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Modération : Facebook se prépare à basculer vers ses Community Notes

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Modération : Facebook se prépare à basculer vers ses Community Notes

Meta lancera lundi le mécanisme des « notes de la communauté  » grâce auquel la plateforme entend désormais lutter contre la désinformation. Le programme sera déployé sur Facebook, Threads et Instagram, d’abord sous forme de test réservé aux États-Unis. La formule s’inspire très directement des Community Notes telles que déployées sur X.

D’après Meta, 200 000 internautes américains se seraient déjà enregistrés pour participer au programme Community Notes (Notes de la communauté), qui fera ses débuts lundi 18 mars sur les plateformes Facebook, Threads et Instagram.

« Nous nous attendons à ce que les notes de communauté soient moins biaisées que le programme tiers de vérification des faits qu’elles remplacent, car elles permettent à davantage de personnes ayant plus de perspectives d’ajouter du contexte aux publications », affirme l’entreprise dans un billet dédié.

La mise en œuvre de cette nouvelle approche de lutte contre la propagation des fausses informations se fera de façon progressive. Meta explique que les utilisateurs inscrits sur liste d’attente seront intégrés au programme de façon progressive, après sélection aléatoire, et qu’une phase de rodage privée sera menée avant que les premières notes n’apparaissent publiquement.

Un système calqué sur celui de X

Les utilisateurs de X (ex-Twitter) ne seront pas dépaysés. Meta indique en effet avoir adopté la brique open source développée par le réseau social d’Elon Musk comme fondement pour son propre outil : « Cela nous permettra de nous appuyer sur ce que X a déjà créé et de l’améliorer au fil du temps ».

Comme X, Meta transfère la responsabilité de la validation des notes à la communauté, et promet qu’une note ne sera publiée que si plusieurs contributeurs « aux points de vue variés s’accordent largement » sur son contenu. « Peu importe le nombre de contributeurs qui s’accordent sur une note, elle ne sera pas publiée à moins que les personnes qui ne sont généralement pas d’accord décident qu’elle fournit un contexte utile ».

Pour mesurer, ou vérifier, cette diversité de point de vue, Meta évoque un système de notation capable de « prendre en compte l’historique de notation de chaque contributeur » et d’évaluer ceux « qui sont généralement en désaccord ».

Une vérification collective des informations

Dans cette phase de test, Meta limitera les notes à 500 caractères. Elles devront par ailleurs comporter un lien (la nature des sources susceptibles de faire autorité dans ce contexte n’est pas précisée) et ne seront pas signées. « Nous voulons que les notes soient évaluées en fonction de l’utilité du contexte qu’elles ajoutent, et non en fonction de la personne qui les a écrites », justifie l’entreprise. Les publicités ne pourront pas faire l’objet de notes communautaires, mais il sera possible de soumettre un « élément de contexte » sur les publications de personnalités publiques, promet-elle encore.

L’introduction des Community Notes signe pour mémoire un virage radical dans l’approche de Meta en matière de lutte contre la désinformation. Mark Zuckerberg, fondateur et CEO du groupe, l’avait annoncé début janvier, dans un discours aux accents ouvertement politisés.

 « Après que Trump a été élu pour la première fois en 2016, les médias traditionnels n’ont pas arrêté d’écrire à quel point la désinformation était une menace pour la démocratie. Nous avons essayé de bonne foi de résoudre ces problèmes, sans devenir les arbitres de la vérité. Mais les fact-checkers sont devenus trop biaisés politiquement, et ils ont détruit plus de confiance qu’ils n’en ont créée, particulièrement aux États-Unis », déclarait Zuckerberg.

Il annonçait dans le même temps la fin du vaste programme de vérification des informations lancé par Facebook en 2016 qui combinait des fact-checkers internes à l’entreprise et des partenariats conclus dans le monde entier avec des médias et des agences de presse.

Nouvelle option de monétisation pour les stories Facebook

L’abandon des programmes de vérification (fact-checking) au profit d’une modération communautaire intervient alors même que Meta accentue ses efforts de séduction en direction des créateurs de contenu, avec des mécaniques d’incitation financière qui récompensent la viralité. S’il s’agit peut-être d’une rencontre fortuite de circonstances, le parallèle entre les deux annonces soulève quelques questions. Les contenus créés pour attiser les divisions politiques se révèlent par exemple très propices à l’engagement, et donc à la monétisation.

Sur ce volet, Meta vient d’ailleurs d’annoncer que tous les utilisateurs enrôlés dans son programme Facebook Content Monetization pourraient maintenant espérer la génération de revenus à partir des Facebook Stories.

