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Être payé pour ne plus utiliser Google, est-ce que ca marche ?

La domination de Google dans la recherche web est-elle le fruit d’une supériorité technique, ou découle-t-elle d’habitudes et de mécanismes de marché plus subtils ? Alors que la multinationale doit faire face aux autorités de la concurrence outre Atlantique, une nouvelle étude tente de déterminer la véritable place de Google sur le marché de la recherche en ligne face à ses concurrents.

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Face au succès de sa bande-son, Clair Obscur : Expedition 33 aura droit à son vinyle

Si le jeu de Sandfall Interactive est sur toutes les lèvres depuis sa commercialisation la semaine dernière, c'est en grande partie grâce à la bande-originale de Lorien Testard, dont nous avions d'ailleurs parlé en longueur dans le cadre de notre test du jeu. Aujourd'hui disponible sur les plateformes de streaming, une version physique (vinyle) de la bande-son est prévue par le jeune studio.

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Actualité : 4chan piraté : le forum controversé renaît après une cyberattaque “dévastatrice”

Le 14 avril dernier, 4chan a subi une attaque informatique d’envergure. Un pirate, utilisant une adresse IP britannique, a exploité une vulnérabilité liée à un vieux paquet logiciel sur l’un des serveurs du forum. Cette brèche, ouverte via le téléchargement d’un faux fichier PDF, a permis un accès étendu : bases de données, code source et tableau de...

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À peine lancés, les nouveaux CMF by Nothing Buds 2 sont déjà en promo sur Amazon (-20 %)

CMF by Nothing a tout récemment annoncé le lancement de plusieurs paires d'écouteurs sans fil, dont les Buds 2, une paire abordable qui est tout de même dotée d'une réduction de bruit active. Tout juste sortie, elle est déjà en promotion à 39,95 euros au lieu de 49,95 euros sur Amazon.
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CMF by Nothing Buds 2 // Source : EqualLeaks
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Is a River Alive? by Robert Macfarlane review – streams of consciousness

An impassioned plea to save our rivers combines poetry and adventure

Tracking a river through a cedar forest in Ecuador, Robert Macfarlane comes to a 30ft-high waterfall and, below it, a wide pool. It’s irresistible: he plunges in. The water under the falls is turbulent, a thousand little fists punching his shoulders. He’s exhilarated. No one could mistake this for a “dying” river, sluggish or polluted. But that thought sparks others: “Is this thing I’m in really alive? By whose standards? By what proof? As for speaking to or for a river, or comprehending what a river wants – well, where would you even start?”

He’s in the right place to be asking. In September 2008, Ecuador, “this small country with a vast moral imagination”, became the first nation in the world to legislate on behalf of water, “since its condition as an essential element for life makes it a necessary aspect for existence of all living beings”. This enshrinement of the Rights of Nature set off similar developments in other countries. In 2017, a law was passed in New Zealand that afforded the Whanganui River protection as a “spiritual and physical entity”. In India, five days later, judges ruled that the Ganges and Yamuna should be recognised as “living entities”. And in 2021, the Mutehekau Shipu (AKA Magpie River) became the first river in Canada to be declared a “legal person [and] living entity”. The Rights of Nature movement has now reached the UK, with Lewes council in East Sussex recognising the rights and legal personhood of the River Ouse.

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© Photograph: sasaperic/Getty Images/iStockphoto

© Photograph: sasaperic/Getty Images/iStockphoto

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Performance Test de Clair Obscur: Expedition 33, avec justement 33 cartes graphiques testées !

Avec le jeu Clair Obscur: Expedition 33, le petit studio français Sandfall Interactive est en train de se faire une renommée mondiale tant le jeu recueille depuis son lancement la semaine dernière des avis dithyrambiques, à la fois de la presse, mais également des joueurs. En seulement quatre jours,...

