Google améliore la Pixel Watch 4 avec deux gestes pas piqués des hannetons, mais piqués à Apple. En touchant leur pouce avec leur index à deux reprises, les utilisateurs de la montre ronde peuvent désormais réaliser diverses actions sans toucher l’écran : décrocher un appel, mettre en pause la musique, arrêter un minuteur…
« Toucher deux fois » sur la Pixel Watch 4. Vidéo Google.
Ce n’est ni plus ni moins que le geste « toucher deux fois » introduit sur l’Apple Watch Series 9 et l’Apple Watch Ultra 2 en 2023 (la SE 3 sortie en septembre est aussi compatible). Un pincement très pratique dans certaines conditions ; personnellement, je l’utilise à vélo pour démarrer un exercice sans avoir à lever ma seconde main du guidon.
« Toucher deux fois » sur l’Apple Watch. Vidéo WatchGeneration.
Le deuxième geste ajouté par Google à la Pixel Watch 4 consiste à effectuer une rotation sèche du poignet pour couper le son d’un appel entrant ou fermer une notification. Dans l’univers Apple, ce geste a été inauguré par watchOS 26 et il est réalisable sur les Apple Watch Series 9, Ultra 2 et SE 3 au minimum.
La rotation du poignet sur Apple Watch. Vidéo WatchGeneration.
WearOS 6.1, qui est en cours de distribution, ne fait pas que recopier watchOS. La mise à jour introduit un nouveau modèle de langage basé sur Gemma permettant aux Pixel Watch 3 et 4 de générer des réponses prêtes à l’emploi pour Google Messages, et ce de manière autonome.
Auparavant, seule la Pixel Watch 4 pouvait proposer ces réponses intelligentes, et uniquement si elle était reliée à un smartphone. Les améliorations sont rendues possibles par le nouveau modèle qui est deux fois plus rapide et demande près de trois fois moins de mémoire que l’ancien. Sur Apple Watch, les réponses suggérées sont bien plus sommaires.
La Pixel Watch 4 est vendue en deux tailles (41 mm et 45 mm) à partir de 399 € normalement, soit un peu moins qu'une Series 11, mais Google baisse en ce moment son prix à 329 €.
Google améliore la Pixel Watch 4 avec deux gestes pas piqués des hannetons, mais piqués à Apple. En touchant leur pouce avec leur index à deux reprises, les utilisateurs de la montre ronde peuvent désormais réaliser diverses actions sans toucher l’écran : décrocher un appel, mettre en pause la musique, arrêter un minuteur…
« Toucher deux fois » sur la Pixel Watch 4. Vidéo Google.
Ce n’est ni plus ni moins que le geste « toucher deux fois » introduit sur l’Apple Watch Series 9 et l’Apple Watch Ultra 2 en 2023 (la SE 3 sortie en septembre est aussi compatible). Un pincement très pratique dans certaines conditions ; personnellement, je l’utilise à vélo pour démarrer un exercice sans avoir à lever ma seconde main du guidon.
« Toucher deux fois » sur l’Apple Watch. Vidéo WatchGeneration.
Le deuxième geste ajouté par Google à la Pixel Watch 4 consiste à effectuer une rotation sèche du poignet pour couper le son d’un appel entrant ou fermer une notification. Dans l’univers Apple, ce geste a été inauguré par watchOS 26 et il est réalisable sur les Apple Watch Series 9, Ultra 2 et SE 3 au minimum.
La rotation du poignet sur Apple Watch. Vidéo WatchGeneration.
WearOS 6.1, qui est en cours de distribution, ne fait pas que recopier watchOS. La mise à jour introduit un nouveau modèle de langage basé sur Gemma permettant aux Pixel Watch 3 et 4 de générer des réponses prêtes à l’emploi pour Google Messages, et ce de manière autonome.
Auparavant, seule la Pixel Watch 4 pouvait proposer ces réponses intelligentes, et uniquement si elle était reliée à un smartphone. Les améliorations sont rendues possibles par le nouveau modèle qui est deux fois plus rapide et demande près de trois fois moins de mémoire que l’ancien. Sur Apple Watch, les réponses suggérées sont bien plus sommaires.
La Pixel Watch 4 est vendue en deux tailles (41 mm et 45 mm) à partir de 399 € normalement, soit un peu moins qu'une Series 11, mais Google baisse en ce moment son prix à 329 €.
Les utilisateurs d’iPhone qui se retrouvent dans une zone blanche au Japon peuvent toujours garder le contact avec leurs proches. Apple a activé sur l’archipel la fonction de Messages par satellite, qui permet d’envoyer et de recevoir des SMS, des iMessages, des emojis et des réactions même sans connexion cellulaire.
Image Apple
Il y a une condition pour profiter de cette fonction gratuite : avoir un iPhone 14 ou un modèle plus récent. L’Apple Watch Ultra 3 est, de son côté, la seule montre compatible. Le service est offert par Apple, qui mobilise la constellation de Globalstar — à ne pas confondre avec d’autres fonctions satellitaires, qui sont fournies par Starlink en partenariat avec des opérateurs locaux.
Cette nouveauté n’est pas réservée aux Japonais : si vous voyagez au pays du Soleil levant dans une zone sans Wi-Fi ni réseau cellulaire, vous pourrez vous-même utiliser cette messagerie satellitaire. La fonction était jusque-là limitée au Canada, aux États-Unis et au Mexique.
En France et dans d’autres pays européens, la connexion satellitaire de l’iPhone 14 et des modèles suivants reste cantonnée à la fonction SOS d’urgence, servant uniquement à contacter les secours en cas de détresse dans une zone blanche. L’élargissement aux messages personnels finira peut-être par arriver un jour, comme au Japon.
Les utilisateurs d’iPhone qui se retrouvent dans une zone blanche au Japon peuvent toujours garder le contact avec leurs proches. Apple a activé sur l’archipel la fonction de Messages par satellite, qui permet d’envoyer et de recevoir des SMS, des iMessages, des emojis et des réactions même sans connexion cellulaire.
Image Apple
Il y a une condition pour profiter de cette fonction gratuite : avoir un iPhone 14 ou un modèle plus récent. L’Apple Watch Ultra 3 est, de son côté, la seule montre compatible. Le service est offert par Apple, qui mobilise la constellation de Globalstar — à ne pas confondre avec d’autres fonctions satellitaires, qui sont fournies par Starlink en partenariat avec des opérateurs locaux.
Cette nouveauté n’est pas réservée aux Japonais : si vous voyagez au pays du Soleil levant dans une zone sans Wi-Fi ni réseau cellulaire, vous pourrez vous-même utiliser cette messagerie satellitaire. La fonction était jusque-là limitée au Canada, aux États-Unis et au Mexique.
En France et dans d’autres pays européens, la connexion satellitaire de l’iPhone 14 et des modèles suivants reste cantonnée à la fonction SOS d’urgence, servant uniquement à contacter les secours en cas de détresse dans une zone blanche. L’élargissement aux messages personnels finira peut-être par arriver un jour, comme au Japon.
iFixit dispose désormais d’une application iOS et Android. Elle donne logiquement accès à ses nombreux tutoriels de réparation, mais elle impose la création d’un compte, un bon moyen pour l’entreprise de faire le plein de nouveaux inscrits.
Heureusement, cette application ne se contente pas d’afficher les guides dans une interface pensée pour les smartphones, elle comprend aussi deux fonctionnalités spéciales. La première concerne l’état de la batterie. Apple a longtemps gardé cette information hors de portée, mais depuis les iPhone 15, le nombre de cycles est visible.
Image iFixit
iFixit estime que ce n’est pas suffisant et ajoute des graphiques d’usure ainsi qu’un système d’alerte plusieurs mois avant un éventuel remplacement. Une manière de faciliter l’entretien… et d’orienter l’utilisateur vers l’achat d’une batterie vendue par ses soins. Pas folle la guêpe.
Seulement, Apple ne propose aucune API pour récupérer les données de santé de la batterie. iFixit doit donc ruser et demande à l’utilisateur de partager manuellement un fichier d’analyse. La procédure est donc un peu fastidieuse, d’autant qu’il faudra la répéter pour qu’elle ait un réel intérêt. Cet outil est par ailleurs en bêta.
