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Départ choc chez Meta : pourquoi Mark Rabkin quitte-t-il vraiment l’entreprise ?

Mark Rabkin, vice-président de la division XR chez , annonce son départ en mars prochain. Après 18 ans au sein du groupe, il quitte son poste pour des raisons de santé familiale. Ce départ marque une transition importante pour Meta, qui doit désormais assurer la continuité de ses innovations en réalité mixte et informatique spatiale.

Un départ inattendu pour raisons familiales

Mark Rabkin, vice-président de la division XR chez Meta, a annoncé son départ en mars prochain. Après 18 années passées au sein de l’entreprise, il quitte son poste pour des raisons de santé familiale. Cette annonce marque un tournant pour Meta, qui perd l’un de ses cadres clés dans le développement de la réalité étendue.

D’ailleurs, Rabkin a tenu à rassurer la communauté en déclarant : « Développeurs et fans [de XR], je vous laisse entre de bonnes mains. » Ce message laisse entendre qu’un remplaçant sera bientôt désigné. Meta devra donc rapidement trouver une nouvelle direction stratégique pour poursuivre l’évolution de sa division XR, qui joue un rôle stratégique dans l’innovation du groupe.

Un acteur clé du développement de la XR chez Meta

En tant que vice-président de la division XR, Mark Rabkin a supervisé plusieurs lancements majeurs, dont le Quest 3 et le Quest 3S. Il a aussi participé à l’évolution de l’écosystème logiciel de Meta, notamment avec le passage du système Quest à Horizon OS. Ce changement a renforcé l’intégration des applications immersives et de la réalité mixte sur les casques Meta.

De plus, il a joué un rôle clé dans l’assimilation d’App Lab dans la boutique Horizon OS. Cela facilite ainsi l’accès à une plus grande diversité d’applications. Son départ risque donc d’avoir un impact sur la feuille de route de Meta en matière de réalité mixte et d’informatique spatiale. Toutefois, l’entreprise pourrait annoncer très prochainement un successeur capable de poursuivre ces avancées.

Une ascension marquée par l’innovation

Mark Rabkin n’est pas un nouveau venu chez Meta. Il a intégré l’entreprise en 2007 en tant qu’ingénieur backend C++, se décrivant lui-même comme un jeune talent turbulent et ambitieux. Grâce à son expertise technique et à sa vision stratégique, il a rapidement gravi les échelons au sein du groupe.

Ainsi, après plus d’une décennie dans divers postes de direction, il a rejoint la branche XR en 2019. Il a d’abord occupé le rôle de vice-président des expériences immersives XR avant d’être promu à la tête de la division. Son travail a contribué à faire de Meta un leader dans le domaine de la réalité virtuelle et augmentée.

Quels enjeux pour Meta après ce départ ?

Le départ de Mark Rabkin arrive à un moment clé pour Meta, qui mise beaucoup sur la XR pour son avenir. L’entreprise doit désormais assurer la continuité des projets en cours tout en renforçant son positionnement face à une concurrence de plus en plus agressive.

D’ailleurs, Meta devra aussi rassurer les investisseurs et les développeurs quant à la stabilité de sa stratégie XR. Le choix du futur vice-président sera donc déterminant pour maintenir la dynamique d’innovation engagée sous la direction de Rabkin.

Meta dispose toutefois de solides équipes et d’importants moyens pour poursuivre son ambition dans la XR. Reste à voir si l’entreprise parviendra à maintenir le cap et à s’imposer comme un acteur incontournable du métavers et de la réalité mixte.

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Meta prépare six nouveaux dispositifs : à quoi s’attendre ?

Cette année, va dévoiler une série d’appareils portables boostés par l’IA. Andrew Bosworth, le directeur technique de la société, a révélé à ses équipes que pas moins de six nouveaux gadgets sont en chemin. Mais quels sont-ils ?

Pour Meta, l’année 2025 est décisive, selon un mémo interne fuité d’Andrew Bosworth, directeur technique. Ce responsable y annonce que l’entreprise lancera une série d’appareils portables alimentés par l’IA. Il a précisé qu’il y aura une demi-douzaine de nouveaux gadgets à la clé. Désormais, ces six gadgets en question sont au centre de toutes les discussions. Mais à quoi devons-nous nous attendre ? Quelques pistes qui commencent à se dessiner…

Tout d’abord, Meta s’apprête à lancer une nouvelle version de ses lunettes intelligentes les Oakley Meta. Ces petits bijoux sont prévus pour cette année. En outre, on sait qu’ils s’adressent principalement aux sportifs, comme les cyclistes. Ils intègrent une caméra placée au centre pour des usages spécifiques.

