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macOS 26.1 : quand le navigateur de fichiers se met à ramer…

Le problème n’est pas nouveau, mais macOS 26.1 semble le remettre en lumière. Chez certains utilisateurs, le lancement du navigateur de fichiers depuis une application — lorsqu’on veut ouvrir ou enregistrer un document — prend plusieurs secondes. Le curseur multicolore, que l’on pensait réservé à l’époque des Mac Intel, refait même surface. Ces lenteurs se manifestent aussi au lancement d’apps comme Aperçu, qui ouvrent directement une fenêtre de navigation de fichiers.

Running macOS 26.1 and noticing the file browser is painfully slow when closing, saving, or opening files. Plenty of SSD space and no memory-hogging apps. Restart didn’t help. Anyone else seeing this? pic.twitter.com/cWlgwNFmJu

— Basic Apple Guy (@BasicAppleGuy) November 7, 2025

Si vous constatez ce bogue, il y a de fortes chances que vous utilisiez iCloud Drive et la fameuse fonction de synchronisation des dossiers Bureau et Documents.

macOS Tahoe 26.1 : la liste des nouveautés

macOS Tahoe 26.1 : la liste des nouveautés

J’ai moi-même été victime de ce problème après avoir installé la RC de macOS 26.1 en fin de semaine dernière. Il existe aujourd’hui deux manières de le contourner : l’une temporaire, l’autre plus radicale. Malheureusement, il n’existe pas de méthode miracle pour le moment.

Désactiver la synchronisation des dossiers

La solution la plus simple consiste à désactiver temporairement la synchronisation des dossiers Bureau et Documents, en espérant qu’Apple corrige le tir dans une prochaine mise à jour. Pour cela, ouvrez Réglages Système ▸ iCloud ▸ iCloud Drive, puis désactivez l’option correspondante.

Créer une nouvelle session utilisateur

L’autre solution plus radicale - celle que j’ai utilisée - consiste non pas à tout réinstaller, mais à recréer une nouvelle session utilisateur. C’est un peu plus long, mais c’est plus pérenne. De manière générale, depuis que j’ai migré sur ma nouvelle session, j’ai noté de manière générale qu’il y avait moins de latence lors des accès réseau.

Avant d’en arriver là, j’ai tenté plusieurs manipulations : suppression des caches, effacement complet d’iCloud Drive suivi d’une resynchronisation, déconnexion puis reconnexion du compte iCloud… Rien n’y a fait. Espérons qu’Apple corrigera rapidement ce bogue, d’autant qu’il touche une fonction devenue centrale pour de nombreux utilisateurs.

macOS Tahoe 26.1 est disponible : voici toutes les nouveautés !

macOS Tahoe 26.1 est disponible : voici toutes les nouveautés !

macOS Tahoe 26.1 : des correctifs importants pour l’audio

macOS Tahoe 26.1 : des correctifs importants pour l’audio

macOS 26.1 ne massacre plus les angles des PDF

macOS 26.1 ne massacre plus les angles des PDF

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macOS 26.1 : quand le navigateur de fichiers se met à ramer…

Le problème n’est pas nouveau, mais macOS 26.1 semble le remettre en lumière. Chez certains utilisateurs, le lancement du navigateur de fichiers depuis une application — lorsqu’on veut ouvrir ou enregistrer un document — prend plusieurs secondes. Le curseur multicolore, que l’on pensait réservé à l’époque des Mac Intel, refait même surface. Ces lenteurs se manifestent aussi au lancement d’apps comme Aperçu, qui ouvrent directement une fenêtre de navigation de fichiers.

Running macOS 26.1 and noticing the file browser is painfully slow when closing, saving, or opening files. Plenty of SSD space and no memory-hogging apps. Restart didn’t help. Anyone else seeing this? pic.twitter.com/cWlgwNFmJu

— Basic Apple Guy (@BasicAppleGuy) November 7, 2025

Si vous constatez ce bogue, il y a de fortes chances que vous utilisiez iCloud Drive et la fameuse fonction de synchronisation des dossiers Bureau et Documents.

macOS Tahoe 26.1 : la liste des nouveautés

macOS Tahoe 26.1 : la liste des nouveautés

J’ai moi-même été victime de ce problème après avoir installé la RC de macOS 26.1 en fin de semaine dernière. Il existe aujourd’hui deux manières de le contourner : l’une temporaire, l’autre plus radicale. Malheureusement, il n’existe pas de méthode miracle pour le moment.

Désactiver la synchronisation des dossiers

La solution la plus simple consiste à désactiver temporairement la synchronisation des dossiers Bureau et Documents, en espérant qu’Apple corrige le tir dans une prochaine mise à jour. Pour cela, ouvrez Réglages Système ▸ iCloud ▸ iCloud Drive, puis désactivez l’option correspondante.

Créer une nouvelle session utilisateur

L’autre solution plus radicale - celle que j’ai utilisée - consiste non pas à tout réinstaller, mais à recréer une nouvelle session utilisateur. C’est un peu plus long, mais c’est plus pérenne. De manière générale, depuis que j’ai migré sur ma nouvelle session, j’ai noté de manière générale qu’il y avait moins de latence lors des accès réseau.

Avant d’en arriver là, j’ai tenté plusieurs manipulations : suppression des caches, effacement complet d’iCloud Drive suivi d’une resynchronisation, déconnexion puis reconnexion du compte iCloud… Rien n’y a fait. Espérons qu’Apple corrigera rapidement ce bogue, d’autant qu’il touche une fonction devenue centrale pour de nombreux utilisateurs.

macOS Tahoe 26.1 est disponible : voici toutes les nouveautés !

macOS Tahoe 26.1 est disponible : voici toutes les nouveautés !

macOS Tahoe 26.1 : des correctifs importants pour l’audio

macOS Tahoe 26.1 : des correctifs importants pour l’audio

macOS 26.1 ne massacre plus les angles des PDF

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Promo : le Mac mini M4 repasse sous les 600 €

Mise à jour 08/11 — Le Mac mini M4 repasse à nouveau sous les 600 €. Pour l’obtenir à ce prix, rendez-vous sur Amazon Allemagne. Pas de panique, si vous ne maitrisez pas la langue de Goethe, le site est également disponible en anglais. Pas la peine d’ouvrir un compte non plus, vous pouvez utiliser votre compte Amazon français.

La configuration de base est annoncée à 582 €, mais, entre l’ajustement du taux de TVA et les frais de port, la facture montera de quelques euros. Au final, il vous en coûtera 594 €.

À titre de comparaison, cette configuration est proposée à 629 € sur Amazon France et 699 € en Apple Store.

Amazon France propose des prix intéressants sur les configurations avec 512 Go d’espace de stockage :

  • le modèle avec 16 Go de RAM est proposé à 814 € au lieu de 949 €
  • le modèle avec 24 Go de RAM peut s’acheter à 1079 € au lieu de 1199 €.

Mise à jour 16/10 — Le Mac mini continue de faire l'objet de remises assez intéressantes. Il est vendu plus cher que pendant les Prime Days, mais les prix proposés demeurent plutôt dans la fourchette basse des prix constatés ces derniers mois :

  • Mac mini M4 16 Go / 256 Go SSD : 599,22 € au lieu de 699 €
  • Mac mini M4 16 Go / 512 Go SSD : 814 € au lieu de 949 €
  • Mac mini M4 Pro 24 Go / 512 Go SSD : 1585 € au lieu de 1699€

Mise à jour 08/10 — Amazon a revu à la baisse le prix de certaines configurations, mais attention, il y a des ruptures de stock !

De mémoire, jamais le Mac mini M4 n’avait été proposé à un tel tarif en France, du moins sur Amazon. Il est possible de faire l'acquisition du modèle de base pour 576 €, soit une remise de 16 % sur son prix public. Cette configuration embarque 16 Go de RAM, mais seulement 256 Go de SSD.

Là où les choses sont intéressantes, c'est que ce n'est pas la seule référence à faire l'objet d'une promotion. Le modèle avec 16 Go de RAM et 512 Go de SSD est proposé à 766 €, soit une remise de 183 € sur son prix normal. Le même modèle avec 24 Go de RAM est proposé à 1070 €, soit une économie de 129 €.

Toutes les configs en promo

Le modèle équipe d'une puce M4 Pro fait lui aussi l'objet d'une promotion, même si elle est moins marqué. La configuration quasiment la plus évoluée avec 24 Go de RAM et 512 Go de SSD est proposée à 1585 €, soit une réduction de 114 € sur son prix habituel.

Test des Mac mini M4 et M4 Pro : petits et mignons, mais costauds et économes

Test des Mac mini M4 et M4 Pro : petits et mignons, mais costauds et économes

Dans notre test, le Mac mini M4 avait obtenu la note maximale, un vrai coup de coeur. Au vu des prix proposés, il y a de moins en moins de stock !

Comme toutes les offres des Jours Flash Prime, cette promotion est réservée aux abonnés Amazon Prime. Cet abonnement donne accès à la livraison rapide, à Prime Video, à Amazon Music Prime et à plusieurs autres avantages. Il est proposé à 6,99 € par mois sans engagement, ou 69 € par an pour la formule annuelle.

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Promo : le Mac mini M4 repasse sous les 600 €

Mise à jour 08/11 — Le Mac mini M4 repasse à nouveau sous les 600 €. Pour l’obtenir à ce prix, rendez-vous sur Amazon Allemagne. Pas de panique, si vous ne maitrisez pas la langue de Goethe, le site est également disponible en anglais. Pas la peine d’ouvrir un compte non plus, vous pouvez utiliser votre compte Amazon français.