Image iGeneration
La deuxième fonction spéciale est Fixbot, un assistant de réparation basé sur une IA générative formée sur la base de données d’iFixit. Il peut répondre à des questions techniques et expliquer des procédures. Une synthèse vocale est intégrée pour suivre les instructions sans garder les yeux rivés sur l’écran.
iFixit dispose désormais d’une application iOS et Android. Elle donne logiquement accès à ses nombreux tutoriels de réparation, mais elle impose la création d’un compte, un bon moyen pour l’entreprise de faire le plein de nouveaux inscrits.
Heureusement, cette application ne se contente pas d’afficher les guides dans une interface pensée pour les smartphones, elle comprend aussi deux fonctionnalités spéciales. La première concerne l’état de la batterie. Apple a longtemps gardé cette information hors de portée, mais depuis les iPhone 15, le nombre de cycles est visible.
Image iFixit
iFixit estime que ce n’est pas suffisant et ajoute des graphiques d’usure ainsi qu’un système d’alerte plusieurs mois avant un éventuel remplacement. Une manière de faciliter l’entretien… et d’orienter l’utilisateur vers l’achat d’une batterie vendue par ses soins. Pas folle la guêpe.
Seulement, Apple ne propose aucune API pour récupérer les données de santé de la batterie. iFixit doit donc ruser et demande à l’utilisateur de partager manuellement un fichier d’analyse. La procédure est donc un peu fastidieuse, d’autant qu’il faudra la répéter pour qu’elle ait un réel intérêt. Cet outil est par ailleurs en bêta.
Image iGeneration
La deuxième fonction spéciale est Fixbot, un assistant de réparation basé sur une IA générative formée sur la base de données d’iFixit. Il peut répondre à des questions techniques et expliquer des procédures. Une synthèse vocale est intégrée pour suivre les instructions sans garder les yeux rivés sur l’écran.
Apple Pay et les autres wallets prennent une place croissante dans les paiements, aussi bien en ligne qu’en boutique. D’après une étude de Worldpay, ils comptaient en 2024 pour 53 % des paiements en valeur dans l’e-commerce au niveau mondial, contre 32 % pour les cartes bancaires (débit et crédit). En magasin, les cartes gardent l’avantage avec 47 % des paiements, les wallets représentant 32 %.
En France plus spécifiquement, les wallets ont pesé 34 % des paiements en ligne en 2024 (+ 6 points en un an), tandis que les cartes bleues reculaient à 21 % (– 4 points). Dans les boutiques, ils ont atteint 13 % (+ 4 points) contre 24 % pour les cartes (–5 points). Au vu de la tendance, les Apple Pay, Google Pay et autres Samsung Pay vont dépasser les cartes en plastique dans les magasins dans les prochaines années.
Apple Pay convertit mieux que la carte bancaire
En ligne, les wallets deviennent même incontournables pour une partie des clients. Selon une étude réalisée par OpinionWay pour le compte de Lyf Pay, 54 % des utilisateurs d’Apple Pay ou de Google Pay ont déjà abandonné un achat parce que le site ne proposait pas leur wallet préféré. Pourquoi ? « Grâce à l'authentification par biométrie, la transaction présente moins de friction qu'un paiement par carte bancaire qui nécessite de valider son achat dans son application bancaire », explique Antoine Guillotte, Chief Product Officer chez Cdiscount, interrogé par mind Retail. Même si le fait de devoir ouvrir une seconde app pour valider l’achat est entré dans les mœurs, cette étape continue malgré tout de provoquer des abandons de panier, indique-t-il.
Image iGeneration
« En termes de transformation, si l'on compare les gros volumes de transaction en dehors du BNPL [buy now pay later, paiement différé, ndlr], Apple Pay convertit le mieux, suivi de PayPal et des cartes bancaires », ajoute le responsable de Cdiscount, dont 80 % du trafic a lieu sur mobile. Le taux de transformation d’Apple Pay est 10 à 20 % supérieur à celui des cartes classiques, une différence « très significative. »
Le site marchand a intégré Apple Pay juste avant sa période de pic commercial. Cette mise en place lui a permis de recruter de nouveaux clients, plus jeunes et un peu plus urbains. Fort de ces résultats, Cdiscount prévoit de proposer Google Pay et Samsung Pay en 2026.
Wero veut attaquer les gros paniers
L’entreprise regarde aussi de près Wero, un wallet soutenu par plusieurs banques européennes qui a récemment fait ses débuts dans des commerces en ligne allemands. Contrairement à Apple Pay, il n’est pas adossé à une carte, mais directement au compte bancaire, ce qui change la donne pour les gros achats.
« L’intérêt du compte à compte est de réduire les abandons de paniers dus aux encours de cartes, détaille Antoine Guillotte, toujours auprès de mind Retail. Sur les paniers élevés, beaucoup d'échecs de paiement proviennent non pas d'un défaut de solvabilité, mais du plafond de la carte. Wero nous permettrait de proposer à certains utilisateurs d'aller au bout de leur commande là où ils n'auraient pas pu le faire via le wallet ou la carte traditionnelle. »
Image Wero
Wero doit arriver sur les sites français en 2026. Air France, Leclerc, Orange/Sosh, Veepee ou encore Dot ont déjà manifesté leur intérêt. Une extension vers les paiements en boutique est prévue en 2027, avec deux parcours : un paiement par QR code en grandes surfaces et un paiement NFC sur TPE pour les petits commerces. À terme, l'IBAN sera intégré pour un paiement instantané de compte à compte, comme en ligne.
Wero va pouvoir tirer parti de l’ouverture réglementaire de la NFC de l’iPhone en Europe pour proposer une fonction de paiement sans contact. PayPal exploite déjà cette possibilité en Allemagne avec une carte bancaire virtuelle accessible sur iPhone. Fin octobre, deux millions d’utilisateurs l’utilisaient en magasin, un décollage favorisé par l’option de paiement en quatre fois.
Apple avait lancé fin 2023 une option similaire aux États-Unis nommée Apple Pay Later, mais celle-ci a été abandonnée seulement huit mois plus tard. La Pomme a décidé de revoir sa stratégie dans le paiement fractionné en nouant des partenariats avec des acteurs spécialisés. C’est dans ce cadre que Klarna a annoncé aujourd’hui son intégration à Apple Pay en France.
Apple Pay et les autres wallets prennent une place croissante dans les paiements, aussi bien en ligne qu’en boutique. D’après une étude de Worldpay, ils comptaient en 2024 pour 53 % des paiements en valeur dans l’e-commerce au niveau mondial, contre 32 % pour les cartes bancaires (débit et crédit). En magasin, les cartes gardent l’avantage avec 47 % des paiements, les wallets représentant 32 %.
En France plus spécifiquement, les wallets ont pesé 34 % des paiements en ligne en 2024 (+ 6 points en un an), tandis que les cartes bleues reculaient à 21 % (– 4 points). Dans les boutiques, ils ont atteint 13 % (+ 4 points) contre 24 % pour les cartes (–5 points). Au vu de la tendance, les Apple Pay, Google Pay et autres Samsung Pay vont dépasser les cartes en plastique dans les magasins dans les prochaines années.
Apple Pay convertit mieux que la carte bancaire
En ligne, les wallets deviennent même incontournables pour une partie des clients. Selon une étude réalisée par OpinionWay pour le compte de Lyf Pay, 54 % des utilisateurs d’Apple Pay ou de Google Pay ont déjà abandonné un achat parce que le site ne proposait pas leur wallet préféré. Pourquoi ? « Grâce à l'authentification par biométrie, la transaction présente moins de friction qu'un paiement par carte bancaire qui nécessite de valider son achat dans son application bancaire », explique Antoine Guillotte, Chief Product Officer chez Cdiscount, interrogé par mind Retail. Même si le fait de devoir ouvrir une seconde app pour valider l’achat est entré dans les mœurs, cette étape continue malgré tout de provoquer des abandons de panier, indique-t-il.
