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Mactracker 8 synchronise votre collection de produits Apple sur tous vos Mac

Mactracker, véritable encyclopédie des produits Apple, gagne une fonctionnalité qui ravira les collectionneurs acharnés. L’application permet maintenant de synchroniser sur plusieurs Mac sa liste personnelle d’appareils. Ainsi, si vous avez méticuleusement consigné vos achats Apple dans Mactracker au fil des ans, cette longue liste sera accessible sur tous vos Mac.

Considérée pour le moment comme étant en bêta, la synchronisation repose sur iCloud Drive. Elle doit être activée dans les réglages de l’application. Si vous avez des collections personnelles différentes sur plusieurs Mac, le développeur Ian Page recommande de les exporter en premier lieu, puis d’activer la synchronisation et enfin de les importer. Cela aura pour effet de consolider toutes les entrées qui étaient stockées localement précédemment.

Mactracker 8. Image MacGeneration.

Mactracker 8 comprend d’autres améliorations dédiées à l’onglet My Models. On peut archiver des produits plutôt que les supprimer (il faut ouvrir leur fiche et cliquer sur l’icône de carton en haut à droite), les sections Recents et Categories ont été ajoutées dans la barre latérale, et on peut préciser la couleur du produit possédé le cas échéant.

Au passage, cette mise à jour actualise des informations et enrichit la base de données d’appareils supplémentaires. Sont ajoutés des produits récents (MacBook Air M4, iPad Air M3, iPad A16…) ainsi que d’autres plus anciens (batterie MagSafe), voire antiques (Apple Graphics Tablet).

Mactracker 8 demande macOS 10.14 Mojave au minimum. L’application est entièrement gratuite. Vous pouvez soutenir Ian Page en lui faisant un don. Mactracker dispose aussi d’une version iOS, mais celle-ci n’intègre pas encore l’option de synchronisation.

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Mactracker 8 synchronise votre collection de produits Apple sur tous vos Mac

Mactracker, véritable encyclopédie des produits Apple, gagne une fonctionnalité qui ravira les collectionneurs acharnés. L’application permet maintenant de synchroniser sur plusieurs Mac sa liste personnelle d’appareils. Ainsi, si vous avez méticuleusement consigné vos achats Apple dans Mactracker au fil des ans, cette longue liste sera accessible sur tous vos Mac.

Considérée pour le moment comme étant en bêta, la synchronisation repose sur iCloud Drive. Elle doit être activée dans les réglages de l’application. Si vous avez des collections personnelles différentes sur plusieurs Mac, le développeur Ian Page recommande de les exporter en premier lieu, puis d’activer la synchronisation et enfin de les importer. Cela aura pour effet de consolider toutes les entrées qui étaient stockées localement précédemment.

Mactracker 8. Image MacGeneration.

Mactracker 8 comprend d’autres améliorations dédiées à l’onglet My Models. On peut archiver des produits plutôt que les supprimer (il faut ouvrir leur fiche et cliquer sur l’icône de carton en haut à droite), les sections Recents et Categories ont été ajoutées dans la barre latérale, et on peut préciser la couleur du produit possédé le cas échéant.

Au passage, cette mise à jour actualise des informations et enrichit la base de données d’appareils supplémentaires. Sont ajoutés des produits récents (MacBook Air M4, iPad Air M3, iPad A16…) ainsi que d’autres plus anciens (batterie MagSafe), voire antiques (Apple Graphics Tablet).

Mactracker 8 demande macOS 10.14 Mojave au minimum. L’application est entièrement gratuite. Vous pouvez soutenir Ian Page en lui faisant un don. Mactracker dispose aussi d’une version iOS, mais celle-ci n’intègre pas encore l’option de synchronisation.

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Vision Pro : un ancien ingénieur d’Apple accusé d’avoir volé des secrets industriels pour Snap

Apple accuse un de ses anciens ingénieurs haut placés d’avoir volé des secrets industriels sur le Vision Pro, et ce en vue de s’en servir chez son nouvel employeur, Snap, rapporte SiliconValley.com.

Di Liu a participé à la R&D sur le casque de réalité virtuelle en tant qu’ingénieur senior. Après sept années passées à Cupertino, il a remis sa démission en arguant qu’il voulait passer plus de temps avec sa famille et prendre soin de sa santé. D’après la plainte d’Apple déposée contre lui, il a en fait dissimulé la signature d’un contrat d’embauche chez Snap, le créateur de Snapchat mais aussi des lunettes Spectacles, à un poste très similaire.

Trois jours avant son départ de Cupertino, Di Liu a téléchargé des milliers de documents internes comprenant des secrets industriels sur le Vision Pro (informations sur le contrôle qualité, les coûts de fabrication, la chaîne d’approvisionnement…) et les a transférés sur un espace de stockage en ligne personnel, selon Apple. De son côté, le fabricant des Spectacles, qui n’est pas incriminé dans ce dossier, affirme que ces allégations n’ont pas de lien avec son activité.

La firme de Cupertino accuse donc Di Liu d’avoir violé son accord de confidentialité. Elle réclame des dommages et intérêts ainsi que la restitution des documents volés. Ce genre d’affaires n’est pas une première. En 2021, par exemple, Apple avait poursuivi un de ses designers pour des fuites dans la presse. Le démêlé s’était soldé par un accord financier (confidentiel, lui) entre les deux parties.

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Vision Pro : un ancien ingénieur d’Apple accusé d’avoir volé des secrets industriels pour Snap

Apple accuse un de ses anciens ingénieurs haut placés d’avoir volé des secrets industriels sur le Vision Pro, et ce en vue de s’en servir chez son nouvel employeur, Snap, rapporte SiliconValley.com.

Di Liu a participé à la R&D sur le casque de réalité virtuelle en tant qu’ingénieur senior. Après sept années passées à Cupertino, il a remis sa démission en arguant qu’il voulait passer plus de temps avec sa famille et prendre soin de sa santé. D’après la plainte d’Apple déposée contre lui, il a en fait dissimulé la signature d’un contrat d’embauche chez Snap, le créateur de Snapchat mais aussi des lunettes Spectacles, à un poste très similaire.

Trois jours avant son départ de Cupertino, Di Liu a téléchargé des milliers de documents internes comprenant des secrets industriels sur le Vision Pro (informations sur le contrôle qualité, les coûts de fabrication, la chaîne d’approvisionnement…) et les a transférés sur un espace de stockage en ligne personnel, selon Apple. De son côté, le fabricant des Spectacles, qui n’est pas incriminé dans ce dossier, affirme que ces allégations n’ont pas de lien avec son activité.

La firme de Cupertino accuse donc Di Liu d’avoir violé son accord de confidentialité. Elle réclame des dommages et intérêts ainsi que la restitution des documents volés. Ce genre d’affaires n’est pas une première. En 2021, par exemple, Apple avait poursuivi un de ses designers pour des fuites dans la presse. Le démêlé s’était soldé par un accord financier (confidentiel, lui) entre les deux parties.

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iOS 26 : créez un rappel depuis Téléphone pour ne plus zapper de rappeler

Après avoir installé iOS 26, vous ne pourrez plus dire à vos collègues « oups, désolé, j’ai oublié de te rappeler ». L’application Téléphone comprend une nouvelle fonctionnalité pour ne pas oublier de rappeler un correspondant.

Dans la liste des appels, il faut faire glisser vers la gauche l’appel manqué, puis appuyer sur l’icône d’horloge et choisir l’heure du rappel (dans une heure, ce soir, demain ou personnalisé). Au moment voulu, une notification vous remettra en tête de rappeler votre correspondant.

