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Sorti il y a plus de 20 ans, ce film méconnu avec Angelina Jolie vient d'arriver sur Netflix
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Ce film oublié avec Angelina Jolie est dispo sur Netflix
Parmi les films qui composent la filmographie d’Angelina Jolie, 7 jours et une vie (titre original : Life or Something Like It) figure rarement en bonne place dans les classements. Et pour cause : sortie en 2002, cette comédie romantique à tonalité philosophique fut un échec critique et commercial. Aujourd’hui redécouverte grâce à son arrivée sur Netflix France, elle intrigue autant qu’elle déroute.
Jolie y incarne Lanie Kerrigan, journaliste aux dents longues, toujours impeccable, persuadée de maîtriser son destin. Jusqu’au jour où un prédicateur marginal lui annonce qu’elle va mourir dans une semaine. Cette prédiction va bouleverser son quotidien : en sept jours, elle tente de réévaluer ses priorités, de renouer avec ce qu’elle a refoulé, et bien sûr, de redécouvrir l’amour avec son collègue caméraman (Edward Burns). Le tout dans un style early 2000s parfaitement daté, brushing platine inclus.
Réalisé par Stephen Herek (Les Petits Champions, Rock Academy), le film flirte avec une tonalité hybride, entre romance, comédie new-yorkaise et méditation existentielle, sans jamais totalement trouver son ton. À sa sortie, il n’a rapporté que 16 millions de dollars pour un budget de 40, et s’est attiré les foudres de la critique. Roger Ebert parlait d’un film “mal ajusté”, et The Observer le jugeait “délirant et sans relief”.
Une curiosité vintage pour les fans d’Angelina Jolie
Malgré ce démarrage raté, le film gagne aujourd’hui une certaine curiosité auprès d’un public avide de redécouvertes. Sur les réseaux, plusieurs spectateurs soulignent la bizarrerie attachante du scénario, ou le plaisir coupable de revoir Angelina Jolie dans un registre plus léger, bien loin de ses rôles plus sombres ou engagés. Le film apparaît aussi comme une capsule temporelle : celui d’un Hollywood qui voulait encore croire à la rédemption en talons aiguilles.
7 jours et une vie n’a pas fait l’objet d’une réhabilitation critique majeure, mais il bénéficie d’un effet secondaire bien connu du streaming : celui de remettre sous les projecteurs des films passés sous le radar. Si vous aimez les rom-coms à twist existentiel, ou si vous êtes simplement curieux de voir Angelina Jolie jouer les présentatrices télé, c'est le moment.
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Un retour très commenté de Johnny Depp à Hollywood
Cheveux gris impeccablement plaqués, barbe argentée, costume croisé : difficile de reconnaître Johnny Depp au premier coup d’œil sur cette image du film Day Drinker, annoncé en 2024. Certains internautes, déconcertés par ce style inhabituel et ce visage presque figé, ont cru à une image générée par intelligence artificielle. "C’est moi ou c’est une IA ?", "Impossible que ça soit lui" : la photo, devenue virale, ne laisse personne indifférent.
Pourtant, Johnny Depp est coutumier du fait. Depuis Edward aux mains d’argent jusqu’à Black Mass, en passant par Alice au Pays des Merveilles, l’acteur s’est souvent transformé physiquement pour ses rôles. Perruques, prothèses, maquillage outrancier ou dents en or, il a toujours aimé brouiller les pistes et habiter ses personnages avec des looks marquants. Day Drinker s’inscrit dans cette tradition, même si le ton semble ici plus réaliste et feutré que dans ses rôles les plus excentriques.
Mais derrière ce buzz visuel se cache un projet important pour l’acteur. Day Drinker marque en effet son grand retour dans une production hollywoodienne depuis 2020, après plusieurs années passées loin des blockbusters américains. Le film, actuellement en tournage en Espagne, est réalisé par Marc Webb (500 jours ensemble, The Amazing Spider-Man) et réunit un casting international prestigieux : Penélope Cruz, Madelyn Cline (Outer Banks), Manu Rios, Aron Piper et Juan Diego Botto.
Un thriller mystérieux avec Penélope Cruz et Madelyn Cline
Dans Day Drinker, Johnny Depp incarne Kelly, un invité discret et charismatique à bord d’un yacht de luxe. Madelyn Cline y joue une barmaid privée dont la rencontre avec Kelly va déclencher une série d’événements inattendus. Très vite, les deux personnages se retrouvent impliqués dans une histoire de manipulation et de danger, orchestrée par un personnage aussi séduisant que menaçant, campé par Penélope Cruz. Le film mêle tension psychologique, esthétique soignée et références aux thrillers élégants des années 90.
