iOS 26.2 fait référence à un mystérieux Apple Creator Studio


Il y a quelques jours, Apple a mis en ligne une version en ligne de son App Store, qui permet de naviguer dans les très nombreuses applications proposées pour les différents systèmes d'exploitation d'Apple. Et visiblement la personne qui a mis la nouvelle version en production — un lundi, pourtant — a fait une petite erreur. En effet, le code source était disponible.

Apple utilise le langage TypeScript et le code source qui a fuité n'est que celui du front-end, c'est-à-dire la partie client du code. Sur le papier, ce n'est d'ailleurs pas un énorme problème : il y a simplement un développeur qui a oublié de cocher une case. En temps normal, le code en question est rendu illisible avec ce que l'on appelle de l'obfuscation. Ce néologisme anglais peut être traduit par opacification ou brouillage, et c'est une méthode extrêmement courante, qui permet aussi de réduire la taille des fichiers récupérés par le client.
Le code récupéré est sur GitHub, et il n'a pas un intérêt évident au premier abord, sauf peut-être si vous avez envie de découvrir comment les développeurs d'Apple codent. Mais il y a tout de même des choses intéressantes, comme les commentaires. Si vous parcourez le code, vous verrez de nombreux TODO, des explications sur les optimisations SEO (pour le référencement), des liens vers des rapports de bugs chez Apple, etc. Les commentaires en question n'ont pas vocation à être publics, même si les risques de sécurité sont a priori assez faibles.

L’App Store s’affiche en totalité dans un navigateur web




Méfiez-vous si vous utilisez une machine virtuelle macOS et que vous voulez utiliser macOS 26.1, une version sortie récemment. En effet, un bug empêche le fonctionnement d'iCloud dans les machines virtuelles, comme le note Der Flounder. iCloud a besoin d'un numéro de série valide pour fonctionner, et avec macOS 26.1, le numéro de série des machines virtuelles est vide.

C'est un problème documenté chez Apple, qui peut aussi poser des problèmes avec les applications qui emploient le numéro de série pour identifier l'utilisateur d'une façon ou d'une autre, ce qui peut arriver avec certains logiciels payants. Notons tout de même que macOS 26.1 reste utilisable dans l'absolu dans une machine virtuelle, tant que vous n'avez pas besoin d'iCloud ni de logiciels payants.
Pour le moment, il n’y a pas de solutions évidentes pour régler le problème. Celui-ci affecte autant les machines virtuelles créées directement sous macOS 26.1 que celles mises à jour vers cette version. Le seul contournement possible est tout simplement de rester sous macOS 26.0.1 en attendant qu'Apple corrige le problème avec une éventuelle version 26.1.1.
macOS Tahoe 26.1 est disponible : voici toutes les nouveautés !
Outre un paquet de petites nouveautés, la première bêta d’iOS 26.2 sortie hier cache une mention intrigante. Le fouineur @aaronp613 a repéré une référence à un « Apple Creator Studio ». Qu’est-ce que ça peut bien être ? À ce stade, on ne peut faire que des suppositions.

