Au Portugal, jeudi 3 juillet s’est ouvert le procès de l’ancien Premier ministre José Sócrates. C’est une première dans l’histoire du pays : jamais un ex-chef de gouvernement n’avait encore été jugé pour corruption. L’affaire, surnommée « Operation Marquês », se distingue par l’ampleur de l’enquête – plus de dix ans – et par son retentissement médiatique. José Sócrates, accusé de 22 infractions, est le principal prévenu de ce procès fleuve qui devrait entendre quelque 650 témoins.
Au Portugal, jeudi 3 juillet s’est ouvert le procès de l’ancien Premier ministre José Sócrates. C’est une première dans l’histoire du pays : jamais un ex-chef de gouvernement n’avait encore été jugé pour corruption. L’affaire, surnommée « Operation Marquês », se distingue par l’ampleur de l’enquête – plus de dix ans – et par son retentissement médiatique. José Sócrates, accusé de 22 infractions, est le principal prévenu de ce procès fleuve qui devrait entendre quelque 650 témoins.