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États-Unis : Apple va rembourser certains acheteurs des premières Apple Watch suite à un gonflement de batterie

Apple a signé un chèque de 20 millions de dollars afin de régler une action collective concernant les premières générations d’Apple Watch. Celle-ci accuse la Pomme d’avoir vendu une montre sans anticiper le gonflement de la batterie au fil des années, risquant ainsi de casser l’écran et d’autres éléments clefs. Apple réfute les accusations, mais a accepté de payer pour éviter que l’affaire n’aille plus loin.

Une Apple Watch Series 3. Image WatchGeneration

La procédure porte sur l’Apple Watch originelle ainsi que sur la Series 1, 2 et 3. Certains signataires affirment que l’écran s’est complètement détaché du boîtier suite au gonflement de la batterie, là où d’autres expliquent que des composants internes ont été abîmés. Apple a tenu à faire savoir à CNET que ses Apple Watch sont conçues « pour être sûres et fiables ». La marque précise :

Ce règlement s'applique aux acheteurs de l'Apple Watch originale, Series 1, Series 2 et Series 3, qui ne sont plus disponibles à l'achat. Bien que nous ne soyons pas du tout d'accord avec les revendications faites à l'encontre de ces modèles d'Apple Watch, nous avons accepté de conclure un accord afin d'éviter d'autres litiges.

Selon l’accord, Apple va compenser ses clients américains à hauteur de 20 $ par appareil. La Pomme a alloué un budget de 30 millions de dollars à cet effet, dont une bonne partie sera dépensée dans des frais administratifs. Les personnes ayant signé l’action collective recevront automatiquement leur remboursement, tandis que les autres ont jusqu’au 24 février pour se manifester. Des détails ont été mis en ligne sur un site dédié.

États-Unis : Apple va rembourser certains acheteurs des premières Apple Watch suite à un gonflement de batterie

Apple a signé un chèque de 20 millions de dollars afin de régler une action collective concernant les premières générations d’Apple Watch. Celle-ci accuse la Pomme d’avoir vendu une montre sans anticiper le gonflement de la batterie au fil des années, risquant ainsi de casser l’écran et d’autres éléments clefs. Apple réfute les accusations, mais a accepté de payer pour éviter que l’affaire n’aille plus loin.

Une Apple Watch Series 3. Image WatchGeneration

La procédure porte sur l’Apple Watch originelle ainsi que sur la Series 1, 2 et 3. Certains signataires affirment que l’écran s’est complètement détaché du boîtier suite au gonflement de la batterie, là où d’autres expliquent que des composants internes ont été abîmés. Apple a tenu à faire savoir à CNET que ses Apple Watch sont conçues « pour être sûres et fiables ». La marque précise :

Ce règlement s'applique aux acheteurs de l'Apple Watch originale, Series 1, Series 2 et Series 3, qui ne sont plus disponibles à l'achat. Bien que nous ne soyons pas du tout d'accord avec les revendications faites à l'encontre de ces modèles d'Apple Watch, nous avons accepté de conclure un accord afin d'éviter d'autres litiges.

Selon l’accord, Apple va compenser ses clients américains à hauteur de 20 $ par appareil. La Pomme a alloué un budget de 30 millions de dollars à cet effet, dont une bonne partie sera dépensée dans des frais administratifs. Les personnes ayant signé l’action collective recevront automatiquement leur remboursement, tandis que les autres ont jusqu’au 24 février pour se manifester. Des détails ont été mis en ligne sur un site dédié.

Minimal Phone : un téléphone à clavier QWERTY et écran E Ink vendu 399 $

Si vous cherchez à vous détacher un peu de votre iPhone et à déconnecter, le Minimal Phone pourrait être une bonne option : ce téléphone ressemblant à un BlackBerry dispose d’un clavier physique QWERTY et d’un écran E Ink. Tournant sous Android 14, cet appareil a été initialement lancé sur IndieGogo au début 2024. Les premiers colis ont commencé à être expédiés, et une vidéo de prise en main a été mise en ligne.

Écran E Ink oblige, la dalle 4:3 est en noir et blanc et affiche une résolution de 600 x 800 px. Comptez 230 pixels par pouce, soit environ la moitié de ce que l’on trouve sur un iPhone 16 Pro Max. Le processeur n’est pas un foudre de guerre, mais l’appareil embarque tout de même 128 Go de stockage pour garder vos livres, apps et autres albums. Un appareil photo est disponible avec un objectif 16 Mpx, tandis qu’on pourra prendre des selfies à l’aide de la caméra frontale 5 Mpx.

Côté connectivité, on retrouve du NFC, du Wi-Fi 5 et un GPS. Un capteur d’empreinte est proposé, en plus d’un emplacement double SIM et d’un port jack. Le produit peut être rechargé en USB-C ou sur un chargeur Qi. Rien n’a été annoncé sur l’autonomie, mais on peut imaginer qu’elle sera plus élevée que celle d’un smartphone standard grâce à l’écran E Ink moins énergivore qu’une dalle OLED ou LCD.

Image : Minimal Company

Deux versions peuvent être précommandées sur le site de Minimal Company : une avec 6 Go de RAM et 128 Go de stockage pour 399 $, et une seconde avec 8/256 Go pour 499 $. Trois coloris sont proposés, à savoir noir, blanc ou un mélange des deux. La livraison est gratuite, mais il faudra compter 100 $ de taxes pour une livraison en France. La FAQ indique que les colis arriveront d’ici la mi-mars.

Minimal Phone : un téléphone à clavier QWERTY et écran E Ink vendu 399 $

Si vous cherchez à vous détacher un peu de votre iPhone et à déconnecter, le Minimal Phone pourrait être une bonne option : ce téléphone ressemblant à un BlackBerry dispose d’un clavier physique QWERTY et d’un écran E Ink. Tournant sous Android 14, cet appareil a été initialement lancé sur IndieGogo au début 2024. Les premiers colis ont commencé à être expédiés, et une vidéo de prise en main a été mise en ligne.

