est en effet la grande force ou faiblesse des grands modèles de langage qui sont à la manœuvre, ils ne donnent pas des réponses uniques à une même demande.

Cette fonctionnalité est disponible dès à présent dans cinq langues, dont le français. Pour l’exploiter, vous aurez besoin de Word pour iOS (version 2.96 au minimum) associé à une licence de Copilot, ce qui semble encore réservé aux entreprises en France. Microsoft compte étendre la fonctionnalité à d’autres langues et pays prochainement.
Easter Egg : quand Apple cache des petites blagues dans ses produits
Un développeur a glissé un lecteur vidéo dans son app CarPlay, à l’insu d’Apple
Le développeur de Sidecar (achats in-app), une app dédiée à la lecture d’informations transmises par les voitures en utilisant la prise OBD, a réussi à ajouter une fonctionnalité normalement interdite dans la version destinée à CarPlay. Avec la dernière mise à jour de l’app, il propose aussi un lecteur vidéo, qui permet notamment d’accéder à YouTube. Certes, la fonctionnalité n’est censée être proposée que lorsque le véhicule est à l’arrêt et garé, mais ça n’en est pas moins interdit par Apple.
Voir dans Threads
Le constructeur de l’iPhone garde en effet un contrôle très strict sur CarPlay et interdit notamment toute diffusion de vidéo. Une app comme VLC peut exister sur CarPlay, mais uniquement pour diffuser du son, l’image reste interdite sur l’écran des voitures et ce, même à l’arrêt. Alors, pourquoi est-ce que Sidecar propose cette fonctionnalité ? C’est très certainement une erreur de la part de l’équipe de validation de l’App Store, ce qui est probable sachant que l’app existe depuis plusieurs années et que, contrairement à ce que la Pomme avance souvent, il n’y a en réalité pas de validation manuelle systématique sur la boutique.
Cette erreur sera probablement rapidement corrigée et la mise à jour, voire l’app entière, sera retirée le temps que la fonctionnalité soit supprimée. Si vous voulez tester, ne trainez pas trop, en gardant en tête que ce lecteur vidéo intégré est payant. Sidecar est une app gratuite au téléchargement, même si ses fonctionnalités sont associées à des achats in-app ou abonnements. Pour la nouveauté normalement interdite, c’est un achat unique de 9,99 € qu’il faut prévoir. Apple devrait rembourser sans trop discuter les clients qui auront payé juste avant la suppression de la fonction, mais cela reste un petit risque à prendre si vous voulez vraiment tester.
Sidecar nécessite iOS 18, son interface est traduite en français.
Être poli avec ChatGPT coûte des millions de dollars en électricité pour OpenAI
À chaque fois que vous remerciez ChatGPT, ou un autre assistant basé de la même manière sur un grand modèle de langage, vous provoquez des calculs supplémentaires dans un data-center quelque part. Ces requêtes pour être poli avec les intelligences artificielles n’apportent rien de concret à l’utilisateur1, mais elles coûtent cher aux gestionnaires de ces outils. Et pas qu’un peu, si l’on en croit Sam Altman : le CEO d’OpenAI a indiqué sur X en fin de semaine dernière que cette politesse coûtait à son entreprise « des dizaines de millions de dollars » en électricité, rien que ça.

Le patron de ChatGPT considère que cette somme est une dépense justifiée, peut-être une précaution si les IA devenaient vraiment intelligentes et omnipotentes dans le futur. C’est en tout cas un chiffre qui donne le vertige. Si générer des réponses aux remerciements et autres politesses des utilisateurs de ChatGPT provoque de telles dépenses, c’est à la fois le signe du succès incroyable de l’assistant à tout faire d’OpenAI et aussi (surtout ?) de son inefficacité énergétique.
On sait que les grands modèles de langage demandent énormément de puissance de calcul, ce qui signifie qu’ils consomment aussi beaucoup d’électricité, ce qui a un coût pour celui qui les fait tourner ainsi que pour l’environnement. Il est difficile d’évaluer précisément la consommation d’une question posée à ChatGPT, d’autant que cela varie fortement selon le modèle utilisé et la nature de la demande. Par exemple, générer une image est une tâche bien plus exigeante, à tel point que les immenses capacités de calcul d’OpenAI ne suffisaient plus lors du lancement du dernier modèle en date.

