Il y a quelques jours, Team17, via IGN, a publié un nouveau trailer pour Hell Let Loose: Vietnam, focalisé sur le gameplay. Préparez des draps propres, car ça va tacher. Même si l’on ne voit que de trop courtes séquences, le jeu a l’air d’être extrêmement beau. À tel point qu’il est même difficile de croire qu’il s’agit de vrai gameplay. L’absence d’interface pourrait être un indice, même s’il ne serait pas aberrant de l’avoir masquée pour la vidéo.
On nous montre des passages plutôt impressionnants en bateau et en hélicoptère, le joueur installé derrière des armes montées, ainsi que de jolies explosions. On peut également apercevoir notre personnage, a priori blessé, se faire traîner par un coéquipier tout en tirant avec son flingue. Les échanges de tirs avec des pétoires iconiques de la guerre du Vietnam, telles que la M60, semblent aussi franchement cool, et on a vraiment hâte de mettre les mains sur le jeu. Ah oui, on a oublié : Hell Let Loose: Vietnam est la suite d’Hell Let Loose, un milsim orienté sur le jeu en équipe, mais un peu moins technique que Squad. Et même si le premier a été développé par un autre studio, il a ensuite été repris par Expression Games, qui travaille sur son petit frère. D’où notre engouement.
Si vous aussi êtes impatients de voir tourner Hell Let Loose: Vietnam pour de vrai, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits Steam. Pour l’instant, le jeu est prévu pour 2026, sans plus de précisions.
Il y a quelques jours, Team17, via IGN, a publié un nouveau trailer pour Hell Let Loose: Vietnam, focalisé sur le gameplay. Préparez des draps propres, car ça va tacher. Même si l’on ne voit que de trop courtes séquences, le jeu a l’air d’être extrêmement beau. À tel point qu’il est même difficile de croire qu’il s’agit de vrai gameplay. L’absence d’interface pourrait être un indice, même s’il ne serait pas aberrant de l’avoir masquée pour la vidéo.
On nous montre des passages plutôt impressionnants en bateau et en hélicoptère, le joueur installé derrière des armes montées, ainsi que de jolies explosions. On peut également apercevoir notre personnage, a priori blessé, se faire traîner par un coéquipier tout en tirant avec son flingue. Les échanges de tirs avec des pétoires iconiques de la guerre du Vietnam, telles que la M60, semblent aussi franchement cool, et on a vraiment hâte de mettre les mains sur le jeu. Ah oui, on a oublié : Hell Let Loose: Vietnam est la suite d’Hell Let Loose, un milsim orienté sur le jeu en équipe, mais un peu moins technique que Squad. Et même si le premier a été développé par un autre studio, il a ensuite été repris par Expression Games, qui travaille sur son petit frère. D’où notre engouement.
Si vous aussi êtes impatients de voir tourner Hell Let Loose: Vietnam pour de vrai, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits Steam. Pour l’instant, le jeu est prévu pour 2026, sans plus de précisions.
Il y a deux semaines, Fullbright, a priori uniquement composé de Steve Gaynor, l’un des fondateurs du studio en 2012, a révélé son nouveau walking sim, Springs, Eternal. Si le premier titre, Gone Home, avait fait grand bruit et rencontré un certain succès, le projet suivant, Tacoma, n’avait pas marqué les esprits malgré un modèle assez similaire. Ce qui avait bien marqué, en revanche, c’était l’hémorragie de personnel, réduisant les effectifs de 20 à 1, à cause du comportement manifestement inadapté de notre bonhomme. Maintenant seul à la barre – et ça se sent au niveau de la réalisation –, il nous présente donc Springs, Eternal, un walking sim avec des visuels rétro façon PSOne, et une ambiance un peu inquiétante.
La page Steam nous donne quelques détails : on incarnera une personne en plein deuil et on pourra rencontrer une douzaine de personnages. Le jeu ne devrait durer que deux ou trois heures, et on nous promet un peu d’exploration et de déduction pour débloquer des lignes de dialogue. Pourquoi pas, pour les fans du genre.
La date de sortie de Springs, Eternal n’a pas encore été évoquée. Mais s’il vous intrigue, vous pouvez déjà l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.
Il y a deux semaines, Fullbright, a priori uniquement composé de Steve Gaynor, l’un des fondateurs du studio en 2012, a révélé son nouveau walking sim, Springs, Eternal. Si le premier titre, Gone Home, avait fait grand bruit et rencontré un certain succès, le projet suivant, Tacoma, n’avait pas marqué les esprits malgré un modèle assez similaire. Ce qui avait bien marqué, en revanche, c’était l’hémorragie de personnel, réduisant les effectifs de 20 à 1, à cause du comportement manifestement inadapté de notre bonhomme. Maintenant seul à la barre – et ça se sent au niveau de la réalisation –, il nous présente donc Springs, Eternal, un walking sim avec des visuels rétro façon PSOne, et une ambiance un peu inquiétante.
La page Steam nous donne quelques détails : on incarnera une personne en plein deuil et on pourra rencontrer une douzaine de personnages. Le jeu ne devrait durer que deux ou trois heures, et on nous promet un peu d’exploration et de déduction pour débloquer des lignes de dialogue. Pourquoi pas, pour les fans du genre.
La date de sortie de Springs, Eternal n’a pas encore été évoquée. Mais s’il vous intrigue, vous pouvez déjà l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.
On avait un peu oublié, mais pendant le PC Gaming Show du début du mois, Ten Chambers a publié une courte vidéo sur son futur titre, Den of Wolves. On y aperçoit quatre joueurs et des micro-séquences d’une à deux secondes, bien trop courtes pour susciter le moindre intérêt. Pourtant, on sait que le studio est capable du meilleur, puisqu’il est à l’origine de la licence PAYDAY, et qu’il a créé l’un des meilleurs jeux coopératif de ces dernières années, GTFO.
