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PREVIEW On a testé The Witch’s Bakery

C’est lors de la Paris Games Week 2025 que nous avons retrouvé un petit jeu avec une belle réputation dans la sphère du jeu vidéo indépendant : The Witch’s Bakery. Avec son concept simple, mais original, le jeu se destine à un grand public désireux de vivre une expérience agréable où l’empathie et l’amour sont les moteurs de notre protagoniste, avec aussi beaucoup de viennoiseries. Une aventure à laquelle nous nous sommes prêtés et qui s’est avérée être des plus délicieuses.

Actuellement en développement depuis 2022 et ayant bénéficié d’un très bon financement sur Kickstarter, le jeu est prévu pour une sortie en 2026 sur de nombreuses consoles. C’était donc l’occasion rêvée pour le studio Sunny Lab de faire découvrir son univers inspiré et coloré à encore plus de monde, sous l’égide de l’association Women in Games France. D’autant plus que nous avons eu la chance de croiser Lova, productrice associée, qui nous a parlé avec plaisir de cette création.

The Witch's Bakery : gestion de la boutique
Certains clients sont plus impatients que d’autres.

The Witch’s Bakery possède un concept initial simple : recréer les aventures d’une protagoniste, inspirée par l’œuvre de Miyazaki, Kiki la petite sorcière, mais dans un Paris romancé et avec quelques touches de fantasy. Malgré cette apparente simplicité, l’œuvre aborde tout de même des thèmes puissants, comme la difficulté que peut représenter les émotions, l’empathie envers autrui ou encore l’acceptation de soi. Et pour ce faire, notre jeune sorcière du nom de Lunne possède un don merveilleux : explorer le cœur des gens en les aidant avec ses talents de boulangère.

Durant notre session de test sur PC, nous avons passé une bonne demi-heure à découvrir quelques mécaniques du jeu et l’univers de The Witch’s Bakery, en version française pour l’occasion. Il s’agit d’un univers aussi doux et coloré qu’on pouvait s’y attendre. Les animations et les décors semblent venir tout droit d’une bande dessinée, donnant un style soigné et agréable à regarder. Nous n’avons pas pu aller jusqu’à une scène de découverte d’un palais de cœur, là où les émotions peuvent être rencontrées, mais au vu des trailers, nul doute que cela doit être une belle expérience également.

The Witch's Bakery : découvert d'un palais de cœur
Le jeu invite littéralement à embrasser ses émotions.

Côté gameplay, nous avons surtout découvert les mécaniques de confection et de vente de pains et viennoiseries en tout premier. Il s’agissait là d’un gameplay simple où nous dirigions Lunne à travers sa boutique pour répondre aux besoins des clients. Il faut par exemple préparer la pâte dans l’atelier en appuyant sur les touches au bon moment, ensuite pendant que notre compagnon magique cuit les préparations avec ses pouvoirs de feu, il faut gérer les clients en répondant à leurs commandes, en allant chercher nous-mêmes les produits demandés à leur emplacement spécifiques. Même si le jeu est assez permissif au niveau de la jauge d’impatience des clients, un peu de gestion de ressources est demandée, au risque de voir un client mécontent partir et de manquer l’occasion d’effectuer une vente.

Une fois l’étape boulangerie faite, nous avons arpenté une rue de ce Paris pour découvrir d’autres personnages importants de l’histoire, nous permettant d’en apprendre un peu plus sur cet univers, son fonctionnement, ainsi que sur notre personnage. Nous avons également découvert le système d’aménagement de la boulangerie et des décorations possibles. À priori, cela semblait plus esthétique qu’autre chose, mais l’argent semble par ailleurs servir à accéder à d’autres améliorations de mécaniques, notamment le développement de la magie de Lunne.

The Witch's Bakery : discussion entre les personnages
Chaque rencontre permet d’en apprendre plus sur l’univers du jeu et d’approfondir ses thématiques

Malgré cette bien courte expérience, nous en ressortons tout de même ravis d’avoir pu entrevoir ce que promettait le jeu et surtout l’ambiance promise par son univers. Celle d’une aventure narrative riche en émotions avec beaucoup de belles rencontres à faire.