Création d’un rappel téléphonique. Image iGeneration.

Si vous avez activé la nouvelle interface unifiée de Téléphone, le rappel apparaitra en haut de la liste, dans une nouvelle section nommée « Rappels ». Si vous êtes resté sur l’interface classique, le rappel remontera aussi en haut de la liste, mais il ne sera pas bien démarqué des appels récents. Cela évoluera peut-être avec les prochaines bêtas d’iOS 26.

Cette fonction ne concerne pas seulement les appels manqués, vous pouvez très bien définir un rappel pour une conversation téléphonique que vous avez tenue et qui mérite une suite.

Le rappel est visible dans l’app Rappels. Image iGeneration.

En plus de l’application Téléphone, le rappel créé est visible dans l’application Rappels. La notification reçue vient d’ailleurs de l’app Rappels, et non de Téléphone. Si vous fermez un rappel téléphonique dans une app, il est fermé automatiquement dans l’autre.

L’application Téléphone d’iOS 26 comprend d’autres nouveautés que nous avons présentées dans l’article suivant :

Découverte de Téléphone dans iOS 26 : nouvelle interface, appels inconnus, portages sur l’iPad et le Mac

Découverte de Téléphone dans iOS 26 : nouvelle interface, appels inconnus, portages sur l’iPad et le Mac

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iOS 26 : créez un rappel depuis Téléphone pour ne plus zapper de rappeler

Après avoir installé iOS 26, vous ne pourrez plus dire à vos collègues « oups, désolé, j’ai oublié de te rappeler ». L’application Téléphone comprend une nouvelle fonctionnalité pour ne pas oublier de rappeler un correspondant.

Dans la liste des appels, il faut faire glisser vers la gauche l’appel manqué, puis appuyer sur l’icône d’horloge et choisir l’heure du rappel (dans une heure, ce soir, demain ou personnalisé). Au moment voulu, une notification vous remettra en tête de rappeler votre correspondant.

Création d’un rappel téléphonique. Image iGeneration.

Si vous avez activé la nouvelle interface unifiée de Téléphone, le rappel apparaitra en haut de la liste, dans une nouvelle section nommée « Rappels ». Si vous êtes resté sur l’interface classique, le rappel remontera aussi en haut de la liste, mais il ne sera pas bien démarqué des appels récents. Cela évoluera peut-être avec les prochaines bêtas d’iOS 26.

Cette fonction ne concerne pas seulement les appels manqués, vous pouvez très bien définir un rappel pour une conversation téléphonique que vous avez tenue et qui mérite une suite.

Le rappel est visible dans l’app Rappels. Image iGeneration.

En plus de l’application Téléphone, le rappel créé est visible dans l’application Rappels. La notification reçue vient d’ailleurs de l’app Rappels, et non de Téléphone. Si vous fermez un rappel téléphonique dans une app, il est fermé automatiquement dans l’autre.

L’application Téléphone d’iOS 26 comprend d’autres nouveautés que nous avons présentées dans l’article suivant :

Découverte de Téléphone dans iOS 26 : nouvelle interface, appels inconnus, portages sur l’iPad et le Mac

Découverte de Téléphone dans iOS 26 : nouvelle interface, appels inconnus, portages sur l’iPad et le Mac

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Soldes : l’iPad 10 de base à 299 €, la version 256 Go à 379 €

En deux ans et demi, le prix de l’iPad de 10e génération a été quasiment divisé par deux. Cette tablette est désormais vendue 299 € sur Amazon ainsi que chez Fnac - Darty. La version de base dispose de 64 Go de stockage. Ce n’est pas énorme, mais ça peut faire suffire si vous n’installez pas beaucoup d’applications.

iPad 10. Image iGeneration.

Autrement, la version 256 Go est en promotion à 379 € sur Amazon en coloris jaune. Avec cette capacité, il n’y a plus tellement de soucis à se faire sur l’espace disponible. L’iPad 10 embarque une puce A14 et 4 Go de RAM. Ce n’est pas suffisant pour faire tourner Apple Intelligence, mais ça l’est encore pour les usages les plus courants sur une tablette : Netflix, navigation web, email… Cet iPad a une webcam bien positionnée pour les visios et se recharge en USB-C.

Il y a une chose à prendre en compte : à 379 €, on entre dans la zone tarifaire de l’iPad A16, le modèle d’entrée de gamme de dernière génération. Celui-ci est vendu 389 € avec 128 Go de stockage. Il se distingue uniquement de l’iPad 10 par sa puce plus récente. L’A16 devrait offrir quelques années supplémentaires de mises à jour à l’appareil, mais il ne lui offre pas Apple Intelligence.

Test de l’iPad 10 : une tablette qui manque un peu d’Air

Test de l’iPad 10 : une tablette qui manque un peu d’Air

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Soldes : l’iPad 10 de base à 299 €, la version 256 Go à 379 €

En deux ans et demi, le prix de l’iPad de 10e génération a été quasiment divisé par deux. Cette tablette est désormais vendue 299 € sur Amazon ainsi que chez Fnac - Darty. La version de base dispose de 64 Go de stockage. Ce n’est pas énorme, mais ça peut faire suffire si vous n’installez pas beaucoup d’applications.

iPad 10. Image iGeneration.

Autrement, la version 256 Go est en promotion à 379 € sur Amazon en coloris jaune. Avec cette capacité, il n’y a plus tellement de soucis à se faire sur l’espace disponible. L’iPad 10 embarque une puce A14 et 4 Go de RAM. Ce n’est pas suffisant pour faire tourner Apple Intelligence, mais ça l’est encore pour les usages les plus courants sur une tablette : Netflix, navigation web, email… Cet iPad a une webcam bien positionnée pour les visios et se recharge en USB-C.

Il y a une chose à prendre en compte : à 379 €, on entre dans la zone tarifaire de l’iPad A16, le modèle d’entrée de gamme de dernière génération. Celui-ci est vendu 389 € avec 128 Go de stockage. Il se distingue uniquement de l’iPad 10 par sa puce plus récente. L’A16 devrait offrir quelques années supplémentaires de mises à jour à l’appareil, mais il ne lui offre pas Apple Intelligence.

Test de l’iPad 10 : une tablette qui manque un peu d’Air

Test de l’iPad 10 : une tablette qui manque un peu d’Air

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AirPods liés à iOS 26 : un nouveau clignotement en début de charge

En plus de la fonction télécommande de l’appareil photo de l’iPhone, les AirPods liés à iOS 26 semblent avoir un nouveau comportement lors de la recharge. Jusque-là, lorsque l’on posait le boîtier sur un chargeur sans fil ou qu’on le branchait à un câble, son voyant s’allumait en orange pendant quelques secondes, puis s’éteignait.

Ancien signal pour la recharge : le voyant est orange fixe. Vidéo WatchGeneration.

Avec les firmwares en bêta liés à iOS 26, nous avons remarqué un petit changement : le témoin lumineux clignote désormais en orange pendant une dizaine de secondes avant de s’éteindre. Nous avons noté ce changement sur des AirPods 4 et des AirPods Pro 2 dotés des firmwares 8A5279d et 8A293c.

Nouveau signal pour la recharge : le voyant clignote en orange. Vidéo WatchGeneration.

Apple n’a pas communiqué sur cette modification, qui vise peut-être à indiquer plus clairement que la recharge a bien démarré. Ce n’est pas révolutionnaire, mais vous êtes au courant.

