↩ Accueil

Vue lecture

Voici les principales nouveautés de iPadOS 26

Apple a présenté iPadOS 26, une version qui marque un tournant pour la tablette, désormais plus puissante, polyvalente et créative que jamais. Refonte visuelle, système de fenêtres repensé, nouvelles fonctions boostées à l’intelligence artificielle… la mise à jour capitalise sur les atouts uniques de l’iPad.

Une nouvelle interface plus vivante

Comme macOS Tahoe, iPadOS adopte le design Liquid Glass : transparences dynamiques, icônes réactives et une interface fluide qui met le contenu au cœur de l’expérience. Le Control Center, l’écran de verrouillage et les apps Apple gagnent en cohérence visuelle, et la personnalisation (icônes, thèmes, fonds d’écran) est encore plus poussée.

Apple propose un nouveau design : Liquid Glass

Apple propose un nouveau design : Liquid Glass

Un système de fenêtres digne d’un ordinateur

Avec un nouveau système de gestion des fenêtres, iPadOS 26 permet de :

  • Redimensionner librement les fenêtres,
  • Les placer où l’on veut à l’écran,
  • Les organiser par simple glissement (tiling),
  • Voir toutes les apps ouvertes via Exposé,
  • Grouper les apps avec Stage Manager, y compris sur un écran externe,
  • Utiliser une barre de menu contextuelle avec recherche intégrée.

L’objectif : offrir une expérience multitâche plus naturelle, sans complexifier l’interface.

Apple Intelligence : l’IA au cœur de l’iPad

L’intelligence artificielle made by Apple se déploie largement :

  • Traduction en direct dans Messages, Téléphone et FaceTime, avec voix ou sous-titres,
  • Genmoji et Image Playground : création d’emojis et d’images stylisées (peinture à l’huile, dessin vectoriel…),
  • Raccourcis intelligents : résumés de texte, génération d’images ou d’actions automatiques à partir de contenu personnel,
  • Intégration possible avec ChatGPT (via Image Playground ou Any Style).

De nouveaux outils pour les pros de la création

  • Fichiers devient plus puissant : nouvelle vue liste avec colonnes redimensionnables, dossiers personnalisables (icônes, couleurs, emojis), ajout au dock, et choix de l’app par défaut.
  • Preview arrive sur iPad : annotation de PDF, croquis avec Apple Pencil, remplissage automatique de formulaires.
  • Tâches en arrière-plan pour les calculs lourds ou les encodages audio/vidéo.
  • Local capture : enregistrement local de visioconférences avec annulation d’écho.
  • Choix du micro par app ou site web, isolation vocale, enregistrement studio avec les derniers AirPods.

De nouvelles apps et fonctions pour le quotidien

  • Journal débarque sur iPad pour capturer ses pensées, souvenirs, humeurs et emplacements.
  • Apple Games centralise les jeux, avec une Game Overlay pour ajuster ses paramètres ou inviter des amis sans quitter le jeu.
  • Messages gagne des fonds d’écran, des sondages, des indicateurs de saisie en groupe, et la possibilité de recevoir de l’Apple Cash.
  • L’app Téléphone fait également son apparition sur iPad, avec Call Screening et Hold Assist.

Autres nouveautés marquantes

  • Nouveau stylo calligraphique pour Notes, Freeform, Journal, etc.
  • Notes : support Markdown, transcription d’appels audio.
  • Calculatrice : équations en 3D dans Math Notes.
  • Accessibilité renforcée avec une loupe connectée, un mode lecture adapté, et des réglages partagés entre appareils.

Compatibilité et disponibilité

iPadOS 26 est disponible en bêta pour les développeurs, et en bêta publique dès juillet. Le lancement est prévu cet automne sur :

  • iPad Pro M4 / M1 et ultérieurs,
  • iPad Air M2 / 3e gen et ultérieures,
  • iPad mini A17 Pro / 5e gen et ultérieures,
  • iPad (8e gen et ultérieures).

Les fonctions Apple Intelligence nécessitent une puce M1 ou ultérieure et une langue compatible (dont le français).

  •  

Voici les principales nouveautés de macOS Tahoe

macOS Tahoe 26 : un grand cru pour le Mac, plus intelligent, plus productif, plus personnel

Apple a levé le voile sur macOS Tahoe 26, la prochaine version majeure du système d’exploitation des Mac, lors de la WWDC 2025. Entre refonte visuelle, intégration renforcée avec l’iPhone, et avancées significatives en intelligence artificielle, cette mise à jour veut marquer un tournant sans trahir l’ADN du Mac.

Image MacGeneration, photo de base Murali Raju.

