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RTX 5090 : Une déception en VR, mais DLSS 4 pourrait tout changer

dévoile sa RTX 5090, mais les premiers retours des joueurs VR sont mitigés. Malgré un gain de performances de 30 % par rapport à la RTX 4090, cette carte montre rapidement ses limites en réalité virtuelle. Sa consommation élevée et le manque d’optimisation logicielle posent question. DLSS 4 pourrait-il renverser la situation ?

Une évolution limitée pour la réalité virtuelle

La nouvelle carte graphique Nvidia RTX 5090 était très attendue par les passionnés de réalité virtuelle. Pourtant, les premiers retours indiquent que les améliorations sont bien en deçà des attentes. En comparaison avec la RTX 4090, l’augmentation des performances en VR serait d’environ 30 %, un gain jugé trop faible au vu du prix et de la consommation énergétique accrue.

D’ailleurs, les premiers tests montrent que la RTX 5090 atteint rapidement ses limites dans des titres exigeants comme Flight Simulator 2024. Ce phénomène s’explique par la forte demande en ressources des jeux VR, où chaque image supplémentaire peut peser lourdement sur le GPU. Ainsi, malgré une architecture plus puissante, cette nouvelle carte peine à offrir une révolution en matière d’immersion virtuelle. C’est pourquoi la RTX 5090 déçoit en VR d’après les adeptes de cette technologie.

Un gain intéressant, mais uniquement pour les anciennes cartes

Les retours des utilisateurs soulignent que cette mise à niveau ne présente aucun intérêt pour les possesseurs d’une RTX 4090. Le faible écart de performances, combiné à la consommation atteignant 700 watts, rend l’investissement difficile à justifier. En revanche, pour ceux équipés de cartes plus anciennes, le passage à la RTX 5090 pourrait représenter un bond en avant spectaculaire.

Certains utilisateurs témoignent d’une transformation radicale après une mise à jour depuis des modèles comme la GTX 1080 Ti. L’un d’eux compare cette évolution à la différence entre le jour et la nuit. Cela prouve que l’intérêt de la RTX 5090 dépend surtout du point de départ de l’utilisateur. Ainsi, cette carte cible davantage ceux qui possèdent un matériel vieillissant, plutôt que les passionnés déjà équipés d’une RTX 4090 déjà déçu de la VR.

Le manque de tests dédiés à la VR

Un autre problème souligné par les utilisateurs concerne le manque de benchmarks spécifiques à la réalité virtuelle. La plupart des tests se concentrent sur les performances en 2D. D’ailleurs, cela laisse de côté un marché pourtant avide de puissance. Ce retard s’explique par la complexité des tests VR, qui demandent des configurations spécifiques et un matériel adapté pour évaluer précisément la fluidité et la latence.

Certains jeux VR comme Kayak VR : Mirage, Microsoft Flight Simulator 2024 et Assetto Corsa Competizione profitent déjà du DLSS, mais peu d’analyses détaillées existent pour la RTX 5090. Cette absence d’informations complètes empêche de déterminer si cette carte est réellement un bon investissement pour les passionnés de VR.

DLSS 4 : Une technologie qui pourrait faire la différence

Si la RTX 5090 ne convainc pas totalement pour la VR, DLSS 4 pourrait bien renverser la tendance. Cette nouvelle version du super échantillonnage de Nvidia promet d’optimiser les performances tout en améliorant la qualité d’image. Toutefois, son installation demande encore plusieurs étapes manuelles, ce qui complique son adoption immédiate par les joueurs.

Le mode Auto de DLSS 4 semble particulièrement efficace en VR. Il fonctionne d’ailleurs de manière similaire au DLAA et offre une image bien plus nette et détaillée. En revanche, la génération d’images reste désactivée en réalité virtuelle, car elle engendre une latence excessive. Cela nuit ainsi à l’expérience immersive. Malgré ces limites, DLSS 4 apporte des améliorations notables, notamment pour les possesseurs de RTX 4070 Super et RTX 4090.