La configuration de base est annoncée à 582 €, mais, entre l’ajustement du taux de TVA et les frais de port, la facture montera de quelques euros. Au final, il vous en coûtera 594 €.

À titre de comparaison, cette configuration est proposée à 629 € sur Amazon France et 699 € en Apple Store.

Amazon France propose des prix intéressants sur les configurations avec 512 Go d’espace de stockage :

  • le modèle avec 16 Go de RAM est proposé à 814 € au lieu de 949 €
  • le modèle avec 24 Go de RAM peut s’acheter à 1079 € au lieu de 1199 €.

Mise à jour 16/10 — Le Mac mini continue de faire l'objet de remises assez intéressantes. Il est vendu plus cher que pendant les Prime Days, mais les prix proposés demeurent plutôt dans la fourchette basse des prix constatés ces derniers mois :

  • Mac mini M4 16 Go / 256 Go SSD : 599,22 € au lieu de 699 €
  • Mac mini M4 16 Go / 512 Go SSD : 814 € au lieu de 949 €
  • Mac mini M4 Pro 24 Go / 512 Go SSD : 1585 € au lieu de 1699€

Mise à jour 08/10 — Amazon a revu à la baisse le prix de certaines configurations, mais attention, il y a des ruptures de stock !

De mémoire, jamais le Mac mini M4 n’avait été proposé à un tel tarif en France, du moins sur Amazon. Il est possible de faire l'acquisition du modèle de base pour 576 €, soit une remise de 16 % sur son prix public. Cette configuration embarque 16 Go de RAM, mais seulement 256 Go de SSD.

Là où les choses sont intéressantes, c'est que ce n'est pas la seule référence à faire l'objet d'une promotion. Le modèle avec 16 Go de RAM et 512 Go de SSD est proposé à 766 €, soit une remise de 183 € sur son prix normal. Le même modèle avec 24 Go de RAM est proposé à 1070 €, soit une économie de 129 €.

Toutes les configs en promo

Le modèle équipe d'une puce M4 Pro fait lui aussi l'objet d'une promotion, même si elle est moins marqué. La configuration quasiment la plus évoluée avec 24 Go de RAM et 512 Go de SSD est proposée à 1585 €, soit une réduction de 114 € sur son prix habituel.

Test des Mac mini M4 et M4 Pro : petits et mignons, mais costauds et économes

Test des Mac mini M4 et M4 Pro : petits et mignons, mais costauds et économes

Dans notre test, le Mac mini M4 avait obtenu la note maximale, un vrai coup de coeur. Au vu des prix proposés, il y a de moins en moins de stock !

Comme toutes les offres des Jours Flash Prime, cette promotion est réservée aux abonnés Amazon Prime. Cet abonnement donne accès à la livraison rapide, à Prime Video, à Amazon Music Prime et à plusieurs autres avantages. Il est proposé à 6,99 € par mois sans engagement, ou 69 € par an pour la formule annuelle.

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AirPods Pro 3 ou Apple Watch : qui mesure vraiment votre fréquence cardiaque pendant le sport ?

Si vous possédez à la fois une Apple Watch et des AirPods Pro 3, vous avez en votre possession trois appareils — les écouteurs comptent pour deux — capables de mesurer votre fréquence cardiaque.

Image : Apple

Afin d’obtenir les meilleurs résultats possibles, Apple utilise un algorithme dynamique qui choisit automatiquement la source de fréquence cardiaque la plus fiable entre les deux appareils. Le choix dépend du type d’activité et de la qualité du signal fourni par chaque appareil à un instant donné.

L’algorithme effectue ce contrôle en permanence et vérifie la cohérence et la stabilité des valeurs mesurées, le tout sans que l’utilisateur ait à s’en soucier…

Si vous voulez savoir quel appareil s’est chargé de mesurer votre fréquence cardiaque lors d’un exercice, il suffit de lancer l’application Santé, d’aller dans Fréquence cardiaque, d’afficher toutes les données, de choisir le jour où vous avez fait du sport et de scroller à l’heure en question

Le logo avec une montre signifie bien entendu que la mesure provient de l’Apple Watch, alors que le logo Bluetooth est utilisé pour les AirPods Pro 3. À l’usage, j’ai l’impression que les AirPods Pro sont plus souvent sollicités que la montre, notamment quand le rythme cardiaque monte.

Si, pour une raison ou une autre, vous ne voulez pas que vos AirPods mesurent votre fréquence cardiaque, il est tout à fait possible de désactiver ce réglage. Sur iOS, il faut aller dans les réglages Bluetooth, sélectionner ses AirPods Pro, puis, dans la section Confidentialité, désactiver la fréquence cardiaque. Rappelons que celle-ci n’est pas prise en charge sur les terminaux Android.

AirPods Pro 3 : attention à la compatibilité limitée avec Android

AirPods Pro 3 : attention à la compatibilité limitée avec Android

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AirPods Pro 3 ou Apple Watch : qui mesure vraiment votre fréquence cardiaque pendant le sport ?

Si vous possédez à la fois une Apple Watch et des AirPods Pro 3, vous avez en votre possession trois appareils — les écouteurs comptent pour deux — capables de mesurer votre fréquence cardiaque.

Image : Apple

Afin d’obtenir les meilleurs résultats possibles, Apple utilise un algorithme dynamique qui choisit automatiquement la source de fréquence cardiaque la plus fiable entre les deux appareils. Le choix dépend du type d’activité et de la qualité du signal fourni par chaque appareil à un instant donné.

L’algorithme effectue ce contrôle en permanence et vérifie la cohérence et la stabilité des valeurs mesurées, le tout sans que l’utilisateur ait à s’en soucier…

Si vous voulez savoir quel appareil s’est chargé de mesurer votre fréquence cardiaque lors d’un exercice, il suffit de lancer l’application Santé, d’aller dans Fréquence cardiaque, d’afficher toutes les données, de choisir le jour où vous avez fait du sport et de scroller à l’heure en question

Le logo avec une montre signifie bien entendu que la mesure provient de l’Apple Watch, alors que le logo Bluetooth est utilisé pour les AirPods Pro 3. À l’usage, j’ai l’impression que les AirPods Pro sont plus souvent sollicités que la montre, notamment quand le rythme cardiaque monte.

Si, pour une raison ou une autre, vous ne voulez pas que vos AirPods mesurent votre fréquence cardiaque, il est tout à fait possible de désactiver ce réglage. Sur iOS, il faut aller dans les réglages Bluetooth, sélectionner ses AirPods Pro, puis, dans la section Confidentialité, désactiver la fréquence cardiaque. Rappelons que celle-ci n’est pas prise en charge sur les terminaux Android.

AirPods Pro 3 : attention à la compatibilité limitée avec Android

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Merci Patron ! Tesla adoube Musk avec un bonus à 1 000 milliards de dollars

Elon Musk n’a pas à s’en faire pour ses fins de mois. Son nouveau plan de rémunération de 1000 milliards de dollars a été entériné à plus de 75 % par les actionnaires de Tesla. 

Ce plan de rémunération sur dix ans repose sur douze paliers fixant des objectifs financiers et opérationnels. À chaque seuil franchi, Elon Musk peut recevoir un lot d’actions Tesla. S’il remplit l’ensemble des critères, la valeur totale pourrait dépasser les 1 000 milliards de dollars (environ 866 milliards d’euros).

Elon Musk en 2019. Image Daniel Oberhaus (CC BY)

Un jackpot potentiel de 275 millions par jour

Le dernier palier est particulièrement ambitieux : il prévoit une capitalisation boursière de 8 500 milliards de dollars ou la vente de vingt millions de véhicules — un objectif très éloigné de la cadence actuelle, Tesla ayant produit son huit millionième véhicule en juin.

En atteignant tous les objectifs dans les délais, Elon Musk pourrait obtenir l’équivalent de 12 % du capital actuel en plus. Au 12 septembre, il détenait déjà environ 12,4 % des actions via un trust (413 millions de titres) et a reçu 96 millions d’actions supplémentaires en août au titre du plan de 2018, retoqué à deux reprises par la justice avant d’être soumis une troisième fois au vote des actionnaires.

S’il parvenait à remplir tous ses objectifs, Elon Musk empocherait l’équivalent de 275 millions de dollars par jour. De quoi sans doute lui permettre de conforter un peu plus sa première place d’homme le plus riche du monde.

Tesla reste une valeur boursière à part

Le parcours boursier de Tesla a été contrasté cette année. Le titre progresse de 17 % depuis le début de l’année. Parmi les géants de la tech, c’est moins bien que Nvidia (+35%) ou Alphabet (+50%), mais mieux qu’Apple (+10%). Reste qu’en tant que constructeur automobile, Tesla reste et de loin la première capitalisation boursière avec une capitalisation de 1 170 milliards d’euros. A titre de comparaison, Renault c’est 10,5 milliards !

Ce qui porte le cours de l’action, ce ne sont pas les vente de voitures Tesla en baisse depuis 2024, mais les perspectives du groupe sur le marché des véhicules autonomes, dans l’IA ou encore dans la robotique.

L’activisme de Musk : un manque à gagner colossal sur le marché américain !

Si Elon Musk a reçu un large soutien des actionnaires, une étude récemment publiée met en lumière le coût économique de son activisme politique pour la marque. Selon le National Bureau of Economic Research (NBER), entre octobre 2022 et avril 2025, Tesla aurait perdu entre 1 et 1,26 million de ventes de véhicules. Les chercheurs estiment que les ventes américaines auraient été de 67 à 83 % plus élevées sans les prises de position du dirigeant.

Image : Etsy

Le plus inquiétant c’est que cette étude porte uniquement sur le marché américain. Si on prend 40 000 $ comme prix de vente moyen d’une Tesla, c’est un manque à gagner de 40 milliards de dollars.

Sans cet impact politique, Tesla aurait peut-être pu conserver cette année sa première place mondiale sur le marché des véhicules électriques. En toute logique, elle devrait revenir au géant chinois BYD.

Le tournant : le rachat de X en 2022

Toujours selon les responsables du NBER, le point de bascule remonte à octobre 2022, date du rachat de X par Elon Musk et moment à partir duquel l’homme d’affaire a commencé à multiplier les frasques sur les réseaux sociaux. Les choses n’ont fait ensuite qu’empirer avec son engagement très marqué dans la campagne présidentielle américaine.

Jusqu’à cette date, les experts ont remarqué que « davantage de comtés à majorité démocrate manifestaient une propension croissante à acheter des Tesla, probablement en raison de préoccupations environnementales et d’une meilleure connaissance de la marque. Cependant, cette tendance s’inverse après ».

Image : Tesla

Évidemment, affirmer que les difficultés commerciales de Tesla depuis début 2024 sont liées uniquement aux prises de position de Musk est sans doute trop simpliste. Le Cybertruck, sur lequel misait beaucoup Tesla, est un échec commercial cuisant. Enfin, il y aurait sans doute un point que les actionnaires pourraient bien reprocher à Musk : celui de s’être beaucoup éparpillé avec ses nombreuses aventures entrepreneuriales.

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Merci Patron ! Tesla adoube Musk avec un bonus à 1 000 milliards de dollars

Elon Musk n’a pas à s’en faire pour ses fins de mois. Son nouveau plan de rémunération de 1000 milliards de dollars a été entériné à plus de 75 % par les actionnaires de Tesla. 

Ce plan de rémunération sur dix ans repose sur douze paliers fixant des objectifs financiers et opérationnels. À chaque seuil franchi, Elon Musk peut recevoir un lot d’actions Tesla. S’il remplit l’ensemble des critères, la valeur totale pourrait dépasser les 1 000 milliards de dollars (environ 866 milliards d’euros).

Elon Musk en 2019. Image Daniel Oberhaus (CC BY)

Un jackpot potentiel de 275 millions par jour

Le dernier palier est particulièrement ambitieux : il prévoit une capitalisation boursière de 8 500 milliards de dollars ou la vente de vingt millions de véhicules — un objectif très éloigné de la cadence actuelle, Tesla ayant produit son huit millionième véhicule en juin.

En atteignant tous les objectifs dans les délais, Elon Musk pourrait obtenir l’équivalent de 12 % du capital actuel en plus. Au 12 septembre, il détenait déjà environ 12,4 % des actions via un trust (413 millions de titres) et a reçu 96 millions d’actions supplémentaires en août au titre du plan de 2018, retoqué à deux reprises par la justice avant d’être soumis une troisième fois au vote des actionnaires.

S’il parvenait à remplir tous ses objectifs, Elon Musk empocherait l’équivalent de 275 millions de dollars par jour. De quoi sans doute lui permettre de conforter un peu plus sa première place d’homme le plus riche du monde.

Tesla reste une valeur boursière à part

Le parcours boursier de Tesla a été contrasté cette année. Le titre progresse de 17 % depuis le début de l’année. Parmi les géants de la tech, c’est moins bien que Nvidia (+35%) ou Alphabet (+50%), mais mieux qu’Apple (+10%). Reste qu’en tant que constructeur automobile, Tesla reste et de loin la première capitalisation boursière avec une capitalisation de 1 170 milliards d’euros. A titre de comparaison, Renault c’est 10,5 milliards !

Ce qui porte le cours de l’action, ce ne sont pas les vente de voitures Tesla en baisse depuis 2024, mais les perspectives du groupe sur le marché des véhicules autonomes, dans l’IA ou encore dans la robotique.

L’activisme de Musk : un manque à gagner colossal sur le marché américain !

Si Elon Musk a reçu un large soutien des actionnaires, une étude récemment publiée met en lumière le coût économique de son activisme politique pour la marque. Selon le National Bureau of Economic Research (NBER), entre octobre 2022 et avril 2025, Tesla aurait perdu entre 1 et 1,26 million de ventes de véhicules. Les chercheurs estiment que les ventes américaines auraient été de 67 à 83 % plus élevées sans les prises de position du dirigeant.

Image : Etsy

Le plus inquiétant c’est que cette étude porte uniquement sur le marché américain. Si on prend 40 000 $ comme prix de vente moyen d’une Tesla, c’est un manque à gagner de 40 milliards de dollars.

Sans cet impact politique, Tesla aurait peut-être pu conserver cette année sa première place mondiale sur le marché des véhicules électriques. En toute logique, elle devrait revenir au géant chinois BYD.

Le tournant : le rachat de X en 2022

Toujours selon les responsables du NBER, le point de bascule remonte à octobre 2022, date du rachat de X par Elon Musk et moment à partir duquel l’homme d’affaire a commencé à multiplier les frasques sur les réseaux sociaux. Les choses n’ont fait ensuite qu’empirer avec son engagement très marqué dans la campagne présidentielle américaine.

Jusqu’à cette date, les experts ont remarqué que « davantage de comtés à majorité démocrate manifestaient une propension croissante à acheter des Tesla, probablement en raison de préoccupations environnementales et d’une meilleure connaissance de la marque. Cependant, cette tendance s’inverse après ».

Image : Tesla

Évidemment, affirmer que les difficultés commerciales de Tesla depuis début 2024 sont liées uniquement aux prises de position de Musk est sans doute trop simpliste. Le Cybertruck, sur lequel misait beaucoup Tesla, est un échec commercial cuisant. Enfin, il y aurait sans doute un point que les actionnaires pourraient bien reprocher à Musk : celui de s’être beaucoup éparpillé avec ses nombreuses aventures entrepreneuriales.

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Publicités trompeuses : un marché de 16 milliards de dollars pour Facebook ?

Selon des documents consultés par Reuters, Meta estimait que 10 % de son chiffre d’affaires en 2024 proviendrait de publicités pour des arnaques ou des produits interdits, soit environ 16 milliards de dollars. Autre chiffre édifiant : ses plateformes afficheraient 15 milliards de publicités frauduleuses par jour.

Image : Austin Distel / Unsplash

15 milliards de pubs frauduleuses par jour

Le rapport de Reuters, qui risque de faire beaucoup de bruit, indique que Meta peine à juguler ce phénomène, lequel génère à lui seul selon un autre document internet 7 milliards de dollars de revenus annuels. L’entreprise a mis en place des systèmes afin d’identifier une grande partie de ces annonces suspectes. Mais, selon les documents internes, elle ne bannit un annonceur que si ses algorithmes estiment à au moins 95 % qu’il s’agit effectivement d’une arnaque.

Là où Meta se révèle particulièrement retorse, c’est dans sa gestion des annonceurs jugés « douteux ». Lorsqu’elle n’atteint pas ce seuil de certitude, mais considère qu’il y a tout de même un risque élevé, la plateforme augmente les tarifs publicitaires appliqués à ces annonceurs. Officiellement, il s’agit de les dissuader de poursuivre leurs campagnes.

Un système de personnalisation qui aggrave le problème

Par ailleurs, les documents précisent que les utilisateurs qui cliquent sur ce type de publicités ont tendance à en voir davantage ensuite. Le système de personnalisation de Meta déduit en effet que l’utilisateur est intéressé par ce contenu et lui en sert plus.

image: Adem AY / Unsplash

Les documents obtenus par Reuters ont été rédigés entre 2021 et 2025 dans les divisions finance, lobbying, ingénierie et sécurité du groupe. Ils montrent une entreprise qui cherche à quantifier l’ampleur du phénomène, mais réfrène ses propres réponses, de peur de nuire à ses intérêts économiques.

Interrogé par Reuters, le porte-parole de Meta, Andy Stone, a dénoncé une lecture « sélective » qui, selon lui, « déforme l’approche de Meta face aux fraudes ». Il assure que l’estimation de 10,1 % du chiffre d’affaires était « grossière » et surestimée. Il avance que Meta aurait réduit de 58 % les signalements d’arnaques publicitaires en 18 mois, et supprimé 134 millions de contenus frauduleux depuis le début de l’année 2025.

Reste que les documents internes procurés par Reuters dépeignent une tout autre réalité. Ils indiquent que les propres analyses de Meta suggèrent que ses plateformes jouent aujourd’hui un rôle central dans l’économie mondiale de la fraude. Une présentation de mai 2025, réalisée par les équipes chargées de la sécurité, estime que les services du groupe seraient impliqués dans un tiers des arnaques réussies aux États-Unis.

Google ferait mieux : un constat interne embarrassant

D’autres documents internes reconnaissent par ailleurs que certains concurrents font mieux pour repérer et bloquer les publicités frauduleuses. « Il est plus facile de faire de la publicité pour des arnaques sur les plateformes de Meta que sur Google », conclut ainsi une analyse interne datant d’avril 2025, qui se base sur des échanges au sein de communautés en ligne fréquentées par des escrocs. Le document ne précise pas les raisons détaillées de cette observation.