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Modération : Facebook se prépare à basculer vers ses Community Notes

Fake news world
Modération : Facebook se prépare à basculer vers ses Community Notes

Meta lancera lundi le mécanisme des « notes de la communauté  » grâce auquel la plateforme entend désormais lutter contre la désinformation. Le programme sera déployé sur Facebook, Threads et Instagram, d’abord sous forme de test réservé aux États-Unis. La formule s’inspire très directement des Community Notes telles que déployées sur X.

D’après Meta, 200 000 internautes américains se seraient déjà enregistrés pour participer au programme Community Notes (Notes de la communauté), qui fera ses débuts lundi 18 mars sur les plateformes Facebook, Threads et Instagram.

« Nous nous attendons à ce que les notes de communauté soient moins biaisées que le programme tiers de vérification des faits qu’elles remplacent, car elles permettent à davantage de personnes ayant plus de perspectives d’ajouter du contexte aux publications », affirme l’entreprise dans un billet dédié.

La mise en œuvre de cette nouvelle approche de lutte contre la propagation des fausses informations se fera de façon progressive. Meta explique que les utilisateurs inscrits sur liste d’attente seront intégrés au programme de façon progressive, après sélection aléatoire, et qu’une phase de rodage privée sera menée avant que les premières notes n’apparaissent publiquement.

Un système calqué sur celui de X

Les utilisateurs de X (ex-Twitter) ne seront pas dépaysés. Meta indique en effet avoir adopté la brique open source développée par le réseau social d’Elon Musk comme fondement pour son propre outil : « Cela nous permettra de nous appuyer sur ce que X a déjà créé et de l’améliorer au fil du temps ».

Comme X, Meta transfère la responsabilité de la validation des notes à la communauté, et promet qu’une note ne sera publiée que si plusieurs contributeurs « aux points de vue variés s’accordent largement » sur son contenu. « Peu importe le nombre de contributeurs qui s’accordent sur une note, elle ne sera pas publiée à moins que les personnes qui ne sont généralement pas d’accord décident qu’elle fournit un contexte utile ».

Pour mesurer, ou vérifier, cette diversité de point de vue, Meta évoque un système de notation capable de « prendre en compte l’historique de notation de chaque contributeur » et d’évaluer ceux « qui sont généralement en désaccord ».

Une vérification collective des informations (mais pas des pubs)

Dans cette phase de test, Meta limitera les notes à 500 caractères. Elles devront par ailleurs comporter un lien (la nature des sources susceptibles de faire autorité dans ce contexte n’est pas précisée) et ne seront pas signées. « Nous voulons que les notes soient évaluées en fonction de l’utilité du contexte qu’elles ajoutent, et non en fonction de la personne qui les a écrites », justifie l’entreprise.

Les publicités ne pourront pas faire l’objet de notes communautaires, mais il sera possible de soumettre un « élément de contexte » sur les publications de personnalités publiques, promet-elle encore. La question des publicités n’est pas neutre : elles constituent le coeur du modèle économique des plateformes de Meta. Or l’entreprise américaine s’est déjà vu reprocher sa politique relativement laxiste au sujet des messages véhiculés par les réclames diffusées sur ses réseaux.

La Commission européenne a d’ailleurs ouvert en avril dernier une procédure formelle à l’encontre de Meta, estimant que la prolifération des publicités trompeuses et de la désinformation « peut représenter un risque pour le discours civique, les processus électoraux et les droits fondamentaux, ainsi que pour la protection des consommateurs ».

L’introduction des Community Notes signe pour mémoire un virage radical dans l’approche de Meta en matière de lutte contre la désinformation. Mark Zuckerberg, fondateur et CEO du groupe, l’avait annoncé début janvier, dans un discours aux accents ouvertement politisés.

 « Après que Trump a été élu pour la première fois en 2016, les médias traditionnels n’ont pas arrêté d’écrire à quel point la désinformation était une menace pour la démocratie. Nous avons essayé de bonne foi de résoudre ces problèmes, sans devenir les arbitres de la vérité. Mais les fact-checkers sont devenus trop biaisés politiquement, et ils ont détruit plus de confiance qu’ils n’en ont créée, particulièrement aux États-Unis », déclarait Zuckerberg.

Il annonçait dans le même temps la fin du vaste programme de vérification des informations lancé par Facebook en 2016 qui combinait des fact-checkers internes à l’entreprise et des partenariats conclus dans le monde entier avec des médias et des agences de presse.