Une interface revue et personnalisable

Avec l’introduction du design Liquid Glass, Apple modernise l’esthétique du Mac : menus transparents, reflets subtils, icônes plus expressives et tuiles personnalisables (couleurs, symboles, emojis…). Le Centre de Contrôle gagne en souplesse, tout comme la barre de menu, désormais entièrement configurable.

iPhone et Mac plus proches que jamais

Grâce à Continuity, l’application Téléphone débarque sur Mac, avec toutes ses fonctions : historiques d’appels, messagerie vocale, mais aussi des nouveautés comme le filtrage des appels inconnus (Call Screening) ou la gestion des mises en attente (Hold Assist). Autre nouveauté majeure : les Live Activities de l’iPhone peuvent désormais s’afficher dans la barre de menu du Mac, pour suivre un vol, une course Uber ou un score en direct.

Spotlight devient un assistant à part entière

Spotlight n’est plus un simple moteur de recherche : il permet maintenant d’exécuter des centaines d’actions sans ouvrir d’applications (envoyer un mail, créer une note, lancer un podcast…). Les résultats sont enrichis, mieux classés, et les filtres rendent les recherches plus efficaces. Une série de “quick keys” permet aussi d’accéder à des actions fréquentes par raccourci clavier.

Apple Intelligence passe la seconde

La plateforme d’IA maison, Apple Intelligence, s’invite partout : • Traduction en direct de conversations (Messages, Téléphone, FaceTime), • Automatisations intelligentes dans Raccourcis, • Création de contenus visuels personnalisés avec Genmoji ou Image Playground, • Résumés de mails ou de notes avec suggestions de rappels.

Toutes ces fonctions reposent sur des modèles exécutés en local ou via le Private Cloud Compute, avec un accent fort mis sur la confidentialité.

Une application dédiée pour les jeux

Apple inaugure l’app Apple Games sur Mac, avec une nouvelle interface, une gestion centralisée des jeux, un Game Overlay pour ajuster les réglages sans quitter une partie, et le support du Mode Économie d’énergie pour prolonger les sessions sur batterie. Des titres majeurs comme Cyberpunk 2077, Crimson Desert, InZOI ou Lies of P: Overture sont annoncés avec prise en charge de Metal 4, du ray tracing et des puces M3/M4.

Et aussi… • Safari 26, plus rapide que Chrome et mieux protégé contre le pistage • L’app Messages modernisée (fonds d’écran, sondages, recherches naturelles…) • Journal disponible sur Mac • Photos plus ergonomique avec des collections épinglées • FaceTime enrichi de Contact Posters et de nouvelles commandes flottantes • Notes supporte Markdown et les transcriptions audio • Accessibilité renforcée avec une loupe connectée à l’iPhone ou une caméra USB

Disponibilité

macOS Tahoe 26 est disponible dès aujourd’hui pour les développeurs, une bêta publique suivra en juillet. Le lancement final est prévu pour l’automne, gratuitement, sur les Mac compatibles. Certaines fonctions Apple Intelligence nécessitent une puce M1 ou ultérieure et une configuration linguistique spécifique.

  •  

Économie bleue : une croissance en eaux troubles

Le sommet mondial sur les océans s’ouvre à Nice. Objectif : mobiliser États, entreprises et finance pour faire émerger une économie bleue durable. Un potentiel colossal estimé à 25 000 milliards de dollars, mais des investissements encore loin du compte.

  •  

HyperCard : l'un des plus beaux concepts d'Apple

En souvenir de Bill Atkinson, nous republions aujourd’hui notre présentation d’HyperCard, l’une de ses plus fameuses inventions. Cet article est paru à l’origine le 12 août 2012.

Dans l'histoire logicielle d'Apple, HyperCard est sans doute l'un des logiciels les plus ambitieux et novateurs. Sorti très exactement le 11 août 1987, cet « organisateur d'information » fêtait ce week-end son 25e anniversaire. Vendu à l'époque 49 $, HyperCard nécessitait 1 Mo de mémoire vive et était présenté par ses concepteurs comme « une pièce fondamentale du Macintosh ».

Il avait été présenté en même temps que le MultiFinder (qui permettait d'utiliser plusieurs applications en même temps), l'imprimante ImageWriter LQ ainsi que l'Apple Fax Modem. Mais HyperCard avait été présenté comme de loin l'annonce la plus importante. À l'époque, Apple espérait que son logiciel génère plusieurs centaines d'applications gratuites, payantes ou encore à destination du marché de l'éducation. Un chiffre bien en dessous de la réalité, car si dans les premières années HyperCard connut un franc succès, Apple fut hélas bien incapable de l’exploiter.

Image ratschlag24

Un outil pour les créateurs d'information

HyperCard est un « organisateur d'information ». Il présente tellement d'aspects différents qu'il est difficile de vraiment le classer dans une catégorie de logiciels : base de données, programmation, multimédia… Mais ce point est loin d'être sa seule spécificité.

