L'Ukraine confirme avoir "officiellement reçu de la part des États-Unis un projet" de plan de paix

© REUTERS


En plein période de Black Friday, Free lance un nouveau forfait mobile. Petite particularité : ce dernier n'est pas disponible sur free.fr. Voici comment en profiter.



Vous préparez un PC de nouvelle génération ? Vous utilisez encore une ancienne version de MS Office ? Vous avez acheté un laptop sans système d’exploitation préinstallé ? Ou vous souhaitez simplement remettre à niveau un ancien PC ? La Black Friday Mega Sale de Godeal24 règle vos soucis logiciels avec quelques-uns des prix les plus bas du web—jusqu’à […]
Suivez iPhoneAddict.fr sur Facebook, et suivez-nous sur Twitter
N'oubliez pas de télécharger notre Application gratuite iAddict pour iPhone et iPad (lien App Store)
L’article Godeal24 lance son Black Friday : licence à vie de MS Office pour Mac à 39,29 € ! est apparu en premier sur iPhoneAddict.fr.
Si vous cherchez un casque-micro sans fil à bas prix, voici le meilleur tarif vu à ce jour sur un modèle d'une marque réputée qui plus est : le Logitech G435.C'est un casque-micro qui semble en tout cas apprécié par ceux qui l'ont acheté, qui ne manquent pas de citer en qualité majeure sa légèreté (...
Parce que personne n’est jamais trop prudent, vous vous demandez peut-être qui héritera de vos biens en cas de décès. Voici l’ordre légal de succession prévu par le Code civil français.
Je l'ai vu passer partout, voilà les explications techniques (en anglais).
En bref, non, pas pour un usage en chatbot, car si le M5 va 25% plus vite que le M4, l'accélération énorme (jusqu'à 4 fois plus rapide) promise n'est que pour l'ingestion des Tokens du Prompt (l'entrée donc), pas pour le traitement subséquent.
Avec mon prompt maintenant célèbre "Que faire un week-end de vacances à Limoges?" il n'y aura aucune accélération visible, hors les meilleures perfs du M5 face au M4, grâce à sa meilleure bande-passante mémoire. Mais pas nécessairement un meilleur week-end !
Donc en général, non, MLX sous macOS 26.2 n'accélèrera pas grand chose...
En ce moment, profitez du Black Friday et soutenez MacBidouille

Le Black Friday Week est officiellement lancée ! Comme chaque année à l’approche de Noël, les marchands en ligne et enseignes spécialisées multiplient les grosses promotions sur les produits high-tech : smartphones, TV 4K, PC portables, casques audio, consoles de jeux, objets connectés, et bien plus encore. Pour ce premier jour de cette semaine un […]
Suivez iPhoneAddict.fr sur Facebook, et suivez-nous sur Twitter
N'oubliez pas de télécharger notre Application gratuite iAddict pour iPhone et iPad (lien App Store)
L’article [#BlackFridayWeek] 1er jour d’une grosse semaine de promos High-tech est apparu en premier sur iPhoneAddict.fr.

Le pass Navigo est déjà disponible sur iPhone, mais il manque encore le support du pass annuel et du forfait Imagine R. Cela va changer en 2026 avec une disponibilité sur smartphone dès le printemps. Du mieux pour le pass Navigo sur smartphone au printemps 2026 Île-de-France Mobilités, l’autorité qui gère la mobilité pour la […]
Suivez iPhoneAddict.fr sur Facebook, et suivez-nous sur Twitter
N'oubliez pas de télécharger notre Application gratuite iAddict pour iPhone et iPad (lien App Store)
L’article Le pass Navigo annuel et Imagine R sur iPhone arrivent au printemps 2026 est apparu en premier sur iPhoneAddict.fr.