Mark Zuckerberg. Crédits : Anthony Quintano (CC BY 2.0)

Pour Meta, ces révélations tombent au plus mauvais des moments. De nombreuses autorités de régulation s’intéressent de plus en plus à ce phénomène, et à la manière dont Meta tente de le régler. En interne, on estime d’ores et déjà que des amendes sont inévitables. Un document estime qu’elles pourraient atteindre le milliard de dollars, mais c’est assez dérisoire par rapport aux sommes qu’elles rapportent. Certains documents laissent entendre que Meta ne réagira que lorsque la pression du législateur sera suffisamment forte. En attendant, c’est business as usual. Droit dans ses bottes, Andy Stone conteste cette interprétation : selon lui, il ne s’agit pas de la politique de l’entreprise. Chacun se fera sa propre opinion.

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Publicités trompeuses : un marché de 16 milliards de dollars pour Facebook ?

Selon des documents consultés par Reuters, Meta estimait que 10 % de son chiffre d’affaires en 2024 proviendrait de publicités pour des arnaques ou des produits interdits, soit environ 16 milliards de dollars. Autre chiffre édifiant : ses plateformes afficheraient 15 milliards de publicités frauduleuses par jour.

Image : Austin Distel / Unsplash

15 milliards de pubs frauduleuses par jour

Le rapport de Reuters, qui risque de faire beaucoup de bruit, indique que Meta peine à juguler ce phénomène, lequel génère à lui seul selon un autre document internet 7 milliards de dollars de revenus annuels. L’entreprise a mis en place des systèmes afin d’identifier une grande partie de ces annonces suspectes. Mais, selon les documents internes, elle ne bannit un annonceur que si ses algorithmes estiment à au moins 95 % qu’il s’agit effectivement d’une arnaque.

Là où Meta se révèle particulièrement retorse, c’est dans sa gestion des annonceurs jugés « douteux ». Lorsqu’elle n’atteint pas ce seuil de certitude, mais considère qu’il y a tout de même un risque élevé, la plateforme augmente les tarifs publicitaires appliqués à ces annonceurs. Officiellement, il s’agit de les dissuader de poursuivre leurs campagnes.

Un système de personnalisation qui aggrave le problème

Par ailleurs, les documents précisent que les utilisateurs qui cliquent sur ce type de publicités ont tendance à en voir davantage ensuite. Le système de personnalisation de Meta déduit en effet que l’utilisateur est intéressé par ce contenu et lui en sert plus.

image: Adem AY / Unsplash

Les documents obtenus par Reuters ont été rédigés entre 2021 et 2025 dans les divisions finance, lobbying, ingénierie et sécurité du groupe. Ils montrent une entreprise qui cherche à quantifier l’ampleur du phénomène, mais réfrène ses propres réponses, de peur de nuire à ses intérêts économiques.

Interrogé par Reuters, le porte-parole de Meta, Andy Stone, a dénoncé une lecture « sélective » qui, selon lui, « déforme l’approche de Meta face aux fraudes ». Il assure que l’estimation de 10,1 % du chiffre d’affaires était « grossière » et surestimée. Il avance que Meta aurait réduit de 58 % les signalements d’arnaques publicitaires en 18 mois, et supprimé 134 millions de contenus frauduleux depuis le début de l’année 2025.

Reste que les documents internes procurés par Reuters dépeignent une tout autre réalité. Ils indiquent que les propres analyses de Meta suggèrent que ses plateformes jouent aujourd’hui un rôle central dans l’économie mondiale de la fraude. Une présentation de mai 2025, réalisée par les équipes chargées de la sécurité, estime que les services du groupe seraient impliqués dans un tiers des arnaques réussies aux États-Unis.

Google ferait mieux : un constat interne embarrassant

D’autres documents internes reconnaissent par ailleurs que certains concurrents font mieux pour repérer et bloquer les publicités frauduleuses. « Il est plus facile de faire de la publicité pour des arnaques sur les plateformes de Meta que sur Google », conclut ainsi une analyse interne datant d’avril 2025, qui se base sur des échanges au sein de communautés en ligne fréquentées par des escrocs. Le document ne précise pas les raisons détaillées de cette observation.

Mark Zuckerberg. Crédits : Anthony Quintano (CC BY 2.0)

Pour Meta, ces révélations tombent au plus mauvais des moments. De nombreuses autorités de régulation s’intéressent de plus en plus à ce phénomène, et à la manière dont Meta tente de le régler. En interne, on estime d’ores et déjà que des amendes sont inévitables. Un document estime qu’elles pourraient atteindre le milliard de dollars, mais c’est assez dérisoire par rapport aux sommes qu’elles rapportent. Certains documents laissent entendre que Meta ne réagira que lorsque la pression du législateur sera suffisamment forte. En attendant, c’est business as usual. Droit dans ses bottes, Andy Stone conteste cette interprétation : selon lui, il ne s’agit pas de la politique de l’entreprise. Chacun se fera sa propre opinion.

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Les puces Apple vont coûter plus cher : TSMC relève ses prix

Selon la presse coréenne, TSMC a informé ses principaux partenaires de son intention d’augmenter ses tarifs. Le fondeur taïwanais prévoit de relever le prix de ses procédés de gravure les plus avancés, ceux en dessous de 5 nm. Seraient concernées chez Apple les puces A16, A17, A18, A19 ainsi que les M3, M4 et M5, sans oublier les SoC pour Apple Watch. La hausse serait comprise entre 8 et 10 % et interviendrait l’année prochaine.

Cette évolution ne surprendra pas grand monde. L’industrie des semi-conducteurs traverse une phase d’inflation marquée. C’est vrai pour les puces, mais également pour la mémoire vive et la mémoire flash, dont certains tarifs ont bondi jusqu’à 170 %. Le phénomène est largement alimenté par l’essor de l’intelligence artificielle, qui consomme des volumes considérables de composants. Les accords récemment conclus entre OpenAI, AMD ou encore Nvidia en sont une illustration parlante.

Nvidia investit 100 milliards dans OpenAI

Nvidia investit 100 milliards dans OpenAI

Le prix de la mémoire vive en très forte hausse : +170 %, et ça ne risque pas de s

Le prix de la mémoire vive en très forte hausse : +170 %, et ça ne risque pas de s'arrêter

À ce stade, il est difficile d’évaluer l’impact concret sur les produits Apple. D’après un rapport de DigiTimes publié l’an dernier, la puce A18 revenait environ à 45 dollars à Apple. Sur un iPhone vendu 799 dollars, le coût total des composants atteignait autour de 416 dollars. Autrement dit, le processeur pèse déjà 10 % du coût des éléments matériels de l’appareil, et entre 5 et 6 % de son prix public, sans prendre en compte la logistique ou les dépenses de développement.

Une puce A20 encore plus coûteuse

La situation pourrait être plus sensible encore avec l’A20, attendue dans la prochaine génération d’iPhone. Cette puce inaugurera la gravure en 2 nm, un saut technologique majeur.

Le 2 nm s’annonce salé : Apple pourrait payer (beaucoup) plus cher ses puces A20 pour l

Le 2 nm s’annonce salé : Apple pourrait payer (beaucoup) plus cher ses puces A20 pour l'iPhone 18 Pro

Entre la mise au point de cette nouvelle finesse de gravure et les hausses tarifaires successives, les estimations évoquent une augmentation d’au moins 50 % du coût unitaire par rapport aux modèles en 3 nm.

Apple dispose néanmoins de quelques leviers pour contenir la facture. Dès l’an prochain, l’ensemble de la gamme d’iPhone devrait embarquer des puces maison pour le Bluetooth, le Wi-Fi — c’est déjà le cas — et la connexion cellulaire. Cela signifie autant de licences et de coûts d’approvisionnement en moins auprès de Qualcomm et Broadcom.

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Les puces Apple vont coûter plus cher : TSMC relève ses prix

Selon la presse coréenne, TSMC a informé ses principaux partenaires de son intention d’augmenter ses tarifs. Le fondeur taïwanais prévoit de relever le prix de ses procédés de gravure les plus avancés, ceux en dessous de 5 nm. Seraient concernées chez Apple les puces A16, A17, A18, A19 ainsi que les M3, M4 et M5, sans oublier les SoC pour Apple Watch. La hausse serait comprise entre 8 et 10 % et interviendrait l’année prochaine.

Cette évolution ne surprendra pas grand monde. L’industrie des semi-conducteurs traverse une phase d’inflation marquée. C’est vrai pour les puces, mais également pour la mémoire vive et la mémoire flash, dont certains tarifs ont bondi jusqu’à 170 %. Le phénomène est largement alimenté par l’essor de l’intelligence artificielle, qui consomme des volumes considérables de composants. Les accords récemment conclus entre OpenAI, AMD ou encore Nvidia en sont une illustration parlante.

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Le prix de la mémoire vive en très forte hausse : +170 %, et ça ne risque pas de s'arrêter

À ce stade, il est difficile d’évaluer l’impact concret sur les produits Apple. D’après un rapport de DigiTimes publié l’an dernier, la puce A18 revenait environ à 45 dollars à Apple. Sur un iPhone vendu 799 dollars, le coût total des composants atteignait autour de 416 dollars. Autrement dit, le processeur pèse déjà 10 % du coût des éléments matériels de l’appareil, et entre 5 et 6 % de son prix public, sans prendre en compte la logistique ou les dépenses de développement.