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AirPods liés à iOS 26 : un nouveau clignotement en début de charge

En plus de la fonction télécommande de l’appareil photo de l’iPhone, les AirPods liés à iOS 26 semblent avoir un nouveau comportement lors de la recharge. Jusque-là, lorsque l’on posait le boîtier sur un chargeur sans fil ou qu’on le branchait à un câble, son voyant s’allumait en orange pendant quelques secondes, puis s’éteignait.

Ancien signal pour la recharge : le voyant est orange fixe. Vidéo WatchGeneration.

Avec les firmwares en bêta liés à iOS 26, nous avons remarqué un petit changement : le témoin lumineux clignote désormais en orange pendant une dizaine de secondes avant de s’éteindre. Nous avons noté ce changement sur des AirPods 4 et des AirPods Pro 2 dotés des firmwares 8A5279d et 8A293c.

Nouveau signal pour la recharge : le voyant clignote en orange. Vidéo WatchGeneration.

Apple n’a pas communiqué sur cette modification, qui vise peut-être à indiquer plus clairement que la recharge a bien démarré. Ce n’est pas révolutionnaire, mais vous êtes au courant.

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Proton se joint à une plainte contre Apple pour pratiques anticoncurrentielles

Après des années de contrariétés, Proton se décide à attaquer frontalement Apple en justice. L’organisation suisse annonce rejoindre un recours collectif aux États-Unis visant la Pomme pour pratiques anticoncurrentielles. Intentée par des développeurs en mai, cette plainte vise à assouplir les règles de l’App Store ainsi qu’à obtenir des dommages et intérêts pour les préjudices commerciaux subits. En cas de victoire, Proton assure que sa part sera reversée à des organisations de défense des droits humains.

L’éditeur dénonce en particulier la commission de 30 % imposée par Apple sur les achats dans l’App Store ainsi que son monopole sur la distribution des apps iOS. Autant de choses qui sont en train d’être remises en cause par le DMA en Europe, mais qui restent en vigueur aux États-Unis et dans la plupart des autres pays.

Proton se plaint par exemple d’avoir dû retirer la mention « débloque les sites censurés » de la description de son VPN, sous peine de le voir rejeté. « Le contrôle total d’Apple sur l’App Store lui a donné un pouvoir dangereux sur la distribution des applications, lui permettant de décider quelles apps peuvent ou non être distribuées dans différents marchés », déclare l’éditeur.

Apple est déjà contrainte de revoir ses pratiques aux États-Unis sous la pression du procès intenté par Epic. Et bientôt, c’est le département de la Justice qui pourrait l’obliger à desserrer davantage son emprise.

États-Unis : Apple n’échappera pas au procès pour abus de position dominante

États-Unis : Apple n’échappera pas au procès pour abus de position dominante

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Proton se joint à une plainte contre Apple pour pratiques anticoncurrentielles

Après des années de contrariétés, Proton se décide à attaquer frontalement Apple en justice. L’organisation suisse annonce rejoindre un recours collectif aux États-Unis visant la Pomme pour pratiques anticoncurrentielles. Intentée par des développeurs en mai, cette plainte vise à assouplir les règles de l’App Store ainsi qu’à obtenir des dommages et intérêts pour les préjudices commerciaux subits. En cas de victoire, Proton assure que sa part sera reversée à des organisations de défense des droits humains.

L’éditeur dénonce en particulier la commission de 30 % imposée par Apple sur les achats dans l’App Store ainsi que son monopole sur la distribution des apps iOS. Autant de choses qui sont en train d’être remises en cause par le DMA en Europe, mais qui restent en vigueur aux États-Unis et dans la plupart des autres pays.

Proton se plaint par exemple d’avoir dû retirer la mention « débloque les sites censurés » de la description de son VPN, sous peine de le voir rejeté. « Le contrôle total d’Apple sur l’App Store lui a donné un pouvoir dangereux sur la distribution des applications, lui permettant de décider quelles apps peuvent ou non être distribuées dans différents marchés », déclare l’éditeur.

Apple est déjà contrainte de revoir ses pratiques aux États-Unis sous la pression du procès intenté par Epic. Et bientôt, c’est le département de la Justice qui pourrait l’obliger à desserrer davantage son emprise.

États-Unis : Apple n’échappera pas au procès pour abus de position dominante

États-Unis : Apple n’échappera pas au procès pour abus de position dominante

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États-Unis : Apple n’échappera pas au procès pour abus de position dominante

Le grand procès américain contre Apple pour abus de position dominante aura bien lieu. Le juge Julien Xavier Neals, qui supervise l’affaire, a rejeté la demande de l’entreprise visant à faire annuler toute la procédure.

Apple Store de Milan. Image Guilhem Vellut (CC BY).

Apple arguait que le département de la Justice (DOJ) n’avait pas démontré de comportement anticoncurrentiel de sa part, de préjudice pour les consommateurs ou encore de situation de monopole sur le marché américain des smartphones. Le juge a estimé au contraire que les premiers éléments fournis étaient suffisants pour faire avancer le dossier.

Le DOJ accuse notamment Apple de mettre des bâtons dans les roues de ses concurrents qui tentent de s’appuyer sur l’iPhone pour le bien de leurs propres produits ou services. Parmi les griefs, il y a le manque d’interopérabilité de l’iPhone avec les montres connectées tierces, une récrimination partagée par la Commission européenne dans le cadre du DMA.

Le département de la Justice des États-Unis attaque Apple pour abus de position dominante

Le département de la Justice des États-Unis attaque Apple pour abus de position dominante

La date du procès n’a pas encore été fixée, mais cela ne devrait pas être pour tout de suite. La procédure est bien partie pour durer des années, car Apple ne compte rien lâcher. « Nous pensons que cette action n’est justifiée ni par la loi ni par les faits, et nous allons continuer de nous y opposer fermement devant le tribunal », a réagi un porte-parole d’Apple après la décision du juge Julien Xavier Neals.

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États-Unis : Apple n’échappera pas au procès pour abus de position dominante

Le grand procès américain contre Apple pour abus de position dominante aura bien lieu. Le juge Julien Xavier Neals, qui supervise l’affaire, a rejeté la demande de l’entreprise visant à faire annuler toute la procédure.

Apple Store de Milan. Image Guilhem Vellut (CC BY).

Apple arguait que le département de la Justice (DOJ) n’avait pas démontré de comportement anticoncurrentiel de sa part, de préjudice pour les consommateurs ou encore de situation de monopole sur le marché américain des smartphones. Le juge a estimé au contraire que les premiers éléments fournis étaient suffisants pour faire avancer le dossier.

Le DOJ accuse notamment Apple de mettre des bâtons dans les roues de ses concurrents qui tentent de s’appuyer sur l’iPhone pour le bien de leurs propres produits ou services. Parmi les griefs, il y a le manque d’interopérabilité de l’iPhone avec les montres connectées tierces, une récrimination partagée par la Commission européenne dans le cadre du DMA.

Le département de la Justice des États-Unis attaque Apple pour abus de position dominante

Le département de la Justice des États-Unis attaque Apple pour abus de position dominante

La date du procès n’a pas encore été fixée, mais cela ne devrait pas être pour tout de suite. La procédure est bien partie pour durer des années, car Apple ne compte rien lâcher. « Nous pensons que cette action n’est justifiée ni par la loi ni par les faits, et nous allons continuer de nous y opposer fermement devant le tribunal », a réagi un porte-parole d’Apple après la décision du juge Julien Xavier Neals.

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Google Agenda dispose enfin d’une app Apple Watch

À l’instar de Snapchat, Google s’est subitement souvenu qu’Apple proposait une montre connectée sur laquelle on pouvait installer des applications. Google Agenda bénéficie ainsi tout juste d’une version watchOS. Celle-ci liste simplement les rendez-vous notés ainsi que les tâches enregistrées dans Google Tasks.

