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Repris par Pearl, MacWay a rouvert les commandes

Le rachat de MacWay par Pearl est acté. Un de nos lecteurs a récemment fait un achat sur le site web de cette enseigne spécialisée dans la vente de produits informatiques, qui n’acceptait plus de commandes depuis sa mise en liquidation judiciaire en début d’année. Son colis est en route, et le mail d’expédition fait directement référence à Pearl.

Aucun des deux acteurs n’a confirmé publiquement cette opération, dont nous avions eu écho au mois d’avril. Cependant, les conditions générales de ventes de MacWay ont été mises à jour : on peut y lire que le site « est la propriété de la société PEARL DIFFUSION SARL » et que c’est bien elle qui s’occupe de la gestion des données personnelles. Pearl est un revendeur de produits électroniques qui ne se limite pas à l’écosystème Apple. Son siège social se situe en Alsace, et il dispose de magasins à Sélestat, Strasbourg, Paris et Lyon.

Acteur historique de l'environnement Apple en France, MacWay était dans la tourmente depuis plusieurs années. Face à des résultats en berne, l’enseigne avait fermé toutes ses boutiques à l’été 2024 dans le but de se concentrer sur la vente en ligne. L’entreprise a été mise en liquidation judiciaire quelques mois plus tard.

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Repris par Pearl, MacWay a rouvert les commandes

Le rachat de MacWay par Pearl est acté. Un de nos lecteurs a récemment fait un achat sur le site web de cette enseigne spécialisée dans la vente de produits informatiques, qui n’acceptait plus de commandes depuis sa mise en liquidation judiciaire en début d’année. Son colis est en route, et le mail d’expédition fait directement référence à Pearl.

Aucun des deux acteurs n’a confirmé publiquement cette opération, dont nous avions eu écho au mois d’avril. Cependant, les conditions générales de ventes de MacWay ont été mises à jour : on peut y lire que le site « est la propriété de la société PEARL DIFFUSION SARL » et que c’est bien elle qui s’occupe de la gestion des données personnelles. Pearl est un revendeur de produits électroniques qui ne se limite pas à l’écosystème Apple. Son siège social se situe en Alsace, et il dispose de magasins à Sélestat, Strasbourg, Paris et Lyon.

Acteur historique de l'environnement Apple en France, MacWay était dans la tourmente depuis plusieurs années. Face à des résultats en berne, l’enseigne avait fermé toutes ses boutiques à l’été 2024 dans le but de se concentrer sur la vente en ligne. L’entreprise a été mise en liquidation judiciaire quelques mois plus tard.

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AI Edge Gallery : l’application de Google pour faire tourner un LLM en local arrivera bientôt sur iOS

Google continue de tout miser sur l’IA et vient de lancer AI Edge Gallery, une application pour smartphone permettant de faire tourner des modèles d’IA en local. Celle-ci peut être utilisée pour analyser des images, papoter avec l’IA ou générer du code même sans connexion. Disponible sur Android via une APK à télécharger sur Github, cette app open source sera prochainement lancée sur iOS.

Au total, 4 modèles différents sont proposés, dont 3 déclinaisons du récent Gemma-3 (Google) et un modèle de Qwen (Alibaba). Il faudra aller les télécharger sur la plateforme HuggingFace, mais il est possible d’en ajouter d’autres manuellement. NeoWin a essayé l’app et explique que son interface est très plaisante sur Android avec un aspect bien fini.

Une fois tout configuré, l’utilisateur a le choix entre 3 catégories au lancement. « Ask Image », peut répondre à des questions posées sur une photo enregistrée dans sa galerie. « Prompt Lab » se destine plus à de la réécriture de texte ou à de la génération de code. Enfin, « Ai Chat » se rapproche de ChatGPT et consorts, permettant de discuter d’une manière plus traditionnelle.

Les applications open source du même type ne manquent pas sur iOS : LLM Farm, MLC Chat… Si l’idée de faire tourner un modèle en local est intéressant d’un point de vue confidentialité, cela reste quelque chose d’assez exigeant tant le smartphone chauffe et la batterie fond à vue d’œil. Les performances ne sont pas toujours idéales sur un appareil qui tient dans la poche. L’app de Google sera peut-être une option intéressante lorsqu’elle arrivera sur iOS. Aucune date de sortie précise n’a été donnée.

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AI Edge Gallery : l’application de Google pour faire tourner un LLM en local arrivera bientôt sur iOS

Google continue de tout miser sur l’IA et vient de lancer AI Edge Gallery, une application pour smartphone permettant de faire tourner des modèles d’IA en local. Celle-ci peut être utilisée pour analyser des images, papoter avec l’IA ou générer du code même sans connexion. Disponible sur Android via une APK à télécharger sur Github, cette app open source sera prochainement lancée sur iOS.

Au total, 4 modèles différents sont proposés, dont 3 déclinaisons du récent Gemma-3 (Google) et un modèle de Qwen (Alibaba). Il faudra aller les télécharger sur la plateforme HuggingFace, mais il est possible d’en ajouter d’autres manuellement. NeoWin a essayé l’app et explique que son interface est très plaisante sur Android avec un aspect bien fini.

Une fois tout configuré, l’utilisateur a le choix entre 3 catégories au lancement. « Ask Image », peut répondre à des questions posées sur une photo enregistrée dans sa galerie. « Prompt Lab » se destine plus à de la réécriture de texte ou à de la génération de code. Enfin, « Ai Chat » se rapproche de ChatGPT et consorts, permettant de discuter d’une manière plus traditionnelle.

Les applications open source du même type ne manquent pas sur iOS : LLM Farm, MLC Chat… Si l’idée de faire tourner un modèle en local est intéressant d’un point de vue confidentialité, cela reste quelque chose d’assez exigeant tant le smartphone chauffe et la batterie fond à vue d’œil. Les performances ne sont pas toujours idéales sur un appareil qui tient dans la poche. L’app de Google sera peut-être une option intéressante lorsqu’elle arrivera sur iOS. Aucune date de sortie précise n’a été donnée.

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Microsoft veut mettre fin à la « confusion » autour de l’USB-C

Microsoft joue de son influence et tente de mettre de l’ordre dans la jungle de l’USB-C. Le groupe a annoncé qu’il allait désormais imposer une norme minimale pour les capacités des ports USB-C sur les PC Windows. Un tel changement devrait éviter aux clients de se retrouver avec un port qui ne marche pas comme prévu ou qui ne prend pas en charge certaines fonctionnalités basiques. Selon un récent rapport de Microsoft, 27 % des PC Windows avec un port USB4 ont reçu une notification de fonctionnalités limitées.

Le câble USB-C Apple, uniquement USB 2.0.

Comme vous le savez si vous avez lu la série de Pierre sur le sujet, l’USB-C, c’est compliqué. La technologie a beau disposer d’un port réversible omniprésent, chaque câble et port a ses spécificités : l’un pourra charger votre ordinateur et permettre d’utiliser un écran 5K, quand un autre se limite aux performances de l'antique USB 2.0 (0,48 Gb/s). L’organisation s’occupant de l’USB a beau avoir imposé des termes clairs comme « USB 40 Gb/s » ou « USB 80 Gb/s », tout reste assez flou pour l’utilisateur lambda… qui se retrouve parfois à se gratter la tête face à des accessoires qui ne fonctionnent pas.

Microsoft veut corriger le tir avec son nouveau Windows Hardware Compatibility Program (WHCP). Celui-ci impose quelques fonctionnalités obligatoires pour tous les ports USB, comme le transfert de données à 5 Gb/s au minimum (les prises USB-C 2.0 semblent interdites), la recharge de l'appareil et la prise en charge d'un écran. L’entreprise exige des puces USB-IF dans les PC certifiés, qui garantit une connexion fiable et constante. Le mode alternatif DisplayPort sera pris en charge, ce qui fait qu’un moniteur externe fonctionnera forcément. Ces normes sont imposées sur chaque port USB-C : plus besoin d’aller chercher le seul compatible sur les machines d’entrées de gamme.

Le minimum pour obtenir le badge WHCP. Image Microsoft.

Les ports certifiés WHCP 40 ou 80 Gb/s auront également d’autres obligations. Ils devront être entièrement compatibles avec les périphériques USB4 et Thunderbolt 3. Si un PC est présenté comme affichant des performances de 40 Gb/s, il devra être en mesure de maintenir cette vitesse (ça n'a pas toujours été le cas, certains appareils se limitaient à 20 Gb/s à une époque). Même chose pour les 80 Gb/s, qui devront disposer en plus d’un mode asymétrique 120 / 40 Gb/s pour les écrans externes à haute résolution.

Les PC livrés avec Windows 11 24H2 devront obligatoirement être certifié WHCP. Cette version apporte une nouvelle exigence côté pilotes s’assurant que la machine reçoit toujours les dernières mises à jour USB pour que tout fonctionne correctement.

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Microsoft veut mettre fin à la « confusion » autour de l’USB-C

Microsoft joue de son influence et tente de mettre de l’ordre dans la jungle de l’USB-C. Le groupe a annoncé qu’il allait désormais imposer une norme minimale pour les capacités des ports USB-C sur les PC Windows. Un tel changement devrait éviter aux clients de se retrouver avec un port qui ne marche pas comme prévu ou qui ne prend pas en charge certaines fonctionnalités basiques. Selon un récent rapport de Microsoft, 27 % des PC Windows avec un port USB4 ont reçu une notification de fonctionnalités limitées.