Une puce A20 encore plus coûteuse

La situation pourrait être plus sensible encore avec l’A20, attendue dans la prochaine génération d’iPhone. Cette puce inaugurera la gravure en 2 nm, un saut technologique majeur.

Le 2 nm s’annonce salé : Apple pourrait payer (beaucoup) plus cher ses puces A20 pour l

Le 2 nm s’annonce salé : Apple pourrait payer (beaucoup) plus cher ses puces A20 pour l'iPhone 18 Pro

Entre la mise au point de cette nouvelle finesse de gravure et les hausses tarifaires successives, les estimations évoquent une augmentation d’au moins 50 % du coût unitaire par rapport aux modèles en 3 nm.

Apple dispose néanmoins de quelques leviers pour contenir la facture. Dès l’an prochain, l’ensemble de la gamme d’iPhone devrait embarquer des puces maison pour le Bluetooth, le Wi-Fi — c’est déjà le cas — et la connexion cellulaire. Cela signifie autant de licences et de coûts d’approvisionnement en moins auprès de Qualcomm et Broadcom.

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macOS Tahoe 26.2 bêta 1 enfin disponible au téléchargement

Il suffisait qu’on se questionne de ce retard pour qu’Apple réagisse. Avec deux jours de retard sur les autres bêtas, la Pomme propose au téléchargement macOS 26.2 bêta 1.

Mais où est la version bêta de macOS 26.2 ?

Mais où est la version bêta de macOS 26.2 ?

Pour installer cette version, il faut se rendre dans Réglages système > Général > Mise à jour de logiciels et activer les mises à jour bêta. Comme toujours, l’accès nécessite un compte développeur. On ne connait pas pour l’heure les changements apportés par cette version.

iOS 26.2 en bêta publique

Dans le même temps, la bêta publique d’iOS 26.2 est mise à disposition, accompagnée d’iPadOS, watchOS et des autres systèmes. Publiée mardi, cette version apporte plusieurs nouveautés notables.

iOS 26.2 active enfin la traduction instantanée avec les AirPods en Europe, mais supprime au passage la synchronisation automatique des réseaux Wi-Fi entre l’iPhone et l’Apple Watch. L’écran verrouillé gagne un réglage plus fin de l’effet Liquid Glass sur l’horloge, et Freeform accueille les tableaux. L’app Rappels peut désormais déclencher une alarme « urgente », tandis que Podcasts s’enrichit de chapitres générés automatiquement et de nouveaux liens contextuels. Enfin, watchOS 26.2 revoit l’échelle du score de sommeil, avec une appréciation moins généreuse des nuits moyennes.

iOS 26.2 bêta 1 : toutes les nouveautés

iOS 26.2 bêta 1 : toutes les nouveautés

Depuis, une autre nouveauté a été repérée : les paroles d’Apple Music peuvent être consultées hors ligne.

iOS 26.2 : les paroles d’Apple Music enfin disponibles hors ligne

iOS 26.2 : les paroles d’Apple Music enfin disponibles hors ligne

Attention cependant, tout n’est pas rose avec iOS 26.2 bêta 1. Dans la nuit hier, Apple a cessé de distribuer cette bêta sur iPhone Air, iPhone 16e et iPad Pro M5 Cellulaire. Apple ne motive pas pour l’heure ce changement. Les trois appareils concernés ont toutefois un point en commun : ils embarquent les modems C1 ou C1X développés en interne. On peut donc supposer qu’un bug dans la bêta d’iOS 26.2 touche spécifiquement ces nouvelles puces réseau.

iOS 26.2 : Apple stoppe la bêta sur iPhone Air, iPhone 16e et iPad Pro M5 Cellulaire

iOS 26.2 : Apple stoppe la bêta sur iPhone Air, iPhone 16e et iPad Pro M5 Cellulaire

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macOS Tahoe 26.2 bêta 1 enfin disponible au téléchargement

Il suffisait qu’on se questionne de ce retard pour qu’Apple réagisse. Avec deux jours de retard sur les autres bêtas, la Pomme propose au téléchargement macOS 26.2 bêta 1.

Mais où est la version bêta de macOS 26.2 ?

Mais où est la version bêta de macOS 26.2 ?

Pour installer cette version, il faut se rendre dans Réglages système > Général > Mise à jour de logiciels et activer les mises à jour bêta. Comme toujours, l’accès nécessite un compte développeur. On ne connait pas pour l’heure les changements apportés par cette version.

iOS 26.2 en bêta publique

Dans le même temps, la bêta publique d’iOS 26.2 est mise à disposition, accompagnée d’iPadOS, watchOS et des autres systèmes. Publiée mardi, cette version apporte plusieurs nouveautés notables.

iOS 26.2 active enfin la traduction instantanée avec les AirPods en Europe, mais supprime au passage la synchronisation automatique des réseaux Wi-Fi entre l’iPhone et l’Apple Watch. L’écran verrouillé gagne un réglage plus fin de l’effet Liquid Glass sur l’horloge, et Freeform accueille les tableaux. L’app Rappels peut désormais déclencher une alarme « urgente », tandis que Podcasts s’enrichit de chapitres générés automatiquement et de nouveaux liens contextuels. Enfin, watchOS 26.2 revoit l’échelle du score de sommeil, avec une appréciation moins généreuse des nuits moyennes.

iOS 26.2 bêta 1 : toutes les nouveautés

iOS 26.2 bêta 1 : toutes les nouveautés

Depuis, une autre nouveauté a été repérée : les paroles d’Apple Music peuvent être consultées hors ligne.

iOS 26.2 : les paroles d’Apple Music enfin disponibles hors ligne

iOS 26.2 : les paroles d’Apple Music enfin disponibles hors ligne

Attention cependant, tout n’est pas rose avec iOS 26.2 bêta 1. Dans la nuit hier, Apple a cessé de distribuer cette bêta sur iPhone Air, iPhone 16e et iPad Pro M5 Cellulaire. Apple ne motive pas pour l’heure ce changement. Les trois appareils concernés ont toutefois un point en commun : ils embarquent les modems C1 ou C1X développés en interne. On peut donc supposer qu’un bug dans la bêta d’iOS 26.2 touche spécifiquement ces nouvelles puces réseau.

iOS 26.2 : Apple stoppe la bêta sur iPhone Air, iPhone 16e et iPad Pro M5 Cellulaire

iOS 26.2 : Apple stoppe la bêta sur iPhone Air, iPhone 16e et iPad Pro M5 Cellulaire

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macOS Tahoe 26.1 : des correctifs importants pour l’audio

Lors de la sortie de macOS Tahoe 26, Rogue Amoeba avait conseillé à ses utilisateurs d’attendre un peu avant de faire la mise à jour. L’éditeur qui propose plusieurs applications dans le domaine de l’audio, avait trouvé notamment deux bogues importants susceptibles d’entraîner des pertes audio.

L’app Fission de Rogue Amoeba

Dans ce domaine, macOS 26.1 règle un grand nombre de problèmes. Voici les changements notés par l’éditeur :

L’audio FaceTime et Téléphone ne se perd plus Un bug critique introduit avec macOS 26.0 pouvait provoquer des pertes audio lors des captures depuis FaceTime ou la nouvelle app Téléphone. Ce problème est corrigé avec macOS 26.1 : l’enregistrement audio depuis ces applications fonctionne désormais normalement.

Les différences de fréquences d’échantillonnage ne bloquent plus la capture audio Un second bug pouvait empêcher la capture audio lorsque la sortie secondaire n’utilisait pas la même fréquence d’échantillonnage que la sortie audio principale du système. Ce comportement a été corrigé dans macOS 26.1.

Amélioration de la capture audio depuis Safari en 44,1 kHz Lorsque la sortie audio du Mac était réglée en 44,1 kHz, l’audio provenant de Safari pouvait présenter des clics ou des micro-coupures lors de la capture. Ce problème est désormais résolu.

Un « Dis Siri » plus fiable Dans certains cas, la reconnaissance vocale pouvait échouer lorsque l’on capturait de l’audio. Avec macOS 26.1, « Dis Siri » fonctionne désormais comme prévu, même pendant une capture.

La capture à basse fréquence d’échantillonnage fonctionne à nouveau correctement Dans les dernières versions de macOS 15 (Sequoia), la capture pouvait échouer lorsque l’audio était émis à de faibles fréquences d’échantillonnage. Sur Tahoe, ce cas ne pose plus de problème.

Compatibilité améliorée avec certains appareils audio avancés Sur les anciennes versions de macOS, des interfaces audio comme celles de MOTU ou Apogee pouvaient produire un mauvais flux audio en capture, ou faire entendre du silence à la place du signal attendu. Les correctifs de macOS 26.1 améliorent la gestion de ces périphériques.

Filtre passe-bas moins agressif Avant macOS 26.1, le système appliquait automatiquement un filtre passe-bas marqué lors des captures audio. Ce filtre est désormais beaucoup moins prononcé.

Restrictions levées sur macOS Tahoe

L’éditeur recommande traditionnellement la prudence lorsqu’il s’agit de mettre à jour macOS. Toutefois, avec la version 26.1, les correctifs apportés rendent Tahoe suffisamment stable pour être conseillée dans la plupart des cas. Selon Rogue Amoeba, c’est aujourd’hui la version la plus appropriée pour la majorité des utilisateurs.