HyperCard est né de la rencontre de Bill Atkinson (créateur de MacPaint et d'une bonne partie du Macintosh) et de John Sculley, alors président d'Apple. En 1985, juste après le lancement du Macintosh, Bill Atkinson travaille sur le projet de Magic Slate, visant à mettre au point un ordinateur portable avec un écran pleine page. Bill Atkinson est un Apple Fellow : ce titre est une reconnaissance pour les personnages les plus importants dans l'histoire d'Apple. Avec ce titre, Bill Atkinson dispose d'un budget conséquent et d'une totale liberté, sans compte à rendre à la direction.

Bill Atkinson a l'idée d'HyperCard en faisant le constat suivant : les ordinateurs sont exploités essentiellement par les créateurs d'information et non par les utilisateurs, pourtant beaucoup plus nombreux. Il fallait donc créer un outil simple et universel, offert à tous les possesseurs de Macintosh. Bill Atkinson décide de quitter Apple pour le développer en toute liberté, mais John Sculley l'en dissuade : Apple l'aidera dans son travail, Atkinson demeurant libre d'exploiter commercialement son invention au cas où la marque décide finalement de ne pas la joindre gratuitement aux Mac.

À l'origine, Atkinson conçoit HyperCard (appelé alors WildCard, « le Joker ») comme un outil de gestion personnelle. Sculley lui suggère d'intégrer un système de programmation simple et la faculté de piloter les lecteurs de supports optiques. Ainsi nait HyperCard, organisateur d'information, mariage de MacPaint et d'HyperTalk. À propos du nom de code des versions de développement d'HyperCard, « WildCard », il est intéressant de remarquer qu'il en reste encore une trace : la signature qui authentifie l'application HyperCard et ses fichiers est « WILD ».

Le célèbre MacPaint, une autre création de Bill Atkinson

La plate-forme rêvée pour le CD-ROM

HyperCard est lancé en août 1987. Dès cette date et pendant plusieurs années, HyperCard sera fourni avec tous les Macintosh vendus par Apple. La première année de commercialisation voit le nombre de copies vendues atteindre 1 million ! Pour Apple, HyperCard est la plate-forme rêvée pour lancer son lecteur de CD-ROM : l'application tire alors pleinement parti du grand espace de stockage pour afficher images, sons et quantités d'informations.

Image Apple Forever

Et Apple inventa le concept de pile

Quand l'application HyperCard est lancée, elle ouvre la pile de base. Une pile, c'est une sorte d'application, à la différence près qu'elle n'est pas autonome. Chaque utilisateur peut créer des piles, qui contiennent une ou plusieurs cartes. Sur ces cartes, l'utilisateur dispose des images, des boutons et des champs de texte. Chacun de ces éléments peut être associé à un script. C’est tout simplement une suite de commandes, rédigées en HyperTalk, permettant aussi bien de piloter l'ordinateur ou la gestion des fichiers, que la pile elle-même : dessin, création de boutons, navigation entre les cartes, mathématique, effets visuels ou sonores…

Le langage HyperTalk fut conçu par Dan Winkler. Celui-ci essaya de créer un langage aussi proche que possible de la syntaxe de l'anglais. C'est ainsi que toutes les commandes sont des verbes (ask, answer, go, quit) et les événements sont des phrases en anglais, sans les espaces (onMouseUp, onOpenBackground, onMouseDoubleClick). De plus, le langage HyperTalk offre un très haut degré de réutilisation : il est possible de copier-coller quelques lignes de codes d'une pile à une autre.

HyperCard est le premier logiciel grand public utilisant un concept très innovant : l'hypertexte. Avec l'hypertexte (ou l'hypermédia), les informations sont divisées en plusieurs unités (les cartes d'une pile dans HyperCard, ou encore les pages HTML sur Internet), et l'utilisateur peut passer des unes aux autres grâce à des liaisons (programmées avec HyperTalk sous HyperCard, ou grâce aux liens sur Internet).

En fait, deux sortes d'utilisateurs coexistent avec HyperCard : les premiers sont des consommateurs, ils utilisent des piles conçues par d'autres, ils naviguent, ils récupèrent des informations… Les deuxièmes sont des créateurs : à partir d'une pile vide, ils créent une application, offrant des fonctions nouvelles (navigation, calculs, jeux, utilitaires…). Les premiers utilisent le clavier et la souris, les deuxièmes utilisent en plus HyperTalk pour rendre leur pile réactive aux demandes des utilisateurs.

Un long déclin

La version 2.0 d'HyperCard, présentée en 1990, apporte plus de 80 nouvelles fonctions. La plupart des désirs des utilisateurs ont été comblés : il devient possible d'ouvrir plusieurs fenêtres en même temps, les scripts s'exécutent de 30 à 40 % plus rapidement qu'avec la version précédente, un débogueur a été intégré pour faciliter la correction des scripts, il est enfin possible de créer des piles d'une taille supérieure à 512 × 342 pixels, une palette de navigation permet de déplacer le contenu des piles plus larges que l'écran… La barre des menus est maintenant personnalisable, les icônes peuvent être modifiées depuis HyperCard lui-même, une XCMD Picture permet d'afficher des images en couleur, les champs sont capables d'accueillir plusieurs types de polices de caractères, plusieurs scripts peuvent être ouverts en même temps.