Pas de pénalité au niveau de la visibilité

L’introduction des notes communautaires induit par ailleurs un changement dans la façon dont Meta gère la visibilité des contenus problématiques. Jusqu’ici, les publications considérées comme susceptibles de relever de la désinformation ou de la manipulation faisaient l’objet d’une visibilité réduite après signalement par les équipes dédiées. Ce ne sera plus le cas avec les notes.

« La diffusion des publications vérifiées sur nos plateformes était souvent réduite. Ce ne sera pas le cas des publications notées. Les notes fourniront un contexte supplémentaire, mais n’auront aucune incidence sur l’accès au contenu ni sur son partage », explique l’entreprise.

Nouvelle option de monétisation pour les stories Facebook

L’abandon des programmes de vérification (fact-checking) au profit d’une modération communautaire intervient alors même que Meta accentue ses efforts de séduction en direction des créateurs de contenu, avec des mécaniques d’incitation financière qui récompensent la viralité. S’il s’agit peut-être d’une rencontre fortuite de circonstances, le parallèle entre les deux annonces soulève quelques questions. Les contenus créés pour attiser les divisions politiques se révèlent par exemple très propices à l’engagement, et donc à la monétisation.

Sur ce volet, Meta vient d’ailleurs d’annoncer que tous les utilisateurs enrôlés dans son programme Facebook Content Monetization pourraient maintenant espérer la génération de revenus à partir des Facebook Stories.

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Thierry Debès, l'homme qui a transformé Ajaccio

La joie de Thierry Debès et des Ajacciens le 24 janvier après la victoire à Rodez (2-1). (C.Meravilles/MaxPPP)Depuis l'arrivée de son nouvel entraîneur Thierry Debès, le club corse d'Ajaccio est sorti de la zone rouge et entrevoit le maintien en Ligue 2. Un retournement de situation salutaire, même si l'avenir de l'ACA, qui reçoit le Red Star ce vendredi (20h), se joue aussi sur le plan financier.
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Baroness Sue Campbell on changing the game – Women’s Football Weekly podcast

Baroness Sue Campbell joins Suzy Wrack and Sophie Downey to discuss her journey and her recent book, The Game Changer

On today’s podcast, Suzy Wrack and Sophie Downey sit down with Baroness Sue Campbell to talk about her new book, The Game Changer, and her remarkable career in sport. From kicking a ball around in the school playground to leading the transformation of women’s football as the FA’s Director of Women’s Football, Campbell shares the challenges and triumphs of her journey. She discusses her role in the London 2012 Olympics, the importance of grassroots development, and the impact of England’s historic Euro 2022 victory. Plus, Baroness Sue Campbell shares her thoughts on the future of the game and what still needs to be done to ensure lasting progress.

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© Photograph: Fabio de Paolo/The Guardian

© Photograph: Fabio de Paolo/The Guardian

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La matière noire expliquerait ces mystérieux nuages au cœur de la Voie lactée

Les particules de matière noire restent élusives. Mais, si elles existent vraiment, on a peut-être une preuve de leur présence au cœur de la Voie lactée, en supposant qu'il s'agisse de particules plus légères que celles généralement considérées et que l'on appelle des Wimps. En se désintégrant,...

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Le premier vélo électrique Intersport à boîte automatique est disponible : confort et performances à prix très alléchant

Le nouveau VTC électrique Nakamura Crossover GT à boîte auto permet à Intersport de monter en gamme en termes de confort et de performances, sans tarif prohibitif pour autant. Le modèle présenté en octobre dernier est aujourd’hui officiellement disponible.
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Source : Intersport
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Le premier vélo électrique Intersport à boîte automatique est disponible : confort et performances à prix très alléchant

Le nouveau VTC électrique Nakamura Crossover GT à boîte auto permet à Intersport de monter en gamme en termes de confort et de performances, sans tarif prohibitif pour autant. Le modèle présenté en octobre dernier est aujourd’hui officiellement disponible.
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The end of the Ayoreo? The race to find proof that Paraguay’s uncontacted people exist

A vast ranch in the country’s Chaco region is quietly deforesting a huge swath of land. Indigenous people say this could be deadly for their isolated relatives but others say there is no evidence that anyone lives there

José Iquebi was hunting wild pigs in the forest when he was kidnapped at gunpoint by men on horseback. They lassoed him, locked him in a cage, and transported him hundreds of miles downriver to Paraguay’s capital, Asunción. His captors charged people money to stare and take photographs. He was about 12 years old.

“They treated us like animals,” recalls Iquebi, now 84. It would be decades before he saw his nomadic Ayoreo community again.