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macOS Tahoe 26.1 : des correctifs importants pour l’audio

Lors de la sortie de macOS Tahoe 26, Rogue Amoeba avait conseillé à ses utilisateurs d’attendre un peu avant de faire la mise à jour. L’éditeur qui propose plusieurs applications dans le domaine de l’audio, avait trouvé notamment deux bogues importants susceptibles d’entraîner des pertes audio.

L’app Fission de Rogue Amoeba

Dans ce domaine, macOS 26.1 règle un grand nombre de problèmes. Voici les changements notés par l’éditeur :

L’audio FaceTime et Téléphone ne se perd plus Un bug critique introduit avec macOS 26.0 pouvait provoquer des pertes audio lors des captures depuis FaceTime ou la nouvelle app Téléphone. Ce problème est corrigé avec macOS 26.1 : l’enregistrement audio depuis ces applications fonctionne désormais normalement.

Les différences de fréquences d’échantillonnage ne bloquent plus la capture audio Un second bug pouvait empêcher la capture audio lorsque la sortie secondaire n’utilisait pas la même fréquence d’échantillonnage que la sortie audio principale du système. Ce comportement a été corrigé dans macOS 26.1.

Amélioration de la capture audio depuis Safari en 44,1 kHz Lorsque la sortie audio du Mac était réglée en 44,1 kHz, l’audio provenant de Safari pouvait présenter des clics ou des micro-coupures lors de la capture. Ce problème est désormais résolu.

Un « Dis Siri » plus fiable Dans certains cas, la reconnaissance vocale pouvait échouer lorsque l’on capturait de l’audio. Avec macOS 26.1, « Dis Siri » fonctionne désormais comme prévu, même pendant une capture.

La capture à basse fréquence d’échantillonnage fonctionne à nouveau correctement Dans les dernières versions de macOS 15 (Sequoia), la capture pouvait échouer lorsque l’audio était émis à de faibles fréquences d’échantillonnage. Sur Tahoe, ce cas ne pose plus de problème.

Compatibilité améliorée avec certains appareils audio avancés Sur les anciennes versions de macOS, des interfaces audio comme celles de MOTU ou Apogee pouvaient produire un mauvais flux audio en capture, ou faire entendre du silence à la place du signal attendu. Les correctifs de macOS 26.1 améliorent la gestion de ces périphériques.

Filtre passe-bas moins agressif Avant macOS 26.1, le système appliquait automatiquement un filtre passe-bas marqué lors des captures audio. Ce filtre est désormais beaucoup moins prononcé.

Restrictions levées sur macOS Tahoe

L’éditeur recommande traditionnellement la prudence lorsqu’il s’agit de mettre à jour macOS. Toutefois, avec la version 26.1, les correctifs apportés rendent Tahoe suffisamment stable pour être conseillée dans la plupart des cas. Selon Rogue Amoeba, c’est aujourd’hui la version la plus appropriée pour la majorité des utilisateurs.

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AirPods Pro 3 : un capteur cardiaque performant, sous conditions

La grande curiosité des AirPods Pro 3, c’est leur capteur de fréquence cardiaque. Est-il réellement performant ? Dans quelles conditions est-il pertinent ? Et comment se positionne-t-il face aux solutions déjà établies ?

Ces questions sont relativement nouvelles. La mesure de la fréquence cardiaque via les oreilles est une technologie relativement récente. Elle n’a pas le « track-record » des ceintures cardio ou des cardiofréquencemètres optiques. Pourtant, cette nouvelle technologie, que l’on trouve dans les AirPods Pro 3, a démontré d’excellentes performances.

À ce petit jeu, les meilleurs résultats sont offerts par les ceintures cardio, comme la Polar H10. Toutefois, porter une ceinture cardio n’est jamais confortable et cela fait un appareil de plus à gérer. Les cardiofréquencemètres optiques lorsqu’ils sont portés aux poignets ne sont pas toujours précis, notamment lorsque vous faites des exercices sollicitant beaucoup les bras.

Alors, qu’est-ce que les AirPods Pro 3 ont dans le ventre ? Après avoir fait rapidement un premier test après leur sortie, The Quantified Scientist a publié une nouvelle vidéo avec des tests plus poussés.

Initialement, ses premières impressions étaient excellentes. Deux mois plus tard, ses tests approfondis restent très positifs, mais un peu plus nuancés.

Surprise : les AirPods Pro 3 rivalisent avec les meilleures montres cardio

Surprise : les AirPods Pro 3 rivalisent avec les meilleures montres cardio

Toujours excellents pour le cyclisme

Certaines appréciations sont identiques deux mois après. Pour le cyclisme en intérieur, les résultats sont excellents et presque identiques à ceux d'une ceinture comme la Polar H10, qui est son maitre étalon pour les tests.

Pour le cyclisme en extérieur1, ils sont également très bons. Il obtient une corrélation de 0,99, mais note de rares moments où l'appareil cesse brièvement de détecter la fréquence cardiaque. Malgré cela, pour ce type d’activité, les AirPods Pro 3 restent dans le haut du panier.

Des résultats plus mitigés pour la course à pied et la musculation

Comme lors de ses premiers tests, les performances proposées par les AirPods Pro 3 ne sont pas totalement à la hauteur de ses attentes. Il a effectué plusieurs courses, beaucoup jonglé avec les différents embouts, mais a noté à bien des reprises des détections erronées de la fréquence cardiaque ou des « drop outs », des moments où les écouteurs étaient incapables de mesurer la fréquence cardiaque.

Dans son cas, il estime que les données fournies par Apple sont inutilisables. Pour la musculation, son avis a légèrement varié. C’était un domaine où les écouteurs d’Apple tiraient particulièrement leur épingle du jeu. Avec une corrélation de 0,96, les résultats sont « assez bons » selon lui, notamment lors d'exercices effectués debout. Cependant, des pertes de mesure ont été constatées lorsque le testeur était allongé sur un banc.

Il convient cela dit, de prendre ses résultats avec des pincettes. À la fin, c’est avant tout une affaire de morphologie. Et c’est là où les choses deviennent complexes : ce n’est pas parce que les AirPods Pro 3 tiennent parfaitement dans vos oreilles pour écouter de la musique, qu’ils sont dans la meilleure position pour mesurer votre fréquence cardiaque.

AirPods Pro 3 : pourquoi le test des embouts n’est pas à prendre à la légère

AirPods Pro 3 : pourquoi le test des embouts n’est pas à prendre à la légère

Encore une histoire de morphologie

The Quantified Scientist le reconnait volontiers. Il a confié une paire d’AirPods Pro 3 à une autre personne qui obtient de bien meilleurs résultats lorsqu’elle fait de la musculation.

J’ai analysé mes relevés lors de mes séances de reprise de course à pied. Pour l’heure, je n’ai pas noté de résultats farfelus comme je pouvais en avoir parfois avec l’Apple Watch. Lors de séance de fitness, le cardiofréquencemètre de l’Apple Watch pouvait s’égarer pendant de longues minutes. Avec les AirPods Pro 3, je n’ai jamais eu ce type de soucis.

De mon point de vue, le capteur des AirPods Pro 3 ravira tous ceux qui fréquentent assidument les salles de sport. C’est sans doute avec les bracelets de type Coros qui se placent sur le biceps, le meilleur compromis.

Test des AirPods Pro 3 : un vrai coup de cœur

Test des AirPods Pro 3 : un vrai coup de cœur

Si la praticité est le critère principal, les AirPods Pro 3 méritent clairement l’attention. Si la précision absolue est prioritaire, une ceinture thoracique restera préférable. Comme souvent, tout dépend de l’usage.


  1. On rappellera à toutes fins utiles que certains pays tolèrent l’utilisation d’écouteurs en vélo.  ↩︎

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AirPods Pro 3 : un capteur cardiaque performant, sous conditions

La grande curiosité des AirPods Pro 3, c’est leur capteur de fréquence cardiaque. Est-il réellement performant ? Dans quelles conditions est-il pertinent ? Et comment se positionne-t-il face aux solutions déjà établies ?

Ces questions sont relativement nouvelles. La mesure de la fréquence cardiaque via les oreilles est une technologie relativement récente. Elle n’a pas le « track-record » des ceintures cardio ou des cardiofréquencemètres optiques. Pourtant, cette nouvelle technologie, que l’on trouve dans les AirPods Pro 3, a démontré d’excellentes performances.

À ce petit jeu, les meilleurs résultats sont offerts par les ceintures cardio, comme la Polar H10. Toutefois, porter une ceinture cardio n’est jamais confortable et cela fait un appareil de plus à gérer. Les cardiofréquencemètres optiques lorsqu’ils sont portés aux poignets ne sont pas toujours précis, notamment lorsque vous faites des exercices sollicitant beaucoup les bras.

Alors, qu’est-ce que les AirPods Pro 3 ont dans le ventre ? Après avoir fait rapidement un premier test après leur sortie, The Quantified Scientist a publié une nouvelle vidéo avec des tests plus poussés.

Initialement, ses premières impressions étaient excellentes. Deux mois plus tard, ses tests approfondis restent très positifs, mais un peu plus nuancés.

Surprise : les AirPods Pro 3 rivalisent avec les meilleures montres cardio

Surprise : les AirPods Pro 3 rivalisent avec les meilleures montres cardio

Toujours excellents pour le cyclisme

Certaines appréciations sont identiques deux mois après. Pour le cyclisme en intérieur, les résultats sont excellents et presque identiques à ceux d'une ceinture comme la Polar H10, qui est son maitre étalon pour les tests.