Une publicité faisant la promotion de piles HyperCard. Image Apple - Collection

À partir de cette version 2.0, HyperCard n'est plus tout à fait fourni avec les Macintosh : seule une version permettant de naviguer dans les piles est comprise. Les utilisateurs souhaitant programmer leurs propres piles sont obligés d'acheter la version complète d'HyperCard, distribuée par Claris, une filiale d’Apple.

La version 2.2 apporte quelques nouveautés : la gestion des champs de texte de type Liste, les familles de boutons, la possibilité d'utiliser des scripts rédigés avec AppleScript pour piloter l'ordinateur, les menus locaux, ou encore la possibilité de créer une application autonome à partir d'une pile.

La version 2.3 apporte enfin la possibilité d'intégrer la couleur dans HyperCard, grâce à une XCMD. On peut colorer les boutons, les champs, on peut intégrer des images en fond ou sur chaque carte. Les possibilités restent néanmoins assez limitées : l'interface reste semblable à celle que présentait le système 6, et ne se pare ni des nouveautés du système 7 ni de l'aspect Platinum de Mac OS 8… Autre nouveauté, la fenêtre « Tâches du bouton » permet de désigner facilement les commandes d'un bouton (accès à une carte, effet visuel).

La version 2.4, sortie en 1998, permet enfin de se connecter à internet depuis une pile. Il suffit de cliquer sur un bouton ou un texte pour que le navigateur se lance et affiche la page désirée. Il devient également possible de manipuler des films QuickTime avec le langage HyperTalk. Les films QuickTime VR peuvent aussi être commandés depuis le clavier. En revanche, seule la version américaine d'HyperCard 2.4 est disponible : il est en plus impossible de mettre à jour HyperCard 2.3 français vers 2.4 US…

En fait, depuis le début des années 90, Apple semble se désintéresser complètement d'HyperCard. L'application n'est plus mise à jour, sauf pour quelques corrections de bug. Les outils couleur, attendus pendant plusieurs années, ne sont pas à la hauteur des espérances des utilisateurs. Les différentes mises à jour ne sont plus traduites et Apple ne fait plus aucune annonce à propos de l'application la plus innovante de tous les temps.

La rumeur HyperCard 3

En fait, une rumeur persistante traîne depuis 1996 : Apple serait en train de bosser sur une version 3.0 d'HyperCard, qui serait absolument révolutionnaire. Cette nouvelle version serait une fusion d'HyperCard et de QuickTime : les piles seraient en fait des films QuickTime, auxquels on aurait ajouté les capacités d'HyperCard et d'HyperTalk. Ainsi, on pourrait utiliser pleinement tous les outils de couleurs, de connexion à internet, d'animation, et aussi bien sur Mac que sur PC. Les piles HyperCard pourraient donc également tourner dans un navigateur, grâce au plug-in QuickTime.

Il n'y aura ensuite plus aucune nouvelle. QuickTime 3, qui était censé contenir ces nouveautés, est arrivé sans HyperCard. De même, QuickTime 4 ne semble pas offrir quoi que ce soit d'équivalent ! Le fameux QuickTime Interactive, qui devait permettre la création des fameux fichiers QuickTime-HyperCard, n'a jamais pointé le bout de son nez… Les rumeurs ne faiblirent pas durant les années d'attente : de nombreux ingénieurs travailleraient chez Apple sur QuickTime Interactive, cette technologie permettrait d'inclure dans des piles des fichiers VR, 3D, MPEG, on pourrait mélanger HyperTalk, AppleScript et Java, les piles tourneraient indifféremment sur Mac et sur PC, et tout ça marcherait avec 8 Mo de mémoire vive…

Apple a définitivement laissé tomber HyperCard en 2004. Des projets similaires au fil du temps ont tenté de relancer le concept. On pense entre autres à SuperCard qui est encore développé. La version 4.7.3 sortie récemment offre même la prise en charge de Mountain Lion. L'un des intérêts de ce logiciel, outre qu'il partage la même philosophie, c'est qu'il est capable d'importer sans trop de difficulté des piles créées avec le logiciel d'Apple.

iBooks Author : le successeur ?

Simple coïncidence, alors que le logiciel souffle cette année sa 25e bougie, Apple a quelque peu revu le concept en début d'année avec iBooks Author (iBooks Author, héritier d'HyperCard). La nouvelle application d'Apple qui permet de concevoir sans avoir de grandes connaissances techniques des livres interactifs (Test d'iBooks Author).

iBooks Author

Enfin, si l'on devait citer une création réalisée avec HyperCard, le premier qui viendra à l'esprit de beaucoup est Myst. Ce jeu d'aventures est sorti sur notre plate-forme en 1993. C'est l'un des rares best-sellers dans le domaine à être d'abord sorti sur Mac. La version PC arriva un an plus tard. Lors de sa sortie, ce jeu avait impressionné la critique par son univers de fiction très immersif.

