L'App Store lance un programme pour les mini apps avec un taux de 15%



Starlink, le fournisseur d’accès à internet par satellites de Space X, a-t-il du mal à recruter de nouveaux abonnés ? C’est ce que semble indiquer cette nouvelle promotion qui vient casser le principal obstacle pour les personnes intéressées par cette connexion à internet : le prix de l’équipement initial et surtout de son installation. On peut désormais s’abonner à Starlink à partir de 29 € par mois sans engagement et sans avoir à avancer de l’argent au départ, si ce n’est 19 € de frais de livraison.
Contrairement à l’ADSL ou la fibre optique où la box est fournie par l’opérateur et incluse dans l’abonnement, l’antenne indispensable à la connexion satellitaire était à l’origine facturée au client qui voulait s’abonner à Starlink. Il fallait s’acquitter d’entrée de jeu de 350 €, ce qui limite l’attrait de l’offre, d’autant que l’antenne pouvait nécessiter des frais supplémentaires si une installation en hauteur, sur un toit par exemple, est nécessaire. Ces deux blocages semblent levés par la nouvelle offre, qui inclut une antenne prêtée par Starlink et même l’installation par un professionnelle.
Comme souvent avec la filiale de SpaceX, les détails sont difficiles à dénicher sur le site internet. On sait que l’offre ne concerne que le kit Standard vendu normalement 350 € et qu’il s’agit d’une location gratuite, avec obligation de renvoyer le matériel dans les 30 jours qui suivent la résiliation, sous peine de payer le prix de vente. C’est une disposition classique, similaire à celle que l’on retrouve pour les connexions à internet fixes. En revanche, l’installation professionnelle gratuite est plus étonnante : s’agit-il uniquement d’une configuration du matériel reçu ou est-ce que l’on peut compter sur un couvreur qui vient positionner l’antenne en haut d’un mât sur le toit ?
On ne parle pas du tout de la même somme dans les deux situations et s’il est probable que Starlink a prévu des limites, je n’ai pas trouvé de document contractuel qui précise ce point. Quoi qu’il en soit, si vous vouliez tester le service, c’est une bonne occasion de le faire, cela vous coûtera au minimum 19 € de frais d’envoi, puis 29 € par mois avec l’offre Residentiel « Lite » (accès au réseau sans priorité, avec des débits réduits selon la demande) ou 40 € par mois pour l’offre standard, qui promet de meilleures performances.
L’entreprise promet jusqu’à 400 Mbit/s, ce qui est excellent quand on reste loin de la fibre optique, même si c’est aussi très théorique. Contrairement à une connexion filaire, la liaison satellitaire dépend de nombreux paramètres qui vont de la météo à la quantité de connexions du satellite visé à tout moment, alors les débits réels peuvent beaucoup varier, tout comme la latence. Si vous êtes intéressé, mon collègue Pierre a testé Starlink chez lui pendant plusieurs semaines pour vérifier ce que cela donnait à l’usage.
Starlink à l'essai : tout ce qu'il faut savoir sur cette connexion par satellite d'un genre nouveau
Nos lecteurs ayant un parent vivant seul pourront jeter un coup d’œil à l’app Dooinwell, récemment traduite en français, qui permet de s’assurer qu’un proche ne rencontre pas de problème au quotidien. L’idée est de lui faire confirmer régulièrement sa présence via un système de rappels, avec une alerte envoyée à un proche en cas d’absence de réponse. De quoi repérer plus facilement un souci entre deux coups de fil et une visite de l’aide-soignant.

La configuration est assez simple. On peut définir un nombre de rappels quotidien, allant jusqu’à 4 pour les personnes les plus à risque. Il ne reste plus qu’à activer les notifications et à installer l’app compagnon sur le téléphone de son parent avant de relier les deux via un système de code d’invitation.
