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Jair Bolsonaro

Jair Bolsonaro, président du Brésil de 2019 à 2022, est un ancien capitaine de l'armée brésilienne, membre du Parti social libéral. Il est connu pour sa politique nationaliste, conservatrice et populiste et pour ses commentaires controversés sur les minorités et le climat. En 2022, il perd l'élection présidentielle face à l'ancien président Lula. Ce dernier est investi en janvier 2023, en l'absence de Jair Bolsonaro, parti en Floride. Suivez les dernières actualités internationales sur BFMTV.

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Une agence américaine dresse un bilan sans fard de l’action des Etats-Unis en Afghanistan

Chargé par le Congrès de veiller sur l’emploi des fonds publics, le Sigar constate que Washington n’a pu apporter dans le pays ni la stabilité ni la démocratie, ses deux objectifs, malgré vingt-trois ans de présence, les centaines de milliards de dollars dépensés et 2 450 militaires tués.

© NICHOLAS KAMM / AFP

Le président afghan Ashraf Ghani (au centre) applaudi par le président de la Chambre des représentants John Boehner et le vice-président Joe Biden lors d’une session conjointe du Congrès au Capitole à Washington, DC, le 25 mars 2015.
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La CAF victime d'une fuite massive de données de 8,6 millions de Français

hacker

Une cyberattaque massive contre la CAF aurait exposé les données personnelles de 8,6 millions de personnes. Le fichier de 22 millions de lignes, contenant des noms, adresses et numéros INE d'enfants, a été publié sur un forum criminel en guise de représailles contre les autorités françaises. La CAF enquête mais ne confirme pas pour l'heure une intrusion directe dans ses systèmes.

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La CAF victime d'une fuite massive de données de 8,6 millions de Français

✇GNT
Par :Sirius
hacker

Une cyberattaque massive contre la CAF aurait exposé les données personnelles de 8,6 millions de personnes. Le fichier de 22 millions de lignes, contenant des noms, adresses et numéros INE d'enfants, a été publié sur un forum criminel en guise de représailles contre les autorités françaises. La CAF enquête mais ne confirme pas pour l'heure une intrusion directe dans ses systèmes.

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Apple pourrait faire assembler ses écrans OLED en Inde

Quand nous parlons de puces, il y a parfois une confusion, qui est liée à la conception même de ces dernières. Si vous prenez une puce M1, elle comprend la puce elle-même (fabriquée par TSMC) mais aussi deux puces de mémoire et ce qu'on appelle le package, la partie sur laquelle sont placés les composants. Une puce peut donc être en réalité un assemblage de plusieurs composants (qui sont des puces). Et selon The Economic Times, Apple pourrait effectuer cet assemblage en Inde.

Une puce M1, c'est l'assemblage de plusieurs puces. On peut voir les deux puces de RAM à droite du logo  au centre. Image iFixit.

C'est la société CG Semi, basée à Sanand dans l'état du Gujarat, qui aurait été choisie. Le but ne serait pas ici d'assembler les puces principales, mais bien des composants liés aux écrans OLED. Dans le cas de ces derniers, les dalles peuvent provenir de trois fournisseurs (Samsungn LG, BOE) alors que les contrôleurs et les circuits de gestion, eux, dépendent d'autres sociétés (Samsung, Himax, LX Semicon et Novatek).

Un écran, c'est un assemblage de plusieurs composants. Image iFixit.

Il y a plusieurs raisons qui pourraient pousser Apple à assembler certains composants en Inde, et il s'agirait ici de discussions à un stade préliminaire, sans officialisation de la part d'Apple. Un des avantages de l'Inde est que le pays pourrait recevoir des composants issus de Corée du Sud, de Chine et de Taiwan, alors que l'installation d'une telle usine en Chine — par exemple — peut amener des problèmes géopolitiques complexes si une partie des composants arrivent de Taiwan. C'est probablement un moyen d'anticiper d'éventuels soucis à ce niveau dans le futur, tant les tensions sont grandes dans cette partie de l'Asie. L'Inde a l'avantage de ne pas être trop éloignée des différents fournisseurs tout en disposant d'une main-d'œuvre formée pour ce genre de travaux : The Economic Times explique qu'Intel a récemment confié à Tata Electronic (un géant local) une partie de l'assemblage de ses produits.

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Google Gems et ChatGPT Apps : à quoi servent vraiment ces nouvelles applications IA ?

L’intelligence artificielle franchit une nouvelle étape : celle de la création simplifiée. Alors que Google intègre l’outil de création d’apps Opal directement dans Gemini, OpenAI riposte avec un nouveau magasin d’applications pour intégrer des services tiers comme Photoshop au sein de ChatGPT....