Écran E Ink oblige, la dalle 4:3 est en noir et blanc et affiche une résolution de 600 x 800 px. Comptez 230 pixels par pouce, soit environ la moitié de ce que l’on trouve sur un iPhone 16 Pro Max. Le processeur n’est pas un foudre de guerre, mais l’appareil embarque tout de même 128 Go de stockage pour garder vos livres, apps et autres albums. Un appareil photo est disponible avec un objectif 16 Mpx, tandis qu’on pourra prendre des selfies à l’aide de la caméra frontale 5 Mpx.

Côté connectivité, on retrouve du NFC, du Wi-Fi 5 et un GPS. Un capteur d’empreinte est proposé, en plus d’un emplacement double SIM et d’un port jack. Le produit peut être rechargé en USB-C ou sur un chargeur Qi. Rien n’a été annoncé sur l’autonomie, mais on peut imaginer qu’elle sera plus élevée que celle d’un smartphone standard grâce à l’écran E Ink moins énergivore qu’une dalle OLED ou LCD.

Image : Minimal Company

Deux versions peuvent être précommandées sur le site de Minimal Company : une avec 6 Go de RAM et 128 Go de stockage pour 399 $, et une seconde avec 8/256 Go pour 499 $. Trois coloris sont proposés, à savoir noir, blanc ou un mélange des deux. La livraison est gratuite, mais il faudra compter 100 $ de taxes pour une livraison en France. La FAQ indique que les colis arriveront d’ici la mi-mars.

NordVPN veut simplifier la connexion à son service sur les réseaux bloquant les VPN

NordVPN a présenté une nouvelle fonction qui devrait permettre de se connecter plus facilement à son service sur les réseaux cherchant à bloquer les VPN, comme certains Wi-Fi publics de cafés, de bibliothèques ou d’aéroports. Baptisée NordWhisper, celle-ci se base sur un tunnel « fonctionnant d’une manière différente des protocoles traditionnels comme OPenVPN ou WireGuard ». La fonction pourra également être bien pratique dans les pays faisant la chasse à de tels services.

L’entreprise explique que la plupart des protocoles VPN ont différentes caractéristiques (signatures, comportements…) les rendant faciles à détecter pour les administrateurs réseau, qui peuvent les bloquer. Ce nouveau protocole devrait être plus difficile à dénicher, ce qui donnera une expérience de navigation « plus fluide et plus cohérente » à l’utilisateur.

NordWhisper pourra être activé dans les réglages de connexion de l’app NordVPN. Attention, car ce nouveau protocole n’est pas optimal : il peut être plus lent que les autres. Il n’est donc pas nécessaire de l’activer tout le temps. L’entreprise explique qu’elle va faire en sorte de le rendre plus rapide au fil de l’eau.

Cette nouveauté n’arrivera pas sur les plateformes Apple avant quelque temps : NordVPN indique vouloir tout d’abord la proposer sur Windows, Android et Linux. Le déploiement va se faire graduellement, et d’autres plateformes arriveront par la suite.

NordVPN veut simplifier la connexion à son service sur les réseaux bloquant les VPN

NordVPN a présenté une nouvelle fonction qui devrait permettre de se connecter plus facilement à son service sur les réseaux cherchant à bloquer les VPN, comme certains Wi-Fi publics de cafés, de bibliothèques ou d’aéroports. Baptisée NordWhisper, celle-ci se base sur un tunnel « fonctionnant d’une manière différente des protocoles traditionnels comme OPenVPN ou WireGuard ». La fonction pourra également être bien pratique dans les pays faisant la chasse à de tels services.

L’entreprise explique que la plupart des protocoles VPN ont différentes caractéristiques (signatures, comportements…) les rendant faciles à détecter pour les administrateurs réseau, qui peuvent les bloquer. Ce nouveau protocole devrait être plus difficile à dénicher, ce qui donnera une expérience de navigation « plus fluide et plus cohérente » à l’utilisateur.

NordWhisper pourra être activé dans les réglages de connexion de l’app NordVPN. Attention, car ce nouveau protocole n’est pas optimal : il peut être plus lent que les autres. Il n’est donc pas nécessaire de l’activer tout le temps. L’entreprise explique qu’elle va faire en sorte de le rendre plus rapide au fil de l’eau.

Cette nouveauté n’arrivera pas sur les plateformes Apple avant quelque temps : NordVPN indique vouloir tout d’abord la proposer sur Windows, Android et Linux. Le déploiement va se faire graduellement, et d’autres plateformes arriveront par la suite.

Orange commence à démanteler son réseau ADSL en France

C’est le début de la fin pour l’ADSL en France. Orange a commencé les travaux visant à mettre au rebut ce réseau historique : pas moins de 162 communes et 210 000 locaux vont être débranchés à partir d'aujourd’hui. L’idée est évidemment de mettre l’accent sur la fibre optique, de plus en plus implantée. 829 communes seront déconnectées en janvier 2026, puis 2 150 au début 2027. L’objectif est d’abandonner totalement l’ADSL d’ici 2030. La liste des villes concernées par cette première vague est disponible sur le site d’Orange.

Image Orange

L’abandon de l’ADSL avait été annoncé par Orange en 2019 face à la montée en puissance de la fibre. 9 Français sur 10 sont raccordables tandis que quasiment 3/4 des foyers y sont déjà connectés. Si les habitants des communes concernées ont logiquement été préparés à cette migration forcée, l’opérateur a travaillé avec les maires pour identifier les lignes ADSL restantes et assurer une transition sans accrocs. « Personne ne sera laissé sur la route », a déclaré le patron d’Orange France auprès du Figaro.

Évidemment, quelques-uns ont tout de même été laissés sur le carreau. Orange estime que moins de 7 000 accès sur les 210 000 foyers débranchés n’avaient pas pris les mesures nécessaires. L’opérateur nuance en affirmant qu’il s’agit pour la plupart de locaux inactifs ou de gens en pleine migration. Il n’était plus possible de prendre une ligne ADSL depuis un an dans les villes concernées, et la fermeture du réseau cuivre ne peut pas être enclenchée dans une zone où la fibre n’a pas été déployée complètement.

