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Un père face à l’injustice
Dans Au nom de ma fille, Daniel Auteuil incarne André Bamberski, un père dont la vie bascule en 1982, après le décès inexpliqué de sa fille Kalinka, 14 ans, alors qu’elle passait l’été chez sa mère et son beau-père en Allemagne. Très vite, les incohérences médicales s’accumulent. Le corps est incinéré en urgence. Le beau-père, Dieter Krombach, médecin allemand, devient un suspect évident… mais rien ne bouge.
Face à l’inaction des autorités allemandes, puis à la lenteur des échanges judiciaires entre pays, André Bamberski entame un combat personnel. Pendant des années, il collecte des preuves, relance la justice, interpelle les médias. Il ira jusqu’à franchir les limites de la légalité pour forcer l’arrestation de l’homme qu’il accuse.
Le film suit cette quête de vérité avec une mise en scène sobre, sans effets inutiles. Daniel Auteuil y livre une interprétation retenue, presque muette, d’un homme rongé par la douleur et par l’obsession de réparer ce qui a été nié. Le film évite le spectaculaire, et préfère se concentrer sur la résistance, l’usure, et l’acharnement solitaire.
Une affaire qui a bouleversé l’opinion
Le scénario est tiré d’une histoire vraie. Kalinka Bamberski est réellement morte en 1982. Son père, convaincu que le beau-père a joué un rôle dans ce décès, n’a jamais cessé de demander justice. Pendant plus de trois décennies, il s’est heurté aux lenteurs administratives et aux blocages diplomatiques entre la France et l’Allemagne.
L’affaire a connu un tournant en 2009, lorsque Dieter Krombach est enlevé en Allemagne par des inconnus, et déposé ligoté devant un tribunal français. Ce coup de force illégal mais spectaculaire permet à la justice française de le juger enfin. Il sera condamné en 2011 à 15 ans de prison pour violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner.
Ce dossier a profondément marqué l’opinion. Il pose la question de la justice transfrontalière, de la ténacité d’un citoyen face aux institutions, et du prix à payer pour la vérité.
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Une conclusion attendue pour la saga, avec un ton plus radical
Annoncé comme le dernier volet principal de la saga Conjuring, The Last Rites entend clore le cycle entamé en 2013 par James Wan. La réalisation est cette fois confiée à Michael Chaves, qui avait déjà signé Conjuring 3 et La Nonne 2. Le couple d’enquêteurs Ed et Lorraine Warren sera toujours interprété par Patrick Wilson et Vera Farmiga, figures centrales de la franchise.
Mais contrairement aux précédents volets, ce quatrième film promet un ton plus sombre et resserré. Plus introspectif aussi : le film se déroulerait à un moment où le couple Warren commence à vaciller physiquement et mentalement, usé par des années de confrontations avec le mal. Le titre lui-même — The Last Rites, en référence aux derniers sacrements — suggère une dimension plus finale, presque crépusculaire.
Jusqu’ici, le mystère restait entier quant au dossier traité dans le film. C’est désormais confirmé via EW : The Last Rites s’intéressera à l’affaire de la famille Smurl. Un choix logique pour conclure la saga principale, tant ce cas coche toutes les cases d’un grand film d’horreur basé sur des faits réels : tension familiale, phénomènes violents, atmosphère suffocante, et scepticisme généralisé.
La famille Smurl : un dossier Warren terrifiant
Entre 1974 et 1989, la famille Smurl, installée à West Pittston en Pennsylvanie, affirme avoir vécu dans une maison progressivement rongée par une présence malveillante. Apparitions sombres, bruits de griffures, meubles projetés au sol, odeurs fétides, phénomènes de possession… Les témoignages décrivent une escalade d’événements paranormaux sur plus de dix ans.
Le couple Warren est contacté au milieu des années 80. Après plusieurs visites, ils concluent à la présence d’un démon puissant, ayant résisté à plusieurs exorcismes. Leur enquête donne lieu à un livre publié en 1986 (The Haunted), coécrit avec le journaliste Robert Curran. L’affaire est aussi adaptée en téléfilm en 1991, mais n’avait jamais été reprise dans une grande production cinéma.