Pour rappel, Den of Wolves a pour ambition de faire du PAYDAY, dans un univers cyberpunk, avec des passages parfois oniriques permettant de changer rapidement d’environnement. Espérons que les développeurs regardent le gros tas de merde réalisé par Treyarch pour la campagne coop de Call of Duty 22: Black Ops 7, afin de ne pas reproduire les mêmes erreurs, le thème scénaristique s’en rapprochant quelque peu. Globalement, on ne s’emballe pas trop, mais on garde tout de même un certain espoir que le projet soit une réussite.
Si vous aussi êtes intéressés par Den of Wolves, vous pouvez toujours l’ajouter à votre liste de souhaits Steam en attendant plus d’infos et une date de sortie.
On avait un peu oublié, mais pendant le PC Gaming Show du début du mois, Ten Chambers a publié une courte vidéo sur son futur titre, Den of Wolves. On y aperçoit quatre joueurs et des micro-séquences d’une à deux secondes, bien trop courtes pour susciter le moindre intérêt. Pourtant, on sait que le studio est capable du meilleur, puisqu’il est à l’origine de la licence PAYDAY, et qu’il a créé l’un des meilleurs jeux coopératif de ces dernières années, GTFO.
Pour rappel, Den of Wolves a pour ambition de faire du PAYDAY, dans un univers cyberpunk, avec des passages parfois oniriques permettant de changer rapidement d’environnement. Espérons que les développeurs regardent le gros tas de merde réalisé par Treyarch pour la campagne coop de Call of Duty 22: Black Ops 7, afin de ne pas reproduire les mêmes erreurs, le thème scénaristique s’en rapprochant quelque peu. Globalement, on ne s’emballe pas trop, mais on garde tout de même un certain espoir que le projet soit une réussite.
Si vous aussi êtes intéressés par Den of Wolves, vous pouvez toujours l’ajouter à votre liste de souhaits Steam en attendant plus d’infos et une date de sortie.
Annoncé en 2012, ROUTINE avait rapidement disparu des radars. En effet, prévu initialement pour 2013, les trois développeurs s’étaient finalement résignés à retrouver du travail pour ne pas mourir de faim, car ils n’avaient pas trouvé comment financer leur titre. Dix ans plus tard, le projet réapparaissait en vidéo, tout en restant très vague. C’est finalement Raw Fury (Friends vs Friends, Blue Prince), qui arrivait à l’édition en 2022, permettant à nos trois lurons de terminer leur projet. S’il y a 13 ans, un nouveau jeu d’horreur pouvait sembler intéressant, on n’était pas forcément très motivés pour en tester un de plus en 2025. Mais on aurait eu tort : même s’il ne révolutionne rien du côté du gameplay, l’esthétique et l’ambiance portent le titre au niveau des meilleures propositions de l’année.
Genre : Horreur |Développeurs : Lunar Software | Éditeurs : Raw Fury | Plateforme : Steam|Prix : 24,99 €|Langues : Anglais, sous-titres en français |Configuration recommandée : Core i5-13600K / Ryzen 5 7600X, RTX 2060 / RX 5700, 16 Go de RAM |Date de sortie : 04/12/2025 |Durée : environ 6 heures
Test effectué sur une version Xbox Game Pass.
Une ambiance incroyable
Allons droit au but : ROUTINE est un jeu d’horreur et je n’aime pas les jeux d’horreur. Je déteste les jump scares ou me faire poursuivre par une créature implacable. Mais l’esthétique m’attirait particulièrement, alors j’ai tout de même voulu tester. Et s’il y a un point sur lequel on peut tous être d’accord, c’est la direction artistique. Elle est magnifique. Développé sous Unreal Engine 5, le jeu affiche des environnements très crédibles directement inspirés d’un rétrofuturisme des années 80 avec une vibe NASApunk, que j’ai beaucoup appréciés. L’image est un peu salie par un filtre, et on sent beaucoup d’influence VHS sur les différents appareils. Certes, on est censé être un technicien arrivé en renfort quelques jours après un incident, et on découvre pourtant une base lunaire dans un état de délabrement relativement avancé, comme si les événements sur lesquels on enquête s’étaient déroulés il y a de nombreux mois. Mais cela génère une ambiance vraiment admirable, sombre et inquiétante, renforcée par les échanges que l’on peut lire çà et là sur les différents terminaux. Ils sont d’ailleurs interactifs et reprennent avec succès le principe de DOOM 3, c’est-à-dire que le centre de notre écran devient le pointeur lorsque l’on s’approche. Déjà un petit élément d’interface génial dans le titre d’id Software de 2004, il est ici à la fois immersif et cohérent. On dispose également d’un outil avec un écran, avec différentes fonctions : lampe torche, badge de sécurité et sorte de taser. Ce dernier permet, entre autres, de désactiver temporairement les robots humanoïdes très hostiles que l’on rencontre sur la première moitié de l’aventure. Son maniement dans l’urgence n’est pas très aisé et participe à la tension, surtout que changer de mode nécessite de le basculer sur le côté et cliquer sur l’un des boutons avec la souris. De l’interface-porn très bien réalisée, qui colle parfaitement avec tous les autres équipements que l’on peut croiser dans cette station. On peut aussi avoir à résoudre de petits puzzles ou chercher des indices à gauche et à droite, toujours diégétiques et crédibles dans l’univers.