Il s'agit aussi de la quatrième collaboration entre Depp et Cruz, après Blow, Pirates des Caraïbes : La Fontaine de Jouvence et Le Crime de l’Orient-Express. Produit par Lionsgate, Day Drinker ambitionne de marquer un tournant dans la carrière récente de Johnny Depp, à travers un personnage énigmatique et stylisé.
Le tournage est en cours en Espagne, le film devrait sortir plus tard dans l'année.
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Une scène qui ne devait jamais exister
Chris Columbus, le réalisateur du film, vient tout juste de revenir sur cet épisode embarrassant dans une interview accordée au San Francisco Chronicle. Plus de trois décennies après la sortie du film, il confie regretter profondément la présence de Trump à l’écran. À l’époque, ce dernier possédait le Plaza Hotel, où certaines scènes ont été tournées. Et selon Columbus, le deal était clair : pas de tournage sans apparition.
« Il a dit que la seule façon d’utiliser le Plaza, c’était qu’il soit dans le film », avait déjà révélé Columbus en 2020. Le milliardaire est donc brièvement apparu à l’écran pour indiquer le chemin du lobby à Kevin. Une scène anodine en apparence… mais devenue très problématique avec le temps.
À l’époque, la scène passe plutôt bien. Lors d’une projection test à Chicago, le public réagit avec enthousiasme. « Ils ont applaudi, applaudi, ils ont trouvé ça hilarant », se souvient le cinéaste. Mais avec le recul, il confesse ne jamais avoir imaginé que ce bref caméo prendrait une telle ampleur.
Aujourd’hui, il ne mâche plus ses mots :
"C’est devenu une malédiction. C’est devenu quelque chose que je regrette. Je voudrais que ce moment disparaisse."
Chris Columbus rejette aussi les déclarations de Trump, qui a récemment affirmé que le réalisateur l’aurait supplié de jouer dans le film :
"Il a dit que je mentais. Mais je ne mens pas. Il a dit que je l’ai supplié de participer au film, mais dans aucun monde je ne supplierais un non-acteur d’apparaître dans un film."
Une trace difficile à effacer
Dans Maman, j’ai encore raté l’avion, Trump n’apparaît que quelques secondes pour indiquer à Kevin le chemin du lobby. Mais depuis son arrivée au pouvoir, cette scène est devenue symbolique, voire polémique. Certaines chaînes de télévision ont même choisi de la couper, provoquant des débats en ligne.
Pour Chris Columbus, ce souvenir gâche en partie l’héritage du film : « C’est devenu un albatros pour moi », conclut-il, en référence à ce fardeau qu’il traîne depuis plus de 30 ans.
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Un concept original qui séduit tous les publics
Créée par Clélia Constantine, Flashback suit Elsa Letellier (Constance Gay), policière scientifique projetée en 1994 quelques mois avant l’assassinat de son père (Michaël Youn), qu’elle va tenter de sauver… sans qu’il sache qu’elle est sa fille. Ce duo père-fille, confronté aux différences générationnelles et aux méthodes d’enquête d’époques opposées, a conquis le public.
La série assume un mélange des genres ambitieux : polar à suspense, comédie d’époque, fable émotionnelle et jeu de références pop des années 90. Un cocktail qui fonctionne. Les audiences en témoignent : 26 % de part d’audience sur les 4 ans et plus, 33 % sur les FRDA-50, 29 % sur les 25-49 ans et jusqu’à 40 % sur les 15-24 ans. Des chiffres qui confirment que la série séduit au-delà du seul public familial.
Une fiction française qui ose
Flashback s’inscrit dans la lignée des séries comme Life on Mars, tout en apportant une vraie couleur française. Michaël Youn, dans un contre-emploi bien dosé, donne à son personnage une énergie brute qui contraste habilement avec le jeu tout en maîtrise de Constance Gay. L’écriture joue sur les écarts de langage, de mentalités, de codes policiers – et sur les non-dits liés au lien familial secret entre les deux héros.
Déjà saluée par la critique et primée au Festival de la Fiction TV de La Rochelle, Flashback prouve que la fiction française peut encore surprendre en prime time. Diffusée chaque jeudi soir sur TF1 et disponible en replay sur TF1+, la série confirme son statut de succès populaire, générationnel et critique.
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Un échec en salles...
Sorti en juin 2021 dans un contexte post-confinement compliqué, Chacun chez soi avait réuni à peine 157 000 spectateurs. Un chiffre décevant, d’autant plus que Michèle Laroque avait connu un joli succès quelques années plus tôt avec Brillantissime, son premier film en tant que réalisatrice. La critique s’était montrée particulièrement dure : humour poussif, situations peu crédibles, rythme plat… Autant de reproches qui avaient rapidement enterré le film dans les salles.