GPT-4o : OpenAI peine à suivre la demande pour son nouveau générateur d’images
L’entreprise de Sam Altman n’a pas encore trouvé de bonne solution pour être rentable et elle préfère pour l’heure dépenser sans compter pour imposer ses outils auprès du grand public. Une manœuvre coûteuse, mais efficace si l’on en juge au succès de ChatGPT, y compris dans la culture populaire.
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Quoi que : selon certains, être poli permet d’obtenir de meilleures réponses. ↩︎
Les ventes d'iPhone en difficulté en Chine

Promo : l’Apple Watch Series 10 cellulaire à 450 € au lieu de 569 sur Amazon France
Les Apple Watch sont régulièrement en promotion, mais c’est plus rare sur les modèles cellulaires et en France. C’est pourquoi cette offre est intéressante : Amazon France réduit le prix d’une Apple Watch Series 10 cellulaire de 42 mm, le « petit » format et la vend 449,99 €, soit une réduction de 21 % par rapport à son prix officiel de 569 €. Une seule configuration est proposée à ce tarif, avec une montre en aluminium couleur naturelle (argent) et le bracelet Boucle Sport en bleu clair. Si elle vous convient, c’est une bonne affaire et le prix le plus bas sur Amazon France.

La Series 10 est la dernière génération d’Apple Watch et elle se distingue des précédentes par son design légèrement affiné. Ce n’est pas le jour et la nuit, mais ce sera plus confortable au poignet. Elle intègre aussi les dernières nouveautés techniques pour la montre connectée d’Apple, ce qui lui assurera une longue longévité. Si l’on ne sait pas ce que le constructeur a prévu pour les Series 11, on ne s’attend pas à une mise à jour majeure cette année, alors c’est un bon moment pour acheter le produit.

Test de l'Apple Watch Series 10 : ce n’est pas l’Apple Watch X, mais ce n’est pas grave
La version cellulaire peut être associée à un forfait pour l’utiliser de façon plus indépendante, sans dépendre d’un iPhone à proximité. Comptez par exemple 5 € par mois chez Orange ou Sosh, avec trois mois offerts pour tester la fonctionnalité sans risque.
Le Pape François est mort, retour sur l’apprivoisement du numérique par le Vatican
MooInk V et la première liseuse pliable couleur
Avec la Firefly, Nio espère concurrencer les citadines électriques européennes
Le constructeur automobile chinois Nio a lancé en fin de semaine dernière une nouvelle marque dans son propre pays avec l’ouverture des précommandes de la Firefly. Cela nous intéresse, car cette marque et cette voiture exclusivement électriques ont été pensées spécifiquement pour le marché européen. La Firefly sera rapidement distribuée en Europe, où elle viendra concurrencer directement de multiples modèles locaux, avec en ligne de mire la Renault 5 revisitée ou encore la Mini. Comme ces deux voitures ou encore la regrettée Honda e, la marque chinoise a en effet particulièrement soigné le design, avec une proposition très originale.



Difficile de passer à côté quand on regarde la voiture : les feux à l’avant comme à l’arrière adoptent un format rarement vu, avec trois ronds pour chaque bloc de phares. Cela donne à la Firefly une identité propre, très facile à reconnaître et le fabricant espère sans doute que ce sera aussi le cas sur les routes. En tout cas, si l’on peut souvent critiquer la production automobile chinoise pour son manque d’originalité en termes de design, on ne pourra clairement pas le faire pour ce modèle. Plus encore peut-être que sur les grandes berlines ou les omniprésents SUV, c’est manifestement un segment du marché qui demande des designs originaux.
Au-delà du style qui est une affaire de goût, Nio a conçu une voiture parfaitement adaptée à nos villes européennes. La Firefly mesure pile quatre mètres de long et 1,78 m de large, à peine plus que la Renault 5 (3,9 m de long et 1,77 m de large), mais elle offre un espace à bord inédit sur le segment. C’est vrai à l’avant, où le sentiment d’espace est renforcé par l’absence de toute console centrale entre le conducteur et le passager, ce qui permet d’ailleurs d’entrer ou sortir par l’autre portière sur les places de parking serrées. C’est encore plus vrai aux places arrières, point noir de la compacte conçue par la marque au losange.



