Alors que les rumeurs d’un remake de Persona 4 persistent depuis plusieurs mois, une nouvelle déclaration de l’acteur Yuri Lowenthal, voix originale de Yosuke Hanamura, semble confirmer indirectement l’existence du projet.
Dans un message publié sur Bluesky, Yuri Lowenthal a indiqué qu’il ne reprendrait pas son rôle emblématique de Yosuke Hanamura dans un éventuel remake de Persona 4. Cette confidence laisse entendre que le remake, bien que non officiellement annoncé par Atlus ou Sega, serait bel et bien en développement.
And for those who keep asking, no, I will not be returning as Yosuke for the Persona 4 remake. I asked. Maybe I even begged, but they don’t want me to come back.
Cette déclaration relance les spéculations autour du retour de ce RPG culte, initialement sorti en 2008 sur PlayStation 2. Persona 4 avait marqué la fin de vie de la console et s’était rapidement imposé comme un classique du genre. Il a ensuite été décliné en version Golden sur PlayStation Vita en 2012, enrichi de contenu inédit, et reste à ce jour l’un des plus grands succès de la console portable.
L’éventualité d’un remake semble d’autant plus crédible qu’Atlus a récemment connu un fort succès critique et commercial avec Persona 3 Reload, sorti en 2024. Le choix de ne pas reprendre les acteurs originaux, malgré leur notoriété, pourrait s’inscrire dans la même logique que celle mise en œuvre pour Persona 3 Reload, à savoir engager des jeunes talents pour les personnages principaux, et potentiellement recaser le casting original dans des rôles secondaires.
En attendant une éventuelle annonce officielle du remake, les fans peuvent toujours (re)découvrir Persona 4 dans sa version Golden, qui a connu une seconde vie ces dernières années. Initialement exclusive à la PS Vita, cette édition enrichie a été portée sur PC en 2020, avant de rejoindre les consoles modernes PS4, Xbox One, Xbox Series X|S et Nintendo Switch en 2023
Alors que les rumeurs d’un remake de Persona 4 persistent depuis plusieurs mois, une nouvelle déclaration de l’acteur Yuri Lowenthal, voix originale de Yosuke Hanamura, semble confirmer indirectement l’existence du projet.
Dans un message publié sur Bluesky, Yuri Lowenthal a indiqué qu’il ne reprendrait pas son rôle emblématique de Yosuke Hanamura dans un éventuel remake de Persona 4. Cette confidence laisse entendre que le remake, bien que non officiellement annoncé par Atlus ou Sega, serait bel et bien en développement.
And for those who keep asking, no, I will not be returning as Yosuke for the Persona 4 remake. I asked. Maybe I even begged, but they don’t want me to come back.
Cette déclaration relance les spéculations autour du retour de ce RPG culte, initialement sorti en 2008 sur PlayStation 2. Persona 4 avait marqué la fin de vie de la console et s’était rapidement imposé comme un classique du genre. Il a ensuite été décliné en version Golden sur PlayStation Vita en 2012, enrichi de contenu inédit, et reste à ce jour l’un des plus grands succès de la console portable.
L’éventualité d’un remake semble d’autant plus crédible qu’Atlus a récemment connu un fort succès critique et commercial avec Persona 3 Reload, sorti en 2024. Le choix de ne pas reprendre les acteurs originaux, malgré leur notoriété, pourrait s’inscrire dans la même logique que celle mise en œuvre pour Persona 3 Reload, à savoir engager des jeunes talents pour les personnages principaux, et potentiellement recaser le casting original dans des rôles secondaires.
En attendant une éventuelle annonce officielle du remake, les fans peuvent toujours (re)découvrir Persona 4 dans sa version Golden, qui a connu une seconde vie ces dernières années. Initialement exclusive à la PS Vita, cette édition enrichie a été portée sur PC en 2020, avant de rejoindre les consoles modernes PS4, Xbox One, Xbox Series X|S et Nintendo Switch en 2023
Huit ans après sa sortie, The Order: 1886 continue d’alimenter les regrets. Son directeur créatif, Ru Weerasuriya, révèle aujourd’hui que deux suites étaient prévues, avec des ajouts de gameplay et une ambition narrative bien plus vaste. Mais le projet a été abandonné, étouffé par une réception critique mitigée et des choix stratégiques de la part de PlayStation.
Sorti en 2015 en exclusivité sur PS4, The Order: 1886 avait séduit par son univers steampunk et sa réalisation graphique impressionnante. Développé par le studio Ready at Dawn, le jeu plongeait les joueurs dans un Londres alternatif, mêlant chevaliers de la Table Ronde, technologies avancées et créatures surnaturelles. Malgré ces qualités visuelles, l’accueil critique fut mitigé, pointant du doigt sa courte durée de vie et un gameplay jugé trop classique.