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Leapmotor frappe fort et lance ces 3 voitures électriques en Europe, dont une dotée d’un moteur essence

Le constructeur chinois Leapmotor, sous le giron de Stellantis désormais, arrivera en force au prochain salon de Bruxelles avec trois modèles ambitieux : le SUV B03X en première européenne, et les B05 et la B10 équipée d'une technologie à prolongateur d'autonomie.
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Voici 3 produits Apple reconditionné à petit prix à mettre sous le sapin de Noël [Sponso]

Offrir un cadeau Apple à petit prix tout en limitant son impact sur l'environnement, c'est possible grâce à Back Market et ses produits reconditionnés.
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Actualité : Mémoire vive : G.Skill tire la sonnette d'alarme sur l'explosion des prix

Le montage d'un PC devient un véritable parcours du combattant pour le portefeuille. Depuis le quatrième trimestre 2025, les prix de la mémoire vive (DRAM) ont subi une inflation vertigineuse, multipliés par trois ou quatre dans la plupart des régions du monde. Face à cette situation critique, G.Skill, acteur majeur du secteur, a publié un communiqué...

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Le Ryzen 7 9850X3D se dévoile : premiers benchmarks et un prix qui fait déjà parler

9850X3D 02

Le nouveau processeur gaming d'AMD, le Ryzen 7 9850X3D, a fait une double apparition très remarquée sur la plateforme de benchmark Geekbench et chez plusieurs revendeurs. Ces fuites confirment une fréquence boostée à 5.6 GHz et livrent des scores préliminaires, tout en esquissant un prix de lancement qui pourrait dépasser les 500 dollars. Son arrivée est attendue pour le CES 2026.

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Le Ryzen 7 9850X3D se dévoile : premiers benchmarks et un prix qui fait déjà parler

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Le nouveau processeur gaming d'AMD, le Ryzen 7 9850X3D, a fait une double apparition très remarquée sur la plateforme de benchmark Geekbench et chez plusieurs revendeurs. Ces fuites confirment une fréquence boostée à 5.6 GHz et livrent des scores préliminaires, tout en esquissant un prix de lancement qui pourrait dépasser les 500 dollars. Son arrivée est attendue pour le CES 2026.

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Actualité : Young Sherlock : une bande-annonce explosive pour la nouvelle série de Guy Ritchie

Préparez-vous à découvrir la jeunesse de Sherlock Holmes. Le fameux détective imaginé par Arthur Conan Doyle fait l'objet d'une nouvelle série attendue sur Prime Video en mars prochain et intitulée Young Sherlock. Elle se dévoile aujourd'hui dans une bande-annonce qui laisse entrevoir les aventures mouvementées du jeune homme.Prime Video : notre top...

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Noël 2025 : les meilleurs iPad à offrir cette année (à partir de 325 €)

Indétrônable sur le marché des tablettes, l’iPad reste une valeur sûre à glisser sous le sapin. Encore faut-il choisir le modèle le plus adapté à l’usage et au budget. Justement, Back Market propose plusieurs références reconditionnées, à des prix bien plus accessibles. L’iPad 10 (2022) à partir de 325 € ; L’iPad Air 6 (2024) à partir de 488 € ; L...

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Le piège du Donbass : pourquoi céder à Poutine serait catastrophique pour la défense de l’Ukraine

Alors que les Vingt-Sept se réunissent ce jeudi 18 décembre à Bruxelles pour tenter de s’entendre sur une utilisation des avoirs russes gelés, le chef du Kremlin a, lui, une feuille de route toute tracée. Au cours d’une allocution devant tout un parterre d’officiels du ministère de la Défense prononcée la veille, Vladimir Poutine n’a pas retenu ses coups contre "les porcelets" européens. Pas plus qu’il n’a affiché de volonté de compromis. "S’ils ne veulent pas d’une discussion de fond, alors la Russie libérera ses terres historiques sur le champ de bataille", a martelé le président russe, réaffirmant une fois de plus ses vieilles antiennes. Quelques jours plus tôt, Volodymyr Zelensky avait rencontré à Berlin les émissaires américains Steve Witkoff et Jared Kushner pour s’efforcer de trouver un compromis dans les négociations engagées par Washington en vue de mettre fin au conflit.

Au cœur des pourparlers, la délicate question des concessions territoriales, dans un contexte où Poutine exige le retrait des troupes ukrainiennes du Donbass (composé des régions de Donetsk et Louhansk) comme condition préalable à tout cessez-le-feu. Inacceptable pour l’Ukraine, qui plaide, elle, pour un gel de la ligne de front. "Bien sûr, la Russie insiste pour que nous cédions du territoire. Mais nous ne voulons absolument rien céder. C’est pour cela que nous nous battons", a insisté Volodymyr Zelensky le 8 décembre. Et pour cause, au-delà de constituer le bassin de vie de plus de 200 000 Ukrainiens, les 20 % de la région de Donetsk encore sous contrôle de Kiev abritent ses positions parmi les mieux fortifiées du front. "La région concentre d’importantes lignes de défense, abonde Yohann Michel, chercheur à l’Institut d’études de stratégie et défense (IESD). L’Ukraine y a investi de gros moyens depuis 2014 pour bâtir de nombreux bastions défensifs."