Myst

Avec six millions d'exemplaires écoulés, Myst fut longtemps le jeu pour ordinateur le plus vendu au monde avant d'être dépassé par The Sims. Et si, 19 ans plus tard, il n'est plus possible de faire fonctionner ce jeu sur un Mac récent, il a en quelque sorte ressuscité dans une version iOS.

Article réalisé en collaboration avec notre partenaire L'Aventure Apple.

Sur le même sujet :

  •  

HyperCard : l'un des plus beaux concepts d'Apple

En souvenir de Bill Atkinson, nous republions aujourd’hui notre présentation d’HyperCard, l’une de ses plus fameuses inventions. Cet article est paru à l’origine le 12 août 2012.

Dans l'histoire logicielle d'Apple, HyperCard est sans doute l'un des logiciels les plus ambitieux et novateurs. Sorti très exactement le 11 août 1987, cet « organisateur d'information » fêtait ce week-end son 25e anniversaire. Vendu à l'époque 49 $, HyperCard nécessitait 1 Mo de mémoire vive et était présenté par ses concepteurs comme « une pièce fondamentale du Macintosh ».

Il avait été présenté en même temps que le MultiFinder (qui permettait d'utiliser plusieurs applications en même temps), l'imprimante ImageWriter LQ ainsi que l'Apple Fax Modem. Mais HyperCard avait été présenté comme de loin l'annonce la plus importante. À l'époque, Apple espérait que son logiciel génère plusieurs centaines d'applications gratuites, payantes ou encore à destination du marché de l'éducation. Un chiffre bien en dessous de la réalité, car si dans les premières années HyperCard connut un franc succès, Apple fut hélas bien incapable de l’exploiter.

Image ratschlag24

Un outil pour les créateurs d'information

HyperCard est un « organisateur d'information ». Il présente tellement d'aspects différents qu'il est difficile de vraiment le classer dans une catégorie de logiciels : base de données, programmation, multimédia… Mais ce point est loin d'être sa seule spécificité.

HyperCard est né de la rencontre de Bill Atkinson (créateur de MacPaint et d'une bonne partie du Macintosh) et de John Sculley, alors président d'Apple. En 1985, juste après le lancement du Macintosh, Bill Atkinson travaille sur le projet de Magic Slate, visant à mettre au point un ordinateur portable avec un écran pleine page. Bill Atkinson est un Apple Fellow : ce titre est une reconnaissance pour les personnages les plus importants dans l'histoire d'Apple. Avec ce titre, Bill Atkinson dispose d'un budget conséquent et d'une totale liberté, sans compte à rendre à la direction.

Bill Atkinson a l'idée d'HyperCard en faisant le constat suivant : les ordinateurs sont exploités essentiellement par les créateurs d'information et non par les utilisateurs, pourtant beaucoup plus nombreux. Il fallait donc créer un outil simple et universel, offert à tous les possesseurs de Macintosh. Bill Atkinson décide de quitter Apple pour le développer en toute liberté, mais John Sculley l'en dissuade : Apple l'aidera dans son travail, Atkinson demeurant libre d'exploiter commercialement son invention au cas où la marque décide finalement de ne pas la joindre gratuitement aux Mac.

À l'origine, Atkinson conçoit HyperCard (appelé alors WildCard, « le Joker ») comme un outil de gestion personnelle. Sculley lui suggère d'intégrer un système de programmation simple et la faculté de piloter les lecteurs de supports optiques. Ainsi nait HyperCard, organisateur d'information, mariage de MacPaint et d'HyperTalk. À propos du nom de code des versions de développement d'HyperCard, « WildCard », il est intéressant de remarquer qu'il en reste encore une trace : la signature qui authentifie l'application HyperCard et ses fichiers est « WILD ».

Le célèbre MacPaint, une autre création de Bill Atkinson

La plate-forme rêvée pour le CD-ROM

HyperCard est lancé en août 1987. Dès cette date et pendant plusieurs années, HyperCard sera fourni avec tous les Macintosh vendus par Apple. La première année de commercialisation voit le nombre de copies vendues atteindre 1 million ! Pour Apple, HyperCard est la plate-forme rêvée pour lancer son lecteur de CD-ROM : l'application tire alors pleinement parti du grand espace de stockage pour afficher images, sons et quantités d'informations.

