Lire Adèle Exarchopoulos est méconnaissable dans les premières images de ce film sur www.cineserie.com
Dans L'accident de piano, Adèle Exarchopoulos incarne Magalie, une influenceuse sans scrupules qui a bâti sa fortune sur des vidéos provocantes postées sur les réseaux sociaux. Suite à un accident survenu lors d'un tournage, elle se retire à la montagne avec son assistant personnel, interprété par un Jérôme Commandeur, toujours aussi efficace. Mais l'isolement de Magalie est de courte durée. Une journaliste, incarnée par Sandrine Kiberlain, la retrouve et la menace de révéler un secret qui pourrait bien anéantir sa carrière.
La bande-annonce, dévoilée récemment, donne un aperçu alléchant de ce qui nous attend. Adèle Exarchopoulos apparaît sous un jour nouveau, avec une transformation physique surprenante : cheveux courts, démarche voûtée, un bras dans le plâtre et surtout un appareil dentaire pour le moins… original.
Le film est la quatorzième réalisation de Quentin Dupieux, connu pour son cinéma décalé et son humour noir. Après des collaborations réussies avec Adèle Exarchopoulos dans Mandibules et Fumer fait tousser, le réalisateur semble bien décidé à explorer de nouvelles facettes de l'actrice.
Quentin Dupieux est un cinéaste singulier qui a su se forger une identité propre dans le paysage cinématographique français. Ses films, souvent imprévisibles et décalés, explorent les limites de l'absurde avec un humour mordant. Le réalisateur est également connu pour sa capacité à diriger des acteurs avec brio.
La bande-annonce de L'accident de piano révèle un style visuel qui lui est propre : des plans soignés, une photographie travaillée et une ambiance particulière qui plonge le spectateur dans un univers à la fois familier et étrange.
La performance d'Adèle Exarchopoulos est déjà très attendue, tant la transformation de l'actrice est spectaculaire. Elle semble s'être totalement investie dans ce rôle, loin de l'image glamour à laquelle elle nous a habitués.
Alors, L'accident de piano sera-t-il le prochain succès de Quentin Dupieux ? Réponse le 2 juillet au cinéma.
Lire John Wick : Keanu Reeves absent du spin-off avec Donnie Yen, les raisons dévoilées sur www.cineserie.com
Introduit dans John Wick : Chapitre 4, Caine est un assassin aveugle et redoutable contraint de tuer John Wick. La fin du quatrième volet laissait présager de nouvelles péripéties pour ce personnage charismatique. Le projet de spin-off a été confirmé durant l'été 2024, et la production devrait débuter prochainement. Les fans se demandent donc si Keanu Reeves reprendra son rôle emblématique.
Lors d'une interview accordée à The Hollywood Reporter, Chad Stahelski a mis fin au suspense. Le réalisateur a confirmé que John Wick ne figurerait pas dans le spin-off. Cette décision peut surprendre, mais elle répond à une logique créative précise.
"Avec ce projet, nous voulons rendre hommage aux films de kung-fu, et nous concentrer sur le personnage de Yen et son univers nous permettra de rester fidèles à ce sous-genre," explique Stahelski.
Cette déclaration suggère que le spin-off explorera davantage les origines et les motivations de Caine, tout en plongeant dans l'esthétique et les codes des films de kung-fu, un genre très apprécié par Donnie Yen lui-même.
Si John Wick ne sera pas présent dans Caine, cela n'implique pas la fin de la franchise. Au contraire, ce spin-off offre une nouvelle perspective sur l'univers créé par Chad Stahelski. De plus, la fin de John Wick : Chapitre 4 laissait une porte ouverte pour d'autres histoires, notamment avec le personnage d'Akira Shimazu, la fille de Koji Shimazu, qui attaquait Caine dans la scène post-générique.
Le futur de John Wick semble donc riche en rebondissements et en nouvelles explorations de cet univers sombre et fascinant. Le spin-off Caine promet ainsi une aventure inédite pour les fans, avec Donnie Yen au centre de l'action. La capacité à se renouveler et à explorer de nouvelles directions est essentielle pour maintenir l'intérêt du public, et il est clair que la franchise John Wick a encore de belles histoires à raconter.