Chaque matin, WhatsApp s’anime avec les dernières nouvelles tech. Rejoignez notre canal Frandroid pour ne rien manquer !
A Saint-Pétersbourg, un pan entier de la stratégie militaire russe vient de prendre forme sous l’objectif des médias nationaux. Ce mardi 18 novembre, le chantier naval de la Baltique a célébré le début de la construction d’un nouveau géant de l’Arctique, un brise-glace à propulsion nucléaire baptisé "Stalingrad". Le nom, chargé de mémoire, a donné à la cérémonie une dimension historique : parmi les invités, on remarquait la silhouette de Pavel Vinokourov, vétéran de la bataille de Stalingrad, qui s’apprête à souffler ses 103 bougies.
Vladimir Poutine, présent par visioconférence, a profité de l’événement pour marteler la souveraineté technologique de son pays : selon lui, aucune nation, hormis la Russie, n’est capable de produire en série des brise-glaces atomiques puissants et autonomes, fondés sur des technologies strictement nationales.
Sous sa coque massive, le Stalingrad s’inscrit dans la lignée des navires du projet 22220, les plus impressionnants brise-glaces jamais construits. Long d’environ 173 mètres et large de 34 mètres, il embarque une puissance de 60 MW capable de propulser cette forteresse d’acier à près de 22 nœuds sur des eaux dégagées (environ 40 kilomètres-heure, NDLR) tout en brisant des glaces de trois mètres d’épaisseur. Sa longévité, pensée pour s’étirer sur quatre décennies, repose sur une architecture à double tirant d’eau et sur deux réacteurs nucléaires RITM-200 qui lui assurent presque sept ans d’activité sans recharge.
L’engin peut aussi bien se faufiler dans les zones profondes de l’océan Arctique que dans les eaux plus étroites et peu profondes à l’embouchure du Ienisseï ou dans la baie d’Ob, ce qui devrait permettre à la Russie d’optimiser les convois de gaz et de pétrole vers les marchés asiatiques. Sa largeur, plus conséquente que celle des générations précédentes, a été pensée pour lui permettre d’escorter les méthaniers et pétroliers les plus imposants actuellement en service.
Ce navire porte un nom inhabituel dans la flotte russe actuelle. Alors que l’appellation des unités nucléaires évoque le plus souvent les régions polaires, Stalingrad renoue de manière frontale avec l’ère soviétique. Le président russe a d’ailleurs salué cette symbolique : "Je suis sûr que le nouveau brise-glace Stalingrad portera dignement ce nom. Travailler dans les conditions difficiles de l’Arctique, ouvrir la voie à travers la glace, deviendra un autre symbole de talent, de force, d’énergie de notre peuple, de sa capacité à mettre en place et à mettre en œuvre les plans les plus audacieux, et à se lever dans les moments les plus difficiles", a-t-il déclaré lors de la pose de la quille du nouveau navire.
La Russie se targue de posséder aujourd’hui la flotte de brise-glaces nucléaires la plus importante au monde : sept unités sont déjà en activité, épaulées par plusieurs dizaines de navires diesel-électriques. Le projet 22220 constitue l’épine dorsale de cette flotte : son navire amiral, l’Arktika, et les trois autres, Sibir, Oural et Yakoutia escortent déjà les convois le long de la route maritime du Nord, assurant le transport de ressources vers l’Asie sans dépendre des détroits plus au sud. Deux autres unités, Tchoukotka et Leningrad, sont toujours en construction sur le chantier naval de la Baltique.

© AFP
A Saint-Pétersbourg, un pan entier de la stratégie militaire russe vient de prendre forme sous l’objectif des médias nationaux. Ce mardi 18 novembre, le chantier naval de la Baltique a célébré le début de la construction d’un nouveau géant de l’Arctique, un brise-glace à propulsion nucléaire baptisé "Stalingrad". Le nom, chargé de mémoire, a donné à la cérémonie une dimension historique : parmi les invités, on remarquait la silhouette de Pavel Vinokourov, vétéran de la bataille de Stalingrad, qui s’apprête à souffler ses 103 bougies.
Vladimir Poutine, présent par visioconférence, a profité de l’événement pour marteler la souveraineté technologique de son pays : selon lui, aucune nation, hormis la Russie, n’est capable de produire en série des brise-glaces atomiques puissants et autonomes, fondés sur des technologies strictement nationales.
Sous sa coque massive, le Stalingrad s’inscrit dans la lignée des navires du projet 22220, les plus impressionnants brise-glaces jamais construits. Long d’environ 173 mètres et large de 34 mètres, il embarque une puissance de 60 MW capable de propulser cette forteresse d’acier à près de 22 nœuds sur des eaux dégagées (environ 40 kilomètres-heure, NDLR) tout en brisant des glaces de trois mètres d’épaisseur. Sa longévité, pensée pour s’étirer sur quatre décennies, repose sur une architecture à double tirant d’eau et sur deux réacteurs nucléaires RITM-200 qui lui assurent presque sept ans d’activité sans recharge.
L’engin peut aussi bien se faufiler dans les zones profondes de l’océan Arctique que dans les eaux plus étroites et peu profondes à l’embouchure du Ienisseï ou dans la baie d’Ob, ce qui devrait permettre à la Russie d’optimiser les convois de gaz et de pétrole vers les marchés asiatiques. Sa largeur, plus conséquente que celle des générations précédentes, a été pensée pour lui permettre d’escorter les méthaniers et pétroliers les plus imposants actuellement en service.
Ce navire porte un nom inhabituel dans la flotte russe actuelle. Alors que l’appellation des unités nucléaires évoque le plus souvent les régions polaires, Stalingrad renoue de manière frontale avec l’ère soviétique. Le président russe a d’ailleurs salué cette symbolique : "Je suis sûr que le nouveau brise-glace Stalingrad portera dignement ce nom. Travailler dans les conditions difficiles de l’Arctique, ouvrir la voie à travers la glace, deviendra un autre symbole de talent, de force, d’énergie de notre peuple, de sa capacité à mettre en place et à mettre en œuvre les plans les plus audacieux, et à se lever dans les moments les plus difficiles", a-t-il déclaré lors de la pose de la quille du nouveau navire.
La Russie se targue de posséder aujourd’hui la flotte de brise-glaces nucléaires la plus importante au monde : sept unités sont déjà en activité, épaulées par plusieurs dizaines de navires diesel-électriques. Le projet 22220 constitue l’épine dorsale de cette flotte : son navire amiral, l’Arktika, et les trois autres, Sibir, Oural et Yakoutia escortent déjà les convois le long de la route maritime du Nord, assurant le transport de ressources vers l’Asie sans dépendre des détroits plus au sud. Deux autres unités, Tchoukotka et Leningrad, sont toujours en construction sur le chantier naval de la Baltique.