Dans une interview accordée à Julien Chieze sur sa chaîne Youtube, Ru Weerasuriya, directeur créatif du jeu, a levé le voile sur les projets avortés de la franchise. Une suite, en développement précoce chez PlayStation, devait enrichir l’expérience avec des affrontements à plus grande échelle et un mode multijoueur. Ce dernier avait d’ailleurs été envisagé dès le premier opus, avant d’être mis de côté pour mieux s’intégrer à la suite.
Deux titres étaient envisagés : The Order: 1891 et The Order: 1899. Bien que seul le deuxième ait connu un début de développement, Weerasuriya affirme avoir esquissé toute l’arc narratif de la trilogie, allant même jusqu’à imaginer des histoires se déroulant au 20e siècle. Mais les critiques tièdes du premier épisode ont sonné le glas de la série, freinant les ambitions du studio. Ready at Dawn, déjà reconnu pour ses jeux God of War sur PSP et Daxter, s’est ensuite tourné vers la réalité virtuelle avec des titres salués comme Lone Echo et Echo Arena, avant d’être racheté par Meta en 2020. Le studio a malheureusement fermé ses portes l’année dernière, emportant avec lui les dernières chances de voir renaître l’univers de The Order.
À quelques jours de sa sortie, MindsEye, le nouveau jeu d’action-aventure dirigé par l’ancien producteur de GTA Leslie Benzies, fait l’objet d’une polémique inattendue. Le co-PDG du studio Build a Rocket Boy affirme que les critiques négatives visant le jeu seraient le fruit d’une campagne coordonnée et rémunérée pour nuire à sa réputation.
Prévu pour le 10 juin prochain, MindsEye a récemment dévoilé une nouvelle bande-annonce mettant en avant son système de création de missions personnalisées. Malgré un développement assuré par des vétérans de l’industrie et une collaboration avec le studio IO Interactive connu pour la série Hitman, les premières réactions au jeu sont largement négatives.
Face à ces retours décevants, Mark Gerhard, co-PDG de Build a Rocket Boy, a affirmé sur le Discord officiel du jeu que ces critiques seraient motivées par des intérêts malveillants. Il va plus loin en répondant par un « 100% » à un internaute lui demandant si ces avis avaient été financés. Gerhard parle même d’un « effort concerté » pour discréditer le jeu et le studio, laissant entendre que certains ne souhaitent pas voir Leslie Benzies réussir.
Le dirigeant n’a pas précisé qui seraient les auteurs ou financeurs de cette prétendue campagne de dénigrement, se contentant de déclarations énigmatiques et emojis moqueurs mais qui semblent pointés dans la direction de l’ancienne compagnie de Leslie Benzies. Ces propos controversés soulèvent des questions sur la gestion de la communication autour de MindsEye, déjà fragilisé par des critiques techniques. Alors que la date de sortie approche, le studio devra convaincre le public sur le terrain du gameplay, plus que sur celui de la controverse.
MindsEye sera disponible le 10 juin 2025 sur PC, PS5 et Xbox Series X|S.
Huit ans après sa sortie, The Order: 1886 continue d’alimenter les regrets. Son directeur créatif, Ru Weerasuriya, révèle aujourd’hui que deux suites étaient prévues, avec des ajouts de gameplay et une ambition narrative bien plus vaste. Mais le projet a été abandonné, étouffé par une réception critique mitigée et des choix stratégiques de la part de PlayStation.
Sorti en 2015 en exclusivité sur PS4, The Order: 1886 avait séduit par son univers steampunk et sa réalisation graphique impressionnante. Développé par le studio Ready at Dawn, le jeu plongeait les joueurs dans un Londres alternatif, mêlant chevaliers de la Table Ronde, technologies avancées et créatures surnaturelles. Malgré ces qualités visuelles, l’accueil critique fut mitigé, pointant du doigt sa courte durée de vie et un gameplay jugé trop classique.
Dans une interview accordée à Julien Chieze sur sa chaîne Youtube, Ru Weerasuriya, directeur créatif du jeu, a levé le voile sur les projets avortés de la franchise. Une suite, en développement précoce chez PlayStation, devait enrichir l’expérience avec des affrontements à plus grande échelle et un mode multijoueur. Ce dernier avait d’ailleurs été envisagé dès le premier opus, avant d’être mis de côté pour mieux s’intégrer à la suite.
Deux titres étaient envisagés : The Order: 1891 et The Order: 1899. Bien que seul le deuxième ait connu un début de développement, Weerasuriya affirme avoir esquissé toute l’arc narratif de la trilogie, allant même jusqu’à imaginer des histoires se déroulant au 20e siècle. Mais les critiques tièdes du premier épisode ont sonné le glas de la série, freinant les ambitions du studio. Ready at Dawn, déjà reconnu pour ses jeux God of War sur PSP et Daxter, s’est ensuite tourné vers la réalité virtuelle avec des titres salués comme Lone Echo et Echo Arena, avant d’être racheté par Meta en 2020. Le studio a malheureusement fermé ses portes l’année dernière, emportant avec lui les dernières chances de voir renaître l’univers de The Order.