C’est toujours vrai dans les coffres, car oui, il y en a deux. À l’arrière, la Firefly revendique 335 litres de capacité avec les sièges à l’arrière en place, ce qui est similaire à celui de la Renault 5 (326). Néanmoins, en baissant les sièges, on peut atteindre 1 250 litres d’après le constructeur et même un plancher quasiment plat, grâce à un astucieux mécanisme qui relève l’assise. Sous les assises, il y a d’ailleurs des petits rangements supplémentaires, tant à l’arrière que sous le siège passager à l’avant. Et si cela ne suffisait pas, Nio a installé un coffre à l’avant (frunk) avec une taille étonnante sur ce segment : 92 litres, de quoi caser une valise cabine ! À titre de comparaison, c’est plus grand encore que le frunk d’une Model 3, un véhicule pourtant bien plus imposant.
Côté habilité, évoquons aussi le diamètre de braquage exceptionnellement petit (9,4 m, c’est moins qu’une e-Up pourtant bien plus courte), permis par la position du moteur électrique sur l’essieu arrière. N’espérez pas une voiture de sport en revanche, ce n’est pas l’argument avec des performances apparemment moyennes et une orientation générale plutôt vers le confort, notamment du côté des suspensions. L’intérieur est lui aussi résolument premium, même si Firefly est censé représenter l’entrée de gamme chez Nio, avec une avalanche de fonctionnalités tant de confort que de sécurité, y compris la conduite semi-autonome. Il faudra néanmoins vérifier ce qui sera encore proposé sur le marché européen, nettement moins compétitif que la Chine.


Sous les sièges, on retrouve une batterie LFP d’une capacité de 42,1 kWh, avec une autonomie officielle de 420 km selon le généreux standard chinois CLTC. Avec nos normes européennes plus strictes, il faudrait plutôt tabler autour des 340 km WLTP, ce qui serait mieux que la Renault 5 de base (312 km pour 40 kWh), mais sans option pour le moment pour une plus grosse batterie. Cela devrait toutefois venir, puisque la Firefly exploite le système de batteries à échanger qui a fait la réputation de Nio et une autre option plus généreuse devrait être proposée dans ce cadre. Ces stations d’échange existent aussi en Europe, même si ce ne sont pas les mêmes que pour les grandes voitures de Nio, alors on ne sait pas exactement si ce sera une possibilité ici.
Malheureusement, l’échange de batterie n’a pas incité Nio à offrir le meilleur de la charge pour sa petite voiture. En charge lente, chez soi ou sur les bornes de ville, on sera limité à 7 kW, soit autour de six heures pour une charge. En charge rapide, sur l’autoroute, la Firefly ne montera qu’à 100 kW, ce qui n’est pas génial en 2025 et il faudra s’attendre à des arrêts d’une bonne demi-heure, surtout si la batterie est froide. D’autant que la voiture n’est pas équipée d’une pompe à chaleur qui pourrait aider à réguler la température des cellules en hiver. Bon point en revanche, la voiture peut exporter de l’énergie avec une charge bi-directionnelle qui peut atteindre 3,6 kW.
Tout ceci est disponible en précommande en Chine à partir de 119 800 yuan, soit environ 14 425 €… ce qui correspond au segment premium dans le pays. Même si la Firefly sera forcément plus chère une fois importée en Europe, on peut s’attendre à un tarif compétitif, surtout quand en comparant le niveau d’équipement ou encore l’espace à bord. Le constructeur n’a pas encore annoncé de dates, alors il faudra faire preuve de patience, même si la commercialisation européenne est bel et bien prévue. On devrait en savoir plus au cours des prochains mois.
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- La zone des appareils photos au dos des iPhone 17 Pro serait si grande qu’elle pourrait être décorée
La zone des appareils photos au dos des iPhone 17 Pro serait si grande qu’elle pourrait être décorée
Si l’on en croit les rumeurs persistantes, Apple opterait pour un tout nouveau design au dos de ses futurs iPhone 17 Pro. Jusque-là ramassée dans le coin supérieur gauche, la zone surélevée autour des appareils photos grandirait tant qu’elle occuperait tout le haut de l’écran. Ce choix pourrait être une opportunité pour les créateurs d’accessoires, qui y voient une nouvelle façon originale de personnaliser son smartphone.