Le câble USB-C Apple, uniquement USB 2.0.

Comme vous le savez si vous avez lu la série de Pierre sur le sujet, l’USB-C, c’est compliqué. La technologie a beau disposer d’un port réversible omniprésent, chaque câble et port a ses spécificités : l’un pourra charger votre ordinateur et permettre d’utiliser un écran 5K, quand un autre se limite aux performances de l'antique USB 2.0 (0,48 Gb/s). L’organisation s’occupant de l’USB a beau avoir imposé des termes clairs comme « USB 40 Gb/s » ou « USB 80 Gb/s », tout reste assez flou pour l’utilisateur lambda… qui se retrouve parfois à se gratter la tête face à des accessoires qui ne fonctionnent pas.

Microsoft veut corriger le tir avec son nouveau Windows Hardware Compatibility Program (WHCP). Celui-ci impose quelques fonctionnalités obligatoires pour tous les ports USB, comme le transfert de données à 5 Gb/s au minimum (les prises USB-C 2.0 semblent interdites), la recharge de l'appareil et la prise en charge d'un écran. L’entreprise exige des puces USB-IF dans les PC certifiés, qui garantit une connexion fiable et constante. Le mode alternatif DisplayPort sera pris en charge, ce qui fait qu’un moniteur externe fonctionnera forcément. Ces normes sont imposées sur chaque port USB-C : plus besoin d’aller chercher le seul compatible sur les machines d’entrées de gamme.

Le minimum pour obtenir le badge WHCP. Image Microsoft.

Les ports certifiés WHCP 40 ou 80 Gb/s auront également d’autres obligations. Ils devront être entièrement compatibles avec les périphériques USB4 et Thunderbolt 3. Si un PC est présenté comme affichant des performances de 40 Gb/s, il devra être en mesure de maintenir cette vitesse (ça n'a pas toujours été le cas, certains appareils se limitaient à 20 Gb/s à une époque). Même chose pour les 80 Gb/s, qui devront disposer en plus d’un mode asymétrique 120 / 40 Gb/s pour les écrans externes à haute résolution.

Les PC livrés avec Windows 11 24H2 devront obligatoirement être certifié WHCP. Cette version apporte une nouvelle exigence côté pilotes s’assurant que la machine reçoit toujours les dernières mises à jour USB pour que tout fonctionne correctement.

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Mate mini : une nouvelle station d’accueil pour Mac mini M4 avec des emplacements pour SSD

La marque Beelink vient de présenter le Mate mini, une station d’accueil pour Mac mini M4 permettant d’ajouter jusqu’à 16 To de stockage à sa machine. L’accessoire apporte une connectique variée : on gagne deux ports USB-3 3.0, un USB-C 3.2 (avec Power Delivery), un port Ethernet 2.5 Gb/s et un lecteur de carte SDXC. Un port jack 3.5 est également présent à l’arrière, ce qui sera pratique pour les utilisateurs voulant y brancher des enceintes.

L’accessoire est disponible en deux versions : une avec deux emplacements M.2 pour un duo de SSD 8 To (modèle A), et un autre plus limité à emplacement unique (modèle B). Si l’on ne peut donc y mettre que 8 To, cette version compense par une compatibilité PCIe x4 permettant des débits plus rapides. Le fabricant vante ainsi des débits de lecture de 3219 Mb/s pour le modèle A, contre 5809 Mb/s pour le modèle B avec le même SSD 1 To M2 PCIe. En écriture, on grimpe de 2800 Mb/s à 3162 Mb/s.

On privilégiera donc le plus rapide des deux pour les utilisations intenses comme du montage vidéo, là où l’autre se destine plus à du stockage pur. Dans les deux cas, un refroidissement actif est embarqué. Le Mate mini peut se placer au-dessus ou en dessous de l’ordinateur, bien que cette dernière solution soit moins pratique pour accéder au bouton de démarrage.

Les deux modèles sont au même prix : 139 $ sur la boutique de Beelink, sachant qu’il est possible de faire grimper la note si l’on souhaite également recevoir des SSD. Un câble Thunderbolt 5 est présent et les frais de port sont offerts. Les produits de Beehive sont vendus chez nous via Amazon. La boutique n’a pas été mise à jour pour l’instant, mais on peut imaginer qu’elle le sera à l’approche du lancement officiel, dont la date n’est pas encore connue.

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Mate mini : une nouvelle station d’accueil pour Mac mini M4 avec des emplacements pour SSD

La marque Beelink vient de présenter le Mate mini, une station d’accueil pour Mac mini M4 permettant d’ajouter jusqu’à 16 To de stockage à sa machine. L’accessoire apporte une connectique variée : on gagne deux ports USB-3 3.0, un USB-C 3.2 (avec Power Delivery), un port Ethernet 2.5 Gb/s et un lecteur de carte SDXC. Un port jack 3.5 est également présent à l’arrière, ce qui sera pratique pour les utilisateurs voulant y brancher des enceintes.

L’accessoire est disponible en deux versions : une avec deux emplacements M.2 pour un duo de SSD 8 To (modèle A), et un autre plus limité à emplacement unique (modèle B). Si l’on ne peut donc y mettre que 8 To, cette version compense par une compatibilité PCIe x4 permettant des débits plus rapides. Le fabricant vante ainsi des débits de lecture de 3219 Mb/s pour le modèle A, contre 5809 Mb/s pour le modèle B avec le même SSD 1 To M2 PCIe. En écriture, on grimpe de 2800 Mb/s à 3162 Mb/s.

On privilégiera donc le plus rapide des deux pour les utilisations intenses comme du montage vidéo, là où l’autre se destine plus à du stockage pur. Dans les deux cas, un refroidissement actif est embarqué. Le Mate mini peut se placer au-dessus ou en dessous de l’ordinateur, bien que cette dernière solution soit moins pratique pour accéder au bouton de démarrage.

Les deux modèles sont au même prix : 139 $ sur la boutique de Beelink, sachant qu’il est possible de faire grimper la note si l’on souhaite également recevoir des SSD. Un câble Thunderbolt 5 est présent et les frais de port sont offerts. Les produits de Beehive sont vendus chez nous via Amazon. La boutique n’a pas été mise à jour pour l’instant, mais on peut imaginer qu’elle le sera à l’approche du lancement officiel, dont la date n’est pas encore connue.

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Clippy renaît sur Mac, boosté par un LLM tournant en local

Non content d’avoir un très joli prénom, le développeur Felix Rieseberg est aussi un créateur de talent : il propose depuis peu Clippy, une application ressuscitant l’antique assistant de Microsoft en lui greffant un grand modèle de langage qui tourne en local. On peut ainsi papoter avec un LLM depuis une fenêtre reprenant les codes de Windows 95, et regarder le célèbre trombone faire sa vie quand la fenêtre est fermée.

Clippy sur mon MacBook Air M1.

Une fois lancé, Clippy peut être déplacé partout sur l’écran. Cliquer dessus ouvre une nouvelle fenêtre de chat au style rétro, qui pourra continuer de flotter au-dessus des autres apps. Felix Rieseberg présente le projet comme une « lettre d’amour à Clippy » qui ne cherche pas à être le meilleur programme pour faire tourner de l’IA en local, mais plutôt une petite plaisanterie mélangeant nostalgie et technologies modernes. Malgré son côté blague, l’app est bien fichue. Elle est réactive, dispose d’une interface épurée et est assez efficace pour une utilisation ponctuelle. Un historique des conversations est sauvegardé.

Cette application Electron propose de télécharger différents modèles : le Gemma3 de Google, Llama 3.2 chez Meta, Phi-4 chez Microsoft ou encore Qwen3 chez Gwen. Il est également possible d’ajouter manuellement un LLM, par exemple pour ceux préférant papoter avec Mistral. Une fenêtre permet d’ajuster son « prompt » de départ, qui est de base configurée pour imiter Clippy. Il n’est pas possible de connecter l’app à des services en ligne comme ChatGPT ou Gemini.

Clippy est entièrement gratuit et peut être téléchargé sur le site du développeur ou via Github. L’app est disponible en version pour Mac Apple Silicon ou Intel, mais aussi pour Windows ou Linux.

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Clippy renaît sur Mac, boosté par un LLM tournant en local

Non content d’avoir un très joli prénom, le développeur Felix Rieseberg est aussi un créateur de talent : il propose depuis peu Clippy, une application ressuscitant l’antique assistant de Microsoft en lui greffant un grand modèle de langage qui tourne en local. On peut ainsi papoter avec un LLM depuis une fenêtre reprenant les codes de Windows 95, et regarder le célèbre trombone faire sa vie quand la fenêtre est fermée.

Clippy sur mon MacBook Air M1.

Une fois lancé, Clippy peut être déplacé partout sur l’écran. Cliquer dessus ouvre une nouvelle fenêtre de chat au style rétro, qui pourra continuer de flotter au-dessus des autres apps. Felix Rieseberg présente le projet comme une « lettre d’amour à Clippy » qui ne cherche pas à être le meilleur programme pour faire tourner de l’IA en local, mais plutôt une petite plaisanterie mélangeant nostalgie et technologies modernes. Malgré son côté blague, l’app est bien fichue. Elle est réactive, dispose d’une interface épurée et est assez efficace pour une utilisation ponctuelle. Un historique des conversations est sauvegardé.

