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Tesla : bientôt le bout du tunnel pour Apple Car Key ?

Mais quelle mouche a encore piqué Elon Musk ? Alors que le constructeur semble se pencher sur le support de CarPlay, une autre technologie d’Apple pourrait être prochainement prise en charge par Tesla. Il s’agit de clés de voiture (Car Key).

Tesla testerait l’intégration de CarPlay sur ses véhicules

Tesla testerait l’intégration de CarPlay sur ses véhicules

Jusqu’ici, Tesla faisait cavalier seul avec sa propre solution de "clé sur smartphone". Mais la donne est en train de changer, et le salut pourrait venir... de Chine.

Le détour par HarmonyOS

C’est en fouillant dans les entrailles de la version 4.52.0 de l’application Tesla que le site Not a Tesla App a mis la main sur le morceau. Le code contient plusieurs références explicites à « Harmony Wallet Key Cards ». Pour les non-initiés, il s’agit du portefeuille numérique de Huawei.

Pourquoi est-ce important ? Parce que c’est un pivot stratégique. Jusqu’à présent, la "Phone Key" de Tesla reposait sur une connexion Bluetooth entre l'auto et l'application tournant en arrière-plan. En s'ouvrant au portefeuille de Huawei, Tesla accepte de déléguer la gestion de la clé au système d'exploitation et à ses composants sécurisés. Et l'on sait que Tesla utilise souvent le marché chinois comme laboratoire avant de déployer ses nouveautés à l'échelle mondiale.

Sécurité renforcée et "mode réserve"

Si l’implémentation actuelle vise le système de Huawei, la passerelle vers l'Apple Wallet est techniquement toute proche. Pour l'utilisateur, le gain est immédiat :

  • Fiabilité accrue : Plus besoin de s'assurer que l'application Tesla tourne bien en tâche de fond.
  • Express Mode : Déverrouiller sa Model 3 d'un simple geste, sans même avoir à utiliser Face ID ou un code.
  • La panne sèche évitée : Grâce à la puce NFC et à la gestion de l'énergie de l'iPhone, la clé peut fonctionner même si le téléphone n'a plus assez de batterie pour s'allumer.

La pression de la concurrence

Si Tesla finit par céder, ce n'est pas seulement par bonté d'âme. La concurrence commence à sérieusement s'organiser sur le terrain de l'intégration logicielle "native".

Rivian a récemment sauté le pas avec sa mise à jour 2025.46, offrant le support des clés numériques Apple et Google. Porsche, Toyota et même General Motors (pourtant fâché avec CarPlay) semblent suivre le même chemin. Pour Tesla, qui se targue d'offrir la meilleure expérience logicielle du marché, faire l'impasse sur une fonction aussi pratique que Car Key devenait de plus en plus difficile à justifier.

CarPlay bientôt sur Tesla ? Image générée par IA
CarPlay bientôt sur Tesla ? Image générée par IA

Pour Apple, le constat est assez paradoxale. Alors que les constructeurs font bloc ou presque contre CarPlay Ultra pour garder jalousement la main sur leurs écrans et leurs précieuses données, ils semblent se résoudre à lui confier les clés du véhicule. Cupertino n'a peut-être pas encore conquis tous les tableaux de bord, mais la marque à la pomme est bien parti pour devenir le trousseau universel de l'industrie automobile.

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Tesla : bientôt le bout du tunnel pour Apple Car Key ?

Mais quelle mouche a encore piqué Elon Musk ? Alors que le constructeur semble se pencher sur le support de CarPlay, une autre technologie d’Apple pourrait être prochainement prise en charge par Tesla. Il s’agit de clés de voiture (Car Key).

Tesla testerait l’intégration de CarPlay sur ses véhicules

Tesla testerait l’intégration de CarPlay sur ses véhicules

Jusqu’ici, Tesla faisait cavalier seul avec sa propre solution de "clé sur smartphone". Mais la donne est en train de changer, et le salut pourrait venir... de Chine.

Le détour par HarmonyOS

C’est en fouillant dans les entrailles de la version 4.52.0 de l’application Tesla que le site Not a Tesla App a mis la main sur le morceau. Le code contient plusieurs références explicites à « Harmony Wallet Key Cards ». Pour les non-initiés, il s’agit du portefeuille numérique de Huawei.

Pourquoi est-ce important ? Parce que c’est un pivot stratégique. Jusqu’à présent, la "Phone Key" de Tesla reposait sur une connexion Bluetooth entre l'auto et l'application tournant en arrière-plan. En s'ouvrant au portefeuille de Huawei, Tesla accepte de déléguer la gestion de la clé au système d'exploitation et à ses composants sécurisés. Et l'on sait que Tesla utilise souvent le marché chinois comme laboratoire avant de déployer ses nouveautés à l'échelle mondiale.

Sécurité renforcée et "mode réserve"

Si l’implémentation actuelle vise le système de Huawei, la passerelle vers l'Apple Wallet est techniquement toute proche. Pour l'utilisateur, le gain est immédiat :

  • Fiabilité accrue : