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Apple arrête de signer iOS 26.1
Apple purge assez fréquemment les différentes versions qui sont installables sur les iPhone, afin d’éviter que les utilisateurs se retrouvent avec une version qui ne contient pas tous les correctifs. Cette fois-ci, elle n’aura pas attendu très longtemps avant de faire tomber le couperet : iOS 26.1 (et tous ses camarades iPadOS 26.1, tvOS 26.1 et homeOS 26.1) n’est plus signé par Apple, empêchant par la même son installation.

Pour tous ceux qui veulent utiliser une version 26.x, il ne reste donc plus que deux solutions disponibles : iOS 26.2, ou la beta d’iOS 26.3.
iOS 26.2 disponible en version finale : toutes les nouveautés de cette mise à jour pas si anodine
Si le fait de ne pas laisser le choix peut paraître frustrant à première vue, il faut se rappeler que ces suppression d’anciennes version permettent d’éviter les failles béantes dans les appareils des utilisateurs, même si certains power-users aimeraient parfois un peu plus de liberté.
iOS 26.3 bêta 1 : découvrez toutes les nouveautés
iPhone Fold : les dimensions et une maquette se dévoilent

L’arrivée de l’iPhone Fold se précise avec des schémas montrant les dimensions du smartphone pliable d’Apple. Prévu pour septembre 2026, l’appareil qui a pour nom de code V68 doit permettre à Apple de concurrencer les acteurs déjà établis sur ce marché, notamment Samsung. Des informations d’iPhone-Ticker provenant des fabricants d’accessoires révèlent aujourd’hui les mensurations de […]
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Venezuela : « rien n’empêchera » Washington de mettre en œuvre le blocus naval, prévient Marco Rubio
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OpenAI dévoile sa nouvelle politique concernant les mineurs, et spécifiquement les ados
OpenAI ajoute une nouvelle couche de garde‑fous à son « Model Spec », le document qui décrit comment les modèles doivent se comporter, avec un ciblage explicite des 13‑17 ans. En toile de fond, la promesse générique de « no topic is off limits » se heurte à une réalité plus contraignante dès que le système pense avoir un mineur en face.

Le texte s’articule autour de principes « U18 » qui encadrent désormais la manière dont ChatGPT doit parler aux ados, avec une priorité assumée donnée à la sécurité dès qu’il y a conflit entre liberté de discussion et risque potentiel. L’assistant est encouragé à rediriger vers le monde réel – famille, amis, professionnels et services d’urgence – dès que la conversation touche à la détresse psychologique, aux conduites à risque ou à l’automutilation. Le ton attendu est chaleureux et non condescendant, mais il ne doit pas faire comme si les adolescents étaient des adultes pleinement autonomes, ni entretenir l’illusion d’une relation quasi humaine.
Quatre axes clés
Les quatre axes clés sont désormais explicités comme une sorte de boussole interne pour les interactions avec les mineurs :
- Priorité systématique à la sécurité quand elle entre en tension avec la liberté de discussion.
- Promotion active du support hors ligne (parents, proches, professionnels, services d’urgence) en cas de sujets sensibles.
- Traitement explicite de l’utilisateur comme adolescent, avec un ton adapté, ni enfantin ni purement adulte.
- Transparence renforcée sur la nature de l’IA, ses limites, et l’absence de relation « humaine ».
Là où la mise à jour devient plus intéressante, c’est dans la façon dont elle resserre les vis sur trois zones sensibles : romantisme, sexualité et santé mentale. Les roleplays romantiques ou pseudo‑intimes avec des mineurs, même édulcorés, sont mis à l’index, et les contenus sexuels impliquant des ados restent strictement bannis, avec une insistance particulière sur les zones grises comme les échanges suggestifs ou trop détaillés. Sur les sujets de suicide, de troubles alimentaires ou de mutilation, le modèle est sommé de quitter le registre de la conversation neutre pour passer en mode filet de sécurité, sans banalisation ni glamorisation, et avec des renvois explicites vers des ressources d’aide.
ChatGPT active ses premiers contrôles parentaux, sans prédiction de l’âge pour le moment
Techniquement, tout cela s’appuie sur un mécanisme clé : la prédiction d’âge, censée déterminer si un compte appartient probablement à un mineur pour déclencher automatiquement ce régime U18. En cas de doute, la consigne est de traiter l’utilisateur comme adolescent plutôt que de lui laisser le bénéfice du « profil adulte », au risque assumé de multiplier les faux positifs. Dans certains marchés, OpenAI évoque même la possibilité de contrôles d’identité plus robustes, ce qui déplace le problème vers un terrain très chargé : comment protéger les mineurs sans transformer la vérification d’âge en cheval de Troie contre la vie privée.
Le timing de cette évolution n’est pas anodin, alors que l’entreprise est dans le viseur de régulateurs et de législateurs qui planchent sur des standards spécifiques pour les mineurs face aux systèmes d’IA. Des textes comme les lois américaines encadrant les « chatbots compagnons » pour jeunes ou les discussions autour d’un devoir de diligence renforcé créent un environnement où l’inaction réglementaire n’est plus tenable. La mise à jour publique du Model Spec fonctionne alors comme une pièce à conviction : OpenAI affiche ses intentions de design responsable, documentation à l’appui, pour montrer patte blanche aux autorités et aux parents.
ChatGPT va essayer de deviner l’âge de ses utilisateurs pour protéger les ados
Reste la zone de frottement la plus inconfortable : ce type de charte peut cadrer les intentions, mais ne garantit jamais la qualité de la réponse donnée à un ado en crise à trois heures du matin. L’entreprise mise sur une combinaison de règles, de filtrage et de signaux d’alerte, mais la réalité restera faite de cas limites, de contextes mal compris et de modèles qui n’attrapent pas tous les signaux faibles. Entre la volonté affichée de « protéger sans infantiliser » et le risque d’un sur‑blocage qui transforme l’outil en machine à phrases creuses dès que la conversation devient sérieuse, la marge de manœuvre est étroite, et elle se jouera autant dans l’implémentation que dans les principes.
OpenAI dévoile sa nouvelle politique concernant les mineurs, et spécifiquement les ados
OpenAI ajoute une nouvelle couche de garde‑fous à son « Model Spec », le document qui décrit comment les modèles doivent se comporter, avec un ciblage explicite des 13‑17 ans. En toile de fond, la promesse générique de « no topic is off limits » se heurte à une réalité plus contraignante dès que le système pense avoir un mineur en face.