Le mot « Studio » peut évoquer le Studio Display, l’écran externe de la Pomme, sachant en plus qu’un nouveau modèle serait en préparation. Mais le fabricant n’a pas l’habitude d’écrire en toutes lettres le nom de ses appareils dans ses systèmes avant leur sortie.
Il est donc plus vraisemblable que cet « Apple Creator Studio » fasse référence à un logiciel ou à un service. Peut-être un renommage ou une refonte de Pixelmator Pro, désormais propriété d’Apple ? Toutefois une autre rumeur évoque un portage de Pixelmator Pro sur iPad, alors c’est contradictoire.
Autre hypothèse : une offre par abonnement regroupant plusieurs applications créatives d’Apple. Actuellement, les versions iPad de Final Cut Pro et de Logic Pro coûtent chacune 4,99 €/mois ou 49 €/an. Sachant qu’Apple prépare manifestement l’arrivée de Compressor, Motion, MainStage et donc Pixelmator Pro sur cette plateforme, il ne serait pas surprenant de voir apparaître une formule unifiée, façon Creative Cloud.
ChatGPT Atlas est le navigateur web d’OpenAI et comme tous ses concurrents sur le segment des navigateurs dopés à l’IA, il est basé sur Chromium. Cette base open-source développée par Google est un incontournable, elle permet de créer son propre navigateur sans avoir à repartir de zéro, une tâche dantesque qui n’aurait pas tellement de sens en 2025. Pour autant, le créateur de ChatGPT ne s’est pas contenté de reprendre Chromium et de lui glisser une barre latérale avec son chatbot. Son navigateur est nettement plus ambitieux que cela, comme OpenAI le détaille sur son blog.
Chromium sert uniquement de fondations pour afficher les pages web, ce qui reste l’activité principale dans un navigateur évidemment. L’entreprise a toutefois décidé de créer sa propre enveloppe, en utilisant du code natif sur chaque plateforme, et en chargeant le moteur de rendu de Google depuis cette enveloppe. Le principe est nommé en interne OWL, pour OpenAI’s Web Layer, et son idée est de séparer aussi strictement que possible Chromium du reste d’Atlas. Concrètement, l’enveloppe est une interface codée en SwiftUI et AppKit pour la version macOS et probablement iOS, les deux frameworks d’interface d’Apple (AppKit est l’historique, SwiftUI le plus moderne).
C’est elle qui se lance en premier quand on ouvre ChatGPT Atlas et c’est elle qui se charge ensuite de faire appel à Chromium. Si le sujet vous intéresse, je vous encourage à lire l’article d’OpenAI qui entre dans les détails vraiment techniques sur la méthode utilisée pour faire cohabiter les deux et notamment sur la communication entre la partie native d’Atlas et Chromium. C’est une relation d’autant plus complexe à gérer que le navigateur peut activer le mode agent de ChatGPT, qui va agir sur le curseur à la place de l’utilisateur et qui a nécessité des aménagements bien spécifiques.
Pour les utilisateurs, cette architecture complexe a plusieurs avantages, d’après les développeurs d’OpenAI. D’une part, un lancement qui paraît plus rapide, puisque l’on lance une app native et qu’elle est disponible presque instantanément. S’il faut ensuite charger Chromium et c’est une opération qui prend du temps, l’interface apparaît plus rapidement grâce à ce choix. Par ailleurs, si un bug sur une page web mène à un plantage de Chromium, ChatGPT Atlas ne plantera pas, tandis qu’un ralentissement n’aura pas forcément d’effet sur le navigateur dans l’ensemble.
Ce choix a apporté d’autres avantages en interne. OpenAI n’a pas eu besoin de modifier en profondeur Chromium, puisque l’entreprise a créé sa propre interface au lieu d’ajuster celle de Google. D’un point de vue stratégique, c’est aussi une manière de limiter sa dépendance à cette base technique. Même si c’est improbable à court et moyen terme, on pourrait imaginer qu’un jour, une alternative plus complète ou mieux conçue voie le jour et le cas échéant, l’entreprise pourrait plus facilement basculer son navigateur sur cette nouvelle fondation.
Pour ses développeurs, cela signifie aussi qu’il n’est pas nécessaire de compiler Chromium à chaque modification d’Atlas, un gain de temps conséquent qui a permis d’avancer plus rapidement, argumente le créateur de ChatGPT. Cet article de blog est autant une manière de montrer que ChatGPT Atlas n’est pas qu’une version légèrement modifiée de Chrome qu’une manière d’attirer des développeurs pour gonfler ses équipes. La version iOS semble être la priorité suivante, mais OWL devrait continuer de servir pour les versions Android et Windows du navigateur web, cette fois avec d’autres langages et frameworks.
Vous pouvez tester ChatGPT Atlas gratuitement, à condition toutefois d’avoir un compte ChatGPT, le navigateur est inutilisable sans cela. Un compte payant est nécessaire pour l’exploiter pleinement et notamment son mode agent, qui manipule les pages web à votre place. Je l’ai testé en guise de navigateur web par défaut pendant une semaine à la place de Safari et j’ai apprécié son interface soignée, même si les fondations fournies par Google sont rapidement visibles.
J’ai passé une semaine avec ChatGPT Atlas en guise de navigateur principal
Lors de la dernière WWDC, Apple a promis une amélioration pour les voyageurs : l’app Cartes va mieux prendre en charge les cartes d’embarquement, avec des activités en direct indiquant le trajet et la possibilité de partager les informations à ses proches. La fonction s’est élargie à la compagnie Delta via une récente modification côté serveurs, la rendant accessible sur toutes les versions d’iOS 26.
Looks like Delta is supporting upgraded boarding passes with 26.2 beta 1! (Removed some info for security)@MacRumors @9to5mac @BetaProfiles @iupdate @app_settings pic.twitter.com/UKTV00JRGn
— Aaron Binner (@binner_aar99282) November 4, 2025
Jusqu’à iOS 18, les cartes d’embarquement étaient assez limitées dans Cartes, se contentant de garder une copie numérique du billet. Avec iOS 26, l’app affiche désormais le terminal, la porte d’embarquement et le numéro du tapis de bagages à l’arrivée. Une activité en direct propose un suivi du vol directement sur l’écran verrouillé. Un plan interactif de l’aéroport est rapidement accessible, tout comme vers l’app Localiser pour suivre une valise.
Ces cartes enrichies sont intéressantes, mais leur déploiement se fait au compte goutte. United a été la première à sauter le pas et était jusqu’à présent la seule. En juin, Apple avait annoncé 8 autres partenaires : Air Canada, American Airlines, JetBlue, Southwest, Lufthansa, Qantas, Virgin Australia et Jetstar.