Image iGeneration
« En termes de transformation, si l'on compare les gros volumes de transaction en dehors du BNPL [buy now pay later, paiement différé, ndlr], Apple Pay convertit le mieux, suivi de PayPal et des cartes bancaires », ajoute le responsable de Cdiscount, dont 80 % du trafic a lieu sur mobile. Le taux de transformation d’Apple Pay est 10 à 20 % supérieur à celui des cartes classiques, une différence « très significative. »
Le site marchand a intégré Apple Pay juste avant sa période de pic commercial. Cette mise en place lui a permis de recruter de nouveaux clients, plus jeunes et un peu plus urbains. Fort de ces résultats, Cdiscount prévoit de proposer Google Pay et Samsung Pay en 2026.
Wero veut attaquer les gros paniers
L’entreprise regarde aussi de près Wero, un wallet soutenu par plusieurs banques européennes qui a récemment fait ses débuts dans des commerces en ligne allemands. Contrairement à Apple Pay, il n’est pas adossé à une carte, mais directement au compte bancaire, ce qui change la donne pour les gros achats.
« L’intérêt du compte à compte est de réduire les abandons de paniers dus aux encours de cartes, détaille Antoine Guillotte, toujours auprès de mind Retail. Sur les paniers élevés, beaucoup d'échecs de paiement proviennent non pas d'un défaut de solvabilité, mais du plafond de la carte. Wero nous permettrait de proposer à certains utilisateurs d'aller au bout de leur commande là où ils n'auraient pas pu le faire via le wallet ou la carte traditionnelle. »
Image Wero
Wero doit arriver sur les sites français en 2026. Air France, Leclerc, Orange/Sosh, Veepee ou encore Dot ont déjà manifesté leur intérêt. Une extension vers les paiements en boutique est prévue en 2027, avec deux parcours : un paiement par QR code en grandes surfaces et un paiement NFC sur TPE pour les petits commerces. À terme, l'IBAN sera intégré pour un paiement instantané de compte à compte, comme en ligne.
Wero va pouvoir tirer parti de l’ouverture réglementaire de la NFC de l’iPhone en Europe pour proposer une fonction de paiement sans contact. PayPal exploite déjà cette possibilité en Allemagne avec une carte bancaire virtuelle accessible sur iPhone. Fin octobre, deux millions d’utilisateurs l’utilisaient en magasin, un décollage favorisé par l’option de paiement en quatre fois.
Apple avait lancé fin 2023 une option similaire aux États-Unis nommée Apple Pay Later, mais celle-ci a été abandonnée seulement huit mois plus tard. La Pomme a décidé de revoir sa stratégie dans le paiement fractionné en nouant des partenariats avec des acteurs spécialisés. C’est dans ce cadre que Klarna a annoncé aujourd’hui son intégration à Apple Pay en France.
Klarna, un service qui permet de payer en plusieurs fois sans frais, s’intègre à Apple Pay en France et en Italie. L’annonce avait été faite récemment, et la disponibilité est maintenant effective. Les clients éligibles peuvent régler leurs achats en trois mensualités ou bien choisir de payer jusqu’à 30 jours plus tard. Pour les sommes importantes, Klarna propose un étalement plus long, cette fois assorti d’intérêts — c’est ainsi que l’entreprise fait son beurre.
Pour les paiements dans les boutiques physiques, il suffit de sélectionner la carte Klarna dans l’app Cartes de l’iPhone, comme une carte bancaire classique. La différence se trouve juste en-dessous : une option sous la carte permet de choisir le mode de paiement souhaité, par exemple le règlement différé.
Sur le web et dans les applications, l’intégration est un peu particulière : il faut toujours avoir ajouté sa carte Klarna dans Wallet au préalable, puis toucher « Autres cartes et options de paiement différé » lors du paiement via Apple Pay pour sélectionner celle-ci et le type de paiement fractionné.
La fintech suédoise, qui est récemment entrée en bourse, revendique 114 millions de clients à travers le monde grâce à sa présence sur de nombreux sites web (IKEA, GAP, Zara, Zalando, JD…). Ce partenariat avec Apple intervient dans le sillage de l’abandon d’Apple Pay Later.
Klarna, un service qui permet de payer en plusieurs fois sans frais, s’intègre à Apple Pay en France et en Italie. L’annonce avait été faite récemment, et la disponibilité est maintenant effective. Les clients éligibles peuvent régler leurs achats en trois mensualités ou bien choisir de payer jusqu’à 30 jours plus tard. Pour les sommes importantes, Klarna propose un étalement plus long, cette fois assorti d’intérêts — c’est ainsi que l’entreprise fait son beurre.
Pour les paiements dans les boutiques physiques, il suffit de sélectionner la carte Klarna dans l’app Cartes de l’iPhone, comme une carte bancaire classique. La différence se trouve juste en-dessous : une option sous la carte permet de choisir le mode de paiement souhaité, par exemple le règlement différé.
Sur le web et dans les applications, l’intégration est un peu particulière : il faut toujours avoir ajouté sa carte Klarna dans Wallet au préalable, puis toucher « Autres cartes et options de paiement différé » lors du paiement via Apple Pay pour sélectionner celle-ci et le type de paiement fractionné.
La fintech suédoise, qui est récemment entrée en bourse, revendique 114 millions de clients à travers le monde grâce à sa présence sur de nombreux sites web (IKEA, GAP, Zara, Zalando, JD…). Ce partenariat avec Apple intervient dans le sillage de l’abandon d’Apple Pay Later.
Le Black Friday est passé, mais les promotions ne sont pas terminées. Darty fait jusqu’à 14 % de remise sur l’iPad Air 13" de dernière génération. La version Wi-Fi avec 128 Go de stockage tombe ainsi à 749 € au lieu de 869 € chez Apple, un tarif record chez un revendeur français (Rakuten est à part avec ses exemplaires d’import…).
Vous avez en plus le choix entre les quatre couleurs et toutes les capacités de stockage sont en promo :
Introduit l’an dernier, l’iPad Air de 13" est vraiment bienvenu pour qui cherche une grande tablette sans avoir besoin des raffinements du modèle Pro. Cette grande ardoise est nettement plus abordable que l’iPad Pro de 13", qui démarre à plus de 1 400 € pour sa part (avec de 256 Go de stockage) !
L’iPad Air M3 surclasse largement l’iPad d’entrée de gamme en matière de puissance. Avec la puce M3, il n’y a pas de souci à se faire sur les performances pendant des années et des années. Il dispose en plus d’une bonne webcam et de la compatibilité avec le Wi-Fi 6E pour une connexion très rapide à domicile.
Le Black Friday est passé, mais les promotions ne sont pas terminées. Darty fait jusqu’à 14 % de remise sur l’iPad Air 13" de dernière génération. La version Wi-Fi avec 128 Go de stockage tombe ainsi à 749 € au lieu de 869 € chez Apple, un tarif record chez un revendeur français (Rakuten est à part avec ses exemplaires d’import…).
Vous avez en plus le choix entre les quatre couleurs et toutes les capacités de stockage sont en promo :
Introduit l’an dernier, l’iPad Air de 13" est vraiment bienvenu pour qui cherche une grande tablette sans avoir besoin des raffinements du modèle Pro. Cette grande ardoise est nettement plus abordable que l’iPad Pro de 13", qui démarre à plus de 1 400 € pour sa part (avec de 256 Go de stockage) !
L’iPad Air M3 surclasse largement l’iPad d’entrée de gamme en matière de puissance. Avec la puce M3, il n’y a pas de souci à se faire sur les performances pendant des années et des années. Il dispose en plus d’une bonne webcam et de la compatibilité avec le Wi-Fi 6E pour une connexion très rapide à domicile.
Les Freebox disposent sans aucun doute du système d’exploitation le plus complet parmi les box fournies par les opérateurs. Mais son interface ne pourrait-elle pas être améliorée ? C’est l’avis d’un designer et d’un développeur qui se sont associés pour proposer une interface d’administration plus moderne.
Freebox OS Ultra Dashboard
Réalisée par Powlisher et Hugo Hérisson, Freebox OS Ultra Dashboard est une interface web alternative pour les Freebox Ultra, Delta et Pop qui permet de consulter en un coup d’œil de nombreuses informations. Là où le système d'exploitation impose plusieurs clics pour accéder aux téléchargements, aux débits ou aux appareils connectés, ce tableau de bord regroupe tout en une seule page, mise à jour en temps réel.