Google Agenda sur Apple Watch. Image WatchGeneration.

Contrairement à l’app Calendrier d’Apple, il est impossible de créer des événements depuis la montre. Et pour consulter les détails d’un rendez-vous, Google redirige vers l’iPhone.

Google Agenda offre deux complications pour les cadrans. L’une permet de voir le prochain événement prévu et l’autre affiche la date. L’application s’intègre par ailleurs à la Smart Stack de watchOS par le biais d’un widget.

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Google Agenda dispose enfin d’une app Apple Watch

À l’instar de Snapchat, Google s’est subitement souvenu qu’Apple proposait une montre connectée sur laquelle on pouvait installer des applications. Google Agenda bénéficie ainsi tout juste d’une version watchOS. Celle-ci liste simplement les rendez-vous notés ainsi que les tâches enregistrées dans Google Tasks.

Google Agenda sur Apple Watch. Image WatchGeneration.

Contrairement à l’app Calendrier d’Apple, il est impossible de créer des événements depuis la montre. Et pour consulter les détails d’un rendez-vous, Google redirige vers l’iPhone.

Google Agenda offre deux complications pour les cadrans. L’une permet de voir le prochain événement prévu et l’autre affiche la date. L’application s’intègre par ailleurs à la Smart Stack de watchOS par le biais d’un widget.

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Un MacBook avec une puce A18 Pro repéré dans du code d’Apple

La piste d’un futur MacBook doté d’une puce d’iPhone s’épaissit déjà. MacRumors affirme avoir déniché dans du code d’Apple une référence à un Mac équipé d’une puce A18 Pro, celle-là même qui est au cœur des iPhone 16 Pro. La mention a été trouvée dès l’été dernier dans du code lié à Apple Intelligence. La machine porte l’identifiant Mac17,1.

Image Apple

C’est l’analyste Ming-Chi Kuo qui a le premier lancé le bal des rumeurs en affirmant qu’Apple préparait un MacBook muni d’une puce A18 Pro. Selon lui, ce serait un moyen de proposer un ordinateur portable plus accessible. Actuellement, le MacBook Air M4 démarre à 1 199 € chez Apple, mais son tarif descend autour de 1 000 € chez les revendeurs et ses prédécesseurs sont encore moins chers.

Quoi qu’il en soit, si ce projet venait à se concrétiser, un Mac doté d’une puce Ax serait bien sûr inédit. L’A18 Pro des iPhone 16 Pro est à peu près équivalent au M1 des premiers Mac Apple Silicon en matière de puissance.

MacBook : jusqu’où Apple ira-t-elle pour casser les prix ?

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Un MacBook avec une puce A18 Pro repéré dans du code d’Apple

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Image Apple

C’est l’analyste Ming-Chi Kuo qui a le premier lancé le bal des rumeurs en affirmant qu’Apple préparait un MacBook muni d’une puce A18 Pro. Selon lui, ce serait un moyen de proposer un ordinateur portable plus accessible. Actuellement, le MacBook Air M4 démarre à 1 199 € chez Apple, mais son tarif descend autour de 1 000 € chez les revendeurs et ses prédécesseurs sont encore moins chers.

Quoi qu’il en soit, si ce projet venait à se concrétiser, un Mac doté d’une puce Ax serait bien sûr inédit. L’A18 Pro des iPhone 16 Pro est à peu près équivalent au M1 des premiers Mac Apple Silicon en matière de puissance.

MacBook : jusqu’où Apple ira-t-elle pour casser les prix ?

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10 ans d’Apple Music : programmation spéciale et Replay All Time sur le service

Alors qu’Apple vient tout juste de fêter les 20 ans du podcasting, elle continue les célébrations avec Apple Music. Le service de streaming musique a en effet été lancé il y a dix ans jour pour jour. Pour l’occasion, la firme de Cupertino annonce l’ouverture cet été à Los Angeles d’un tout nouveau studio dédié à la production musicale.

Le futur complexe musical d’Apple Music à Los Angeles. Image Apple.

Plus qu’un studio, il s’agira d’un véritable complexe créatif de près de 1 400 m2 pensé pour les artistes et leur promotion. Le centre comprendra notamment deux salles de radio, un plateau de 370 m2 pour des concerts ou des évènements, une salle de mixage dédiée à l’audio spatial et des cabines acoustiques pour s’isoler du reste.

Plus proche de nous, Apple annonce une programmation spéciale sur Apple Music Radio dès aujourd’hui, avec pour commencer l’émission Don’t Be Boring: The Birth of Apple Music Radio with Zane Lowe and Ebro Darden qui reviendra sur la naissance de la radio du service. Suivra 10 Years of Apple Music, un programme s’étalant sur huit heures qui retracera les grands moments de la plateforme.

Le nouveau Replay exhaustif lancé à l'occasion du dixième anniversaire d'Apple Music. Image iGeneration.

Enfin, Apple Music accueille le Replay All Time, une liste de lecture qui se distingue du traditionnel Replay annuel en permettant aux abonnés de voir et d’écouter les morceaux qu’ils ont le plus écoutés depuis leur souscription.

Il y a dix ans, Apple casquait pour Beats

Il y a dix ans, Apple casquait pour Beats

Les services de musique ne devraient pas proposer d’offre gratuite, selon le patron d’Apple Music

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10 ans d’Apple Music : programmation spéciale et Replay All Time sur le service

Alors qu’Apple vient tout juste de fêter les 20 ans du podcasting, elle continue les célébrations avec Apple Music. Le service de streaming musique a en effet été lancé il y a dix ans jour pour jour. Pour l’occasion, la firme de Cupertino annonce l’ouverture cet été à Los Angeles d’un tout nouveau studio dédié à la production musicale.

Le futur complexe musical d’Apple Music à Los Angeles. Image Apple.

Plus qu’un studio, il s’agira d’un véritable complexe créatif de près de 1 400 m2 pensé pour les artistes et leur promotion. Le centre comprendra notamment deux salles de radio, un plateau de 370 m2 pour des concerts ou des évènements, une salle de mixage dédiée à l’audio spatial et des cabines acoustiques pour s’isoler du reste.

Plus proche de nous, Apple annonce une programmation spéciale sur Apple Music Radio dès aujourd’hui, avec pour commencer l’émission Don’t Be Boring: The Birth of Apple Music Radio with Zane Lowe and Ebro Darden qui reviendra sur la naissance de la radio du service. Suivra 10 Years of Apple Music, un programme s’étalant sur huit heures qui retracera les grands moments de la plateforme.

Le nouveau Replay exhaustif lancé à l'occasion du dixième anniversaire d'Apple Music. Image iGeneration.

Enfin, Apple Music accueille le Replay All Time, une liste de lecture qui se distingue du traditionnel Replay annuel en permettant aux abonnés de voir et d’écouter les morceaux qu’ils ont le plus écoutés depuis leur souscription.

Il y a dix ans, Apple casquait pour Beats

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Les services de musique ne devraient pas proposer d’offre gratuite, selon le patron d’Apple Music

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Proton Pass ne se limite plus aux mots de passe

Parti après les autres, Proton Pass est en train de rattraper son retard sur la concurrence. Le coffre-fort de Proton gagne finalement en flexibilité : en plus des mots de passe, il peut stocker 14 nouveaux types d’éléments.

Proton Pass sur iPhone. Image MacGeneration.

