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Promo : la batterie domestique Stream AC Pro d’EcoFlow à 713 € au lieu de 999

Que vous soyez déjà équipé en panneaux solaires ou que vous débutiez dans ce domaine, la batterie Stream AC Pro conçue par EcoFlow est intéressante pour stocker de l’énergie excédentaire et la redistribuer en fonction des besoins. D’une capacité de 1,92 kWh, elle doit uniquement être associée à un compteur connecté pour surveiller la production de panneaux solaires, même si ces derniers sont installés à un tout autre endroit. C’est une option très souple qui s’adapte à de multiples situations et qui est à un tarif intéressant en ce moment sur Amazon : 713 € au lieu de 999 en temps normal.

Image EcoFlow.

Pour ce prix, vous aurez un gros parallélépipède de 46 cm de haut et environ 25 cm de large comme de profondeur pour 21,5 kg. Cet appareil peut être installé n’importe où, en extérieur comme sur un balcon si vous avez une prise, ou bien à l’intérieur si c’est plus facile pour vous. Peu importe, il doit uniquement être relié à une prise électrique du logement pour fonctionner correctement. Cette connexion permettra de charger sa batterie jusqu’à 1 050 W et de la décharger en alimentant le réseau jusqu’à 800 W de puissance.

Pour qu’elle puisse fonctionner normalement, la batterie d’EcoFlow doit savoir à tout moment ce que produit ou consomme le foyer grâce à un compteur connecté installé dans le tableau électrique. Le fabricant accepte des produits tiers, notamment ceux de Shelly, ou commercialise son propre compteur à 129 €. Ce compteur comme la batterie seront reliés au réseau Wi-Fi et l’écosystème EcoFlow accordera les deux pour stocker toute l’énergie excédentaire produite par les panneaux la journée et redistribuer cette électricité quand le soleil baisse. Vous pouvez aussi charger la batterie de nuit pendant les heures creuses pour la redistribuer pendant les heures pleines, ce qui est surtout utile en hiver.

Si vous voulez en savoir plus sur le sujet, je vous renvoie à ces deux articles de notre série sur les systèmes solaires. Si je n’ai pas testé le produit d’EcoFlow, je sais qu’il est très proche de ceux de Zendure et Anker que j’utilise encore au quotidien. Je peux ainsi témoigner que cela fonctionne bien à condition d’avoir des panneaux solaires, la rentabilité est sinon impossible à atteindre, et à condition d’accepter un système propriétaire qui dépend de serveurs tiers. EcoFlow ne fait pas mieux dans ce domaine, tout passera par l’app du fabricant.

La maison au soleil : test du Zendure Hyper 2000, une batterie de stockage pas que pour le solaire

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La maison au soleil : la Solarbank 2 AC ajoute la charge depuis le réseau au système solaire d’Anker

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En termes de prix, la batterie d’EcoFlow est bien placée face à ses concurrents. La Solarbank 2 AC d’Anker est vendue 900 € et sa capacité est inférieure (1,6 kWh) tout en faisant un petit mieux sur la sortie AC (1 000 W). Du côté de Zendure, l’offre la plus proche serait la SolarFlow 800 Pro qui est affichée à 959 € avec une fiche technique similaire et même si le fabricant fournit un compteur, cela reste nettement plus cher que chez EcoFlow.

Si vous avez des panneaux solaires, vous pouvez les relier directement à la batterie, mais ce n’est pas obligatoire. Image EcoFlow.

Comme toujours, ces systèmes sont modulaires et vous pourrez ainsi ajouter d’autres batteries pour stocker davantage d’énergie et fournir davantage de puissance. Un kit avec deux Stream AC Pro est ainsi proposé à 1  426 € au lieu de 1 899 avec l’avantage de pouvoir sortir jusqu’à 1 200 W sur le réseau électrique du logement. Dans tous les cas, les cellules LFP sont sûres et tiendront plusieurs milliers cycles sans problème, sachant que le fabricant offre une garantie de 10 ans sur ses produits. Ce qui est en stock sera livré d’ici une bonne dizaine de jours, dans d’autres cas il faudra attendre deux à trois semaines.