Le texte s’articule autour de principes « U18 » qui encadrent désormais la manière dont ChatGPT doit parler aux ados, avec une priorité assumée donnée à la sécurité dès qu’il y a conflit entre liberté de discussion et risque potentiel. L’assistant est encouragé à rediriger vers le monde réel – famille, amis, professionnels et services d’urgence – dès que la conversation touche à la détresse psychologique, aux conduites à risque ou à l’automutilation. Le ton attendu est chaleureux et non condescendant, mais il ne doit pas faire comme si les adolescents étaient des adultes pleinement autonomes, ni entretenir l’illusion d’une relation quasi humaine.
Quatre axes clés
Les quatre axes clés sont désormais explicités comme une sorte de boussole interne pour les interactions avec les mineurs :
- Priorité systématique à la sécurité quand elle entre en tension avec la liberté de discussion.
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- Traitement explicite de l’utilisateur comme adolescent, avec un ton adapté, ni enfantin ni purement adulte.
- Transparence renforcée sur la nature de l’IA, ses limites, et l’absence de relation « humaine ».
Là où la mise à jour devient plus intéressante, c’est dans la façon dont elle resserre les vis sur trois zones sensibles : romantisme, sexualité et santé mentale. Les roleplays romantiques ou pseudo‑intimes avec des mineurs, même édulcorés, sont mis à l’index, et les contenus sexuels impliquant des ados restent strictement bannis, avec une insistance particulière sur les zones grises comme les échanges suggestifs ou trop détaillés. Sur les sujets de suicide, de troubles alimentaires ou de mutilation, le modèle est sommé de quitter le registre de la conversation neutre pour passer en mode filet de sécurité, sans banalisation ni glamorisation, et avec des renvois explicites vers des ressources d’aide.
ChatGPT active ses premiers contrôles parentaux, sans prédiction de l’âge pour le moment
Techniquement, tout cela s’appuie sur un mécanisme clé : la prédiction d’âge, censée déterminer si un compte appartient probablement à un mineur pour déclencher automatiquement ce régime U18. En cas de doute, la consigne est de traiter l’utilisateur comme adolescent plutôt que de lui laisser le bénéfice du « profil adulte », au risque assumé de multiplier les faux positifs. Dans certains marchés, OpenAI évoque même la possibilité de contrôles d’identité plus robustes, ce qui déplace le problème vers un terrain très chargé : comment protéger les mineurs sans transformer la vérification d’âge en cheval de Troie contre la vie privée.
Le timing de cette évolution n’est pas anodin, alors que l’entreprise est dans le viseur de régulateurs et de législateurs qui planchent sur des standards spécifiques pour les mineurs face aux systèmes d’IA. Des textes comme les lois américaines encadrant les « chatbots compagnons » pour jeunes ou les discussions autour d’un devoir de diligence renforcé créent un environnement où l’inaction réglementaire n’est plus tenable. La mise à jour publique du Model Spec fonctionne alors comme une pièce à conviction : OpenAI affiche ses intentions de design responsable, documentation à l’appui, pour montrer patte blanche aux autorités et aux parents.
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© Andreea Campeanu / REUTERS
Guide de Noël : les disques durs, le stockage à tarif doux
Pendant que la RAM et les SSD voient leurs prix grimper en flèche, heureusement, les bons vieux disques durs restent à des tarifs raisonnables pour qui veut faire ses sauvegardes tranquilles. Mieux, on trouve quelques bonnes opérations à faire sur Amazon pour la fin d’année.