À l’écran, Laroque partage l’affiche avec Stéphane De Groodt. Ils incarnent un couple en pleine crise de milieu de vie, soudain contraint d’accueillir leur fille et son compagnon sous leur toit. Résultat : une cohabitation explosive entre générations, sur fond de clashs domestiques et de quiproquos familiaux. Le ton se veut léger, dans la veine de Tanguy, avec une touche de comédie de mœurs contemporaine.
... mais une revanche sur Netflix
Quatre ans après sa sortie discrète, Chacun chez soi connaît un inattendu retour en grâce grâce à Netflix. Le film est actuellement numéro un des visionnages sur la plateforme en France. Ce regain d’intérêt illustre une tendance désormais bien ancrée : les comédies françaises boudées en salle trouvent parfois leur public en VOD, où le seuil d’entrée est plus bas, et où l’on accepte plus volontiers un divertissement léger et sans prétention.
Dans le cas de Chacun chez soi, ce succès tardif repose aussi sur des ingrédients familiers : une situation universelle (la difficulté de cohabiter entre générations), un casting populaire, et un format idéal pour un visionnage en soirée. En somme, une recette simple, mais efficace pour conquérir les écrans d’ordinateur ou de télévision.
Comme d’autres films français passés sous les radars à leur sortie, Chacun chez soi prouve qu’un revers en salles ne signifie pas forcément la fin d’une histoire. Parfois, il suffit d’un bon algorithme – et d’un public curieux – pour transformer un échec en succès surprise.
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Une descente intérieure sous forme de puzzle
David Aames (Tom Cruise) est un jeune héritier new-yorkais, riche, séducteur, insouciant. Sa vie bascule après un terrible accident de voiture provoqué par son amante éconduite (Cameron Diaz). Défiguré, désorienté, il perd pied. Autour de lui, la réalité semble vaciller : sa relation avec Sofia (Penélope Cruz) devient instable, des souvenirs contradictoires émergent, et des incohérences troublent son quotidien. Il est bientôt accusé d’un meurtre dont il ne comprend pas les circonstances.
Le récit s’organise autour d’un interrogatoire, mené dans une pièce blanche où David échange avec un psychologue (Kurt Russell). Progressivement, le film dévoile que David aurait signé un contrat avec une société nommée Life Extension. Cette entreprise propose un procédé de cryogénisation associé à un “lucid dream” : un rêve conscient dans lequel le client vit une existence parfaite, sans savoir qu’il rêve. David serait donc plongé dans ce rêve depuis sa mort clinique, sans en avoir conscience, son esprit ayant commencé à générer des erreurs.
Réalité, simulation ou hallucination ?
La dernière séquence du film confirme que tout ce que le spectateur a vu depuis l’accident relève d’un rêve artificiel, lancé au moment où David s’est fait cryogéniser. Les éléments incohérents – les visages qui changent, les événements qui se répètent – prennent alors un autre sens. L’univers du film s’est déréglé à mesure que la mémoire de David s’effaçait. On comprend que le personnage se trouve à la croisée des chemins : continuer à rêver dans cette réalité instable, ou se réveiller dans un futur inconnu, après plus de cent ans de sommeil.
Cette fin, qui renverse la perception du film, a divisé. Certains y voient une critique du transhumanisme et de la quête d’immortalité. D’autres insistent sur la dimension émotionnelle du récit : Vanilla Sky questionne la manière dont le souvenir des êtres aimés persiste dans notre esprit. La musique – omniprésente, de Sigur Rós à Radiohead – accentue cette oscillation permanente entre nostalgie, perte et désir de renaissance.
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Une réalité en miettes, une mémoire incertaine
Le récit de Total Recall suit Douglas Quaid (Arnold Schwarzenegger), ouvrier frustré de sa vie monotone, qui décide de se faire implanter un souvenir de vacances sur Mars par la société Rekall. L’opération tourne mal. Ou pas. Car à partir de ce moment, le film bascule dans une spirale d’espionnage, de rébellion martienne, de course-poursuite et de révélations multiples. Quaid devient un agent double, libérateur d’une colonie opprimée, marié à une femme qu’il ne reconnaît plus.
Mais tous les éléments de cette nouvelle vie correspondent exactement au scénario que lui avait proposé Rekall. Et si tout n’était qu’un rêve ? L’idée est glissée dès le départ, puis alimentée tout au long du film par des détails troublants : un médecin venu le raisonner, une lumière blanche en guise de conclusion, des dialogues qui sonnent comme des avertissements. Verhoeven, loin de trancher, joue avec les attentes du spectateur et refuse toute réponse définitive.