Image Apple Forever

Et Apple inventa le concept de pile

Quand l'application HyperCard est lancée, elle ouvre la pile de base. Une pile, c'est une sorte d'application, à la différence près qu'elle n'est pas autonome. Chaque utilisateur peut créer des piles, qui contiennent une ou plusieurs cartes. Sur ces cartes, l'utilisateur dispose des images, des boutons et des champs de texte. Chacun de ces éléments peut être associé à un script. C’est tout simplement une suite de commandes, rédigées en HyperTalk, permettant aussi bien de piloter l'ordinateur ou la gestion des fichiers, que la pile elle-même : dessin, création de boutons, navigation entre les cartes, mathématique, effets visuels ou sonores…

Le langage HyperTalk fut conçu par Dan Winkler. Celui-ci essaya de créer un langage aussi proche que possible de la syntaxe de l'anglais. C'est ainsi que toutes les commandes sont des verbes (ask, answer, go, quit) et les événements sont des phrases en anglais, sans les espaces (onMouseUp, onOpenBackground, onMouseDoubleClick). De plus, le langage HyperTalk offre un très haut degré de réutilisation : il est possible de copier-coller quelques lignes de codes d'une pile à une autre.

HyperCard est le premier logiciel grand public utilisant un concept très innovant : l'hypertexte. Avec l'hypertexte (ou l'hypermédia), les informations sont divisées en plusieurs unités (les cartes d'une pile dans HyperCard, ou encore les pages HTML sur Internet), et l'utilisateur peut passer des unes aux autres grâce à des liaisons (programmées avec HyperTalk sous HyperCard, ou grâce aux liens sur Internet).

En fait, deux sortes d'utilisateurs coexistent avec HyperCard : les premiers sont des consommateurs, ils utilisent des piles conçues par d'autres, ils naviguent, ils récupèrent des informations… Les deuxièmes sont des créateurs : à partir d'une pile vide, ils créent une application, offrant des fonctions nouvelles (navigation, calculs, jeux, utilitaires…). Les premiers utilisent le clavier et la souris, les deuxièmes utilisent en plus HyperTalk pour rendre leur pile réactive aux demandes des utilisateurs.

Un long déclin

La version 2.0 d'HyperCard, présentée en 1990, apporte plus de 80 nouvelles fonctions. La plupart des désirs des utilisateurs ont été comblés : il devient possible d'ouvrir plusieurs fenêtres en même temps, les scripts s'exécutent de 30 à 40 % plus rapidement qu'avec la version précédente, un débogueur a été intégré pour faciliter la correction des scripts, il est enfin possible de créer des piles d'une taille supérieure à 512 × 342 pixels, une palette de navigation permet de déplacer le contenu des piles plus larges que l'écran… La barre des menus est maintenant personnalisable, les icônes peuvent être modifiées depuis HyperCard lui-même, une XCMD Picture permet d'afficher des images en couleur, les champs sont capables d'accueillir plusieurs types de polices de caractères, plusieurs scripts peuvent être ouverts en même temps.

Une publicité faisant la promotion de piles HyperCard. Image Apple - Collection

À partir de cette version 2.0, HyperCard n'est plus tout à fait fourni avec les Macintosh : seule une version permettant de naviguer dans les piles est comprise. Les utilisateurs souhaitant programmer leurs propres piles sont obligés d'acheter la version complète d'HyperCard, distribuée par Claris, une filiale d’Apple.

La version 2.2 apporte quelques nouveautés : la gestion des champs de texte de type Liste, les familles de boutons, la possibilité d'utiliser des scripts rédigés avec AppleScript pour piloter l'ordinateur, les menus locaux, ou encore la possibilité de créer une application autonome à partir d'une pile.

La version 2.3 apporte enfin la possibilité d'intégrer la couleur dans HyperCard, grâce à une XCMD. On peut colorer les boutons, les champs, on peut intégrer des images en fond ou sur chaque carte. Les possibilités restent néanmoins assez limitées : l'interface reste semblable à celle que présentait le système 6, et ne se pare ni des nouveautés du système 7 ni de l'aspect Platinum de Mac OS 8… Autre nouveauté, la fenêtre « Tâches du bouton » permet de désigner facilement les commandes d'un bouton (accès à une carte, effet visuel).

La version 2.4, sortie en 1998, permet enfin de se connecter à internet depuis une pile. Il suffit de cliquer sur un bouton ou un texte pour que le navigateur se lance et affiche la page désirée. Il devient également possible de manipuler des films QuickTime avec le langage HyperTalk. Les films QuickTime VR peuvent aussi être commandés depuis le clavier. En revanche, seule la version américaine d'HyperCard 2.4 est disponible : il est en plus impossible de mettre à jour HyperCard 2.3 français vers 2.4 US…

En fait, depuis le début des années 90, Apple semble se désintéresser complètement d'HyperCard. L'application n'est plus mise à jour, sauf pour quelques corrections de bug. Les outils couleur, attendus pendant plusieurs années, ne sont pas à la hauteur des espérances des utilisateurs. Les différentes mises à jour ne sont plus traduites et Apple ne fait plus aucune annonce à propos de l'application la plus innovante de tous les temps.