L’app propose quelques bonnes idées, comme un système d’alerte à chaque sortie ou une assistance vocale liée à Siri en cas d’urgence. Un mode kiosque est présent pour les parents peu à l’aise avec la technologie : l’application s’affiche automatiquement dès que l’écran est touché et émet des signaux sonores pour inciter à confirmer sa présence. On pourra par exemple l’installer sur un vieil iPod touch ou iPad mis en évidence sur un support.
L’app tire bien parti des technologies Apple. On peut valider que tout va bien en faisant un appui long sur une notification ou depuis une Apple Watch. Une activité en direct apparaît lors de la sortie d’un senior, et des widgets permettent de voir si tout va bien depuis l’écran d’accueil. L’app est optimisée pour iPad et peut envoyer des alertes critiques (qui passent par-dessus le mode Ne pas déranger) en cas de pépin.

Dooinwell se veut non invasive afin de ne pas nuire à la relation, mais permet de débloquer certains aspects comme la géolocalisation en cas de situation anormale. Disponible en anglais depuis quelques années, elle avait été mentionnée par Apple lors de la WWDC 2021. Elle fonctionne sur un système d’abonnement à 54 € par an, sachant qu’il est possible de l’essayer gratuitement pendant 2 mois pour voir si les seniors arriveront à se faire à cette nouvelle habitude.
On a beaucoup parlé récemment de l’échec commercial de l’iPhone Air, qui serait boudé par la majorité de la clientèle au point qu’Apple aurait décidé de mettre un gros coup de frein sur la production du modèle actuel et réfléchirait même à annuler le suivant. Ce ne serait pas le seul produit dans la gamme à rencontrer de grosses difficultés toutefois. Si l’on en croit Fixed Focus Digital sur Weibo, l’iPhone 16e aurait lui aussi du mal à trouver des acheteurs.
Le fuiteur chinois, qui avait été le premier à sortir le nom d’iPhone 16e, suggère que ce modèle d’entrée de gamme se vendrait bien peu, au point qu’Apple le considérerait comme un échec. Malgré tout, ses sources suggèrent que l’iPhone 17e resterait au programme pour le début de l’année 2026, un an après la sortie du 16e. On n’en saura pas plus, même si c’est peut-être un indicateur qu’Apple compte changer un petit peu de stratégie.
Si l’iPhone 16e n’est pas un mauvais téléphone, c’est un smartphone certainement bien trop cher pour justifier les compromis demandés. À plus de 700 €, Apple n’a prévu qu’un seul appareil photo au dos, tandis que toutes les petites absences — MagSafe, puce UWB pour repérer précisément un AirTag ou encore la Dynamic Island pour les activités en direct — commencent à peser sur la balance. Manifestement, les clients ont préféré soit dépenser plus pour un iPhone plus cher, soit beaucoup moins pour un smartphone Android concurrent.
Test de l’iPhone 16e : pour tout le monde, ou presque
On le voit à notre niveau, l’iPhone 16e ne parvient à attirer votre intérêt que s’il est en promotion à un tarif bien inférieur, jamais à son prix de base. Apple semble avoir deux choix pour le 17e : soit maintenir le tarif en augmentant les fonctionnalités pour rééquilibrer la gamme, soit au contraire baisser le prix de base pour rendre l’iPhone entrée de gamme plus attractif. On devrait savoir dans quelques mois ce que la Pomme a choisi de faire, si on a bien un iPhone 17e à la fin de l’hiver ou au début du printemps, comme les rumeurs le prédisent.
iPhone 17e : date de sortie, puce A19, design… tout ce qu’on sait déjà du futur iPhone “entrée de gamme”
En attendant, on trouve actuellement l’iPhone 16e à partir de 669 € chez Amazon, c’est 50 € de moins que chez Apple. Il y aura peut-être de meilleurs prix dans les jours qui viennent, avec l’arrivée du Black Friday.
Les propriétaires de Mac mini M4 vont pouvoir sortir la carte bleue : Amazon affiche en ce moment une grosse ristourne sur une jolie coque rétro de elago. Inspirée du Macintosh, on peut la trouver pour 26,43 € contre 35,99 € en temps normal. L’accessoire est vendu par elago et livré par Amazon.