Ultra Dashboard n’altère pas Freebox OS, il s’agit d’une nouvelle porte d’entrée accessible depuis le web qui est permise grâce aux API de Free. Open source, l’interface est conçue avec la bibliothèque React et le framework Express. Son installation, qui nécessite de taper quelques commandes dans un terminal, est détaillée sur la page du projet. Comme il s’agit d’une bêta, des bugs ne sont pas à exclure.
L’interface native de Freebox OS
« Côté évolutions, je suis actuellement en phase de test sur les Freebox Pop et Delta. L’idée est de pousser l’API Freebox OS au maximum et d’ajouter des fonctionnalités manquantes ou que j’ai pu "oublier" lors du premier jet », a fait savoir Hugo Hérisson à nos confrères de Next. Le développeur est maintenant en contact avec le responsable de Freebox OS, de quoi, peut-être, inspirer certaines améliorations officielles.
Les Freebox disposent sans aucun doute du système d’exploitation le plus complet parmi les box fournies par les opérateurs. Mais son interface ne pourrait-elle pas être améliorée ? C’est l’avis d’un designer et d’un développeur qui se sont associés pour proposer une interface d’administration plus moderne.
Freebox OS Ultra Dashboard
Réalisée par Powlisher et Hugo Hérisson, Freebox OS Ultra Dashboard est une interface web alternative pour les Freebox Ultra, Delta et Pop qui permet de consulter en un coup d’œil de nombreuses informations. Là où le système d'exploitation impose plusieurs clics pour accéder aux téléchargements, aux débits ou aux appareils connectés, ce tableau de bord regroupe tout en une seule page, mise à jour en temps réel.
Ultra Dashboard n’altère pas Freebox OS, il s’agit d’une nouvelle porte d’entrée accessible depuis le web qui est permise grâce aux API de Free. Open source, l’interface est conçue avec la bibliothèque React et le framework Express. Son installation, qui nécessite de taper quelques commandes dans un terminal, est détaillée sur la page du projet. Comme il s’agit d’une bêta, des bugs ne sont pas à exclure.
L’interface native de Freebox OS
« Côté évolutions, je suis actuellement en phase de test sur les Freebox Pop et Delta. L’idée est de pousser l’API Freebox OS au maximum et d’ajouter des fonctionnalités manquantes ou que j’ai pu "oublier" lors du premier jet », a fait savoir Hugo Hérisson à nos confrères de Next. Le développeur est maintenant en contact avec le responsable de Freebox OS, de quoi, peut-être, inspirer certaines améliorations officielles.
Quelle surprise ! De la pub dans un service Google, incroyable ! Bon, ça n’étonnera personne, mais Gemini pourrait bientôt accueillir des réclames. Selon Adweek, Google a commencé à informer quelques annonceurs que son IA générative serait ouverte à la pub en 2026.
Image Google/MacGeneration
En février, Sundar Pichai avait déclaré que son entreprise avait de « très bonnes idées » quant à la manière dont les annonces pourraient apparaitre dans l’assistant. Pour l’instant, on ne sait pas quelles formes elles prendront ni comment elles seront intégrées.
Quoi qu’il en soit, pour des services qui rassemblent des centaines de millions d’utilisateurs et dont le développement coûte cher, les IA génératives auront bien du mal à échapper aux annonces. Comme on l’a vu avec les plateformes de streaming vidéo, la publicité est un levier de monétisation redoutable : les utilisateurs « gratuits » finissent par rapporter quelque chose, et ceux qui ne veulent pas de réclame paient pour s’en débarrasser.
Quelle surprise ! De la pub dans un service Google, incroyable ! Bon, ça n’étonnera personne, mais Gemini pourrait bientôt accueillir des réclames. Selon Adweek, Google a commencé à informer quelques annonceurs que son IA générative serait ouverte à la pub en 2026.
Image Google/MacGeneration
En février, Sundar Pichai avait déclaré que son entreprise avait de « très bonnes idées » quant à la manière dont les annonces pourraient apparaitre dans l’assistant. Pour l’instant, on ne sait pas quelles formes elles prendront ni comment elles seront intégrées.
Quoi qu’il en soit, pour des services qui rassemblent des centaines de millions d’utilisateurs et dont le développement coûte cher, les IA génératives auront bien du mal à échapper aux annonces. Comme on l’a vu avec les plateformes de streaming vidéo, la publicité est un levier de monétisation redoutable : les utilisateurs « gratuits » finissent par rapporter quelque chose, et ceux qui ne veulent pas de réclame paient pour s’en débarrasser.
Le récent bug de performances touchant les applications Electron sur macOS Tahoe l’a rappelé : la technologie utilisée pour créer une app n’est pas anodine. Lorsqu’une anomalie affecte un framework, c’est tout un ensemble d’applications qui en subit les conséquences. App Detective est un nouvel utilitaire gratuit qui met justement en lumière la « nature » des apps installées sur votre Mac. Cela permet de mieux comprendre pourquoi certaines se ressemblent et pourquoi d’autres ne réagissent pas de la même manière.
App Detective. Image MacGeneration.
App Detective analyse les composants des apps et identifie le framework principal de chacune. Il les classe ensuite par type et par technologie utilisée, offrant ainsi un nouveau regard sur votre bibliothèque logicielle.
L’outil reconnait les grands frameworks d’Apple :
AppKit : le framework d'interfaces historique du Mac, celui qui est censé offrir la meilleure intégration à macOS ;
SwiftUI : le « nouveau » framework d’Apple (qui date quand même de 2019), qui permet de créer des interfaces pour tous les appareils de la Pomme ;
Catalyst : la « passerelle » qui permet de porter simplement des apps iPad vers le Mac.
Il sait également détecter d’autres frameworks, à commencer par Electron, conçu pour développer des applications multiplateformes en utilisant des technologies du web. Si vous vous demandez pourquoi Signal et 1Password pèsent près de 500 Mo chacun, App Detective confirme que ces deux apps utilisent Electron et embarquent dès lors l’équivalent d’un mini-navigateur. L’utilitaire distingue aussi Flutter, un framework poussé par Google, React Native, proposé par Meta, et d’autres.
Au cas où vous l’ignoreriez, vous pouvez inspecter vous-même une application. Un clic secondaire sur son icône puis sur « Afficher le contenu du paquet » permet d’explorer ses composants. Dans le cas de 1Password, on repère ainsi la présence d’éléments nommés Electron Framework qui ne trompent pas.
Exploration manuelle d’une app. Image MacGeneration.
À toutes fins utiles, rappelons que le framework ne fait pas tout. Une app construite avec les outils natifs d’Apple n’est pas automatiquement meilleure qu’une app Electron ou Flutter. Elle part avec des avantages, comme la légèreté, mais au final c’est le soin apporté par le développeur qui fait réellement la différence.
Le récent bug de performances touchant les applications Electron sur macOS Tahoe l’a rappelé : la technologie utilisée pour créer une app n’est pas anodine. Lorsqu’une anomalie affecte un framework, c’est tout un ensemble d’applications qui en subit les conséquences. App Detective est un nouvel utilitaire gratuit qui met justement en lumière la « nature » des apps installées sur votre Mac. Cela permet de mieux comprendre pourquoi certaines se ressemblent et pourquoi d’autres ne réagissent pas de la même manière.
App Detective. Image MacGeneration.
App Detective analyse les composants des apps et identifie le framework principal de chacune. Il les classe ensuite par type et par technologie utilisée, offrant ainsi un nouveau regard sur votre bibliothèque logicielle.
L’outil reconnait les grands frameworks d’Apple :
AppKit : le framework d'interfaces historique du Mac, celui qui est censé offrir la meilleure intégration à macOS ;
SwiftUI : le « nouveau » framework d’Apple (qui date quand même de 2019), qui permet de créer des interfaces pour tous les appareils de la Pomme ;
Catalyst : la « passerelle » qui permet de porter simplement des apps iPad vers le Mac.
Il sait également détecter d’autres frameworks, à commencer par Electron, conçu pour développer des applications multiplateformes en utilisant des technologies du web. Si vous vous demandez pourquoi Signal et 1Password pèsent près de 500 Mo chacun, App Detective confirme que ces deux apps utilisent Electron et embarquent dès lors l’équivalent d’un mini-navigateur. L’utilitaire distingue aussi Flutter, un framework poussé par Google, React Native, proposé par Meta, et d’autres.