Ensuite, on sait que Meta travaille depuis 2019 sur un bracelet neuronal. D’ailleurs, la dernière version a été présentée lors de Meta Connect 2024. Ce bracelet, grâce à la technologie EMG, capte les mouvements subtils des doigts. Il permet de contrôler des appareils comme des lunettes AR sans les toucher.

Le troisième gadget à l’horizon ? Les lunettes intelligentes Hypernova, dotées d’un affichage tête haute (HUD), qui pourraient voir le jour cette année. Elles afficheront des notifications et des images sur les lentilles. De plus, elles permettront un contrôle discret des photos et de l’assistant IA sans son.

Quels autres gadgets Meta prépare-t-il cette année ?

Les écouteurs Meta, dotés de caméras intégrées, feraient aussi partie de cette série de six nouveaux gadgets. Ces Camera Buds offriraient une vue du monde extérieur et réagiraient grâce à l’IA. Le cinquième gadget en préparation ? Une montre connectée ultra-pratique, équipée de deux caméras : une pour les appels vidéo et une autre pour des prises de vue façon caméra d’action.

Il y a bien eu des promesses de lancement en 2022, mais le projet a été annulé. Et pour cause, il aurait rencontré des problèmes techniques. Mais deux ans plus tard, Meta relance l’idée. Et cette fois, la montre pourrait intégrer un écran qui affiche les photos capturées par ses lunettes intelligentes.

Et le dernier gadget ? On peut supposer que Bosworth a été un peu flou avec son « demi-douzaine ». Mais qui sait ? Peut-être que Meta a encore quelques surprises cachées dans sa feuille de route pour 2025. On surveille ça de près pour dénicher le moindre indice ou fuite et nous vous tiendrons au courant.

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Des milliards envolés : Reality Labs toujours en difficulté

enregistre un record de revenus pour Reality Labs, mais les pertes continuent de s’accumuler. Avec près de 5 milliards de dollars de déficit au dernier trimestre, l’investissement dans le métavers reste une lourde charge. Pourtant, Zuckerberg reste confiant et mise sur l’IA pour l’avenir de l’entreprise.

Meta a dévoilé ses résultats du quatrième trimestre 2024. Les chiffres, publiés le 29 janvier, concernent la période allant jusqu’au 31 décembre 2024. D’après les résultats, une fois de plus, la division Reality Labs affiche des pertes importantes.

A titre de rappel, Reality Labs, la branche de Meta, développe les casques Quest et leur écosystème Horizon. Elle travaille aussi sur la technologie des lunettes connectées Ray-Ban Meta.

Lors de son bilan du quatrième trimestre 2024, Meta a annoncé que Reality Labs avait généré 1,08 milliard de dollars, un record pour la division. Cependant, les dépenses ont aussi atteint un niveau inédit avec 6,05 milliards de dollars, entraînant une perte de 4,97 milliards. Les revenus dépassent de justesse ceux du quatrième trimestre 2023. Soulignons que ceux-ci étaient de 1,07 milliard, tandis que les coûts explosent par rapport aux 5,72 milliards enregistrés à la même période l’an dernier.

Notons que les pertes de la division Reality Labs dépassent 60 milliards depuis 2020. Cette situation Wall Street perplexe face aux ambitions de Zuckerberg pour le métavers, qui est le nouveau pari du patron de .

Malgré les pertes, Zuckerberg parie sur la croissance de Meta Reality Labs

Malgré les pertes colossales, Zuckerberg affirme que les dépenses de Reality Labs sont un pari sur l’avenir et finiront par rapporter. Il a déjà averti les investisseurs que ces coûts continueront de grimper. De plus, il a déclaré que la rentabilité pourrait ne pas être atteinte avant la prochaine décennie.

Mark Zuckerberg a justifié lors de la conférence sur les résultats financiers les dépenses massives de l’entreprise. Il a expliqué que cette année serait cruciale pour l’intelligence artificielle. Selon lui, l’assistant IA de Meta devrait devenir le leader du marché en termes d’utilisation.