Une carte prometteuse, mais un futur encore incertain

La RTX 5090 déçoit en VR, bien qu’équipée d’une architecture plus puissante, ne révolutionne pas l’expérience comme espéré. Sa consommation énergétique élevée et son faible gain par rapport à la RTX 4090 limitent son attrait pour les utilisateurs déjà bien équipés. Toutefois, pour ceux venant d’anciennes générations de cartes, cette mise à jour pourrait changer radicalement leur expérience.

L’avenir de cette carte dépend en grande partie de l’optimisation logicielle et des futures mises à jour de DLSS 4. Si Nvidia parvient à affiner sa technologie pour la réalité virtuelle, la RTX 5090 pourrait réellement faire la différence. Mais pour l’instant, elle reste une évolution plus qu’une révolution.

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Départ choc chez Meta : pourquoi Mark Rabkin quitte-t-il vraiment l’entreprise ?

Mark Rabkin, vice-président de la division XR chez , annonce son départ en mars prochain. Après 18 ans au sein du groupe, il quitte son poste pour des raisons de santé familiale. Ce départ marque une transition importante pour Meta, qui doit désormais assurer la continuité de ses innovations en réalité mixte et informatique spatiale.

Un départ inattendu pour raisons familiales

Mark Rabkin, vice-président de la division XR chez Meta, a annoncé son départ en mars prochain. Après 18 années passées au sein de l’entreprise, il quitte son poste pour des raisons de santé familiale. Cette annonce marque un tournant pour Meta, qui perd l’un de ses cadres clés dans le développement de la réalité étendue.

D’ailleurs, Rabkin a tenu à rassurer la communauté en déclarant : « Développeurs et fans [de XR], je vous laisse entre de bonnes mains. » Ce message laisse entendre qu’un remplaçant sera bientôt désigné. Meta devra donc rapidement trouver une nouvelle direction stratégique pour poursuivre l’évolution de sa division XR, qui joue un rôle stratégique dans l’innovation du groupe.

Un acteur clé du développement de la XR chez Meta

En tant que vice-président de la division XR, Mark Rabkin a supervisé plusieurs lancements majeurs, dont le Quest 3 et le Quest 3S. Il a aussi participé à l’évolution de l’écosystème logiciel de Meta, notamment avec le passage du système Quest à Horizon OS. Ce changement a renforcé l’intégration des applications immersives et de la réalité mixte sur les casques Meta.

De plus, il a joué un rôle clé dans l’assimilation d’App Lab dans la boutique Horizon OS. Cela facilite ainsi l’accès à une plus grande diversité d’applications. Son départ risque donc d’avoir un impact sur la feuille de route de Meta en matière de réalité mixte et d’informatique spatiale. Toutefois, l’entreprise pourrait annoncer très prochainement un successeur capable de poursuivre ces avancées.

Une ascension marquée par l’innovation

Mark Rabkin n’est pas un nouveau venu chez Meta. Il a intégré l’entreprise en 2007 en tant qu’ingénieur backend C++, se décrivant lui-même comme un jeune talent turbulent et ambitieux. Grâce à son expertise technique et à sa vision stratégique, il a rapidement gravi les échelons au sein du groupe.

Ainsi, après plus d’une décennie dans divers postes de direction, il a rejoint la branche XR en 2019. Il a d’abord occupé le rôle de vice-président des expériences immersives XR avant d’être promu à la tête de la division. Son travail a contribué à faire de Meta un leader dans le domaine de la réalité virtuelle et augmentée.

Quels enjeux pour Meta après ce départ ?

Le départ de Mark Rabkin arrive à un moment clé pour Meta, qui mise beaucoup sur la XR pour son avenir. L’entreprise doit désormais assurer la continuité des projets en cours tout en renforçant son positionnement face à une concurrence de plus en plus agressive.

D’ailleurs, Meta devra aussi rassurer les investisseurs et les développeurs quant à la stabilité de sa stratégie XR. Le choix du futur vice-président sera donc déterminant pour maintenir la dynamique d’innovation engagée sous la direction de Rabkin.

Meta dispose toutefois de solides équipes et d’importants moyens pour poursuivre son ambition dans la XR. Reste à voir si l’entreprise parviendra à maintenir le cap et à s’imposer comme un acteur incontournable du métavers et de la réalité mixte.