Cette application Electron propose de télécharger différents modèles : le Gemma3 de Google, Llama 3.2 chez Meta, Phi-4 chez Microsoft ou encore Qwen3 chez Gwen. Il est également possible d’ajouter manuellement un LLM, par exemple pour ceux préférant papoter avec Mistral. Une fenêtre permet d’ajuster son « prompt » de départ, qui est de base configurée pour imiter Clippy. Il n’est pas possible de connecter l’app à des services en ligne comme ChatGPT ou Gemini.

Clippy est entièrement gratuit et peut être téléchargé sur le site du développeur ou via Github. L’app est disponible en version pour Mac Apple Silicon ou Intel, mais aussi pour Windows ou Linux.

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L’intégration de Gemini à Siri pourrait changer la donne pour les utilisateurs des services Google

Lors de la dernière Google I/O, la firme de Mountain View a présenté un paquet de nouveautés pour son assistant Gemini. Celui-ci va pouvoir proposer de meilleures suggestions de réponses dans Gmail, activer la traduction vocale en quasi-temps réel dans Meet, transformer des présentations Slides en vidéo… Mais surtout, Google a annoncé que son assistant allait pouvoir piocher dans les informations de l’utilisateur : un atout qui pourrait changer la donne lorsque Gemini sera intégré à Siri.

L’application Gemini sur iOS.

L’assistant de Google va pouvoir être personnalisé grâce aux données de l’utilisateur. Les nouvelles réponses dans Gmail se basent là-dessus : l’IA analyse les précédentes conversations pour proposer un brouillon encore plus adapté. Elle peut également s’appuyer sur les données des différents autres services pour affiner ses propositions. Dans son communiqué, Google fournit quelques exemples :

Si votre ami vous envoie un e-mail pour vous demander des conseils sur un voyage que vous avez déjà effectué, Gemini peut se charger de rechercher vos anciens e-mails et fichiers dans Google Drive, tels que les itinéraires que vous avez créés dans Google Docs, afin de vous suggérer une réponse contenant des détails précis et pertinents. La réponse correspondra à vos salutations habituelles et tiendra compte de votre ton, de votre style et même de vos choix de mots préférés, le tout pour générer une réponse plus pertinente et qui vous ressemble vraiment.

En pratique, Gemini devrait être proposé comme remplaçant à ChatGPT dans Siri. L’assistant d’OpenAI a des connaissances limitées sur l’utilisateur, qui se cantonnent à son historique de conversion. S’il devient possible de connecter son compte Google à Gemini, cette nouvelle alternative devrait être bien plus intéressante pour les gros utilisateurs de Gmail et consort. On pourrait par exemple demander à Gemini ce que l’on a fait le week-end dernier, qui répondrait en se basant sur le contenu de Google Photos. Une sorte de nouveau Siri avant l’heure pour les gros utilisateurs Google.

Le nouveau Gemini connaissant mieux l’utilisateur sera disponible pour les abonnés payants dans le courant de l'année. Cela fait plusieurs mois que les rumeurs sur une intégration de Gemini à Siri circulent : Sundar Pichai a confirmé il y a peu qu’il comptait bien amener son modèle sur les plateformes de Cupertino. Reste à voir si Apple autorisera une intégration aussi poussée.

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L’intégration de Gemini à Siri pourrait changer la donne pour les utilisateurs des services Google

Lors de la dernière Google I/O, la firme de Mountain View a présenté un paquet de nouveautés pour son assistant Gemini. Celui-ci va pouvoir proposer de meilleures suggestions de réponses dans Gmail, activer la traduction vocale en quasi-temps réel dans Meet, transformer des présentations Slides en vidéo… Mais surtout, Google a annoncé que son assistant allait pouvoir piocher dans les informations de l’utilisateur : un atout qui pourrait changer la donne lorsque Gemini sera intégré à Siri.

L’application Gemini sur iOS.

L’assistant de Google va pouvoir être personnalisé grâce aux données de l’utilisateur. Les nouvelles réponses dans Gmail se basent là-dessus : l’IA analyse les précédentes conversations pour proposer un brouillon encore plus adapté. Elle peut également s’appuyer sur les données des différents autres services pour affiner ses propositions. Dans son communiqué, Google fournit quelques exemples :

Si votre ami vous envoie un e-mail pour vous demander des conseils sur un voyage que vous avez déjà effectué, Gemini peut se charger de rechercher vos anciens e-mails et fichiers dans Google Drive, tels que les itinéraires que vous avez créés dans Google Docs, afin de vous suggérer une réponse contenant des détails précis et pertinents. La réponse correspondra à vos salutations habituelles et tiendra compte de votre ton, de votre style et même de vos choix de mots préférés, le tout pour générer une réponse plus pertinente et qui vous ressemble vraiment.

En pratique, Gemini devrait être proposé comme remplaçant à ChatGPT dans Siri. L’assistant d’OpenAI a des connaissances limitées sur l’utilisateur, qui se cantonnent à son historique de conversion. S’il devient possible de connecter son compte Google à Gemini, cette nouvelle alternative devrait être bien plus intéressante pour les gros utilisateurs de Gmail et consort. On pourrait par exemple demander à Gemini ce que l’on a fait le week-end dernier, qui répondrait en se basant sur le contenu de Google Photos. Une sorte de nouveau Siri avant l’heure pour les gros utilisateurs Google.

Le nouveau Gemini connaissant mieux l’utilisateur sera disponible pour les abonnés payants dans le courant de l'année. Cela fait plusieurs mois que les rumeurs sur une intégration de Gemini à Siri circulent : Sundar Pichai a confirmé il y a peu qu’il comptait bien amener son modèle sur les plateformes de Cupertino. Reste à voir si Apple autorisera une intégration aussi poussée.

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Apple aurait prévu une nouvelle version de Raccourcis carburant à l’intelligence artificielle

Apple aurait dans ses cartons une version revue de l’app Raccourcis. Selon Mark Gurman, cette nouvelle version devrait carburer à l’IA avec un concept intéressant : la création de raccourcis aidée par les modèles Apple Intelligence. La sortie était initialement prévue pour le courant 2025, mais le projet a été repoussé à 2026.

La présentation de Raccourci sur Mac en 2021. Image Apple.

Les détails sont maigres, mais on imagine que l’app aura droit à un ravalement de façade ainsi qu’à diverses nouvelles options. L’arrivée d’Apple Intelligence devrait permettre de créer des raccourcis en les décrivant de façon naturelle. On pourra ainsi demander quelque chose comme « Active le mode silencieux quand j’arrive au travail », et l’application devrait pouvoir proposer quelque chose qui tient la route. C’est une bonne idée, car si l’interface de Raccourcis est assez accessible, bon nombre d’utilisateurs ne prennent pas le temps de s’y intéresser à cause de son concept qui requiert un peu de recherche.

Apple a d’autres nouveautés liées à l’IA dans ses cartons, bien que le sujet ne devrait pas être au cœur de la conférence de lundi prochain. Les développeurs devraient gagner accès aux modèles d’IA d’Apple pour intégrer de nouvelles fonctions dans leurs apps, tandis que l’app Traduire devrait être revue pour faire la part belle à l’IA. Certaines fonctions de Safari, de Photos et d’autres apps devraient être revues et présentées comme étant « optimisées par l’IA ».

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Apple aurait prévu une nouvelle version de Raccourcis carburant à l’intelligence artificielle

Apple aurait dans ses cartons une version revue de l’app Raccourcis. Selon Mark Gurman, cette nouvelle version devrait carburer à l’IA avec un concept intéressant : la création de raccourcis aidée par les modèles Apple Intelligence. La sortie était initialement prévue pour le courant 2025, mais le projet a été repoussé à 2026.

La présentation de Raccourci sur Mac en 2021. Image Apple.

Les détails sont maigres, mais on imagine que l’app aura droit à un ravalement de façade ainsi qu’à diverses nouvelles options. L’arrivée d’Apple Intelligence devrait permettre de créer des raccourcis en les décrivant de façon naturelle. On pourra ainsi demander quelque chose comme « Active le mode silencieux quand j’arrive au travail », et l’application devrait pouvoir proposer quelque chose qui tient la route. C’est une bonne idée, car si l’interface de Raccourcis est assez accessible, bon nombre d’utilisateurs ne prennent pas le temps de s’y intéresser à cause de son concept qui requiert un peu de recherche.

Apple a d’autres nouveautés liées à l’IA dans ses cartons, bien que le sujet ne devrait pas être au cœur de la conférence de lundi prochain. Les développeurs devraient gagner accès aux modèles d’IA d’Apple pour intégrer de nouvelles fonctions dans leurs apps, tandis que l’app Traduire devrait être revue pour faire la part belle à l’IA. Certaines fonctions de Safari, de Photos et d’autres apps devraient être revues et présentées comme étant « optimisées par l’IA ».

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Promo : l’Apple Watch Series 10 à 379 € (-16 %)

Si vous cherchez une Apple Watch, c’est le moment de craquer : la Series 10 est en ce moment à 379 € à la Fnac. Il s’agit du modèle GPS en taille 42mm, ce qui représente une ristourne de 70 € sur le prix demandé en Apple Store. La montre est disponible en coloris noir, mais les déclinaisons Argent et Or rose sont également en stock. Notons que la version 42 mm est à 323 € chez Amazon Italie, tandis que la déclinaison 46 mm tombe à 353 €.

