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Aniara : horreur cosmique et nihilisme positif

Dans la culture, les œuvres qui ne trouvent pas d’approbation publique peuvent soit planter un souvenir commun impérissable, bien que négatif, soit tomber dans l'oubli. Ma fâcheuse habitude de prendre la défense des mal aimés, par la force de leur présence culturelle, me place très souvent dans la première catégorie. Mais aujourd’hui, je vais défendre une œuvre appartenant au deuxième groupe. Cette fois-ci, on va parler cinéma.

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Aniara : horreur cosmique et nihilisme positif

Dans la culture, les œuvres qui ne trouvent pas d’approbation publique peuvent soit planter un souvenir commun impérissable, bien que négatif, soit tomber dans l'oubli. Ma fâcheuse habitude de prendre la défense des mal aimés, par la force de leur présence culturelle, me place très souvent dans la première catégorie. Mais aujourd’hui, je vais défendre une œuvre appartenant au deuxième groupe. Cette fois-ci, on va parler cinéma.

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Lost Records: Bloom & Rage (Tape 1)

Après une preview très personnelle d’une démo qui m’a beaucoup touchée, il allait de soi que la responsabilité du test allait me revenir. Je vais annoncer la couleur tout de suite : mon premier avis reste inchangé sur cette première partie de la version publique. Aussi, je vous invite à aller lire la préversion avant de continuer. Je vais essayer ici d’approfondir les quelques détails que j’avais survolés et les changements opérés dans cette version finale.

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