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Le monde du PC est encore largement étanche aux promesses de l’IA d’après Intel

Alors que l’IA a envahi quasiment tous les recoins de nos appareils technologiques, il semblerait que les prouesses de ce nouveau paradigme peinent encore à convaincre les utilisateurs et utilisatrices PC.
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Notre émission Twitch SURVOLTÉS, c’est un mercredi sur deux de 18h à 20h : retrouvez-nous pour parler voiture électrique ou vélo électrique, autour de débats, d’interviews, d’analyses et de jeux !

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Le Musée Replay en danger : appel à soutien pour préserver notre patrimoine informatique

Le Musée Replay (sur Bordeaux) œuvre pour la préservation du patrimoine informatique et vidéoludique. En juin, il perd son espace de stockage, ce qui menace sa collection. Il recherche donc un nouveau local et fait appel à financement participatif.

Introduction

Depuis plusieurs années, le Musée Replay (sur Bordeaux) œuvre pour la préservation du patrimoine informatique et vidéoludique. Machines anciennes, consoles, ordinateurs rares, accessoires, documentation… une collection unique en France est en constante évolution grâce à un travail de passionnés, notamment via des expositions itinérantes et des actions de sensibilisation.

Mais aujourd’hui, l’avenir de cette collection est sérieusement menacé.

En juin, le Musée perd son espace de stockage

Le local de 150 m² qui abrite actuellement les machines va devoir être libéré. Ce qui pose plusieurs problèmes urgents et concrets :

  • trouver un nouveau local sécurisé et adapté ;
  • organiser le déménagement d’un volume très conséquent (plusieurs allers-retours en camion de 20 m³ seront nécessaires) ;
  • et continuer, malgré tout, à faire vivre ce patrimoine à travers des animations et événements partout en France.

Une collecte est lancée

Vous pouvez en savoir plus, et participer financièrement si vous le souhaitez, via la page suivante :

https://www.helloasso.com/associations/musee-replay/collectes/un-nouveau-local-pour-musee-replay

Même quelques euros peuvent faire la différence. Et si vous ne pouvez pas contribuer financièrement, le simple fait de relayer l’information est déjà un soutien précieux.

Une chaîne YouTube pour découvrir leur travail

Le projet est également porté (et documenté) à travers la chaîne Olipix, qui publie des contenus orientés histoire de l’informatique, restauration de machines, présentations de matériel rétro, etc.

À découvrir ici : https://www.youtube.com/@Olipix

Les autres ?

D’autres initiatives, musées et associations œuvrent également pour la préservation du patrimoine informatique, vidéoludique et numérique.
Parmi elles, on peut citer l’association MO5, installée en proche banlieue parisienne, qui possède l’une des plus importantes collections européennes, et participe régulièrement à des expositions culturelles.
À Bussy-Saint-Georges, le projet Odyssée prévoit pour 2028 l’ouverture d’un vaste musée consacré au jeu vidéo et à la pop culture, articulé autour de la collection personnelle de Ludovic Charles (plus de 2 500 consoles).
En Belgique, le musée NAM-IP, situé à Namur, est dédié à l’histoire de l’informatique, tandis que le Pixel Museum de Bruxelles a malheureusement fermé ses portes fin 2024.

La diversité de ces projets, chacun avec son approche, contribue à mieux préserver et valoriser un patrimoine riche et multiple.
Pour aller plus loin, l’article Musée de l'informatique propose une liste (non exhaustive) des musées consacrés à l’informatique et au jeu vidéo… Peut-être devrions-nous aller y faire un tour, et le bonifier à l’aune de l’actualité ?

Témoignage personnel

En 1985, j’étais moi-même à côté d’un Commodore PET 2001. C’est cette mémoire, cette passion, ces machines qui nous ont fait rêver, apprendre, bricoler, que le Musée Replay aide à sauvegarder.

Photo en 1985 à côté d’un PET 2001

Merci à toutes celles et ceux qui prendront le temps de lire, partager, ou soutenir cette initiative.

Le patrimoine numérique n’est pas virtuel : il est bien réel, et mérite qu’on le protège.