Orange a tout intérêt à initier ce chantier. Premièrement, les abonnements aux offres ADSL sont en chutes libres. « Nous avons perdu 20 % d’abonnés sur le cuivre en un an. C’est un réseau de 1 million de kilomètres qui s’endort », a déclaré la directrice générale d’Orange. Deuxièmement, la fibre a l’avantage d’être plus économe tout en étant moins sensible aux perturbations électroniques. Troisièmement, le cuivre peut être recyclé et revendu à bon prix : Orange espère réussir à compenser le coût des travaux à la revente. L’intérêt écologique de l’opération est également évident.

Ce plan de démantèlement va continuer sur les prochaines années, Orange s’occupant de démonter les poteaux, câbles et autres armoires techniques devenus obsolètes. L’opérateur va devoir travailler minutieusement pour éviter les plaintes des retardataires. Il compte bien sur ses concurrents pour faire la retape de la fibre, SFR et consorts lui payant une commission pour l’utilisation de son réseau cuivre. « Nous avons besoin des élus locaux, l’État aussi a son rôle à jouer », ajoute la directrice générale d’Orange.

Orange commence à démanteler son réseau ADSL en France

C’est le début de la fin pour l’ADSL en France. Orange a commencé les travaux visant à mettre au rebut ce réseau historique : pas moins de 162 communes et 210 000 locaux vont être débranchés à partir d'aujourd’hui. L’idée est évidemment de mettre l’accent sur la fibre optique, de plus en plus implantée. 829 communes seront déconnectées en janvier 2026, puis 2 150 au début 2027. L’objectif est d’abandonner totalement l’ADSL d’ici 2030. La liste des villes concernées par cette première vague est disponible sur le site d’Orange.

Image Orange

L’abandon de l’ADSL avait été annoncé par Orange en 2019 face à la montée en puissance de la fibre. 9 Français sur 10 sont raccordables tandis que quasiment 3/4 des foyers y sont déjà connectés. Si les habitants des communes concernées ont logiquement été préparés à cette migration forcée, l’opérateur a travaillé avec les maires pour identifier les lignes ADSL restantes et assurer une transition sans accrocs. « Personne ne sera laissé sur la route », a déclaré le patron d’Orange France auprès du Figaro.

Évidemment, quelques-uns ont tout de même été laissés sur le carreau. Orange estime que moins de 7 000 accès sur les 210 000 foyers débranchés n’avaient pas pris les mesures nécessaires. L’opérateur nuance en affirmant qu’il s’agit pour la plupart de locaux inactifs ou de gens en pleine migration. Il n’était plus possible de prendre une ligne ADSL depuis un an dans les villes concernées, et la fermeture du réseau cuivre ne peut pas être enclenchée dans une zone où la fibre n’a pas été déployée complètement.

Orange a tout intérêt à initier ce chantier. Premièrement, les abonnements aux offres ADSL sont en chutes libres. « Nous avons perdu 20 % d’abonnés sur le cuivre en un an. C’est un réseau de 1 million de kilomètres qui s’endort », a déclaré la directrice générale d’Orange. Deuxièmement, la fibre a l’avantage d’être plus économe tout en étant moins sensible aux perturbations électroniques. Troisièmement, le cuivre peut être recyclé et revendu à bon prix : Orange espère réussir à compenser le coût des travaux à la revente. L’intérêt écologique de l’opération est également évident.

Ce plan de démantèlement va continuer sur les prochaines années, Orange s’occupant de démonter les poteaux, câbles et autres armoires techniques devenus obsolètes. L’opérateur va devoir travailler minutieusement pour éviter les plaintes des retardataires. Il compte bien sur ses concurrents pour faire la retape de la fibre, SFR et consorts lui payant une commission pour l’utilisation de son réseau cuivre. « Nous avons besoin des élus locaux, l’État aussi a son rôle à jouer », ajoute la directrice générale d’Orange.

Meta a vendu plus d’un million de lunettes connectées en 2024

Les ventes de Meta Ray-Ban se portent bien : l’entreprise en a vendu plus d’un million de paires en 2024. La bonne nouvelle a été donnée à l’occasion d’une réunion interne dont le contenu a été révélé par The Verge. C’est la première fois que Meta partage des chiffres sur ce produit. En comparaison, la version précédente (les Ray-Ban Stories) n’avait pas passé le cap des 300 000 ventes sur 16 mois.

Image WatchGeneraiton

Quelques indices montraient que les ventes se portent bien : ces lunettes seraient le produit le plus vendu de nombreux magasins Ray-Ban, tandis que Meta a annoncé la prolongation de son partenariat avec EssilorLuxottica. Si on ne sait pas comment Meta et Ray-Ban se partagent les recettes, cette bonne dynamique fait pousser des ailes à Mark Zuckerberg. Il estime que la prochaine version devrait encore plus cartonner :

De nombreux produits à succès ont atteint 5 à 10 millions d'unités lors de leur troisième génération. Je pense donc que l'une des questions qui se posent à nous est la suivante : allons-nous passer d'un million cette année à deux millions ? Allons-nous passer de 1 million à 5 millions ?

La feuille de route du fabricant est bien remplie. Selon les rumeurs, une nouvelle paire en partenariat avec Oakley et destinée aux sportifs devrait arriver dans l’année. Une autre version avec un écran intégré affichant des notifications et diverses informations serait aussi en chemin pour 2025. Meta aurait également prévu une montre, et plancherait sur des écouteurs.

Meta préparerait des lunettes avec Oakley et voudrait se lancer sur le marché des montres

Meta préparerait des lunettes avec Oakley et voudrait se lancer sur le marché des montres

Mark Zuckerberg reste conscient que la concurrence l’attend au tournant, et voit venir de premiers adversaires dans le courant de l’année et en 2026. « Nous disposons d'un champ d'action très ouvert pour introduire le plus grand nombre possible de personnes aux lunettes Meta AI et nous devrions saisir cette opportunité », a-t-il déclaré. La marque Solos a déjà présenté une alternative intégrant ChatGPT, tandis que Samsung travaillerait sur des lunettes similaires.

Meta a vendu plus d’un million de lunettes connectées en 2024

Les ventes de Meta Ray-Ban se portent bien : l’entreprise en a vendu plus d’un million de paires en 2024. La bonne nouvelle a été donnée à l’occasion d’une réunion interne dont le contenu a été révélé par The Verge. C’est la première fois que Meta partage des chiffres sur ce produit. En comparaison, la version précédente (les Ray-Ban Stories) n’avait pas passé le cap des 300 000 ventes sur 16 mois.