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Promo : la batterie domestique Stream AC Pro d’EcoFlow à 713 € au lieu de 999

Que vous soyez déjà équipé en panneaux solaires ou que vous débutiez dans ce domaine, la batterie Stream AC Pro conçue par EcoFlow est intéressante pour stocker de l’énergie excédentaire et la redistribuer en fonction des besoins. D’une capacité de 1,92 kWh, elle doit uniquement être associée à un compteur connecté pour surveiller la production de panneaux solaires, même si ces derniers sont installés à un tout autre endroit. C’est une option très souple qui s’adapte à de multiples situations et qui est à un tarif intéressant en ce moment sur Amazon : 713 € au lieu de 999 en temps normal.

Image EcoFlow.

Pour ce prix, vous aurez un gros parallélépipède de 46 cm de haut et environ 25 cm de large comme de profondeur pour 21,5 kg. Cet appareil peut être installé n’importe où, en extérieur comme sur un balcon si vous avez une prise, ou bien à l’intérieur si c’est plus facile pour vous. Peu importe, il doit uniquement être relié à une prise électrique du logement pour fonctionner correctement. Cette connexion permettra de charger sa batterie jusqu’à 1 050 W et de la décharger en alimentant le réseau jusqu’à 800 W de puissance.

Pour qu’elle puisse fonctionner normalement, la batterie d’EcoFlow doit savoir à tout moment ce que produit ou consomme le foyer grâce à un compteur connecté installé dans le tableau électrique. Le fabricant accepte des produits tiers, notamment ceux de Shelly, ou commercialise son propre compteur à 129 €. Ce compteur comme la batterie seront reliés au réseau Wi-Fi et l’écosystème EcoFlow accordera les deux pour stocker toute l’énergie excédentaire produite par les panneaux la journée et redistribuer cette électricité quand le soleil baisse. Vous pouvez aussi charger la batterie de nuit pendant les heures creuses pour la redistribuer pendant les heures pleines, ce qui est surtout utile en hiver.

Si vous voulez en savoir plus sur le sujet, je vous renvoie à ces deux articles de notre série sur les systèmes solaires. Si je n’ai pas testé le produit d’EcoFlow, je sais qu’il est très proche de ceux de Zendure et Anker que j’utilise encore au quotidien. Je peux ainsi témoigner que cela fonctionne bien à condition d’avoir des panneaux solaires, la rentabilité est sinon impossible à atteindre, et à condition d’accepter un système propriétaire qui dépend de serveurs tiers. EcoFlow ne fait pas mieux dans ce domaine, tout passera par l’app du fabricant.

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Si vous avez des panneaux solaires, vous pouvez les relier directement à la batterie, mais ce n’est pas obligatoire. Image EcoFlow.

Comme toujours, ces systèmes sont modulaires et vous pourrez ainsi ajouter d’autres batteries pour stocker davantage d’énergie et fournir davantage de puissance. Un kit avec deux Stream AC Pro est ainsi proposé à 1  426 € au lieu de 1 899 avec l’avantage de pouvoir sortir jusqu’à 1 200 W sur le réseau électrique du logement. Dans tous les cas, les cellules LFP sont sûres et tiendront plusieurs milliers cycles sans problème, sachant que le fabricant offre une garantie de 10 ans sur ses produits. Ce qui est en stock sera livré d’ici une bonne dizaine de jours, dans d’autres cas il faudra attendre deux à trois semaines.