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Netflix va systématiquement proposer des sous-titres dans la langue d’origine du contenu

Netflix a annoncé un changement dans la gestion de ses sous-titres : le service compte proposer systématiquement le texte dans la langue d’origine du contenu, en plus des sous-titres pour les personnes malentendantes. Jusque-là, un contenu en anglais par exemple était généralement associé à des sous-titres dans de multiples langues différentes, mais pas en anglais simple. Seuls les sous-titres malentendants étaient proposés en anglais, ce qui implique qu’ils ne contiennent pas que les dialogues.

Un exemple de la situation actuelle : ce contenu en anglais ne propose que des sous-titres destinés aux personnes malentendantes, il n’y en a pas avec uniquement les paroles dans la même langue. Image iGeneration.

L’objectif de ces sous-titres sont en effet de permettre à une personne qui n’entend pas de suivre l’action, et c’est pourquoi ils intègrent autant les dialogues que des indications sur l’ambiance sonore ou bien sur une porte qui claque hors champ. Quand on peut entendre la bande-sonore, ce dédoublement est au mieux inutile, voire frustrant, car les sous-titres peuvent divulgâcher des éléments ou distraire. En proposant des sous-titres avec uniquement les dialogues dans la langue d’origine, Netflix propose une solution pour tous ceux qui veulent apprendre une langue en s’appuyant sur du texte en plus de l’audio ou même des natifs qui n’entendent pas bien les dialogues (ce n’est pas de leur faute).

La mauvaise nouvelle, c’est que le changement ne va concerner que les nouveaux contenus publiés par Netflix, pas l’immense catalogue déjà en place. La nouveauté est arrivée avec la dernière saison de You et le service promet que les sous-titres de base seront présents désormais sur toutes les nouvelles séries et nouveaux films produits par ses soins. Cela ne concerne pas que l’anglais d’ailleurs, toutes les versions originales devraient désormais proposer une piste de sous-titres avec uniquement avec les dialogues dans la même langue que l’audio.

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Netflix va systématiquement proposer des sous-titres dans la langue d’origine du contenu

Netflix a annoncé un changement dans la gestion de ses sous-titres : le service compte proposer systématiquement le texte dans la langue d’origine du contenu, en plus des sous-titres pour les personnes malentendantes. Jusque-là, un contenu en anglais par exemple était généralement associé à des sous-titres dans de multiples langues différentes, mais pas en anglais simple. Seuls les sous-titres malentendants étaient proposés en anglais, ce qui implique qu’ils ne contiennent pas que les dialogues.

Un exemple de la situation actuelle : ce contenu en anglais ne propose que des sous-titres destinés aux personnes malentendantes, il n’y en a pas avec uniquement les paroles dans la même langue. Image iGeneration.

L’objectif de ces sous-titres sont en effet de permettre à une personne qui n’entend pas de suivre l’action, et c’est pourquoi ils intègrent autant les dialogues que des indications sur l’ambiance sonore ou bien sur une porte qui claque hors champ. Quand on peut entendre la bande-sonore, ce dédoublement est au mieux inutile, voire frustrant, car les sous-titres peuvent divulgâcher des éléments ou distraire. En proposant des sous-titres avec uniquement les dialogues dans la langue d’origine, Netflix propose une solution pour tous ceux qui veulent apprendre une langue en s’appuyant sur du texte en plus de l’audio ou même des natifs qui n’entendent pas bien les dialogues (ce n’est pas de leur faute).

La mauvaise nouvelle, c’est que le changement ne va concerner que les nouveaux contenus publiés par Netflix, pas l’immense catalogue déjà en place. La nouveauté est arrivée avec la dernière saison de You et le service promet que les sous-titres de base seront présents désormais sur toutes les nouvelles séries et nouveaux films produits par ses soins. Cela ne concerne pas que l’anglais d’ailleurs, toutes les versions originales devraient désormais proposer une piste de sous-titres avec uniquement avec les dialogues dans la même langue que l’audio.

