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M4 MacBook Air teardown reveals it's just as easy to repair as its predecessor

Apple's latest M4 MacBook Air is just as repairable as the previous two iterations, as a teardown of the device shows no major changes from the M2 model.

Disassembled electronics showing a circuit board with gold connectors, metal components, and a black protective cover. A metal connector is held with tweezers on the right side.
Apple's M4 MacBook Air uses the same chassis as the previous two generations. Image Credit — iFixit

The new MacBook Air, with an M4 system-on-chip, was announced on March 5, 2025. Though the laptop features an upgraded 12MP front camera with center stage support and is available in a new Sky Blue color option, it's practically identical to the M3 MacBook Air. The new-and-improved MacBook Air is even available in the same 13-inch and 15-inch sizes as its predecessor.

As was noted by iFixit in a teardown of the M4 MacBook Air, the device uses the same chassis as the M2 MacBook Air, which was introduced in 2022. This means that the entire disassembly process remains unchanged, with the laptop's USB-C ports being just as easily replaceable as they were before.


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Ocasio-Cortez Lashes Out at Schumer Over His Support for G.O.P. Measure

Representative Alexandria Ocasio-Cortez criticized Senator Chuck Schumer for siding with Republicans on a plan to avert a government shutdown. Her tough language drew talk of a primary challenge.

© Kenny Holston/The New York Times

Senator Chuck Schumer, the minority leader, defended his choice, saying that he hated the bill before him but that its passage was better than a shutdown.
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Un « faux bureau ovale » à la Maison blanche ? Attention à cette vidéo

La conseillère juridique de Donald Trump, Alina Habba prétend, dans une vidéo très virale, avoir découvert un bureau ovale secret ayant appartenu à Joe Biden. L’accusation vise à accréditer la thèse qu’il était une marionnette. Mais c'est faux, cette salle est en fait l’auditorium de la Maison blanche. Il a été utilisé par plusieurs président dont Donald Trump.

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Les acteurs de l’IA demande un accès illimité aux données, même soumises au droit d’auteur

Alors que le gouvernement Trump a demandé aux entreprises de la tech de lancer leurs propositions pour le grand plan sur l’intelligence artificielle du Président des États-Unis d’Amérique, OpenAI et Google font cause commune pour demander une totale liberté de siphonner les données sur Internet, y compris celles soumises à copyright.

La Maison Blanche, où le grand plan IA se décide actuellement. Image Wikipedia, domaine public.

Si depuis la présidence Biden une régulation stricte avait été mise en place concernant la protection des données privées et soumises au droit d’auteur, la nouvelle équipe de la Maison Blanche est moins regardante sur le sujet, et les deux acteurs majeurs de l’IA compte bien en profiter pour avoir les mains libres. Les deux arguent en effet que la compétition entre leurs chatbot et le DeepSeek chinois est biaisée, sous-entendant que la Chine, elle, ne se préoccupe pas de la propriété privée.

Le premier à avoir lancé le pavé dans la marre est OpenAI, qui n’a pas mâché ses mots :

Il ne fait aucun doute que les développeurs de l’IA chinoise ont un accès libre et illimité aux données – incluant les données soumises à copyright – pour améliorer leurs modèles. Si ces développeurs ont cet accès illimité alors que les entreprises américaines sont bridées par la loi, alors la course à l’IA est perdue d’avance.

Google, de son côté, n’est pas en reste non plus, indiquant que ces limitations pourraient « avoir un impact significatif sur l’accès aux données utiles au développement des modèles », et demande des exceptions à la législation sur les droits d’auteurs :

Ces exceptions permettraient l’usage de données soumises à copyright mais disponibles publiquement, améliorant ainsi l’entraînement des IA sans avoir d’impact significatif sur les ayant-droits, et évitant des négociations longues, inéquitables et au résultat incertain avec les propriétaires de ces données.

Anthropic est moins vindicative que ses camarades, et propose que le gouvernement fasse une échelle des risques associés à l’accès à certaines données, et continue sa politique de limitation des exports de technologies vers certains pays.

Les entreprises développant des intelligences artificielles, comme OpenAI, font face à de nombreux procès en cours aux USA, notamment de la part du New York Times, ou encore George RR Martin. Youtube a aussi accusé Apple, Anthropic et Nvidia d’utiliser les sous-titres de la plateforme pour entraîner leurs IA, sans avoir fait de demande préalable.