L'Apple Watch Series 10. Image Apple.

La Series 10 est la dernière génération d’Apple Watch, qui a gagné un design légèrement affiné plus confortable au poignet. On y retrouve les fonctions habituelles en plus d’une recharge plus rapide, d’un capteur de température externe et des notifications d’apnée du sommeil. On ne s’attend pas à une mise à jour majeure pour la Series 11 : ce n’est donc pas un mauvais choix à ce prix là.

La version cellulaire peut être associée à un forfait, ce qui permet de rester joignable sans emporter son iPhone. Comptez par exemple 5 € par mois chez Orange ou Sosh, avec trois mois offerts pour tester la fonctionnalité sans risque.

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En 2024, l’App Store américain a généré près de trois fois plus de revenus qu’en 2019

Alors que la pression monte sur l’App Store et sa fameuse commission de 30 %, Cupertino vient de dévoiler les conclusions d’une enquête portant sur les gains générés par sa boutique. Commandée par ses soins, on y apprend que l’App Store américain a « généré 406 milliards de dollars de revenus et de ventes pour les développeurs en 2024 ». Apple explique que la taille de sa boutique a presque triplé depuis 2019, étant donné qu’elle n’engendrait alors que 142 milliards de dollars.

Sur ce chiffre de 406 milliards, 277 proviennent des ventes de biens et services physiques (voyages, livraison de nourriture, paiement), 75 de publicités in-app et 53 des biens et services numériques. En 2024, le nombre de téléchargements d'applications dans le monde a atteint 12,4 milliards, soit une augmentation de 36 % par rapport à 2019. Apple indique que les petits développeurs ont vu leurs revenus s'envoler, avec une hausse de 76 % entre 2021 et 2024. Le communiqué, forcément très positif, rappelle les différents avantages à utiliser l’App Store ainsi qu’une déclaration de Tim Cook :

Depuis plus de 15 ans, l’App Store est une source d’opportunités incroyables pour les développeurs d’apps, les entrepreneurs et les entreprises de toutes tailles. Cela inclut les nombreux développeurs américains qui innovent, développent leurs activités et connaissent un succès exceptionnel sur l’App Store. Nous continuerons d’investir dans des outils, des technologies et des ressources puissants pour aider les développeurs aux États-Unis et dans le monde entier à propulser leurs apps vers de nouveaux sommets et à créer des expériences transformatrices pour les utilisateurs.

Cupertino insiste sur le fait que les développeurs ne lui ont versé aucune commission pour plus de 90 % des transactions et ventes effectuées sur l'App Store. La mise en valeur de cette donnée n’est pas innocente : Cupertino a récemment été forcée de faire sauter plusieurs barrières tarifaires de sa boutique aux États-Unis, permettant par exemple de rediriger en dehors des applications pour faire des achats. Le changement a eu lieu dans le cadre de son grand procès contre Epic, qui s’est toujours montré très critique face à cette commission.

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Nintendo met à jour ses applications pour accompagner la sortie de la Switch 2

À quelques jours du lancement de la Switch 2, Nintendo met ses applications iOS à jour pour accueillir correctement cette nouvelle génération. L’app officielle Nintendo Switch Online est récemment devenue Nintendo Switch App et gagne en fonctionnalité : on peut désormais accéder aux captures d’écran de sa console directement depuis son téléphone. Des éléments de l’interface ont été mis à jour, et on peut maintenant ajouter des personnes à sa liste d’amis via son iPhone. Le but est de mettre en valeur GameChat, un système de discussion en ligne présenté comme un point fort de la Switch 2.

Ce n’est pas tout, et l’entreprise a également apporté quelques modifications à son app de contrôle parental. Récemment passée en version 2.0, celle-ci prend désormais en charge la Switch 2 et les paramètres liés à GameChat. On pourra ainsi décider avec qui son enfant a le droit de parler, mais aussi augmenter le temps de jeu quotidien ou choisir à partir de quelle heure la console peut être utilisée. Des informations ont été ajoutées dans l’historique de jeu, tandis que de nouvelles notifications sont disponibles pour donner des conseils aux parents. Il est possible de gérer 8 Switch depuis l’app.

Sur un autre registre, Nintendo a également mis à jour Nintendo Today! : cette app lancée il y a peu permet de facilement suivre l’activité de la marque. Les évènements peuvent maintenant se synchroniser avec le calendrier d’iOS, et un bouton de favori a fait son apparition. De son côté, Nintendo Music a gagné une option d’arrêt automatique idéale pour ceux s’endormant en musique, ainsi que de nouveaux réglages pour la fonction d’extension de piste.

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À l’aube d’iOS 26, l’iPhone changera-t-il lui aussi de numérotation ?

Apple aurait prévu un gros changement lors de la prochaine WWDC : un nouveau système de numérotation de ses OS. Cupertino se baserait ainsi sur l’année plutôt que sur un numéro de version incrémental, ce qui fait qu’iOS 19 s’appellerait iOS 26. Le but est de simplifier une gamme qui commence à devenir assez compliquée entre visionOS 2, watchOS 11 et macOS 15. Ce plan pose la question de savoir ce qu’il en sera pour l’iPhone, qui devrait logiquement passer au chiffre 17 cette année.

Image iGeneration

Le prochain modèle sera-t-il l’iPhone 26 ? Un tel changement serait plus simple pour les clients, tant un iPhone 26 tournant sous iOS 26 serait plus facile à expliquer qu’un iPhone 17 sous iOS 26. Le tout restera un peu confus après quelques générations de mises à jour (l’iPhone 26 sous iOS 29 ?), mais ça ne sera pas plus flou que ce que l’on a actuellement.

Un système de nom d’iPhone basé sur l’année permettrait également au client de savoir facilement quand a été lancé son téléphone. Le modèle actuel ne fait de toute façon plus vraiment sens, Apple ayant sauté l’iPhone 9 en 2017. En suivant le rythme habituel, l’iPhone des 20 ans de 2027 devrait être appelé… l’iPhone 19. Apple aura peut-être trouvé un nom spécial pour l’occasion, comme elle l’avait fait avec l’iPhone X.

Cupertino ne pourra pas rapprocher sa nomenclature de celle des iPad, qui n’ont pas de numéros et que l’on désigne parfois par générations. Cependant, Apple différencie depuis quelque temps ses produits par leurs puces (iPad Air M3, iPad Pro M4), ce qui ne fonctionnerait pas vraiment avec l’iPhone. Les modèles standard et Pro utilisent une puce différente, ce qui donnerait quelque chose comme iPhone (A19) et iPhone Pro Max (A19 Pro). Si les lecteurs de MacG s’y retrouveraient, ce serait sans doute trop confus pour les acheteurs lambda.

Un iPhone nommé selon son année le rapprocherait des Mac, mais les ordinateurs de la Pomme sont baptisés de l’année en cours (MacBook Pro 2024), là où iOS se baserait sur l’année après la sortie (iOS 26 sortirait en septembre 2025). Un iPhone 25 tournant sous iOS 26 ne serait pas très logique. Reste aussi l’hypothèse appuyée par Mark Gurman qu’Apple ne changera rien pour ne pas perturber le public. On en saura plus en septembre prochain, lors du grand Keynote de présentation de la nouvelle cuvée d’iPhone.

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Telegram annonce un partenariat avec xAI et va bientôt intégrer Grok

Telegram vient d’annoncer un partenariat avec xAI, l’entreprise d’Elon Musk dédiée aux IA génératives. Le service de messagerie va proposer le chatbot Grok à ses utilisateurs, qui sera intégré dans ses applications. Le fondateur de Telegram Pavel Durov a déclaré que cet accord durerait un an : son entreprise va recevoir 300 millions de dollars pour l'occasion (environ 264 millions d’euros), dont une partie sera payée en actions xAI. La plateforme récupérera également 50 % des recettes provenant des abonnements à Grok vendus via Telegram.

This summer, Telegram users will gain access to the best AI technology on the market. @elonmusk and I have agreed to a 1-year partnership to bring xAI’s @grok to our billion+ users and integrate it across all Telegram apps

This also strengthens Telegram’s financial… pic.twitter.com/ZPK550AyRV

— Pavel Durov (@durov) May 28, 2025

Pavel Durov a partagé une vidéo montrant l’intégration du tchatbot. Celui-ci va être mis en avant auprès des utilisateurs et trouvable via une recherche. On pourra lui poser des questions, s’en servir pour modifier ses messages, résumer des conversations ou des PDF, mais aussi modérer des tchats de groupes. Un peu comme ce que propose Apple avec les genmojis, il sera possible de générer des autocollants animés. On pourra enfin lui demander de retoucher son avatar, présent sur sa photo de contact.

Ce partenariat marque un rapprochement entre deux acteurs controversés. Pavel Durov a été arrêté en France l’année dernière : on lui reprochait alors l’absence de modération sur les contenus partagés sur Telegram, en plus d’un refus de coopérer sur différentes enquêtes (escroquerie, trafic de drogues, crime organisé, etc). Il s’était défendu par la suite, déclarant qu’il était « difficile de trouver le bon équilibre entre la confidentialité et la sécurité ».

De son côté, Grok a été présenté comme un tchatbot « ayant un sens de l'humour » et moins politiquement correct que la concurrence. Son générateur d’image n’est pas bridé et peut représenter des célébrités. Il a récemment été épinglé pour sa capacité à déshabiller des femmes ou encore son obsession sur un prétendu « génocide blanc » en Afrique du Sud. Les nouveautés liées à Grok seront mises en place à l’été 2025.

