En octobre dernier, le développeur de PIGFACEa publié sa roadmap, annonçant de nouveaux ajouts dès le mois de novembre. Dans cette mise à jour, on découvre l’ajout d’une nouvelle map, The Mall. Ce grand centre commercial sera l’occasion pour Exit de faire un petit tour de montagnes russes, tout en dézinguant les gangs qui se sont appropriés le lieu. Pour ceux qui découvre PIGFACE, il s’agit d’un rétro-FPS ultra violent et nerveux, où votre protagoniste doit exécuter des contrats reçus par téléphone sous peine de se faire exploser la tronche par le biais d’une bombe implantée dans le crâne.
Avec cette première mise à jour, le jeu s’étoffe également de nouvelles armes comme une tronçonneuse, une crosse de hockey ou encore un USAS-12. De nouveaux ennemis et un nouveau masque axé sur le combat au corps à corps ont aussi été ajoutés. Une bonne excuse pour retourner sur le jeu, qui malgré une durée de vie beaucoup trop courte, procure de bonnes sensations de de tir old-school avec un gameplay simple, mais efficace. Notre test vous en dira un peu plus. S vous souhaitez découvrir l’intégralité du cette MAJ, c’est par ici.
PIGFACE est toujours en accès anticipé sur Steam et récolte de très bon avis. Pour moins de 10 €, pourquoi s’en priver ? Si vous êtes une personne pingre, la démo est toujours disponible.
En octobre dernier, le développeur de PIGFACEa publié sa roadmap, annonçant de nouveaux ajouts dès le mois de novembre. Dans cette mise à jour, on découvre l’ajout d’une nouvelle map, The Mall. Ce grand centre commercial sera l’occasion pour Exit de faire un petit tour de montagnes russes, tout en dézinguant les gangs qui se sont appropriés le lieu. Pour ceux qui découvre PIGFACE, il s’agit d’un rétro-FPS ultra violent et nerveux, où votre protagoniste doit exécuter des contrats reçus par téléphone sous peine de se faire exploser la tronche par le biais d’une bombe implantée dans le crâne.
Avec cette première mise à jour, le jeu s’étoffe également de nouvelles armes comme une tronçonneuse, une crosse de hockey ou encore un USAS-12. De nouveaux ennemis et un nouveau masque axé sur le combat au corps à corps ont aussi été ajoutés. Une bonne excuse pour retourner sur le jeu, qui malgré une durée de vie beaucoup trop courte, procure de bonnes sensations de de tir old-school avec un gameplay simple, mais efficace. Notre test vous en dira un peu plus. S vous souhaitez découvrir l’intégralité du cette MAJ, c’est par ici.
PIGFACE est toujours en accès anticipé sur Steam et récolte de très bon avis. Pour moins de 10 €, pourquoi s’en priver ? Si vous êtes une personne pingre, la démo est toujours disponible.
Quand on prononce Darkenstein 3D, difficile de ne pas penser aux titres dont il s’inspire. Wolfenstein 3D, DOOM, ces FPS devenus cultes auxquels la grande majorité des lecteurs de NoFrag a joué avant, pendant et après les cours sur un écran à tube cathodique. Afin de leur rendre hommage, l’unique développeur, Rowye, nous offre gratuitement une lettre d’amour pixelisée et old-school qui, malgré son aspect amateur, mérite qu’on se penche dessus.
Vous incarnez un sans-abri américain qui, suite à une attaque des forces de l’Axe, a vu son chien Gunther se faire capturer. Bon, le titrea été développé pendant 4 ans et on se doute bien que ce n’est pas l’histoire qui a pris le plus de temps. Certes, il y a des jeux qui nous touchent par leur écriture, mais a-t-on franchement besoin d’un scénario pour aller buter du nazi et des extraterrestres ? Donc débranchez votre cerveau et anéantissez la vermine SS jusqu’à Hitler en personne. Durant l’aventure, des phases de dialogue auront lieu et certaines notes seront simplement posées sur les tables. Inutile de vous dire que c’est inintéressant. De plus, la police d’écriture était tellement immonde que je n’ai pas voulu m’y attarder. Vous rencontrerez à plusieurs reprises, des PNJ aux styles parfois douteux qui vous aideront vers la fin du jeu.