La nouveauté n’est pas sans évoquer Flighty, une app récompensée par Apple en 2023 pensée pour les grands voyageurs. Elle permet d’aller plus loin que la solution d’Apple en indiquant la météo sur le lieu d’arrivée ou de voir un historique de ses vols sur une jolie carte. Apple a pour avantage son intégration native et sa gratuité, Flighty imposant un abonnement d’une cinquantaine d’euros par an pour accéder au cœur de ses fonctions.
La concurrence s’est réduite dans le domaine des apps de suivi de vol. App in the Air a mis la clé sous la porte l’année dernière. En plus de Flighty, les voyageurs peuvent aussi se tourner vers TripIt ou FlightRadar, deux concurrents nécessitant également un abonnement annuel. Notons cependant que les apps de certaines compagnies comme Air France proposent des activités en direct bien pratiques.



Google annonce une nouveauté pour les véhicules « Google Built-in », ceux qui reposent sur le système d’exploitation pour voitures de Google et qui intègrent tous les services fournis par le géant de la recherche. L’itinéraire calculé par Google Maps s’intègre alors au cœur de l’expérience, en tenant compte notamment des arrêts nécessaires pour recharger un véhicule électrique. L’intégration va aller encore plus loin, grâce à une nouveauté annoncée par Google : on pourra désormais visualiser la bonne voie à emprunter, notamment sur autoroute, en fonction de celle actuellement suivie par la voiture.
Toutes les apps de navigation, dont Google Maps, savent normalement vous signaler qu’il faudra emprunter la prochaine sortie et ainsi de vous suggérer de vous rabattre sur la droite, par exemple. La nouveauté, c’est que les caméras intégrées à la voiture vont repérer où vous êtes en temps réel et afficher une consigne spécifique à l’écran. Si vous êtes déjà placé sur la bonne voie, vous ne verrez rien de spécial. Sinon, l’app de Google affichera votre position en temps réel, la consigne à respecter et elle suivra même votre progression pendant que vous changez de file.
Cet ajout devrait être tout particulièrement utile sur les plus gros axes routiers, qui peuvent compter quatre ou cinq voies et qui demandent régulièrement de se positionner sur une file précise pour suivre la bonne direction un kilomètre ou deux plus loin. En affichant sur les écrans du tableau de bord votre position actuelle en temps réel et la voie à rejoindre, et surtout en suivant votre changement de trajectoire pendant toute l’opération, Google Maps devrait simplifier ces opérations. En tout cas, la démonstration fournie par l’entreprise semble assez convaincante.
Malheureusement, même si votre voiture est « Google Built-in », il y a peu de chance pour que vous puissiez tester la fonction. Pour le lancement, la nouveauté est réservée à une seule voiture, la Polestar 4 de la filiale du géant chinois Geely qui a longtemps été associée à Volvo même si c’est désormais un constructeur indépendant. La voiture est vendue en France depuis quelques mois, à partir de 61 800 € pour ce « SUV coupé » qui se veut assez sportif. Quand bien même vous l’achèteriez, la fonctionnalité sera lancée « dans les prochains mois » pour les conducteurs de deux pays seulement : les États-Unis et la Suède, nation d’origine de la marque.
Google indique bien à la fin de son communiqué que d’autres pays et d’autres constructeurs seront ajoutés par la suite, sans s’avancer sur une liste ou des dates. Puisque les caméras dans la voiture sont impliquées, une collaboration est nécessaire entre les deux entreprises, ne serait-ce que pour calibrer le système. Polestar a été le premier constructeur automobile à proposer le système de Google, comme son propre communiqué le rappelle, et c’est assez logique qu’il soit aussi le premier sur cette nouveauté. Reste à savoir si la fonction imaginée par Google sera facilement adaptée à d’autres voitures, chez Polestar et d’autres constructeurs.
On sait qu’une caméra à l’avant est impliquée et que l’intelligence artificielle (évidemment) de Google mouline les images pour comprendre où se situe la voiture et vérifier que le conducteur suit correctement la consigne transmise par Maps. Est-ce que tous les modèles avec Google Built-in pourront bénéficier de la fonction à terme, ou est-ce qu’il faudra des caractéristiques et un placement bien spécifiques pour la caméra en question ? On n’en sait pas plus à ce stade.