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Framasoft lance un financement participatif pour l’application mobile PeerTube

Framasoft cherche à mettre en valeur PeerTube, son alternative décentralisée à YouTube. L’association vient de lancer un financement participatif visant à accélérer le développement de son application mobile. Un pari qui devrait rendre l'app plus confortable au quotidien et ainsi permettre à PeerTube d’être adopté par un plus grand public.

PeerTube n’a pendant longtemps été gérée que par un seul développeur, mais Framasoft a doublé ses effectifs l’année dernière en embauchant une personne travaillant sur la future application mobile. L’association considère que PeerTube est désormais mature, rappelant qu’il est utilisé par le ministère de l'Éducation nationale français ou le réseau informatique des universités italiennes. Le fonctionnement reste assez différent de YouTube, étant donné que tout est décentralisé : il faut rejoindre des « plateformes » diffusant leurs vidéos avant d’en voir le contenu.

Une première version de l’app mobile est sortie en fin d’année dernière, et la campagne a pour but de l’améliorer. À partir de 15 000 € de dons seront ajoutés la lecture en arrière-plan, la possibilité de diffuser la vidéo sur une TV ou d’activer les notifications. À 35 000 €, l’association va pouvoir permettre l’envoi de vidéos depuis son téléphone, que l’on pourra directement chapitrer et sous-titrer. À partir de 55 000 €, un système de diffusion en direct sera mis en place.

La campagne durera pendant encore 19 jours, avec un objectif de 75 000 € permettant de soutenir l’association sur le long terme. Framasoft explique qu’il n’y a pas de contributions à proprement parler, et que la campagne va permettre de jauger l’enthousiasme du public pour le projet. Vous pouvez faire un don à ce lien, lire le billet de blog détaillé ici ou télécharger la première version de l’app sur l’App Store

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Self Service Repair : Apple ajoute l’iPad à son programme de réparation en libre-service

Bonne nouvelle pour les bidouilleurs : Apple vient d’annoncer que les iPad venaient de rejoindre son programme de réparation à domicile. Les plus manuels pourront donc y faire appel pour réparer certaines tablettes récentes. Le programme était jusqu’à présent réservé aux iPhone, aux Mac et à certains accessoires comme le Studio Display.

Comme pour les autres appareils, les manuels sont disponibles en accès libre sur le site d’Apple tandis que les pièces peuvent être commandées sur la boutique prévue à cet effet. Le programme ne fonctionne qu’avec des iPad sortis sur les deux dernières années : l’iPad Air M2/M3, les iPad Pro M4, l’iPad mini A17 Pro et le dernier iPad à puce A16.

Il est possible de faire en sorte de changer la batterie, mais aussi de réparer une caméra ou un port défectueux. La boutique française n’a pas encore été mise à jour avec les nouvelles pièces. Elle prend désormais en charge 65 produits Apple, donc les Mac M4 et l’iPhone 16e.

La réparation via ce programme est à réserver aux clients qui savent ce qu’ils font : un simple changement de batterie d'iPhone implique de recevoir des grosses malles de plus de dix kilos comportant tout un tas d’outils. Lancé au début 2023 dans l’Hexagone, le Canada sera le 34ᵉ pays à en bénéficier à partir de l’été prochain. La Pomme a profité de cette annonce pour donner des détails sur son programme Genuine Parts Distributor, qui se destine aux réparateurs. Il permet au prestataires indépendants de commander des composants d’origine via un distributeur tiers. Une page dédiée est en ligne avec des détails.

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Switch 2 : où précommander sa console au meilleur prix ?

La Switch 2 sera officiellement lancée la semaine prochaine, le 5 juin. Si certains ont précommandé la machine dès son annonce début avril, d’autres ont été quelque peu refroidis par son prix en hausse par rapport à la première génération. Heureusement, les revendeurs français ont décidé de casser les prix pour attirer les clients : voici où précommander votre Switch 2 si ce n’est pas encore fait.

Nintendo Switch 2. Image Nintendo.

Bien que Nintendo affiche un tarif recommandé de 469,99 €, la machine seule peut être trouvée pour 439,99 € chez Cdiscount, Leclerc ou Cultura. Les nouveaux clients Cdiscount peuvent obtenir 10 € de remise avec le code HELLO10, ce qui en fait sans doute la meilleure offre du moment. La livraison est prévue dès le 5 juin.

La Fnac affiche la console à son tarif standard, mais proposera une ouverture exceptionnelle dans une dizaine de magasins le 5 juin : cela peut être intéressant pour les plus pressés. Les boutiques seront ouvertes de minuit à 2 h du matin pour l’occasion, mais il faudra commander avant le 30 mai pour être sûr d’être servi.

Le pack avec Mario Kart est à 10 € de moins que son tarif conseillé chez de nombreux revendeurs. On le trouve ainsi à 499,99 € chez Amazon ou même à la Fnac. L’enseigne a visiblement plus de stock que la plateforme en ligne, Amazon annonçant une livraison le 10 juin là où la Fnac reste sur le 5. Leclerc a également du stock, tout comme Auchan, qui propose en plus 15 € de bons d’achat pour l’achat de 60 € de jeux vidéo.

Pour ceux désirant acheter des jeux en version boîte, Mario Kart est à 69,90 € chez de nombreux revendeurs, comme la Fnac ou Amazon. Cette dernière a visiblement ce qu’il faut pour les accessoires, comme la manette Pro à 89,99 € ou la pochette de transport. Donkey Kong Bananza est disponible pour 59,90 € en précommande chez Amazon, sachant qu’il ne sortira qu’à la mi-juillet. Nous mettrons cet article à jour avec les bonnes affaires qui vont sans doute être mises en place une fois la console sur les étals.

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Commission européenne : Apple a moins de 30 jours pour se mettre au pas du DMA

Pour la Commission européenne, Apple est toujours en dehors des clous du DMA. Le régulateur a infligé une amende de 500 millions d’euros à Cupertino en avril dernier. L’intégralité de sa décision vient d’être publiée : rédigée fin avril, on peut y lire qu’Apple avait 60 jours pour se mettre au pas des règles du DMA, sans quoi des « pénalités périodiques » seront mises en place. On peut donc conclure qu'il lui reste jusqu'au 22 juin pour s'exécuter, soit moins de 30 jours.

Image Pixabay.

La discorde porte autour des limitations mises en place par Apple visant à empêcher les clients de s’abonner à des services ou d’effectuer des achats sur des plateformes externes, qui ne sont pas soumises aux 30 ou 15 % de commission. Apple a bien fait quelques changements, qui ne sont pas suffisants pour la Commission. Celle-ci a passé au crible les règles de l’App Store, la révision mise en place au mois de mars et les textes concernant les apps de streaming musicales : elle estime qu’Apple ne respecte pas ses règles.

Les changements effectués par Apple font que les développeurs peuvent proposer des liens externes, mais dans un format spécifique. Cliquer dessus affiche un écran avertissant l’utilisateur qu’il quitte le pré carré d’Apple d’une manière pouvant être interprétée comme intimidante. Apple continue de prélever une taxe de 27 % sur ces achats, pourtant réalisés en dehors de l’App Store. Ces contraintes ont récemment sauté aux États-Unis dans le cadre du grand procès opposant Cupertino à Epic.

App Store : Bruxelles juge qu

App Store : Bruxelles juge qu'Apple enfreint des règles du DMA

« Les pénalités qui pourraient être définitivement fixées devraient être suffisantes pour assurer le respect par Apple de la présente décision et pourraient tenir compte des ressources financières importantes d'Apple », indique la Commission dans un document. Le DMA précise que ces amendes peuvent aller jusqu’à 5 % de son chiffre d’affaires mondial journalier moyen. Apple a répondu dans un communiqué partagé à 9to5Mac, dont voici une traduction :

Rien dans la décision de 70 pages publiée aujourd'hui ne justifie les actions ciblées de la Commission européenne contre Apple, qui menacent la vie privée et la sécurité de nos utilisateurs en Europe et nous obligent à donner notre technologie gratuitement. Cette décision et cette amende sans précédent ont été prises alors que la Commission a continuellement changé les règles du jeu en matière de conformité et bloqué à plusieurs reprises les efforts déployés par Apple pendant des mois pour mettre en œuvre une nouvelle solution.

Cette décision est mauvaise pour l'innovation, mauvaise pour la concurrence, mauvaise pour nos produits et mauvaise pour les utilisateurs. Pendant que nous faisons appel, nous continuerons à nous engager auprès de la Commission pour défendre les intérêts de nos clients européens.

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Pour le CEO de Nothing, le téléphone du futur fera une croix sur les apps

Les IA génératives font cogiter les patrons de la tech. Le CEO de Nothing Carl Pei a partagé ses réflexions à l’occasion d’une interview accordée à Wired. Il y explique penser que le smartphone du futur ne sera pas basé sur des apps, mais que les utilisateurs feront appel à l’IA et au système d'exploitation pour effectuer leurs différentes actions du quotidien.