Réseaux Wi-Fi, licences de logiciels, comptes bancaires, passeports ou encore numéros de sécurité sociale peuvent être enregistrés comme il se doit dans ce service chiffré de bout en bout. Chaque élément peut être accompagné d’une ou plusieurs pièces jointes faisant jusqu’à 10 Go. Si les différentes sections préétablies ne conviennent pas, on peut personnaliser tous les champs à sa guise.

Deux ans après ses débuts, Proton Pass est devenu un coffre-fort numérique assez complet. Il comprend les fonctionnalités essentielles (générateur de mots de passe robustes, remplissage automatique, partage…) et dispose d’applications pour toutes les plateformes ainsi que d’extensions pour les principaux navigateurs. Proton Pass n’est pas aussi avancé que 1Password ou aussi à son aise sur les plateformes Apple que Secrets, mais sa formule gratuite et son intégration aux offres de Proton peuvent être des arguments en sa faveur.

La formule gratuite permet de stocker un nombre illimité de mots de passe sur autant d’appareils qu’on le souhaite, mais le déverrouillage avec Touch ID n’est pas possible sur Mac. L’offre payante enlève cette limitation et ajoute plusieurs avantages (nombre illimité d'alias email, partage de coffre-fort…). L’abonnement individuel Proton Pass Plus coûte 2,99 €/mois avec un engagement d’un an. Autrement, le service est inclus dans le bouquet Proton Unlimited à 9,99 €/mois qui comprend aussi les versions premium de Proton Mail, Proton VPN, etc.

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Proton Pass ne se limite plus aux mots de passe

Parti après les autres, Proton Pass est en train de rattraper son retard sur la concurrence. Le coffre-fort de Proton gagne finalement en flexibilité : en plus des mots de passe, il peut stocker 14 nouveaux types d’éléments.

Proton Pass sur iPhone. Image MacGeneration.

Réseaux Wi-Fi, licences de logiciels, comptes bancaires, passeports ou encore numéros de sécurité sociale peuvent être enregistrés comme il se doit dans ce service chiffré de bout en bout. Chaque élément peut être accompagné d’une ou plusieurs pièces jointes faisant jusqu’à 10 Go. Si les différentes sections préétablies ne conviennent pas, on peut personnaliser tous les champs à sa guise.

Deux ans après ses débuts, Proton Pass est devenu un coffre-fort numérique assez complet. Il comprend les fonctionnalités essentielles (générateur de mots de passe robustes, remplissage automatique, partage…) et dispose d’applications pour toutes les plateformes ainsi que d’extensions pour les principaux navigateurs. Proton Pass n’est pas aussi avancé que 1Password ou aussi à son aise sur les plateformes Apple que Secrets, mais sa formule gratuite et son intégration aux offres de Proton peuvent être des arguments en sa faveur.

La formule gratuite permet de stocker un nombre illimité de mots de passe sur autant d’appareils qu’on le souhaite, mais le déverrouillage avec Touch ID n’est pas possible sur Mac. L’offre payante enlève cette limitation et ajoute plusieurs avantages (nombre illimité d'alias email, partage de coffre-fort…). L’abonnement individuel Proton Pass Plus coûte 2,99 €/mois avec un engagement d’un an. Autrement, le service est inclus dans le bouquet Proton Unlimited à 9,99 €/mois qui comprend aussi les versions premium de Proton Mail, Proton VPN, etc.

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En plus du permis, France Identité accueille officiellement la carte grise de votre véhicule

Après une petite période de bêta-test, l’intégration de la carte grise dans France Identité est disponible pour tous les utilisateurs. À cette occasion, le gouvernement donne des précisions sur ce nouveau document numérique.

Vous pouvez importer la carte grise de votre véhicule si vous en êtes titulaire, co-titulaire ou locataire privé, y compris en leasing. L’import n’est pas possible si le véhicule est enregistré au nom de votre entreprise. Concernant le véhicule lui-même, il doit avoir une immatriculation française au format AA-123-AA (immatriculations après 2009) et appartenir à l’une des catégories suivantes : voitures ; tricycles et quadricycles motorisés ; cyclomoteurs à deux ou trois roues ; ou motocyclettes.

Pour importer votre carte grise dans France Identité, assurez-vous d’abord d’avoir la dernière mise à jour de l’application (version 1.3.3901). Sur l’écran d’accueil, touchez le bouton +, puis renseignez les informations de votre certificat d’immatriculation, saisissez votre code personnel France Identité et enfin scannez votre carte d’identité via NFC.

Grâce à cette nouveauté, vous pourrez donc utiliser votre iPhone pour présenter votre carte grise aux forces de l’ordre lors d’un contrôle routier. Pour rappel, vous pouvez également importer votre permis de conduire dans France Identité, qu’il soit au nouveau format comme à l’ancien.

Au passage, l’écran d’accueil de l’application a été revu : le permis de conduire n’est plus caché derrière la carte d’identité dématérialisée, il est mis en avant dans une nouvelle section « Cartes numériques », qui comprend aussi la carte grise. De plus, la vérification du contrôle du billet dans les trains fonctionne désormais avec les Ouigo.

Pour pouvoir utiliser l’application France Identité, vous devez obligatoirement l’activer avec la nouvelle carte d’identité au format carte bancaire. Si vous ne l’avez pas encore, vous pouvez demander le renouvellement anticipé de votre carte d’identité sous certaines conditions. France Identité compte désormais 2,2 millions d'utilisateurs.

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En plus du permis, France Identité accueille officiellement la carte grise de votre véhicule

Après une petite période de bêta-test, l’intégration de la carte grise dans France Identité est disponible pour tous les utilisateurs. À cette occasion, le gouvernement donne des précisions sur ce nouveau document numérique.

Vous pouvez importer la carte grise de votre véhicule si vous en êtes titulaire, co-titulaire ou locataire privé, y compris en leasing. L’import n’est pas possible si le véhicule est enregistré au nom de votre entreprise. Concernant le véhicule lui-même, il doit avoir une immatriculation française au format AA-123-AA (immatriculations après 2009) et appartenir à l’une des catégories suivantes : voitures ; tricycles et quadricycles motorisés ; cyclomoteurs à deux ou trois roues ; ou motocyclettes.

Pour importer votre carte grise dans France Identité, assurez-vous d’abord d’avoir la dernière mise à jour de l’application (version 1.3.3901). Sur l’écran d’accueil, touchez le bouton +, puis renseignez les informations de votre certificat d’immatriculation, saisissez votre code personnel France Identité et enfin scannez votre carte d’identité via NFC.

Grâce à cette nouveauté, vous pourrez donc utiliser votre iPhone pour présenter votre carte grise aux forces de l’ordre lors d’un contrôle routier. Pour rappel, vous pouvez également importer votre permis de conduire dans France Identité, qu’il soit au nouveau format comme à l’ancien.

Au passage, l’écran d’accueil de l’application a été revu : le permis de conduire n’est plus caché derrière la carte d’identité dématérialisée, il est mis en avant dans une nouvelle section « Cartes numériques », qui comprend aussi la carte grise. De plus, la vérification du contrôle du billet dans les trains fonctionne désormais avec les Ouigo.

Pour pouvoir utiliser l’application France Identité, vous devez obligatoirement l’activer avec la nouvelle carte d’identité au format carte bancaire. Si vous ne l’avez pas encore, vous pouvez demander le renouvellement anticipé de votre carte d’identité sous certaines conditions. France Identité compte désormais 2,2 millions d'utilisateurs.