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© Photograph: María Magdalena Arréllaga/The Guardian

© Photograph: María Magdalena Arréllaga/The Guardian

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Bouygues Telecom attaque Free et son Wi-Fi 7

Bouygues Telecom attaque Free et son Wi-Fi 7

Bouygues Telecom accuse Free d’avoir revendiqué la compatibilité de sa Freebox Ultra avec le Wi-Fi 7 alors que cette dernière n’a jamais fait l’objet d’une certification officielle. Une nouvelle passe d’arme entre deux groupes habitués à s’échanger des amabilités par tribunaux interposés.

Nouvelle pomme de discorde judiciaire entre les deux opérateurs : d’après l’Informé, qui a révélé l’information jeudi, Bouygues Telecom a assigné en septembre dernier Free devant le tribunal de commerce de Paris. En cause, une communication de Xavier Niel, largement déclinée depuis par la filiale du groupe Iliad, selon laquelle la Freebox Ultra, présentée en grande pompe le 30 janvier 2024, adoptait le Wi-Fi 7.

Accusation de communication mensongère sur le Wi-Fi 7

Sur scène, Xavier Niel revendiquait alors une box à la pointe de la technologie, avec plusieurs premières sur le marché français, dont la disponibilité nationale d’une connexion fibre à 8 Gb/s symétriques, des accords commerciaux inédits avec de grands réseaux de contenus… et l’intégration du Wi-Fi 7 quad band via deux puces Qualcomm, avec la promesse de débits sans fil capables d’atteindre les 6 Gb/s.

Interrogé par Next, Free avait à l’époque reconnue que la Freebox Ultra n’avait fait l’objet d’aucune certification auprès de la Wi-Fi Alliance. L’opérateur admettait même qu’il n’était même pas certain de se lancer dans le processus de certification, pourtant ouvert quelques jours avant l’annonce de la Freebox Ultra.

Free n’est pas une exception, de nombreux produits ne sont pas « Wi-Fi Certified », notamment car le programme de certification arrive généralement en retard par rapport à la commercialisation des produits. Notez que Free n’a aucune certification pour aucune de ses box, que ce soit en Wi-Fi 7 ou inférieurs.

Alors que les composants intégrés à la box (deux puces identiques Networking Pro 820 de Qualcomm) autorisent théoriquement cette dernière à exploiter l’ensemble des bandes prévues par la norme Wi-Fi 7 (2,4 GHz, 5 GHz et 6 GHz), nous relevions à l’époque que les répéteurs commercialisés par Free aux côtés de la Freebox Ultra se limitaient aux bandes des 2,4 et 5 GHz.

Ce sont ces différents points qui motivent l’action en justice initiée par Bouygues Telecom, lequel estimerait donc que son concurrent a mené une campagne de communication mensongère. Les saillies de Xavier Niel, adressées à ses concurrents pendant la présentation du 30 janvier dernier, auraient contribué à mettre de l’huile sur le feu, rapporte par ailleurs l’Informé.

Bouygues revendique le premier « vrai » Wi-Fi 7 du marché

Une chose est sure : Bouygues Telecom avait bien ces subtilités en tête début janvier, quant il a, à son tour, annoncé sa Box compatible avec le Wi-Fi 7… d’ailleurs baptisée « Bbox Wi-Fi 7 ». Le FAI insistait alors bien sur la première que constituait, en France, le lancement d’une box certifiée par la Wi-Fi Alliance. Nos recherches de l’époque confirmaient la légitimité de cette affirmation, qui se vérifie toujours aujourd’hui : la Bbox et ses répéteurs sont bien référencés par la Wi-Fi Alliance, là où le terme Freebox ne remonte pas dans le programme de certification.

Bouygues devrait dans ce contexte chercher à obtenir réparation du préjudice d’image subi auprès du tribunal de commerce. Cette fois, Xavier Niel n’a pas proposé de régler le différend devant un Lidl, et iliad n’a pas officiellement réagi.

Il faut dire que les deux FAI entretiennent depuis plus de dix ans un complexe passif judiciaire, fait de multiples procédures croisées pour pratiques commerciales trompeuses, concurrence déloyale, manquement à des obligations légales, etc.

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Bouygues Telecom attaque Free et son Wi-Fi 7

Bouygues Telecom attaque Free et son Wi-Fi 7

Bouygues Telecom accuse Free d’avoir revendiqué la compatibilité de sa Freebox Ultra avec le Wi-Fi 7 alors que cette dernière n’a jamais fait l’objet d’une certification officielle. Une nouvelle passe d’arme entre deux groupes habitués à s’échanger des amabilités par tribunaux interposés.