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Développeurs : Technotes ajoute des notes de la communauté sur la documentation d’Apple

Technotes est une extension pour les navigateurs qui enrichit les pages de documentation destinées aux développeurs sur le site d’Apple. Même si l’entreprise a amélioré la situation ces dernières années, la documentation proposée par Apple est notoirement incomplète et l’idée du créateur de cette extension est de permettre à la communauté de développeurs de l’améliorer par des notes. Ce concept a été popularisé par des réseaux sociaux, X en tête, pour ajouter un contexte à une publication ou la corriger. Ici, n’importe quel développeur peut ajouter une précision, signaler que telle API ne fonctionne pas comme promis ou toute autre information qu’il juge utile.

Une note laissée par le créateur de Technotes, insérée par l’extension. Image MacGeneration.

Toutes les notes laissées par tous les développeurs seront visibles dès lorsque Technotes est installée dans le navigateur. C’est une extension et un service social à la fois, ce qui explique qu’un compte soit nécessaire pour soumettre des notes. Le service est entièrement gratuit pour le moment, même si des fonctionnalités payantes pourraient être ajoutées à l’avenir. Le créateur ajoute que le contenu reste la propriété exclusive de la personne qui le soumet et il note que son objectif est avant tout d’offrir un service utile à la communauté, pas nécessairement gagner de l’argent.

Malgré tout, une telle idée ne fonctionnera que si suffisamment de monde participe et c’est toute la difficulté du projet. Les pages de la documentation Apple avec des notes sont encore très rares (voici un exemple et un autre, vous les verrez si l’extension est installée et activée) et il faudra beaucoup plus de participants pour que ce soit réellement utile. Si vous voulez tester, vous pouvez installer l’extension sur Safari, Chrome et Firefox ainsi que tous les navigateurs qui acceptent les extensions de ces derniers.

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Développeurs : Technotes ajoute des notes de la communauté sur la documentation d’Apple

Technotes est une extension pour les navigateurs qui enrichit les pages de documentation destinées aux développeurs sur le site d’Apple. Même si l’entreprise a amélioré la situation ces dernières années, la documentation proposée par Apple est notoirement incomplète et l’idée du créateur de cette extension est de permettre à la communauté de développeurs de l’améliorer par des notes. Ce concept a été popularisé par des réseaux sociaux, X en tête, pour ajouter un contexte à une publication ou la corriger. Ici, n’importe quel développeur peut ajouter une précision, signaler que telle API ne fonctionne pas comme promis ou toute autre information qu’il juge utile.

Une note laissée par le créateur de Technotes, insérée par l’extension. Image MacGeneration.

Toutes les notes laissées par tous les développeurs seront visibles dès lorsque Technotes est installée dans le navigateur. C’est une extension et un service social à la fois, ce qui explique qu’un compte soit nécessaire pour soumettre des notes. Le service est entièrement gratuit pour le moment, même si des fonctionnalités payantes pourraient être ajoutées à l’avenir. Le créateur ajoute que le contenu reste la propriété exclusive de la personne qui le soumet et il note que son objectif est avant tout d’offrir un service utile à la communauté, pas nécessairement gagner de l’argent.

Malgré tout, une telle idée ne fonctionnera que si suffisamment de monde participe et c’est toute la difficulté du projet. Les pages de la documentation Apple avec des notes sont encore très rares (voici un exemple et un autre, vous les verrez si l’extension est installée et activée) et il faudra beaucoup plus de participants pour que ce soit réellement utile. Si vous voulez tester, vous pouvez installer l’extension sur Safari, Chrome et Firefox ainsi que tous les navigateurs qui acceptent les extensions de ces derniers.

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FaceTime se met en pause sous iOS 26 s’il identifie de la nudité, même entre adultes consentants

FaceTime sous iOS 26 est capable d’identifier de la nudité et d’interrompre automatiquement le flux vidéo. Cela fait partie des nouveautés annoncées par Apple afin de protéger les mineurs, une précision que la bêta actuelle semble avoir oublié. Comme l’a noté @idevicehelpus@x (via 9To5 Mac), le message peut s’afficher sur un appareil, même si la conversation vidéo s’effectue entre adultes consentants.