Ballerina, le spin-off de la saga, avec Keanu Reeves, est actuellement en salles.
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Dans L'accident de piano, Adèle Exarchopoulos incarne Magalie, une influenceuse sans scrupules qui a bâti sa fortune sur des vidéos provocantes postées sur les réseaux sociaux. Suite à un accident survenu lors d'un tournage, elle se retire à la montagne avec son assistant personnel, interprété par un Jérôme Commandeur, toujours aussi efficace. Mais l'isolement de Magalie est de courte durée. Une journaliste, incarnée par Sandrine Kiberlain, la retrouve et la menace de révéler un secret qui pourrait bien anéantir sa carrière.
La bande-annonce, dévoilée récemment, donne un aperçu alléchant de ce qui nous attend. Adèle Exarchopoulos apparaît sous un jour nouveau, avec une transformation physique surprenante : cheveux courts, démarche voûtée, un bras dans le plâtre et surtout un appareil dentaire pour le moins… original.
Le film est la quatorzième réalisation de Quentin Dupieux, connu pour son cinéma décalé et son humour noir. Après des collaborations réussies avec Adèle Exarchopoulos dans Mandibules et Fumer fait tousser, le réalisateur semble bien décidé à explorer de nouvelles facettes de l'actrice.
Quentin Dupieux est un cinéaste singulier qui a su se forger une identité propre dans le paysage cinématographique français. Ses films, souvent imprévisibles et décalés, explorent les limites de l'absurde avec un humour mordant. Le réalisateur est également connu pour sa capacité à diriger des acteurs avec brio.
La bande-annonce de L'accident de piano révèle un style visuel qui lui est propre : des plans soignés, une photographie travaillée et une ambiance particulière qui plonge le spectateur dans un univers à la fois familier et étrange.
La performance d'Adèle Exarchopoulos est déjà très attendue, tant la transformation de l'actrice est spectaculaire. Elle semble s'être totalement investie dans ce rôle, loin de l'image glamour à laquelle elle nous a habitués.
Alors, L'accident de piano sera-t-il le prochain succès de Quentin Dupieux ? Réponse le 2 juillet au cinéma.
Lire John Wick : Keanu Reeves absent du spin-off avec Donnie Yen, les raisons dévoilées sur www.cineserie.com
Introduit dans John Wick : Chapitre 4, Caine est un assassin aveugle et redoutable contraint de tuer John Wick. La fin du quatrième volet laissait présager de nouvelles péripéties pour ce personnage charismatique. Le projet de spin-off a été confirmé durant l'été 2024, et la production devrait débuter prochainement. Les fans se demandent donc si Keanu Reeves reprendra son rôle emblématique.
Lors d'une interview accordée à The Hollywood Reporter, Chad Stahelski a mis fin au suspense. Le réalisateur a confirmé que John Wick ne figurerait pas dans le spin-off. Cette décision peut surprendre, mais elle répond à une logique créative précise.
"Avec ce projet, nous voulons rendre hommage aux films de kung-fu, et nous concentrer sur le personnage de Yen et son univers nous permettra de rester fidèles à ce sous-genre," explique Stahelski.
Cette déclaration suggère que le spin-off explorera davantage les origines et les motivations de Caine, tout en plongeant dans l'esthétique et les codes des films de kung-fu, un genre très apprécié par Donnie Yen lui-même.
Si John Wick ne sera pas présent dans Caine, cela n'implique pas la fin de la franchise. Au contraire, ce spin-off offre une nouvelle perspective sur l'univers créé par Chad Stahelski. De plus, la fin de John Wick : Chapitre 4 laissait une porte ouverte pour d'autres histoires, notamment avec le personnage d'Akira Shimazu, la fille de Koji Shimazu, qui attaquait Caine dans la scène post-générique.