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Google Blocks renaît sous Open Blocks : la modélisation XR s’ouvre à Quest

La modélisation 3D en réalité virtuelle connaît un nouvel élan avec Open Blocks, une version améliorée de Blocks. Cet outil open source, désormais disponible sur Quest, permet aux créateurs de concevoir des modèles 3D low-poly facilement et en immersion totale.

Un outil open source pour démocratiser la création 3D

Open Blocks reprend les bases de Google Blocks, en offrant une interface intuitive pour créer des ressources 3D simplifiées adaptées aux jeux et aux prototypes. Son arrivée sur Quest marque une avancée majeure. Cela rend cet outil accessible à un plus large public de créateurs XR.

L’application, auparavant réservée aux casques PC VR via , est désormais gratuite sur l’Horizon Store. Cette compatibilité entre PC VR et plateformes VR autonomes grâce à OpenXR offre une plus grande flexibilité aux utilisateurs. Cela leur permet d’ailleurs d’exploiter la réalité virtuelle pour la modélisation 3D sans contrainte matérielle.

Une évolution attendue avec de nouvelles fonctionnalités

La Fondation Icosa, déjà connue pour la version open source d’Open Brush, poursuit l’amélioration de Blocks avec des mises à jour innovantes. Elle prévoit d’intégrer un mode passthrough en réalité mixte, de nouvelles formes de base et une palette de couleurs enrichie pour affiner les créations.

De plus, un support pour Google Poly a été remplacé par la galerie Icosa. D’ailleurs, ceci permet aux utilisateurs de partager et d’échanger leurs créations en ligne. Cette évolution facilitera letravail collaboratif et l’accessibilité des modèles XR. Cela renforce ainsi la communauté des créateurs numériques.

Une suite de modélisation complète en développement

L’ambition de la Fondation Icosa est de transformer Open Blocks en un véritable logiciel de modélisation avancé. À long terme, le projet prévoit l’ajout de fonctionnalités avancées, telles que la gestion des matériaux, la prise en charge des textures et des outils inspirés des pipelines CSG pour affiner les créations.

De plus, le support pour d’autres plateformes XR, dont les casques , est déjà en cours de développement. Cette ouverture vers d’autres environnements VR confirme l’intention d’Open Blocks de devenir un standard de la modélisation 3D XR open source.

Une nouvelle ère pour la création 3D immersive

L’arrivée d’Open Blocks sur Quest marque un tournant pour les artistes et développeurs cherchant à créer en réalité virtuelle. Cet outil, libre et évolutif, s’inscrit dans une dynamique où la VR devient un levier majeur pour l’innovation dans le domaine de la création numérique.

Grâce aux efforts de la Fondation Icosa, la modélisation XR devient plus accessible et performante. Effectivement, cela ouvre la voie à une génération de créateurs plus connectés et inspirés. La démocratisation de ces outils annonce un futur où la création en 3D se fera en immersion totale et sans limite technique.

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Le karaoké en réalité virtuelle est enfin là : pourquoi vous devriez tester StageTime VR ?

StageTime VR est une application innovante qui révolutionne les événements en réalité virtuelle. Disponible sur la boutique Quest, elle permet aux utilisateurs de profiter de spectacles interactifs immersifs. Karaoké, quiz et événements en direct rythment cette plateforme unique. Grâce à une interface fluide et un son spatial réaliste, elle offre une expérience inédite et prometteuse.

Une immersion totale dans l’univers du karaoké virtuel

Les expériences en réalité virtuelle évoluent sans cesse, et StageTime VR en est un parfait exemple. Développée par Virtuware Ltd, cette application disponible sur la boutique Meta Quest promet une immersion totale dans le monde des spectacles interactifs. Entre karaoké, quiz et autres événements en direct, elle offre aux utilisateurs un lieu unique pour chanter et interagir avec une communauté grandissante. Cette innovation pourrait bien redéfinir la manière dont nous vivons les événements en ligne.