Ce dossier présente plusieurs atouts narratifs : il s’inscrit dans une durée longue, avec une famille qui tente de garder pied malgré le chaos grandissant. Il oppose aussi les croyants aux sceptiques : voisins, prêtres, journalistes et même médecins s’interrogent sur la véracité des faits. Ce climat de doute, combiné à la violence de certains témoignages (tentatives d’agressions physiques surnaturelles, possessions sexuelles), en fait l’un des cas les plus controversés — et potentiellement les plus dérangeants — jamais associés aux Warren.
Le choix de ce dossier pour The Last Rites laisse entrevoir un retour aux fondamentaux du premier Conjuring : une famille isolée, une maison ordinaire, et l’horreur qui s’y installe sans prévenir. À cela s’ajoute la dimension “épilogue” pour le couple Warren, qui pourrait bien faire de cet ultime film un affrontement personnel plus intime et plus brutal qu’aucun autre.
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Un homme ordinaire au centre d’une erreur judiciaire
Réalisé par Gérard Jugnot, Mauvaise pioche est actuellement en tournage dans le sud de la France. Le film suit Serge Martin, un retraité paisible arrêté à tort et confondu avec “l’homme le plus recherché de France”. Très vite, il devient la cible des médias et se retrouve pris dans un engrenage dont il tente de s’extraire.
Gérard Jugnot incarne le rôle principal et signe également la réalisation. Il est entouré d’un casting étoffé : Philippe Lacheau, Thierry Lhermitte, Jean-Pierre Darroussin, Michèle Laroque, Zabou Breitman, François Morel. Le scénario est coécrit avec Frédéric Hazan et Serge Lamadie. La production est assurée par M.E.S. Productions, en partenariat avec OCS, Netflix, Ciné+ et TF1 Productions. Le tournage se déroule jusqu’au 16 mai. Pan Distribution assurera la sortie en salles.
Une première photo du film a été dévoilée :

Une fiction inspirée d’un emballement médiatique réel
Si Mauvaise pioche ne cite pas explicitement Xavier Dupont de Ligonnès, le film semble directement inspiré d’un fait divers survenu en octobre 2019. Ce jour-là, un retraité français est interpellé à l’aéroport de Glasgow par les autorités britanniques, à la demande de la police française. Il est identifié comme Xavier Dupont de Ligonnès, suspect principal dans l’assassinat de sa femme et de ses quatre enfants à Nantes en 2011, et introuvable depuis.
L’information fait immédiatement la une des médias, en France comme à l’étranger. Les chaînes d’information en continu évoquent une arrestation historique. Certains titres annoncent même son extradition imminente. Mais dès le lendemain, tout s’effondre : l’analyse ADN contredit l’identification. L’homme arrêté, qui n’avait jamais changé de nom, n’était en réalité qu’un retraité sans lien avec l’affaire, victime d’une ressemblance physique et d’un contrôle hasardeux.
Cette erreur spectaculaire, rendue publique avant même d’être confirmée, a soulevé de nombreuses critiques. Sur la précipitation des annonces, la gestion de l’information judiciaire, mais aussi sur l’impact personnel pour l’homme concerné, resté marqué par l’exposition subie.
C’est ce type de dérapage que semble explorer Mauvaise pioche, en y injectant une dimension comique et satirique.
Ça n'est pas la première fois que le cinéma français s'inspire de l'affaire de la "fausse arrestation" de XDDL. L'année dernière, le film Les Pistolets en plastique de Jean-Christophe Meurisse évoquait déjà cette affaire.
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Un jeu d’apparences au cœur d’un procès explosif
Peur primale démarre comme un polar judiciaire classique. Richard Gere incarne Martin Vail, avocat star de Chicago, flamboyant et cynique, qui accepte de défendre un jeune homme de 19 ans, accusé d’avoir assassiné un archevêque dans des circonstances particulièrement sanglantes. L’accusé, Aaron, timide et bègue, est retrouvé couvert de sang près du corps. Tout l’accuse.
Mais très vite, le film prend un virage plus trouble. La défense s’oriente vers une hypothèse psychiatrique : Aaron souffrirait d’un trouble dissociatif de l’identité. Derrière sa façade fragile se cacherait une autre personnalité, violente, incontrôlable. Ce jeu d’équilibre entre vérité, manipulation et mise en scène fait progressivement basculer le film du simple procès au véritable piège psychologique.
Réalisé par Gregory Hoblit, Peur primale repose sur une tension dramatique constante et une narration classique mais redoutablement efficace. Le film n’accumule pas les effets, mais fait confiance à ses personnages pour instiller le doute à chaque scène.