Pour le cyclisme en extérieur1, ils sont également très bons. Il obtient une corrélation de 0,99, mais note de rares moments où l'appareil cesse brièvement de détecter la fréquence cardiaque. Malgré cela, pour ce type d’activité, les AirPods Pro 3 restent dans le haut du panier.

Des résultats plus mitigés pour la course à pied et la musculation

Comme lors de ses premiers tests, les performances proposées par les AirPods Pro 3 ne sont pas totalement à la hauteur de ses attentes. Il a effectué plusieurs courses, beaucoup jonglé avec les différents embouts, mais a noté à bien des reprises des détections erronées de la fréquence cardiaque ou des « drop outs », des moments où les écouteurs étaient incapables de mesurer la fréquence cardiaque.

Dans son cas, il estime que les données fournies par Apple sont inutilisables. Pour la musculation, son avis a légèrement varié. C’était un domaine où les écouteurs d’Apple tiraient particulièrement leur épingle du jeu. Avec une corrélation de 0,96, les résultats sont « assez bons » selon lui, notamment lors d'exercices effectués debout. Cependant, des pertes de mesure ont été constatées lorsque le testeur était allongé sur un banc.

Il convient cela dit, de prendre ses résultats avec des pincettes. À la fin, c’est avant tout une affaire de morphologie. Et c’est là où les choses deviennent complexes : ce n’est pas parce que les AirPods Pro 3 tiennent parfaitement dans vos oreilles pour écouter de la musique, qu’ils sont dans la meilleure position pour mesurer votre fréquence cardiaque.

AirPods Pro 3 : pourquoi le test des embouts n’est pas à prendre à la légère

AirPods Pro 3 : pourquoi le test des embouts n’est pas à prendre à la légère

Encore une histoire de morphologie

The Quantified Scientist le reconnait volontiers. Il a confié une paire d’AirPods Pro 3 à une autre personne qui obtient de bien meilleurs résultats lorsqu’elle fait de la musculation.

J’ai analysé mes relevés lors de mes séances de reprise de course à pied. Pour l’heure, je n’ai pas noté de résultats farfelus comme je pouvais en avoir parfois avec l’Apple Watch. Lors de séance de fitness, le cardiofréquencemètre de l’Apple Watch pouvait s’égarer pendant de longues minutes. Avec les AirPods Pro 3, je n’ai jamais eu ce type de soucis.

De mon point de vue, le capteur des AirPods Pro 3 ravira tous ceux qui fréquentent assidument les salles de sport. C’est sans doute avec les bracelets de type Coros qui se placent sur le biceps, le meilleur compromis.

Test des AirPods Pro 3 : un vrai coup de cœur

Test des AirPods Pro 3 : un vrai coup de cœur

Si la praticité est le critère principal, les AirPods Pro 3 méritent clairement l’attention. Si la précision absolue est prioritaire, une ceinture thoracique restera préférable. Comme souvent, tout dépend de l’usage.


  1. On rappellera à toutes fins utiles que certains pays tolèrent l’utilisation d’écouteurs en vélo.  ↩︎

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iOS 26.2 : Apple stoppe la bêta sur iPhone Air, iPhone 16e et iPad Pro M5 Cellulaire

Apple a suspendu la diffusion d’iOS 26.2 et d’iPadOS 26.2 pour certains modèles. L’iPhone Air, l’iPhone 16e et les versions cellulaires des nouveaux iPad Pro M5 ne peuvent plus installer la première bêta de ces mises à jour. Les autres appareils ne sont pas concernés.

Les modèles équipés des modems C1 et C1X en cause

Apple n’explique pas ce changement pour le moment. Les trois appareils mentionnés partagent cependant un point commun : ils utilisent les nouveaux modems C1 ou C1X conçus par Apple. Il est donc plausible que la bêta d’iOS 26.2 contienne un bug affectant spécifiquement ces puces réseau.

Vers une nouvelle préversion dans les prochains jours

Initialement, la mise à jour continuait d’apparaître dans Réglages si l’appareil était inscrit au programme développeurs, mais l’installation échouait systématiquement. Depuis, Apple est allé plus loin : la mise à jour n’apparaît plus du tout sur les appareils concernés. Autrement dit, impossible de tenter une installation, même en étant inscrit au programme bêta.

Difficile de savoir combien de temps Apple prendra pour corriger le tir. Il faudra probablement attendre la bêta 2 d’iOS 26.2. En attendant, Apple a de nouveau publié la Release Candidate d’iOS 26.1 pour les appareils en question. Cela permet aux utilisateurs déjà sous les précédentes versions bêta de mettre à jour vers une version plus stable sans quitter le programme bêta.

L’analyste Max Weinbach rapporte qu’après avoir tenté d’installer la mise à jour, son iPad Pro M5 a démarré en mode récupération. Il a pu restaurer sa tablette sous iPadOS 26.1, sans perte de données majeure.

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iOS 26.2 : Apple stoppe la bêta sur iPhone Air, iPhone 16e et iPad Pro M5 Cellulaire

Apple a suspendu la diffusion d’iOS 26.2 et d’iPadOS 26.2 pour certains modèles. L’iPhone Air, l’iPhone 16e et les versions cellulaires des nouveaux iPad Pro M5 ne peuvent plus installer la première bêta de ces mises à jour. Les autres appareils ne sont pas concernés.

Les modèles équipés des modems C1 et C1X en cause

Apple n’explique pas ce changement pour le moment. Les trois appareils mentionnés partagent cependant un point commun : ils utilisent les nouveaux modems C1 ou C1X conçus par Apple. Il est donc plausible que la bêta d’iOS 26.2 contienne un bug affectant spécifiquement ces puces réseau.

Vers une nouvelle préversion dans les prochains jours

Initialement, la mise à jour continuait d’apparaître dans Réglages si l’appareil était inscrit au programme développeurs, mais l’installation échouait systématiquement. Depuis, Apple est allé plus loin : la mise à jour n’apparaît plus du tout sur les appareils concernés. Autrement dit, impossible de tenter une installation, même en étant inscrit au programme bêta.

Difficile de savoir combien de temps Apple prendra pour corriger le tir. Il faudra probablement attendre la bêta 2 d’iOS 26.2. En attendant, Apple a de nouveau publié la Release Candidate d’iOS 26.1 pour les appareils en question. Cela permet aux utilisateurs déjà sous les précédentes versions bêta de mettre à jour vers une version plus stable sans quitter le programme bêta.

L’analyste Max Weinbach rapporte qu’après avoir tenté d’installer la mise à jour, son iPad Pro M5 a démarré en mode récupération. Il a pu restaurer sa tablette sous iPadOS 26.1, sans perte de données majeure.

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Jusqu'à 360 € de cash back sur le MacBook Pro M5 et des offres intéressantes sur les Apple Watch Ultra 2 et AirPods Max

Rakuten propose aujourd’hui plusieurs produits Apple avec un niveau de cash-back élevé. Le MacBook Pro M5 à 1 799 € permet de récupérer jusqu’à 359,80 € sous forme de cash-back. Même principe pour l’Apple Watch Ultra 2 à 659 € (jusqu’à 131,80 € de cash-back) et les AirPods Pro Max à 499,99 € (jusqu’à 100 €). L’expédition est assurée par Darty dans le cas du MacBook Pro.

Le MacBook Pro M5 à 1 799 €, avec jusqu’à 359,80 € en cash-back

Rakuten en collaboration avec Darty, propose le nouveau portable d’Apple au prix de 1799 €. Il s’agit de son prix public. Là où les choses deviennent intéressantes, c’est sur le niveau de cash-back qui est proposé. En fonction de votre statut chez Rakuten, plus vous êtes un client fidèle, plus ce montant est élevé.

Concrètement, voilà ce que cela donne :

  • 179,90€ en RP pour les membres Regular
  • 215,88€ en RP pour les membres Silver
  • 269,85€ en RP pour les membres Gold
  • 359,80€ en RP pour les membres Platinum
Image : MacGeneration

L’adhésion au club est bien entendu gratuite. Donc, si vous faites votre premier achat chez Rakuten, vous obtiendrez 179,90 € à utiliser pour un achat ultérieur. Précisons que, dans le cas présent, la transaction est assurée par Rakuten, mais le vendeur en charge de l’expédition, c’est bien Darty.

Test du MacBook Pro M5 : ennuyeux mais terriblement efficace

Test du MacBook Pro M5 : ennuyeux mais terriblement efficace

Jusqu’à 130 € de cash-back sur une Apple Watch Ultra 2 et 100 € sur des AirPods Pro Max

Autre exemple intéressant : l’Apple Watch Ultra 2. Vous pouvez l’obtenir pour 659 €, un prix qui est relativement intéressant. À titre de comparaison, l’Apple Watch Ultra 3 est vendu 899 € en Apple Store. Précision : il s’agit d’un modèle d’importation.

Sur l’achat de ce modèle, vous obtiendrez 65,90 € en cash-back si vous êtes membre Regular. Et pour les membres Platinum, c’est encore mieux : vous obtiendrez le double de cette somme pour une commande ultérieure. De quoi s’acheter quelques bracelets…

Autre exemple intéressant : les AirPods Pro Max (USB-C) qui sont proposés à 499,99 €, soit une remise de 80 € sur le prix public. Il s’agit là également d’un produit d’import. En fonction de votre statut chez Rakuten, vous aurez entre 50 et 100 € de cashback.