Dès l’ouverture de l’application, l’utilisateur est transporté dans un univers virtuel captivant. L’ambiance lumineuse aux teintes violettes et bleues donne un cachet moderne au pub virtuel qui sert de scène principale. Les avatars sont personnalisables dans un vestiaire dédié, et la salle dispose d’une scène avec un piano à queue et un écran multimédia. De plus, l’espace est suffisamment grand pour accueillir un public de taille moyenne sans compromettre le confort de mouvement. Cependant, certaines fonctionnalités restent encore limitées, comme l’impossibilité de s’asseoir sur les chaises du décor.

Une interface intuitive pour des performances accessibles à tous

Naviguer dans StageTime VR est simple et fluide, ce qui rend l’expérience agréable pour les novices comme pour les habitués. Le menu principal permet de créer ou rejoindre des salles privées ou publiques. Ainsi, ceux qui préfèrent s’entraîner en solo peuvent simplement réduire le nombre de joueurs à un. Cette option rassure les plus timides avant de monter sur scène devant d’autres utilisateurs.

Le choix des chansons est aussi un point fort de l’application. Il suffit de monter sur scène, d’entrer dans la file d’attente et de rechercher un titre ou un artiste. Toutefois, seules les versions karaoké sont disponibles, ce qui limite un peu les possibilités. Un détail à noter : le temps de passage sur scène est limité à cinq minutes, un chronomètre étant affiché pour informer le chanteur du temps restant.

Des performances audio et vidéo prometteuses

L’un des points forts de StageTime VR réside dans la qualité de son système audio. Le son spatial est particulièrement bien pensé. Cela apporte une touche réaliste à l’expérience. Par exemple, se déplacer derrière un mur modifie la perception sonore avec un effet de réverbération. De plus, la gestion du son ne se contente pas de simples coupures, ce qui renforce l’immersion.

Sur le plan visuel, StageTime utilise la technologie LIV pour ses caméras. L’enregistrement des vidéos est fluide, bien que la possibilité de prendre des instantanés ne soit pas encore disponible. Contrairement à d’autres applications VR, la stabilité de la caméra est bien meilleure, ce qui facilite la captation des performances. Une amélioration possible serait l’intégration d’un système de drone pour varier les angles et offrir des prises de vue plus dynamiques.

Un potentiel d’évolution encore immense

StageTime VR, bien que déjà séduisant, a encore beaucoup de marge pour s’améliorer. Ajouter de nouvelles cartes pour diversifier les ambiances scéniques serait un atout majeur. Envisager un mode de réalité mixte permettrait aussi aux utilisateurs de chanter avec leurs amis dans leur salon, tout en profitant d’effets visuels en réalité augmentée.

D’autres fonctionnalités pourraient renforcer l’engagement des utilisateurs. Par exemple, proposer des accessoires ou des tenues spéciales à débloquer en fonction du temps passé dans certaines salles. Enfin, des DLC premium avec des décors thématiques immersifs – comme un bar de jazz pluvieux ou un casino lumineux – pourraient enrichir l’expérience. Le potentiel de personnalisation et d’évolution de StageTime est considérable, et l’application pourrait devenir une référence dans le domaine des événements VR interactifs.

StageTime VR : Un avant-goût du futur des spectacles virtuels

Avec son concept innovant et ses nombreuses fonctionnalités, StageTime VR s’impose comme un incontournable pour les amateurs de karaoké et d’événements interactifs en réalité virtuelle. Malgré quelques limitations, l’expérience est fluide, immersive et prometteuse. Il ne fait aucun doute que l’application va continuer d’évoluer en proposant toujours plus de contenus et d’options pour satisfaire un public en quête de nouvelles expériences. Ce n’est que le début de l’aventure, et les prochaines mises à jour pourraient bien faire de StageTime VR un leader du divertissement en réalité virtuelle.

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Meta et la VR : 5 milliards de pertes, un silence troublant

célèbre le succès commercial du Meta , qui domine le marché de la réalité virtuelle. Pourtant, derrière ces chiffres positifs, l’entreprise enregistre près de 5 milliards de dollars de pertes. reste étrangement silencieux sur cet échec financier. Ce dernier mise toujours sur l’avenir du Metaverse.