Lorsque The Browser Company a lancé Dia, l’éditeur a clairement raté son entrée. Fort du succès d’Arc, il a voulu repartir sur un navigateur recentré sur l’intelligence artificielle… en faisant table rase de nombreuses fonctions qui avaient fait le charme et l’originalité d’Arc. Résultat : les utilisateurs se sont sentis dépossédés.
Depuis quelques semaines, The Browser Company corrige le tir pour encourager les utilisateurs d’Arc à passer sur Dia. Dia avait déjà récupéré l’un des marqueurs forts d’Arc : le Focus Mode, qui masque la barre latérale et les onglets pour afficher une seule page en plein écran — idéal pour travailler ou lire sans distraction. Dans la foulée, son PDG, Josh Miller, avait promis que plusieurs des « meilleures idées d’Arc » seraient repensées et réintégrées dans Dia.

La mise à jour sortie en fin de semaine dernière va dans ce sens et apporte la fameuse mode barre latérale, autre élément très apprécié sur Arc.
J’ai passé une semaine avec ChatGPT Atlas en guise de navigateur principal
Difficile de dire pour l’instant si cette stratégie fonctionnera. On peut toutefois espérer que certaines fonctions d’Arc finiront par inspirer Safari. On voit déjà des idées d’Arc réapparaître ailleurs. Dia se télécharge gratuitement sur le site de l’éditeur. Pour les fonctions liées à l’IA, un abonnement d’environ 20 $ par mois est proposé pour les usages plus intensifs.
Atlassian achète les navigateurs Arc et Dia pour les envoyer en entreprise
Rappelons que The Browser Company a été achetée début septembre par Atlassian pour 610 millions de dollars. L’emballement actuel autour de l’IA et les perspectives d’abonnements récurrents expliquent sans doute en bonne partie un tel investissement.
Comme prévu, la semaine est chargée en mises à jour. Après avoir proposé lundi iOS 26.1, Apple enchaîne déjà avec iOS 26.2, dont la bêta est arrivée hier soir. Cette version, attendue pour la première quinzaine de décembre, apporte un nombre non négligeable de changements.
Apple met en ligne les premières bêtas pour iOS 26.2 et les autres (sauf macOS Tahoe)
Pour les utilisateurs européens, cette mise à jour est assez particulière. Côté pile : les AirPods gèreront la traduction instantanée. Côté face : nous perdrons la possibilité de synchroniser les réseaux Wi-Fi entre l’Apple Watch et l’iPhone. C’est bien évidemment frustrant, mais on peut tout de même affirmer qu’on y gagne au change.
L'Apple Watch va perdre une fonction à cause de l'Union européenne et du DMA
Apple va activer la traduction en direct des AirPods en Europe avec iOS 26.2, dont la sortie est prévue en décembre
Sur l’écran verrouillé, un curseur dédié à Liquid Glass permet d’ajuster l’apparence de l’horloge. Avec l’option Glass, vous pouvez faire varier l’effet : affichage presque entièrement transparent, ou rendu plus givré, plus texturé.
Il existe toujours une option Solid pour désactiver complètement l’effet Liquid Glass et obtenir une horloge opaque, si vous préférez quelque chose de plus classique. Les options de couleur pour l’horloge restent également disponibles.
Dans les réglages de l’app Mots de passe, on trouve désormais une option permettant de gérer la liste des sites pour lesquels l’iPhone ne doit pas enregistrer les identifiants lors de la connexion.
Les tableaux débarquent dans Freeform comme un outil supplémentaire parmi les nombreux déjà proposés. Depuis l’écran d’ajout de contenus, vous pouvez créer des tableaux de différentes tailles et y insérer du texte ou des listes.
Avec watchOS 26, l’Apple Watch attribue un score de sommeil de 0 à 100 basé sur trois critères : la durée du sommeil (50 points), l’heure du coucher (30 points) et les réveils nocturnes (20 points). Le score a souvent été jugé trop généreux, une nuit moyenne pouvant afficher autour de 80.