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Navigateur : Dia reprend petit à petit les meilleures idées d'Arc

Lorsque The Browser Company a lancé Dia, l’éditeur a clairement raté son entrée. Fort du succès d’Arc, il a voulu repartir sur un navigateur recentré sur l’intelligence artificielle… en faisant table rase de nombreuses fonctions qui avaient fait le charme et l’originalité d’Arc. Résultat : les utilisateurs se sont sentis dépossédés.

Depuis quelques semaines, The Browser Company corrige le tir pour encourager les utilisateurs d’Arc à passer sur Dia. Dia avait déjà récupéré l’un des marqueurs forts d’Arc : le Focus Mode, qui masque la barre latérale et les onglets pour afficher une seule page en plein écran — idéal pour travailler ou lire sans distraction. Dans la foulée, son PDG, Josh Miller, avait promis que plusieurs des « meilleures idées d’Arc » seraient repensées et réintégrées dans Dia.

La mise à jour sortie en fin de semaine dernière va dans ce sens et apporte la fameuse mode barre latérale, autre élément très apprécié sur Arc.

J’ai passé une semaine avec ChatGPT Atlas en guise de navigateur principal

J’ai passé une semaine avec ChatGPT Atlas en guise de navigateur principal

Difficile de dire pour l’instant si cette stratégie fonctionnera. On peut toutefois espérer que certaines fonctions d’Arc finiront par inspirer Safari. On voit déjà des idées d’Arc réapparaître ailleurs. Dia se télécharge gratuitement sur le site de l’éditeur. Pour les fonctions liées à l’IA, un abonnement d’environ 20 $ par mois est proposé pour les usages plus intensifs.

Atlassian achète les navigateurs Arc et Dia pour les envoyer en entreprise

Atlassian achète les navigateurs Arc et Dia pour les envoyer en entreprise

Rappelons que The Browser Company a été achetée début septembre par Atlassian pour 610 millions de dollars. L’emballement actuel autour de l’IA et les perspectives d’abonnements récurrents expliquent sans doute en bonne partie un tel investissement.

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iOS 26.2 bêta 1 : toutes les nouveautés

Comme prévu, la semaine est chargée en mises à jour. Après avoir proposé lundi iOS 26.1, Apple enchaîne déjà avec iOS 26.2, dont la bêta est arrivée hier soir. Cette version, attendue pour la première quinzaine de décembre, apporte un nombre non négligeable de changements. 

Apple met en ligne les premières bêtas pour iOS 26.2 et les autres (sauf macOS Tahoe)

Apple met en ligne les premières bêtas pour iOS 26.2 et les autres (sauf macOS Tahoe)

Pour les utilisateurs européens, cette mise à jour est assez particulière. Côté pile : les AirPods gèreront la traduction instantanée. Côté face : nous perdrons la possibilité de synchroniser les réseaux Wi-Fi entre l’Apple Watch et l’iPhone. C’est bien évidemment frustrant, mais on peut tout de même affirmer qu’on y gagne au change.

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L'Apple Watch va perdre une fonction à cause de l'Union européenne et du DMA

Apple va activer la traduction en direct des AirPods en Europe avec iOS 26.2, dont la sortie est prévue en décembre

Apple va activer la traduction en direct des AirPods en Europe avec iOS 26.2, dont la sortie est prévue en décembre

Ecran verrouillé

Sur l’écran verrouillé, un curseur dédié à Liquid Glass permet d’ajuster l’apparence de l’horloge. Avec l’option Glass, vous pouvez faire varier l’effet : affichage presque entièrement transparent, ou rendu plus givré, plus texturé.

Il existe toujours une option Solid pour désactiver complètement l’effet Liquid Glass et obtenir une horloge opaque, si vous préférez quelque chose de plus classique. Les options de couleur pour l’horloge restent également disponibles.

Mots de passe

Dans les réglages de l’app Mots de passe, on trouve désormais une option permettant de gérer la liste des sites pour lesquels l’iPhone ne doit pas enregistrer les identifiants lors de la connexion.

Freeform

Les tableaux débarquent dans Freeform comme un outil supplémentaire parmi les nombreux déjà proposés. Depuis l’écran d’ajout de contenus, vous pouvez créer des tableaux de différentes tailles et y insérer du texte ou des listes.

Score de sommeil

Avec watchOS 26, l’Apple Watch attribue un score de sommeil de 0 à 100 basé sur trois critères : la durée du sommeil (50 points), l’heure du coucher (30 points) et les réveils nocturnes (20 points). Le score a souvent été jugé trop généreux, une nuit moyenne pouvant afficher autour de 80.

watchOS 26.2 : Apple durcit (un peu) l’échelle du score de sommeil

watchOS 26.2 : Apple durcit (un peu) l’échelle du score de sommeil

Avec watchOS 26.2, Apple a revu son barème d’appréciation :

  • Très faible : 0–40
  • Faible : 41–60
  • Correct : 61–80
  • Élevé : 81–95
  • Très élevé : 96–100 (anciennement « Excellent »)

Rappels

Dans l’app Rappels, une nouvelle option permet désormais de faire sonner une alarme quand un rappel arrive à échéance. Pour activer l’alarme, il suffit d’activer l’option « Urgent » lors de la création du rappel.

Quand l’alarme d’un rappel se déclenche, vous avez le choix entre Répéter (snooze) ou Arrêter. Si vous choisissez de répéter, un compte à rebours apparaît sur l’écran verrouillé, avec la possibilité de marquer le rappel comme terminé ou de le reprogrammer.

Apple distingue ces alarmes des alarmes classiques en leur attribuant une nouvelle couleur bleue.

Podcasts

L’app Podcasts gagne trois nouveautés :

  • des chapitres générés automatiquement,
  • la possibilité de voir les mentions d’autres podcasts directement depuis la transcription ou le lecteur,
  • et l’accès aux liens évoqués dans l’épisode depuis la page dédiée.

AirDrop

Ce n’est pas encore activé, mais iOS 26.2 contient plusieurs références à une nouvelle fonction AirDrop. Elle permettra à deux personnes de s’échanger un code PIN, et ce code débloquera AirDrop entre elles pendant 30 jours.

Actuellement, AirDrop n’est disponible que 10 minutes lorsqu’on partage avec quelqu’un qui n’est pas dans ses contacts. Cette option pourrait donc prolonger cette fenêtre.

Météo

On trouve également des indices montrant que l’app Météo prend désormais en charge les repères temporels relatifs dans ses alertes, avec des formulations du type « vendredi prochain » ou « mardi prochain » pour annoncer une pluie ou un changement de temps à venir.

Flash pour les alertes

Dans les réglages d’Accessibilité, l’option Flash pour les alertes peut désormais faire flasher l’écran. Jusqu’ici, elle se limitait uniquement au flash LED au dos de l’iPhone.

On peut donc choisir de remplacer le flash LED par le flash de l’écran… ou d’activer les deux en même temps lors de la réception d’une notification.

Alertes de sécurité améliorées

Dans la section Notifications des réglages, un nouvel onglet Alertes de sécurité améliorées permet de gérer les alertes liées aux tremblements de terre, aux menaces imminentes, ainsi que d’activer une meilleure diffusion des alertes. Cette dernière option s’appuie sur votre position afin d’en améliorer la fiabilité.

La bêta publique ne va pas tarder

Apple proposera la bêta publique sans doute d’ici la fin de la semaine. En théorie, si le développement de cette version se passe sans accroc, elle devrait être disponible au téléchargement entre le 9 et le 16 décembre ! Le plus tôt sera le mieux pour les ingénieurs d’Apple qui pourront ensuite profiter des congés de fin d’année.

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watchOS 26.2 : Apple durcit (un peu) l’échelle du score de sommeil

Avec watchOS 26, l’Apple Watch calcule un score de sommeil, noté de 0 à 100, qui résume la qualité de votre nuit précédente. 0 signifie que vous n’avez tout simplement pas dormi, 100 correspond à une nuit idéale. Son calcul repose sur trois critères : la durée du sommeil, l’heure du coucher et le nombre de réveils nocturnes. La durée compte pour 50 points, l’heure du coucher pour 30 points et les interruptions pour 20 points. Des points sont donc retirés en cas de nuit trop courte, de coucher tardif ou de sommeil trop fragmenté.

watchOS 26 : comment Apple note la qualité de votre sommeil

watchOS 26 : comment Apple note la qualité de votre sommeil

Le reproche souvent fait au Sleep Score est qu’il note assez large : une nuit « pas terrible » peut se retrouver au-dessus de 80. Probablement une façon pour Apple d’éviter d’ajouter du stress… à ceux qui ont justement du mal à dormir.

Reste qu’avec watchOS 26.2, Apple a changé son barème d’appréciation. Voici les nouveaux paliers de notation :

  • Très faible : 0 à 40 (au lieu de 0 à 29)
  • Faible : 41 à 60 (au lieu de 30 à 49)
  • Correct : 61 à 80 (au lieu de 50 à 69)
  • Élevé : 81 à 95 (au lieu de 70 à 89)
  • Très élevé : 96 à 100 (au lieu de 90 à 100)

À noter : la catégorie « Très élevé » s’appelait auparavant « Excellent », mais Apple l’a renommée pour harmoniser l’ensemble.

Les scores de sommeil sont disponibles sur tous les modèles d’Apple Watch compatibles avec watchOS 26, et sont consultables dans l’app Santé sur l’iPhone. L’idée derrière Score de sommeil est d’offrir une vision globale de la qualité de vos nuits, afin de vous aider à repérer les habitudes qui peuvent influencer votre sommeil.

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