Image WatchGeneraiton

Quelques indices montraient que les ventes se portent bien : ces lunettes seraient le produit le plus vendu de nombreux magasins Ray-Ban, tandis que Meta a annoncé la prolongation de son partenariat avec EssilorLuxottica. Si on ne sait pas comment Meta et Ray-Ban se partagent les recettes, cette bonne dynamique fait pousser des ailes à Mark Zuckerberg. Il estime que la prochaine version devrait encore plus cartonner :

De nombreux produits à succès ont atteint 5 à 10 millions d'unités lors de leur troisième génération. Je pense donc que l'une des questions qui se posent à nous est la suivante : allons-nous passer d'un million cette année à deux millions ? Allons-nous passer de 1 million à 5 millions ?

La feuille de route du fabricant est bien remplie. Selon les rumeurs, une nouvelle paire en partenariat avec Oakley et destinée aux sportifs devrait arriver dans l’année. Une autre version avec un écran intégré affichant des notifications et diverses informations serait aussi en chemin pour 2025. Meta aurait également prévu une montre, et plancherait sur des écouteurs.

Meta préparerait des lunettes avec Oakley et voudrait se lancer sur le marché des montres

Meta préparerait des lunettes avec Oakley et voudrait se lancer sur le marché des montres

Mark Zuckerberg reste conscient que la concurrence l’attend au tournant, et voit venir de premiers adversaires dans le courant de l’année et en 2026. « Nous disposons d'un champ d'action très ouvert pour introduire le plus grand nombre possible de personnes aux lunettes Meta AI et nous devrions saisir cette opportunité », a-t-il déclaré. La marque Solos a déjà présenté une alternative intégrant ChatGPT, tandis que Samsung travaillerait sur des lunettes similaires.

Tim Cook voit encore « beaucoup d'innovations » possibles pour les prochains iPhone

Ennuyeux, l’iPhone ? Tim Cook voit encore une grande marge d’innovation pour son produit phare. Interrogé sur le futur du téléphone et sur de potentiels changements de formats lors de la présentation de ses derniers résultats trimestriels, le CEO a laissé sous-entendre du neuf. « Je pense qu'il y a encore beaucoup à venir et je ne pourrais pas être plus optimiste quant à notre pipeline de produits », a-t-il déclaré.

iPad Pro M4 et iPod nano, les deux appareils les plus fins d’Apple à ce jour. Image iGeneration.

Le design de l’iPhone n’a pas drastiquement évolué ces dernières années. Si Apple réduit les bordures et joue avec les matériaux, l’iPhone 16 Pro n’est pas si différent que cela d’un iPhone 12 Pro. En face, la concurrence comme Samsung tente de se renouveler en s’intéressant par exemple au domaine des écrans pliables. « Je pense qu'il y a encore beaucoup d'innovation dans les smartphones », a déclaré Tim Cook.

Le CEO fait peut-être référence au mystérieux iPhone Air que voient venir les rumeurs pour cette année. Ce nouveau smartphone ferait le pari de la finesse, quitte à rogner sur les performances ou la partie photo. On devrait ainsi faire une croix sur le téléobjectif et sur un haut-parleur. En contrepartie, l’appareil ne ferait qu’entre 5 et 6 mm d’épaisseur. On se rapprocherait ainsi des iPhone 6 et iPhone 6 Plus, les modèles les plus fins à ce jour (6,9 mm et 7,1 mm).

Si Apple a toujours cherché à faire des produits fins, les iPad Pro sortis l’année dernière ont marqué un nouvel élan dans cette démarche. Avec ses 5,1 mm, le modèle 13" est devenu le produit Apple le plus fin, plus fin encore que l’iPod nano. Pas de quoi faire grimper les ventes : Tim Cook a confirmé que c’était l’iPad et l’iPad Air qui étaient responsables d’une croissance de 15 % au dernier trimestre. De son côté, LG Display aurait réajusté ses lignes de production face à la faible demande de tablettes haut de gamme.

Tim Cook voit encore « beaucoup d'innovations » possibles pour les prochains iPhone

Ennuyeux, l’iPhone ? Tim Cook voit encore une grande marge d’innovation pour son produit phare. Interrogé sur le futur du téléphone et sur de potentiels changements de formats lors de la présentation de ses derniers résultats trimestriels, le CEO a laissé sous-entendre du neuf. « Je pense qu'il y a encore beaucoup à venir et je ne pourrais pas être plus optimiste quant à notre pipeline de produits », a-t-il déclaré.

iPad Pro M4 et iPod nano, les deux appareils les plus fins d’Apple à ce jour. Image iGeneration.

Le design de l’iPhone n’a pas drastiquement évolué ces dernières années. Si Apple réduit les bordures et joue avec les matériaux, l’iPhone 16 Pro n’est pas si différent que cela d’un iPhone 12 Pro. En face, la concurrence comme Samsung tente de se renouveler en s’intéressant par exemple au domaine des écrans pliables. « Je pense qu'il y a encore beaucoup d'innovation dans les smartphones », a déclaré Tim Cook.

Le CEO fait peut-être référence au mystérieux iPhone Air que voient venir les rumeurs pour cette année. Ce nouveau smartphone ferait le pari de la finesse, quitte à rogner sur les performances ou la partie photo. On devrait ainsi faire une croix sur le téléobjectif et sur un haut-parleur. En contrepartie, l’appareil ne ferait qu’entre 5 et 6 mm d’épaisseur. On se rapprocherait ainsi des iPhone 6 et iPhone 6 Plus, les modèles les plus fins à ce jour (6,9 mm et 7,1 mm).

Si Apple a toujours cherché à faire des produits fins, les iPad Pro sortis l’année dernière ont marqué un nouvel élan dans cette démarche. Avec ses 5,1 mm, le modèle 13" est devenu le produit Apple le plus fin, plus fin encore que l’iPod nano. Pas de quoi faire grimper les ventes : Tim Cook a confirmé que c’était l’iPad et l’iPad Air qui étaient responsables d’une croissance de 15 % au dernier trimestre. De son côté, LG Display aurait réajusté ses lignes de production face à la faible demande de tablettes haut de gamme.