Des robots cons comme des grille-pains, mais pas rassurants quand même
Si l’ambiance, l’interface et les visuels sont très réussis, ça se gâte un peu du côté du gameplay. En effet, on sent que les développeurs n’étaient pas aussi doués pour programmer leurs IA. La première partie de l’histoire nous met aux prises avec des robots qui patrouillent dans les couloirs, nous empêchant d’aller où bon nous semble sans un peu de patience. Mais ils sont globalement aveugles et sourds, ce qui permet de les berner facilement. Une fois qu’on s’en rend compte, on peut même parfois réussir à courir près d’eux pour aller se cacher quelques mètres plus loin sous une table et s’en débarrasser. Même si la créature qui nous « accompagnera » sur la suite est un peu plus tenace, elle reste un obstacle finalement peu dangereux. On peut aussi jouer avec les sauvegardes plutôt généreuses, et rusher les différents points à atteindre en pariant sur son absence dans les couloirs. Comme elle s’y déplace aléatoirement, ce n’est qu’une histoire de chance. Évidemment, ça ruine toute l’immersion, et il faudra s’astreindre à un minimum de discipline si on veut rester dans l’ambiance. N’étant pas habitué au genre, j’ai préféré jouer le jeu et ainsi profiter de l’expérience telle qu’imaginée par les développeurs. Et si certaines séquences m’ont donc été particulièrement désagréables, c’est la preuve qu’elles étaient réussies, puisqu’elles touchaient au but : j’ai frissonné, sursauté, et eu peur de me faire attraper. Heureusement, les déplacements sont bien calibrés. La marche est certes lente, mais on peut courir à une bonne allure. Il est également possible de se pencher à gauche et à droite, et de s’allonger pour ramper ou se cacher. Cela fait qu’on ne se sent pas si démuni face aux monstres qui veulent nous déchiqueter.
Une très bonne expérience, si on ne regarde pas derrière le rideau
ROUTINE est un jeu d’horreur qui n’innove pas avec son gameplay, plutôt basique, ni avec son IA, surtout remarquable par son manque de réactivité. Mais tout le reste est une sacrée réussite. La direction artistique est superbe, les interfaces sont géniales et l’ambiance du titre est fabuleuse. C’est oppressant, inquiétant, et on est complètement immergé dans l’histoire de cette base lunaire affectée par un mal inconnu. Alors oui, il faut accepter de jouer le jeu pour ne pas casser les mécaniques de cache-cache, mais même pour un joueur qui n’aime pas trop l’horreur, il y a moyen de passer un très bon moment, et profiter de la superbe atmosphère du titre.
Annoncé en 2012, ROUTINE avait rapidement disparu des radars. En effet, prévu initialement pour 2013, les trois développeurs s’étaient finalement résignés à retrouver du travail pour ne pas mourir de faim, car ils n’avaient pas trouvé comment financer leur titre. Dix ans plus tard, le projet réapparaissait en vidéo, tout en restant très vague. C’est finalement Raw Fury (Friends vs Friends, Blue Prince), qui arrivait à l’édition en 2022, permettant à nos trois lurons de terminer leur projet. S’il y a 13 ans, un nouveau jeu d’horreur pouvait sembler intéressant, on n’était pas forcément très motivés pour en tester un de plus en 2025. Mais on aurait eu tort : même s’il ne révolutionne rien du côté du gameplay, l’esthétique et l’ambiance portent le titre au niveau des meilleures propositions de l’année.
Genre : Horreur |Développeurs : Lunar Software | Éditeurs : Raw Fury | Plateforme : Steam|Prix : 24,99 €|Langues : Anglais, sous-titres en français |Configuration recommandée : Core i5-13600K / Ryzen 5 7600X, RTX 2060 / RX 5700, 16 Go de RAM |Date de sortie : 04/12/2025 |Durée : environ 6 heures
Test effectué sur une version Xbox Game Pass.
Une ambiance incroyable
Allons droit au but : ROUTINE est un jeu d’horreur et je n’aime pas les jeux d’horreur. Je déteste les jump scares ou me faire poursuivre par une créature implacable. Mais l’esthétique m’attirait particulièrement, alors j’ai tout de même voulu tester. Et s’il y a un point sur lequel on peut tous être d’accord, c’est la direction artistique. Elle est magnifique. Développé sous Unreal Engine 5, le jeu affiche des environnements très crédibles directement inspirés d’un rétrofuturisme des années 80 avec une vibe NASApunk, que j’ai beaucoup appréciés. L’image est un peu salie par un filtre, et on sent beaucoup d’influence VHS sur les différents appareils. Certes, on est censé être un technicien arrivé en renfort quelques jours après un incident, et on découvre pourtant une base lunaire dans un état de délabrement relativement avancé, comme si les événements sur lesquels on enquête s’étaient déroulés il y a de nombreux mois. Mais cela génère une ambiance vraiment admirable, sombre et inquiétante, renforcée par les échanges que l’on peut lire çà et là sur les différents terminaux. Ils sont d’ailleurs interactifs et reprennent avec succès le principe de DOOM 3, c’est-à-dire que le centre de notre écran devient le pointeur lorsque l’on s’approche. Déjà un petit élément d’interface génial dans le titre d’id Software de 2004, il est ici à la fois immersif et cohérent. On dispose également d’un outil avec un écran, avec différentes fonctions : lampe torche, badge de sécurité et sorte de taser. Ce dernier permet, entre autres, de désactiver temporairement les robots humanoïdes très hostiles que l’on rencontre sur la première moitié de l’aventure. Son maniement dans l’urgence n’est pas très aisé et participe à la tension, surtout que changer de mode nécessite de le basculer sur le côté et cliquer sur l’un des boutons avec la souris. De l’interface-porn très bien réalisée, qui colle parfaitement avec tous les autres équipements que l’on peut croiser dans cette station. On peut aussi avoir à résoudre de petits puzzles ou chercher des indices à gauche et à droite, toujours diégétiques et crédibles dans l’univers.