Un succès commercial masqué par des pertes colossales

Meta vient de publier son rapport financier pour le quatrième trimestre 2024. Grâce au casque Meta Quest 3, son dernier casque de réalité virtuelle, l’entreprise a généré 1,1 milliard de dollars de ventes. Ce chiffre impressionnant montre la domination de Meta sur le marché des jeux VR grand public.

Cependant, cette réussite commerciale est éclipsée par des pertes abyssales de 4,97 milliards de dollars. Ces pertes proviennent principalement des investissements continus dans le projet Metaverse. Pourtant, Mark Zuckerberg reste silencieux sur cet échec financier. Il préfère insister sur l’importance stratégique de la VR pour l’avenir.

Le Metaverse, un pari coûteux mais stratégique

Meta continue d’investir massivement dans le développement du Metaverse, un espace social virtuel immersif. Selon Zuckerberg, l’année 2025 sera décisive pour cette technologie. D’ailleurs, ces pertes colossales n’empêchent pas l’entreprise de poursuivre sa vision d’un monde entièrement connecté en réalité virtuelle.

Pour les développeurs de jeux, cette stratégie est une opportunité. Effectivement, une enquête récente révèle que la majorité des créateurs de jeux VR développent leurs contenus pour le Meta Quest. Malgré des pertes financières énormes, Meta semble déterminé à soutenir son écosystème VR. Ceci garantit ainsi la viabilité de cette industrie.

Une concurrence qui se renforce sur le marché de la VR

Meta n’est plus le seul acteur sur le marché de la réalité virtuelle. prépare une version plus accessible de son casque , tandis que et ont annoncé leur entrée dans ce secteur. Ces nouveaux concurrents pourraient bouleverser l’équilibre actuel et mettre la domination de Meta en péril.

Si Meta veut conserver son avance, il devra maintenir ses investissements tout en améliorant la rentabilité du Metaverse. De plus, l’innovation matérielle sera cruciale pour faire face à des géants comme Apple, dont la capacité à révolutionner un marché n’est plus à prouver. La bataille pour la VR ne fait que commencer.

Meta, un pari risqué mais prometteur

Malgré des pertes massives, Meta ne semble pas prêt à abandonner la VR. D’ailleurs, le succès du Meta Quest 3 montre que le public est toujours intéressé par cette technologie. Pour l’instant, Zuckerberg joue la carte de la patience. Ce dernier mise notamment sur une adoption progressive du Metaverse et de la réalité virtuelle.

L’arrivée de nouveaux concurrents pourrait accélérer l’évolution de ce marché et forcer Meta à s’adapter rapidement. Seul l’avenir dira si cette stratégie audacieuse portera ses fruits ou si elle entraînera l’entreprise dans une spirale financière dangereuse. Une chose est sûre : la guerre de la VR est loin d’être terminée.

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Meta Reality Labs en pleine ascension : Quest et Ray-Ban Meta cartonnent en 2024 et peut être en 2025

Reality Labs connaît une croissance impressionnante en 2024. Les chiffres marquent une hausse de 40 % de son chiffre d’affaires. La marque Quest n’a jamais été aussi performante, et les lunettes connectées Ray-Ban Meta séduisent un large public. Ces succès placent Meta en position de force pour 2025.

Quest domine le marché des casques XR

La division Reality Labs de Meta a dépassé presque tous ses objectifs de ventes et d’utilisateurs, selon une note interne obtenue par Business Insider. Andrew Bosworth, directeur technique de Meta, a annoncé cette performance record. Cela affirme d’ailleurs que la marque Quest est plus populaire que jamais.

Les ventes du casque Quest 3S ont explosé en 2024 en faisant la console de jeu la plus vendue sur Amazon. Celle-ci surpasse la PlayStation 5 et la Switch. De plus, l’application Horizon, indispensable à la configuration des casques Quest, a dominé le classement des téléchargements gratuits sur l’App Store d’ pendant Noël.