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« F1 » : un démarrage en trombe au box-office et déjà un goût de victoire pour Apple

Départ réussi pour F1 le film. La superproduction d’Apple a pris la tête du box office nord-américain en engrangeant 56 millions de dollars de recettes durant son week-end de lancement. Le démarrage est tout aussi bon à l’international, avec des revenus estimés à 89 millions de dollars. En France, le film a fait près de 160 000 entrées lors de son premier jour d’exploitation (en comptant les avant-premières), ce qui en fait le cinquième meilleur lancement de l’année.

Brad Pitt, Lewis Hamilton, Tim Cook et Damson Idris. Image Apple.

Propulsé par une campagne marketing massive, F1 est bien parti pour être le plus gros succès d’Apple dans les salles obscures. Napoléon, qui avait amassé au total 221 millions de dollars de recettes dans le monde, devrait rapidement se faire doubler par Brad Pitt, qui en est déjà à 145 millions en moins d’une semaine.

« "F1" a captivé le public du monde entier avec son histoire d’outsider et son savant mélange de courses palpitantes et de narration centrée sur l’humain, a commenté Zack Van Amburg, coresponsable des productions vidéo d’Apple. Le démarrage exceptionnel du film reflète à la fois l’engouement pour la Formule 1 et l'histoire profondément émouvante et divertissante imaginée par l'ensemble des acteurs et de l'équipe créative. »

« Nous sommes ravis de l’accueil réservé à "F1" dans le monde entier. […] Ce succès témoigne de la vision de Joe [Kosinski, le réalisateur], Jerry [Bruckheimer, producteur], Brad [Pitt] et Lewis [Hamilton, producteur et champion de F1], ainsi que des efforts de toute la distribution et de l’équipe technique », a appuyé Jamie Erlicht, l’autre responsable d’Apple Worldwide Video.

Quant à savoir si Apple va gagner de l’argent avec ce film, c’est une autre affaire. Elle aurait dépensé 250 millions de dollars dans sa production, sans compter les dépenses engagées dans le marketing, estimées à au moins 125 millions de dollars. Et comme la distribution dans les cinémas est assurée par Warner Bros, ce dernier reçoit un pourcentage sur chaque entrée. Apple pourrait se passer de ce genre de partenaire à l’avenir en gérant elle-même la distribution.

Si F1 poursuit sur sa lancée, il n’est pas impossible que Sonny Hayes rempile pour de nouveaux Grands Prix. « J’ai des idées, oui. Mais c’est au public de décider s’il a envie d’en voir plus, a répondu le réalisateur Joseph Kosinski à Entertainment Weekly. J’ai adoré créer notre propre écurie de F1. Et j’adorerais savoir ce que l’avenir réserve à APXGP et à Sonny Hayes. »

Avec « F1 », Tim Cook rêve d’un nouveau « Top Gun » qui propulsera Apple TV+

Avec « F1 », Tim Cook rêve d’un nouveau « Top Gun » qui propulsera Apple TV+

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« F1 » : un démarrage en trombe au box-office et déjà un goût de victoire pour Apple

Départ réussi pour F1 le film. La superproduction d’Apple a pris la tête du box office nord-américain en engrangeant 56 millions de dollars de recettes durant son week-end de lancement. Le démarrage est tout aussi bon à l’international, avec des revenus estimés à 89 millions de dollars. En France, le film a fait près de 160 000 entrées lors de son premier jour d’exploitation (en comptant les avant-premières), ce qui en fait le cinquième meilleur lancement de l’année.

Brad Pitt, Lewis Hamilton, Tim Cook et Damson Idris. Image Apple.

Propulsé par une campagne marketing massive, F1 est bien parti pour être le plus gros succès d’Apple dans les salles obscures. Napoléon, qui avait amassé au total 221 millions de dollars de recettes dans le monde, devrait rapidement se faire doubler par Brad Pitt, qui en est déjà à 145 millions en moins d’une semaine.

« "F1" a captivé le public du monde entier avec son histoire d’outsider et son savant mélange de courses palpitantes et de narration centrée sur l’humain, a commenté Zack Van Amburg, coresponsable des productions vidéo d’Apple. Le démarrage exceptionnel du film reflète à la fois l’engouement pour la Formule 1 et l'histoire profondément émouvante et divertissante imaginée par l'ensemble des acteurs et de l'équipe créative. »

« Nous sommes ravis de l’accueil réservé à "F1" dans le monde entier. […] Ce succès témoigne de la vision de Joe [Kosinski, le réalisateur], Jerry [Bruckheimer, producteur], Brad [Pitt] et Lewis [Hamilton, producteur et champion de F1], ainsi que des efforts de toute la distribution et de l’équipe technique », a appuyé Jamie Erlicht, l’autre responsable d’Apple Worldwide Video.

Quant à savoir si Apple va gagner de l’argent avec ce film, c’est une autre affaire. Elle aurait dépensé 250 millions de dollars dans sa production, sans compter les dépenses engagées dans le marketing, estimées à au moins 125 millions de dollars. Et comme la distribution dans les cinémas est assurée par Warner Bros, ce dernier reçoit un pourcentage sur chaque entrée. Apple pourrait se passer de ce genre de partenaire à l’avenir en gérant elle-même la distribution.

Si F1 poursuit sur sa lancée, il n’est pas impossible que Sonny Hayes rempile pour de nouveaux Grands Prix. « J’ai des idées, oui. Mais c’est au public de décider s’il a envie d’en voir plus, a répondu le réalisateur Joseph Kosinski à Entertainment Weekly. J’ai adoré créer notre propre écurie de F1. Et j’adorerais savoir ce que l’avenir réserve à APXGP et à Sonny Hayes. »

Avec « F1 », Tim Cook rêve d’un nouveau « Top Gun » qui propulsera Apple TV+

Avec « F1 », Tim Cook rêve d’un nouveau « Top Gun » qui propulsera Apple TV+

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Extensions Safari : Apple lève une barrière majeure pour les développeurs

Les développeurs web ont finalement été entendus. En marge de la WWDC 2025, Apple a annoncé qu’il n’était plus nécessaire de passer par Xcode ni même d’avoir un Mac pour distribuer une extension pour Safari. Ce changement majeur devrait favoriser l’apparition de nouveaux modules pour le navigateur.

Les extensions Safari sont disponibles sur l’App Store. Image MacGeneration.

En théorie, les développeurs peuvent porter facilement leurs extensions Chrome ou Firefox vers Safari depuis plusieurs années, car ces trois navigateurs prennent en charge WebExtensions, un socle commun pour les modules. Mais dans la pratique, ces portages ont été freinés par le barda imposé jusque-là par Apple.

Alors que Google et Mozilla permettent de mettre en ligne très facilement une extension pour leur navigateur respectif, la Pomme demandait d’empaqueter l’extension au sein d’une application par le biais de Xcode, et donc d’un Mac. Or, les créateurs d’extensions n’ont pas forcément les moyens ou l’envie de s’acheter un nouvel ordinateur rien que pour ça.

« Je refusais d'acheter un Mac et payer une licence pour avoir la possibilité de distribuer l'extension. C’est suite à une donation généreuse de Zotero [un logiciel de bibliographie, ndlr], qui utilise SingleFile pour sauver les pages web, que j'ai changé d'avis », nous racontait Gildas Lormeau à propos du portage de son extension SingleFile sur Safari.

L’extension SingleFile arrive enfin sur Safari après un don et des efforts

L’extension SingleFile arrive enfin sur Safari après un don et des efforts

Cette exigence est maintenant de l’histoire ancienne. Les développeurs peuvent désormais empaqueter et distribuer leurs extensions par l’intermédiaire du portail web App Store Connect. Pour les utilisateurs, cela ne change rien : les extensions sont toujours distribuées exclusivement sur l’App Store.

