Mercato Manchester City : concurrence avec Chelsea pour le nouveau Rodri à 114 M€



Bandai Namco has released the PC system requirements for the upcoming anime-styled action RPG, Code Vein 2. The specifications confirm that aspiring Revenants will need significantly more robust hardware than the 2019 original to play the new game when it launches on January 30th, 2026.
First teased during Summer Game Fest 2025, Code Vein 2 expands on the “anime Dark Souls” formula with a new narrative centred on time manipulation, larger environments, and a deepened partner system. While the first game was known for being relatively lightweight, the sequel demands a modern rig to hit 60 FPS, even at 1080p. Bandai Namco has set 16 GB of RAM and Windows 11 as the absolute floor for entry. This effectively leaves Windows 10 users behind, a trend we are seeing more frequently in 2025-2026 releases. Storage requirements have also ballooned to 70 GB, with the publisher strongly recommending an SSD.
For a 1080p experience at 30 FPS on Low settings, users will need at least an Intel Core i5-9600K or AMD Ryzen 5 3600 paired with a GTX 1660 Super or Radeon RX 5700. Those looking to push the visual fidelity to High at 60 FPS will need to step up to an RTX 3080 or Radeon RX 6800, alongside a beefier CPU like the Ryzen 7 7800X3D or the Intel Core i7-12700KF. The detailed system requirements can be found below:
MINIMUM
RECOMMENDED
Pre-orders are currently live on Steam, with Standard, Deluxe, Ultimate, and Collector's Editions available. All pre-orders include a face paint and a weapon. The deluxe edition includes the base game with a 3-day early access, a custom outfit pack (3 costume sets and a weapon), and the upcoming DLC Mask of Idris. The Ultimate Edition adds to the Deluxe Edition with a digital mini artbook, a soundtrack, and a character costume set (6 costumes). Lastly, the Collector's Edition has everything included in the Ultimate Edition, plus an 18 cm figure, a 60-page artbook, and a metal case.
KitGuru says: Did you play the original Code Vein? Are you planning on getting the sequel? Is your PC ready for it?
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© Evelyn Hockstein/Reuters
Pour sa deuxième saison en NBA, Alexandre Sarr est déjà en train de changer de dimension. Plus résistant physiquement et recentré sur la raquette, l'intérieur français de 20 ans confirme une progression rapide à Washington, qui le place parmi les pivots les plus prometteurs de la Ligue. Mariage en recul, Pacs en plein essor, divorces en baisse et couples de même sexe plus visibles : le visage du couple français change vite. Bilan chiffré de ces mutations, et ce qu’elles disent de notre société.

Sofia Goggia a été la plus rapide dimanche lors du super-G de Val d'Isère, devant Alice Robinson et Lindsey Vonn. La Française Camille Cerutti est 5e, son meilleur résultat sur le circuit.
Si l'Afrasia Bank Mauritius Open a été remporté par Jayden Schaper (-22) après deux trous de play-offs face à Ryan Gerard, Alexander Levy (7e, -14) et Oihan Guillamoundeguy (9e, -12) ont décroché un magnifique top 10. Avec des sentiments légèrement différents.
Sans club depuis son éviction de Nice en 2023, Lucien Favre a annoncé ce dimanche la fin de sa carrière d'entraîneur dans une interview accordée au média suisse « Blick ». Le technicien helvète a passé 32 ans sur les bancs en alternant entre la Suisse, l'Allemagne et la France.
Opposé à Shi Yu Qi, le Chinois numéro 1 mondial et champion du monde en titre, Christo Popov a réalisé une performance majeure à l'échelle du badminton mondial en s'imposant dimanche en finale du simple des World Tour Finals (21-19, 21-9), le tournoi réunissant les huit meilleurs joueurs de l'année. Annette et Roger fêtent Noël chez Hélène et Nicolas en présence de la bande dans le vingtième épisode de la saison 37 des Mystères de l'amour , diffusé ce dimanche 21 décembre 2025 en prime time sur TMC. Annette se montre totalement sous le charme d'Étienne…