"Ceinture de forteresses"

S’étirant sur une cinquantaine de kilomètres, cette zone, désignée comme la "ceinture de forteresses", rassemble au moins quatre grands centres urbains. Dont les villes jumelles de Sloviansk et Kramatorsk, deux cités distantes d’une dizaine de kilomètres qui regroupaient à elles deux plus de 250 000 habitants avant le début de la guerre. Et plus de 100 000 pour celles, plus au sud, de Droujkivka et Kostiantynivka. "La moindre agglomération sert de point défensif et implique un combat urbain dont le taux de létalité est très élevé pour l’agresseur, pointe le général (2S) Jérôme Pellistrandi, rédacteur en chef de la Revue Défense nationale. Sachant que chacune d’elles est précédée de lignes de défenses composées de tranchées, d’obstacles antichars et d’un réseau de barbelés, qui constitue une forme de no man’s land tel qu’il pouvait exister sur le front lors de la Première Guerre mondiale." En clair, un rempart que Moscou n’a pas la capacité de franchir à court terme.

La difficulté de l’armée russe à faire main basse sur les villes de Pokrovsk et Myrnohrad est révélatrice. Bientôt deux ans après avoir commencé sa marche vers ces deux agglomérations, elle n’est toujours pas parvenue à en achever la prise de contrôle. Et a payé au prix fort chacune de ses avancées. "Les forces russes ont subi de lourdes pertes lors des opérations offensives prolongées sur l’axe de Pokrovsk, contribuant au bilan probable de plus de 250 000 soldats russes tués ou portés disparus (présumés morts) depuis le début de l’invasion", relèvent dans une récente note les renseignements britanniques. A l’aube du quatrième anniversaire du conflit, les pertes russes se chiffreraient au total à près de 1,2 million de personnes, en incluant les blessés.

"La capture du reste du Donbass par la force leur en coûterait probablement des centaines de milliers supplémentaires, jauge le général Pellistrandi. Et demanderait a minima encore plusieurs années d’efforts." L’offrir sur un plateau dans le cadre des négociations serait une occasion inespérée pour le Kremlin d’arracher par la voie diplomatique ce qu’il échoue pour l’heure à obtenir par les armes. En plus de priver l’Ukraine d’un atout crucial en cas de nouvelle offensive à l’avenir. "La nature du terrain aux frontières du Donbass rendrait la défense plus difficile, confirme Yohann Michel de l’IESD. La géographie laisse place à des plaines agricoles beaucoup plus ouvertes, qui se prêtent moins bien à la mise en place d’un solide réseau défensif." Et ouvrent la route vers d’autres villes clés comme Kharkiv, au nord, ou Dnipro, à l’ouest.

Précédent historique funeste

Pas de quoi rassurer la partie ukrainienne alors que, comme il l’a rappelé ce mercredi à Moscou, le chef du Kremlin ne semble absolument pas prêt à renoncer à ses ambitions expansionnistes. Un tel abandon des terres ukrainiennes ne serait de facto pas sans rappeler un funeste précédent historique. "La cession de la région des Sudètes à Hitler en 1938 dans le cadre des accords de Munich a privé la Tchécoslovaquie du vaste système de fortifications qu’elle y avait construit pour se protéger de l’Allemagne nazie", reprend Yohann Michel. En conséquence de quoi le pays s’était retrouvé incapable de se défendre moins d’un an plus tard lorsque - trahissant sa promesse - le Troisième Reich a décidé de relancer les hostilités.

Parmi les autres pistes évoquées en coulisses, celle d’une "zone démilitarisée" ou "DMZ" (acronyme anglais, pour "demilitarized zone"), à la manière de la bande de terre d’une dizaine de kilomètres de large séparant les deux Corées depuis 1953 le long du 38ᵉ parallèle. "Les Ukrainiens auront besoin de garanties de sécurité très solides, jauge le général Pellistrandi. Autrement, il n’est pas assuré que cette zone suffise réellement à empêcher une reprise du conflit." Si les Européens ont évoqué le 15 décembre la création d’une "force multinationale" et "un mécanisme de surveillance et de vérification du cessez-le-feu dirigé par les Etats-Unis", l’accord de Moscou reste plus qu’incertain.

De son côté, Washington a suggéré la mise en place d’une "zone économique spéciale" qui verrait les Ukrainiens se retirer de la région de Donetsk. Une perspective qui n’enchante guère les principaux concernés. "Si les troupes d’un camp doivent se retirer et que l’autre camp reste sur place, qu’est-ce qui retiendra ces autres troupes, les Russes ?, a mis en garde Volodymyr Zelensky le 11 décembre. Il n’est pas certain que l’Ukraine y consente." La question reste en effet hautement inflammable politiquement au sein de la population. Selon un sondage du Kyiv International Institute of Sociology publié le 15 décembre, 75 % des Ukrainiens s’opposent à un plan de paix qui inclurait un retrait des troupes du Donbass. Difficile de leur donner tort.

© AFP

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