Nouvelle pomme de discorde judiciaire entre les deux opérateurs : d’après l’Informé, qui a révélé l’information jeudi, Bouygues Telecom a assigné en septembre dernier Free devant le tribunal de commerce de Paris. En cause, une communication de Xavier Niel, largement déclinée depuis par la filiale du groupe Iliad, selon laquelle la Freebox Ultra, présentée en grande pompe le 30 janvier 2024, adoptait le Wi-Fi 7.

Accusation de communication mensongère sur le Wi-Fi 7

Sur scène, Xavier Niel revendiquait alors une box à la pointe de la technologie, avec plusieurs premières sur le marché français, dont la disponibilité nationale d’une connexion fibre à 8 Gb/s symétriques, des accords commerciaux inédits avec de grands réseaux de contenus… et l’intégration du Wi-Fi 7 quad band via deux puces Qualcomm, avec la promesse de débits sans fil capables d’atteindre les 6 Gb/s.

Interrogé par Next, Free avait à l’époque reconnue que la Freebox Ultra n’avait fait l’objet d’aucune certification auprès de la Wi-Fi Alliance. L’opérateur admettait même qu’il n’était même pas certain de se lancer dans le processus de certification, pourtant ouvert quelques jours avant l’annonce de la Freebox Ultra.

Free n’est pas une exception, de nombreux produits ne sont pas « Wi-Fi Certified », notamment car le programme de certification arrive généralement en retard par rapport à la commercialisation des produits. Notez que Free n’a aucune certification pour aucune de ses box, que ce soit en Wi-Fi 7 ou inférieurs.

Alors que les composants intégrés à la box (deux puces identiques Networking Pro 820 de Qualcomm) autorisent théoriquement cette dernière à exploiter l’ensemble des bandes prévues par la norme Wi-Fi 7 (2,4 GHz, 5 GHz et 6 GHz), nous relevions à l’époque que les répéteurs commercialisés par Free aux côtés de la Freebox Ultra se limitaient aux bandes des 2,4 et 5 GHz.

Ce sont ces différents points qui motivent l’action en justice initiée par Bouygues Telecom, lequel estimerait donc que son concurrent a mené une campagne de communication mensongère. Les saillies de Xavier Niel, adressées à ses concurrents pendant la présentation du 30 janvier dernier, auraient contribué à mettre de l’huile sur le feu, rapporte par ailleurs l’Informé.

Bouygues revendique le premier « vrai » Wi-Fi 7 du marché

Une chose est sure : Bouygues Telecom avait bien ces subtilités en tête début janvier, quant il a, à son tour, annoncé sa Box compatible avec le Wi-Fi 7… d’ailleurs baptisée « Bbox Wi-Fi 7 ». Le FAI insistait alors bien sur la première que constituait, en France, le lancement d’une box certifiée par la Wi-Fi Alliance. Nos recherches de l’époque confirmaient la légitimité de cette affirmation, qui se vérifie toujours aujourd’hui : la Bbox et ses répéteurs sont bien référencés par la Wi-Fi Alliance, là où le terme Freebox ne remonte pas dans le programme de certification.

Bouygues devrait dans ce contexte chercher à obtenir réparation du préjudice d’image subi auprès du tribunal de commerce. Cette fois, Xavier Niel n’a pas proposé de régler le différend devant un Lidl, et iliad n’a pas officiellement réagi.

Il faut dire que les deux FAI entretiennent depuis plus de dix ans un complexe passif judiciaire, fait de multiples procédures croisées pour pratiques commerciales trompeuses, concurrence déloyale, manquement à des obligations légales, etc.

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Ce nouveau vélo électrique d’aventure signé Orbea a beaucoup de puissance à revendre

Mêlant le modèle de route Gain et le mécanique Terra, le vélo gravel électrique Orbea Denna veut donner la possibilité de fouler les chemins basques à chaque cycliste avec de la puissance à revendre. Le tout à un prix salé.
 [Lire la suite]

Pour ne rater aucun bon plan, rejoignez notre nouveau channel WhatsApp Frandroid Bons Plans, garanti sans spam !

Source : Orbea

Le modèle Denna M30 débute à 5 499 euros. // Source : Orbea
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Utilisation d’œuvres sous droits : auteurs et éditeurs français assignent Meta

Le comte Almaviva désespère
Utilisation d’œuvres sous droits : auteurs et éditeurs français assignent Meta

Les auteurs et les éditeurs font l’union sacrée face à l’utilisation faite par les géants de l’IA de leurs œuvres, protégées par le droit, dans le cadre de l’entraînement de leurs modèles. Ils assignent en justice Meta, à Paris, et réclament notamment le retrait complet des répertoires de données créés sans autorisation.