Alors qu’un SSD externe de 4 To se négocie au minimum 239,99 € pour une fin de série chez Crucial qui plie bagages dans le domaine, et que les autres se trouvent tous au minimum à plus de 300 €, Western Digital propose avec son éternelle série « My Passport » un disque dur externe 2,5 pouces de 5 To, pour la modique somme de 138,99 €.

Vous en voulez plus ? Seagate est là pour venir à votre secours, avec sa série « Expansion Desktop » dont la version 16 To est proposée sous les 300 €, à 299,99 € exactement, soit un prix au To de 18,75 €. Le To n’a jamais été aussi bas sur les disques mécaniques !

Reste le cas particulier de celui qui a un nombre conséquent de disques durs internes, et souhaite les recycler pour un tarif raisonnable. S’ils se font de plus en plus rares, les boîtiers pouvant accueillir des disques durs internes jusqu’au format 3,5 pouces que l’on trouvait encore récemment dans les ordinateurs de bureau existent toujours. Et l’une des meilleures affaires actuelles reste le boîtier proposé par Orico, avec son interface USB 3.0 largement suffisante pour la vitesse d’un disque dur à plateaux. À 22,57 €, il sera difficile de trouver plus bas.
Si la RAM et les SSD montent en flèche, il reste possible de trouver du stockage, même s’il gratte un peu à l’oreille et n’est pas aussi rapide que de la mémoire flash. Il a au moins l’énorme avantage d’avoir une capacité d’emport encore sans égale !
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Sécurité : Apple cache iOS 18.7.3 pour forcer l’installation d’iOS 26

Apple a déployé la semaine dernière des correctifs de sécurité importants pour l’iPhone avec iOS 26.2 et iOS 18.7.3, mais le fabricant fait le nécessaire pour cacher la seconde mise à jour. Les propriétaires d’iPhone compatibles refusant de migrer vers iOS 26.2 se voient privés de cette mise à jour de sécurité, Apple semblant forcer […]
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iPhone Fold : une fuite chez les accessoiristes donne une idée des dimensions, et le format pourrait être surprenant
Alors que les mois s’égrènent et que la date de sortie de l’iPhone Fold s’approche petit à petit, comme souvent, des fuites de plus en plus nombreuses se font jour. Et comme souvent encore une fois, c’est du côté des fabricants de coques que les premières apparaissent concernant le design du nouvel appareil, comme le rapporte iPhone-ticker.

Tout ce que l'on sait du futur et premier iPhone pliant
Et de manière surprenante, si la rumeur s’avère exacte, le premier iPhone pliable de la marque aurait une forme s’éloignant de l’habituel smartphone fermé pour se rapprocher de celle d’un iPad, avec un « petit » écran bien plus large que haut. Ainsi, l’appareil surnommé V68 en interne devrait faire 120 mm de haut sur 83,8 mm de large fermé, pour une épaisseur de 9,6 mm. Il arborerait donc un écran externe de 5,49 pouces, dans une définition de 2088x1422 pixels.

Et une fois ouvert ? Avec un écran de 7,76 pouces en 2713x1920 pixels, il se rapproche encore plus d’un format iPad, et aurait des mensurations de 167,6 mm de large pour 120,6 mm de haut. L’épaisseur ? Seulement 4,8 mm (hors bosse des objectifs, bien entendu).

Bien entendu, toutes ces mesures aussi précises soient-elles restent à prendre avec des pincettes : elles proviendraient d’un fichier CAD envoyé aux fabricants d’accessoires, sans précisions sur la source originale de celui-ci. Si bien souvent les fabricants d’accessoires sont tenus au courant en avance des spécifications d’un appareil pour produire les coques et autres éléments à l’avance, il est déjà arrivé que ceux-ci se fassent berner par un faux fichier. Dans tous les cas, la réponse devrait arriver d’ici moins d’un an maintenant.
Combien faudra-t-il débourser pour le futur iPhone pliable ?
L’accès à la fontaine de Trevi va devenir payant, annonce le maire de Rome
En pleine conférence de presse de Vladimir Poutine, un journaliste fait sa demande en mariage… et invite le président à la cérémonie

ChatGPT ajoute la possibilité d’épingler vos conversations avec l’IA
OpenAI multiplie les annonces autour de ChatGPT en cette fin d’année, enchaînant les mises à jour comme ChatGPT-5.2 ou le support d’applications. Une autre nouveauté disponible aujourd’hui est plus modeste mais attendue : la possibilité d’épingler des conversations. Disponible pour tous les utilisateurs, elle promet de mettre fin …
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Actualité : Chez OpenAI, ChatGPT refuse de s’éteindre dans 12 % des cas

Avant Noël, à quel temps s’attendre pour le début des vacances de fin d’année ?

© VALERIE DUBOIS / Hans Lucas via AFP