Carl Pei en 2025. Image : Nothing

Le CEO estime que l’IA sera le prochain grand tournant numérique, et compare son arrivée à celle de l’iPod. Il explique que tout le monde savait à l’époque que le concept de baladeur MP3 allait marcher, et qu’Apple a dominé le marché car son produit avait « vu tout juste », du point de vue de l’interface comme du matériel ou de l’expérience utilisateur. Son ambition est de reproduire quelque chose de similaire avec l’IA, sans forcément en incorporer juste pour remplir un cahier des charges. Carl Pei ne manque pas de tacler Apple par rapport au fiasco Apple Intelligence :

À cet égard, Apple d'aujourd'hui est très différent de l'Apple de ma jeunesse. L'année dernière, ils ont fait de grandes promesses à propos de l'Apple Intelligence. Aujourd'hui, un an plus tard, Apple Intelligence n'est pas grand-chose de plus que quelques emojis générés par IA. Cela a rendu les consommateurs très sceptiques.

Le CEO de Nothing ne voit pas un grand avenir dans les « accessoires IA » comme l’AI Pin ou les lunettes connectées dans l’immédiat, le marché étant selon lui trop petit là où tout le monde a déjà un smartphone dans la poche. « Je ne pense pas qu'un autre appareil sera aussi important pour l'IA que le smartphone dans un avenir proche », déclare-t-il. Cependant, les lunettes connectées seront pour lui un gros marché dans une petite dizaine d’années, tandis que d’autres catégories de produits pourraient décoller.

A l'entendre, le téléphone va drastiquement évoluer dans les années à venir. Il imagine un smartphone avec une seule app : le système d’exploitation, connaissant tout du propriétaire et étant optimisé pour son utilisation. L’étape suivante viendra de l’automatisation, l’OS s’adaptant en fonction de l’heure, de l’emplacement et de l’agenda de son propriétaire. « À l'avenir, votre téléphone vous suggérera ce que vous voulez faire et le fera automatiquement pour vous. Il sera donc agentique, automatisé et proactif ».

Phone (3a). Image Nothing

Ce changement va se faire petit à petit pour ne pas effrayer les utilisateurs, qui ne seraient pas convaincus par un concept aussi radical qu’un téléphone sans apps. Il envisage donc d’améliorer ses produits de génération en génération, prenant en compte les suggestions pour ne pas perdre les utilisateurs en cours de route. Il estime qu’il lui faudra « 7 à 10 ans » pour arriver à ce but.

Nothing sera-t-elle encore là dans une décennie ? Carl Pei affirme que sa start-up se porte bien. « L'année dernière, nous avons connu une croissance d'environ 150 % », déclare-t-il avant de concéder qu’ils n’ont cependant qu’une part de marché de 0,1 %. Il reste donc beaucoup à faire, mais Nothing a une feuille de route bien remplie. Elle s’apprête à lancer un nouveau smartphone premium dans l’été, qui arrivera au côté de son premier casque audio.

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Connectivité satellite : Elon Musk aurait forcé la main d’Apple pour utiliser Starlink au lieu de Globalstar

Peu avant le lancement de l’iPhone 14, Elon Musk aurait mis un coup de pression à Apple pour lui demander d’utiliser les services de Starlink plutôt que ceux de Globalstar. The Information rapporte aujourd’hui les coulisses de cet échange que l’on imagine tendu. SpaceX ayant eu vent de l'accord, l'entreprise a proposé de réserver son réseau aux iPhone pendant 18 mois contre la coquette somme de 5 milliards de dollars : le service aurait ensuite été facturé 1 milliard par an. Elon Musk a donné à la Pomme 72 heures pour se décider.

Messages par satellite dans iOS 18. Image Apple.

La proposition est arrivée accompagnée d’une intimidation. Si Apple refusait le deal, Musk menaçait de présenter lui-même une fonction similaire compatible avec les iPhone. Face au refus d’Apple, il a mis sa menace à exécution quelques mois plus tard. Le CEO de SpaceX a dévoilé en 2022 une fonction en partenariat avec l’opérateur T-Mobile permettant de passer des coups de fil, d’envoyer des messages et même d’accéder à internet avec des débits équivalents à de la 3G.

Partenariat entre Starlink et T-Mobile : des débits dignes de la 3G… par satellites

Partenariat entre Starlink et T-Mobile : des débits dignes de la 3G… par satellites

Cet échange raté a créé de nouvelles tensions entre Apple et Musk, ce dernier ayant déjà une dent contre la Pomme pour sa taxe de 30 % sur les achats in-app effectuée dans X. SpaceX cherche depuis à mettre des bâtons dans les roues d’Apple pour tout ce qui touche aux satellites. Les deux groupes ont réussi à trouver un accord pour proposer Starlink sur iPhone, mais celui-ci n’a pas été fêté publiquement.

Les tensions ne s’arrêtent pas là. Musk aurait également demandé à Apple d’étendre sa prise en charge de la technologie Direct to Cell de Starlink, qu’elle a dans un premier temps réservé aux iPhone 14 ou plus. Le milliardaire voulait étendre sa base d’utilisateurs, là où Apple voulait plutôt inciter ses clients à changer de téléphone. La compatibilité a récemment été étendue aux iPhone 13.

iOS 18.5 active la connectivité satellite via l

iOS 18.5 active la connectivité satellite via l'opérateur pour la gamme iPhone 13

Les ambitions d’Apple dans le domaine du satellite ne datent pas d’hier. Dès 2015, Cupertino s’est rapprochée de Boeing dans l’espoir de proposer une connexion à travers le monde. Baptisé « Project Eagle », l’idée était d’envoyer des milliers de satellites Boeing en orbite : la connexion aurait été récupérée chez les particuliers grâce à des antennes à laisser à sa fenêtre. Environ 36 millions de dollars ont été investis avec un lancement prévu pour 2019, mais le projet ne s’est jamais concrétisé. Tim Cook a eu peur de se mettre à dos les opérateurs avec un concept coûteux et difficilement rentable à court terme.

Le déploiement d'une série de satellites. Image SpaceX.

Bien que mis au placard en 2016, le projet n’a pas été complètement abandonné. Une équipe a approché d’autres entreprises du domaine au cours des années suivantes, sans que rien ne se concrétise. Les ambitions ont alors été revues à la baisse avec l’idée de simplement permettre d’utiliser son iPhone dans une zone blanche. Des entreprises comme EchoStar et SpaceX ont été envisagées, mais Apple s’est finalement tournée vers Globalstar, qui était alors en difficulté financière.

La situation actuelle ne serait pas au goût de tout le monde chez Apple. Certains s’inquiètent que l’entreprise n’aille trop loin dans le secteur du telecom, ce qui pourrait la mettre en froid avec les opérateurs tout en attirant l’attention des régulateurs. D’autres regrettent que les fonctions par satellite se basent sur une constellation lente et vieillissante qui devrait rester en place sur la prochaine décennie.

Cupertino propose ses services gratuitement par crainte de voir le gouvernement lui tomber dessus : faire payer un abonnement pourrait lui donner un statut d'opérateur. Un tel changement pourrait la forcer à ouvrir iMessage, une loi imposant aux opérateurs américains de pouvoir partager les communications en cas de demande des forces de l’ordre. Les fonctions par satellites coûteraient des centaines de millions de dollars à Apple chaque année.

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The Browser Company va continuer de miser sur l’IA et délaisser Arc

Ça sent le sapin pour Arc, ce navigateur innovant bourré d’idées originales lancé en 2022. Le CEO de The Browser Company Josh Miller a publié une lettre ouverte dans laquelle il revient sur le projet, son futur et son successeur : Dia, un navigateur qui sera entièrement basé sur l’IA. Si Arc ne va pas être complètement débranché, il va très clairement passer au second plan. Le logiciel ne reçoit déjà plus de nouvelle fonctions, seulement des mises à jour de suivi.

Josh Miller justifie la décision de tuer Arc par sa faible marge de progression. Il estime que le concept original du navigateur (qui repose sur une interface radicalement différente et un système d’onglets repensé) limite son taux d’adoption. Ceux qui aiment Arc sont des fans, mais le concept s’est révélé trop compliqué pour un grand nombre de curieux. Et même les utilisateurs ayant sauté le pas ne se servent pas de certaines fonctions, pourtant au cœur de l’expérience.

En face, le CEO explique que les fonctions au cœur du futur Dia sont déjà bien plus exploitées par les utilisateurs quotidiens. Il raconte avoir discuté du futur d’Arc avec Scott Forstall, l’ancien vice-président d’Apple pour iOS :

Très tôt, Scott Forstall nous a dit qu'Arc ressemblait à un saxophone - puissant mais difficile à apprendre. Puis il nous a lancé un défi : en faire un piano. Quelque chose dont tout le monde peut s'asseoir et jouer. C'est désormais l'idée au cœur de Dia : dissimuler la complexité derrière des interfaces familières.

Pourquoi ne pas avoir fusionné Arc et Dia ? Le nouveau projet est vu comme une manière de corriger les défauts du premier, dont la base est considérée trop bancale pour supporter un tel projet. « Nous avons cessé d'utiliser TCA et SwiftUI afin de rendre Dia plus léger, plus rapide et plus réactif », explique l’entreprise, qui affirme avoir mis le paquet sur la sécurité en faisant grossir son équipe dédiée. « Ces éléments doivent faire partie de la base d'un produit, et ne pas être une réflexion après coup ».