Dans un rare mouvement d’union, le Syndicat national de l’édition (SNE), la Société des Gens de Lettres (SGDL) et le Syndicat national des auteurs et des compositeurs (SNAC) ont annoncé mercredi avoir assigné en justice le groupe Meta. Ils dénoncent une « utilisation massive d’œuvres sous droits, sans autorisation de leurs auteurs et éditeurs ».

« Alors que nous avons constaté la présence de nombreuses œuvres éditées par des membres du Syndicat national de l’édition dans les corpus de données utilisés par Meta, nous saisissons aujourd’hui le juge pour faire reconnaître le non-respect du droit d’auteur, le parasitisme », précise Vincent Montagne, président du SNE, dans un communiqué.

Accusations de parasitisme

D’après l’AFP, la procédure ciblerait particulièrement l’utilisation faite par Meta de la base de données Books3. Issue du tracker bittorrent bibliotik, celle-ci est notoirement connue pour réunir, au format txt, l’équivalent de près de 200 000 livres, dont beaucoup sont protégés par le droit d’auteur.

Meta, comme NVIDIA et OpenAI, ont déjà fait l’objet de poursuites, initiées en 2023 puis début 2024 par des détenteurs de droit américains, pour avoir exploité le corpus de Books3 à des fins d’entraînement de leurs grands modèles de langage.

À l’époque, Meta avait admis que des portions de Books3 avaient été utilisées, entre autres jeux de données, pour procéder à l’entraînement de ses modèles Llama 1 et Llama 2. La société se défendait cependant de toute infraction au droit d’auteur, invoquant une « utilisation raisonnable » (fair use).

Un argument que récusent par avance les trois organisations du livre. « Cette action en justice s’inscrit dans un contexte de régulation au niveau européen, l’AI Act ayant rappelé la nécessité pour les sociétés éditrices de solutions d’intelligence artificielle générative de respecter le droit d’auteur et d’assurer la transparence sur les sources utilisées pour développer des modèles de fondation », rappellent-elles de façon opportune, alors que l’exécutif devra bientôt préparer la transposition en droit français de l’AI Act.

Appel à un cadre légal et à un dédommagement

L’appel adressé à Meta se révèle quant à lui plus pragmatique, dans une logique de droits voisins similaire à celle qui sous-tend déjà les accords passés au sujet de l’exploitation des œuvres de l’esprit sur les réseaux sociaux ou les moteurs de recherche.

« L’action que nous entamons doit aussi faire naître une volonté sérieuse des IA de tenir compte de la création, d’en respecter le cadre juridique et le cas échéant de trouver des contreparties pour l’utilisation d’œuvres dont ils se nourrissent. C’est essentiel pour préserver un écosystème fragile qui doit sa richesse à la diversité éditoriale », estime ainsi Christophe Hardy, président de la SGDL.

Début février, 38 organisations internationales représentant l’ensemble des secteurs créatifs et culturels soulignaient déjà, à l’occasion du Sommet pour l’action sur l’IA, la nécessité de concilier « le développement de l’IA avec le respect des droits d’auteurs et des droits voisins ».

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Utilisation d’œuvres sous droits : auteurs et éditeurs français assignent Meta

Le comte Almaviva désespère
Utilisation d’œuvres sous droits : auteurs et éditeurs français assignent Meta

Les auteurs et les éditeurs font l’union sacrée face à l’utilisation faite par les géants de l’IA de leurs œuvres, protégées par le droit, dans le cadre de l’entraînement de leurs modèles. Ils assignent en justice Meta, à Paris, et réclament notamment le retrait complet des répertoires de données créés sans autorisation.

Dans un rare mouvement d’union, le Syndicat national de l’édition (SNE), la Société des Gens de Lettres (SGDL) et le Syndicat national des auteurs et des compositeurs (SNAC) ont annoncé mercredi avoir assigné en justice le groupe Meta. Ils dénoncent une « utilisation massive d’œuvres sous droits, sans autorisation de leurs auteurs et éditeurs ».

« Alors que nous avons constaté la présence de nombreuses œuvres éditées par des membres du Syndicat national de l’édition dans les corpus de données utilisés par Meta, nous saisissons aujourd’hui le juge pour faire reconnaître le non-respect du droit d’auteur, le parasitisme », précise Vincent Montagne, président du SNE, dans un communiqué.