Un blockbuster cérébral avant l’heure
Longtemps vu comme un simple film d’action futuriste, le long-métrage a gagné en estime au fil des ans. Son mélange de satire sociale, de paranoïa technologique et de faux-semblants en fait une œuvre plus maligne qu’il n’y paraît. Le tout est emballé dans une esthétique brutale et inventive, typique de Verhoeven, déjà auteur de RoboCop et futur réalisateur de Starship Troopers.
La fin continue d’alimenter des dizaines de théories, au point que Total Recall est aujourd’hui cité comme l’un des films les plus ambigus de la science-fiction moderne. Sa force réside dans cette zone grise entre rêve et réalité, sans jamais basculer d’un côté ou de l’autre. Trente-cinq ans plus tard, rien n’est plus réjouissant que de s’y perdre à nouveau.
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Nouveau sur Netflix : ce film culte des années 90 va direct vous replonger en enfance
Quand Terminator se transforme en instituteur
Réalisé par Ivan Reitman (SOS Fantômes, Jumeaux), Un flic à la maternelle sorti en 1991, met en scène John Kimble, un policier au physique intimidant contraint de se faire passer pour un enseignant dans une école primaire afin d’infiltrer l’entourage d’un dangereux criminel. Le choc des cultures est immédiat : entre les crises de pleurs, les confidences embarrassantes et l’énergie débordante de sa classe de maternelle, Kimble doit rapidement troquer ses méthodes musclées contre une pédagogie de terrain.
L’idée, aussi improbable que savoureuse, fonctionne grâce à l’autodérision de Schwarzenegger, qui se glisse avec un plaisir communicatif dans la peau d’un dur à cuire dépassé par une bande de bambins. Le film alterne situations burlesques et moments plus touchants, sans jamais perdre de vue son efficacité narrative.
Une madeleine de Proust qui n’a pas pris une ride
Trente ans plus tard, Un flic à la maternelle conserve un charme intact. Le film repose sur une formule simple mais redoutable : un décor familier, un acteur iconique en contre-emploi, et une galerie d’enfants irrésistibles. Certains dialogues sont devenus cultes, et la dynamique de groupe entre les élèves préfigure ce que le cinéma familial reproduira à l’envi durant les années 90 et 2000.
L’arrivée du film sur Netflix s’inscrit dans la tendance actuelle à redonner de la visibilité aux classiques du divertissement populaire. Sans effets spéciaux envahissants ni références lourdes, Un flic à la maternelle reste une comédie familiale attachante, accessible à tous les publics.
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Passé inaperçu au cinéma en 2024, ce film d'horreur vient d'arriver sur Netflix
Une piscine hantée et une famille en détresse
Réalisé par Bryce McGuire, Night Swim s’inspire de son propre court-métrage éponyme, réalisé en 2014. L’intrigue suit Ray Waller (Wyatt Russell), ancien joueur de baseball contraint de prendre sa retraite pour raisons médicales. Avec sa femme Eve (Kerry Condon) et leurs enfants, il emménage dans une maison en banlieue équipée d’une piscine. Mais cette dernière devient rapidement le théâtre d’événements inquiétants.
Au fil des jours, des phénomènes inexpliqués s’enchaînent. L’eau semble attirer les membres de la famille, et Ray, dont la santé s’améliore de manière étrange, devient de plus en plus instable. Ce qui s’annonçait comme un nouveau départ tourne à l’obsession, jusqu’à ce que le mal surgisse pour de bon.
Night Swim joue sur une angoisse familière : celle d’un lieu de détente devenu menaçant. L’approche reste modeste, sans surenchère d’effets spéciaux, mais mise sur l’atmosphère et la montée progressive du malaise.
Un démarrage timide, une deuxième chance sur Netflix
À sa sortie, le film n’avait pas rencontré le succès escompté avec seulement 50 millions de dollars de recettes au box-office mondial. Peu soutenu par la critique et pénalisé par une distribution confidentielle, il était rapidement passé sous les radars. Son arrivée sur Netflix France change la donne. Accessible à un large public, Night Swim pourrait bénéficier d’une nouvelle exposition, comme d’autres films d’horreur modestes avant lui (The Rental, His House, No One Gets Out Alive).
Le nom de James Wan, ici à la production, pourrait également attirer les amateurs du genre, même si le film se veut plus feutré que ses productions habituelles.
Sans prétention, Night Swim s’inscrit dans une tradition efficace du film de maison hantée à concept unique. Son arrivée sur Netflix lui offre l’occasion de séduire les abonnés curieux d’un frisson estival… en eau trouble.
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Kobo, Tolino, The Economist, Reuters : tout ce qui change avec Calibre 8.2
Un article signé GOODTECH.info
Le convertisseur PDF de Calibre a fait l’objet de toutes les attentions dans cette nouvelle mise à jour du logiciel open source en version 8.2. La compatibilité avec les liseuses et les formats Kobo est renforcée, idem pour Tolino. De […]
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