Edward Norton : révélation brutale d’un monstre ordinaire
Ce qui a fait la force du film en 1996, et ce qui continue de le rendre percutant aujourd’hui, tient en un mot : Edward Norton. Inconnu à l’époque, il livre ici une performance sidérante, entre vulnérabilité et menace latente. Il n’a que 26 ans lors du tournage, mais capte toute l’attention dès sa première apparition. Sa capacité à incarner un personnage à deux visages en a fait l’une des entrées en scène les plus marquantes du cinéma des années 90.
Le twist final, encore aujourd’hui cité parmi les plus efficaces du genre, redonne à tout le film une relecture glaçante. Sans en dévoiler le contenu, il suffit de dire qu’il rebat totalement les cartes morales et psychologiques posées jusque-là. Ce n’est pas seulement un renversement narratif : c’est une claque, sèche et brutale, qui change la nature même de ce qu’on vient de regarder.
Trente ans plus tard, Peur primale n’a pas perdu de son tranchant. À une époque où les thrillers semblent souvent étouffés par la surenchère ou l’esbroufe, ce film rappelle qu’un bon scénario, deux acteurs solides, et une direction précise peuvent suffire à retourner un spectateur.
Netflix : toutes les nouveautés films et séries à découvrir du 28 avril au 4 mai 2025
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Netflix : les nouveaux films ajoutés cette semaine
Cette semaine, Netflix mise sur un mélange de classiques et de blockbusters. Les amateurs de grands spectacles retrouveront Premier contact, chef-d'œuvre de science-fiction signé Denis Villeneuve, et Men in Black 3 pour une aventure intergalactique décalée. Les fans de frissons replongeront avec Insidious : Chapitre 2, tandis que les comédies cultes Bienvenue à Zombieland et C'est la fin feront leur entrée pour des soirées 100 % second degré. Pour toute la famille, Mia et le Lion blanc promet une aventure pleine d’émotion.
Tous les nouveaux films
- Le Pacificateur (28 avril 2025)
- Exterritorial (30 avril 2025)
- Mia et le Lion blanc (30 avril 2025)
- Beaucoup trop fan (1er mai 2025)
- Discount (1er mai 2025)
- Ténor (1er mai 2025)
- Men in Black 3 (1er mai 2025)
- Premier contact (1er mai 2025)
- Papa, j'ai une maman pour toi (1er mai 2025)
- Deuce Bigalow : gigolo malgré lui (1er mai 2025)
- Insidious : Chapitre 2 (1er mai 2025)
- The Art of the Steal (1er mai 2025)
- Elysium (1er mai 2025)
- Dracula (1er mai 2025)
- Angry Birds : Copains comme cochons (1er mai 2025)
- Danger immédiat (1er mai 2025)
- Le Pacte du sang (1er mai 2025)
- Bienvenue à Zombieland (1er mai 2025)
- Casaway (1er mai 2025)
- Baby Boy (1er mai 2025)
- C'est la fin (1er mai 2025)
- La Dame à la camionnette (1er mai 2025)
- Perpète (2 mai 2025)
- Le Manoir (3 mai 2025)
- Love, et autres drogues (4 mai 2025)
Netflix : les nouveautés séries de la semaine
Côté séries, Netflix propose plusieurs nouveautés marquantes. Astérix & Obélix : Le Combat des Chefs créée par Alain Chabat revisite l’univers des célèbres Gaulois en série, tandis que L'Éternaute plonge les abonnés dans une atmosphère post-apocalyptique saisissante. Du côté des nouveautés plus légères, Les Quatre saisons explore les bouleversements sentimentaux à travers les âges, tandis que la comédie Hacks revient avec une saison 2 très attendue. Pour les amateurs de thriller, Furtive dévoile une saison 2 toujours plus tendue.
Toutes les nouveautés séries
- Astérix & Obélix : Le Combat des Chefs (30 avril 2025)
- L'Éternaute (30 avril 2025)
- Les Quatre saisons (1er mai 2025)
- Hacks : Saison 2 (1er mai 2025)
- Furtive : Saison 2 (2 mai 2025)
Compétence Mac 88 : Boostez votre Mac : nos solutions simples et rapides • 40 astuces pour iOS 18 • Surveillez votre domicile • Améliorez vos photos • Notes