À quelques jours de sa sortie, MindsEye, le nouveau jeu d’action-aventure dirigé par l’ancien producteur de GTA Leslie Benzies, fait l’objet d’une polémique inattendue. Le co-PDG du studio Build a Rocket Boy affirme que les critiques négatives visant le jeu seraient le fruit d’une campagne coordonnée et rémunérée pour nuire à sa réputation.
Prévu pour le 10 juin prochain, MindsEye a récemment dévoilé une nouvelle bande-annonce mettant en avant son système de création de missions personnalisées. Malgré un développement assuré par des vétérans de l’industrie et une collaboration avec le studio IO Interactive connu pour la série Hitman, les premières réactions au jeu sont largement négatives.
Face à ces retours décevants, Mark Gerhard, co-PDG de Build a Rocket Boy, a affirmé sur le Discord officiel du jeu que ces critiques seraient motivées par des intérêts malveillants. Il va plus loin en répondant par un « 100% » à un internaute lui demandant si ces avis avaient été financés. Gerhard parle même d’un « effort concerté » pour discréditer le jeu et le studio, laissant entendre que certains ne souhaitent pas voir Leslie Benzies réussir.
Le dirigeant n’a pas précisé qui seraient les auteurs ou financeurs de cette prétendue campagne de dénigrement, se contentant de déclarations énigmatiques et emojis moqueurs mais qui semblent pointés dans la direction de l’ancienne compagnie de Leslie Benzies. Ces propos controversés soulèvent des questions sur la gestion de la communication autour de MindsEye, déjà fragilisé par des critiques techniques. Alors que la date de sortie approche, le studio devra convaincre le public sur le terrain du gameplay, plus que sur celui de la controverse.
MindsEye sera disponible le 10 juin 2025 sur PC, PS5 et Xbox Series X|S.
Trente-trois jours après sa sortie, Clair Obscur: Expedition 33 signe un nouvel exploit et une très belle symbolique : 3,3 millions de copies vendues. Porté par le studio montpelliérain Sandfall Interactive, le jeu s’impose déjà comme une référence mondiale du genre JRPG, salué autant par la critique que par les joueurs.
Le chiffre a de quoi surprendre, voire prêter à sourire par sa coïncidence presque trop parfaite : Clair Obscur: Expedition 33 a franchi la barre des 3,3 millions de ventes, exactement 33 jours après sa sortie. Un cap que le studio Sandfall Interactive, basé dans le sud de la France, s’est empressé de partager sur les réseaux. Mais derrière cette anecdote chiffrée se cache un succès critique et commercial bien réel. Sorti le 24 avril, le jeu a conquis la presse spécialisée avec un score Metacritic dépassant les 90 sur toutes les plateformes majeures, ainsi que score utilisateur qui hisse le jeu à la plus haute note enregistrée aujourd’hui de 9.7 points.
Thirty-three days ago, we released Clair Obscur: Expedition 33.
Since then, we’ve sold 3.3 million copies.
Seriously. As of today. We couldn’t make that up.
Another entry on the long list of surreal moments that your support has made real. Thank you ALL.
— Clair Obscur: Expedition 33 (@expedition33) May 27, 2025
Malgré ses origines françaises, Clair Obscur: Expedition 33 s’inscrit dans la lignée des meilleurs jeux JRPG, au point d’être adoubé par la référence nippone Famitsu avec une note de 36/40. Le magazine souligne notamment l’influence assumée du genre, sans que le jeu ne tombe dans la copie.
C’est une œuvre qui transcende les frontières culturelles, mêlant avec brio esthétique française et codes narratifs japonais.
À noter que les chiffres de vente ne tiennent même pas compte des joueurs ayant accédé au jeu via Xbox Game Pass et PC Game Pass, ce qui laisse entrevoir une audience bien plus vaste encore. Entre prouesse commerciale, reconnaissance critique et fierté nationale, Clair Obscur: Expedition 33 ne fait que commencer son épopée.
Clair Obscur: Expedition 33 est disponible sur PC, PS5 et Xbox Series X|S.
Rayman s’apprête à faire son grand retour. Le studio Ubisoft Milan, à l’origine de la série Mario + Rabbids, recrute activement pour un nouveau jeu AAA centré sur le célèbre héros sans bras ni jambes. Une renaissance attendue pour une franchise culte, dix ans après Rayman Legends.
Des offres d’emploi publiées, puis rapidement retirées, par Ubisoft Milan révèlent que le studio travaille sur un nouveau projet Rayman. L’une d’elles mentionnait la recherche d’un animateur 3D gameplay pour un titre AAA prestigieux dans l’univers de Rayman, confirmant ainsi que la production est bel et bien lancée. Ces annonces ont été repérées et archivées par des utilisateurs de Reddit.