La rumeur HyperCard 3

En fait, une rumeur persistante traîne depuis 1996 : Apple serait en train de bosser sur une version 3.0 d'HyperCard, qui serait absolument révolutionnaire. Cette nouvelle version serait une fusion d'HyperCard et de QuickTime : les piles seraient en fait des films QuickTime, auxquels on aurait ajouté les capacités d'HyperCard et d'HyperTalk. Ainsi, on pourrait utiliser pleinement tous les outils de couleurs, de connexion à internet, d'animation, et aussi bien sur Mac que sur PC. Les piles HyperCard pourraient donc également tourner dans un navigateur, grâce au plug-in QuickTime.

Il n'y aura ensuite plus aucune nouvelle. QuickTime 3, qui était censé contenir ces nouveautés, est arrivé sans HyperCard. De même, QuickTime 4 ne semble pas offrir quoi que ce soit d'équivalent ! Le fameux QuickTime Interactive, qui devait permettre la création des fameux fichiers QuickTime-HyperCard, n'a jamais pointé le bout de son nez… Les rumeurs ne faiblirent pas durant les années d'attente : de nombreux ingénieurs travailleraient chez Apple sur QuickTime Interactive, cette technologie permettrait d'inclure dans des piles des fichiers VR, 3D, MPEG, on pourrait mélanger HyperTalk, AppleScript et Java, les piles tourneraient indifféremment sur Mac et sur PC, et tout ça marcherait avec 8 Mo de mémoire vive…

Apple a définitivement laissé tomber HyperCard en 2004. Des projets similaires au fil du temps ont tenté de relancer le concept. On pense entre autres à SuperCard qui est encore développé. La version 4.7.3 sortie récemment offre même la prise en charge de Mountain Lion. L'un des intérêts de ce logiciel, outre qu'il partage la même philosophie, c'est qu'il est capable d'importer sans trop de difficulté des piles créées avec le logiciel d'Apple.

iBooks Author : le successeur ?

Simple coïncidence, alors que le logiciel souffle cette année sa 25e bougie, Apple a quelque peu revu le concept en début d'année avec iBooks Author (iBooks Author, héritier d'HyperCard). La nouvelle application d'Apple qui permet de concevoir sans avoir de grandes connaissances techniques des livres interactifs (Test d'iBooks Author).

iBooks Author

Enfin, si l'on devait citer une création réalisée avec HyperCard, le premier qui viendra à l'esprit de beaucoup est Myst. Ce jeu d'aventures est sorti sur notre plate-forme en 1993. C'est l'un des rares best-sellers dans le domaine à être d'abord sorti sur Mac. La version PC arriva un an plus tard. Lors de sa sortie, ce jeu avait impressionné la critique par son univers de fiction très immersif.

Myst

Avec six millions d'exemplaires écoulés, Myst fut longtemps le jeu pour ordinateur le plus vendu au monde avant d'être dépassé par The Sims. Et si, 19 ans plus tard, il n'est plus possible de faire fonctionner ce jeu sur un Mac récent, il a en quelque sorte ressuscité dans une version iOS.

Article réalisé en collaboration avec notre partenaire L'Aventure Apple.

Sur le même sujet :

  •  

After His Trump Blowup, Musk May Be Out. But DOGE Is Just Getting Started.

With members embedded in multiple agencies, the team’s approach to transforming government is becoming “institutionalized,” as one official put it.

© Eric Lee/The New York Times

Elon Musk’s mission for the Department of Government Efficiency — deep cuts in spending, personnel and projects — appears to be taking root, with DOGE staff now in key jobs across the federal government.
  •  

Promos : le MacBook Air M2 à 799 € et l'iPhone 16 Pro Max à 1299 €

Jusqu’à lundi, Cdiscount propose un certain nombre de produits Apple à des prix très intéressants. La seule condition ? Saisir le code APPLE50D799, qui vous permettra d’obtenir 50 € de réduction sur un produit Apple dès lors que celui-ci est vendu plus de 799 €.

Ainsi, le MacBook Air M2 qui était déjà en promo cette semaine à 849 €, passe à 799 €. À ce prix, la configuration est très intéressante, cet appareil étant doté de 16 Go de mémoire vive. Vous avez le choix entre le modèle argent et gris sidéral. À vous de choisir.

Dans le cadre de certains usages, 256 Go, cela peut être insuffisant, mais dans le cadre d’une machine de complément, c’est largement suffisant. Pour le reste, le MacBook Air M2 est une excellente machine dotée d’une très bonne autonomie et qui ne souffre pas d’un défaut particulier.

Cette offre permet également de faire baisser le prix d’autres produits de la gamme. En saisissant bien le code APPLE50D799 lors de la commande, vous pouvez obtenir un iPhone 16 128 Go à 799 €, un iPhone 16 Pro Max 256 Go à 1299 € ou encore une Apple Watch Ultra Series 2 à 839,99 €. L’ensemble des produits Apple en promotion sont listés sur cette page.