© AFP
"COMPORTEMENT SEDITIEUX, passible de la peine de MORT!" a écrit jeudi 20 novembre Donald Trump sur son réseau Truth Social, juste après avoir attaqué six élus démocrates qui ont appelé à la désobéissance civile dans l'armée.
Dans un message publié peu auparavant sur la même plateforme, le président américain avait qualifié ces opposants de "traîtres" ayant un "comportement séditieux". "Ceci est vraiment mauvais et dangereux pour notre pays", a écrit le président américain sur son réseau Truth Social en commentaire d'un article de presse consacré à cet appel lancé sur X par six élus démocrates à la Chambre des représentants et au Sénat, ayant eux-mêmes servi dans l'armée ou les services de renseignement. "Trump vient de réclamer la mort pour des élus démocrates. Absolument infâme", a réagi le Parti démocrate sur X. Les meneurs démocrates à la Chambre des représentants ont dénoncé dans un communiqué la "rhétorique violente et déchaînée" du président américain, l'appelant à supprimer ses messages "avant que quelqu'un ne soit tué".
Ces six élus démocrates à la Chambre des représentants et au Sénat, ayant eux-mêmes servi dans l'armée ou les services secrets, ont publié sur X une vidéo dans laquelle ils lancent à l'intention des militaires et des agents du renseignement : "Vous pouvez refuser les ordres illégaux." Dans leur vidéo, ces six démocrates estiment que "cette administration oppose nos militaires en uniforme et nos professionnels du renseignement aux citoyens américains".
"Aujourd'hui, les menaces contre notre Constitution ne viennent pas seulement de l'étranger, mais aussi d'ici, chez nous", dénoncent ces élus, dont le sénateur Mark Kelly, un ancien membre de la marine américaine et astronaute de la Nasa, ou la sénatrice Elissa Slotkin, qui a servi pour la CIA en Irak.
Les six élus de l'opposition ont reçu jeudi le soutien d'un groupe disant représenter "plus de 360" anciens responsables militaires et diplomatiques, qui a accusé dans un communiqué la Maison-Blanche de "transformer un principe de droit fondamental en désaccord politique".
Les élus démocrates ne précisent pas dans leur vidéo à quels ordres ils font référence, mais Donald Trump et son fidèle allié au Pentagone, le ministre Pete Hegseth, sont critiqués pour leur utilisation des forces armées, tant aux Etats-Unis qu'à l'étranger. Le républicain a notamment ordonné le déploiement de la Garde nationale dans plusieurs villes démocrates, dont Los Angeles et Washington, contre l'avis des autorités locales.
Les Etats-Unis ont également mené ces dernières semaines une vingtaine de frappes dans les Caraïbes et le Pacifique contre des embarcations qu'ils accusent - sans présenter de preuves - de transporter de la drogue, faisant au moins 83 victimes. Le Haut-Commissaire des Nations unies aux droits de l'Homme, Volker Türk, a exhorté Washington à enquêter sur la légalité de ces frappes, relevant de "solides indices" de "violations du droit international" humanitaire et "d'exécutions extrajudiciaires". Le ministère de la Justice a lui assuré le 12 novembre que ces frappes avaient "été ordonnées conformément aux lois du conflit armé et constituent donc des ordres licites".
Avant Donald Trump, d'autres hauts responsables de la Maison-Blanche avaient attaqué l'appel des six élus de l'opposition. "Des responsables démocrates appellent ouvertement la CIA et les dirigeants de l'armée à se rebeller contre leur Commandant en chef. Ne sous-estimez pas à quel point le Parti démocrate est devenu dangereusement radicalisé", avait réagi mercredi sur X le directeur de cabinet adjoint de la Maison-Blanche, Stephen Miller.

© afp.com/Brendan SMIALOWSKI