Ubisoft avait déjà annoncé en 2023 être en phase d’exploration autour d’un retour de la franchise. Cette initiative, portée conjointement par les studios de Milan et de Montpellier, se veut ambitieuse. Même Michel Ancel, créateur historique de Rayman et Beyond Good and Evil, bien qu’il ait quitté Ubisoft en 2020, serait impliqué en tant que consultant.
Le dernier épisode majeur de la série, Rayman Legends, date de 2013. Depuis, le personnage n’a fait que de brèves apparitions, notamment dans un DLC de Mario + Rabbids: Sparks of Hope. Ce contenu, lancé par Ubisoft Milan, laissait déjà entrevoir une volonté de relancer l’icône. Entre départs de figures clés, comme Davide Soliani, directeur créatif de Mario + Rabbids, et recrutements stratégiques, tout semble désormais en place pour une véritable résurrection de Rayman.
Après douze années au sein d’Obsidian Entertainment, la réalisatrice d’Avowed, Carrie Patel, quitte le studio pour Netflix Games.
Carrie Patel, réalisatrice du jeu Avowed et membre de longue date d’Obsidian Entertainment, a annoncé son départ du studio après plus d’une décennie de collaboration. Elle rejoint désormais Night School Studio, filiale de Netflix connue pour Oxenfree et Afterparty, où elle occupera un poste de réalisatrice. Carrie Patel s’est fait connaître en tant que narrative designer sur des titres acclamés comme Pillars of Eternity et The Outer Worlds. Son départ intervient quelques mois après le lancement d’Avowed.
Cependant, l’arrivée de Carrie Patel chez Night School intervient dans un contexte délicat : le studio a été touché plus tôt cette année par une vague de licenciements. Des témoignages anonymes d’employés actuels et anciens font état d’une réduction d’effectif dont l’ampleur n’a pas été officiellement communiquée. Malgré ces turbulences, l’arrivée d’une figure expérimentée comme Carrie Patel pourrait marquer un nouveau chapitre pour le studio.
Pendant ce temps, Obsidian se prépare à dévoiler davantage de contenu sur The Outer Worlds 2, qui bénéficiera d’un événement dédié à l’occasion du Xbox Summer Showcase. De son côté, Night School Studio poursuit son intégration dans l’écosystème de Netflix, qui l’a acquis en 2021 comme première incursion du géant du streaming dans le jeu vidéo.
Le créateur de la licence Cyberpunk, Mike Pondsmith, a récemment levé un coin du voile sur Project Orion, la suite tant attendue de Cyberpunk 2077. Lors de la conférence Digital Dragons 2025, il a évoqué une nouvelle ville au cœur du jeu.
Alors que CD Projekt Red s’apprête à explorer de nouveaux horizons avec Project Orion, le studio polonais a confié les rênes du développement à sa branche nord-américaine, avec des équipes à Boston et Vancouver. Ce changement géographique s’accompagne d’un tournant créatif. Mike Pondsmith, bien que moins impliqué dans cette suite que dans le jeu original, confirme la présence de Night City mais aussi d’une toute nouvelle ville encore mystérieuse. L’ambiance, selon ses mots, évoque « un Chicago qui aurait mal tourné », suggérant une atmosphère plus brutale, urbaine et réaliste que la mégalopole futuriste du premier opus.
Le développement est assuré par les vétérans de Cyberpunk 2077 et de son extension Phantom Liberty, qui ont rejoint le continent américain pour ce nouveau chapitre. À leurs côtés, des figures reconnues de l’industrie comme Dan Hernberg (ancien d’Amazon Games, Panic Button et Blizzard) ont été recrutées pour apporter leur expertise à un projet qui vise haut.
Bien que peu d’informations concrètes aient filtré sur Project Orion, les offres d’emploi publiées par le studio laissent entrevoir des ambitions techniques fortes : CD Projekt Red promet notamment des foules plus réalistes que jamais vues dans un jeu vidéo. Le cadre nord-américain du développement devrait aussi contribuer à offrir une vision plus authentique et crédible des environnements et de la culture américaine que dans le jeu précédent. La suite de Cyberpunk 2077 semble donc vouloir repousser les limites, en termes de narration, de design et de technologie. Reste à savoir quand cette nouvelle vision dystopique se dévoilera davantage.
Malgré une campagne marketing ambitieuse, DOOM: The Dark Ages peine à convaincre sur Steam. Ce nouvel opus, pourtant audacieux dans son approche et ses nouveautés, affiche des chiffres de fréquentation inférieurs à ceux de ses prédécesseurs.
Avec DOOM: The Dark Ages, id Software propose un préquel riche en lore, répondant aux attentes des fans en matière de narration. Le jeu introduit des mécaniques inédites, telles que le pilotage du mécha géant ou encore la possibilité de chevaucher un dragon. Il s’éloigne également du gameplay aérien frénétique de DOOM: Eternal, en intégrant un bouclier-scie permettant de parer et bloquer les attaques. Malgré ces nouveautés, l’accueil semble mitigé.