Image iGeneration, capture d’écran @idevicehelpus@x et photo de fond Paul Magdas.

Le message occupe tout l’écran sur l’appareil de la personne qui affiche son corps de manière prononcée. Il indique que la diffusion de la vidéo et de l’audio a été mise en pause parce que du contenu « sensible » est montré. Un message conseille ensuite d’interrompre l’appel si l’utilisateur ne se sent pas confortable de le poursuivre et on a deux gros boutons, un pour reprendre la conversation normalement, l’autre pour mettre fin à l’appel.

Apple précise bien que l’analyse des images est entièrement réalisée en local, sans intervention d’un serveur distant. Ces premiers retours montrent que la fonctionnalité est en place, même si elle intervient sur des comptes Apple qui ne sont pas configurés comme des enfants, ce qui est probablement un bug de la bêta. On imagine que ce sera corrigé dans une future bêta d’iOS 26.

Notons qu’une option est proposée dans les réglages de FaceTime pour retirer l’affichage des « avertissements de contenu sensible ». Elle n’est pas nouvelle, puisqu’on la trouvait déjà sous iOS 18, et n’a peut-être aucune incidence sur la nouvelle fonctionnalité évoquée ici. Quoi qu’il en soit, elle n’était pas activée sur mon iPhone avec la bêta et on ne sait pas ce qu’il en est pour l’utilisateur qui a publié la capture d’écran. Je n’avais pas d’aubergine sous la main pour vérifier si l’option change quoi que ce soit à l’identification de contenus sensibles par FaceTime.

Cette option dans les réglages de FaceTime pourrait désactiver la nouveauté d’iOS 26, même si elle était déjà présente sous iOS 18. Image iGeneration.
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Apple prévoit de mettre à jour automatiquement l’architecture de l’app Maison

La nouvelle architecture pour HomeKit ne sera bientôt plus optionnelle. Lancée avec iOS 16.4, Apple avait d’ores et déjà prévenu qu’elle deviendra obligatoire à compter de l’automne, c’est-à-dire avec iOS 26 et les mises à jour équivalentes. Précision supplémentaire apportée par la deuxième bêta d’iOS 18.6 et repérée par MacRumors, la mise à jour pourra être effectuée automatiquement, que l’utilisateur la demande ou pas.

Image iGeneration.

La bêta contient en effet un texte d’avertissement qui n’est pas encore visible dans Maison, mais qui devrait l’être à l’avenir. Il devrait s’afficher pour les utilisateurs de l’app Maison restés à l’ancienne architecture et précise que la prise en charge s’arrêtera à l’automne. Il ajoute surtout que « certains domiciles seront mis à jour automatiquement à ce moment-là », tout en ajoutant que « d’autres devront être mis à jour manuellement ». Le message se conclut en rappelant que la nouvelle architecture peut être immédiatement installée.

Si vous êtes concerné, l’installation se fait depuis les réglages du domicile, accessibles via l’ellipse en haut à droite de l’app Maison. Pour rappel, cette architecture inverse les rôles entre le concentrateur HomeKit, une Apple TV ou un HomePod, et les clients qui affichent l’app Maison. Auparavant, c’est l’iPhone, iPad ou Mac qui déclenchait une mise à jour des données en ouvrant l’app. Dorénavant, tout est géré côté concentrateur et l’app se contente d’afficher les dernières données connues. Après un faux départ, cette nouvelle architecture a fait ses preuves et elle règle de nombreux problèmes liés à HomeKit, tout en bloquant les appareils les plus anciens, iOS 16 étant désormais nécessaire au minimum.

HomeKit : une nouvelle architecture à double tranchant pour votre maison connectée

HomeKit : une nouvelle architecture à double tranchant pour votre maison connectée

Apple ne précise pas quels utilisateurs recevront la mise à jour automatique de l’architecture HomeKit, peut-être que cela ne concernera justement que ceux qui ont un domicile partagé par des utilisateurs sous iOS 16 et plus. Quoi qu’il en soit, il ne fait désormais plus aucun doute que la bascule sur la nouvelle architecture sera obligatoire dans les mois à venir, sauf à rester aux versions actuelles des systèmes.