Contrarié par la stratégie de pression mise en place par La Rochelle, l'Aviron Bayonnais n'a pu utiliser son arme privilégiée du jeu au pied d'occupation. Et a reçu une nouvelle correction à l'extérieur (49-17) en 12e journée de Top 14. 32 diapositives, estampillées "sensibles mais non classifiées". À l’intérieur, des graphiques, des projections économiques et surtout des visuels de tours modernes dressées face à la Méditerranée. Selon les révélations du Wall Street Journal, ce document constitue le socle de "Project Sunrise", une initiative portée par l’administration Trump pour imaginer la reconstruction de Gaza. Le plan a été conçu par une équipe pilotée par Jared Kushner, gendre de Donald Trump, et Steve Witkoff, envoyé spécial pour le Moyen-Orient, tous deux conseillers de premier plan à la Maison-Blanche. Leur ambition : convaincre gouvernements étrangers et investisseurs de miser sur une enclave dévastée, promise à devenir une vitrine de modernité mêlant stations balnéaires haut de gamme, lignes ferroviaires à grande vitesse et infrastructures gérées par l’intelligence artificielle.
Le plan repose sur une feuille de route s’étalant sur plus de 20 ans. D’après ce dernier, les premières étapes seraient de déblayer les immeubles détruits, neutraliser les munitions non explosées et démanteler les tunnels du Hamas. Pendant cette phase initiale, la population serait hébergée dans des structures temporaires, avec un dispositif médical d’urgence composé d’hôpitaux de campagne et de cliniques mobiles. Ce n’est qu’une fois ces tâches accomplies que commencerait la construction d’infrastructures durables : logements, écoles, hôpitaux, lieux de culte, réseaux routiers et électriques, sans oublier la remise en culture des terres.
Les travaux commenceraient au sud de Gaza avant de s’étendre progressivement vers le nord. Rafah et Khan Younès ouvriraient le bal, avant que les travaux ne remontent vers les zones centrales puis la ville de Gaza. L’une des diapositives les plus emblématiques du plan, baptisée "New Rafah", imagine une nouvelle capitale administrative. Cette ville, présentée comme le futur centre de gouvernance, accueillerait plus d’un demi-million d’habitants, répartis dans plus de 100 000 logements, avec un dense maillage d’écoles, d’établissements de santé, de mosquées et de centres culturels.
Sur le plan financier, l’addition est à la hauteur de l’ambition. Le coût total est évalué à 112,1 milliards de dollars sur dix ans, une somme incluant les dépenses publiques et une large part dédiée, au départ, à l’aide humanitaire. Près de 60 milliards de dollars proviendraient de subventions et d’endettement, les États-Unis se proposant d’assumer un rôle central en garantissant environ 20 % de l’effort. La Banque mondiale est également citée comme partenaire potentiel. À terme, les promoteurs du projet misent sur une autonomisation économique de Gaza, rendue possible par la valorisation de 70 % de son littoral à partir de la dixième année, avec l’espoir de générer plus de 55 milliards de dollars de retombées sur le long terme.
Selon des responsables américains cités par le Wall Street Journal, Jared Kushner, Steve Witkoff, Josh Gruenbaum et leurs équipes ont conçu ce plan en un mois et demi, en s’appuyant sur des échanges avec des responsables israéliens, des acteurs du secteur privé et des entreprises de construction. Les projections financières devraient être révisées régulièrement si le projet venait à voir le jour.
Derrière cette projection optimiste, de nombreuses inconnues demeurent. Le document ne précise ni l’identité des États ou des entreprises appelés à financer la reconstruction, ni la manière dont seraient relogés les quelque deux millions de Palestiniens déplacés pendant les travaux. Autre point crucial : le calendrier affiché se heurte à la situation actuelle dans la bande de Gaza.
Les auteurs du plan reconnaissent eux-mêmes que tout repose sur une condition préalable, inscrite noir sur blanc dès les premières pages : la démilitarisation complète du Hamas. Or, le contexte actuel rend cette hypothèse hautement incertaine. Après deux années de guerre, Gaza reste un territoire profondément meurtri, où des milliers de corps seraient encore enfouis sous des dizaines de millions de tonnes de gravats, selon des estimations officielles. Les sols sont contaminés, les explosifs non neutralisés, et les combattants du Hamas toujours présents.
Sur le plan politique, le processus de cessez-le-feu n’a pas dépassé sa première phase. Le Hamas n’a pas encore remis le dernier otage, le corps de Ran Gvili, condition indispensable au retrait progressif de l’armée israélienne. Ce n’est qu’après un désarmement effectif du mouvement islamiste et la fin de toute présence militaire israélienne que la reconstruction pourrait réellement commencer.
Malgré ces obstacles, Washington s’active sur le front diplomatique. Les États-Unis ont déjà présenté les grandes lignes du projet à plusieurs bailleurs potentiels, notamment des monarchies du Golfe, ainsi qu’à la Turquie et à l’Égypte. Des réunions ont également eu lieu à Miami avec des représentants égyptiens, turcs et qataris pour discuter de l’avenir de Gaza, selon des responsables américains.

© afp.com/Doug MILLS