Un gameplay qui sent la choucroute
Il y a environ une dizaine de chapitres au total. La plupart sont assez courts, et la progression fonctionne par l’intermédiaire de checkpoints. Un système qui ne fait pas vraiment l’unanimité, surtout quand on meurt juste avant la fin du niveau et que l’on doit se retaper la moitié de la map. Les premières missions ne sont clairement pas les meilleures. J’ai dû m’accrocher un peu pour ne pas faire comme la majorité des joueurs qui ont découvert le titre : y jouer trente minutes et puis c’est tout, faute à un level-design qui peine à convaincre sur les premiers niveaux. J’avais de temps en temps l’impression d’être dans un labyrinthe où tout se ressemblait. Il faudra avancer un peu dans l’aventure pour parcourir des lieux un peu plus ouverts et variés. Par conséquent j’ai passé énormément de temps à trouver mon chemin dans les couloirs vides où spawn occasionnellement de nouveaux ennemis.
C’est après avoir parcouru plusieurs lieux et s’être équipé d’un arsenal assez conséquent qu’on s’amuse plutôt bien. Le gameplay reste cependant très classique. En général, vous devrez trouver des clés de couleur pour déverrouiller des portes et tuer tout ce qui se trouve devant vous. C’est par l’intermédiaire de bière, de saucisson et de tourte que vous vous soignez tel un B. J. Blazkowiczen plein Oktoberfest au castle Wolfenstein. Bien qu’elles soient présentes en grandes quantités, les armes ne donnent pas toutes le même plaisir clavier-souris en main. Le fusil à pompe et l’arbalète procurent un sentiment de puissance, contrairement aux armes de type électrique qui font parfois trop cheap. Durant les combats, passer d’une Maschinenpistole 40 à une mitrailleuse rotative ou un lance-roquettes cassera complètement votre course et vous serez beaucoup plus vulnérables aux dégâts puisque la vitesse de déplacement du personnage change selon le type d’arme. Comme on ne peut ni courir, ni sauter, vous serez donc obligé de vous équiper d’une petite arme pour vous déplacer rapidement pour vous mettre à l’abri.
Achtung, ich bin dumm
Bien qu’il soit graphiquement assez simple et au style d’antan, ne vous attendez pas à faire tourner le jeu avec un PC d’époque. Si vous avez de la chance, le jeu ne plantera pas. J’ai eu quelques crashs et des problèmes de clipping au cours de ma progression, m’obligeant à recommencer au dernier checkpoint, ce qui est franchement pénible.
Dans Darkenstein 3D, le développeur n’a pas utilisé de sprite pour la modélisation des personnages. Le style reste toujours rétro avec des personnages en 3D inspirés de Return to Castle Wolfenstein. Les limites techniques sautent vite aux yeux : le jeu porte la marque d’un développement amateur. Rowye l’a conçu par passion, pour le plaisir, sans prétention ni pression professionnelle — et ça se ressent autant dans ses qualités que dans ses faiblesses. Les IA, par exemple, sont complètement à l’ouest et on se demande même parfois si ce n’est pas fait exprès tellement leurs comportements sont désespérants. Les animations sont plutôt bien réalisées, parfois même drôle, voire ridicules, en particulier les chiens et les SS en feu. Les musiques rappellent elles aussi les grands classiques du genre. Certaines sont plutôt bonnes, mais se déclenchent trop aléatoirement. Ainsi, dans un couloir vide, il suffira de tirer dans une caisse pour entendre la musique arriver et repartir aussitôt. Les doublages sont vraiment nazes et le sound design manque aussi de justesse.
Heureusement c’est gratuit !