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SK Hynix présente une nouvelle technologie de RAM assistée par IA ultra rapide

SK Hynix a dévoilé sa technologie HBM4 au TSMC's NA Technology Symposium, présentant une capacité de 48 Go, une bande passante de 2,0 To/s et une vitesse d'E/S de 8,0 Gbps, avec une production de masse prévue pour le second semestre 2025, ainsi que des innovations en HBM3E et des modules de mémoire serveur.

L’article SK Hynix présente une nouvelle technologie de RAM assistée par IA ultra rapide est apparu en premier sur Tom’s Hardware.

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SK Hynix présente une nouvelle technologie de RAM assistée par IA ultra rapide

SK Hynix a dévoilé sa technologie HBM4 au TSMC's NA Technology Symposium, présentant une capacité de 48 Go, une bande passante de 2,0 To/s et une vitesse d'E/S de 8,0 Gbps, avec une production de masse prévue pour le second semestre 2025, ainsi que des innovations en HBM3E et des modules de mémoire serveur.

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Can you solve it? How to have fun with straws

Riddles with long paper cylinders

The most heated puzzle about the drinking straw is “does it have one hole or two?” (This debate periodically goes viral and for those who want to suck up its delicious complexities I recommend this chat with mathematician Jordan Ellenberg.)

Today’s puzzles are also about straws, but are much less controversial.

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© Photograph: Pictorial Press Ltd/Alamy

© Photograph: Pictorial Press Ltd/Alamy

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Expedition 33 : une RTX 5080 pour jouer en 1440p !

Expedition 33 vous fait de l’œil, mais vous ne savez pas si votre PC pourra faire tourner le jeu correctement ? Bonne nouvelle, un confrère a donc testé un large panel de cartes graphiques sur le dernier jeu de Sandfall Interactive. Il en ressort qu’en rastérisation, sans upscalling, il faudra une grosse carte graphique pour […]

L’article Expedition 33 : une RTX 5080 pour jouer en 1440p ! est apparu en premier sur Overclocking.com.

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Expedition 33 : une RTX 5080 pour jouer en 1440p !

Expedition 33 vous fait de l’œil, mais vous ne savez pas si votre PC pourra faire tourner le jeu correctement ? Bonne nouvelle, un confrère a donc testé un large panel de cartes graphiques sur le dernier jeu de Sandfall Interactive. Il en ressort qu’en rastérisation, sans upscalling, il faudra une grosse carte graphique pour […]

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☕️ PyTorch : version native pour Windows on Arm, extensions Intel et faille critique

La semaine a été riche en actualités pour ce framework dédié à l’apprentissage automatique (machine learning), écrit en Python et s’appuyant sur Torch de Meta. C’est aujourd’hui l’une des bibliothèques les plus couramment utilisées dans ce domaine. Depuis l’automne 2022, son développement se fait sous l’égide de la fondation Linux.

Parmi les actualités, on commence avec la disponibilité de builds compilés nativement pour Arm par Microsoft, à destination des PC basés sur ces puces, dont les Snapdragon X présents dans les machines Copilot+. Il s’agit de la dernière révision de PyTorch (2.7), qui peut fonctionner avec la version 3.12 de Python.

Pour faire tourner ces builds, il faut quand même quelques composants. Il est ainsi nécessaire d’avoir soit une installation complète de Visual Studio, ou au moins la partie associée au développement avec C++, les outils C++ pour ARM64/ARM64EC et Rust, en partie par le site officiel pour ce dernier. Le reste se fait via des commandes pip fournies par Microsoft sur la page d’annonce.

Aujourd’hui, Intel a également publié sa nouvelle extension pour PyTorch 2.7. À la clé, diverses optimisations de performances pour les puces du fondeur, dont le support de la précision INT8 pour les dernières générations de Xeon. La nouvelle mouture apporte également le support de plusieurs modèles, dont DeepSeek-R1 et la famille Phi-4 de Microsoft. La nouvelle version peut être téléchargée depuis son dépôt GitHub.