Des robots cons comme des grille-pains, mais pas rassurants quand même
Si l’ambiance, l’interface et les visuels sont très réussis, ça se gâte un peu du côté du gameplay. En effet, on sent que les développeurs n’étaient pas aussi doués pour programmer leurs IA. La première partie de l’histoire nous met aux prises avec des robots qui patrouillent dans les couloirs, nous empêchant d’aller où bon nous semble sans un peu de patience. Mais ils sont globalement aveugles et sourds, ce qui permet de les berner facilement. Une fois qu’on s’en rend compte, on peut même parfois réussir à courir près d’eux pour aller se cacher quelques mètres plus loin sous une table et s’en débarrasser. Même si la créature qui nous « accompagnera » sur la suite est un peu plus tenace, elle reste un obstacle finalement peu dangereux. On peut aussi jouer avec les sauvegardes plutôt généreuses, et rusher les différents points à atteindre en pariant sur son absence dans les couloirs. Comme elle s’y déplace aléatoirement, ce n’est qu’une histoire de chance. Évidemment, ça ruine toute l’immersion, et il faudra s’astreindre à un minimum de discipline si on veut rester dans l’ambiance. N’étant pas habitué au genre, j’ai préféré jouer le jeu et ainsi profiter de l’expérience telle qu’imaginée par les développeurs. Et si certaines séquences m’ont donc été particulièrement désagréables, c’est la preuve qu’elles étaient réussies, puisqu’elles touchaient au but : j’ai frissonné, sursauté, et eu peur de me faire attraper. Heureusement, les déplacements sont bien calibrés. La marche est certes lente, mais on peut courir à une bonne allure. Il est également possible de se pencher à gauche et à droite, et de s’allonger pour ramper ou se cacher. Cela fait qu’on ne se sent pas si démuni face aux monstres qui veulent nous déchiqueter.
Une très bonne expérience, si on ne regarde pas derrière le rideau
ROUTINE est un jeu d’horreur qui n’innove pas avec son gameplay, plutôt basique, ni avec son IA, surtout remarquable par son manque de réactivité. Mais tout le reste est une sacrée réussite. La direction artistique est superbe, les interfaces sont géniales et l’ambiance du titre est fabuleuse. C’est oppressant, inquiétant, et on est complètement immergé dans l’histoire de cette base lunaire affectée par un mal inconnu. Alors oui, il faut accepter de jouer le jeu pour ne pas casser les mécaniques de cache-cache, mais même pour un joueur qui n’aime pas trop l’horreur, il y a moyen de passer un très bon moment, et profiter de la superbe atmosphère du titre.
Finissons avec les cadeaux pièges : la guitare électrique pour enfant, idéale pour casser les oreilles à ce couple qui vous énerve, la fontaine zen, qui devrait faire péter un câble à ses propriétaires dès la première nuit, ou encore le puzzle impossible à terminer pour votre cousine qui se la raconte toujours un peu trop. Les chaussettes de Noël pour ceux qui ne prennent même pas la peine de s’intéresser à vous. Et, pour celui ou celle qui vous a vraiment fait rager toute l’année, le cadeau ultime.
Les bons plans Amazon
Malgré la hausse catastrophique des prix de la RAM, notre expert Gothax est allé fouiner dans les rayons de notre partenaire Amazon pour concocter une petite sélection de composants :
Et si aucun de ces produits ne vous fait de l’œil, vous pouvez tout de même nous soutenir en ajoutant ?tag=nofrag-21 à la fin de l’URL de n’importe quelle marchandise sur Amazon et ainsi nous permettre de grappiller quelques euros fort utiles.
Les bons plans Gamesplanet
Cette semaine, rien de particulier chez notre partenaire Gamesplanet, hormis de nombreuses réductions sur un tas de jeux, bien sûr !
Et dans tous les cas, si vous trouvez des choses qui vous intéressent, vous pouvez ajouter ?ref=nofrag à la fin de l’URL pour nous faire gagner quelques centimes. Ça arrivera dans notre porte-monnaie virtuel Gamesplanet et nous permettra de nous payer les clefs que les éditeurs ne nous envoient pas !
Finissons avec les cadeaux pièges : la guitare électrique pour enfant, idéale pour casser les oreilles à ce couple qui vous énerve, la fontaine zen, qui devrait faire péter un câble à ses propriétaires dès la première nuit, ou encore le puzzle impossible à terminer pour votre cousine qui se la raconte toujours un peu trop. Les chaussettes de Noël pour ceux qui ne prennent même pas la peine de s’intéresser à vous. Et, pour celui ou celle qui vous a vraiment fait rager toute l’année, le cadeau ultime.
Les bons plans Amazon
Malgré la hausse catastrophique des prix de la RAM, notre expert Gothax est allé fouiner dans les rayons de notre partenaire Amazon pour concocter une petite sélection de composants :
Et si aucun de ces produits ne vous fait de l’œil, vous pouvez tout de même nous soutenir en ajoutant ?tag=nofrag-21 à la fin de l’URL de n’importe quelle marchandise sur Amazon et ainsi nous permettre de grappiller quelques euros fort utiles.
Les bons plans Gamesplanet
Cette semaine, rien de particulier chez notre partenaire Gamesplanet, hormis de nombreuses réductions sur un tas de jeux, bien sûr !
Et dans tous les cas, si vous trouvez des choses qui vous intéressent, vous pouvez ajouter ?ref=nofrag à la fin de l’URL pour nous faire gagner quelques centimes. Ça arrivera dans notre porte-monnaie virtuel Gamesplanet et nous permettra de nous payer les clefs que les éditeurs ne nous envoient pas !
Le 4 décembre dernier est sorti un nouvel épisode de la légendaire saga Thief. Malheureusement, il s’agit de Thief VR: Legacy of Shadow, un épisode en réalité virtuelle, qui ne profitera donc qu’à un petit pourcentage des joueurs. Mais pour ceux qui sont équipés, il se pourrait que ce soit une bonne nouvelle. En effet, les avis Steam sont plutôt positifs, saluant une VR bien intégrée et un héritier digne des deux premiers Thief — ce qui n’était pas gagné. En revanche, il ne semble pas exempt de bugs, et certains ont même subi des softlocks et des pertes de progression.
À la rédac, on est plutôt intéressés par la proposition, mais on n’aura pas le temps de se glisser dans notre casque pour le tester. On vous laisse faire des retours si vous avez pu l’essayer.