Accusations de parasitisme

D’après l’AFP, la procédure ciblerait particulièrement l’utilisation faite par Meta de la base de données Books3. Issue du tracker bittorrent bibliotik, celle-ci est notoirement connue pour réunir, au format txt, l’équivalent de près de 200 000 livres, dont beaucoup sont protégés par le droit d’auteur.

Meta, comme NVIDIA et OpenAI, ont déjà fait l’objet de poursuites, initiées en 2023 puis début 2024 par des détenteurs de droit américains, pour avoir exploité le corpus de Books3 à des fins d’entraînement de leurs grands modèles de langage.

À l’époque, Meta avait admis que des portions de Books3 avaient été utilisées, entre autres jeux de données, pour procéder à l’entraînement de ses modèles Llama 1 et Llama 2. La société se défendait cependant de toute infraction au droit d’auteur, invoquant une « utilisation raisonnable » (fair use).

Un argument que récusent par avance les trois organisations du livre. « Cette action en justice s’inscrit dans un contexte de régulation au niveau européen, l’AI Act ayant rappelé la nécessité pour les sociétés éditrices de solutions d’intelligence artificielle générative de respecter le droit d’auteur et d’assurer la transparence sur les sources utilisées pour développer des modèles de fondation », rappellent-elles de façon opportune, alors que l’exécutif devra bientôt préparer la mise en œuvre des dispositions du règlement européen sur l’IA.

Appel à un cadre légal et à un dédommagement

L’appel adressé à Meta se révèle quant à lui plus pragmatique, dans une logique de droits voisins similaire à celle qui sous-tend déjà les accords passés au sujet de l’exploitation des œuvres de l’esprit sur les réseaux sociaux ou les moteurs de recherche.

« L’action que nous entamons doit aussi faire naître une volonté sérieuse des IA de tenir compte de la création, d’en respecter le cadre juridique et le cas échéant de trouver des contreparties pour l’utilisation d’œuvres dont ils se nourrissent. C’est essentiel pour préserver un écosystème fragile qui doit sa richesse à la diversité éditoriale », estime ainsi Christophe Hardy, président de la SGDL.

Début février, 38 organisations internationales représentant l’ensemble des secteurs créatifs et culturels soulignaient déjà, à l’occasion du Sommet pour l’action sur l’IA, la nécessité de concilier « le développement de l’IA avec le respect des droits d’auteurs et des droits voisins ».

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☕️ Niantic (Pokémon Go) vend sa branche jeux vidéo à Scopely pour 3,5 milliards de dollars

Pokémon Go, Pikmin Bloom et Monster Hunter Now changent de main. Le studio américain Scopely, propriété du géant saoudien Savvy Games, a annoncé mardi l’acquisition de la branche jeu vidéo du groupe Niantic Inc. Objet de rumeurs depuis mi-février, la transaction valorise les titres et les équipes de Niantic, nés dans le giron de Google, à hauteur de 3,5 milliards de dollars.

Scopely, qui revendique déjà le titre d’éditeur numéro un du jeu vidéo sur mobile aux États-Unis avec des titres comme Monopoly Go, Stumble Guys ou Marvel Strike Force, met ainsi la main sur le célèbre Pokémon Go, qui aurait réuni plus de 100 millions de joueurs uniques en 2024. « L’activité jeux de Niantic ravit plus de 30 millions d’utilisateurs actifs par mois, et a généré plus d’un milliard de dollars de chiffre d’affaires en 2024 », se réjouit l’acquéreur dans un communiqué. Il promet par ailleurs qu’il poursuivra le développement des jeux Niantic, avec les mêmes équipes et sous la houlette des patrons historiques du studio Ed Wu (Pokémon Go) et Kei Kawai.

Via cette acquisition, Scopely met également la main sur un trésor de guerre qui ne dit pas son nom : l’immense gisement de données relatives aux utilisateurs de Pokémon Go dont dispose Niantic, remarque 404 Media.

Niantic, historiquement spécialisée dans la réalité virtuelle, annonce de son côté de nouveaux développements du côté de Niantic Spatial, sa branche dédiée à la géolocalisation et à la visualisation spatiale. L’activité, dont les outils sous-tendent les fonctions de réalité virtuelle et de localisation de Pokémon Go, devient une filiale à part entière, dotée de 250 millions de dollars de fonds, dont 50 millions émanent de Scopely.

