↩ Accueil

Vue lecture

Mercato Strasbourg : le 3e de PL concurrence Chelsea pour Joaquin Panichelli

Performant depuis son arrivée lors du dernier mercato estival à Strasbourg, Joaquin Panichelli attire la Premier League. En plus de Chelsea, l’actuel 3e du championnat anglais est aussi intéressé. Arrivé cet été à Strasbourg contre 17 M€ en provenance d’Alaves, Joaquin Panichelli est une satisfaction du mercato estival XXL du club alsacien, qui a dépassé […]

  •  

Real Madrid : le prêt d’Endrick à l’OL au mercato d’hiver remis en cause ?

La presse espagnole vient de relayer une mauvaise nouvelle pour l’Olympique Lyonnais dans le dossier Endrick, qui était attendu en prêt au mercato d’hiver. Revirement de situation dans le dossier Endrick ? Ces dernières semaines, l’arrivée de l’attaquant brésilien dans le cadre d’un prêt sec à l’OL semblait bouclée à 99,99%. Le Madrilène, qui n’entre […]

  •  

Europe live: Parts of US national security strategy ‘unacceptable’ for Europe, says Merz

German leader says there is ‘no need for the Americans to want to save democracy in Europe’

Oh, and a little warning shot from EU’s Kallas:

“If we go into the fight [of] pointing fingers, I mean, we can also point a lot of fingers [on] what is wrong in America, but this is not the way we work, we are not going to meddle with the internal affairs of other countries.”

Continue reading...

© Photograph: Ukrainian Presidential Press Office/UPI/Shutterstock

© Photograph: Ukrainian Presidential Press Office/UPI/Shutterstock

© Photograph: Ukrainian Presidential Press Office/UPI/Shutterstock

  •  

Guerre en Ukraine : ces espions russes qui surveillent les Etats-Unis depuis le Mexique

Le Mexique sert-il de tremplin à la Russie pour espionner les Etats-Unis et glaner ainsi des informations sur l’Ukraine ? A en croire les dernières révélations du New York Times, ce scénario n’a rien de fictif. Depuis le début de la guerre en Ukraine, Moscou a intensifié ses activités diplomatiques et d’espionnage depuis le Mexique… qui ne semble pas pressé d’y mettre un terme.

Persuadée que les espions russes utilisent le Mexique pour bénéficier d’une couverture touristique et échapper aux systèmes de surveillance sophistiqués de Washington, la CIA enquête sur leur identité depuis plusieurs années. Au cours de la présidence Biden, l’agence dresse une liste de plus de deux douzaines d’espions russes se faisant passer pour des diplomates. Elle la transmet aux autorités mexicaines de l’époque, qui se refusent toutefois à les expulser. L’élection de Claudia Sheinbaum à la tête du pays l’an dernier n’y change rien. Plusieurs diplomates mexicains vont même jusqu’à affirmer n’avoir jamais eu connaissance de cette liste.

La "Vienne de l’Amérique latine"

Côté américain, l’arrivée de Donald Trump à la Maison-Blanche en janvier jette un flou sur la position du pays. Alors que le président des Etats-Unis continue de souffler le chaud et le froid avec la Russie, difficile de savoir si Washington continue de faire pression pour des expulsions. Mais les analystes s’accordent sur un point : Donald Trump démontre par ces actions en Amérique latine qu’il cherche à affirmer la suprématie de Washington sur le continent. Son intérêt est donc plutôt d’empêcher des puissances comme la Russie, ou la Chine, de s’implanter dans la région.

La présence russe au Mexique ne date en réalité pas d’hier. Déjà, pendant la guerre froide, le Mexique était surnommé la "Vienne de l’Amérique latine", en raison des activités d’espionnage russe sur son sol. Mais la guerre en Ukraine vient accélérer les choses. Alors que les pays occidentaux, Etats-Unis en tête, décident d’expulser plus de 100 agents du renseignement russe de leurs pays, les diplomates américains et européens assistent ensuite, impuissants, au transfert d’espions de Moscou à Mexico, révèlent huit sources citées par le NYT.

Une relocalisation dans l’intérêt du Kremlin, qui souhaite se renseigner sur les actions américaines, dans le contexte de la guerre en Ukraine, et pour qui le Mexique offre plusieurs atouts : par sa proximité géographique d’une part, mais aussi par le peu de résistance rencontrée par les espions sur place. Les agences de contre-espionnage mexicaines sont en effet davantage concentrées sur les problèmes intérieurs, comme les trafiquants de drogue, que sur les activités d’espionnage étranger.

Opération séduction de Moscou en Amérique latine

Dès mars 2022, le général Glen VanHerck, chef du commandement nord des États-Unis, fait d’ailleurs part de ses préoccupations lors d’une audition publique devant le Sénat. "La plus grande partie des agents du renseignement russe dans le monde se trouve actuellement au Mexique", déclare-t-il alors. "Ce sont des agents du renseignement russe qui surveillent de très près les possibilités d’influencer les opportunités et l’accès des États-Unis".