Selon Sunny Lab, le jeu The Witch’s Bakery possèdera une durée de vie estimée à une quinzaine d’heures. Avec sa difficulté franchement abordable, on estime que le jeu pourrait convenir aussi bien aux amateurs d’œuvres narratives qu’à de purs néophytes en jeu vidéo. Le moment le plus difficile que nous avons rencontré était : faudra-t-il dire chocolatines ou pains au chocolat ? Actuellement, on ignore si un système de journées infinies sera disponible pendant l’aventure ou quand elle sera terminée.

Verdict

Avec son univers cozy et ses mécaniques simples, The Witch’s Bakery semble se destiner surtout aux amateurs d’histoires immersives, voire à ceux qui apprécient à la fois les visual novels et la gestion de commerce. The Witch’s Bakery est une aventure qui promet d’être toujours agréable, peu importe votre expérience de jeu ou vos préférences, du moment que vous vous laissez porter par l’histoire.
Vous pourrez découvrir les aventures de Lunne, la sorcière parisienne, sur PC, PlayStation 5, Xbox Series et Nintendo Switch en 2026.

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PREVIEW On a testé Tiny Metal 2

La licence qui se veut héritière d’Advance Wars fait peau neuve avec de nouveaux graphismes et un gameplay amélioré pour la plus grande joie des amateurs de jeux de stratégie. C’est durant la Paris Games Week 2025 que nous avons été invités à venir tester ce troisième opus de la licence. Une sorte de nouveau départ qui semble être parvenu à combler certaines faiblesses du tout premier Tiny Metal, lui donnant maintenant le potentiel de satisfaire pleinement tous ceux qui cherchent chez cette licence l’expérience ressentie avec Advance Wars.

Avec un premier jeu Tiny Metal sorti en 2017 qui avait peiné à convaincre et un second, nommé Tiny Metal: Full Metal Rumble bien mieux apprécié, le studio de développement Area 35 confirme avoir compris et maîtrisé les forces et les faiblesses de sa licence, proposant maintenant une expérience aussi agréable que superbe.

Tiny Metal 2 Personnages

C’est durant une session qui aura duré une bonne demi-heure durant le salon Paris Games Week 2025 que nous avons pu tester Tiny Metal 2 sur PC. Force est de constater que ce second opus délaisse en partie le style bande dessinée de ses personnages et pâte à modeler de ses véhicules pour une 3D en cell-shading, qui semble tout droit sortie d’un film d’animation. Mais le studio n’oublie pas pour autant ses visuels favoris et ses références. Les plus attentifs remarqueront que certains portraits de personnages et de véhicules bénéficient d’un style en pixel art ou comics des plus agréables, présents dans les menus d’informations.

Aux types de véhicules des jeux précédents qui sillonnaient la terre et le ciel, s’ajoutent maintenant ceux de la mer, ajoutant une nouvelle dimension aux combats avec des étendues d’eau qui seront le champ de bataille de cuirassés et de sous-marins. Un élément qui avait été grandement regretté de la part des fans de jeux de stratégie avec les autres jeux de la licence.

Tiny Metal 2 Combat avec des tanks
Graphisme choupi mais gros boums.

Et qui dit nouveaux véhicules, dit également nouveaux généraux, portant leur nombre à 18 pour Tiny Metal 2. Nous avons pu en tester quelques-uns, dont le tout nouveau Adonis, dont la capacité correspond parfaitement au bellâtre qu’il est, lui permettant de frapper fort tant qu’il reste beau. Nous vous laisserons la surprise de découvrir ce que cela signifie une fois en jeu.

Pour en revenir à notre session de jeu, nous avons testé une partie contre l’antagoniste tout désigné en mode facile et difficile, qui étaient les seuls modes disponibles. Ce qui peut paraître curieux à première vue, mais se justifie en fait par la présence ou non d’un brouillard de guerre, venant masquer les types de bâtiments et d’unités présents sur la carte. Il ne nous a pas semblé avoir remarqué un changement drastique dans l’intelligence artificielle des ennemis ou les dégâts occasionnés lors des affrontements. Mais comme lors d’une véritable guerre, l’information est souvent la clé d’un affrontement et la présence d’un brouillard de guerre accentue drastiquement la difficulté d’un combat.