Des accessoiristes ont ainsi imaginé des protections qui viennent se positionner sur la zone surélevée, avec des trous pour chaque élément important (trois objectifs, flash et LiDAR) et un dessin pour la zone autour. L’image publiée par Majin Bu sur X donne quelques exemples de rendus que l’on pourrait espérer, sachant que n’importe quel dessin ou motif pourrait être reproduit de la sorte. On pourrait même imaginer d’autres matériaux, par exemple du bois ou alors du (faux) cuir comme sur une coque pour unifier davantage le dos de l’iPhone.
Les coques pour iPhone 17 Pro qui commencent à apparaître laissent voir un énorme trou pour toute la zone, sans interférer avec les caméras et tout le reste. Avec des décors comme ceux présentés ici, les utilisateurs pourraient quand même personnaliser cet espace. On verra dans quelques mois si c’est une tendance qui prend.
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Anbernic n’expédiera plus ses consoles de Chine vers les États-Unis
Apple Watch : retour sur 10 ans de succès et d'échecs
Kwack fait cancaner le Mac à chaque fois que vous appuyez sur une touche de clavier
Kwack (gratuit, heureusement) est une app… originale ou bien idiote, c’est selon. Son principe est très simple, voire stupide : une fois installée, l’app surveille le clavier de votre Mac et à chaque fois que vous pressez une touche, elle génère un son de canard. Vous avez bien lu, à chaque fois que j’appuie sur une touche de clavier, j’entends « coin ! ». À. Chaque. Fois. Oui.
Est-ce utile ? Je vous laisse décider. Est-ce fatigant ? Je vous laisse deviner. Plus amusant encore, l’option qui devrait permettre de couper les cancanements depuis la barre des menus ne fonctionne pas. Même en cliquant sur le bouton ad-hoc, Kwack continue de se faire entendre à chaque fois que vous appuyez sur une touche. Fort heureusement, il existe tout de même une solution assez simple : il suffit de quitter l’app pour retrouver un fonctionnement normal.
Si vous trouvez que le clavier de votre Mac est trop silencieux, dans le même genre, mais quand même en plus utile, il y a aussi Klack qui simule un clavier mécanique. Kwack est d’ailleurs inspiré par cet autre utilitaire, de l’aveu même de son concepteur. Qui note au passage que l’app est codée en Swift et SwiftUI : ce n’est pas parce que l’on fait n’importe quoi qu’il faut le faire n’importe comment.

Klack simule le son d’un clavier mécanique, même si votre Mac n’en a pas
Si Kwack vous intéresse vraiment, sachez que l’app est distribuée gratuitement sur le Mac App Store et qu’elle nécessite macOS 13.5. Il faudra lui donner accès aux réglages d’accessibilité, sinon elle ne pourra pas savoir quand vous tapez au clavier et vous raterez des coins, ce qui serait tout de même dommage.
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SFR Red augmente encore l’enveloppe data de son forfait à 10 € : 250 Go de 5G par mois
SFR a encore amélioré son forfait RED proposé à 9,99 € par mois sans engagement. Jusqu’ici associé à 200 Go de 5G en plus des appels, SMS et MMS illimités, il est désormais proposé avec 250 Go de données à utiliser chaque mois. C’est donc 50 Go de plus sans surcoût, c’est toujours bon à prendre et cela permet à l’offre RED de reprendre l’avantage sur ce critère face à B&You, qui est resté pour le moment à 200 Go de 5G pour 10 €.

Ces améliorations constantes sont à l’avantage des clients, même s’il est probable que la majorité n’utilisera pas autant de data tous les mois. Aux dernières nouvelles, la moyenne est à 17 Go, mais c’est vrai qu’avec 250 Go, on peut envisager sereinement des usages gourmands, comme le partage de connexion qui peut consommer rapidement les giga-octets, surtout en 5G. Quoi qu’il en soit, on ne manque pas de forfaits pas chers avec énormément de données si on en cherche un en ce moment.
Outre les 250 Go de 5G à utiliser en France métropolitaine, le forfait RED prévoit 26 Go exploitables depuis l’Union européenne et les DOM. Pour 5 € de plus par mois, on peut passer cette enveloppe data à 40 Go et ajouter plusieurs pays, dont la Suisse, les États-Unis et le Canada. À noter que l’enveloppe data est fixe, vous devrez payer 10 € pour débloquer 50 Go une fois par mois si vous atteignez la limite.
Si vous n’avez pas besoin de toutes ces données en 5G, SFR RED propose aussi un forfait avec 100 Go de data pour 6,99 € par mois.