Au cas où vous l’ignoreriez, vous pouvez inspecter vous-même une application. Un clic secondaire sur son icône puis sur « Afficher le contenu du paquet » permet d’explorer ses composants. Dans le cas de 1Password, on repère ainsi la présence d’éléments nommés Electron Framework qui ne trompent pas.
Exploration manuelle d’une app. Image MacGeneration.
À toutes fins utiles, rappelons que le framework ne fait pas tout. Une app construite avec les outils natifs d’Apple n’est pas automatiquement meilleure qu’une app Electron ou Flutter. Elle part avec des avantages, comme la légèreté, mais au final c’est le soin apporté par le développeur qui fait réellement la différence.
Après avoir fait largement la course en tête pendant trois ans, OpenAI voit la concurrence se rapprocher dangereusement, au point qu’une « alerte rouge » aurait été déclenchée en interne. Face à la montée en puissance de Google et Anthropic, Sam Altman aurait demandé à ses équipes de mettre le paquet sur les fonctions de base de ChatGPT, quitte à retarder des projets secondaires, comme l’intégration de la pub et la création d’un assistant de santé.
Options de personnalisation introduites avec GPT-5.1. Image OpenAI.
Dans ce contexte d’urgence, OpenAI pourrait lancer GPT-5.2 dès cette semaine, soit un mois seulement après GPT-5.1. D’après The Verge, ce nouveau modèle était initialement prévu fin décembre, mais face à un Gemini 3 qui s’est placé en tête de nombreux benchmarks, la sortie pourrait être avancée au 9 décembre.
« Il s'agit de bien plus qu'un simple remaniement du classement », a expliqué à The Verge Wei-Lin Chiang, cofondateur et directeur technique de LMArena, un comparateur de modèles d’IA. Gemini 3 Pro domine largement les catégories professionnelles telles que la programmation et l'écriture créative, et ses capacités de programmation autonome « surpassent, dans de nombreux cas, celles des meilleurs modèles de programmation comme Claude 4.5 et GPT-5.1 ». Il s'est également hissé en tête du classement de la compréhension visuelle et a été le premier modèle à dépasser le score de 1 500 points dans le classement textuel de la plateforme.
Au-delà de ces benchmarks dont la fiabilité est discutable, Google représente également une menace d’ordre commercial. Moins de 24 heures après son lancement, plus d’un million de personnes avaient déjà testé Gemini 3 via Google AI Studio et l’API Gemini. « C’est le meilleur démarrage que nous ayons eu pour l’un de nos nouveaux modèles », a fait savoir Logan Kilpatrick, responsable produit de Google AI Studio et de l’API Gemini chez Google DeepMind. D’où la volonté d’OpenAI de vite remettre ses technologies dans la lumière.
Pour faire ses débuts dans l’écosystème Hue sans être limité par la suite, Darty fait une offre intéressante. Le kit de démarrage comprenant le Bridge Pro, un interrupteur et trois ampoules E27 multicolores est en promo à 139,99 € au lieu de 199 €. Les ampoules incluses ont une luminosité maximale de 1 100 nits.
C’est l’une des premières promotions portant sur le Bridge Pro, le nouveau pont de connexion qui prend en charge jusqu’à 150 luminaires et 50 accessoires, contre seulement 50 produits au total pour la version classique. Ce pont peut également stocker plus de 500 scènes personnalisées, est censé offrir des temps de réponse significativement réduits et autorise des fonctionnalités inédites, notamment Hue MotionAware, qui transforme les luminaires Hue (plus de 95 % sont compatibles) en détecteurs de mouvement.
Lorsqu’un mouvement est détecté, le système déclenche des alertes lumineuses et envoie des notifications. Les alertes lumineuses sont gratuites, mais pour recevoir les notifications de sécurité, il faut un abonnement Hue Secure (à partir de 39,99 € par caméra par an). Si vous n'avez pas de caméras de surveillance, la marque propose les alertes de sécurité MotionAware pour 0,99 €/mois.
Si vous ne prévoyez pas d’installer des dizaines et des dizaines d’ampoules chez vous et que vous n’êtes pas intéressé par Hue MotionAware, la marque propose depuis peu une nouvelle gamme plus abordable. Le pack de démarrage avec le Bridge standard et quatre ampoules E27 Essential multicolores est vendu 99 €. Ces ampoules sont un peu moins avancées que les versions traditionnelles (fabrication tout en plastique et luminosité limitée à 806 lumens), mais elles restent de bonne qualité et permettent de profiter de toutes les fonctions connectées de l’univers Hue.
À l’heure où 2025 s’achève, l’équipe de MacGeneration dresse le bilan des produits qui ont marqué son année, qu’ils soient fraîchement sortis ou déjà bien installés. Il y a eu de bonnes surprises, des satisfactions attendues, mais aussi quelques déceptions. Voici nos coups de cœur et nos coups de gueule, de quoi inspirer vos cadeaux de Noël… ou vous éviter quelques achats regrettables.
L'année dernière, j'avais mis DockKit dans mes coups de gueule. Cette année, j'ai changé d'avis. En 2025, j'ai testé le Flow 2 Pro d'Insta360. C'est un stabilisateur DockKit, qui corrige les défauts du modèle de Belkin, et avec le support MagSafe (souvent optionnel, malheureusement), c'est vraiment pratique.
Je ne fais pas ça avec, mais ça montre qu'il est assez souple. Image Insta360.
Je m'en sers souvent pour filmer des plans fixes proprement, mais c'est aussi très efficace pour les conversations FaceTime, quand on aime marcher en parlant ou quand on veut montrer quelque chose. J'utilisais des stabilisateurs depuis quelques années, mais le combo MagSafe et DockKit (plutôt que la pince classique) est vraiment pratique. Et je me surprends réellement à l'utiliser très régulièrement. Si j'aime beaucoup DockKit, du coup, c'est vraiment dommage qu'Apple ne mette pas ça plus en avant.
Pendant des années, j’ai cherché une application pour gérer des partitions. Celles qui m’intéressaient étaient chères et je n’ai jamais osé sauter le pas, jusqu’à ce début d’année où j’ai dépensé 30 € dans forScore. L'application est universelle et chez moi, chaque appareil a son utilité : le Mac aide à importer les partitions dans la bibliothèque et à créer des setlists ; l’iPad sert évidemment à lire les partitions, mais aussi à les annoter pendant les répétitions avec une merveilleuse fonction de calque ; l’iPhone dépanne pour vérifier ou relire un passage rapidement.
forScore
En migrant mes partitions dans cette app (import PDF et scanner intégré), j'ai pu m’alléger de mes protège documents qui alourdissaient mon sac et me faisaient perdre du temps dans mes recherches. Bref, je recommande vivement cette application aux musiciens qui veulent se simplifier la vie et emporter avec eux leurs real books, partitions de concert ou autres.
L’iPhone Air (Greg)
Alors oui, l’idée n’est pas forcément dans l’air du temps quand on voit les ventes de cet iPhone ultra fin. Mais si tous les compromis peuvent refroidir l’utilisateur en général, il est des personnes chez qui ceux-ci ne sont pas si gênants, et j’en fais partie.
Oui, il n’a qu’un objectif, qu’un haut-parleur, mais il est fin, léger, et a un grand écran. C’est tout ce que je lui demande ! Image MacGeneration.
Dans la majorité des tests, les reproches sont les mêmes : l’autonomie, l’unique caméra arrière et le haut-parleur monophonique. L’autonomie ? Je n’ai pas à m’en plaindre, je n’ai jamais été au bout de la batterie. Il faut dire que mon utilisation typique n’en demande pas trop : la plupart du temps, je suis chez moi. Et quand je sors, je suis en voiture et le chargeur sans fil intégré fait l’affaire.
L’appareil photo ? Étant un grand amateur de photo, quand je sais que j’en ai besoin, je sors le DSLR. Certes, le meilleur appareil est celui qu’on a avec soi. Mais au final, si c’est juste pour prendre une photo à l’arraché, l’optique unique de l’iPhone Air me suffit amplement. Reste le haut-parleur monophonique. Si au départ, c’était étrange de n’avoir de son que sur un côté, en usage courant, je ne m’en aperçois même plus. Et quand j’ai besoin d’avoir un meilleur son, je sors au choix les AirPods Pro 2 ou le Focal Bathys.