Les lunettes Ray-Ban Meta séduisent le marché

Les lunettes connectées Ray-Ban Meta connaissent un succès fulgurant, notamment en Europe où elles sont devenues le produit le plus vendu dans 60 % des magasins Ray-Ban de la région EMEA. Ce succès est d’autant plus impressionnant que les fonctionnalités d’IA ne sont pas encore disponibles en Europe.

Cette montée en puissance des produits XR de Meta reflète un engouement croissant pour les technologies immersives. En intégrant progressivement l’intelligence artificielle et des améliorations matérielles, la marque pourrait encore élargir son audience en 2025.

Un positionnement stratégique pour 2025

Avec ces résultats impressionnants, Reality Labs se prépare à une année charnière. La division supervise plusieurs projets innovants, notamment les lunettes AR Orion et un bracelet EMG. Ces avancées technologiques témoignent de l’ambition de Meta de dominer l’univers de la réalité augmentée et mixte.

Meta publiera ses résultats financiers du quatrième trimestre dans les prochaines heures. Les analystes s’attendent à une confirmation officielle de cette croissance spectaculaire et des ambitions accrues de l’entreprise pour l’année à venir.

L’avenir prometteur de Meta dans l’AR et la XR

Les performances de Reality Labs montrent que Meta a su convaincre le public avec des produits innovants. Quest continue d’être un leader sur le marché XR, tandis que les lunettes Ray-Ban Meta imposent une nouvelle norme en matière de lunettes connectées.

Avec une croissance constante et des projets prometteurs, 2025 pourrait être une année décisive pour l’expansion de Meta dans la réalité virtuelle et augmentée. La prochaine vague d’innovations devrait encore renforcer son influence sur l’industrie technologique.

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Fast Travel Games : L’entité prend une décision difficile après des ventes décevantes en 2024

L’industrie du jeu vidéo, particulièrement la réalité virtuelle, traverse une période difficile. Fast Travel Games, un éditeur réputé dans ce domaine, a annoncé une série de licenciements après des résultats de ventes inférieurs aux attentes. Une décision drastique qui touche 60 % de l’entreprise.

Des ventes décevantes malgré des lancements ambitieux

Fast Travel Games a confirmé que 30 de ses employés, soit près de 60 % de son équipe, seront licenciés. Cette mesure intervient après une année 2024 marquée par des ventes en dessous des prévisions pour six jeux VR lancés par la société. Parmi ces titres, on retrouve des projets ambitieux comme Mannequin, un jeu multijoueur VR, ainsi que Action Hero et Into The Radius. Ce dernier a pourtant enregistré une vente notable de 800 000 exemplaires, dépassant même les attentes pour son portage sur PS VR2.

D’ailleurs, si certains titres comme Into The Radius semblent avoir trouvé un public, cela n’a pas suffi à compenser les résultats décevants des autres jeux. Ainsi, le studio a pris la décision de licencier une grande partie de ses équipes dédiées à l’édition, au marketing et à l’administration. Cette réduction massive des effectifs vise à assurer la stabilité financière de l’entreprise dans un contexte économique incertain.

Des licenciements dans un marché VR en difficulté

La réalité virtuelle est un secteur en pleine croissance, mais il est aussi très fluctuant. Fast Travel Games n’est pas le seul studio à être confronté à des difficultés financières. Effectivement, d’autres entreprises de jeux VR, telles que Soul Assembly, XR Games ou nDreams, ont également dû procéder à des licenciements. La situation semble particulièrement tendue pour les studios de réalité virtuelle en raison d’une baisse de la demande et d’un marché encore jeune.

Ainsi, après cette vague de licenciements de Fast Travel Games, l’entreprise a annoncé une réorganisation interne. Le studio se concentre désormais sur une équipe de développement consolidée afin de relancer son activité et de garantir la production de jeux VR de qualité. Les dirigeants ont souligné que leur priorité restait de soutenir les employés qui quittent l’entreprise et de maintenir un avenir prometteur pour ceux qui restent.