Si vous avez envie de dépoussiérer votre casque, Thief VR: Legacy of Shadow est disponible sur Steam pour 28 € via un bundle avec le très moyen Thief de 2014, ce qui revient moins cher que le jeu seul à 30 €…
On l’avait un peu laissé traîner, car Rogue Point ne nous avait pas vraiment convaincus lorsqu’on avait testé sa démo lors du Steam Néo Fest de juin dernier, mais Crowbar Collective (Black Mesa) a publié un nouveau trailer il y a deux semaines pour expliquer ce qu’est son nouveau jeu.
Le premier changement, c’est l’ajout de la visée, qui n’était pas présente dans la démo, chose assez étonnante pour un titre se voulant plutôt orienté tactique – même s’il est globalement arcade. Pour le reste, c’est de la redite, mais plutôt condensée, ce qui n’est pas plus mal pour capter l’attention. L’aspect semble presque rétro à certains passages, et le gunfeel pourrait être finalement un peu mieux que dans nos souvenirs.
Rogue Point affiche toujours 2025 pour sa sortie en accès anticipé, mais pour l’instant, rien de plus précis. Comme il ne reste que trois semaines, il se pourrait donc qu’il soit décalé à l’année prochaine. En attendant, vous pouvez toujours l’ajouter à votre liste de souhaits Steam s’il vous intéresse.
Le 4 décembre dernier est sorti un nouvel épisode de la légendaire saga Thief. Malheureusement, il s’agit de Thief VR: Legacy of Shadow, un épisode en réalité virtuelle, qui ne profitera donc qu’à un petit pourcentage des joueurs. Mais pour ceux qui sont équipés, il se pourrait que ce soit une bonne nouvelle. En effet, les avis Steam sont plutôt positifs, saluant une VR bien intégrée et un héritier digne des deux premiers Thief — ce qui n’était pas gagné. En revanche, il ne semble pas exempt de bugs, et certains ont même subi des softlocks et des pertes de progression.
À la rédac, on est plutôt intéressés par la proposition, mais on n’aura pas le temps de se glisser dans notre casque pour le tester. On vous laisse faire des retours si vous avez pu l’essayer.
Si vous avez envie de dépoussiérer votre casque, Thief VR: Legacy of Shadow est disponible sur Steam pour 28 € via un bundle avec le très moyen Thief de 2014, ce qui revient moins cher que le jeu seul à 30 €…
On l’avait un peu laissé traîner, car Rogue Point ne nous avait pas vraiment convaincus lorsqu’on avait testé sa démo lors du Steam Néo Fest de juin dernier, mais Crowbar Collective (Black Mesa) a publié un nouveau trailer il y a deux semaines pour expliquer ce qu’est son nouveau jeu.
Le premier changement, c’est l’ajout de la visée, qui n’était pas présente dans la démo, chose assez étonnante pour un titre se voulant plutôt orienté tactique – même s’il est globalement arcade. Pour le reste, c’est de la redite, mais plutôt condensée, ce qui n’est pas plus mal pour capter l’attention. L’aspect semble presque rétro à certains passages, et le gunfeel pourrait être finalement un peu mieux que dans nos souvenirs.
Rogue Point affiche toujours 2025 pour sa sortie en accès anticipé, mais pour l’instant, rien de plus précis. Comme il ne reste que trois semaines, il se pourrait donc qu’il soit décalé à l’année prochaine. En attendant, vous pouvez toujours l’ajouter à votre liste de souhaits Steam s’il vous intéresse.
Alors que les vidéos de présentation laissaient penser que Don’t Stop, Girlypop! n’avait aucun feeling et allait être nul à chier, on avait été surpris par la qualité de la démo – toujours disponible. Les sensations étaient finalement excellentes, grâce à des mouvements très vifs, un bon air control et un gunfeel très correct. La semaine dernière, le studio australien Funny Fintan Softworks a publié une nouvelle vidéo pour annoncer la date de sortie : ce sera le 29 janvier 2026.
Comme vous pouvez le constater, la direction artistique n’a pas changé : le côté girly est toujours un poil exagéré. Le parti pris est radical, mais on avait trouvé ça très amusant. Évidemment, si vous pensez que le rose, c’est pour les filles, et qu’elles devraient retourner à la cuisine plutôt que de développer des FPS, on vous déconseille formellement ne serait-ce que de regarder le trailer. En effet, il est fortement probable que votre pénis se nécrose et que vous développiez une grosse paire de loches.
En attendant la sortie de Don’t Stop, Girlypop! prévue pour le 29 janvier prochain, vous pouvez toujours tester la démo depuis sa page Steam, et ajouter le jeu à votre liste de souhaits si vous êtes convaincus.
Dans la frénésie de toutes les sorties des AAA et autres rétro-FPS sanglants, il arrive qu’un petit walking sim fasse son trou, en proposant un concept intéressant. The Berlin Apartment est l’un d’entre eux, et il nous avait déjà fait de l’œil lors de la sortie d’une démo en début d’année. Sans grande surprise, le reste de la production est tout aussi réussi et on a passé un bon moment à suivre ces différentes tranches de vie.
Genre : Walking sim narratif |Développeurs : btf | Éditeurs : btf, ByteRockers’ Games, PARCO GAMES | Plateforme : Steam|Prix : 25,50 €|Langues : Anglais, Allemand, sous-titres en français |Configuration minimale : Core i5-2300 2.8 GHz / AMD Phenom II X4 3.4 GHz, RX 560 / GTX 950, 4 Go de RAM |Date de sortie : 17/11/2025 |Durée : un peu moins de 4 heures
Test effectué sur une version fournie par l’éditeur.