Au bout du compte, l’iPhone Air a des limitations, mais on s’en fait plus une montagne qu’autre chose. En contrepartie, j’ai un téléphone avec un grand écran, ce qui revêtait la plus haute importance pour moi étant grand consommateur de contenus textuels. Et que dire du poids : quand je reprends un autre iPhone — à part l’iPhone mini de ma compagne —, quelle différence énorme, j’ai l’impression d’avoir une brique entre les mains ! Donc oui, l’iPhone Air est validé, et c’est sûrement le meilleur iPhone que j’ai eu ces dernières années !
J’ai pu tester cet été le casque OpenSwim Pro de Shokz à conduction osseuse et qui a l’avantage de pouvoir aller sous l’eau. Le produit m’a complètement convaincu, au point que c’est la première fois que j’attribue une note de 5 sur 5 dans les colonnes de MacG !
OpenSwim Pro. Image Shokz.
Le casque n’a rien de particulièrement dingue dans son design ou sa fabrication, mais permet d’écouter sa musique sous l’eau. C’est assez magique la première fois et l’effet ne s’est toujours pas estompé chez moi, même après plusieurs baignades. J’ai retrouvé l’effet « waouh » de la découverte des AirPods, ce moment où l’on se dit : « Attends, on peut vraiment écouter de la musique comme ça ? » Il fonctionne également sur la terre ferme, où il est devenu un bon allié pour mes footings. Bref, un achat que je recommande chaudement pour les nageurs amateurs du mois d’août comme pour ceux pratiquant en bassin plusieurs fois par semaine.
Les S3XY Buttons et surtout le Commander de Enhance Auto (Nicolas)
Cela faisait des années que j’étais intrigué par les « S3XY Buttons » et surtout le Commander d’Enhance Auto. Ce boîtier vient se brancher directement sur les circuits de communication des Tesla et il leur ajoute de multiples fonctionnalités, par le biais des boutons ou même en toute autonomie. J’apprécie d’avoir des commandes physiques dans l’habitacle pour diverses tâches qui nécessitent normalement de passer par l’écran, comme un bouton qui (dés)active la ventilation à l’arrière de ma Model 3. La vraie force du produit dans notre cas, c’est toutefois l’Autopilot en continu, qui corrige un des plus gros défauts de la voiture.
Un des boutons S3XY installé dans ma Model 3. Image MacGeneration.
Comme je l’ai détaillé dans le test complet, le Commander réactive automatiquement le maintien de la trajectoire après avoir changé de voie, ce que Tesla refuse de faire par défaut pour vendre son Autopilot amélioré à 3 600 €. S’il n’était pas question de dépenser une telle somme, ce produit vendu environ 260 € est bien plus raisonnable et il fonctionne vraiment bien. Cela fait maintenant près de 12 000 km que nous roulons avec le boîtier en place, nous avons eu l’occasion de le tester dans toutes les configurations et nous n’avons jamais été déçus par l’appareil.
Je crois que cela fait bien 20 ans que je cherche à acquérir un aspirateur robot, mais on m’a toujours découragé à le faire. Ce secteur est actuellement en plein boom avec l’essor de la domotique et de l’intelligence artificielle.
SwitchBot S20
Non seulement le Switchbot S20 passe l’aspirateur à ma place, mais il est capable de laver le sol. Je reviendrai sur les capacités de cet appareil dans un test à venir, mais voilà, je peux dire à Siri de faire le ménage pendant que je continue de travailler.
Le résultat est tout à fait satisfaisant. Avec le recul, je regrette presque de ne pas avoir pris un modèle branché directement au système d’eau dans la maison. Bref, je ne passe plus l’aspirateur, mais je passe désormais mon temps à l’entretenir. Malgré tout, le gain de temps reste largement positif.
L’iPad (Artem)
J’ai longtemps été un détracteur de l’iPad, un appareil dont je n’avais jamais réussi à justifier l’achat, parce qu’il se positionnait pour moi bizarrement entre le Mac et l’iPhone. Mais cette année, quelque chose a changé. J’en ai tellement marre d’utiliser mon Mac dix heures par jour que, quand je veux me détendre sur un appareil avec un grand écran, l’iPad est devenu la solution. Ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit : ce n’est clairement pas l’idéal, et iOS 26 a même empiré les choses à certains égards (le nouveau système de fenêtres est toujours une alternative étrange à Split View et à un Slide Over vraiment multitâche). Mais malgré tout, ça reste un appareil de niche plutôt sympa.
iPad Pro 13 pouces M4. Image MacGeneration.
Je joue avec, notamment à Medieval Total War et au Colin McRae Dirt 2 de la PSP en émulation. Je compte bien relancer Red Dead Redemption, un jeu de mon enfance. L'iPad de 13 pouces est encombrant à transporter, mais étonnamment pratique en voyage, car il fait parfaitement l'affaire comme écran supplémentaire. Alors, malgré mes sentiments mitigés, j'ai décidé de faire de l'iPad mon coup de cœur cette année. Au fait, j’utilise un iPad Pro M4 de 13 pouces avec le Magic Keyboard.
Le DJI Mic Mini (Félix)
De temps à autre me prend l’envie de faire des vidéos. J’ai pendant longtemps utilisé un micro-cravate de Rode qui a fini par prendre la poussière à cause de son long câble contraignant à mettre en place (et à démêler en le sortant du tiroir). Voulant retenter l’expérience avec un modèle sans fil, je me suis tourné un peu au hasard vers le Mic mini de DJI, qui ne coûte pas grand-chose étant donné qu’il est vendu 25 € seul ou 45 € avec un récepteur.
Mic Mini. Image DJI
Je ne m’attendais pas à être particulièrement époustouflé au vu de ce tarif très abordable par rapport à la concurrence (il faut débourser au moins 100 € pour la même chose chez Rode). J’ai été très agréablement surpris : le micro est livré dans une petite pochette de transport avec différentes bonnettes et plusieurs câbles.
Tout fonctionne immédiatement, le son est excellent et l’autonomie très bonne. Il n’y a même pas besoin d’installer l’application de DJI et le micro peut se connecter directement aux différents produits de la marque. Bref, un achat un peu hésitant que je ne regrette absolument pas.
Aqara FP300 et les autres détecteurs de présence sur pile (Nicolas)
La détection de présence a bousculé ma vision de la domotique : ces appareils basés sur un radar ultra-précis au lieu des ondes infrarouges plus grossières permettent de créer des automatisations vraiment fiables et de gérer les lumières réellement en fonction de la présence dans une pièce. Longtemps réservés à des appareils qui consommaient trop pour fonctionner sans fil, 2025 a été l’année de la détection de présence sur piles, ouvrant de nouvelles opportunités.
Le FP300 d’Aqara, première option nativement compatible Matter que j’ai testée dans la catégorie. Image MacGeneration.
Si j’ai pu expérimenter avec la catégorie en début d’année grâce à Home Assistant, le FP300 d’Aqara est le premier modèle d’envergure dans le domaine. Équipé d’une puce qui peut se connecter en Zigbee ou en Thread au choix, c’est un modèle nativement compatible avec Matter et que l’on peut donc exploiter dans l’app Maison d’Apple. Il fonctionne par ailleurs aussi bien que promis et offre plusieurs fonctionnalités annexes, avec son thermomètre ou son capteur de luminosité intégrés.
L’appareil est malheureusement victime de son succès, mais il semble avoir ouvert la voie pour d’autres produits identiques. SwitchBot en a désormais un, même s’il nécessite un hub maison pour Matter, et Meross a suivi le mouvement avec son propre modèle qui se connecte à la domotique grâce à Thread. Tous ces produits reposent sur les mêmes mécanismes et promettent des fonctionnalités proches, mais vous pouvez compter sur de futurs tests pour s’en assurer.
AirPods Pro 3 (Stéphane)
Les AirPods Pro 3 en coup de cœur, ce n’est pas vraiment une surprise, quoique. J’adore mes AirPods Pro 2 — achetés seulement en fin d’année dernière pour remplacer des Pro 1 défaillants — et j’étais bien décidé à les privilégier pendant longtemps. Mais voilà, les derniers écouteurs ont réussi à me surprendre.