Darkenstein 3D, est une déclaration d’amour en hommage aux boomer-shooter qu’on aime tant. Malheureusement, il s’en inspire trop au point d’en devenir une copie bon marché sans grande originalité. L’humour – bien que volontaire – est parfois trop mis en avant avec des easter egg qui feront sourire les vieux gamers, mais ceux qui ne comprennent pas le second degré ne tiendront pas cinq minutes. Malgré les bugs, les problèmes techniques et une intelligence artificielle catastrophique, l’expérience reste tout de même divertissante. Son plus bel atout, c’est d’être totalement gratuit, donc pourquoi pas se faire plaisir, surtout que le développeur continue de faire des mises à jour. Une bonne raison pour vous faire un avis. Et n’oubliez pas : « un bon nazi et un nazi mort ».
Vous vous perdez dans l’immensité du catalogue Steam ? Alors suivez le groupe de curation NoFrag pour vous aider à séparer le bon grain de l’ivraie.
Quand on prononce Darkenstein 3D, difficile de ne pas penser aux titres dont il s’inspire. Wolfenstein 3D, DOOM, ces FPS devenus cultes auxquels la grande majorité des lecteurs de NoFrag a joué avant, pendant et après les cours sur un écran à tube cathodique. Afin de leur rendre hommage, l’unique développeur, Rowye, nous offre gratuitement une lettre d’amour pixelisée et old-school qui, malgré son aspect amateur, mérite qu’on se penche dessus.
Vous incarnez un sans-abri américain qui, suite à une attaque des forces de l’Axe, a vu son chien Gunther se faire capturer. Bon, le titrea été développé pendant 4 ans et on se doute bien que ce n’est pas l’histoire qui a pris le plus de temps. Certes, il y a des jeux qui nous touchent par leur écriture, mais a-t-on franchement besoin d’un scénario pour aller buter du nazi et des extraterrestres ? Donc débranchez votre cerveau et anéantissez la vermine SS jusqu’à Hitler en personne. Durant l’aventure, des phases de dialogue auront lieu et certaines notes seront simplement posées sur les tables. Inutile de vous dire que c’est inintéressant. De plus, la police d’écriture était tellement immonde que je n’ai pas voulu m’y attarder. Vous rencontrerez à plusieurs reprises, des PNJ aux styles parfois douteux qui vous aideront vers la fin du jeu.
Un gameplay qui sent la choucroute
Il y a environ une dizaine de chapitres au total. La plupart sont assez courts, et la progression fonctionne par l’intermédiaire de checkpoints. Un système qui ne fait pas vraiment l’unanimité, surtout quand on meurt juste avant la fin du niveau et que l’on doit se retaper la moitié de la map. Les premières missions ne sont clairement pas les meilleures. J’ai dû m’accrocher un peu pour ne pas faire comme la majorité des joueurs qui ont découvert le titre : y jouer trente minutes et puis c’est tout, faute à un level-design qui peine à convaincre sur les premiers niveaux. J’avais de temps en temps l’impression d’être dans un labyrinthe où tout se ressemblait. Il faudra avancer un peu dans l’aventure pour parcourir des lieux un peu plus ouverts et variés. Par conséquent j’ai passé énormément de temps à trouver mon chemin dans les couloirs vides où spawn occasionnellement de nouveaux ennemis.
C’est après avoir parcouru plusieurs lieux et s’être équipé d’un arsenal assez conséquent qu’on s’amuse plutôt bien. Le gameplay reste cependant très classique. En général, vous devrez trouver des clés de couleur pour déverrouiller des portes et tuer tout ce qui se trouve devant vous. C’est par l’intermédiaire de bière, de saucisson et de tourte que vous vous soignez tel un B. J. Blazkowiczen plein Oktoberfest au castle Wolfenstein. Bien qu’elles soient présentes en grandes quantités, les armes ne donnent pas toutes le même plaisir clavier-souris en main. Le fusil à pompe et l’arbalète procurent un sentiment de puissance, contrairement aux armes de type électrique qui font parfois trop cheap. Durant les combats, passer d’une Maschinenpistole 40 à une mitrailleuse rotative ou un lance-roquettes cassera complètement votre course et vous serez beaucoup plus vulnérables aux dégâts puisque la vitesse de déplacement du personnage change selon le type d’arme. Comme on ne peut ni courir, ni sauter, vous serez donc obligé de vous équiper d’une petite arme pour vous déplacer rapidement pour vous mettre à l’abri.