Plusieurs analystes voient dans la "tolérance" du Mexique envers la Russie le reflet des positions du parti au pouvoir, plutôt hostile aux Etats-Unis. Si ce parti (Morena) rassemble un large éventail de personnalités politiques, son noyau dur est avant tout composé de militants de gauche, profondément méfiants à l’égard des États-Unis en raison de leur passé d’invasions, de coups d’État et de campagnes d’influence en Amérique latine.

De son côté, la Russie semble surfer sur ce ressentiment envers Washington pour courtiser les pays de la région. Lors de sa tournée l’année dernière en Amérique latine, le conseiller de longue date de Vladimir Poutine, Nikolaï Patrouchev, s’est d’ailleurs engagé à aider ces pays à limiter l’influence américaine, affirmant qu’entretenir de bonnes relations avec les gouvernements latino-américains était "l’une des principales priorités de Moscou".

© AFP

Un contingent militaire russe participe au défilé militaire organisé à l'occasion du 213e anniversaire de l'indépendance sur la place Zocalo à Mexico, le 16 septembre 2023.
  •  

Trump is remodeling Washington to fit his twisted vision of America | Judith Levine

The administration is offloading gems of US architecture while redesigning the city to match the president’s values

While the original architect of Donald Trump’s ever-expanding ballroom steps down and preservationists panic over the fate of New Deal murals inside the Social Security Administration building, the president gushes about painting the granite Eisenhower Executive Office Building white, “fixing” the Lincoln Memorial Reflecting Pool, and erecting his own Arc de Triomphe.

To peruse the plans for a Trump-era capital district alongside the General Services Administration’s list of assets identified for accelerated disposition – the federal buildings slated for off-loading – is to discern a diagram of Trump’s values.

Judith Levine is a Brooklyn-based journalist, essayist and author of five books. Her Substack is Today in Fascism

Continue reading...

© Photograph: Saul Loeb/AFP/Getty Images

© Photograph: Saul Loeb/AFP/Getty Images

© Photograph: Saul Loeb/AFP/Getty Images

  •  

Preparation for the Next Life review – deeply felt story of love among the marginalised in New York

Bing Liu’s film is an unflinching portrait of an undocumented Uyghur immigrant and a traumatised US veteran whose fragile connection is strained by their pasts

Chinese-American film-maker Bing Liu made an impression with the poignant documentary Minding the Gap about people from his home town in Illinois; now he pivots to features with this sad and sombre study of romance and life choices among those on the margins of US society, adapted from the prize-winning novel of the same name by Atticus Lish.

The scene is the no-questions-asked world of New York’s Chinatown; newcomer Sebiye Behtiyar plays Aishe, a Chinese Uyghur Muslim undocumented immigrant. One day she catches the eye of Skinner, played by Fred Hechinger, a young military veteran who impulsively starts to talk to her. There is a spark between them and then something more.

Continue reading...

© Photograph: Jaclyn Martinez

© Photograph: Jaclyn Martinez

© Photograph: Jaclyn Martinez

  •  

Could a drug for narcolepsy change the world? | Zoe Williams

There are apparently breakthroughs on the way for those with sleep disorders – which sent me down a rabbit hole of research...

I met a guy in pharmaceuticals who told me about a bunch of cool breakthroughs in sleep meds: mainly, we may be on the brink of a new Wegovy, but in this case it’s a drug to cure narcolepsy. I suggested the two things are not quite the same, given that obesity is a global epidemic and narcolepsy is fairly rare. He countered that the way the drug works might also have applications for insomnia; similar to the Post-it note having been invented by someone trying to create the world’s strongest glue.

Anyway, in the course of this, I discovered the test for type 1 narcolepsy, which is that you’re put in a room with zero stimulation – nothing to read, no one to chat to, perfect silence, perfect temperature – and timed on how long it takes you to fall asleep. If it’s under eight minutes, you’re narcoleptic. But the average, for a person with no complaints in that area at all, is 22 minutes. I was completely incredulous. This is a grip on consciousness more or less the same as a house cat. Bored? Go to sleep. Even a dog will have a quick look for something to eat first.

Continue reading...

© Photograph: Posed by model; Westend61/Getty Images

© Photograph: Posed by model; Westend61/Getty Images

© Photograph: Posed by model; Westend61/Getty Images

  •  

Adam Pankratz: B.C.’s reconciliation nightmare gets even worse

It has been clear for some months now that David Eby and the B.C. NDP’s approach to Indigenous reconciliation would have ruinous consequences for British Columbia’s economy. Last Friday, the situation got even worse, as a new court ruling poured more cold water on economic activity in the province and opened the door to every B.C. law being subject to interpretation through a United Nations human rights document. The implications for British Columbia could not be much more dire. Read More
  •  

Mickey Amery: How we are protecting free expression for Alberta’s professionals

Albertans and Canadians value their freedoms. They know freedom is the foundation of our democracy and the reason we choose to build our lives here. Freedom of expression, in particular, is fundamentally important. It is the foundation that our democratic discourse is built on. For this freedom to be fully realized, people must be able to speak their mind without fear of losing their licence or their livelihood. Read More
  •