AirPods Pro 3. Image MacGeneration.
Le bond en avant n’est pas aussi important qu’entre les deux premières générations, néanmoins les AirPods Pro 3 progressent sur tous les fronts. La réduction de bruit, bien aidée par les nouveaux embouts infusés de mousse, me bluffe tout particulièrement. Même si je n’utilise pas souvent le capteur de fréquence cardiaque, les AirPods Pro 3 ont conquis mon cœur.
Le routeur portable GL.iNet pour simplifier les vacances connectées (Nicolas)
Ma série estivale sur les vacances connectées a beaucoup fait parler d’elle, mais ce que je retiens surtout, c’est bien le routeur portable qui était au cœur de l’expérience. J’avais choisi un peu au hasard le GL-MT3000 de GL.iNet et le choix s’est avéré payant : à plusieurs reprises, il m’a considérablement simplifié l’accès à internet sur un lieu de vacances, en récupérant la connexion fournie sur place et en créant un réseau Wi-Fi identique à celui qui est en place chez nous.
Le routeur en action dans une maison de vacances. Image MacGeneration.
Bien évidemment, c’est utile si vous vous déplacez avec les objets connectés, qui pourront ainsi retrouver leur connexion n’importe où, sans avoir à les connecter à un réseau différent à chaque fois. C’est aussi, et peut-être surtout, pratique pour tous nos iPhone, montres connectées, iPad et autres ordinateurs portables. Grâce au routeur de GL.iNet, tous ces périphériques peuvent se connecter au même Wi-Fi qu’à la maison, sans avoir à saisir des identifiants à rallonge à chaque fois et en bénéficiant de performances souvent bien supérieures à ce qui est proposé sur place. Que j’ai accès à une prise Ethernet, un réseau sans-fil existant ou même tout simplement que je partage la connexion de mon smartphone, le résultat est toujours le même, ce qui est très pratique.
Le système d’exploitation du routeur GL.iNet regorge d’options, bien plus que je l’imaginais au départ. Je n’ai pas encore tout exploité, mais j’aimerais bien configurer un VPN depuis mon réseau local pour renforcer encore l’idée que je peux transporter ma maison connectée n’importe où.
L'Ethernet rapide arrive enfin à un prix correct (Pierre)
Depuis quelques années maintenant, des NAS intègrent des prises Ethernet à 2,5 ou 10 Gb/s (même chez Synology) et les connexions à internet dépassent largement 1 Gb/s. Mais en parallèle, le matériel ne suivait que rarement. Les cartes Ethernet à 10 Gb/s restent assez onéreuses, les adaptateurs Thunderbolt valent facilement plus de 200 €, et même chez Apple c'est uniquement une option sur le Mac mini M4 et ce n'est pas proposé sur l'iMac M4. Mais en 2025, il y a eu deux bonnes nouvelles.
En janvier, je testais un adaptateur Ethernet à 5 Gb/s en USB-C, et j'espérais un prix vers 40 € pour l'arrivée en masse des accessoires sur le marché. Je m'étais trompé : ils sont à 30 € environ. Et fin novembre, j'ai essayé un des premiers adaptateurs USB-C à 10 Gb/s de la même société (Realtek). Dans les deux cas, l'Ethernet à plus de 1 Gb/s se démocratise et c'est une bonne nouvelle. Il y a quelques compromis, mais pour profiter d'un NAS rapide ou d'une connexion à 8 Gb/s, c'est parfaitement suffisant et surtout beaucoup moins cher que le Thunderbolt.
L'adaptateur USB (à gauche) est vraiment plus petit que le (gros) modèle d'OWC, en Thunderbolt. Image MacGeneration.
Très attaché à Spotify depuis ses débuts, je lui fais pourtant régulièrement des infidélités en lançant Apple Music. Pourquoi ? Parce que j’aime (re)découvrir des morceaux en Dolby Atmos. Le rendu varie d’un titre à l’autre, mais cette année, toute la discographie d’Oasis a été convertie à l’audio spatial, alors je ne pouvais pas passer à côté de ça.
Des nouveautés sympas d’Apple Music sur iOS 26 : l’animation sur l’écran verrouillé ainsi que la traduction et la prononciation des paroles. Image MacGeneration.
Bref, Apple Music regorge de fonctions innovantes qui manquent à Spotify. C’est pour cela que je traque les offres spéciales — je ne compte plus le nombre de mois gratuits glanés au fil du temps. Alors pourquoi ne pas basculer totalement vers le service d’Apple ? Parce que Spotify garde des atouts essentiels à mes yeux, notamment ses recommandations et Spotify Connect. Je jongle donc entre les deux, et ce n’est finalement pas si mal.
Quand Apple a sorti le HomePod 2, j’en ai acheté une paire pour m’en servir d’enceintes de home cinema couplées à une Apple TV. Je les ai immédiatement posés sur un meuble et je les contrôle depuis l’Apple TV ou vocalement avec « Dis Siri ». Il y a quatre mois, ces deux HomePod 2 se sont mis à jouer de la musique à tue-tête en pleine nuit. Heureusement, ça n’a réveillé que moi. J’ai compris rapidement que les enceintes avaient relancé la lecture de la playlist arrêtée juste avant d’aller me coucher.
La surface tactile du HomePod 2 qui s’active toute seule. Image iGeneration.
Le panneau tactile que je n’utilise jamais me fait défaut et un de mes HomePod 2 devient donc inutilisable après deux ans et demi. Il y a bien une bidouille à effectuer dans les paramètres d’accessibilité pour atténuer le problème, mais celle-ci n’a fonctionné qu’un temps. Il y a trois semaines, le HomePod s’est rallumé en pleine nuit avec un podcast cette fois.
À l’Apple Store, on m’a indiqué qu’il n’y avait pas assez de retours utilisateur pour qu’Apple mette en place un programme de service synonyme de réparation gratuite. Il me reste trois options : démonter moi-même l’appareil pour débrancher la nappe de la zone tactile ; payer 280 € pour un remplacement chez Apple ; ou payer un réparateur tiers. Si vos HomePod rencontrent le même problème, n’hésitez pas à aller râler en Apple Store. Qui sait, à la fin, Apple finira peut-être par organiser un programme de remplacement.
Logi Options+, l’app qui ruine (presque) les excellentes souris de Logitech (Nicolas)
Je savais que Logi Options+, l’app associée aux produits Logitech, était mauvaise. Mon collègue Félix avait eu l’occasion de la tester et je l’avais entendu parler de son poids de plus en plus élevé et de ses fonctions « intelligentes » très mal pensées. Néanmoins, j’ai eu l’occasion de le vivre directement en testant la récente souris MX Master 4 et j’ai failli être aveuglé par l’app au point d’ignorer les qualités du matériel.
L’app n’a pas l’air si horrible comme ça, n’est-ce pas. Image MacGeneration.
Le poids de l’app est évidemment ridicule : quasiment 500 Mo sont utilisés sur mon Mac pour configurer une souris. Son interface Electron n’est pas forcément moche, même si elle ne respecte pas les canons de macOS et surtout, elle n’est pas toujours intuitive. Ce qui m’a surtout gêné, pour ne pas dire choqué, ce sont les demandes envahissantes au démarrage de l’app, Logitech obligeant à donner accès à tout ce que l’on saisit sur son Mac pour pouvoir lancer Options+. Si cela peut éventuellement être utile pour un clavier (et encore), c’est totalement superflu pour une souris et je ne devrais pas avoir à donner un tel accès.
Pour ne rien arranger, l’app est techniquement mauvaise sur plein de points. Dans mon test de la souris, j’ai détaillé cette automatisation suggérée par Logitech qui lance Notes en activant Spotlight puis en saisissant le nom de l’app dans le champ de recherche ! Le Mac est une excellente plateforme pour automatiser des tâches et le fabricant devrait avoir honte de proposer une telle fonctionnalité. Heureusement que son matériel est bon…
Le même coup de gueule que l'année dernière, mais pour une raison simple : Belkin a rappelé son support, qui était très perfectible, pour des risques d'incendie. Il n'y a pas de remplacement possible (ni de remplaçant) et Belkin rembourse l'appareil en demandant de s'en débarrasser et de ne plus l'utiliser. Un échec tout du long, donc.