La coque est uniquement compatible avec le Mac mini M4, qui a gagné un nouveau boîtier plus compact par rapport aux générations précédentes. Elle épouse ces nouvelles dimensions et apporte un faux écran, une fente de lecteur et des détails qui rappellent le design original du Macintosh. De quoi donner un peu de personnalité à une simple boîte grise.
La coque est faite en silicone avec un intérieur souple pour éviter de rayer le boîtier et un extérieur mat qui ne glisse pas trop. Elle a été conçue pour ne pas bloquer les différents ports à l’arrière, et la ventilation est également laissée libre afin d’éviter toute surchauffe ou bruit de ventilation supplémentaire. Il n’apporte pas de protection sérieuse en cas de chute, mais il protégera au moins des petits chocs et des rayures.

Elago a quelques autres petits accessoires en promo. On notera par exemple cette coque pour AirPods Pro 3 inspirée de la Game Boy à 16,69 € (-17 %), ou celle-ci encore plus originale en forme de crème glacée à 18,37 € (-16 %). Le fabricant propose également de quoi faire pour couvrir un Apple Pencil Pro ou USB-C, ou un socle pour chargeur MagSafe à 18,51 € (-29 %).
Google prévoit des changements pour l’installation d’applications tierces sur Android. En août dernier, Mountain View a annoncé de futures restrictions pour le sideloading imposant aux développeurs de vérifier leur identité avant de partager une app, même en dehors du Play Store. Une modification qui risquait fortement de tuer le sideloading et qui avait mené à une levée de boucliers. L’entreprise est récemment revenue sur ses pas et envisage désormais une méthode pour permettre aux « utilisateurs expérimentés » d’installer des programmes provenant de n’importe où.

Contrairement à iOS, Android a toujours laissé l’utilisateur assez libre sur l’installation d’apps tierces. Quelqu’un téléchargeant un installeur (un fichier .APK) sur le net peut l’installer sans problème en désactivant une sécurité avant de valider quelques pop-up. Les boutiques alternatives au Play Store peuvent s’installer de la même manière.
Fin août, Google a annoncé que les développeurs souhaitant publier une app Android devraient désormais donner un nom, un numéro de téléphone, un email et même un scan de leur carte d’identité dans certains cas. À cette vérification s’ajoute une taxe de 25 $ qui sera mise en place en 2026 pour les développeurs au Brésil, en Indonésie, à Singapour et en Thaïlande, avant d'être appliquée à l'échelle mondiale en 2027. La manœuvre a soulevé de nombreuses critiques, comme celle de la boutique F-Droid permettant d'installer des applications open source et gratuites.
F-Droid, la boutique Android open source, s'inquiète des restrictions de Google sur les développeurs
Le projet n’a pas été abandonné, Google ayant ouvert l'accès anticipé à ce programme de vérification hier. Elle a cependant fait une grosse concession en annonçant développer un « processus avancé permettant aux utilisateurs expérimentés d’accepter les risques liés à l’installation de logiciels non vérifiés ». On y trouvera « des avertissements clairs afin de garantir que les utilisateurs comprennent parfaitement les risques encourus » aux côtés de différentes mesures de protection pour éviter que les arnaqueurs puissent inciter à les désactiver trop facilement.
Google envisage également un nouveau type de compte pour les développeurs amateurs et les étudiants, leur évitant d’avoir à effectuer un processus de vérification complet et autorisant l’installation d’applications sur un nombre limité d’appareils. « Les étudiants ont besoin d'un parcours d'apprentissage, et les utilisateurs, en particulier les utilisateurs avancés, souhaitent prendre plus de risques dans leurs installations », a concédé le président d’Android sur X, ajoutant vouloir apporter des modifications « pour répondre à ces deux besoins ».