watchOS 26.2 : Apple durcit (un peu) l’échelle du score de sommeil
Avec watchOS 26.2, Apple a revu son barème d’appréciation :
Dans l’app Rappels, une nouvelle option permet désormais de faire sonner une alarme quand un rappel arrive à échéance. Pour activer l’alarme, il suffit d’activer l’option « Urgent » lors de la création du rappel.
Quand l’alarme d’un rappel se déclenche, vous avez le choix entre Répéter (snooze) ou Arrêter. Si vous choisissez de répéter, un compte à rebours apparaît sur l’écran verrouillé, avec la possibilité de marquer le rappel comme terminé ou de le reprogrammer.
Apple distingue ces alarmes des alarmes classiques en leur attribuant une nouvelle couleur bleue.
L’app Podcasts gagne trois nouveautés :
Ce n’est pas encore activé, mais iOS 26.2 contient plusieurs références à une nouvelle fonction AirDrop. Elle permettra à deux personnes de s’échanger un code PIN, et ce code débloquera AirDrop entre elles pendant 30 jours.
Actuellement, AirDrop n’est disponible que 10 minutes lorsqu’on partage avec quelqu’un qui n’est pas dans ses contacts. Cette option pourrait donc prolonger cette fenêtre.
On trouve également des indices montrant que l’app Météo prend désormais en charge les repères temporels relatifs dans ses alertes, avec des formulations du type « vendredi prochain » ou « mardi prochain » pour annoncer une pluie ou un changement de temps à venir.
Dans les réglages d’Accessibilité, l’option Flash pour les alertes peut désormais faire flasher l’écran. Jusqu’ici, elle se limitait uniquement au flash LED au dos de l’iPhone.
On peut donc choisir de remplacer le flash LED par le flash de l’écran… ou d’activer les deux en même temps lors de la réception d’une notification.
Dans la section Notifications des réglages, un nouvel onglet Alertes de sécurité améliorées permet de gérer les alertes liées aux tremblements de terre, aux menaces imminentes, ainsi que d’activer une meilleure diffusion des alertes. Cette dernière option s’appuie sur votre position afin d’en améliorer la fiabilité.
Apple proposera la bêta publique sans doute d’ici la fin de la semaine. En théorie, si le développement de cette version se passe sans accroc, elle devrait être disponible au téléchargement entre le 9 et le 16 décembre ! Le plus tôt sera le mieux pour les ingénieurs d’Apple qui pourront ensuite profiter des congés de fin d’année.
Avec watchOS 26, l’Apple Watch calcule un score de sommeil, noté de 0 à 100, qui résume la qualité de votre nuit précédente. 0 signifie que vous n’avez tout simplement pas dormi, 100 correspond à une nuit idéale. Son calcul repose sur trois critères : la durée du sommeil, l’heure du coucher et le nombre de réveils nocturnes. La durée compte pour 50 points, l’heure du coucher pour 30 points et les interruptions pour 20 points. Des points sont donc retirés en cas de nuit trop courte, de coucher tardif ou de sommeil trop fragmenté.
watchOS 26 : comment Apple note la qualité de votre sommeil
Le reproche souvent fait au Sleep Score est qu’il note assez large : une nuit « pas terrible » peut se retrouver au-dessus de 80. Probablement une façon pour Apple d’éviter d’ajouter du stress… à ceux qui ont justement du mal à dormir.
Reste qu’avec watchOS 26.2, Apple a changé son barème d’appréciation. Voici les nouveaux paliers de notation :
À noter : la catégorie « Très élevé » s’appelait auparavant « Excellent », mais Apple l’a renommée pour harmoniser l’ensemble.
Les scores de sommeil sont disponibles sur tous les modèles d’Apple Watch compatibles avec watchOS 26, et sont consultables dans l’app Santé sur l’iPhone. L’idée derrière Score de sommeil est d’offrir une vision globale de la qualité de vos nuits, afin de vous aider à repérer les habitudes qui peuvent influencer votre sommeil.