Tiny Metal 2 combat sur le champ de bataille
Notez qu’avant, les routes étaient réservées aux vélos.

Mais malgré la bonne surprise que constitue ce Tiny Metal 2, avec une animation superbe et un gameplay agréable, il reste tout de même quelques éléments encore assez gênants dans son interface utilisateur. Le premier est le manque d’informations présent sur certains véhicules, comme par exemple leur utilité ou la présence d’un petit descriptif disponible lors de la sélection. Mais cela peut rester anecdotique avec la présence d’un guide disponible dans un menu accessible hors-combat ou avec la présence d’un tutoriel mettant en scène l’utilisation de ces véhicules.

Le second problème selon nous, est le manque d’informations sur la portée des véhicules ennemis. Ceux qui sont bien visibles et hors du brouillard de guerre, évidemment. Il était possible en les sélectionnant de voir lesquels de nos véhicules pouvaient être touchés, mais sans vraiment connaître leur portée théorique, ce qui s’avère bien plus handicapant pour le positionnement de nos propres unités que le premier défaut mentionné.

Verdict

Disons-le sans détour, Tiny Metal 2 semble être un très bon héritier de la licence Advance Wars. Le jeu de stratégie de guerre de Area 35 nous permettra de déployer nos armées à travers le ciel, la terre et la mer pour vivre l’expérience d’un champ de bataille version miniature, mais aux sensations maximales. On espère juste que les quelques défauts remarqués seront bien vite comblés ou rendus anodins par le reste du jeu. En voyant tous les efforts déployés par Area 35 pour apporter du renouveau et leur écoute de la communauté, on ne peut que croire en une œuvre finale de qualité.

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PREVIEW On a testé Onimusha: Way of The Sword

Présenté il y a presque un an, Onimusha: Way of the Sword s’annonce comme un regain de vitalité de la licence prévu pour 2026. Nous avons profité de notre passage à la Paris Games Week 2025 pour tester un échantillon du jeu et voir ce que nous réservait cette nouvelle aventure dans un Japon médiéval tourmenté par les Onis et leurs sombres pouvoirs. Une expérience qui s’est révélée classique, mais diablement efficace.

Ce test présentait les mêmes conditions que lors de la Gamescom 2025. Nous sommes plongés directement au cœur d’une sombre forêt alors que des villageois terrifiés s’échappent dans notre direction pour nous dépasser sans nous jeter le moindre regard. Du moins, pour ceux qui y parviennent, car certains malheureux n’ont pas eu la chance d’échapper aux lames de créatures démoniaques ne montrant aucune pitié pour leurs victimes, offrant là un spectacle des plus sinistres tandis que des nuages de ténèbres s’accumulent au-dessus d’une cité ruinée.

Heureusement pour nous, notre personnage est un samouraï et ne compte pas se laisser faire. L’occasion ici de découvrir un tutoriel qui dévoilera les touches correspondantes aux actions possibles sans que l’action ne s’interrompe. La prise en main de Onimusha: Way of the Sword est intuitive et s’accorde avec les conventions du jeu vidéo d’action. Les touches pour les attaques lourdes, légères, l’esquive, le blocage et le tir à l’arc sont sensiblement les mêmes qu’ailleurs et il n’y a pas de risque de dépaysement. Même l’usage du gant démoniaque, une entité dont le destin semble lié au nôtre, répond presque aux mêmes touches de la manette que tous les autres types de pouvoirs surnaturels que l’on a pu découvrir dans d’autres jeux.

Onimusha: Way of The Sword combat au sabre
Admirez les nombreux effets de particules.

Comme ses prédécesseurs, le jeu ne nous a pas donné l’impression de chercher le réalisme dans ses affrontements ou d’imposer une difficulté aux joueurs. Par exemple, il était tout à fait possible de bloquer les tirs de flèches simplement en maintenant sa garde, limitant ainsi les frictions de gameplay. Les coups que l’on recevait n’étaient pas extrêmement pénalisants et autorisent même les plus novices des jeux d’action une certaine marge d’erreur avant de pouvoir s’approprier la dynamique d’un affrontement.