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Ce drone hallucinant à 60000 dollars transforme la nuit en jour (vidéo)
Les ventes d’iPhone chutent drastiquement en Chine
Alors que la plupart des entreprises de la tech ont passé un premier trimestre très chahuté, Apple doit rajouter à ces « petits » soucis un autre problème : les ventes d’iPhone dans l’empire du milieu, pourtant l’un des plus gros marchés pour les fabricants de smartphones, chutent drastiquement, comme le rapporte 9to5Mac.

Si encore ses concurrents chutaient aussi... mais au contraire, les deux premiers du podium ont augmenté leur part de marché, et pas qu’un peu : Xiaomi passe de 13,8 % à 18,6 % par rapport à l’an dernier, et Huawei de 17 % à 18 %. Dans le même temps, Apple bon cinquième du classement perd 9 %, voyant ses chiffres de vente passer de 10,8 millions d’unités à 9,8 millions.
Quelles raisons peuvent expliquer un tel repli ? Si l’absence d’Apple Intelligence, quand les constructeurs locaux ont déjà intégré l’intelligence artificielle du pays dans leurs téléphones est un bon début, ce n’est pas pour autant la seule.
Même si c’est dans une moindre mesure qu’au Canada, la défiance envers les produits américains est présente en Chine, et joue en partie sur les ventes de la pomme. En effet, quel produit symbolise plus les USA que l’iPhone dans le monde, à part peut-être le Big Mac ou Coca-Cola ? D’autant plus que les autres géants de la tech tels Meta, Google ou encore Amazon n’étant pas présents dans le pays, Apple est de facto la plus belle cible pour montrer son mécontentement à propos de la politique US.
Cerise sur le gâteau, dernier caillou dans la chaussure, le gouvernement chinois propose à ses citoyens une prime d’aide à l’achat d’un smartphone. Prime qui a bien entendu un plafond tarifaire pour être délivrée, éliminant tous les iPhone à part les iPhone 16 et 16e. Or, les appareils les plus achetés généralement appartiennent à la gamme Pro, qui n’a pas le droit aux subsides, et se retrouve donc boudée.
Tous ces soucis mis bout à bout font s’effondrer la part de marché d’Apple en Chine, et la société redouble d’efforts pour revenir dans la course. L’arrivée d’Apple Intelligence dans le pays inversera-t-elle la tendance ? Rien n’est moins sûr...
iPhone 17 Pro : des protections pour le bloc des appareils photos

Incogni : la vie privée, enfin prise au sérieux (par quelqu’un d’autre que vous)
Il y a encore quelques années, la protection des données personnelles se résumait, au mieux, à une extension de navigateur pour bloquer les cookies. Puis le Règlement général sur la protection des données (RGPD) est arrivé en Europe, suivi du CCPA californien, et la question a changé de ton. Elle s’est juridicisée. Soudain, nous avions des droits.... Mais entre le droit et son application concrète, un gouffre persiste. C’est dans cet interstice qu’Incogni s’est glissé.

Incogni, développé par Surfshark, n’a pas pour ambition de vous « protéger » de manière vague : sa mission est claire, précise et légalement fondée.
Il s’agit d’un agent automatisé qui agit en votre nom pour exercer votre droit à l’effacement auprès des courtiers de données (data brokers). Et là, on ne parle pas d’un coup d’éponge symbolique sur les cookies marketing : on vise les bases de données profondes, celles qui alimente les moteurs de scoring, les profils publicitaires avancés, les reventes croisées entre entreprises peu scrupuleuses.
Un fonctionnement sur mandat
Le service fonctionne sur mandat : une fois votre identité vérifiée, Incogni devient votre représentant officiel et envoie des demandes de suppression de données aux entreprises listées dans ses bases.
Ces demandes sont juridiquement contraignantes dans les pays couverts par le RGPD ou des lois équivalentes. En d’autres termes : elles ne relèvent pas d’un opt-out de confort, mais d’une obligation légale.

Une mécanique bien huilée… et plus intelligente qu’il n’y paraît
L’interface est dépouillée, volontairement. Mais derrière cette apparente simplicité se cache un moteur algorithmique qui cartographie en permanence l’écosystème mondial des courtiers de données. Incogni classe ces acteurs par juridiction, profil de risque, type de données collectées et réactivité historique face aux requêtes. Autrement dit, chaque demande est priorisée en fonction d’un indice d’impact potentiel.