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Les acteurs de l’IA demandent un accès illimité aux données, même soumises au droit d’auteur

Alors que le gouvernement Trump a demandé aux entreprises de la tech de lancer leurs propositions pour le grand plan sur l’intelligence artificielle du Président des États-Unis d’Amérique, OpenAI et Google font cause commune pour demander une totale liberté de siphonner les données sur Internet, y compris celles soumises à copyright.

La Maison Blanche, où le grand plan IA se décide actuellement. Image Wikipedia, domaine public.

Si depuis la présidence Biden une régulation stricte avait été mise en place concernant la protection des données privées et soumises au droit d’auteur, la nouvelle équipe de la Maison Blanche est moins regardante sur le sujet, et les deux acteurs majeurs de l’IA compte bien en profiter pour avoir les mains libres. Les deux arguent en effet que la compétition entre leurs chatbot et le DeepSeek chinois est biaisée, sous-entendant que la Chine, elle, ne se préoccupe pas de la propriété privée.

Le premier à avoir lancé le pavé dans la marre est OpenAI, qui n’a pas mâché ses mots :

Il ne fait aucun doute que les développeurs de l’IA chinoise ont un accès libre et illimité aux données – incluant les données soumises à copyright – pour améliorer leurs modèles. Si ces développeurs ont cet accès illimité alors que les entreprises américaines sont bridées par la loi, alors la course à l’IA est perdue d’avance.

Google, de son côté, n’est pas en reste non plus, indiquant que ces limitations pourraient « avoir un impact significatif sur l’accès aux données utiles au développement des modèles », et demande des exceptions à la législation sur les droits d’auteurs :

Ces exceptions permettraient l’usage de données soumises à copyright mais disponibles publiquement, améliorant ainsi l’entraînement des IA sans avoir d’impact significatif sur les ayant-droits, et évitant des négociations longues, inéquitables et au résultat incertain avec les propriétaires de ces données.

Anthropic est moins vindicative que ses camarades, et propose que le gouvernement fasse une échelle des risques associés à l’accès à certaines données, et continue sa politique de limitation des exports de technologies vers certains pays.

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Dette : la France échappe au couperet de Fitch et conserve son « double A »

Malgré la détérioration des finances publiques, l’agence américaine a maintenu, vendredi 14 mars, la note AA− accordée à la dette française. Elle justifie sa décision par les atouts de la France, notamment « une économie vaste et diversifiée » et « des institutions solides et efficaces ».

© Dylan Martinez / REUTERS

Les bureaux de Fitch Ratings, à Londres, le 27 mai 2020.
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Guingamp relègue Annecy à cinq points dans la course aux play-offs, Amiens se donne de l'air en battant Caen

Brighton Labeau a inscrit le seul guingampais de la soirée, son 7e cette saison. (X/@EAGuingamp)Septième de Ligue 2, Annecy a perdu des points précieux ce vendredi soir dans la course aux play-offs en étant rejoint dans le temps additionnel par Rodez (1-1). Car dans le même temps, Guingamp, cinquième, a fait le travail à Troyes (1-0) et compte désormais cinq points sur les Haut-Savoyards. Dans le bas de tableau, Amiens, 15e au coup d'envoi, s'est éloigné de la zone rouge en battant Caen à la Licorne (2-1).
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L2 : le classement provisoire

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L2 : les résultats de la soirée

Vainqueur à Troyes (0-1), ce vendredi, lors de la 27e journée de Ligue 2, Guingamp réalise une belle opération en grimpant en 5e rang. Annecy, qui res......
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Retard de Siri : en interne, Apple accuse le coup

Avant d'annoncer le report des nouvelles fonctionnalités de Siri faisant partie d'Apple Intelligence vendredi dernier, Apple a tenu une réunion interne rassemblant les employés travaillant sur le projet. Robby Walker, directeur senior en charge de Siri, a fait un point sans langue de bois sur une...

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Chiffrement d’iCloud au Royaume-Uni : des associations et des médias viennent épauler Apple contre le gouvernement

Alors que devait se tenir aujourd’hui l’audience à huis clos d’Apple concernant l’injonction britannique de faire sauter le chiffrement d’iCloud à la demande, Apple n’est maintenant plus seule à se battre contre le gouvernement de Sa Majesté : deux associations de défense du droit à la vie privée sont venues se joindre à son combat, comme le rapporte MacRumors.

La Chambre des Lords, au Parlement britannique. Image Wikipedia/ukhouseoflords, CC BY 2.0.