Un concept original
Dans The Berlin Apartment, on incarne une petite fille accompagnant son père, qui restaure un appartement berlinois, situé dans l’ancienne RDA (Allemagne sous domination soviétique). L’histoire est divisée en plusieurs chapitres, qui démarrent de la même manière : notre protagoniste trouve un vestige des précédents habitants, ce qui nous propulse dans un souvenir. On change alors de point de vue, puisqu’on incarne un personnage d’une autre époque. On commence avec des échanges épistolaires via des avions en papier envoyés au-dessus du mur de Berlin, peu avant sa chute, on continue avec un vieux monsieur en 1933 qui rassemble ses affaires pour fuir les nazis, puis c’est au tour d’une famille le soir de Noël 1945, et enfin, d’une écrivaine à la fin des années 60. Toutes les histoires sont intéressantes, et abordent des sujets rarement vus dans les jeux vidéo. L’ambiance est globalement chaleureuse, mais on sent tout de même beaucoup de nostalgie, voire des regrets au travers des différents récits. Et même s’il est parfois frustrant d’attendre la fin d’une tirade avant de pouvoir interagir avec un nouvel objet, la narration est assez efficace pour faire ressentir de l’empathie pour les personnages. D’autre part, le doublage anglais est d’excellente facture.
À l’Est, rien de nouveau
Du côté du gameplay, le jeu propose de fouiller à gauche et à droite, mais jamais vraiment de réfléchir. Il y a parfois quelques choix à réaliser, mais cela reste anecdotique : on est dans un walking sim narratif, sans plus de prétention, et ce n’est pas un point négatif. C’est calme, mais pas si lent, compte tenu de la taille finalement assez restreinte des environnements. Ils sont d’ailleurs très jolis, car la direction artistique avec son effet dessiné, un peu pastel, est franchement réussie. Du côté des performances, il n’y a évidemment rien à dire, ça tournera normalement sur n’importe quelle patate, sachant qu’un framerate à 60 FPS sera largement suffisant pour profiter du titre.
Une chouette expérience
The Berlin Apartment est un walking sim narratif plutôt classique dans son gameplay, mais original dans sa narration. La visite de plusieurs époques à travers des personnages ayant vécu dans un même lieu est vraiment réussie. On ressent la nostalgie et les regrets des protagonistes qui vivent à l’est du mur de Berlin. En plus, l’esthétique est très chouette, et ce n’est pas très long. Alors si vous appréciez le genre, c’est sans doute une bonne idée de tenter l’expérience.
Vous vous perdez dans l’immensité du catalogue Steam ? Alors suivez le groupe de curation NoFrag pour vous aider à séparer le bon grain de l’ivraie.
Pendant le PC Gaming Show Most Wanted 2025, on a pu apercevoir une petite minute de séquences du futur RPG d’inXile Entertainment, Clockwork Revolution. On ne peut pas dire que ce soit vraiment intéressant, car elles ne durent jamais plus d’une seconde, contrairement à juin dernier, où l’on pouvait au moins comprendre ce qu’il se passait. En plus, c’est entrecoupé par une interview de deux personnes du studio, atteignant des sommets de platitude, et n’apportant strictement aucune information. On nous fait même croire à une date de sortie, pour finir sur un laconique « in due time » (« en temps voulu » dans la langue de Booba).
On rappelle que Clockwork Revolution est un RPG dans la veine de The Outer Worlds, prenant place dans une sorte d’univers steampunk avec de la manipulation du temps. D’après les créateurs, il y aura de l’humour, et c’est le jeu le plus complexe qu’ils n’ont jamais réalisé. Au-delà du battage de couilles que l’on peut ressentir dans cette vidéo, le projet avait su attirer notre attention grâce à ses mécaniques de gameplay et son esthétique particulière, qui fait un peu penser à BioShock Infinite. Il n’y a plus qu’à prier pour ce que soit intéressant, contrairement au titre de Cloud Chamber.
Pour l’instant, Clockwork Revolution n’a pas encore de date de sortie, mais des rumeurs pointeraient vers une publication en 2026. Cependant, il ne faut pas oublier que c’est Xbox Game Studios à l’édition, alors on n’est pas à l’abri d’une annulation surprise pour maintenir les quotas de licenciements l’année prochaine. En attendant, vous pouvez toujours l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam s’il vous intéresse.
Il y a quelques jours, l’unique développeur de Fracture Point, une sorte de roguelite et extraction shooter en solo, a sorti une démo de son jeu. Les précédentes présentations laissaient entrevoir un gameplay assez violent, mais parfois un peu brouillon, avec des effets visuels empêchant un peu de lire l’action. Néanmoins, il paraissait plutôt intéressant, alors on a essayé la démo.
Graphiquement, on sent que c’est un peu amateur : ce n’est pas très beau, même s’il y a plein d’effets modernes. On a quelques fois du mal à voir où l’on tire, à cause de la fumée qui sort du canon. En revanche, le feeling est assez agréable. Les armes ont de la patate et un bon sound design. Le gameplay, quant à lui, est très classique : on rentre dans un immeuble, et le niveau de difficulté augmente à chaque étage visité. Il y a également plus de chances de trouver du bon loot, qui permettra ensuite d’améliorer compétences et équipement si on ne meurt pas. Le level design est simple, mais efficace, et l’expérience est globalement sympathique. Cela fait un peu penser à Check & Clean pour la partie tactique, mais en plus profond et mieux réalisé.
Si vous voulez voir ce que Fracture Point a dans le ventre, vous pouvez tester la démo en vous rendant sur la fiche Steam du jeu, et l’ajouter à votre liste de souhaits si vous êtes convaincus.
Le 4 décembre, Transience, l’aboutissement de trois ans de travail de l’influenceur BigfryTV et son équipe, est sorti sur Steam. On vous en parle maintenant depuis un moment : c’est un jeu d’action/infiltration fortement inspiré des titres solo d’il y a 15 ou 20 ans, comme Max Payne ou Splinter Cell. On nous promet des gadgets, mais également des bons gunfights, qu’on imagine qualitatifs vu le passif du créateur du projet. En effet, depuis de nombreuses années, il teste des jeux – principalement des FPS –, et ne mâche pas ses mots quand c’est nul. On suppose donc qu’il a acquis une certaine expertise en la matière, et qu’il sait ce qu’il faut faire, et surtout, ce qu’il ne faut pas faire.