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Vision Pro, Vision Air et lunettes connectées : Ming-Chi Kuo dévoile le programme d’Apple jusqu’en 2029

Ming-Chi Kuo a publié un joli graphique et surtout un article qui condense toutes ses prédictions pour Apple dans le domaine de la réalité virtuelle et augmentée. L’analyste dévoile ce qui pourrait être le planning d’Apple pour les prochaines années, à la fois du côté des casques comme le Vision Pro et aussi dans la direction des lunettes connectées, similaires aux produits conçus par Ray-Ban en collaboration avec Meta. Ce programme s’étend jusqu’à 2029, alors si vous ne voulez pas gâcher la surprise, arrêtez votre lecture ici.

Image Ming-Chi Kuo.

Le planning débuterait dès cette année, avec une mise à jour très mineure du Vision Pro. Selon les données collectées par Ming-Chi Kuo, Apple préparerait une nouvelle génération équipée d’une future puce M5 à la place de la M2 dans le produit actuel. Ce serait le seul changement matériel, le reste du casque de réalité mixte serait maintenu inchangé. L’analyste ajoute que la production de masse débuterait au troisième trimestre et que les ventes resteraient très modestes, certainement parce que le prix de base serait similaire. Il s’attend à une production de 150 000 à 200 000 unités seulement la première année. Dans une précédente rumeur, il avait indiqué qu’Apple Intelligence devrait être le cœur de cette nouvelle génération.

Le Vision Pro 2 ferait la part belle aux fonctions Apple Intelligence grâce à sa puce M5

Le Vision Pro 2 ferait la part belle aux fonctions Apple Intelligence grâce à sa puce M5

La vraie nouveauté côté casque attendrait la fin de l’année 2027 et Ming-Chi Kuo ne s’attend à rien voir sortir de nouveau en 2026. Apple aurait prévu un Vision Pro allégé, qu’il nomme Vision Air, qui serait basé sur une toute nouvelle conception allégée : il évoque une réduction du poids de l’appareil supérieure à 40 % par rapport au modèle actuel. Cette cure passerait notamment par l’utilisation de plastique à la place du verre, d’un alliage de magnésium au lieu de l’aluminium et d’une réduction du nombre de capteurs.

Ce Vision Air serait aussi nettement moins cher, même si l’analyste ne se risque pas à donner une idée plus précise. Il indique toutefois que le casque reposerait sur la meilleure puce pour iPhone du moment, au lieu d’une puce M venue des Mac comme pour le Vision Pro. Pas un mot sur les écrans, sachant que d’autres rumeurs avaient aussi évoqué une baisse de qualité de ce côté, mais peut-être qu’Apple cherche à maintenir cette caractéristique essentielle dans un tel produit, en faisant des concessions sur tout le reste.

Le Vision Pro moins cher attendrait son tour après 2027

Le Vision Pro moins cher attendrait son tour après 2027

Le vrai successeur du Vision Pro pourrait arriver courant 2028 et il aurait lui aussi droit à un tout nouveau design allégé. En revanche, il garderait sa puce M et on imagine toutes les fonctions de l’actuel, si bien qu’il resterait cher, même si son prix de vente pourrait baisser par rapport à l’actuel. Ming-Chi Kuo envisage une production de masse au deuxième trimestre 2028.

En parallèle, Apple développerait aussi des lunettes connectées, similaires aux Ray-Ban Meta et l’entreprise aurait même quatre prototypes différents dans ses tiroirs. La première génération pourrait sortir dès 2027, avec une production de masse lancée au cours du deuxième trimestre et l’espoir d’en produire entre 3 et 5 millions dès la première année. Autant dire qu’on entrerait dans une toute autre catégorie de produits, destinée au grand public à l’inverse du Vision Pro.