Support rotatif DockKit Belkin
La coque GameBaby (Félix)
J’ai eu la bien mauvaise idée de faire un achat impulsif en début d’année et de précommander la coque GameBaby. Sur le papier, le concept est sympa : une coque réversible dont on peut déclipser la partie arrière pour transformer son iPhone en une sorte de GameBoy avec l’émulateur Delta. Malheureusement, le résultat est plus que bancal pour un accessoire ayant de trop nombreux problèmes de conception.
Image MacGeneration
La coque n’est pas très pratique en soi et est assez compliquée à mettre en place. Même quand c’est fait, le produit est difficilement utilisable étant donné qu’il cache une partie de l’interface du téléphone. Pire : de nombreux faux contacts rendent les parties frustrantes et passent l’envie de s’en servir. L’idée de base n’est pas bête et mériterait sans doute d’être intégralement repensée comme accessoire MagSafe, mais en l’état, la coque a fini au fond d’un tiroir en moins d’une semaine.
La disparition des sorties d’enregistrement dans la hi-fi (Greg)
Vous vous dites peut-être « qu’est-ce que ça vient faire sur un site qui parle d’Apple ? » Le lien est pourtant là, et beaucoup plus profond qu’il n’y parait.
Vieux, mais pas obsolète : le DAT aurait de quoi en remontrer aux aficionados du streaming ! Image audiophile.coolblog.jp
Il y a encore quelques années, un ampli hi-fi ne se concevait pas sans une sortie permettant d’y brancher une platine cassette, ou pour les plus modernes d’entre nous, une platine DAT ou CD-R. Mais depuis quelque temps, y compris dans la hi-fi haut de gamme, pouf, disparue ! Le streaming et la dématérialisation sont passés par là, et ils ont fait de gros dégâts pour ceux qui aiment de temps en temps s’enregistrer une bonne mix tape. La majorité du grand public ne s’intéresse plus qu’à la musique en ligne, en ajoutant au mieux une platine vinyle.
Les audiophiles (même si je déteste ce terme) qui ont encore des platines cassette, DAT, MiniDisc ou même DCC se retrouvent les dindons de la farce : impossible d’avoir un ampli décent, récent et connecté qui possède la moindre sortie pour y enregistrer ses morceaux favoris. Certes, ça ne concerne pas la majorité des consommateurs, qui ne jurent maintenant que par Spotify ou Apple Music. Mais par pitié, tout comme certains regrettent la fin de la prise jack sur les iPhone, rendez-nous une sortie d’enregistrement, au moins sur un ampli dans votre gamme !
L'USB-C qui est en fait de l’USB-A (Pierre)
Ça fait une dizaine d'années que j'utilise de l'USB-C (avec un MacBook Pro 2017) et cette norme universelle m'énerve sur un point : les prises USB-A. Sur les dizaines d'accessoires que j'ai pu acheter ou tester sur la période et qui sont « USB-C », je peux compter sur les doigts d'une main ceux qui sont arrivés avec un câble USB-C vers USB-C. Dans l'énorme majorité (en dehors peut-être des SSD externes), le constat est assez simple : les appareils possèdent bien une prise USB-C femelle mais sont livrés avec un câble USB-C vers USB-A. Et dans une partie significative des cas (même si heureusement c'est un défaut qui tend à disparaître), il n'est même pas possible de le remplacer par un câble USB-C classique : ça ne fonctionne tout simplement pas sur un chargeur USB-C qui suit correctement la norme USB PD.
Je ne vais pas vous réécrire le dossier USB-C compliqué et je sais que le problème vient du fait que les acheteurs sont sous Windows avec des PC qui n'ont pas toujours plusieurs prises USB-C, mais ce n'est pas vraiment mon problème, en fait. Si l'USB-C est globalement une réussite et qu'il me semble plutôt positif de tenter d'unifier ce sac de nœuds, la mise en place est tout sauf une réussite. Et devoir vérifier sur la fiche technique si je vais avoir le bon câble, ça a tendance à m'énerver… surtout quand je vois que la seule solution est parfois de me tourner vers une version « pour Mac » évidemment vendue plus cher. Et le résultat, c'est que j'ai une boîte à câble qui ne contient presque que des câbles USB-C vers USB-A, et que je dois garder un chargeur USB-A pour quelques accessoires récalcitrants.
Les chargeurs Qi2 ventilés (Stéphane)
J’apprécie la recharge par induction. J’apprécie encore plus la recharge MagSafe/Qi2 pour sa facette magnétique et sa puissance plus élevée. Mais à trop chercher la vitesse, les fabricants ont fini par faire des produits absurdes.
Pour remplumer le plus rapidement possible les derniers iPhone, certains chargeurs Qi2 de 25 W intègrent un ventilateur. Et devinez quoi, un ventilateur ça fait du bruit. Un bruit qui est vraiment insupportable quand l’appareil est posé sur votre table de chevet.
Pas totalement bêtes non plus, les fabricants ont anticipé cette nuisance en permettant de couper la soufflerie. Mais au bout du compte, on se retrouve face à une débauche de technologies et à des prix très élevés pour un résultat qui reste inférieur à un simple câble en matière de puissance. Absurde, vous dis-je.
Les gens qui croient encore à Windows ARM (Pierre)
Au départ, je voulais faire un coup de gueule sur Windows ARM, parce que chaque PC que je teste est décevant. Mais en fait, ce qui m'énerve quand je teste ce genre de PC, ce sont les personnes béatement optimistes sur le futur de cette solution. Dans littéralement tous les tests, quand j'explique que les applications natives sont ridiculement rares, les commentaires (que ce soit à l'écrit ou à l'oral) sont du même type : « oui, mais ça va arriver », avec parfois une remarque du genre « regarde, — nom d'un logiciel — vient d'arriver en version ARM » ou « mon jeu préféré qui a 20 ans tourne en émulation ». Et je ne comprends pas comment on peut arriver à défendre l'absence d'applications natives.
Windows ARM c'est sympa, tant qu'on ne l'utilise pas. Image MacGeneration.
Les premiers PC sous Windows 10 ARM datent de fin 2017, et les applications réellement natives sont encore rares. En dehors des navigateurs, il y a Office… et c'est à peu près tout. Les jeux ? Oubliez. Les applications pour le travail, dès qu'il ne s'agit pas des géants du secteur ? Oubliez. Et même chez les grands éditeurs, il faut parfois se contenter de versions bêta. Pour tout dire, même Microsoft a traîné pendant des années avant de proposer une version native d'Office ou de ses outils de développement. Un comble. Donc, non, ça ne va pas arriver. Nous sommes en 2025, et à chaque sortie d'un processeur Qualcomm, on peut entendre la même rengaine : « cette fois, c'est bon. » Sauf qu'en réalité, non, ce n'est pas bon.
Je peux comprendre que certains détestent le x86 (et soient encore dans cette opposition RISC/CISC particulièrement datée et fausse), mais pas qu'on puisse en être à encore considérer que cette plateforme puisse un jour devenir autre chose qu'un hobby amusant pour Microsoft et Qualcomm. Un hobby qu'on tente de relancer chaque année avant de se rendre compte que littéralement personne n'achète les PC en question. Et ce qui me fait presque sourire, c'est que c'est en partie à cause des imprimantes. Une catégorie de produits que je pourrais mettre dans les coups de gueule chaque année.
Toutes les semaines, écoutez Sortie de veille, le podcast hebdomadaire de MacGeneration ! On débat de l'actualité Apple et tech des derniers jours en une quinzaine de minutes.
Coup sur coup, Apple vient de perdre deux de ses cadres les plus importants. John Giannandrea, qui supervisait les technologies d’intelligence artificielle, va prendre sa retraite. Et Alan Dye, le responsable du design logiciel, va rejoindre Meta. Ces départs sont-ils de mauvaises nouvelles ou au contraire une chance pour l’avenir ? On en discute dans cette émission.
Au programme également, la crise sur la mémoire vive, les moyens de lutter contre les appels indésirables sur iPhone et le blocage de FaceTime en Russie.
Pour écouter Sortie de veille, c'est simple :
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