Promo : 6 mois d’Apple Music à 2,99 € pour les nouveaux abonnés

Cupertino vient de lancer une nouvelle offre permettant de profiter d’Apple Music à un tarif avantageux : la plateforme propose 6 mois à seulement 2,99 € « pour tout nouvel abonnement ». La promo est en place jusqu’au 27 février et est à aller chercher sur une nouvelle bannière apparaissent tout en haut de la page dédiée au service. Vous pouvez sinon cliquer sur ce lien pour en profiter.

Apple précise que l’offre concerne « les nouveaux abonne­ments éligibles sur des appa­reils éligibles » et qu’elle n’est pas disponible pour les comptes pouvant avoir l’offre d’essai gratuit pendant 3 mois. C’est comme toujours un peu nébuleux, et le mieux reste de cliquer sur le lien de la campagne pour savoir si vous pouvez en profiter. Je me suis par exemple vu proposer une offre 3 mois pour 11 € sur un compte ayant disposé d’un essai gratuit il y a peu.

L’abonnement sera automatiquement reconduit au tarif mensuel de 10,99 € par mois à la fin juillet. Si vous n’êtes pas éligible, notons qu’il existe différentes astuces pour récupérer des mois Apple Music gratuit. Une bannière dans les paramètres de Shazam permet d’essayer le service, et les anciens abonnés peuvent parfois profiter de certaines promos alors qu’Apple affirme le contraire.

Promo : 6 mois d’Apple Music à 2,99 € pour les nouveaux abonnés

Cupertino vient de lancer une nouvelle offre permettant de profiter d’Apple Music à un tarif avantageux : la plateforme propose 6 mois à seulement 2,99 € « pour tout nouvel abonnement ». La promo est en place jusqu’au 27 février et est à aller chercher sur une nouvelle bannière apparaissent tout en haut de la page dédiée au service. Vous pouvez sinon cliquer sur ce lien pour en profiter.

Apple précise que l’offre concerne « les nouveaux abonne­ments éligibles sur des appa­reils éligibles » et qu’elle n’est pas disponible pour les comptes pouvant avoir l’offre d’essai gratuit pendant 3 mois. C’est comme toujours un peu nébuleux, et le mieux reste de cliquer sur le lien de la campagne pour savoir si vous pouvez en profiter. Je me suis par exemple vu proposer une offre 3 mois pour 11 € sur un compte ayant disposé d’un essai gratuit il y a peu.

L’abonnement sera automatiquement reconduit au tarif mensuel de 10,99 € par mois à la fin juillet. Si vous n’êtes pas éligible, notons qu’il existe différentes astuces pour récupérer des mois Apple Music gratuit. Une bannière dans les paramètres de Shazam permet d’essayer le service, et les anciens abonnés peuvent parfois profiter de certaines promos alors qu’Apple affirme le contraire.

Payer son ticket avec sa carte bancaire dans les transports parisiens, ce n’est pas pour demain

Le système permettant de payer son ticket de métro en passant simplement sa carte bancaire sur le valideur n’arrivera pas tout de suite à Paris. Les utilisateurs du réseau RATP doivent actuellement acheter des titres de transport via l’app Cartes sur leur iPhone : impossible de directement payer avec sa carte bancaire ou sa CB Apple Pay comme cela se fait dans d’autres grandes villes. Un tel système serait compliqué à mettre en place en région parisienne selon le directeur général d’Île-de-France Mobilités. Il estime qu’il faudrait pour cela « changer les 10 000 valideurs de la RATP ».

Il est possible de payer avec sa carte bancaire via Apple Pay dans le métro lyonnais.

Si l’iPhone prend en charge la carte Navigo depuis le printemps 2024, il est nécessaire d’acheter des tickets depuis l’app Cartes avant de s’approcher du portique. Ceux-ci sont ensuite stockés sur le téléphone et utilisés à chaque trajet. C’est un système différent de celui de Lyon ou de Londres, pour ne citer que deux villes, où l’on peut valider un trajet en payant avec Apple Pay de la même manière que l’on règle un achat en boutique.

Apple Pay Transport express : les réseaux de transport en commun où vous pouvez valider instantanément votre trajet

Apple Pay Transport express : les réseaux de transport en commun où vous pouvez valider instantanément votre trajet

Le système est plus pratique pour les utilisateurs occasionnels, mais demanderait des changements techniques. Interrogé sur le sujet par Le Monde, le directeur général d’IDFM Laurent Probst se dit prêt à lancer une étude, mais redoute une dépense « d’au moins 100 millions d’euros ».

En attendant, IDFM va continuer de perfectionner le dispositif en place. Le pass Navigo Liberté+, qui permet de payer ses trajets à l’unité avec des tarifs réduits et sans engagement, devrait être proposé sur les iPhone et les smartphones Android au printemps 2025. Le forfait Navigo annuel ne sera disponible sur iPhone que fin 2025.

Payer son ticket avec sa carte bancaire dans les transports parisiens, ce n’est pas pour demain

Le système permettant de payer son ticket de métro en passant simplement sa carte bancaire sur le valideur n’arrivera pas tout de suite à Paris. Les utilisateurs du réseau RATP doivent actuellement acheter des titres de transport via l’app Cartes sur leur iPhone : impossible de directement payer avec sa carte bancaire ou sa CB Apple Pay comme cela se fait dans d’autres grandes villes. Un tel système serait compliqué à mettre en place en région parisienne selon le directeur général d’Île-de-France Mobilités. Il estime qu’il faudrait pour cela « changer les 10 000 valideurs de la RATP ».

Il est possible de payer avec sa carte bancaire via Apple Pay dans le métro lyonnais.

Si l’iPhone prend en charge la carte Navigo depuis le printemps 2024, il est nécessaire d’acheter des tickets depuis l’app Cartes avant de s’approcher du portique. Ceux-ci sont ensuite stockés sur le téléphone et utilisés à chaque trajet. C’est un système différent de celui de Lyon ou de Londres, pour ne citer que deux villes, où l’on peut valider un trajet en payant avec Apple Pay de la même manière que l’on règle un achat en boutique.