Par ailleurs, les actions d’esquive et de parade sont assez permissives et la sensation de maîtrise, voire de puissance se ressent facilement. Il était très agréable de voir notre personnage réaliser plusieurs exécutions à la suite. Une sensation soulignée par les très bons effets visuels et sonores de glissement et d’impact de la lame sur les adversaires, en plus de ralentis qui permettent de garder la clarté de l’action tout en offrant un temps de réflexion pour définir nos prochaines actions.

Pour continuer sur les effets visuels, nous avons été agréablement surpris par les graphismes du jeu, avec son utilisation de lumières et de textures, offrant une ambiance immersive. La zone visitée durant cette session était trop grisâtre à notre goût, mais au moins, cela collait avec le sentiment de désespoir et l’impression d’humidité de l’environnement.

Onimusha: Way of The Sword : combat de boss
Un rival qui nous ressemble sur de nombreux points.

Notre session s’est conclue avec un affrontement contre un autre samouraï, possédant lui aussi un gantelet et des pouvoirs d’origines démoniaques. C’est donc un match miroir qui permet de comprendre que si notre adversaire est capable de quelque chose, alors nous aussi. Le combat peut poser quelques difficultés pour les moins expérimentés, mais il reste tout de même agréable à faire tant la dynamique de l’affrontement est bien rythmée.

On peut presque regretter de ne pas avoir rencontré plus d’agressivité de la part de ce boss ou des autres ennemis. Le rythme de certaines de leurs attaques étant bien trop lent pour paraître crédible, s’offrant quasiment à notre lame pour y périr. Mais cela confirme qu’Onimusha: Way of the Sword est un jeu d’action qui mise bien plus sur le spectacle et les sensations que sur la difficulté.

Verdict

Si vous cherchez un jeu d’action semblable à d’autres productions Capcom, telles que les Devil May Cry, ou si vous souhaitez retrouver les sensations des anciens jeux de la licence Onimusha, alors ce prochain jeu Onimusha: Way of the Sword pourrait être votre tasse de thé. Une expérience qui ne sera pas dépaysante, mais toujours agréable avec la promesse d’une grande sensation de puissance à mesure que vous maitriserez les compétences de votre personnage et débloquerez de nouveaux pouvoirs démoniaques, faisant de vous le plus puissant des guerriers. Onimusha: Way of the Sword est prévu pour 2026 sur PS5, Xbox Series et PC.

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Pourquoi Pokémon risque de perdre son conflit juridique contre Palworld

Nouveau rebondissement dans la guerre froide entre les deux licences, Nintendo vient tout juste d’essuyer un coup dur avec le rejet d’un de ses brevets spécialement conçu pour s’assurer l’exclusivité d’une mécanique de capture de créatures de la part du Japan Patent Office (JPO). Une nouvelle surprenante qui pourrait bien devenir une faille majeure dans la défense de Nintendo et capable de changer le paradigme du monde du jeu vidéo actuel.

Cela fait maintenant plus d’un an que le conflit juridique entre Pocketpair et Nintendo continue, notamment sur l’intégration de fonctionnalités dont Pokémon revendique l’appartenance. En septembre 2024, Nintendo et The Pokémon Company ont officiellement entamé une action en justice contre Palworld pour violation de trois brevets déposés la même année. Ces brevets concernaient la capture de monstres à partir d’objets, un système de remise en liberté, ainsi qu’un principe de transition lors de l’utilisation de montures ou de véhicules. Une attaque qui avait forcé Pocketpair à modifier la mise en scène de ses mécaniques.

Ces trois brevets déposés en 2024 sont par ailleurs des dérivés d’autres brevets principaux datant d’avant 2021 et auraient été remis à jour pour lutter spécifiquement contre l’appropriation de mécaniques de jeux dont Nintendo revendique dorénavant l’exclusivité.