Faille critique dans les anciennes versions

Enfin, dans les nouvelles moins réjouissantes, une importante faille de sécurité a été divulguée il y a quelques dans toutes les versions de PyTorch jusqu’à la 2.5.1. Estampillée CVE-2025-32434, elle possède un score CVSS de 9.3 sur 10, la catégorisant comme critique. L’exploitation peut se faire via un modèle d’IA malveillant qui, sous certaines conditions, va pouvoir déclencher l’exécution d’un code arbitraire.

Plus précisément, la faille réside dans la manière dont PyTorch gère certains paramètres. Les modèles entrainés sont stockés dans des fichiers permettant d’enregistrer les poids associés. Ces poids sont chargés via la méthode torch.load().

Comme l’explique notamment Kasperksy, les modèles sont souvent proposés depuis des dépôts publics. Pour éviter les problèmes de sécurité, il est recommandé d’activer le paramètre weights_only=True, qui n’autorise que les types primitifs de données (dictionnaires, tenseurs, listes…). La faille permet de contourner cette barrière afin que le paramètre ait l’effet inverse, autorisant le chargement de tous les types de données. Y compris donc la charge malveillante.

La version 2.6.0, intégrant le correctif, est sortie le 29 janvier. Il est donc recommandé de basculer sur une version récente de PyTorch si ce n’est pas encore fait.

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Cette planète se vaporise sous les yeux des astronomes : un Everest de lave s’en échappe toutes les 30 heures !

On a découvert il y a quelques décennies les Jupiter chaudes, des géantes gazeuses ayant migré très près de leur soleil. Certaines s'évaporent sous les yeux de nos télescopes spatiaux. Plus récemment, ce sont quelques exoplanètes rocheuses en cours de vaporisation qui ont été débusquées et l'une...

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Amazon tourne la page Android avec Vega OS, son nouveau système maison

Echo Show Amazon

Amazon prépare en toute discrétion un changement important pour ses appareils connectés. Le groupe américain teste Vega OS, un nouveau système d’exploitation basé sur Linux, qui remplacera progressivement Fire OS, qui s'appuie sur Android. La transition est déjà en cours sur certains produits, avec un premier appareil de streaming attendu pour 2025.
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Amazon tourne la page Android avec Vega OS, son nouveau système maison

Echo Show Amazon

Amazon prépare en toute discrétion un changement important pour ses appareils connectés. Le groupe américain teste Vega OS, un nouveau système d’exploitation basé sur Linux, qui remplacera progressivement Fire OS, qui s'appuie sur Android. La transition est déjà en cours sur certains produits, avec un premier appareil de streaming attendu pour 2025.
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Met police ‘maintain concerns’ about China super-embassy plan

Exclusive: Force, which had dropped objection to plan, says protests of more than 500 people would impede traffic and require extra resources

China’s proposed “super-embassy” in London would require additional police officers to deal with any large protests involving thousands of people, the Metropolitan police have said before a decision by ministers.

Despite having dropped its official objection to the proposals, the Met “maintains concerns” that large protests of more than 500 people outside the embassy would impede traffic and “require additional police resource”, said the deputy assistant commissioner Jon Savell

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© Photograph: Carlos Jasso/Reuters

© Photograph: Carlos Jasso/Reuters

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‘It was steer or they would kill me’: why Sudanese war refugees are filling prisons in Greece

Prosecutors are using harsh anti-smuggling laws to jail people who have no connection to criminal offences, say migrants’ lawyers

Former law student Samuel, 19, fled his home town of Geneina shortly after it was ransacked during one of the worst massacres of Sudan’s brutal civil war, which has killed tens of thousands and displaced more than 13 million people.

After making it overland to Libya, Samuel spent two days crossing the Mediterranean in June before being rescued by a cargo ship and escorted by the Greek coastguard to Crete.