Si la directrice juridique de l’une d’elles, Privacy International, avait déjà émis une objection contre la tenue à huis clos de l’audience, elle indique désormais se battre aux côtés d’Apple. Caroline Wilson Palow considère le sujet comme sérieux et pouvant offrir un précédent grave :

Le Royaume-Uni utilise une injonction secrète pour saper la sécurité de la population mondiale, c’est inacceptable et disproportionné. Le monde entier se repose sur le chiffrement de bout en bout pour se protéger du harcèlement et de l’oppression. Aucun pays ne devrait avoir le pouvoir de saper cette protection universelle.

De son côté, l’association Liberty n’est pas moins sévère sur cette loi britannique :

C’est un mouvement sans précédent et dangereux de la part du gouvernement britannique d’ouvrir une porte dérobée dans les données, qui pourrait avoir des conséquences mondiales. Nous demandons au gouvernement britannique l’assurance qu’il n’ira pas au bout de cette idée.

Si ces deux associations, sont les plus bruyantes face à cette loi intrusive, elles ne sont pas les seules à avoir donné de la voix : de très gros médias tels la BBC, Reuters, Sky News, The Guardian, The Times, The Telegraph, le Financial Times ou encore Computer Weekly se sont joints à la fronde opposée à cette injonction.

Ce regroupement de médias et d’associations pour dénoncer cette loi montre l’impact que celle-ci aura sur le futur des communications électroniques et des sauvegardes dans le cloud, si elle venait à entrer définitivement en fonction. Toute personne entrant sur le territoire britannique, ou ayant des liens avec un citoyen de Sa Majesté pourrait ainsi se retrouver espionné par les services du gouvernement, et une telle loi pourrait donner des idées à d’autres pays, dont certains beaucoup plus actifs sur la répression des opposants...

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La Chambre des Lords, au Parlement britannique. Image Wikipedia/ukhouseoflords, CC BY 2.0.

Si la directrice juridique de l’une d’elles, Privacy International, avait déjà émis une objection contre la tenue à huis clos de l’audience, elle indique désormais se battre aux côtés d’Apple. Caroline Wilson Palow considère le sujet comme sérieux et pouvant offrir un précédent grave :

Le Royaume-Uni utilise une injonction secrète pour saper la sécurité de la population mondiale, c’est inacceptable et disproportionné. Le monde entier se repose sur le chiffrement de bout en bout pour se protéger du harcèlement et de l’oppression. Aucun pays ne devrait avoir le pouvoir de saper cette protection universelle.

De son côté, l’association Liberty n’est pas moins sévère sur cette loi britannique :

C’est un mouvement sans précédent et dangereux de la part du gouvernement britannique d’ouvrir une porte dérobée dans les données, qui pourrait avoir des conséquences mondiales. Nous demandons au gouvernement britannique l’assurance qu’il n’ira pas au bout de cette idée.

Si ces deux associations, sont les plus bruyantes face à cette loi intrusive, elles ne sont pas les seules à avoir donné de la voix : de très gros médias tels la BBC, Reuters, Sky News, The Guardian, The Times, The Telegraph, le Financial Times ou encore Computer Weekly se sont joints à la fronde opposée à cette injonction.

Ce regroupement de médias et d’associations pour dénoncer cette loi montre l’impact que celle-ci aura sur le futur des communications électroniques et des sauvegardes dans le cloud, si elle venait à entrer définitivement en fonction. Toute personne entrant sur le territoire britannique, ou ayant des liens avec un citoyen de Sa Majesté pourrait ainsi se retrouver espionné par les services du gouvernement, et une telle loi pourrait donner des idées à d’autres pays, dont certains beaucoup plus actifs sur la répression des opposants...

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U.S. Arrests 2nd Person Tied to Pro-Palestinian Protests at Columbia

The action came less than a week after Mahmoud Khalil, a recent Columbia graduate and a prominent figure in campus demonstrations, was arrested.

© Dave Sanders for The New York Times

Demonstrators rallied outside Columbia University’s main gates on Friday to demand the release of a pro-Palestinian activist who has been detained by the immigration authorities.
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Sean Combs’s Lawyers Say Video of Hallway Assault Was Altered

The video, a critical piece of the prosecution’s case, shows the music mogul beating and kicking his girlfriend at a hotel in 2016.

© Mark Von Holden/Invision, via Associated Press

Lawyers for Sean Combs said on Friday that a video depicting him assaulting a former girlfriend had been altered as they began the process of trying to keep it out of his upcoming trial.
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Des traces ADN confirment : ces chats offerts aux élites chinoises venaient de loin

À travers le monde, ils sont 600 millions, dont 200 millions sont aujourd'hui domestiqués et gardés comme animaux de compagnie. Les chats ont connu un destin similaire à celui des chiens au fil des siècles, en devenant des compagnons privilégiés, dont l'origine des migrations reste à comprendre....

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