En pratique, cela signifie que le service ne se contente pas d’une stratégie linéaire : il optimise vos chances de voir vos données supprimées là où elles posent le plus problème. Le suivi est granulaire : chaque entreprise contactée est affichée avec son statut (demande envoyée, en attente, acceptée, refusée, hors juridiction…), et les progrès sont consolidés dans un rapport de suppression.
Jusqu’où peut-on reprendre le contrôle ?
La question est cruciale : peut-on réellement purger sa présence numérique en utilisant un outil comme Incogni ? Réponse courte : non. Réponse longue : partiellement, mais de manière significative.
Pourquoi ? Parce que certains courtiers opèrent en dehors de toute juridiction protectrice. D’autres, plus pervers, masquent leur existence ou se déguisent sous des dizaines de marques. Et puis il y a les plateformes elles-mêmes (Google, Meta, Amazon…), dont les modèles économiques reposent sur la collecte — celles-là, Incogni ne les touche pas directement.
Mais là où l’outil excelle, c’est dans l’assainissement du marché gris : les courtiers semi-légaux, les revendeurs de listes marketing, les agrégateurs de profils socio-économiques utilisés par les assureurs ou les recruteurs. En quelques semaines, plusieurs dizaines de bases peuvent cesser de vous profiler. Et cela a un effet tangible : réduction des spams, fin de certaines publicités ultra ciblées, diminution des sollicitations commerciales obscures.

Une approche défensive, mais stratégique
Incogni s’inscrit dans une logique de défense active. Loin d’un gadget « privacy-friendly », c’est un outil pensé pour les individus lucides sur l’économie de la donnée. Celles et ceux qui savent que l’exposition numérique est un levier d’influence — commerciale, sociale, parfois politique — et qui choisissent de refermer les portes une à une.
Le modèle économique est transparent : abonnement mensuel ou annuel en illimité (7,29 € par mois ou 12,99 € par an), avec la possibilité d’annuler à tout moment. Pas de revente de données, pas de pistage parallèle : Surfshark joue ici la carte de la cohérence éthique, renforçant sa position sur le marché des services de protection numérique.
Essayez Incogni pour retirer vos informations personnelles du Web
Un humanoïde boucle le semi-marathon de Pékin en 2h40
La pratique de la course à pied connaissant un succès grandissant, il est de plus en plus difficile de trouver un dossard pour participer à la course ou trail du coin. C’est d’autant plus vrai dans les grandes villes. Le week-end dernier, le Schneider Electric Marathon de Paris a ainsi attiré près de 57 000 coureurs.
Attention, les choses pourraient ne pas s’arranger avec l’arrivée d’un nouveau type de participant : les humanoïdes ! Ces derniers ont participé au semi-marathon de Pékin qui avait lieu hier. Les grandes entreprises de robotique étaient invitées à inscrire leurs champions pour une course qui se tenait en parallèle de ce rendez-vous prisé par les coureurs chinois.

La bonne nouvelle, c’est que nous, simples êtres humains, avons encore un peu de marge, sur ces bipèdes d’un nouveau genre. Tiangong Ultra de Beijing Humanoid Robot Innovation Centre a bouclé les 21,1 kilomètres en un peu plus de 2 heures et 40 minutes. Un temps qui reste à la portée de l’immense majorité des êtres humains.
Le robot en question a écopé d’une pénalité de dix minutes pour changement de batterie. Même au niveau du ravito, l’être humain a encore un peu de marge. Pour d’autres humanoïdes, la course s’est moins bien passé. L’un d’eux s’est écroulé sur la ligne de départ…
La question est de savoir si ce type d’événements va se multiplier et si, dans quelque temps, on aura des humanoïdes fabriqués par des entreprises du monde entier qui viendront faire la course. Avec une question derrière : seront-ils fair-play ? Les humains, hélas, ne le sont pas toujours…
@rmcsport Plus gros craquage qu'on ait jamais vu dans une course de relais. On est sur un 4x200m féminin en Virginie. Inutile de vous préciser qu'elle a été disqulifiée.
♬ son original - rmcsport
OpenDNS suspend ses services en Belgique après une injonction judiciaire
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- À la découverte de l’écosystème UniFi, l’équipement réseau des pros accessible au grand public
À la découverte de l’écosystème UniFi, l’équipement réseau des pros accessible au grand public
Le MacBook Air M4 en promo dès 1094€ : son meilleur prix à ce jour !
JOURNAL D’ORION : "Toy Story"
Promo : les AirPods Pro 2 à 220 € (-59 €)
Les AirPods Pro 2 sont en vente à 220 € chez Amazon Italie, soit 22 € de moins que le prix sur le site français et 59 € de moins aussi que l'Apple Store.
C'est une très bonne réduction que le site italien a l'air de faire sienne, elle s'inscrit dans le temps là où les autres vendeurs sont plus prompts à revenir se caler sur le prix d'Apple (la Fnac propose actuellement 279,99 €). Ce tarif comprend les frais de port et une livraison est possible pour mercredi prochain. Quant aux AirPods 4, les réductions en Italie sont au même niveau qu'en France (-10 %).