Selon SteamDB, le pic de joueurs simultanés pour DOOM: The Dark Ages atteint seulement 31 470, loin derrière DOOM (2016) (44 271) et encore plus de DOOM: Eternal (104 891). Un démarrage plutôt timide, d’autant plus préoccupant que le premier week-end de sortie est habituellement le plus fort pour un jeu solo.
Ces chiffres ne tiennent toutefois pas compte des utilisateurs du Xbox Game Pass, DOOM: The Dark Ages étant accessible gratuitement aux abonnés Ultimate. Il est donc possible qu’une part significative des joueurs ait opté pour cette plateforme. Il faudra attendre les retours officiels de Microsoft et Bethesda pour obtenir une vue d’ensemble plus fidèle de sa performance globale.
DOOM: The Dark Ages est disponible sur PC, PS5 et Xbox Series X|S depuis le 15 mai dernier.
Les amateurs de zombies et d’action sanglante ont de quoi se réjouir : Dead Island 2 est temporairement gratuit sur l’Epic Games Store. Une occasion en or de (re)découvrir ce jeu survitaminé sans dépenser un centime.
Sorti en 2023 après une longue gestation, Dead Island 2 plonge les joueurs dans une Californie apocalyptique infestée de morts-vivants, où l’humour noir et le gore débridé se côtoient dans un cocktail explosif. Le titre est particulièrement apprécié pour son système de combat brutal, son ambiance décalée et ses graphismes soignés.
Grâce à cette offre exceptionnelle, les utilisateurs de l’Epic Games Store peuvent récupérer gratuitement le jeu, mais pour une durée limitée. Une fois ajouté à votre bibliothèque pendant la période de promotion, il restera accessible à vie.
Il s’agit d’une opportunité idéale pour les fans de survival horror ou les curieux qui avaient hésité à franchir le pas lors de sa sortie. Pour profiter de l’offre, il suffit de se connecter à son compte Epic Games et de « commander » le jeu comme un achat classique. Dépêchez-vous : l’offre n’est valable que pour une semaine !
Bonne nouvelle pour les amateurs d’action et de science-fiction : Stellar Blade, exclusivité remarquée de la PS5, s’apprête à faire ses débuts sur PC le 12 juin 2025. Ce portage très attendu ne se contente pas d’un simple transfert : il s’accompagne d’une série d’améliorations techniques et de contenus inédits, pensés pour sublimer l’expérience de jeu. Et que les joueurs sur console se rassurent : toutes les nouveautés seront également accessibles gratuitement sur PS5 via une mise à jour.
La version PC de Stellar Blade a été pensée pour tirer pleinement parti des capacités des machines les plus récentes. Le jeu embarque des technologies de pointe telles que DLSS 4 de NVIDIA, FSR 3 d’AMD, ainsi que la réduction de latence via NVIDIA Reflex. Le framerate pourra être librement ajusté, offrant ainsi une fluidité sans compromis, que l’on joue en 60, 120 ou bien plus d’images par seconde. De quoi faire honneur aux affrontements nerveux et au gameplay ultra-réactif du titre.
Côté visuel, Stellar Blade pousse les curseurs encore plus loin. Le support des formats 21:9 et 32:9 permettra une immersion renforcée, tandis que les textures haute définition, jusqu’en 4K, rendront justice à l’esthétique léchée et post-apocalyptique de la Terre dévastée. Sur PC, l’expérience de jeu devient également plus flexible. Que vous soyez adepte de la manette DualSense, du combo clavier-souris ou d’une manette tierce, vous pourrez personnaliser intégralement vos commandes. À noter que les spécificités haptiques de la DualSense (retour tactile et gâchettes adaptatives) sont conservées pour ceux qui souhaitent une immersion sensorielle renforcée.
Cette mise à jour signe aussi l’arrivée d’un nouveau défi : Mann, le chef des sentinelles, vous attend pour un combat de boss exclusif. Le vaincre débloquera la tenue « Garde royale ». Et ce n’est pas tout : 25 nouvelles nano-combinaisons viendront enrichir votre garde-robe virtuelle, vous permettant de personnaliser encore davantage l’allure d’Eve. En guise de remerciement pour le soutien des joueurs, une nouvelle tenue baptisée « Ailes écarlates » sera offerte à tous, sur toutes les plateformes. Stellar Blade étend son accessibilité linguistique avec l’ajout des doublages en japonais et en chinois simplifié, accompagnés d’animations faciales spécifiquement adaptées à ces langues. Une attention bienvenue pour offrir aux joueurs du monde entier une immersion encore plus naturelle.
Enfin, Stellar Blade dévoile les configurations PC requises pour profiter du titre de Shift Up dans les meilleures conditions.