« Je crois que cette année verra l’arrivée d’assistants IA intelligents et sur-mesure, capables de toucher plus d’un milliard de personnes, et Meta AI deviendra le leader incontesté dans ce domaine. », a-t-il déclaré.

Même si les investissements dans l’IA semblent prometteurs, il reste à voir si Meta pourra réellement transformer ses ambitions en succès concret. Personnellement, je suis partagée : bien que l’IA offre un potentiel énorme, l’avenir du métavers et des casques VR reste incertain. Et il faudra encore du temps avant que Meta en tire des bénéfices tangibles.

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Fast Travel Games : L’entité prend une décision difficile après des ventes décevantes en 2024

L’industrie du jeu vidéo, particulièrement la réalité virtuelle, traverse une période difficile. Fast Travel Games, un éditeur réputé dans ce domaine, a annoncé une série de licenciements après des résultats de ventes inférieurs aux attentes. Une décision drastique qui touche 60 % de l’entreprise.

Des ventes décevantes malgré des lancements ambitieux

Fast Travel Games a confirmé que 30 de ses employés, soit près de 60 % de son équipe, seront licenciés. Cette mesure intervient après une année 2024 marquée par des ventes en dessous des prévisions pour six jeux VR lancés par la société. Parmi ces titres, on retrouve des projets ambitieux comme Mannequin, un jeu multijoueur VR, ainsi que Action Hero et Into The Radius. Ce dernier a pourtant enregistré une vente notable de 800 000 exemplaires, dépassant même les attentes pour son portage sur PS VR2.

D’ailleurs, si certains titres comme Into The Radius semblent avoir trouvé un public, cela n’a pas suffi à compenser les résultats décevants des autres jeux. Ainsi, le studio a pris la décision de licencier une grande partie de ses équipes dédiées à l’édition, au marketing et à l’administration. Cette réduction massive des effectifs vise à assurer la stabilité financière de l’entreprise dans un contexte économique incertain.

Des licenciements dans un marché VR en difficulté

La réalité virtuelle est un secteur en pleine croissance, mais il est aussi très fluctuant. Fast Travel Games n’est pas le seul studio à être confronté à des difficultés financières. Effectivement, d’autres entreprises de jeux VR, telles que Soul Assembly, XR Games ou nDreams, ont également dû procéder à des licenciements. La situation semble particulièrement tendue pour les studios de réalité virtuelle en raison d’une baisse de la demande et d’un marché encore jeune.

Ainsi, après cette vague de licenciements de Fast Travel Games, l’entreprise a annoncé une réorganisation interne. Le studio se concentre désormais sur une équipe de développement consolidée afin de relancer son activité et de garantir la production de jeux VR de qualité. Les dirigeants ont souligné que leur priorité restait de soutenir les employés qui quittent l’entreprise et de maintenir un avenir prometteur pour ceux qui restent.

Une année incertaine pour l’industrie du VR

L’annonce de Fast Travel Games s’inscrit dans un contexte globalement difficile pour l’industrie des jeux VR. Effectivement, de plus en plus de studios se retrouvent confrontés à des problèmes financiers à cause d’un marché fluctuants. Si certains jeux réussissent à s’imposer, comme Into The Radius, la majorité des productions peinent à convaincre un public de plus en plus exigeant. Les coûts de production élevés et la concurrence accrue compliquent davantage la situation des studios.

Cependant, Fast Travel Games reste optimiste pour l’avenir. Le studio a confirmé son intention de continuer à développer des jeux VR innovants et de qualité, malgré cette restructuration nécessaire. Leur objectif est de consolider une base solide pour leurs futures productions, tout en cherchant à relancer la dynamique du marché VR.

Un soutien aux employés en période difficile

Dans cette période compliquée, l’entreprise a pris soin de souligner qu’elle s’engageait à soutenir les employés touchés par ces licenciements. Andreas Juliusson, directeur marketing de Fast Travel Games, a insisté sur le fait que les contributions des départs sont inestimables et que le studio fera tout son possible pour leur offrir un accompagnement adapté.

Alors que de nombreux studios de jeux VR sont également confrontés à des difficultés, Fast Travel Games reste déterminé à surmonter cette période de turbulences. Malgré la concurrence accrue et les incertitudes du marché, la société espère pouvoir rebondir et offrir aux joueurs des expériences immersives toujours plus captivantes.

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