Ceci n’est pas une paire de lunettes connectées Apple. Image WatchGeneration.

Ming-Chi Kuo imagine une première génération en réalité très proche des actuelles Ray-Ban Meta, avec des lunettes dépourvues d’écran. Elles seraient contrôlées par la voix et des gestes et serviraient à écouter de l’audio, enregistrer des photos et vidéos à l’aide de caméras embarquées et faire office de réalité augmentée pour l’environnement, uniquement en audio donc. Ce segment pourrait atteindre les 10 millions de ventes en 2027 et si l’on compile les chiffres, Apple pourrait viser la moitié des parts de marché dès le lancement.

Test des lunettes Ray-Ban Meta : un appareil photo en toutes circonstances

Test des lunettes Ray-Ban Meta : un appareil photo en toutes circonstances

Dès l’année suivante, Apple pourrait présenter de nouvelles lunettes cette fois avec un écran, pour enrichir visuellement la réalité. La production aurait lieu dans la deuxième moitié de 2028, on resterait sur un contrôle à la voix et avec des gestes, tandis que l’affichage en couleur serait de type LCoS (cristaux liquides sur silicium) avec une projection par guide d’ondes. L’intelligence artificielle serait au cœur de ce modèle, précise Ming-Chi Kuo qui ajoute que les générations suivantes seraient plus floues à ce stade.

En plus de ces deux gammes qui devraient évoluer en parallèle, Apple travaillerait bien sur un modèle beaucoup plus simple, destiné à projeter le contenu généré par un iPhone ou un Mac. Au départ, l’entreprise aurait prévu de le commercialiser en 2026, mais le projet aurait été mis en pause depuis la fin de l’année 2024, notamment à cause d’un poids trop élevé. L’entreprise hésiterait sur la direction à suivre et pourrait même repartir sur de nouvelles bases ou l’annuler purement et simplement. L’analyste n’envisage pas de commercialisation avant 2029 à ce stade.

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DEVONthink 4 ouvre ses documents aux intelligences artificielles génératives 

Mise à jour le 27 juin : le gestionnaire de documents DEVONthink 4 est finalisé et en vente. On peut tester ses nouveautés avec une version de démonstration qui demande au moins macOS 13 Ventura. Elle expire après 30 jours ou à la suite d'un cumul de 150 heures d'utilisation.

L'accès aux IA est la nouveauté majeure de cette version. Image DEVONtechnologies.

Par rapport au précédent article les conditions de mise à jour ont été précisées et se trouvent aussi dans le compte client des utilisateurs de précédentes versions. Comptez 49 $ (41 € environ) pour migrer depuis la v.3 Standard vers la v.4 équivalente ; 99 $ (84 €) depuis la Pro et 149 $ (126 €) à partir d'une Server. Il existe en outre une possibilité de mettre à jour depuis la version 2 comme le détaille la FAQ.

Article du 6 avril

DEVONthink a beau avoir fêté son vingtième anniversaire il y a quelques années, cet organisateur de contenus en tout genre n’a pas dit son dernier mot. Bien au contraire, l’app va bientôt passer à une quatrième mise à jour majeure et une première bêta de la version 4 est désormais disponible. La grosse nouveauté au programme ne surprendra personne, c’est bien l’intelligence artificielle générative qui est au cœur de cette version. Ses concepteurs ne se sont pas risqués à proposer leur propre grand modèle de langage et ils n’essaient même pas de vous revendre un accès à l’un des acteurs du moment, ils se sont contentés de créer l’infrastructure nécessaire pour exploiter les LLM existants.

ChatGPT résume mon test du Mac Studio 2025, stocké dans DEVONthink sous la forme d’un fichier Markdown. Image MacGeneration.