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© Photograph: Panagiotis Balaskas/AP

© Photograph: Panagiotis Balaskas/AP

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Boonie Bears: Future Reborn review – kiddie Chinese eco-fable is like Mad Max on mushrooms

The ursine protagonists are largely relegated to fart-gag sidekicks in this phoned-in attempt at a dystopian sci-fi

When George Michael recorded Careless Whisper, there can be no doubt his ultimate ambition for it would have been to soundtrack a garish animated sequence in which two anthropomorphic bears gambol through a prairie of giant fungus experiencing ecstatic visions as hallucinogenic spores rain down on them. Such is the frantic way of this Chinese cartoon franchise, as relentless and exhausting as ever in its 11th feature-film instalment. Five minutes in, before the credits, it has crammed in a post-apocalyptic prologue, oodles of eco-babble, a time-travelling tyke and an avalanche.

This latest one jumps on the fungal-panic bandwagon: Saylor (voiced by Nicola Vincent in the English-language version) has nipped back 100 years to locate the original spores at the root of a pestilence that has eradicated most of life on Earth. It turns out that hapless nature guide Vick (Chris Boike), seen polluting the forest with his tourists, was responsible for spreading them After Saylor fails to kill the mushroom in the cradle, the pair – along with Vick’s forest buddies, the bears Bramble (Joseph S Lambert) and Briar (Patrick Freeman) – are whisked back to the future. They discover a fungus-carpeted nightmare of a planet, overshadowed by a giant skyscraping toadstool.

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© Photograph: Publicity image

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Viva Zapotec! A thriving ecotourism project in Mexico’s Oaxaca state

The people of the Sierra Norte have achieved a rare balance – preserving an ancient way of mountain life while welcoming visitors

When I reach the mountaintop chapel, I slump on the dry stone wall, wheezing in the thin air, marvelling at what combination of brawn and piety must have been needed to build such a thing at such a height. It might not be a Sunday, but I can tell that mass at 3,000 metres must be magnificent. Open walls reach out to the rolling slopes of the Sierra Norte, 35 miles east of Oaxaca City in southern Mexico, with virgin pine in every direction. Somewhere unseen, a brown-backed solitaire bird lifts a lonely song over the valley. Then comes the bark of warring crows and, most exciting of all, the quick peeps of a hummingbird, believed here to ferry messages between the living and dead. At this height, even to a heathen like me, the urge to pay tribute is understandable.

My guide, Eric, who must have a third lung, judging by his ability to tell stories on the climb, becomes quiet and crosses himself before the altar. I’m a little surprised at this show of devotion. Down in the small town of Tlacolula de Matamoros, he had shown us a site the Indigenous Zapotecs used to praise the sacred mountain above – before the Spanish came and plonked a church on the same spot. The colonialists’ intention, Eric explained, was erasure. But when conversion comes at the point of a sword, some resistance seems inevitable. Here, Indigenous signs hide in Catholic icons. Dark stones in holy corners hold animist engravings. Duality is everywhere. Praise whispered in the name of the Virgin of Guadalupe, the mother of Christ to Mexican Catholics, is also meant for Huitzilopochtli, the old sun god.

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© Photograph: Wolfgang Kaehler/LightRocket/Getty Images

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‘At the lowest point, I lose the dog altogether’: my disastrous debut at a dog agility competition

Dashing through labyrinthine courses of tunnels, jumps and seesaws at breakneck speed, agility shows prioritise skill over pedigree. But can Tim Dowling last the course?

Before every dog agility event, the human handlers walk the course as a group – without the dogs – wandering slowly round the ring with one hand or the other outstretched. It’s an eerie thing to watch, like a crowd of bleary eyed tourists wearily progressing through an airport.

But it’s important: the dogs don’t get to try the course beforehand, so their handlers have to formulate a strategy to guide their pets from jump to tunnel to seesaw in the correct order.

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© Photograph: Joshua Bright/The Guardian

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