Apple Pay Transport express : les réseaux de transport en commun où vous pouvez valider instantanément votre trajet

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Le système est plus pratique pour les utilisateurs occasionnels, mais demanderait des changements techniques. Interrogé sur le sujet par Le Monde, le directeur général d’IDFM Laurent Probst se dit prêt à lancer une étude, mais redoute une dépense « d’au moins 100 millions d’euros ».

En attendant, IDFM va continuer de perfectionner le dispositif en place. Le pass Navigo Liberté+, qui permet de payer ses trajets à l’unité avec des tarifs réduits et sans engagement, devrait être proposé sur les iPhone et les smartphones Android au printemps 2025. Le forfait Navigo annuel ne sera disponible sur iPhone que fin 2025.

Le fondateur de TSMC explique pourquoi Apple a abandonné Intel

Bien qu’il ait maintenant plus de 93 ans, le fondateur de TSMC est toujours en forme et a récemment accordé une interview de 2 heures en anglais à la chaîne Acquired. L’occasion d’en apprendre un peu plus sur la relation entre le fondeur et Apple, mais aussi sur ce que TSMC et Cupertino pensent d’Intel.

Morris Chang explique qu’au début de l’année 2011, Intel a approché Apple pour lui demander de devenir le principal fournisseur de puces d’iPhone : une démarche qui a mis les négociations avec TSMC en pause. De passage en Californie, le CEO taïwanais est allé rencontrer Tim Cook au QG d’Apple pour faire le point. Ce dernier aurait repoussé l’hypothèse Intel, déclarant que l’entreprise ne savait « tout simplement pas comment être une fonderie ». Une réponse satisfaisante aux oreilles de Morris Chang, qui en profite pour tacler à son tour son adversaire américain :

Je connaissais beaucoup de clients d'Intel à Taiwan, vous savez tous les fabricants de PC qui sont des clients d'Intel : aucun d'entre eux n'aimait Intel. Aucun. Ils ont toujours agi comme s'ils étaient les seuls à pouvoir produire des microprocesseurs.

Pour lui, son entreprise a réussi à devancer Intel grâce à une avance technologique, mais aussi en gagnant la confiance de ses partenaires. « Lorsque le client demande beaucoup de choses, nous avons appris à répondre à chaque demande », explique-t-il. « Certaines demandes étaient folles, d'autres irrationnelles, mais nous répondons à chacune d’entre elles avec courtoisie. Intel n'a jamais fait cela ». Samsung a produit les puces des premiers iPhone et iPad, et l’arrivée de TSMC s’est concrétisée à partir de l’A8 de l’iPhone 6. TSMC est connue pour se plier en 4 pour ses clients et avait investi massivement pour que son premier partenariat avec Apple soit un succès.

La suite, on la connait : la situation d’Intel ne s’est pas améliorée, et Apple a fini par l’abandonner pour passer sur des puces ARM fabriquées par TSMC pour ses Mac. Le fondeur américain a vécu une année 2024 très compliquée marquée par des licenciements et le départ surprise de son CEO Pat Gelsinger. Arrivé en poste en 2021, celui-ci avait demandé à ce qu’une partie des derniers processeurs Intel soient d’ailleurs produits par… TSMC.

Le fondateur de TSMC explique pourquoi Apple a abandonné Intel

Bien qu’il ait maintenant plus de 93 ans, le fondateur de TSMC est toujours en forme et a récemment accordé une interview de 2 heures en anglais à la chaîne Acquired. L’occasion d’en apprendre un peu plus sur la relation entre le fondeur et Apple, mais aussi sur ce que TSMC et Cupertino pensent d’Intel.

Morris Chang explique qu’au début de l’année 2011, Intel a approché Apple pour lui demander de devenir le principal fournisseur de puces d’iPhone : une démarche qui a mis les négociations avec TSMC en pause. De passage en Californie, le CEO taïwanais est allé rencontrer Tim Cook au QG d’Apple pour faire le point. Ce dernier aurait repoussé l’hypothèse Intel, déclarant que l’entreprise ne savait « tout simplement pas comment être une fonderie ». Une réponse satisfaisante aux oreilles de Morris Chang, qui en profite pour tacler à son tour son adversaire américain :

Je connaissais beaucoup de clients d'Intel à Taiwan, vous savez tous les fabricants de PC qui sont des clients d'Intel : aucun d'entre eux n'aimait Intel. Aucun. Ils ont toujours agi comme s'ils étaient les seuls à pouvoir produire des microprocesseurs.

Pour lui, son entreprise a réussi à devancer Intel grâce à une avance technologique, mais aussi en gagnant la confiance de ses partenaires. « Lorsque le client demande beaucoup de choses, nous avons appris à répondre à chaque demande », explique-t-il. « Certaines demandes étaient folles, d'autres irrationnelles, mais nous répondons à chacune d’entre elles avec courtoisie. Intel n'a jamais fait cela ». Samsung a produit les puces des premiers iPhone et iPad, et l’arrivée de TSMC s’est concrétisée à partir de l’A8 de l’iPhone 6. TSMC est connue pour se plier en 4 pour ses clients et avait investi massivement pour que son premier partenariat avec Apple soit un succès.

La suite, on la connait : la situation d’Intel ne s’est pas améliorée, et Apple a fini par l’abandonner pour passer sur des puces ARM fabriquées par TSMC pour ses Mac. Le fondeur américain a vécu une année 2024 très compliquée marquée par des licenciements et le départ surprise de son CEO Pat Gelsinger. Arrivé en poste en 2021, celui-ci avait demandé à ce qu’une partie des derniers processeurs Intel soient d’ailleurs produits par… TSMC.

Le dernier défilé Jacquemus a été entièrement filmé à l’iPhone 16 Pro Max

La marque de mode Jacquemus a fait parler d’elle lors du keynote de rentrée d’Apple : le compte Instagram de la marque avait indiqué être présent à l’Apple Park, ce qui n’avait pas manqué de faire naître quelques rumeurs. Allait-on découvrir une Apple Watch Jacquemus en plus des habituels modèles Hermès ? Si rien n’a été annoncé ce matin-là, un partenariat a tout de même été signé. Le dernier défilé du créateur intitulé « La croisière » a été entièrement filmé à l’iPhone 16 Pro Max.