Malgré l’arrêt du développement de nouvelles fonctions pour Arc, The Browser Company ne pense pas rendre son navigateur open source ou le vendre dans l’immédiat. Le logiciel n’est pas simplement une version dérivée de Chromium : il inclut un SDK interne décrit comme « la sauce secrète » permettant à d’anciens ingénieurs iOS de proposer des prototypes d’interface sans avoir à toucher au C++. Le SDK est également un des piliers de Dia, ce qui en fait un élément très important pour le futur de l’entreprise.

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Kick-Out : Popsockets lance une nouvelle béquille colorée pouvant tenir un iPhone à la verticale

Popsockets vient de revoir sa gamme d’accessoires MagSafe avec une nouvelle béquille pouvant maintenir le téléphone en position verticale. Le fabricant s’était lancé sur le terrain à la sortie de l’iPhone 12 en 2021, et propose aujourd’hui sa révision dans tout un tas de nouvelles couleurs. L’accessoire est facturé 39,99 € sur le site officiel, un peu plus cher chez Amazon.

Baptisée Kick-Out, cette béquille est disponible en noir, en violet, mais aussi en marron, en rose ou même avec des finitions style aluminium. L’accessoire peut prendre plusieurs formes : on peut étirer la poignée pour avoir un meilleur confort une fois le téléphone en main, ou déplier la béquille pour maintenir l’iPhone en position verticale ou horizontale. Le précédent modèle avait un système similaire, mais ne permettait pas de rester en mode portrait.

Si cet accessoire est compatible MagSafe, un adaptateur autocollant est inclus dans la boîte qui pourra le rendre utilisable avec n’importe quel appareil, comme un Kindle un téléphone Android ou un iPhone plus ancien. Le rond de plastique de la poignée est interchangeable, ce qui permet d’y greffer un modèle personnalisé. Notons qu’Amazon propose plusieurs des versions précédentes à des tarifs bien plus abordables tombant sous les 10 €.

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DS425+ : le nouveau NAS 4 baies de la gamme 25+ se précise

Il y aura bientôt du neuf chez Synology, qui s’apprête à lancer le DS425+ : ce nouveau NAS 4 baies peut recevoir jusqu’à 80 To de stockage et embarque également de quoi accueillir deux SSD NVMe. L’appareil tourne grâce à un processeur Quad Core Intel Celeron J4125 à 2 GHz qui n’est plus de première jeunesse. Il est épaulé par 2 Go de RAM DDR4, que l’on pourra faire grimper à 6 Go.

Coté connectique, on y trouve un port RJ45 2,5 Gb/s au côté d’un port 1 Gb/s plus classique. Deux ports USB 3.2 Gen 1 sont embarqués, ce qui sera pratique pour y brancher des disques externes. Le boîtier fait 166 mm x 199 mm x 223 mm et pèse 2 kilos. Le refroidissement est assuré par un duo de ventilateurs. On y retrouve le système intégré de Synology, qui permet d’accéder aux différentes apps du fabricant (Drive, Photos, Backup, Surveillance…). La fiche produit complète est disponible à ce lien.

Ce modèle fait partie de la nouvelle cuvée de NAS Synology plus restrictive en matière de disques tiers. Le site de la marque indique pour le moment que seuls les disques Synology sont compatibles. Comme pour les autres modèles, on peut imaginer qu’une liste incluant les disques de stockage tiers serait ajoutée à l’approche du lancement. Le tarif conseillé n’a pas été dévoilé, mais un site allemand l’affiche à 449,99 €. Le lancement officiel est visiblement prévu pour le mois de juin.

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En refusant un voyage officiel, Tim Cook s’est mis en froid avec Donald Trump

Les relations entre Tim Cook et Donald Trump sont tendues depuis plusieurs semaines, et les choses ne s’arrangent pas. Selon le New York Times, le président américain serait en froid avec Tim Cook, qui a refusé de le suivre lors de son déplacement officiel au Moyen-Orient. La récente annonce surprise d’une taxe de 25 % sur tous les produits Apple importés aux États-Unis serait une conséquence directe de ce refus.

Tim Cook et Donald Trump en 2019. Image White House.

Donald Trump avait invité plusieurs directeurs et autres représentants d’entreprises américaines à le suivre dans sa visite d’État au Moyen-Orient : Sam Altman était de la partie, mais aussi Jensen Huang de Nvidia ou Lisa Su d’AMD. Le CEO d’Apple a décliné l’invitation, ce qui n’a pas manqué d’énerver Donald Trump. Celui-ci a plusieurs fois taclé Cook sur place, faisant remarquer son absence face au public ou déclarant avoir « un petit problème » avec lui.

Les deux hommes avaient jusqu’à présent maintenu de bonnes relations. Le premier mandat s’était bien déroulé, Donald Trump ayant décrit Cook comme « un formidable dirigeant » qui l'appelait en cas de problèmes. Le duo se réunissait régulièrement pour des dîners ou à l’occasion de coups de fil, et Cook avait montré patte blanche pour le deuxième mandat en finançant et en assistant à la seconde investiture.

Donald Trump : la méthode Tim Cook étudiée par les autres CEO de la tech

Donald Trump : la méthode Tim Cook étudiée par les autres CEO de la tech

Si le mandat Trump 2 avait plutôt bien commencé, les choses se sont corsées au fil du temps. Il y a tout d’abord eu la décision de Cook de garder la diversité chez Apple, suivi de l’affaire des droits de douane imposés à la Chine. Le CEO d’Apple a fait du lobbying pour corriger le tir en promettant 500 milliards de dépenses aux États-Unis et la création de serveurs d’IA à Houston. Mais il n’a cependant pas fléchi sur certains points cruciaux, comme son projet de lourds investissements en Inde. Un choix qui passe mal auprès de Donald Trump, qui rêve d’un iPhone intégralement produit sur le sol américain.

Donald Trump a alors menacé d’ajouter 25 % de taxes sur les produits Apple pour l’inciter à favoriser les États-Unis. Ces nouveaux droits de douane devraient toucher tous les fabricants de smartphones. Apple n’est pour le moment pas revenue sur ses projets d’investissement, certains analystes estimant qu'elle préférera augmenter le prix de ses produits plutôt que de revoir ses plans. On attend maintenant de voir à quel tarif sera lancé l’iPhone 17, qui devrait être présenté en septembre prochain.

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Apple augmente les prix d’iCloud et d’Apple One au Brésil, au Chili et au Pérou

Mise à jour le 27 mai 2025 à 7h45 :

La hausse de prix sur les forfaits iCloud concerne aussi deux autres pays, en plus du Brésil : le Pérou et le Chili ont également droit à des tarifs plus élevés, comme l’a noté MacRumors. Ce sont les seuls pays touchés par ces hausses, du moins pour le moment.

Tableau MacRumors.

Article original

Mauvaise nouvelle pour les clients brésiliens d’Apple : la Pomme a drastiquement augmenté les prix de certains de ses services dans le pays. La hausse va de 20 % à 34 % et concerne autant iCloud que les formules Apple One. Cette décision n’est pas arbitraire, le réal brésilien ayant subi une dévaluation de 15 à 20 % par rapport au dollar américain sur les deux dernières années.

Le site iHelp BR a révélé le changement et note que le forfait iCloud 50 Go passe de 4,90 R$ (≈0,75 €) à 5,90 R$ (≈0,91 €). Le plus cher avec 2 To grimpe lui de 299,90 R$ (≈46,42 €) à 399,90 R$ (≈61,90 €). La formule basique d’Apple One reste à 42,90 R$ (6,64 €), mais la formule familiale a augmenté de 9 %. Le prix de l’abonnement Premium a également été revu à la hausse.

Apple n’a pas commenté cette augmentation et n’a pour le moment pas touché aux tarifs d’Apple Music ou de TV+, mais les choses pourraient évoluer prochainement. Le réal brésilien a bien chuté depuis le dernier réajustement des prix en 2023 : un dollar américain valait alors 4,75 R$, là où il vaut aujourd'hui plus de 5,60 R$. Les tarifs français n’ont pas bougé depuis 2023, quand Apple TV+ était passé à 9,99 € et Apple Arcade à 6,99 €. Les formules individuelle et familiale d’Apple One avaient également pris 3 € d’augmentation.

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Bandbreite : le catalogue de bracelets pour Apple Watch passe en version 2.0

Grosse mise à jour pour Bandbreite, cette application cherchant à être un catalogue complet des bracelets d’Apple Watch. La version 2.0 a été mise en ligne il y a peu, apportant pas moins de 40 nouveautés. Le code a été complètement réécrit pour l’occasion, les onglets modifiés et le design revu. Les changements ne concernent pour le moment que la déclinaison iOS, mais la version macOS devrait bientôt avoir droit à un coup de frais, tandis qu’une nouvelle app Apple Watch est dans les cartons.

Bandbreite permet de consulter des informations sur plus de 800 bracelets différents et de se créer une collection en fonction de ses achats ou de ses envies. Des suggestions sont proposées en plus de différentes statistiques. La version 2.0 apporte des données supplémentaires, une synchronisation iCloud plus rapide, une recherche améliorée et un journal de bord remanié. Des options de tri ont été ajoutées, et des widgets sont disponibles.

L’app reste gratuite mais impose désormais un achat in-app après un certain temps : 8 € seront demandés à ceux désirant gérer une collection de plus de 5 bracelets. Dans un communiqué, le créateur de l’app Filip Chudzinski explique que le projet est resté gratuit pendant 4 ans et que l’ajout d’un paiement unique va permettre de passer à la vitesse supérieure tout en rémunérant son équipe sur le long terme. Bandbreite nécessite un iPhone ou un iPad sous iOS 18.