Configuration Minimum
CPU : i5-7600k ou AMD Ryzen 5 1600X
GPU : GTX 1060 6Go ou Radeon RX 580 8Go
RAM : 16Go
STOCKAGE : 75Go (SSD Recommandé)
OS : Windows 10 64-Bit
Performance Ciblée : 1080p / 60Fps
Configuration Recommandée
CPU : i5-8400 ou AMD Ryzen 5 3600X
GPU : RTX 2060 Super ou Radeon RX 5700 XT
RAM : 16Go
STOCKAGE : 75Go (SSD Recommandé)
OS : Windows 10 64-Bit
Performance Ciblée : 1440p / 60Fps
Configuration Elevé
CPU : i5-8400 ou AMD Ryzen 5 3600X
GPU : RTX 2070 Super ou Radeon RX 6700 XT
RAM : 16Go
STOCKAGE : 75Go (SSD Recommandé)
OS : Windows 10 64-Bit
Performance Ciblée : 1440p / 60Fps
Configuration Très Elevé
CPU : i5-8400 ou AMD Ryzen 5 3600X
GPU : RTX 3080 Super ou Radeon RX 7900 XT
RAM : 16Go
STOCKAGE : 75Go (SSD Recommandé)
OS : Windows 10 64-Bit
Performance Ciblée : 4K / 60Fps
Rappel, Stellar Blade débarque sur PC le 12 juin 2025.
Après des années de silence et de turbulences, Ubisoft a enfin précisé la fenêtre de sortie du très attendu Prince of Persia: Les Sables du Temps Remake. Lors de sa dernière présentation financière, l’éditeur français a annoncé que le jeu arrivera d’ici la fin de son exercice 2025-2026, soit entre janvier et mars 2026.
Ubisoft a discrètement révélé que le remake de Prince of Persia: Les Sables du Temps sortira d’ici mars 2026. L’annonce a été glissée dans son dernier bilan financier, dans lequel l’éditeur précise que ses principales sorties de l’exercice 2025-2026 incluent notamment Anno 117: Pax Romana, Rainbow Six Mobile, The Division Resurgence… et le très attendu remake de Prince of Persia. Ce dernier est désormais prévu pour une sortie entre janvier et mars 2026, après avoir été précédemment annoncé pour un vague 2026.
Ce nouveau calendrier s’inscrit dans une stratégie plus large de report de certains titres phares afin de se concentrer sur la qualité, comme l’a indiqué Ubisoft. Un revirement qui semble particulièrement approprié pour Prince of Persia: Les Sables du Temps, un projet qui a connu un développement chaotique.
Annoncé en 2020, le remake a suscité de vives critiques dès ses premières images, jugées datées et peu ambitieuses. Initialement développé par les studios indiens Ubisoft Pune et Ubisoft Mumbai, le projet a été retiré de leurs mains en 2022 pour être repris par Ubisoft Montréal, berceau du jeu original. Depuis, l’éditeur a opté pour une refonte complète : nouveau moteur graphique, animations refaites, gameplay repensé, et même un nouveau casting vocal, avec un acteur d’origine perse pour renforcer l’authenticité du récit.
Début 2024, des fuites relayées par Insider Gaming confirmaient que tout avait été reconstruit depuis zéro, marquant une volonté claire de rompre avec les versions antérieures du remake. L’objectif est désormais d’offrir une expérience fidèle à l’univers original, tout en profitant des standards techniques modernes. Après des années d’incertitude, cette annonce offre enfin une fenêtre de sortie plus précise. Reste à voir si Ubisoft saura cette fois transformer l’essai.
Le remake de Prince of Persia: Les Sables du Temps sera disponible sur PC, PS5,PS4, Xbox Series X|S et Xbox One.
Avec la Capcom Fighting Collection 2, l’éditeur japonais continue de célébrer son glorieux héritage arcade en exhumant une nouvelle salve de classiques du versus fighting. Après une première compilation sortie en 2022, cette suite mise sur une sélection plus pointue, parfois inattendue, pour raviver la flamme chez les vétérans et piquer la curiosité des néophytes. Entre licences oubliées et titres cultes revisités, Capcom joue ici la carte de la nostalgie, mais aussi de la conservation vidéoludique.
La collection regroupe huit nouvelles perles du catalogue de Capcom. On y retrouve notamment Rival Schools 2, alias Project Justice, Plasma Sword: Nightmare of Bilstein, Power Stone 1 & 2, ou encore les deux volets de Capcom vs SNK, tous remis au goût du jour avec un mode en ligne, du training et des options de confort modernes (différents modes d’affichage, versions anglaise ou japonaise des jeux, choix de l’équilibrage, etc). De quoi ravir les puristes tout en offrant une porte d’entrée accessible à une nouvelle génération de joueurs. Une compilation, à notre goût, plus audacieuse que la précédente qui, bien qu’elle mettait la saga Darkstalker sur le devant de la scène, comportait des titres à l’intérêt bien plus discutables, tels que Red Earth ou Hyper Street Fighter II, version Rainbow du jeu mythique de Capcom.