Les AirPods Pro 2 sont des écouteurs intra-auriculaires que l'on recommande sans hésitation1. En plus d’offrir une excellente qualité sonore et une très bonne réduction active du bruit, ils comprennent de multiples fonctionnalités avancées comme la détection des conversations, l’audio adaptatif, le volume personnalisé, la possibilité de répondre par oui ou non à une notification par un mouvement de la tête.
Apple a encore élargi récemment la palette des fonctions de ces AirPods en activant en France il y a quelques mois le test d'audition et de réduction des sons forts.

AirPods Pro 2 : le test d’audition désormais disponible grâce à iOS 18.2

AirPods Pro 2 : la petite sonnerie dans le boitier est normale
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Apple trouverait un moyen de les rendre mieux recyclables ce serait la cerise sur le gâteau. ↩︎
Des robots humanoïdes bouclent le semi-marathon de Pékin
Samedi sécurité : les smartphone Android vont eux aussi redémarrer automatiquement
On avait vu que sans prévenir Apple avait introduit dans iOS 18.1 un redémarrage automatique après inactivité, estimée entre 24h et 72, et qui semblerait fixée à 48h.
Ce redémarrage réinitialise la mémoire et enlève de celle-ci les clés de déchiffrement fixées, qui ne seront alors réaccessibles qu'une fois l'usager s'étant identifié avec un NIP ou un passcode.
D'autres données ne sont plus en RAM après le redémarrage, comme celles des applications plus ou moins chiffrées, qui sont déchiffrées à la volée quand on les utilise, et protégeables par FaceID ou un code.
Google a introduit une fonction similaire dans son Play Service v25.14 afin d'augmenter ainsi le niveau de sécurité sur cette autre plateforme.
La mise-à-jours devrait arriver sous peu suivant les appareils.
Cela ne protègera en rien des régimes totalitaires, très (trop) efficaces et qui attaquent le smartphone dès qu'ils ont la main dessus, mais ça gênera très certainement les forces de police et la Justice de nombreux pays où tout est gangrené par la bureaucratie interdisant toute action rapide et efficace...
Le bouton de volume unifié de l'iPhone apparaît dans un brevet

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Sortie de veille : le futur de l’iPad se trouve-t-il dans le Mac ?

Toutes les semaines, écoutez Sortie de veille, le podcast hebdomadaire de MacGeneration ! On débat de l'actualité Apple et tech des derniers jours en une quinzaine de minutes.
Et si cette fois, c’était la bonne ? Après des années passées à se chercher, iPadOS pourrait finalement libérer tout le potentiel des iPad. Apple n’irait plus chercher midi à quatorze heures, le système des tablettes pourrait directement s’inspirer de macOS. Une bonne stratégie ? On en discute dans cette émission.
Dans le reste de l’actualité, Donald Trump accorde un répit à Apple dans la guerre commerciale, l’Apple Watch fête ses dix ans avec un pin’s et les Mac Intel n’ont pas dit leur dernier mot.
Pour écouter Sortie de veille, c'est simple :
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Bonne écoute et bon week-end !
Quand Apple a sorti... une molaire
Le premier Mac à arborer des éléments plastiques transparents... l’iMac G3 ? Perdu. Le dernier à arborer le design beige... le PowerMac G3 Desktop ? Encore perdu. Quasiment oublié tant sa carrière fut courte et anonyme, un Mac unique étant donné son design et ses caractéristiques : le PowerMac G3 « All-In-One », affectueusement surnommé le « Molar Mac » (Mac molaire) par ses aficionados.
C’est le youtubeur Krazy Ken qui le rappelle à nos bons souvenirs, même si l’Europe ne l’a pas vraiment connu : et pour cause, il n’a été vendu que sur le sol US, et pendant seulement 9 mois. Sa carrière a démarré en avril 1998, en étant vendu uniquement sur le site Apple, et exclusivement réservé au marché de l’éducation. Face à la concurrence de l’iMac G3, il a disparu en janvier 1999, sans tambours ni trompettes.
Si son design criait à qui veut l’entendre qu’il était « le cul entre deux chaises », avec son écran 15 pouces, son teint beige adouci de formes arrondies et une légère transparence sur le dessus et le dos, ses caractéristiques étaient toutes aussi étranges : le PowerPC G3 à 233 MHz et le processeur graphique ATI Rage II ne choqueront personne pour l’époque, ni les 384 Mo de RAM maximum (pour 32 Mo en sortie d’usine). Mais les 3 extensions PCI, le disque dur et la prise SCSI, ou encore la présence de l’Apple Desktop Bus pour brancher le clavier et la souris sont les témoins d’une époque qui était sur le point de s’éteindre.
De la même manière, c’était le dernier Mac proposant à la fois un lecteur CD-ROM, un lecteur de disquette et un lecteur ZIP ! Il était aussi doté de deux prises casque en façade, permettant ainsi à deux élèves de suivre une vidéo en même temps sans gêner le reste de la classe.