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L’Apple Watch perd sa place de numéro un et passe derrière Xiaomi

Apple n’est plus le premier vendeur de wearables au monde : la Pomme se serait fait voler la première place par Xiaomi selon le cabinet d’analyse Canalys, qui a publié ses prédictions sur le premier trimestre 2025. Il y affirme que le marché des bracelets et autres montres connectées a grimpé de 13 % d’une année sur l’autre, avec pas moins de 46,6 millions d’unités livrées.

Apple aurait livré 7,6 millions de montres au premier trimestre. Un chiffre loin d’être ridicule et qui représente une augmentation de 5 % d’une année sur l’autre. Cependant, la concurrence dans le domaine est de plus en plus féroce. Xiaomi affiche un excellent trimestre avec 8,7 millions de wearables expédiés, soit 44 % de plus que l’année dernière.

Apple aurait désormais 16 % des parts de marché, contre 19 % pour Xiaomi. Rappelons que les deux marques ne jouent pas dans la même cour : Apple mise sur le haut de gamme, là où Xiaomi grossit en vendant des produits beaucoup plus abordables. Les deux marques sont suivies par Huawei (15 % de parts de marché), Samsung (11 %) et Garmin (4 %).

Canalys estime que Xiaomi a tiré son épingle du jeu grâce à son écosystème arrivé à maturité, là où Apple n’a pas beaucoup bougé. Il faut dire qu’il n’y a pas eu de nouvelle Apple Watch Ultra en 2024, et que la Series 10 n’a pas apporté de changement majeur qui aurait pu justifier un renouvellement anticipé chez les clients. L’Apple Watch Series 11 est attendue pour septembre au côté d’une Ultra 3 et d'une SE revue : ces nouveaux appareils changeront peut être la donne.

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Pico Mac Nano : le plus petit Macintosh du monde ne fait que 62 mm de haut

L’année dernière, un bidouilleur a réussi à émuler le premier Macintosh sur une carte Raspberry Pi Pico à 5 $. Le projet a inspiré Nick Gillard, qui s’est mis en tête de s’en servir pour créer le plus petit Macintosh 128k fonctionnel du monde. Des photos du résultat ont été mises en ligne sur la plateforme Hackaday, où l’on peut découvrir un ordinateur miniature dont le système fonctionne, s’affichant sur un petit écran LCD.

Image Nick Gillard

Le résultat final ne mesure que 62 mm de haut : il contient une dalle LCD de 2 pouces, une puce RP2040 à 6 € et un lecteur de carte micro-SD. Le bidouilleur explique avoir passé du temps à chercher le plus petit écran haute résolution possible au bon rapport qualité prix, avant de partir de cette base pour créer le mini-Macintosh. Il a ensuite dessiné les entrailles de l’appareil afin d’y glisser tous les composants miniatures, puis d’imprimer un modèle 3D.

L’ordinateur prend en charge les claviers USB et les souris. Le code source du projet pico-mac a été adapté à l’écran, et même modifié pour simuler le bip de démarrage du Macintosh ! Nick Gillard a également reproduit la boîte d’origine en format miniature, avec plusieurs parties de polystyrène à l’intérieur protégeant la machine. Le cheminement du projet a été détaillé dans un long billet de blog, dans lequel le bidouilleur revient sur la recherche de l’écran, la création de la coque, les aspects à améliorer…

Image Nick Gillard

Les plans pour imprimer les différentes parties sont disponibles sur GitHub, mais peuvent aussi être achetés sur la boutique du créateur. Notons qu’il propose également une version toute faite pour 56 £ (environ 66,50 €), ainsi qu’une édition collector avec la boîte pour 78 £ (environ 93 €). Attention avant de commander, car les délais sont de plusieurs semaines.

Image Nick Gillard
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Nothing va lancer son premier casque audio « mieux que les AirPods Max » cet été

Après les écouteurs et les téléphones, Nothing s’attaque aux casques audio. L’entreprise a confirmé dans une vidéo qu’elle allait se lancer sur le terrain. On peut y voir plusieurs ingénieurs discuter du projet, qui devrait être dévoilé à l’été 2025. « Je pense qu’il sera mieux que les AirPods Max », déclare l’un d’entre eux. Il devrait s’agir d’un appareil de milieu de gamme dont le tarif restera abordable.

Un concept de casque Nothing créé par un fan partagé en 2022. Image : Yanko Design.

Aucune image officielle n’a été dévoilée : l’interview nous apprend juste que l’accessoire aura un design unique qui devrait être assez différent des autres modèles du marché. Le produit aura également des boutons au look particulier afin de les identifier facilement à l’aveuglette. Les développeurs font aussi miroiter quelques fonctions originales pas forcément proposées par la concurrence, ainsi qu’une très bonne qualité sonore. On attendra évidemment les premiers retours avant de s’emballer.

Nothing est entré dans le monde de l’audio en 2021 avec les Ear(1), des écouteurs sans fils au bon rapport qualité-prix. Les rumeurs évoquent un casque chez Nothing depuis le début de l’année, et le CEO de l’entreprise Carl Pei avait partagé des rendus de fan fin 2022. Les choses accélèrent, et la marque a annoncé au début du mois un partenariat avec le spécialiste britannique de l’audio KEF. Le smartphone Nothing Phone (3) devrait également être lancé cet été : présenté lors de l’Android Show spécial Google I/O d’il y a deux semaines, il sera facturé aux alentours de 1 000 € et sera le premier téléphone premium de la marque.

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Prototypes : Apple a envisagé un Mac mini M1 Pro et un MacBook Pro M3 Ultra

Cupertino a inauguré sa grande transition vers les puces Apple Silicon fin 2020 avec un Mac mini M1. Cette machine n’a jamais eu droit à la puce M1 Pro, Apple l’ayant réservé aux MacBook Pro. Cela ne veut pas dire qu’elle n’a pas envisagé l’idée : le fuiteur @dosdude1 a publié sur Twitter des photos de composants d’un prototype de Mac mini M1 Pro n’ayant jamais vu le jour. On peut y voir un duo de cartes mères décrites comme « soit percées, soit très endommagées » auxquelles il manque les NAND.

Unreleased prototype M1 Pro Mac Mini logic boards (PROTO 0 stage). Both boards are either drilled or significantly damaged, and are missing their NANDs. Unfortunately too far gone to have any chance of getting them back up and running, but still very cool nonetheless. pic.twitter.com/Cvw82AUTUM

— dosdude1 (@dosdude1) May 23, 2025

« Malheureusement, elles sont trop endommagées pour qu'il soit possible de les remettre en état de marche » a indiqué le fuiteur, dont on notera qu’il s’agit de la première révélation. Si le Mac mini M1 Pro n’est jamais sorti, Apple a mis à jour son mini-PC deux ans plus tard avec les Mac mini M2 et M2 Pro. La machine a ensuite plus récemment eu droit aux puces M4/M4 Pro.

Sur un autre registre, un fuiteur chinois a révélé qu’Apple avait envisagé de mettre la puce M3 Ultra… dans un MacBook Pro. Cette puce sortie il y a peu est la plus puissante de la gamme d’Apple et est réservée au Mac Studio. Il affirme avoir déniché les traces de ce projet dans un build interne d’iOS 18 embarqué sur un prototype d’iPhone 16. Les deux versions (pour les deux tailles de MacBook Pro) porteraient pour nom de code J514d et J516d. Le « d » désigne sans doute la puce Ultra étant donné que la Mac Studio M3 Ultra a pour nom J575d.

On peut imaginer qu’Apple n’a pas lancé la puce M3 Ultra sur les MacBook Pro pour différentes raisons : problèmes de chauffe, de consommation énergétique… Dans notre test des MacBook Pro M4, nous avions noté que la M4 Max avait tendance à pas mal ventiler dans un ordinateur 14". La puce M3 a probablement été trop compliquée à intégrer pour Apple, mais il reste intéressant de voir qu’Apple a envisagé cette possibilité.

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Promo : 10 Go pour 2,99 € ou 50 Go pour 4,99 € chez RED

Red continue de casser les prix et propose aujourd’hui de bonnes ristournes sur ses forfaits aux petites enveloppes de données. La formule avec 10 Go de data utilisables en France comme dans l’UE et les DOM est à 2,99 € par mois. Celle avec 50 Go est de son côté à 4,99 €, avec 20 Go utilisables à l’étranger. Les deux sont proposés en 4G, mais il est possible de passer à la 5G contre un supplément de 3 € par mois.

D’autres offres très intéressantes sont proposées pour les plus gros utilisateurs, comme celle avec 100 Go de 5G pour 6,99 € ou encore de 250 Go pour 9,99 € par mois. Les deux incluent 26 Go en UE/DOM. Pour les grands voyageurs, une formule à 350 Go dont 35 sont utilisables à l’international (États-Unis, Thaïlande, Canada, Chine…) est disponible pour 19,99 €.

Les forfaits intègrent évidemment les appels et SMS/MMS illimités. La SIM ou l’eSIM sont facturés 10 €. Les deux « petites » offres pourront intéresser les utilisateurs les plus légers, mais aussi ceux faisant une utilisation standard de leur téléphone. Selon l’ARCEP, la consommation moyenne sur les réseaux 4G était de 17 Go fin 2024.

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