Le défilé a eu lieu dans l’ancien appartement de l’architecte Auguste Perret, au look Art déco et disposant d’une vue à 360° sur Paris. Petite taille du lieu oblige, le défilé s'est fait en présence de seulement 45 invités. « Je voulais que ce soit presque comme une présentation, [les invités] sentiront les robes lorsque les mannequins passeront devant eux », a déclaré le créateur à Vogue. Il ajoute que l’iPhone a toujours eu une place importante pour sa marque :

Jacquemus, la marque, s'est construite sur l'iPhone. Si vous vous souvenez de mes débuts, je partageais des photos de mon showroom, de mon meilleur ami, de mes spectacles. Je prenais des photos avec mon iPhone et c'était un moyen très facile d'interagir avec mon public ; j'ai donc eu l'idée de filmer l'émission avec des iPhone, sans humains [cadreurs].

Pour la diffusion sur les réseaux sociaux, 17 téléphones ont été placés dans l’appartement. Simon Porte Jacquemus estime que l’iPhone est un outil pratique dans ce genre de situation étant donné qu’il peut être installé là où il serait plus compliqué d’utiliser un appareil photo. « On peut placer un iPhone pour qu'il se reflète sur un miroir, ce qui ajoute beaucoup de poésie, c'est vraiment sympa », ajoute-t-il.

Apple a l’habitude de ce genre de partenariat pour mettre en avant la qualité vidéo de ses téléphones. La marque a par exemple fait appel aux services de réalisateurs célèbres comme Michel Gondry ou Park Chan-wook pour créer des courts-métrages avec ses derniers iPhone. Récemment, le film 28 Years Later a été filmé à l’aide d’un iPhone 15 Pro Max. Sur un autre registre, les iPhone sont beaucoup utilisés par les journalistes reporters d’images. Ils servent également à détecter les hors-jeu en Premier League.

Le dernier défilé Jacquemus a été entièrement filmé à l’iPhone 16 Pro Max

La marque de mode Jacquemus a fait parler d’elle lors du keynote de rentrée d’Apple : le compte Instagram de la marque avait indiqué être présent à l’Apple Park, ce qui n’avait pas manqué de faire naître quelques rumeurs. Allait-on découvrir une Apple Watch Jacquemus en plus des habituels modèles Hermès ? Si rien n’a été annoncé ce matin-là, un partenariat a tout de même été signé. Le dernier défilé du créateur intitulé « La croisière » a été entièrement filmé à l’iPhone 16 Pro Max.

Le défilé a eu lieu dans l’ancien appartement de l’architecte Auguste Perret, au look Art déco et disposant d’une vue à 360° sur Paris. Petite taille du lieu oblige, le défilé s'est fait en présence de seulement 45 invités. « Je voulais que ce soit presque comme une présentation, [les invités] sentiront les robes lorsque les mannequins passeront devant eux », a déclaré le créateur à Vogue. Il ajoute que l’iPhone a toujours eu une place importante pour sa marque :

Jacquemus, la marque, s'est construite sur l'iPhone. Si vous vous souvenez de mes débuts, je partageais des photos de mon showroom, de mon meilleur ami, de mes spectacles. Je prenais des photos avec mon iPhone et c'était un moyen très facile d'interagir avec mon public ; j'ai donc eu l'idée de filmer l'émission avec des iPhone, sans humains [cadreurs].

Pour la diffusion sur les réseaux sociaux, 17 téléphones ont été placés dans l’appartement. Simon Porte Jacquemus estime que l’iPhone est un outil pratique dans ce genre de situation étant donné qu’il peut être installé là où il serait plus compliqué d’utiliser un appareil photo. « On peut placer un iPhone pour qu'il se reflète sur un miroir, ce qui ajoute beaucoup de poésie, c'est vraiment sympa », ajoute-t-il.

Apple a l’habitude de ce genre de partenariat pour mettre en avant la qualité vidéo de ses téléphones. La marque a par exemple fait appel aux services de réalisateurs célèbres comme Michel Gondry ou Park Chan-wook pour créer des courts-métrages avec ses derniers iPhone. Récemment, le film 28 Years Later a été filmé à l’aide d’un iPhone 15 Pro Max. Sur un autre registre, les iPhone sont beaucoup utilisés par les journalistes reporters d’images. Ils servent également à détecter les hors-jeu en Premier League.

Meta accepte de payer 25 millions de dollars à Donald Trump pour avoir banni ses comptes en 2021

Mark Zuckerberg continue ses courbettes pour se faire bien voir de l’administration Trump. Un porte-parole de Meta a confirmé que l’entreprise allait signer un chèque de 25 millions de dollars afin de régler un procès l’opposant à l’actuel président des États-Unis. Ses comptes Facebook et Instagram avaient été désactivés dans la foulée de l’assaut du Capitole du 6 janvier 2021. Donald Trump avait rétorqué en justice, s’estimant victime d’une censure.

Mark Zuckerberg en 2019. Image Anthony Quintano (CC BY)

The Verge affirme que le sujet avait été mis sur la table lors d’un dîner de Mark Zuckerberg à Mar-a-Lago. Selon une source du Wall Street Journal, Donald Trump aurait indiqué que ce procès devait être résolu afin que le CEO de Meta ait une chance d'être « introduit dans le cercle ». La suspension des comptes de Donald Trump avait été actée le 7 janvier 2021, Meta estimant à l’époque que le risque de laisser le républicain publier sur les réseaux était « tout simplement trop grand ». Dans un communiqué, Mark Zuckerberg déclarait :

Les événements choquants de ces dernières 24 heures démontrent clairement que le président Donald Trump a l'intention d'utiliser le temps qu'il lui reste à la tête de l'État pour saper la transition pacifique et légale du pouvoir vers son successeur élu, Joe Biden.

Twitter avait emboîté le pas de Meta, ce qui a mené Donald Trump à créer son propre réseau Truth Social. Il a par la suite attaqué la firme de Palo Alto en justice, demandant des dommages et intérêts en estimant que ses comptes avaient été « restreints ou limités à tort ». Ses comptes avaient été débloqués en janvier 2023, et les dernières restrictions avaient sauté à l’été 2024.