Une année incertaine pour l’industrie du VR

L’annonce de Fast Travel Games s’inscrit dans un contexte globalement difficile pour l’industrie des jeux VR. Effectivement, de plus en plus de studios se retrouvent confrontés à des problèmes financiers à cause d’un marché fluctuants. Si certains jeux réussissent à s’imposer, comme Into The Radius, la majorité des productions peinent à convaincre un public de plus en plus exigeant. Les coûts de production élevés et la concurrence accrue compliquent davantage la situation des studios.

Cependant, Fast Travel Games reste optimiste pour l’avenir. Le studio a confirmé son intention de continuer à développer des jeux VR innovants et de qualité, malgré cette restructuration nécessaire. Leur objectif est de consolider une base solide pour leurs futures productions, tout en cherchant à relancer la dynamique du marché VR.

Un soutien aux employés en période difficile

Dans cette période compliquée, l’entreprise a pris soin de souligner qu’elle s’engageait à soutenir les employés touchés par ces licenciements. Andreas Juliusson, directeur marketing de Fast Travel Games, a insisté sur le fait que les contributions des départs sont inestimables et que le studio fera tout son possible pour leur offrir un accompagnement adapté.

Alors que de nombreux studios de jeux VR sont également confrontés à des difficultés, Fast Travel Games reste déterminé à surmonter cette période de turbulences. Malgré la concurrence accrue et les incertitudes du marché, la société espère pouvoir rebondir et offrir aux joueurs des expériences immersives toujours plus captivantes.

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Meta relance l’AR avec Orion : une révolution qui pourrait bouleverser notre monde


Après des années d’incertitude, la réalité augmentée (AR) connaît un renouveau, principalement grâce à . L’entreprise redonne vie à cette technologie en lançant des lunettes intelligentes et des prototypes AR ambitieux. Cela redéfinit ainsi le marché de l’AR.

Meta redéfinit la réalité augmentée avec ses lunettes innovantes

Le marché des lunettes de réalité augmentée semblait en déclin, surtout après des échecs comme celui de Magic Leap. Cependant, Meta a redonné de l’espoir avec ses lunettes intelligentes Ray-Ban Meta. Ces lunettes ont non seulement suscité un fort engouement, mais ont aussi inauguré une nouvelle ère pour les appareils AR.

En septembre, Meta a également présenté le prototype Orion, des lunettes AR ultra-légères avec un champ de vision de 70 degrés. Orion marque une avancée significative en pesant moins de 100 grammes. De plus, ce dernier offre une qualité d’affichage impressionnante. Ce prototype a mis en lumière le potentiel de l’AR. Cela surpasse d’ailleurs les attentes du marché. Meta prévoit de lancer une version encore plus avancée en 2027, accompagnée de lunettes IA de marque Oakley. Effectivement, cela renforce sa position de leader sur ce marché émergent.

Les concurrents réagissent à l’avance de Meta dans l’AR

Le succès de Meta a certainement rappellé à ses concurrents que l’AR ne doit pas être ignorée. et , deux géants de la technologie, collaborent sur des lunettes AR dotées de fonctionnalités IA similaires à celles des Ray-Ban Meta. Ce partenariat représente une concurrence directe à Meta, qui stimule l’innovation dans le domaine.

Cependant, , qui avait mis ses projets AR en pause, revient progressivement dans la course. Selon des rapports récents, Apple travaille sur un écran spécifique pour ses lunettes AR et développe un système d’exploitation visionOS pour optimiser les fonctionnalités des lunettes. Cette démarche indique qu’Apple pourrait bien rivaliser avec Meta dans un futur proche, notamment avec son Apple .

L’AR en compétition : un marché en pleine expansion

L’engouement croissant pour les lunettes AR et intelligentes témoigne d’un marché en pleine mutation. Meta, Samsung, Google et Apple sont en concurrence directe pour dominer cet espace technologique. La montée en puissance de ces géants de la tech crée une dynamique qui favorisera des percées dans l’innovation AR dans les années à venir.

Pour Meta, l’engagement dans la réalité augmentée est stratégique, d’autant plus qu’il s’ajoute à son univers de réalité virtuelle. Alors qu’Apple Vision Pro et le projet Moohan se profilent, il est clair que la réalité augmentée n’est plus une technologie de niche, mais un domaine d’avenir. Ce regain d’intérêt pourrait transformer l’AR en un secteur clé de l’innovation technologique.