Le futur de John Wick semble donc riche en rebondissements et en nouvelles explorations de cet univers sombre et fascinant. Le spin-off Caine promet ainsi une aventure inédite pour les fans, avec Donnie Yen au centre de l'action. La capacité à se renouveler et à explorer de nouvelles directions est essentielle pour maintenir l'intérêt du public, et il est clair que la franchise John Wick a encore de belles histoires à raconter.
Ballerina, le spin-off de la saga, avec Keanu Reeves, est actuellement en salles.
Lire F1 avec Brad Pitt : que disent les premiers avis sur le film de course ? sur www.cineserie.com
Tourné à Silverstone, Spa ou Monza, F1 marque le retour de Joseph Kosinski derrière la caméra, deux ans après le succès mondial de TOP GUN : MAVERICK. Cette fois, le réalisateur propulse Brad Pitt dans l’univers codifié de la Formule 1, pour un drame sous haute tension, salué dès ses premières projections.
Aux États-Unis, plusieurs médias ont pu découvrir F1 en avant-première. La presse souligne unanimement la virtuosité des séquences de course, captées au plus près de l’action, et l’alchimie entre Brad Pitt et Damson Idris, tous deux très investis dans leurs rôles. Variety évoque un "film de genre maîtrisé", qui parvient à "réconcilier fans de sport et amateurs de cinéma". IndieWire parle d’un "blockbuster sobre et musclé, filmé avec une urgence rare".
Le parti pris du tournage – en conditions réelles, lors de véritables Grands Prix – est largement salué pour son réalisme et sa tension dramatique. Un choix qui rappelle l’approche quasi documentaire de Kosinski, déjà à l’œuvre dans TOP GUN : MAVERICK.
Brad Pitt incarne Sonny Hayes, ancien pilote de F1 retiré des circuits, rappelé par un patron d’écurie (Javier Bardem) pour encadrer une nouvelle recrue prometteuse, Joshua Pearce (Damson Idris). Rapidement, la relation entre les deux pilotes bascule dans une rivalité larvée, faite de défiance et d’admiration contrariée. Sur fond de vitesse et de danger, le film explore les thèmes du mentorat, de la rédemption et du dépassement de soi.
Les critiques saluent aussi l’écriture du scénario, qui s’attarde autant sur la psychologie des personnages que sur le rythme des courses. Une combinaison qui pourrait permettre à F1 de séduire bien au-delà des amateurs de sports mécaniques.
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Tourné à Silverstone, Spa ou Monza, F1 marque le retour de Joseph Kosinski derrière la caméra, deux ans après le succès mondial de TOP GUN : MAVERICK. Cette fois, le réalisateur propulse Brad Pitt dans l’univers codifié de la Formule 1, pour un drame sous haute tension, salué dès ses premières projections.
Aux États-Unis, plusieurs médias ont pu découvrir F1 en avant-première. La presse souligne unanimement la virtuosité des séquences de course, captées au plus près de l’action, et l’alchimie entre Brad Pitt et Damson Idris, tous deux très investis dans leurs rôles. Variety évoque un "film de genre maîtrisé", qui parvient à "réconcilier fans de sport et amateurs de cinéma". IndieWire parle d’un "blockbuster sobre et musclé, filmé avec une urgence rare".
Le parti pris du tournage – en conditions réelles, lors de véritables Grands Prix – est largement salué pour son réalisme et sa tension dramatique. Un choix qui rappelle l’approche quasi documentaire de Kosinski, déjà à l’œuvre dans TOP GUN : MAVERICK.
Brad Pitt incarne Sonny Hayes, ancien pilote de F1 retiré des circuits, rappelé par un patron d’écurie (Javier Bardem) pour encadrer une nouvelle recrue prometteuse, Joshua Pearce (Damson Idris). Rapidement, la relation entre les deux pilotes bascule dans une rivalité larvée, faite de défiance et d’admiration contrariée. Sur fond de vitesse et de danger, le film explore les thèmes du mentorat, de la rédemption et du dépassement de soi.
Les critiques saluent aussi l’écriture du scénario, qui s’attarde autant sur la psychologie des personnages que sur le rythme des courses. Une combinaison qui pourrait permettre à F1 de séduire bien au-delà des amateurs de sports mécaniques.