Si la version de base était proposée en 233 MHz sans le lecteur ZIP à 1499 dollars, le haut de gamme à 1799 dollars proposait, en plus du lecteur ZIP et du processeur poussé à 266 MHz, une particularité rare : il intégrait une carte d’acquisition vidéo, avec entrées et sorties analogiques et S-Vidéo, permettant de faire du montage grâce au logiciel Avid Cinema fourni (Final Cut Pro n’était pas encore la propriété d’Apple à l’époque, mais de Macromedia).
Étrange, bizarre, ce petit bout d’histoire d’Apple un peu « Frankenstein » sur les bords témoigne d’une époque de révolutions : NeXT venait d’être rachetée, et Steve Jobs de reprendre les rênes de l’entreprise, s’apprêtant à modifier profondément la pomme et les produits qu’elle créera par la suite... époque de tous les dangers, dont les plus vieux se rappelleront tout de même avec une pointe de nostalgie.
Clap de fin pour Mythic Quest, qui voit son épisode final modifié pour mieux clore la série
L’une des plus vieilles séries créées par Apple TV+ n’est plus : Mythic Quest, qui suivait une petite entreprise de jeux-vidéos, n’aura pas droit à une nouvelle saison. Et Apple en a profité pour revoir discrètement le dernier épisode suite à cette décision.

La série a été lancée le 7 février 2020, soit à peine quatre mois après le lancement du service Apple TV+. Au fil du temps, elle a gardé sa base de fans, et était plutôt bien vue des critiques... mais il semblerait que le nombre de spectateurs soit resté trop faible pour laisser continuer la série plus longtemps.
La décision d’arrêter là n’a, semblerait-il, pas été immédiatement tranchée. En effet, si Apple a annoncé publiquement la fin de la série, le dernier épisode laissait jusque-là entrevoir une ouverture laissant espérer une suite. Aucun espoir n’est possible maintenant : la fin a été discrètement modifiée pour fermer définitivement le scénario, comme le rapporte 9to5Mac qui qualifie cette modification de « syndrome George Lucas », le réalisateur bien connu ayant tendance à revisiter de temps en temps ses films, supprimant par la même les anciennes versions du commerce. L’équipe de production, tout en parlant de leur ressenti sur la fin de l’aventure, considère que cette modification leur a permis de mieux dire au revoir à leurs fans :
Toutes les fins sont difficiles. Mais après quatre saisons incroyables, Mythic Quest a atteint son chapitre final. Nous sommes fiers de notre travail, et du monde que nous avons créé – et profondément reconnaissants envers les acteurs et toute l’équipe, qui ont mis tout leur cœur dedans. À tous les fans, merci d’avoir joué avec nous. À nos partenaires chez Apple, merci pour avoir cru en notre vision depuis le début. Parce que les fins sont toujours difficiles, Apple nous a laissé faire une dernière retouche sur l’épisode final – pour que nous puissions dire au revoir, plutôt que de rester sur un Game Over.
Si la série principale est terminée, les fans pourront se consoler un petit peu, un spin-off nommé « Side Quest » étant disponible depuis le 26 mars, pour prolonger le plaisir avec quatre épisodes « explorant la vie des employés, des joueurs et des fans qui sont touchés par le jeu ».