Huit titres Légendaires
Capcom vs SNK 2 (CvS2) et Project Justice, sont assurément les joyaux de cette compilation – non seulement pour leur qualité intrinsèque, mais aussi pour leur rareté et leur importance historique. Lorsqu’il sort en 2001, Capcom vs SNK 2: Mark of the Millennium représente l’apogée du rêve crossover entre les deux géants du versus fighting japonais. Après un premier épisode prometteur mais limité, cette suite explose les compteurs avec un roster pléthorique (plus de 40 personnages), un système de jeu extrêmement riche, et une ambition clairement affichée : être le point culminant des jeux de baston 2D de l’époque. Il sort d’abord en arcade, puis sur Dreamcast, PlayStation 2 et GameCube, mais reste longtemps confiné à ces supports, sans portage moderne digne de ce nom. Sa réapparition dans cette collection est donc un événement majeur, réclamé de longue date par la communauté.
Sur le plan du gameplay, CvS2 est une œuvre dense et exigeante. Il propose six grooves, inspirés des systèmes de jeu des séries Street Fighter/Darkstalker, King of Fighters ou Samurai Shodown, permettant aux joueurs de choisir entre des mécaniques variées (parry, Just Defend, charge de super, cancel, etc.). Ce système offre une profondeur stratégique énorme. Le jeu reste cependant accessible pour les novices grâce à une prise en main immédiate et un rythme fluide. L’adaptation ici est irréprochable : l’émulation est propre, les contrôles sont précis, et la compilation nous laisse le choix de jouer à la version arcade dite Standard, ou bien à la version console via le mode EO sélectionnable dans les options du jeu. Malheureusement, il ne nous a pas été donné l’occasion de tester le online (pour aucun des jeux d’ailleurs), les serveurs n’étant pas encore ouverts au grand public et le nombre de testeurs limité, rendant la chose ardue. Néanmoins, c’est un monument qui reprend vie dans d’excellentes conditions.
CvS2 est l’un des titres majeurs de cette collection
Project Justice est l’un des jeux les plus méconnus mais le plus aimé de la sphère Capcom. Sorti initialement sur NAOMI en arcade puis sur Dreamcast, il n’a jamais eu droit à une sortie sur les consoles récentes jusqu’à cette collection. Il prolonge l’univers unique de Rival Schools, ce melting-pot de baston, d’esthétique shonen et de drama lycéen, qui avait déjà marqué les esprits à la fin des années 90. Capcom y développe une identité narrative forte, avec des personnages charismatiques et une mise en scène presque théâtrale pour un jeu de combat. Côté gameplay, Project Justice pousse encore plus loin le concept d’affrontements en équipe avec une mécanique de 3 vs 3 – mais, contrairement à un Marvel vs Capcom, les coéquipiers interviennent de manière ponctuelle (assists, attaques combinées, counters). Le système est très dynamique, accessible sans être simpliste. Chaque personnage a son style bien défini, et le jeu jongle habilement entre tactique, fun et mise en scène. Le portage bénéficie d’un framerate stable, d’un affichage soigné et d’un temps de chargement réduits. Seul bémol : l’absence des mini-jeux ou des éléments de simulation présents dans la version japonaise complète, mais c’est un plaisir rare de retrouver ce bijou dans une collection moderne.
Une sélection éclectique
Parmi les titres secondaires de cette Capcom Fighting Collection 2, plusieurs jeux méritent un détour, ne serait-ce que pour la variété qu’ils apportent au sein de l’ensemble. Street Fighter Alpha 3 Upper s’impose comme l’un des plus solides du lot. Version enrichie de l’épisode culte de 1998, il embarque de nouveaux personnages issus des versions console tout en conservant l’équilibrage arcade, mais en corrigeant le bug du Crouch Cancel, rendant impossible les combos infinis de l’itération précédente – sachez tout de même que le Crouch Cancel peut-être activé via les options du jeu. Toujours aussi nerveux, profond et accessible grâce à son système à trois styles de combat, il bénéficie ici d’un portage sans accroc. Pourtant, sa présence rappelle aussi une absence criante : celle de Street Fighter Alpha 2 Gold, ou Zero 2 Dash au Japon, version affinée et très appréciée de Alpha 2, qui aurait complété avec logique et élégance ce pan de la série.
Capcom porte aussi des jeux 3D à l’image de Project Justice
Plus marginal, Plasma Sword: Nightmare of Bilstein illustre les expérimentations 3D de Capcom à l’époque Dreamcast. Suite directe de Star Gladiator, il séduit par son esthétique audacieuse et ses personnages excentriques, mais pêche par un gameplay encore trop imprécis, avec des combats manquant de lisibilité et d’impact. L’intérêt de ce portage repose surtout sur sa valeur historique, tant il symbolise une époque où Capcom cherchait à s’affranchir des canons du versus traditionnel. Dans un registre plus léger, Power Stone et Power Stone 2 injectent une bonne dose de fun immédiat. Avec leur format de combat en arène, leur dynamique de jeu proche du party game et leur direction artistique colorée, ils offrent une pause rafraîchissante au milieu des affrontements plus sérieux. Le premier est plus tactique, limité à deux joueurs, tandis que le second embrasse le chaos à quatre avec objets et transformations à gogo.