Malheureusement, il semblerait que quelques problèmes majeurs soient passés entre les mailles du filet, car 24 heures après la sortie, les avis Steam sont mitigés : seulement 59 % des avis sont positifs. Les critiques pointent du doigt des incohérences dans les visuels, qui oscillent entre plutôt corrects et absolument dégueulasses. Lors des cinématiques, par exemple, on se croirait propulsé dans les années 2010, principalement à cause des visages. Du côté de la narration, beaucoup ont envie de frapper la tête de notre personnage contre tous les murs possibles pour qu’il ferme enfin sa grande gueule. C’est hélas impossible, puisque Bigfry explique qu’ils ont voulu faire une sorte de monologue à la Max Payne tout au long du jeu. La différence, c’est que dans Max Payne, il ne causait quasiment que dans les cutscenes. Un autre point très négatif remonté est l’attitude complètement débile des ennemis, en particulier sur la première heure, dans des appartements : ils viennent un à un prendre leur balle dans la tête comme des Lemmings. Dans une vidéo publiée il y a quelques heures, l’influenceur analyse ces critiques et tente d’expliquer les choses. D’après lui, il a fait l’erreur de faire une séquence d’introduction beaucoup trop calme et beaucoup trop longue, ce qui fait que la pleine expérience n’arrive qu’après les deux premières heures.
Il assure que les IA ont un comportement plus intéressant, car ils peuvent se coordonner et contourner le joueur quand les niveaux sont un peu plus ouverts. D’autre part, les développeurs du studio ont déjà publié un premier patch destiné à régler quelques problèmes, notamment le fait que les ennemis pouvaient détecter le joueur, pourtant théoriquement invisible et inaudible. Un peu gênant pour un jeu d’infliltration. Apparemment, certains rencontrent aussi des problèmes de performance, que l’on peut facilement attribuer à l’utilisation de l’Unreal Engine 5, mais qui sont en cours d’investigation au studio Resurgence. De notre côté, on a testé quelques dizaines de minutes pour constater un framerate un peu juste sur une machine d’entrée de gamme, nécessitant de baisser les options graphiques, mais aucun soucis sur un PC équipé d’une carte graphique de bourrin. Il est encore beaucoup trop tôt pour nous prononcer sur le jeu, mais il en ressort tout de même un fort sentiment d’amateurisme, principalement du côté graphique. Le feeling sur les premiers affrontements semble correct, mais il faudra qu’on essaye encore un peu. Et surtout, que l’on expérimente au-delà des niveaux tutoriaux, dans lesquels on n’a pas encore tout notre équipement.
En attendant, si vous voulez vous faire une idée, Transience est à –10 % sur Steam pour sa sortie, soit 17 € jusqu’au 18 décembre. N’hésitez pas à rusher un peu la première mission, histoire de voir si c’est mieux après et savoir si ça vaut le coup de continuer ou de vous faire rembourser !
Après avoir testé la démo de FEROCIOUS en juin dernier, on s’était dit qu’il y aurait encore quelques années de développement avant de le voir débarquer, vu son état déplorable. Apparemment, l’éditeur TinyBuild n’était pas de cet avis, et a peut-être décidé de couper le robinet à fric, puisqu’il annonçait le mois dernier que le jeu allait arriver le 4 décembre. On n’osait pas trop y croire, car l’ampleur du travail à réaliser, même pour une équipe d’une dizaine de personnes, semblait incompatible avec seulement six mois de crunch. Il faut croire qu’on avait raison, car FEROCIOUS récolte des avis mitigés depuis sa publication hier soir. Seuls 51 % sont positifs, et les joueurs sont globalement d’accord pour dire que ça fait très amateur, dans le mauvais sens du terme. On est bien loin des présentations vidéo qui faisaient penser à une sorte de Far Cry avec des dinos. L’esthétique est étrangement ratée, les animations sont risibles, les ennemis semblent bêtes à manger du foin, le système d’inventaire est apparemment mal branlé et l’interface est très moche.
On s’attendait à une sortie en accès anticipé, mais on doit avouer qu’on n’avait plus suivi le projet de manière assidue depuis la démo. En l’état, on n’a certainement pas envie de tenter l’aventure, puisque FEROCIOUS ne semble pas avoir changé d’un iota depuis qu’on l’avait testé.
Comme prévu, ROUTINEest sorti hier, après plus de 13 ans de développement. Alors oui, il n’a pas été continu, et les développeurs ont dû par moments arrêter de bosser dessus pour se trouver un « vrai » travail et ne pas mourir de faim, mais tout de même… Il s’agit d’un jeu d’horreur nous mettant dans la peau d’un cosmonaute sur une base lunaire. Mais celle-ci semble dans un bien piteux état et des robots sanguinaires en parcourent les couloirs. Il se pourrait qu’il y ait également des créatures plus ou moins organiques, mais pas franchement beaucoup plus accueillantes. L’esthétique est vraiment très réussie, entre le rétrofuturiste et le NASApunk, et l’ambiance est franchement folle. La plupart des joueurs sont d’ailleurs conquis, puisqu’il y a 90 % d’avis positifs sur Steam.
Même si on n’est pas forcément tous fans d’horreur à la rédaction, on ne pouvait pas l’ignorer, notamment parce que sa direction artistique nous attirait particulièrement. Et le début de l’aventure nous a complètement happés : l’univers est crédible, les effets visuels sont très beaux et le gameplay est très correct. Les déplacements ne sont pas très rapides, mais on reste tout de même bien maîtres de nos mouvements. Petite remarque néanmoins : il est possible de remapper les touches, à l’exception de WASD. Il faudra donc obligatoirement utiliser un layout anglais pour utiliser ZQSD. Les déviants utilisant d’autres configurations peuvent bien aller se faire foutre, cependant. Pour en revenir à notre expérience, il y a des phases d’exploration, un peu de puzzles, de la déduction, et du cache-cache. À voir sur la longueur, mais pour l’instant, c’est excellent.