Précisons déjà que les fonctionnalités liées aux IA sont optionnelles et désactivées par défaut. Pour en bénéficier, il faudra tout d’abord les activer dans les préférences de DEVONthink, en saisissant une clé d’accès à l’API de l’un des acteurs en ligne pris en charge, ou bien en configurant au préalable un modèle en local par le biais d’Ollama, Studio LM ou encore GTP4All. Si vous n’avez pas assez de place ou de puissance sur votre ordinateur pour un fonctionnement local, alors vous pourrez faire appel à OpenAI (ChatGPT), Anthropic (Claude), Google (Gemini), Mistral ou encore Perplexity. Selon les services, l’accès peut être gratuit (Gemini et Mistral) ou bien payant, l’app permettant alors de sélectionner un modèle plus ou moins coûteux et aussi de choisir entre un traitement plus cher et meilleur ou au contraire bon marché, mais moins performant.

Une fois tout ceci réglé, les IA peuvent répondre à vos requêtes de plusieurs manières. Un chat général est désormais accessible depuis une icône dédiée en haut à droite de la fenêtre, depuis le menu « Tools » ou encore depuis la barre latérale également située à droite. Vous pouvez poser n’importe quelle question et le LLM générera une réponse éventuellement juste. Tout l’intérêt est toutefois le lien avec la base de données de DEVONthink. Vous pouvez effectuer des recherches en langage naturel, ou même demander un résumé pour le document en cours et même s’il faut parfois se battre un peu, cela fonctionne plutôt bien. L’app dispose aussi d’un mode spécifique pour résumer la sélection, accessible depuis le menu Edit.

Les IA en action dans DEVONthink : le chat général qui a effectué une recherche sur la base de données sur la droite, une image générée par Dall-e 3 et ajoutée à la base sur la gauche. Notez aussi les tags dans la barre latérale de gauche, tous générés automatiquement grâce aux IA. Image MacGeneration.

Puisque ces intelligences artificielles sont génératives, elles peuvent aussi créer du contenu qui sera directement ajouté dans DEVONthink, que ce soit une image ou même du texte suivant vos consignes. Moins gadget peut-être, on peut demander de trouver automatiquement des tags à partir du contenu, ce qui fonctionne pas trop mal, même si on atteint vite les limites des LLM et de l’intégration pensée pour l’app. Vous ne pouvez pas guider l’IA pour cette sélection de tags, si bien que vous en aurez beaucoup et souvent des variations qui compliquent l’organisation (j’ai eu par exemple un tag « fonctionnalité », un autre « fonctionnalités » et même un troisième « Fonctionnalités »). Impossible de modifier la collection avec une IA, seul l’ajout de nouveaux tags est possible.

Ces intégrations des intelligences artificielles se retrouvent à de nombreux niveaux et dans de multiples recoins de l’app. DEVONthink appartient à cette catégorie d’outils qui demandent un temps d’apprentissage pour les maîtriser pleinement et c’est indéniablement vrai aussi pour cette nouveauté. Par exemple, les annotations associées à chaque élément peuvent être remplies par le résumé généré par une IA. On peut aussi les utiliser pour transcrire de l’audio ou encore modifier le texte en demandant de l’aide aux modèles de langage. Les outils de réécriture d’Apple Intelligence sont aussi au rendez-vous, si nécessaire.

Le résumé généré par une IA, au centre, peut remplir l’annotation associée au document dans la base de données de l’app, sur la droite. Image MacGeneration.

Cette nouveauté est loin d’être la seule et la liste est trop longue pour tout évoquer. Notons la possibilité d’activer un versionnement des fichiers, DEVONthink conservant alors toutes les versions à chaque modification. L’app sait aussi faire des recherches à l’intérieur des fichiers PDF, même s’ils ne contiennent pas de texte et sans avoir à les traiter au préalable avec un outil de reconnaissance optique des caractères (OCR). Les plus longs documents peuvent afficher une table des matières, cela fonctionne également avec les fichiers Markdown, les PDF ou encore les pages web. L’aide intégrée a été entièrement revue et les IA y ont d’ailleurs accès, vous permettant d’obtenir de l’aide en langage naturel.