Capcom: Fighting Evolution est le best of raté des licences de l’éditeur nippon
Enfin, Capcom Fighting Evolution fait figure d’intrus. Censé être un crossover célébrant les grandes licences de la firme, le jeu manque cruellement de cohérence, d’ambition et de finition. Chaque personnage conserve les mécaniques propres à sa série d’origine, ce qui déséquilibre lourdement l’ensemble, d’autant que le jeu recycle allègrement des sprites et animations déjà vus ailleurs. L’ajout de ce titre est difficile à justifier, surtout lorsqu’on considère qu’il prend la place d’un Alpha 2 Gold bien plus attendu. En l’état, c’est une inclusion purement archivistique, que seuls les complétionnistes les plus acharnés sauront excuser.
Les jeux possèdent un mode trainingPower Stone 2 a des allures de Party Game
La Capcom Fighting Collection 2 souffre finalement de très peu de véritables défauts. Les bémols relèvent davantage de détails que de véritables manquements : les modes d’entraînement, bien que présents pour chaque jeu, se révèlent assez sommaires et classiques, loin de la richesse et de la pédagogie exemplaire proposées par Street Fighter 6. Un petit mode défi dédié à certains des titres les plus compétitifs aurait également été le bienvenu, afin de mieux appréhender leurs systèmes de jeu parfois exigeants. En revanche, fidèle à sa tradition, Capcom assure sur les fonctionnalités multijoueur, avec un mode versus local complet, mais aussi la possibilité de s’affronter en ligne via des parties classées, casual ou en salon. Si nous n’avons pas encore pu tester l’infrastructure online, il y a peu de raisons de s’inquiéter au vu du sérieux affiché sur la première compilation, qui proposait déjà une expérience en ligne stable et réactive grâce au rollback netcode.
Verdict
Avec Capcom Fighting Collection 2, l’éditeur répond enfin à une attente de longue date en ressuscitant Capcom vs SNK 2 et Project Justice, deux titres cultes longtemps restés inaccessibles sur les machines modernes. Plus ambitieuse et séduisante que la première compilation, cette sélection marque également une ouverture bienvenue vers la 3D, avec des jeux comme Power Stone ou Plasma Sword, là où Capcom s’était jusqu’ici cantonné aux classiques 2D. Si certains choix restent discutables, l’ensemble dégage une vraie richesse et une volonté de diversité qui devraient satisfaire autant les nostalgiques que les curieux. À deux ans du 40ème anniversaire de Street Fighter, cette initiative sonne comme un prélude prometteur à ce que Capcom pourrait nous réserver pour célébrer son héritage le plus emblématique.
Prévu initialement pour 2025, Marvel 1943: Rise of Hydra voit sa sortie repoussée au début de l’année 2026. Skydance Games justifie ce report par la volonté de peaufiner davantage le jeu pour offrir une expérience à la hauteur des attentes.
Dévoilé en mars 2024 lors d’un showcase Unreal Engine à la Game Developers Conference, Marvel 1943: Rise of Hydra s’annonce comme un jeu d’action narratif centré sur une alliance inédite entre Captain America et le Black Panther des années 1940. Imaginé par Amy Hennig, célèbre pour son travail sur Uncharted, le jeu entend combiner la richesse narrative à une ambiance inspirée des films de guerre classiques.
Se déroulant en pleine Seconde Guerre mondiale, le jeu mise sur un cadre peu exploré dans l’univers Marvel vidéoludique. Le joueur y incarne un jeune Steve Rogers encore en quête de repères, ainsi qu’Azzuri, le grand-père de T’Challa, incarnant alors la Panthère Noire. Cette dualité de héros permet d’explorer des dynamiques inédites, sur fond d’intrigues d’espionnage et de conflits idéologiques.
Le synopsis officiel promet une aventure où les héros, malgré leurs différences culturelles et stratégiques, devront collaborer face à une menace commune : l’ascension d’Hydra. Aidés par Gabriel Jones, membre des Howling Commandos, et Nanali, espionne wakandaise à Paris, ils tenteront d’empêcher un complot susceptible de faire basculer le cours de la guerre. Malheureusement, il faudra s’armer de patience, le titre ayant été décalé à l’année prochaine. Skydance Games justifie ce décalage à 2026 par une volonté de perfection.
Ce temps supplémentaire nous permettra d’ajouter plus de finition et de nous assurer de vous offrir la meilleure expérience possible.
Les promesses sont grandes, tout comme l’attente des joueurs, curieux de découvrir cette relecture audacieuse de l’univers Marvel. Marvel 1943: Rise of Hydra sera disponible sur PC, PS5 et Xbox Series X|S.