Il reste toutefois une charge pour les développeurs : Apple impose l’adhésion à son programme développeur qui coûte 99 $/an, quand Google fait payer juste 5 $ et Mozilla n’impose aucun frais pour la distribution d’extensions.

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Extensions Safari : Apple lève une barrière majeure pour les développeurs

Les développeurs web ont finalement été entendus. En marge de la WWDC 2025, Apple a annoncé qu’il n’était plus nécessaire de passer par Xcode ni même d’avoir un Mac pour distribuer une extension pour Safari. Ce changement majeur devrait favoriser l’apparition de nouveaux modules pour le navigateur.

Les extensions Safari sont disponibles sur l’App Store. Image MacGeneration.

En théorie, les développeurs peuvent porter facilement leurs extensions Chrome ou Firefox vers Safari depuis plusieurs années, car ces trois navigateurs prennent en charge WebExtensions, un socle commun pour les modules. Mais dans la pratique, ces portages ont été freinés par le barda imposé jusque-là par Apple.

Alors que Google et Mozilla permettent de mettre en ligne très facilement une extension pour leur navigateur respectif, la Pomme demandait d’empaqueter l’extension au sein d’une application par le biais de Xcode, et donc d’un Mac. Or, les créateurs d’extensions n’ont pas forcément les moyens ou l’envie de s’acheter un nouvel ordinateur rien que pour ça.

« Je refusais d'acheter un Mac et payer une licence pour avoir la possibilité de distribuer l'extension. C’est suite à une donation généreuse de Zotero [un logiciel de bibliographie, ndlr], qui utilise SingleFile pour sauver les pages web, que j'ai changé d'avis », nous racontait Gildas Lormeau à propos du portage de son extension SingleFile sur Safari.

L’extension SingleFile arrive enfin sur Safari après un don et des efforts

L’extension SingleFile arrive enfin sur Safari après un don et des efforts

Cette exigence est maintenant de l’histoire ancienne. Les développeurs peuvent désormais empaqueter et distribuer leurs extensions par l’intermédiaire du portail web App Store Connect. Pour les utilisateurs, cela ne change rien : les extensions sont toujours distribuées exclusivement sur l’App Store.

Il reste toutefois une charge pour les développeurs : Apple impose l’adhésion à son programme développeur qui coûte 99 $/an, quand Google fait payer juste 5 $ et Mozilla n’impose aucun frais pour la distribution d’extensions.

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iPhone 17 Air : un petit changement pour la caméra TrueDepth ?

L’iPhone 17 Air pourrait avoir une caméra TrueDepth légèrement différente de celle des autres iPhone. D’après des photos de protège-écrans publiés par le leaker Majin Bu, l’appareil photo avant de l’iPhone 17 serait situé à gauche de la Dynamic Island, et non à droite comme sur tous les autres modèles.

Protège-écrans pour les iPhone 17. Image Majin Bu.

Si ce changement se confirme, on suppose qu’il est guidé par des contraintes de conception spécifiques à l’iPhone 17 Air, qui devrait être beaucoup plus fin que ses frères. Toujours concernant l’appareil photo avant, les quatre iPhone 17 pourraient avoir un capteur de 24 mégapixels, au lieu de 12.

Les différents composants de la caméra TrueDepth de l’iPhone X. Image Apple.

Inaugurée avec l’iPhone X, la caméra TrueDepth comprend un appareil photo ainsi que plusieurs composants (projecteurs de points, caméra infrarouge…) qui rendent notamment possible Face ID. C’est elle qui a formé l’encoche des iPhone, avant que celle-ci ne se transforme en Dynamic Island sur la plupart des modèles. Apple chercherait à réduire encore l’empreinte de cet ensemble sur la face avant de futurs iPhone.

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iPhone 17 Air : un petit changement pour la caméra TrueDepth ?

L’iPhone 17 Air pourrait avoir une caméra TrueDepth légèrement différente de celle des autres iPhone. D’après des photos de protège-écrans publiés par le leaker Majin Bu, l’appareil photo avant de l’iPhone 17 serait situé à gauche de la Dynamic Island, et non à droite comme sur tous les autres modèles.

Protège-écrans pour les iPhone 17. Image Majin Bu.

Si ce changement se confirme, on suppose qu’il est guidé par des contraintes de conception spécifiques à l’iPhone 17 Air, qui devrait être beaucoup plus fin que ses frères. Toujours concernant l’appareil photo avant, les quatre iPhone 17 pourraient avoir un capteur de 24 mégapixels, au lieu de 12.

Les différents composants de la caméra TrueDepth de l’iPhone X. Image Apple.

Inaugurée avec l’iPhone X, la caméra TrueDepth comprend un appareil photo ainsi que plusieurs composants (projecteurs de points, caméra infrarouge…) qui rendent notamment possible Face ID. C’est elle qui a formé l’encoche des iPhone, avant que celle-ci ne se transforme en Dynamic Island sur la plupart des modèles. Apple chercherait à réduire encore l’empreinte de cet ensemble sur la face avant de futurs iPhone.

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Sortie de veille : Apple en totale roue libre sur le film F1 ?

Toutes les semaines, écoutez Sortie de veille, le podcast hebdomadaire de MacGeneration ! On débat de l'actualité Apple et tech des derniers jours en une quinzaine de minutes.

Deux semaines après la WWDC, Apple est de retour sur le devant de la scène, mais cette fois au cinéma. La superproduction F1 avec Brad Pitt vient de sortir et elle est portée par une campagne publicitaire massive qui s’invite jusque dans nos iPhone. Apple en fait-elle un peu trop pour son film ? On en discute dans cette émission.

Dans cet épisode on revient également sur l’intérêt marqué de Tim Cook pour Perplexity, sur la nouvelle étiquette européenne qui ne plait pas trop à Apple et sur CarPlay Ultra qui semble mal embarqué.

Pour écouter Sortie de veille, c'est simple :

  • Vous êtes abonné au Club iGen ? Rendez-vous sur cette page pour accéder à nos podcasts complets et aux flux RSS qui vont bien.
  • Vous n'êtes pas membre du Club iGen ? C'est dommage, mais vous pouvez écouter Sortie de veille en vous y abonnant sur Apple Podcasts ou Spotify. Ou alors écoutez l’émission directement dans ce lecteur :

Bonne écoute et bon week-end !

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Sortie de veille : Apple en totale roue libre sur le film F1 ?

Toutes les semaines, écoutez Sortie de veille, le podcast hebdomadaire de MacGeneration ! On débat de l'actualité Apple et tech des derniers jours en une quinzaine de minutes.

Deux semaines après la WWDC, Apple est de retour sur le devant de la scène, mais cette fois au cinéma. La superproduction F1 avec Brad Pitt vient de sortir et elle est portée par une campagne publicitaire massive qui s’invite jusque dans nos iPhone. Apple en fait-elle un peu trop pour son film ? On en discute dans cette émission.

Dans cet épisode on revient également sur l’intérêt marqué de Tim Cook pour Perplexity, sur la nouvelle étiquette européenne qui ne plait pas trop à Apple et sur CarPlay Ultra qui semble mal embarqué.

Pour écouter Sortie de veille, c'est simple :

  • Vous êtes abonné au Club iGen ? Rendez-vous sur cette page pour accéder à nos podcasts complets et aux flux RSS qui vont bien.
  • Vous n'êtes pas membre du Club iGen ? C'est dommage, mais vous pouvez écouter Sortie de veille en vous y abonnant sur Apple Podcasts ou Spotify. Ou alors écoutez l’émission directement dans ce lecteur :

Bonne écoute et bon week-end !