DEVONthink 4 est une mise à jour majeure qui sera payante pour tous les utilisateurs, sauf ceux qui ont payé une licence pour la troisième version il y a moins d’un an. Ses concepteurs en ont profité pour introduire un nouveau modèle économique avec une licence « à la Sketch ». Une fois achetée, vous bénéficierez de mises à jour pendant un an, puis l’app restera fonctionnelle, mais bloquée à la version en cours. Pour mettre à jour, il faudra payer, avec un tarif préférentiel si vous le faites sans attendre. Comme toujours, il existe trois éditions différentes et toutes les fonctionnalités liées à l’IA nécessitent au moins une licence Pro, facturée 199 $ HT (environ 221,5 €). La licence de base est à 99 $ HT (110 €) et il existe aussi une licence Server pour des besoins particuliers à 499 $ HT (555 €). Des réductions sont prévues pour les clients précédents, y compris ceux restés à DEVONthink 2.

Même si l’app est en bêta, vous pouvez la télécharger et commencer à l’utiliser dès maintenant, sachant que l’année de mises à jour débutera seulement avec la première version finale. DEVOnthink 4 nécessite macOS Ventura (13) au minimum, son interface n’est pas traduite en français.

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L’alimentation adaptative d’iOS 26 repose bien sur Apple Intelligence et demande un iPhone 15 Pro au minimum

iOS 26 propose une nouvelle option dans ses réglages dédiés à la batterie : « Alimentation adaptative » est censée améliorer l’autonomie en ajustant la luminosité de l’écran et l’exécution de certaines tâches. Si cette option n’apparaît pas sur votre iPhone, c’est probablement parce qu’il n’est pas compatible avec Apple Intelligence. Comme le confirme MacRumors, il faut un smartphone compatible avec l’intelligence artificielle à la sauce Apple, c’est-à-dire actuellement un iPhone 15 Pro ou bien un iPhone 16, pour bénéficier de la nouveauté.

Image iGeneration.

Apple n’a pas détaillé le fonctionnement de cette alimentation adaptative, même si le descriptif associé donne une petite idée de son fonctionnement. Pour comprendre le lien avec Apple Intelligence, la clé dans ce paragraphe de texte est sans doute les premiers mots : le mode surveille l’utilisation de votre batterie et n’intervient que si elle « est plus élevée que d’habitude ». Cette phase d’apprentissage repose peut-être sur un modèle local géré par le smartphone, ce qui pourrait expliquer l’exigence matérielle élevée.

Lorsque l'utilisation de la batterie est plus élevée que d'habitude, l'iPhone peut ajuster légèrement les performances pour prolonger l'autonomie de la batterie, notamment en diminuant un peu la luminosité de l'écran ou en permettant à certaines activités de s'exécuter un peu plus lentement. Le mode économie d'énergie peut s'activer à 20 % de charge.

Quoi qu’il en soit, j’ai testé sur mon iPhone 16 Pro cette alimentation adaptative et je ne peux pas dire que les résultats m’ont impressionné. Je rentre de quelques jours de vacances pendant lesquels le smartphone a été fortement sollicité (nombreuses photos, utilisation intensive de la cartographie, etc.) et l’autonomie est toujours un problème avec iOS 26, du moins la première bêta. Je manque encore de recul sur la version sortie en début de semaine, mais dans mon expérience jusque-là, l’adaptation ne permet pas de gagner beaucoup en autonomie. D’un autre côté, je n’ai pas non plus noté de recul en termes de performances au quotidien, alors je laisse l’option active pour le moment.

L’alimentation adaptative n’est pas activée par défaut, il faut le faire dans l’app Réglages, dans la section « Batterie », puis la rubrique « Mode d’alimentation ».

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