Achtung, ich bin dumm
Bien qu’il soit graphiquement assez simple et au style d’antan, ne vous attendez pas à faire tourner le jeu avec un PC d’époque. Si vous avez de la chance, le jeu ne plantera pas. J’ai eu quelques crashs et des problèmes de clipping au cours de ma progression, m’obligeant à recommencer au dernier checkpoint, ce qui est franchement pénible.
Dans Darkenstein 3D, le développeur n’a pas utilisé de sprite pour la modélisation des personnages. Le style reste toujours rétro avec des personnages en 3D inspirés de Return to Castle Wolfenstein. Les limites techniques sautent vite aux yeux : le jeu porte la marque d’un développement amateur. Rowye l’a conçu par passion, pour le plaisir, sans prétention ni pression professionnelle — et ça se ressent autant dans ses qualités que dans ses faiblesses. Les IA, par exemple, sont complètement à l’ouest et on se demande même parfois si ce n’est pas fait exprès tellement leurs comportements sont désespérants. Les animations sont plutôt bien réalisées, parfois même drôle, voire ridicules, en particulier les chiens et les SS en feu. Les musiques rappellent elles aussi les grands classiques du genre. Certaines sont plutôt bonnes, mais se déclenchent trop aléatoirement. Ainsi, dans un couloir vide, il suffira de tirer dans une caisse pour entendre la musique arriver et repartir aussitôt. Les doublages sont vraiment nazes et le sound design manque aussi de justesse.
Heureusement c’est gratuit !
Darkenstein 3D, est une déclaration d’amour en hommage aux boomer-shooter qu’on aime tant. Malheureusement, il s’en inspire trop au point d’en devenir une copie bon marché sans grande originalité. L’humour – bien que volontaire – est parfois trop mis en avant avec des easter egg qui feront sourire les vieux gamers, mais ceux qui ne comprennent pas le second degré ne tiendront pas cinq minutes. Malgré les bugs, les problèmes techniques et une intelligence artificielle catastrophique, l’expérience reste tout de même divertissante. Son plus bel atout, c’est d’être totalement gratuit, donc pourquoi pas se faire plaisir, surtout que le développeur continue de faire des mises à jour. Une bonne raison pour vous faire un avis. Et n’oubliez pas : « un bon nazi et un nazi mort ».
Vous vous perdez dans l’immensité du catalogue Steam ? Alors suivez le groupe de curation NoFrag pour vous aider à séparer le bon grain de l’ivraie.
C’est le 6 novembre dernier qu’est sorti en accès anticipé The Last Caretaker, un jeu de survie qui se déroule sur un vaste océan parsemé de structures plus ou moins englouties. On incarne une machine chargée de ressusciter la race humaine. On devra récolter et élever des embryons humains et par la suite, les renvoyer dans l’espace pour la sauvegarde de l’humanité.
Comme il s’agit d’un jeu de survie, on ne va pas s’étaler sur le sujet car c’est souvent la même chose. Bien que les retours soient corrects avec un pic de dix mille joueurs, on constate que les problèmes de performances et d’optimisation ressortent fréquemment des avis. Les développeurs du studio indé Channel37 Ltd ont d’ailleurs déjà déployé une petite mise à jour qui corrige pas mal de bugs en tout genre. Ils ont également mis en ligne leur feuille de route pour l’année prochaine.
Si vous aimez le craft, les allers-retours interminables, les robots et les crashs, The Last Caretaker est actuellement en promo sur Steam et sur l’Epic Games Store à 27 €, mais à ce prix là, on vous conseille plutôt de jouer avec un vrai robot.