Des iPad Pro 11" font l’objet de remises sur Amazon. Le M5 dernier cri avec 256 Go de stockage est en promotion à 1 033 € sur Amazon Allemagne, au lieu de 1 119 € chez Apple. Le prix affiché est de 1 019 €, mais une fois les frais de port et les taxes calculés, on arrive à 1 033 €. Vous pouvez passer commande sur Amazon.de avec votre compte français et même changer la langue du site pour l’anglais si vous préférez.

Autre option, l’iPad Pro 11" M4 avec 512 Go de stockage à 1 079 € sur Amazon France. C’est 390 € de moins que son tarif de lancement et une bonne affaire si vous voulez une capacité de stockage plus généreuse. La puce M5 est plus puissante que la M4, mais cette dernière est déjà plus que suffisante pour toutes les tâches, même les exigeantes. Il faut néanmoins savoir que l’iPad Pro M5 bénéficie en plus du Wi-Fi 7 (contre Wi-Fi 6E sur le M4), de 12 Go de RAM (au lieu de 8) et de la recharge rapide.
Pour le reste, les iPad Pro 11" M4 et M5 sont identiques. Ce sont des tablettes très fines et légères, qui jouissent d’un magnifique écran OLED, de quatre haut-parleurs puissants, d’une webcam compatible avec la fonction Cadre centré, d’un port Thunderbolt et d’une très grande puissance. C’est le nec plus ultra, qui n’est pas donné.
Test des iPad Pro M5 : toujours plus forts, pas vraiment plus pros
Test de l’iPad Pro 13" M4 : l’heure de changer de formule ?
Vous cherchez une nouvelle imprimante pour imprimer des documents, mais pas des photos ? La meilleure option est toujours la Brother laser de base du moment et cela tombe bien, ce modèle est actuellement en promotion. Plus précisément, Amazon réduit le prix de la HL-L1240W, un modèle au tarif recommandé de 110 € et qui est affiché en ce moment à 95 €. Ce n’est pas une réduction énorme, mais c’est son prix le plus bas sur la boutique et c’est certainement une excellente option si vous cherchez un produit dans la catégorie.
Cette imprimante repose sur la technologie laser et elle ne sait imprimer que des documents en noir et blanc, ce qui la disqualifie naturellement pour tous les besoins liés à la photographie. Si c’est votre cas, oubliez ce produit, il ne vous donnera pas satisfaction. Sinon, c’est l’idéal pour des petits besoins en bureautique. J’utilise moi-même des imprimantes laser Brother depuis près de vingt ans, j’en ai eu deux pendant toute cette durée et les deux ne m’ont jamais déçu.
Le choix du laser permet de ne pas s’embêter avec les cartouches d’encre qui finissent par sécher si on ne les utilise pas suffisamment. La poudre qui est projetée ne peut pas sécher et l’imprimante fonctionnera parfaitement quand vous aurez besoin d’elle, même si c’est après plusieurs mois à la laisser prendre la poussière dans un coin du bureau. Autre avantage, un coût à l’impression record : sur ce modèle entrée de gamme, vous pourrez imprimer 350 pages avec le toner fourni, puis comptez moins de 50 € pour un toner officiel qui doit pouvoir en imprimer un millier. Vous pourrez même payer moins cher pour des blocs compatibles, il n’y a pas de verrouillage chez Brother.
Si l’on peut relier la Brother HL-L1240W en USB à un ordinateur, c’est avant tout une imprimante Wi-Fi. Elle pourra ainsi être connectée au réseau sans fil de votre logement ou bureau, en 2,4 GHz ou 5 GHz, ce qui est encore assez rare dans le domaine. Le fabricant offre toujours la compatibilité AirPrint, ce qui permet d’imprimer depuis des produits Apple sans installer la moindre app ni un pilote. C’est, à mon avis, un prérequis indispensable dans l’écosystème pommé et cela fonctionne très bien à l’usage.
![]()
Arthur Lhermitte m'a contacté pour sa société et ses créations Striiiipes, mettant en avant ce porte-carte en cuir. On aura évidemment compris son inspiration.