Mais un dernier coup de théâtre vient créer la surprise : un de ces brevets n’avait pas encore été approuvé jusqu’à maintenant. Il s’agit du dépôt n°2024-031879, qui concerne des mécaniques de combat impliquant l’utilisation d’objets de capture et la prise en compte d’une jauge chiffrée pour déterminer la réussite d’une action, comme un changement d’état.

Ce brevet déposé par Nintendo et The Pokémon Company pour s’assurer l’exclusivité de ces mécaniques vient d’être rejeté car il ne présentait pas d’innovations particulières ou comme cité dans le document « la présence d’étapes inventives ». Parmi les exemples de jeux cités pour justifier cette décision, on retrouve les mentions de :

  • ARK : Survival Evolved (2015) : pour ses mécaniques de captures et ses combats qui se déclenchent après celles-ci.
  • Monster Hunter 4 : qui possède un principe de pièges et d’objets anesthésiants.
  • Craftopia : un autre jeu de Pocketpair, avec un système de monstres capturables.
  • Kantai Collection : un jeu sur navigateur proposant une jauge de progression lors des combats.
  • Pokémon GO : avec un système de capture et une jauge déterminant sa réussite selon les actions du joueur.

Selon l’examinateur Kazumasa Nakamura, l’article 29(2) du Patent Act japonais mentionne qu’une invention ne peut être brevetée si elle peut être aisément conçue par un professionnel du domaine à partir de travaux existants. Les idées de Nintendo étant considérées comme évidentes pour un développeur compétent, elles ne remplissent pas le critère de « présence d’étapes inventives » et ne sont pas des innovations réelles, comme le soulignait également Pocketpair pour sa défense.

Néanmoins, ce rejet n’est pas définitif. Nintendo possède 60 jours pour faire appel et présenter de nouveaux arguments pour soutenir la validité de ce brevet ou amender sa demande. Si le rejet est confirmé, il sera également possible pour Nintendo de saisir la Cour d’appel spécialisé en propriété intellectuelle.

Malgré ces derniers recours, il s’agit là d’une aubaine qui peut ouvrir de nouvelles possibilités pour Pocketpair, mais aussi pour l’ensemble du monde du jeu vidéo. Désormais, des jeux ont été cités pour argumenter autour de la validation d’un brevet. Il ne s’agit plus seulement de brevets existants qui servent d’objets d’antériorité, mais de exemples concrèts capable de justifier un ressenti dans les mécaniques et de présenter des similarités.

Ce rejet du brevet nᵒ 2024-031879 peut grandement impacter les deux autres brevets de captures (JP7505852 et JP7545191) également liés au système de capture de monstre déposés par Nintendo et The Pokémon Company. Une aubaine que pourrait utiliser Pocketpair pour remettre en question la validité de ces accusations, argumentant que l’utilisation de ces mécaniques de jeu de Palworld ne porte pas atteinte aux droits d’auteur de Nintendo, mais s’appuie sur celles présentes depuis des années dans divers jeux existants d’autres studios.

Palworld se trouve maintenant dans une situation qui pourrait lui devenir avantageuse et ouvrirait la voie à l’apparition de nombreux jeux avec des systèmes similaires à Pokémon, à moins que Nintendo ne parvienne à trouver une nouvelle protection juridique pour assurer sa position.

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Du Battle Royale dans Battlefield 6 ? Sûrement pour la semaine prochaine

Du contenu non prévu pour la saison 1 de Battlefield serait prêt à être prochainement publié lors d’une mise à jour. Selon un dataminer, il pourrait bien s’agir du fameux mode Battle Royale annoncé pour une sortie en dehors du contenu des saisons.

Portant le nom de code Granite, ce contenu supplémentaire a été dévoilé par le compte d’actualités ModernWarzone à partir du datamining de l’application EA. Selon les informations découvertes, il pourrait bien s’agir d’un mode Battle Royale prévu pour ce 28 octobre, le même jour que le début de la saison 1.

