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Mercato Manchester City : concurrence avec Chelsea pour le nouveau Rodri à 114 M€

Avant l’ouverture du mercato en 2026, Manchester City et Chelsea ciblent un milieu de terrain défensif prometteur, qui est déjà comparé à Rodri. Ballon d’Or 2024, Rodri n’a jamais retrouvé son niveau de la saison 2023-2024, où il était un élément indispensable de Manchester City et de la sélection espagnole. Le milieu défensif de 29 […]

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Mercato : le bilan catastrophique des tops ventes de l’été en Ligue 1

En cette fin d’année 2025, un premier bilan du mercato estival peut être dressé. Top Mercato s’est penché sur les tops ventes de l’été en Ligue 1, qui ont globalement donné peu de satisfactions. Comme souvent, la balance des transferts a été positive en Ligue 1 lors du dernier mercato estival. Les formations de l’élite […]

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Real : Xabi Alonso fait la fine bouche

Xabi Alonso, le perfectionniste. Tout n'a pas été parfait, loin de là, mais le Real Madrid a battu Séville (2-0) samedi en Liga, afin de signer une tr......
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Bandai Namco confirms PC system requirements for Code Vein 2

Bandai Namco has released the PC system requirements for the upcoming anime-styled action RPG, Code Vein 2. The specifications confirm that aspiring Revenants will need significantly more robust hardware than the 2019 original to play the new game when it launches on January 30th, 2026.

First teased during Summer Game Fest 2025, Code Vein 2 expands on the “anime Dark Souls” formula with a new narrative centred on time manipulation, larger environments, and a deepened partner system. While the first game was known for being relatively lightweight, the sequel demands a modern rig to hit 60 FPS, even at 1080p. Bandai Namco has set 16 GB of RAM and Windows 11 as the absolute floor for entry. This effectively leaves Windows 10 users behind, a trend we are seeing more frequently in 2025-2026 releases. Storage requirements have also ballooned to 70 GB, with the publisher strongly recommending an SSD.

For a 1080p experience at 30 FPS on Low settings, users will need at least an Intel Core i5-9600K or AMD Ryzen 5 3600 paired with a GTX 1660 Super or Radeon RX 5700. Those looking to push the visual fidelity to High at 60 FPS will need to step up to an RTX 3080 or Radeon RX 6800, alongside a beefier CPU like the Ryzen 7 7800X3D or the Intel Core i7-12700KF. The detailed system requirements can be found below:

MINIMUM

  • Requires a 64-bit processor and operating system
  • OS: Windows 11
  • Processor: Intel Core i5-9600K /AMD Ryzen 5 3600
  • Memory: 16 GB RAM
  • Graphics: Nvidia GeForce GTX 1660 Super / AMD Radeon RX 5700 / Intel Arc B570
  • DirectX: Version 12
  • Storage: 70 GB available space
  • Additional Notes: Estimated performance: 1080p/30fps with graphics settings at “Low”.

RECOMMENDED

  • Requires a 64-bit processor and operating system
  • OS: Windows 11
  • Processor: Intel Core i7-12700KF / AMD Ryzen 7 7800X3D
  • Memory: 16 GB RAM
  • Graphics: Nvidia GeForce RTX 3080 / AMD Radeon RX 6800
  • DirectX: Version 12
  • Storage: 70 GB available space
  • Additional Notes: Estimated performance: SSD is recommended. 1080p/60fps with graphics settings at “High”.

Pre-orders are currently live on Steam, with Standard, Deluxe, Ultimate, and Collector's Editions available. All pre-orders include a face paint and a weapon. The deluxe edition includes the base game with a 3-day early access, a custom outfit pack (3 costume sets and a weapon), and the upcoming DLC Mask of Idris. The Ultimate Edition adds to the Deluxe Edition with a digital mini artbook, a soundtrack, and a character costume set (6 costumes). Lastly, the Collector's Edition has everything included in the Ultimate Edition, plus an 18 cm figure, a 60-page artbook, and a metal case.

KitGuru says: Did you play the original Code Vein? Are you planning on getting the sequel? Is your PC ready for it?

The post Bandai Namco confirms PC system requirements for Code Vein 2 first appeared on KitGuru.
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Alexandre Sarr, un talent qui s'affirme à Washington : « Ce qu'on voit là n'est que le début de mon potentiel »

Alexandre Sarr s'aguerrit cette saison avec les Wizards de Washington. (Gilles Mingasson/L'Équipe)Pour sa deuxième saison en NBA, Alexandre Sarr est déjà en train de changer de dimension. Plus résistant physiquement et recentré sur la raquette, l'intérieur français de 20 ans confirme une progression rapide à Washington, qui le place parmi les pivots les plus prometteurs de la Ligue.
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Actualité : Amazon Echo Studio 2025 et Dot Max : la réactivité d'Alexa est-elle toujours à la hauteur ?

Amazon a récemment commercialisé de nouvelles versions de ses enceintes connectées pilotables à la voix, prenant ainsi une certaine avance sur ses principaux concurrents Apple et Google, dont les modèles commencent à accuser le poids des années. Les Echo Dot Max et Echo Studio 2025 succèdent respectivement aux Echo Dot (5e gen) et Echo Studio (2e gen...