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Soldes : les récents AirPods 4 à 124 € (- 25 €)

Les AirPods 4 n’échappent pas aux soldes. Les derniers écouteurs d’Apple sont disponibles sur Cdiscount à 124 € au lieu de 149 €. Pour profiter de ce prix, il faut saisir le code « 15DES129 » juste avant la validation de la commande.

AirPods 4 avec ANC. Image WatchGeneration.

C’est la version sans réduction active de bruit et sans recharge par induction qui est proposée à ce tarif. Si vous voulez ces deux caractéristiques, les AirPods 4 ANC sont en promo à 179 € au lieu de 199 € toujours sur Cdiscount. Il faut là aussi entrer le code « 15DES129 » pour faire baisser le prix.

Les AirPods 4 ne sont pas aussi évolués et n'isolent pas autant que les AirPods Pro 2, mais si vous ne supportez pas les écouteurs intra-auriculaires, c'est un choix naturel. Ils délivrent une très bonne qualité sonore et s’intègrent parfaitement à l’iPhone, au Mac et aux autres produits Apple.

Soldes : l’AirPods Max Lightning à 405,99 €, un des meilleurs prix à ce jour

Soldes : l’AirPods Max Lightning à 405,99 €, un des meilleurs prix à ce jour

Test des AirPods 4 : double dose de confort

Test des AirPods 4 : double dose de confort

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Molotov et Deezer lancent une offre groupée à - 30 % pendant un an

Deux acteurs français du streaming s’associent pour attirer de nouveaux clients. D’un côté, la plateforme de télévision Molotov, et de l’autre, le service de musique Deezer. Une offre groupée inédite permet de s’abonner simultanément à Molotov Extra et Deezer Premium pour 12,99 €/mois pendant un an. Souscrits séparément, ces abonnements coûtent au total 18,98 €/mois (6,99 + 11,99). Au bout d’un an, le forfait groupé passe à 17,99 €/mois, ce qui fait toujours 1 € de moins qu’en temps normal.

Image Deezer et Molotov

Molotov Extra comprend 100 chaînes de TV — dont toutes celles de la TNT — en direct et en replay sur 4 écrans en 1080p, ainsi que le contrôle du direct. Deezer Premium donne accès pour sa part à un catalogue de plus de 100 millions de titres sans pub et en qualité Hi-Fi.

« Cette offre répond concrètement aux besoins du grand public tout en mettant en valeur l’excellence française en matière de streaming », affirme Jean-David Blanc, président fondateur de Molotov. Techniquement, Molotov et Deezer ne sont plus strictement français : le premier fait partie du groupe américain FuboTV depuis 2021 et le second a comme actionnaire majoritaire le fonds d’investissement américain Access Industries. Mais ces deux services ont bel et bien été créés en France et leurs équipes restent concentrées dans l’Hexagone.

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Soldes : le MacBook Air M3 avec 512 Go de stockage et 24 Go de RAM à 1 199 € (- 32 %)

Le MacBook Air M3 de 13" fait l’objet d’une belle réduction à la Fnac dans une configuration très intéressante. Le modèle équipé de 512 Go de stockage et 24 Go de RAM est vendu 1 199 €, soit 32 % d’économie sur le prix de départ. Vous avez même le choix de la couleur : argent, gris sidéral, lumière stellaire et minuit. Si vous êtes adhérent Fnac+, vous pouvez en plus récupérer 110 € en bon d’achat sur votre compte fidélité.

MacBook Air M3. Image MacGeneration.

Avec cette capacité de stockage et cette quantité de RAM, les utilisateurs occasionnels profiteront d’un Mac confortable pendant de nombreuses années. Les utilisateurs plus exigeants pourront quant à eux lancer des tâches plus lourdes, comme des machines virtuelles, sans se heurter trop rapidement à des limitations.

Si vous trouvez l’écran de 13" trop petit, pas de problème, le MacBook Air M3 de 15" avec 512/24 Go est lui aussi en promotion. Il est vendu 1 549 € au lieu de 2 059 € (- 25 %).

Le MacBook Air M3 est un formidable ordinateur portable tout à la fois léger, endurant et puissant. Par rapport au M2, il a l’avantage d’avoir un coloris minuit moins salissant, des capacités graphiques supplémentaires et la prise en charge du Wi-Fi 6E. Par rapport au M4 plus récent, il lui manque essentiellement la caméra compatible avec Cadre centré et un surplus de puissance.

Test des MacBook Air M3 : encore meilleurs

Test des MacBook Air M3 : encore meilleurs

Soldes : le MacBook Air M2 à 769 €, son prix le plus bas

Soldes : le MacBook Air M2 à 769 €, son prix le plus bas

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Les AirTags 2 trouveraient le chemin des boutiques cet automne

N’attendez pas d’éventuels AirTags 2 pour surveiller vos bagages cet été. Selon 9to5Mac, les balises Bluetooth de nouvelle génération ne seront commercialisées qu’à partir de cet automne.

Les AirTags 2 font parler d’eux depuis un moment : leur sortie avait été pronostiquée au départ pour fin 2024, mais force est de constater que ce sera pour cette année au mieux. Un lancement au cours des prochains mois est très crédible au vu des références trouvées dans iOS 18.6 et iOS 26.

Par rapport aux balises originales lancées en 2021, les AirTags 2 pourraient notamment avoir une puce U2 (déjà employée par les iPhone 15 et 16) leur conférant une portée largement supérieure, ce qui permettrait de les localiser encore plus facilement.

En attendant, les AirTags de 1re génération sont en promotion sur Amazon : comptez 56,80 € le lot de deux, 85,20 € le lot de trois ou 94,65 € le lot de quatre. Si vous n’avez pas besoin de la localisation précise (une fonction qui exploite la technologie UWB pour guider précisément jusqu’à la balise), il existe des traqueurs compatibles avec le réseau Localiser qui sont beaucoup plus abordables :

Quatre traqueurs compatibles avec Localiser pour moins de 30 €

Quatre traqueurs compatibles avec Localiser pour moins de 30 €

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L’application carte Vitale activable individuellement dans deux régions supplémentaires

Le tour de France de l’application carte Vitale se poursuit. L’application peut désormais être activée sans France Identité dans deux nouvelles régions : la Bretagne et le Centre-Val de Loire. Cette activation individuelle est également disponible en Auvergne-Rhône-Alpes, en Bourgogne-Franche-Comté, dans le Grand Est, en Normandie, dans le Pays de la Loire et en Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Si vous n’habitez pas dans l’une de ces régions, vous pouvez utiliser l’authentification avec l’app France Identité pour profiter dès maintenant de l’application carte Vitale. Ce moyen d’activation fonctionne partout en France. Et si vous n’avez pas France Identité, encore un peu de patience : l’activation indépendante sera disponible sur l’ensemble du territoire d’ici cet automne.

Application carte Vitale. Image iGeneration.

Attention, nous avons remarqué que l’application plantait sur un de nos iPhone équipés de la bêta développeur d’iOS 26 (bêta 1 comme bêta 2). Si vous voulez vous en servir, restez donc sur iOS 18 pour le moment.

L’application carte Vitale vous permet d’avoir une version dématérialisée de votre carte verte sur votre iPhone ou votre smartphone Android ainsi que de consulter les dépenses de soins réalisées. Petite mise en garde : les professionnels de santé ne sont pas encore tous équipés pour lire le QR code affiché par l’app. Renseignez-vous auprès de votre médecin, de votre pharmacien et de vos autres interlocuteurs médicaux pour savoir s'ils prennent en charge l'application. Fin avril, elle comptait un million d'activations.

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