Ce soir, nous avons enregistré le 82ᵉ numéro de NoScope sur notre chaîne Twitch. Comme à notre habitude, nous sommes, avec toute la bienveillance qui nous caractérise, sur l’actualité des FPS de ces dernières semaines. On a notamment parlé de l’annonce de l’extraction shooter PUBG: Black Budget, des premières séquences de gameplay pour Fatekeeper, ou encore des retours encourageants de la pré-alpha de Bellum.
00:00:00 – Intro 00:01:11 – Les actus FPS : annonce de PUBG: Black Budget, un extraction shooter 00:04:50 – Les actus FPS : la sortie catastrophique en 1.0 sur Steam d’Escape From Tarkov 00:08:41 – Les actus FPS : du gameplay sympa pour Fatekeeper 00:13:37 – Les actus FPS : une démo pour Devoid, un hommage indé à Dishonored 00:17:03 – Les actus FPS : les retours de la pré-alpha de Bellum sont encourageants 00:27:29 – Les actus FPS : une très bonne démo pour l’étrange There Are No Ghosts At The Grand 00:29:46 – Les actus FPS : Total Chaos est enfin sorti 00:33:57 – Les actus FPS : S.T.A.L.K.E.R. 2 reçoit son patch 1.7 et améliore son IA 00:39:43 – QUIZ : les FPS qu’on aime jouer à Noël 01:03:55 – TEST: Outlaws + Handful of Missions Remaster 01:09:20 – TEST : The Berlin Apartment 01:11:22 – TEST : Call of Duty 22: Black Ops 7 01:24:09 – À venir 01:33:34 – À quoi on joue ? (lecture, Bodycam & Squad Fireteam)
Et si vous n’aimez pas nos tronches, l’émission est également disponible en version podcast sur Soundcloud (jusqu’à la publication de l’émission suivante), mais aussi sur Spotify, Deezer, Anchor.fm ou Pocket Casts.
En espérant que ça vous fasse autant marrer à entendre que nous à le faire, on vous donne rendez-vous dans deux ou trois semaines pour un nouveau NoScope !
Annoncé il y a quelques semaines, le mode coopératif de Squad, Fireteam, est sorti hier. Pour rappel, ce mode propose de réaliser des objectifs en PvE uniquement en groupe jusqu’à cinq joueurs : recherche et destruction, exfiltration, infiltration, etc. Quatre missions sont incluses gratuitement dans le jeu de base, tandis que neuf supplémentaires sont disponibles lorsque l’on achète le DLC éponyme, facturé un peu moins de 8 €. Si les vétérans du titre ont immédiatement braillé qu’ils n’en avaient rien à branler, et qu’Offworld Industries ferait mieux de « Make Squad Great Again » en réduisant le recul et les effets de suppressions, tout en corrigeant des bugs, à la rédac, on était assez curieux de voir la proposition.
N’étant pas des joueurs très assidus de Squad, on voulait surtout voir si le jeu était fun contre des IA. On s’est donc lancé dans quelques parties (sur des missions gratuites) avec un nofragé hier soir, et il faut avouer qu’on s’est bien marrés. Ne vous faites cependant pas d’illusions, les ennemis sont cons comme des bites, à l’image de ce qu’on peut voir dans Arma 3 ou Arma Reforger. Ce n’est pas forcément très gênant sur l’expérience globale, mais cela génère des situations parfois comiques. Du côté du gameplay pur, il n’y a rien à redire, le feeling est excellent. L’une des cartes que l’on a testées se situait en Moyen-Orient, et cela donnait de petites vibes à la Six Days in Fallujah. En revanche, les mouvements de Squad sont beaucoup moins rigides, ce qui est assez plaisant. On a joué en duo, et on peut dire que ce n’est vraiment pas facile : on n’a réussi aucune mission pendant notre session d’une heure trente. Pour autant, on a passé un très bon moment, et on a très envie d’essayer à quatre ou cinq. Une remarque sur les performances : avec un 7800x3D et une RTX 4090, tout à fond en 4K, mais DLSS Qualité, on a remarqué des drops de FPS autour des 60 en visée (avec le Picture in Picture), et une moyenne générale oscillant entre 80 et 100 FPS. Ce n’est pas exceptionnel, mais pas trop gênant pour ce type de jeu.
Il y a une dizaine de jours, Variety a révélé qu’une série « live-action » Far Cry avait été commandée par la chaîne FX (qui appartient à Disney), avec Noah Hawley et Rob Mac à la réalisation. Le premier est notamment connu pour être le créateur de la série anthologique Fargo, et plus récemment d’Alien Earth. Le second, quant à lui, sera à la fois producteur exécutif et vedette de ce nouveau projet Far Cry. Il joue dans la série It’s Always Sunny in Philadelphia, qu’il a d’ailleurs créée. On se demande ce qu’ils viennent faire sur une licence qui tient plus du nanar que du chef-d’œuvre.
En même temps, pas sûr qu’ils connaissent vraiment les jeux, puisque selon Variety, Rob estime que Far Cry « est l’un des univers de jeux vidéo les plus emblématiques jamais créés ». Et la chose qu’aime Noah Hawley dans la licence Far Cry, « c’est qu’il s’agit d’une anthologie, comme Fargo ». Yes, ça promet. Mais au moins, on sait qu’ils sont compétents, contrairement à Uwe Boll, le tristement célèbre réalisateur allemand du film Far Cry sorti en 2008. Dans tous les cas, cela fera un nouveau challenger dans l’arène des séries adaptées de FPS, actuellement occupée par Fallout et Halo…
Au passage, on n’a toujours pas de nouvelles de Far Cry 7 ni de Far Cry Maverick, mais ils doivent êtres entre de bonnes mains, maintenant que l’investissement de 1,16 milliards de dollars dans la division Vantage Studios de la part de Tencent a été entériné.