Le CEO de Meta continue ainsi sa campagne visant à redorer son blason auprès des républicains. Si les relations Trump/Zuckerberg ont pendant un temps été très tendues, elles se sont réchauffées ces dernières semaines. Meta a notamment fait un don d’un million de dollars pour l’investiture de Donald Trump, où Mark Zuckerberg était présent. Le CEO a également annoncé la fin de différents programmes (diversité, fact-checking) dans le but de s’aligner sur la ligne des conservateurs.

Meta accepte de payer 25 millions de dollars à Donald Trump pour avoir banni ses comptes en 2021

Mark Zuckerberg continue ses courbettes pour se faire bien voir de l’administration Trump. Un porte-parole de Meta a confirmé que l’entreprise allait signer un chèque de 25 millions de dollars afin de régler un procès l’opposant à l’actuel président des États-Unis. Ses comptes Facebook et Instagram avaient été désactivés dans la foulée de l’assaut du Capitole du 6 janvier 2021. Donald Trump avait rétorqué en justice, s’estimant victime d’une censure.

Mark Zuckerberg en 2019. Image Anthony Quintano (CC BY)

The Verge affirme que le sujet avait été mis sur la table lors d’un dîner de Mark Zuckerberg à Mar-a-Lago. Selon une source du Wall Street Journal, Donald Trump aurait indiqué que ce procès devait être résolu afin que le CEO de Meta ait une chance d'être « introduit dans le cercle ». La suspension des comptes de Donald Trump avait été actée le 7 janvier 2021, Meta estimant à l’époque que le risque de laisser le républicain publier sur les réseaux était « tout simplement trop grand ». Dans un communiqué, Mark Zuckerberg déclarait :

Les événements choquants de ces dernières 24 heures démontrent clairement que le président Donald Trump a l'intention d'utiliser le temps qu'il lui reste à la tête de l'État pour saper la transition pacifique et légale du pouvoir vers son successeur élu, Joe Biden.

Twitter avait emboîté le pas de Meta, ce qui a mené Donald Trump à créer son propre réseau Truth Social. Il a par la suite attaqué la firme de Palo Alto en justice, demandant des dommages et intérêts en estimant que ses comptes avaient été « restreints ou limités à tort ». Ses comptes avaient été débloqués en janvier 2023, et les dernières restrictions avaient sauté à l’été 2024.

Le CEO de Meta continue ainsi sa campagne visant à redorer son blason auprès des républicains. Si les relations Trump/Zuckerberg ont pendant un temps été très tendues, elles se sont réchauffées ces dernières semaines. Meta a notamment fait un don d’un million de dollars pour l’investiture de Donald Trump, où Mark Zuckerberg était présent. Le CEO a également annoncé la fin de différents programmes (diversité, fact-checking) dans le but de s’aligner sur la ligne des conservateurs.

Garmin a corrigé le gros bug du GPS qui faisait planter ses montres

La semaine a été mouvementée pour Garmin. Mardi soir, de nombreuses montres se sont retrouvées complètement inutilisables suite à un bug : les montres restaient bloquées sur un triangle bleu dès lors que l’on utilisait une app, un service ou quoi que ce soit ayant besoin du GPS. Si l’entreprise a donné quelques conseils basiques sur le coup, elle a aujourd’hui confirmé avoir corrigé le problème.

Image WatchGeneration

« Nous avons résolu le problème à l'origine du blocage de certains appareils sur l'écran de démarrage », a déclaré un porte-parole de Garmin à Engadget. Si le souci ne devrait donc pas toucher de nouvelles montres, une page d’assistance donne la marche à suivre pour ceux ayant un modèle qui reste planté. La première manipulation recommandée est un redémarrage, mais si cela ne fonctionne pas, il peut ensuite être nécessaire de connecter la montre à un ordinateur avec le logiciel Garmin Express. Quelques manipulations devraient permettre de remettre le produit sur pied.

Il sera malheureusement nécessaire de procéder à une réinitialisation pour certaines déclinaisons, comme les montres de Golf Approach, les Forerunner ou les Venu. La procédure fait perdre certaines données tels le portefeuille Garmin, les statistiques de la Body Battery, les raccourcis ou le contenu de Connect IQ (cadrans de montre, applications, champs de données).

Une notification a fait son apparition dans l’app Garmin indiquant que le problème a été résolu et redirigeant vers la page d’assistance. Ce n’est malheureusement pas le premier couac de l’année chez Garmin : son app a subi une panne majeure début janvier sur ses services en ligne, empêchant l’utilisation de certaines fonctions et pouvant perturber certaines statistiques.

Garmin a corrigé le gros bug du GPS qui faisait planter ses montres

La semaine a été mouvementée pour Garmin. Mardi soir, de nombreuses montres se sont retrouvées complètement inutilisables suite à un bug : les montres restaient bloquées sur un triangle bleu dès lors que l’on utilisait une app, un service ou quoi que ce soit ayant besoin du GPS. Si l’entreprise a donné quelques conseils basiques sur le coup, elle a aujourd’hui confirmé avoir corrigé le problème.

Image WatchGeneration

« Nous avons résolu le problème à l'origine du blocage de certains appareils sur l'écran de démarrage », a déclaré un porte-parole de Garmin à Engadget. Si le souci ne devrait donc pas toucher de nouvelles montres, une page d’assistance donne la marche à suivre pour ceux ayant un modèle qui reste planté. La première manipulation recommandée est un redémarrage, mais si cela ne fonctionne pas, il peut ensuite être nécessaire de connecter la montre à un ordinateur avec le logiciel Garmin Express. Quelques manipulations devraient permettre de remettre le produit sur pied.

Il sera malheureusement nécessaire de procéder à une réinitialisation pour certaines déclinaisons, comme les montres de Golf Approach, les Forerunner ou les Venu. La procédure fait perdre certaines données tels le portefeuille Garmin, les statistiques de la Body Battery, les raccourcis ou le contenu de Connect IQ (cadrans de montre, applications, champs de données).

Une notification a fait son apparition dans l’app Garmin indiquant que le problème a été résolu et redirigeant vers la page d’assistance. Ce n’est malheureusement pas le premier couac de l’année chez Garmin : son app a subi une panne majeure début janvier sur ses services en ligne, empêchant l’utilisation de certaines fonctions et pouvant perturber certaines statistiques.

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