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WMI Marshalling Support For Linux Aims To Match Windows' ACPI/WMI Handling

Open-source developer Armin Wolf has been working most recently on marshalling support for the Windows Management Instrumentation (WMI) platform code within the Linux kernel. This WMI marshalling support is to better match the behavior of Microsoft Windows' WMI ACPI driver and ultimately to allow for better compatibility with some ACPI firmware and enhancing some WMI drivers...
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"Project Sunrise" : le plan américain à 112 milliards de dollars pour reconstruire Gaza

32 diapositives, estampillées "sensibles mais non classifiées". À l’intérieur, des graphiques, des projections économiques et surtout des visuels de tours modernes dressées face à la Méditerranée. Selon les révélations du Wall Street Journal, ce document constitue le socle de "Project Sunrise", une initiative portée par l’administration Trump pour imaginer la reconstruction de Gaza. Le plan a été conçu par une équipe pilotée par Jared Kushner, gendre de Donald Trump, et Steve Witkoff, envoyé spécial pour le Moyen-Orient, tous deux conseillers de premier plan à la Maison-Blanche. Leur ambition : convaincre gouvernements étrangers et investisseurs de miser sur une enclave dévastée, promise à devenir une vitrine de modernité mêlant stations balnéaires haut de gamme, lignes ferroviaires à grande vitesse et infrastructures gérées par l’intelligence artificielle.

Création de 100 000 logements

Le plan repose sur une feuille de route s’étalant sur plus de 20 ans. D’après ce dernier, les premières étapes seraient de déblayer les immeubles détruits, neutraliser les munitions non explosées et démanteler les tunnels du Hamas. Pendant cette phase initiale, la population serait hébergée dans des structures temporaires, avec un dispositif médical d’urgence composé d’hôpitaux de campagne et de cliniques mobiles. Ce n’est qu’une fois ces tâches accomplies que commencerait la construction d’infrastructures durables : logements, écoles, hôpitaux, lieux de culte, réseaux routiers et électriques, sans oublier la remise en culture des terres.

Les travaux commenceraient au sud de Gaza avant de s’étendre progressivement vers le nord. Rafah et Khan Younès ouvriraient le bal, avant que les travaux ne remontent vers les zones centrales puis la ville de Gaza. L’une des diapositives les plus emblématiques du plan, baptisée "New Rafah", imagine une nouvelle capitale administrative. Cette ville, présentée comme le futur centre de gouvernance, accueillerait plus d’un demi-million d’habitants, répartis dans plus de 100 000 logements, avec un dense maillage d’écoles, d’établissements de santé, de mosquées et de centres culturels.

Sur le plan financier, l’addition est à la hauteur de l’ambition. Le coût total est évalué à 112,1 milliards de dollars sur dix ans, une somme incluant les dépenses publiques et une large part dédiée, au départ, à l’aide humanitaire. Près de 60 milliards de dollars proviendraient de subventions et d’endettement, les États-Unis se proposant d’assumer un rôle central en garantissant environ 20 % de l’effort. La Banque mondiale est également citée comme partenaire potentiel. À terme, les promoteurs du projet misent sur une autonomisation économique de Gaza, rendue possible par la valorisation de 70 % de son littoral à partir de la dixième année, avec l’espoir de générer plus de 55 milliards de dollars de retombées sur le long terme.

Selon des responsables américains cités par le Wall Street Journal, Jared Kushner, Steve Witkoff, Josh Gruenbaum et leurs équipes ont conçu ce plan en un mois et demi, en s’appuyant sur des échanges avec des responsables israéliens, des acteurs du secteur privé et des entreprises de construction. Les projections financières devraient être révisées régulièrement si le projet venait à voir le jour.

Un processus de paix bloqué à la première phase

Derrière cette projection optimiste, de nombreuses inconnues demeurent. Le document ne précise ni l’identité des États ou des entreprises appelés à financer la reconstruction, ni la manière dont seraient relogés les quelque deux millions de Palestiniens déplacés pendant les travaux. Autre point crucial : le calendrier affiché se heurte à la situation actuelle dans la bande de Gaza.

Les auteurs du plan reconnaissent eux-mêmes que tout repose sur une condition préalable, inscrite noir sur blanc dès les premières pages : la démilitarisation complète du Hamas. Or, le contexte actuel rend cette hypothèse hautement incertaine. Après deux années de guerre, Gaza reste un territoire profondément meurtri, où des milliers de corps seraient encore enfouis sous des dizaines de millions de tonnes de gravats, selon des estimations officielles. Les sols sont contaminés, les explosifs non neutralisés, et les combattants du Hamas toujours présents.

Sur le plan politique, le processus de cessez-le-feu n’a pas dépassé sa première phase. Le Hamas n’a pas encore remis le dernier otage, le corps de Ran Gvili, condition indispensable au retrait progressif de l’armée israélienne. Ce n’est qu’après un désarmement effectif du mouvement islamiste et la fin de toute présence militaire israélienne que la reconstruction pourrait réellement commencer.

Malgré ces obstacles, Washington s’active sur le front diplomatique. Les États-Unis ont déjà présenté les grandes lignes du projet à plusieurs bailleurs potentiels, notamment des monarchies du Golfe, ainsi qu’à la Turquie et à l’Égypte. Des réunions ont également eu lieu à Miami avec des représentants égyptiens, turcs et qataris pour discuter de l’avenir de Gaza, selon des responsables américains.

© afp.com/Doug MILLS

Donald Trump lors d'une allocution télévisée, le 17 décembre 2025 dans la Maison Blanche, à Washington
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