Lire Ce thriller judiciaire avec Ryan Gosling cartonne sur Netflix 17 ans après sa sortie sur www.cineserie.com
Sorti en 2007, LA FAILLE remonte en flèche dans le top 10 Netflix France. Ce thriller psychologique, passé un peu inaperçu à l’époque, captive aujourd’hui les abonnés grâce à un duel d’acteurs tendu et un final qui prend tout le monde à revers.
Gregory Hoblit met en scène une confrontation redoutable : d’un côté, un ingénieur froid et méthodique (Anthony Hopkins), de l’autre, un jeune procureur ambitieux (Ryan Gosling). L’affaire semble bouclée dès le départ : il y a un crime, une confession, un procès. Mais les apparences trompent, et chaque détail compte.
Sans explosion ni poursuite, LA FAILLE joue sur l’intelligence du scénario et la tension croissante entre ses deux personnages. Gosling, encore au début de sa carrière, campe un juriste trop sûr de lui, face à un Hopkins impassible et manipulateur. La mise en scène reste sobre, presque clinique, pour mieux laisser monter la pression.
C’est sans doute cette efficacité discrète qui séduit aujourd’hui : un thriller qui ne fait pas de bruit mais qui tient le spectateur jusqu’à une fin aussi sèche que maligne. De quoi rappeler que certains films méritent d’être redécouverts bien après leur sortie.
LA FAILLE est disponible sur Netflix.
Lire Ce soir à la télé : pour les experts, c'est un des films de guerre les plus réalistes sur www.cineserie.com
Sorti en 2017, Dunkerque s’intéresse à l’opération Dynamo, mission d’évacuation des troupes alliées prises au piège sur les plages du nord de la France en mai 1940. Pour raconter cet épisode, Christopher Nolan opte pour une structure originale et resserrée, croisant trois temporalités : une semaine sur la plage, un jour en mer, une heure dans les airs. Ce choix de narration enchevêtrée permet au réalisateur de couvrir les différents fronts du conflit tout en accentuant l’urgence ressentie par les personnages.
Le film repose sur une économie radicale de dialogues. Aucun personnage n’est vraiment développé, et l’ennemi n’apparaît jamais directement à l’écran. Cette approche, souvent jugée déroutante, contribue à recentrer l’attention sur la survie elle-même, au plus près des corps, des machines et des éléments. Le travail sur le son, appuyé par la musique d'Hans Zimmer et son tic-tac omniprésent, renforce la tension. Le montage syncopé, la rareté des répliques et l’absence d’explication didactique donnent au film une brutalité sèche qui a marqué durablement le genre.
Tourné sur les lieux mêmes de l’évacuation, Dunkerque fait le choix d’une reconstitution minimaliste, mais fidèle. Nolan utilise des avions d’époque (des Spitfires réels, pas de modèles numériques), et plusieurs embarcations civiles présentes à l’écran ont effectivement participé à l’opération de 1940. Le cinéaste privilégie les effets pratiques, avec très peu de recours à l’image de synthèse. Ce parti pris est régulièrement cité comme un élément clé de l’authenticité du film par les historiens militaires, notamment pour ses scènes aériennes, considérées comme l’une des représentations les plus justes des combats en altitude durant la Seconde Guerre mondiale.
La production a également fait appel à des conseillers historiques afin d’ajuster les uniformes, les équipements et les déplacements de troupes. Si certains choix ont été condensés pour des raisons dramaturgiques, l’ensemble du récit reste aligné avec les grandes lignes de l’opération. En évitant l’héroïsation des figures militaires et en se concentrant sur le sentiment d’encerclement et de chaos, Dunkerque parvient à représenter l’Histoire sans solennité excessive.
Le film a remporté trois Oscars (meilleur montage, meilleur montage sonore, meilleur mixage sonore) et reste aujourd’hui régulièrement cité comme un exemple de réalisme cinématographique. Il est diffusé ce soir sur RMC Story à 21h05.
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