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☕️ Niantic (Pokémon Go) vend sa branche jeux vidéo à Scopely pour 3,5 milliards de dollars

Pokémon Go, Pikmin Bloom et Monster Hunter Now changent de main. Le studio américain Scopely, propriété du géant saoudien Savvy Games, a annoncé mardi l’acquisition de la branche jeu vidéo du groupe Niantic Inc. Objet de rumeurs depuis mi-février, la transaction valorise les titres et les équipes de Niantic, nés dans le giron de Google, à hauteur de 3,5 milliards de dollars.

Scopely, qui revendique déjà le titre d’éditeur numéro un du jeu vidéo sur mobile aux États-Unis avec des titres comme Monopoly Go, Stumble Guys ou Marvel Strike Force, met ainsi la main sur le célèbre Pokémon Go, qui aurait réuni plus de 100 millions de joueurs uniques en 2024. « L’activité jeux de Niantic ravit plus de 30 millions d’utilisateurs actifs par mois, et a généré plus d’un milliard de dollars de chiffre d’affaires en 2024 », se réjouit l’acquéreur dans un communiqué. Il promet par ailleurs qu’il poursuivra le développement des jeux Niantic, avec les mêmes équipes et sous la houlette des patrons historiques du studio Ed Wu (Pokémon Go) et Kei Kawai.

Via cette acquisition, Scopely met également la main sur un trésor de guerre qui ne dit pas son nom : l’immense gisement de données relatives aux utilisateurs de Pokémon Go dont dispose Niantic, remarque 404 Media.

Niantic, historiquement spécialisée dans la réalité virtuelle, annonce de son côté de nouveaux développements du côté de Niantic Spatial, sa branche dédiée à la géolocalisation et à la visualisation spatiale. L’activité, dont les outils sous-tendent les fonctions de réalité virtuelle et de localisation de Pokémon Go, devient une filiale à part entière, dotée de 250 millions de dollars de fonds, dont 50 millions émanent de Scopely.

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How Trump Is Helping Liberals Abroad

Voters are rallying behind some leaders who oppose President Trump’s tariffs, threats and insults. There’s a theory that explains why.

© Justin Tang/The Canadian Press, via Associated Press

Mark Carney, leader of the Liberal Party of Canada.
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Derek Burney: Retaliate and rebuild, Canada. We’ll be better for it

Canada faces a seismic shift in world affairs where the U.S., under Donald Trump, is no longer a reliable alliance or trade partner, prompting disarray in the West and posing an existential threat to Canada’s well-being. Stock markets have plunged, inflation is ticking up, and consumer confidence is sagging in the U.S. There is even talk of recession — not the change Trump promised for America. Read More
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On a roulé avec la trottinette électrique ultra haut de gamme de Segway : GPS intégré, double suspension et prix en baisse

Avec une très grande autonomie et stable à piloter, la Segway GT3 E nous a néanmoins procuré des sensations mitigées lors d’une première prise en main, mais son prix contenu devrait assurément séduire.
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On a roulé avec la trottinette électrique ultra haut de gamme de Segway : GPS intégré, double suspension et prix en baisse

Avec une très grande autonomie et stable à piloter, la Segway GT3 E nous a néanmoins procuré des sensations mitigées lors d’une première prise en main, mais son prix contenu devrait assurément séduire.
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Source : M. Lauraux pour Frandroid

Source : M. Lauraux pour Frandroid

La batterie secondaire de 413 Wh est disponible cet été. // Source : Segway-Ninebot

Le modèle GT3 Pro E est destiné au circuit ou tout-terrain. // Source : Segway-Ninebot
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Comment rendre nos vélos électriques plus écologiques ? Réponse avec cette initiative de Trek

Un aluminium plus vert, une optimisation des batteries, ou encore le reconditionnement : autant de mesures entreprises par Trek pour des concevoir des vélos électriques plus écologiques.
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Notre émission Twitch SURVOLTÉS, c’est un mercredi sur deux de 18h à 20h : retrouvez-nous pour parler voiture électrique ou vélo électrique, autour de débats, d’interviews, d’analyses et de jeux !

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Comment rendre nos vélos électriques plus écologiques ? Réponse avec cette initiative de Trek

Un aluminium plus vert, une optimisation des batteries, ou encore le reconditionnement : autant de mesures entreprises par Trek pour des concevoir des vélos électriques plus écologiques.
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Crédit : Trek

L'impact de l'aluminum est énorme, mais que Trek souhaite réduire de 53%. // Source : Trek

Source : Anthony Wonner - Frandroid

Source : Trek

Source : Brice Zerouk - Frandroid
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