Un avenir prometteur pour l’AR et les lunettes intelligentes

La réalité augmentée est loin d’être un simple gadget technologique. Elle représente un potentiel incroyable pour l’avenir du travail, des loisirs et de l’interaction numérique. Meta, avec ses lunettes intelligentes et ses projets AR, est bien positionnée pour être à l’avant-garde de cette révolution.

L’AR pourrait devenir omniprésente dans notre vie quotidienne, à mesure que les technologies deviennent plus légères, accessibles et performantes. Le futur s’annonce radieux pour ceux qui suivent les évolutions de Meta et de ses concurrents dans le domaine de l’AR.

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Meta Quest : Quand les jeux AAA arriveront-ils enfin en réalité virtuelle ?

Alors que les casques VR gagnent en popularité, une question revient souvent : quand verrons-nous des jeux AAA sur Quest ? Entre défis économiques et limitations techniques, le chemin vers des expériences immersives de haut niveau reste semé d’embûches. Voici un tour d’horizon des enjeux.

Une économie encore fragile pour les jeux AAA en VR

Le développement de jeux AAA en réalité virtuelle fait face à une barrière économique importante. Ces titres coûtent souvent des centaines de millions de dollars à produire, un investissement colossal. Cependant, le marché de la VR reste bien plus restreint que celui des consoles ou des PC. Cette base de consommateurs limitée empêche les studios de rentabiliser de tels projets.

Pour être viable, un jeu AAA VR doit se vendre entre 5 et 10 millions d’exemplaires, un seuil rarement atteint dans ce secteur. En comparaison, les jeux VR atteignant 1 million de ventes sont déjà considérés comme des succès. Les studios indépendants préfèrent donc se concentrer sur des projets de taille moyenne, moins risqués. Ainsi, Meta a lancé des jeux tels que Asgard’s Wrath 2 et Batman : Arkham Shadow, non pas pour des raisons financières, mais pour stimuler les ventes de casques VR, quitte à subir des pertes.

Des contraintes techniques qui freinent les performances

Outre l’aspect économique, les casques autonomes comme le Meta Quest doivent surmonter des limitations matérielles importantes. Contrairement aux consoles et PC, ces casques utilisent des puces de smartphone alimentées par des batteries. Ils doivent également éviter la surchauffe, ce qui limite leurs performances graphiques.

De plus, la majorité des studios optimisent encore leurs jeux pour le Meta , sorti il y a quatre ans. Cela signifie que le plein potentiel des nouvelles générations, comme le Meta , reste inexploité. Toutefois, les progrès sont visibles : les mondes de jeu disponibles aujourd’hui auraient été inimaginables il y a quelques années. Avec l’avènement de technologies comme le cloud gaming, les performances des casques VR pourraient encore s’améliorer dans le futur.

Une évolution progressive mais prometteuse

Malgré ces défis, le marché de la réalité virtuelle continue d’évoluer à un rythme soutenu. Les studios réinvestissent leurs revenus dans des projets plus ambitieux, et les graphismes s’améliorent progressivement. Les nouveaux casques, plus puissants, permettent d’envisager des expériences de jeu plus immersives et détaillées.

Toutefois, il est important de noter que les jeux AAA ne sont pas l’unique voie pour la VR. De nombreux joueurs préfèrent les créations indépendantes, souvent plus originales et innovantes. Ces titres offrent une interaction tactile et intime que les gros blockbusters peinent parfois à reproduire. L’avenir de la VR repose ainsi sur un équilibre entre ces deux types de jeux.

Un avenir en construction pour les jeux AAA en VR

Les jeux AAA sur Meta Quest ne sont pas encore une norme, mais l’industrie est sur la bonne voie. Entre avancées technologiques et ajustements économiques, ces expériences immersives pourraient devenir plus accessibles à l’avenir. En attendant, les joueurs peuvent se réjouir des nombreuses pépites indépendantes qui enrichissent chaque année le catalogue de la VR. L’avenir de cette technologie, bien qu’encore en construction, promet d’être passionnant.

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