BREAKING: A new content drop for Battlefield 6 that is NOT Season 1 codenamed “Granite” with release date of October 28th has been datamined from the EA App. 🗓

Think it’s safe to say this is the BF6 Battle Royale. 🪂

Thanks to @onebattlefield for sending the info over to me 🫡 pic.twitter.com/H3xaZpWmne

— ModernWarzone (@ModernWarzone) October 23, 2025

Pour rappel, c’est un peu plus tôt dans le mois que Battlefield Studios a déclaré qu’un mode de jeu de type Battle Royale serait une des premières intégrations en dehors du contenu des saisons. Sans révéler de date d’intégration au contenu de base.

Il y a beaucoup plus à espérer au-delà de nos campagnes de saisons alors que notre équipe continue d’examiner les données fournies par Battlefield Labs, les commentaires des joueurs et nos idées complètement nouvelles pour l’avenir, en commençant par une nouvelle version passionnante d’un Battle Royale sur Battlefield

Si vous désirez en apprendre plus sur le contenu gratuit de la saison 1 et ses trois vagues prévues pour sortir entre octobre et décembre, découvrez notre article à ce sujet.

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Un plan de départ volontaire est organisé par Ubisoft pour certains de ses studios

Dans la poursuite de son plan pour économiser 100 millions d’euros, Ubisoft restructure les équipes de certains studios, notamment Massive Entertainment, Redlynx ou Ubisoft Stockholm, dans le cadre d’un programme de transition volontaire. Une annonce qui inquiète certains employés.

Publiée ce 22 octobre sur les réseaux sociaux, une annonce sur le compte de Massive Entertainment, le studio suédois derrière les jeux tirés des franchises The Division, Avatar: Frontiers of Pandora et Star Wars Outlaws, a fait réagir les nombreux employés d’Ubisoft.

Voici la traduction : « Dans le cadre de notre évolution continue et de notre planification à long terme, nous avons récemment réorganisé nos équipes et nos ressources afin de renforcer notre feuille de route, maintenant notre focus sur la franchise The Division et les technologies, notamment Snowdrop et Ubisoft Connect, qui font tourner nos jeux. »

« Pour accompagner cette transition de manière responsable, nous avons mis en place un programme de transition de carrière volontaire, offrant aux membres de l’équipe éligibles la possibilité de franchir une nouvelle étape de leur carrière à leur guise, grâce à un ensemble complet d’options incluant une aide financière et un soutien à la réembauche. »

« Massive Entertainment reste pleinement engagé dans sa feuille de route et dans la création d’expériences exceptionnelles pour les joueurs du monde entier, notamment avec The Division 2, The Division 2: Survivors, The Division Resurgence et The Division 3. Ces projets se poursuivent avec force, détermination et ambition, et nous avons hâte d’en partager davantage à l’avenir. »

Selon le Figaro, ce plan de départ restera activé jusqu’au 15 décembre et cible en priorité les salariés en CDI en attente de réaffectations suite à la publication d’un projet, sans qu’un nombre exact ne soit communiqué pour ce studio.

En revanche, ce serait une soixantaine de postes chez Redlynx qui seraient affectés par ce programme de restructuration. Soit environ la moitié des employés du studio finlandais, et ce malgré les négociations avec les syndicats et représentants du personnel. Le but pour Ubisoft est que le studio se recentre sur le développement de jeux pour smartphones. La majeure partie des postes supprimés font parties des milieux de la production et des services administratifs, sans toutefois toucher les équipes techniques en lien avec le moteur de jeu Snowdrop.

La directrice du studio, Celina Pasula, s’exprime à ce sujet :« Nous sommes convaincus qu’avec les changements proposés, RedLynx continuera à jouer un rôle important dans l’avenir d’Ubisoft, en favorisant l’excellence technique sur les appareils mobiles et en renforçant les capacités d’Ubisoft sur ces écrans, et ce afin d’élargir notre audience.»

Selon des syndicats contactés, les studios français d’Ubisoft ne sont pas actuellement concernés par ce vaste plan d’économie engagé par Ubisoft. Même si les inquiétudes sont palpables, étant donné qu’aucun d’eux ne fait partie de Vantage Studios, la nouvelle filiale codétenue par Tencent et dont les studios canadiens, ainsi que Ubisoft Barcelone et Sofia font partie.

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