  •  

Apple rétrogradée : les marchés doutent avant la WWDC

Lors de cette WWDC, Apple va devoir rassurer son monde, notamment sur le front de l’intelligence artificielle. Elle devra convaincre les développeurs d’utiliser ses technologies. L’une des grandes annonces de la WWDC serait que ces derniers puissent tirer profit d’Apple Intelligence dans leurs apps. C’est la suite logique, mais encore faut-il que ses technologies soient à la hauteur de ce que fait la concurrence.

Kernel Panic : que nous réserve la WWDC 2025 ?

Kernel Panic : que nous réserve la WWDC 2025 ?

Beaucoup se questionnent quant à la capacité d’Apple à relever le défi de l’intelligence artificielle générative. C’est vrai chez les utilisateurs, pour qui Apple Intelligence n’a sans doute pas changé leur quotidien. Mais c’est également aussi vrai pour les investisseurs qui commencent à regarder le dossier Apple avec circonspection.

Entre la prise de conscience tardive d’Apple de s’attaquer à ce sujet et les déboires de Siri, les analystes commencent à se poser des questions. Ces derniers avaient initialement favorablement accueilli Apple Intelligence. Ils voyaient dans cette technologie un moyen pour Apple d’enclencher un nouveau cycle de croissance entre renouvellement de matériel et vente additionnelle de services.

Un an plus tard, le constat est amer. Apple est des sept géants de la tech aux US, celui qui connait le moins bon parcours boursier depuis le début de l’année. L’action a perdu plus de 16% depuis le 1er janvier. Même Tesla (-12 %) parvient à faire mieux, tandis que Microsoft et Nvidia sont dans le vert ! L’action Apple a particulièrement souffert de la guerre commerciale au printemps, mais ce qui inquiète les investisseurs, c’est l’absence de catalyseurs à court terme qui permettraient de remettre le titre sur une meilleure trajectoire.

Forts de ce constat, les analystes de Needham & Company ont revu leur position sur le dossier passant d’achat à neutre. Ils estiment que l’action avec un ratio cours/bénéfice supérieur à 26 est trop valorisée et estiment qu’il serait intéressant de se repositionner sur le dossier si le titre de l’action se négocie dans une fourchette comprise entre 170 $ et 180 $. Hier, AAPL a fini la séance à 202,82 $.

Les emmerdes, ça vole toujours en escadrille

L’autre source d’inquiétude pour Needham & Company, ce sont les services. Apple fait face à toujours plus de menaces réglementaires qui pourraient lui coûter cher. L’accord avec Alphabet qui lui permet de placer son moteur de recherche par défaut dans Safari est notamment cité. Il rapporte, rappelons-le, chaque année plus de 20 milliards de dollars à Apple. Vous ajoutez à cela la guerre commerciale de Donald Trump qui devrait apporter de nouveaux rebondissements et les difficultés récurrentes d’Apple en Chine… Tout cela fait que l’optimisme n’est pas de mise. De ce fait, Needham & Company ne voit pas comment l’iPhone 17 pourrait inverser la tendance.

La stratégie d’Apple est simple : faire le dos rond en attendant des jours meilleurs. L’année prochaine, Apple fêtera son cinquantième anniversaire et prévoit à cette occasion de lancer de nouveaux produits qui pourraient lui permettre de repartir de l’avant. L’iPhone pliable et les lunettes connectées auront un grand rôle à jouer !

Apple met la touche finale à ses lunettes connectées, mais abandonnerait la caméra dans la Watch

Apple met la touche finale à ses lunettes connectées, mais abandonnerait la caméra dans la Watch

  •  

Précommandez le tee-shirt des 25 ans de MacGeneration

En avril dernier, nous vous proposions de choisir la couleur du tee-shirt pour les 25 ans de MacGeneration. Est-ce vraiment une surprise de dire que c’est la déclinaison en orange et en blanc qui s’est largement imposée avec 45 % des voix ?

Image MacGeneration.

Le voici donc désormais disponible à la précommande sur notre boutique. Il s’agit d’une édition limitée. Nous procéderons à l’expédition des tee-shirts en même temps que le magazine, d’ici quelques semaines. Le but est que vous puissiez lire le magazine pendant les vacances, sur la plage ou à l’endroit que vous le souhaitez, en portant le t-shirt qui va avec.

De nombreuses tailles sont disponibles de S à 3XL. Le prix est de 25 € auquel il faut ajouter les frais de port (5 € pour la France, 7,5 € pour les autres pays). Les beaux jours arrivent, c’est donc le moment d’en profiter !

Je précommande le tee-shirt des 25 ans de MacGeneration

Un mot sur le magazine : sa rédaction est terminée à 99,99 % et le maquettiste est en train de finir le travail de mise en page. Il ne restera alors plus qu’à le relire une énième fois, l’envoyer à l’imprimeur et vous l’expédier. Pour les retardataires, sachez que le magazine est encore disponible à la précommande pour quelques jours. On acceptera les commandes jusqu’au moment de l’imprimer. Et promis, à ce moment, on vous révélera quelques détails !

J’achète mon exemplaire du magazine des 25 ans de MacGeneration

  •