C'est moins cher qu'une H. Moser Swiss Alp Watch.
![]()
Je le trouve amusant mais anecdotique, sauf que derrière il y a plus intéressant!
C'est une petite entreprise Française qui utilise de beaux cuirs, qui les travaille à la main dans le IXème arrondissement à Paris. Ça déjà c'est intéressant.
Mieux que ça il essaye de réutiliser au maximum toutes les chutes de cuir avec créativité.
J'aime les idées, les couleurs, les textures (au moins visuellement), certains produits sont très abordables et en général les prix tout à fait justifiés : la qualité se voit sur les photos, ce sont en fait des produits de luxe Français artisanaux pas chers du tout.
Pas du faux luxe industriel à la Chinoise, du vrai luxe Français artisanal.
Allez au moins visiter le site Striiiipes, j'ai beaucoup aimé leurs bracelets de montres en cuir, le nécessaire superflu (probablement inspiré par Jérôme Bonaldi), et les "collabs".
C'est beau, visiblement bien fait, avec de l'humour et des couleurs vivantes...
Ni Macbidouille ni moi n'avons reçu argent, intéressement ou produit: ça n'est pas une publicité.
Le plus long shutdown de l’histoire du gouvernement américain a enfin pris fin le mercredi 12 novembre 2025, avec la signature d’une loi de financement par Donald Trump. La coupure a duré 43 jours et bloqué mécaniquement de nombreuses administrations aux États-Unis, dont la FCC qui nous intéresse tout particulièrement de ce côté de l’océan. En effet, l’organisme est en charge de certifier tous les nouveaux produits qui contiennent des puces radio, comme le Wi-Fi ou le Bluetooth. Sans FCC, de nombreux fabricants ont été contraints de reporter la sortie de nouveaux produits.
Le shutdown aux USA bloque un bon nombre de nouveautés à la frontière, la FCC étant en pause forcée
Est-ce le cas d’Apple ? Les rumeurs soulignent que l’entreprise devrait sortir (au moins) trois nouveaux produits d’ici la fin de l’année, avec une nouvelle Apple TV, un HomePod mini de deuxième génération et des AirTags 2. Les trois sont potentiellement concernés par la fermeture de la FCC, puisqu’ils intègrent tous trois une puce Bluetooth, en plus du Wi-Fi pour deux d’entre eux.
Le shutdown est-il la raison qui explique leur retard ? Mark Gurman envisageait une sortie le 12 novembre, on est le 13 lorsque j’écris ces lignes et il n’y a manifestement pas eu de nouveaux produits chez Apple. Enfin si : il y a bien eu une nouveauté pommée cette semaine, mais la déjà célèbre iPhone Pocket n’a pas besoin d’une autorisation de la part de la FCC.
Vers une commercialisation des nouveaux HomePod mini et Apple TV le 12 novembre ?
Si la fermeture de la FCC était bien le point bloquant, la reprise des activités de l’administration est une bonne nouvelle pour tous ceux qui attendaient impatiemment de changer leur enceinte connectée ou boîtier TV. Néanmoins, l’organisme doit maintenant rattraper les six semaines de coupure forcée et rien ne dit qu’Apple pourrait obtenir ses certifications à temps. Bien sûr, l’entreprise pourrait être jugée prioritaire, mais la réouverture débute ce jeudi et il est difficile d’imaginer que la firme de Tim Cook pourrait avoir toutes ses autorisations pour une sortie dès la semaine prochaine, par exemple.
Comme il ne s’agit que de rumeurs, on ne sait pas toutefois si la FCC est impliquée dans l’absence de nouveautés côté HomePod mini et Apple TV. Apple peut très bien avoir décidé de reporter leur sortie pour une toute autre raison et tout ce que l’on peut rappeler à ce stade, c’est que les stocks sont au plus bas pour l’enceinte connectée. C’est en général annonciateur d’un renouvellement imminent.
Le HomePod mini en fin de vie chez plusieurs revendeurs : arrivée imminente d’un nouveau modèle ?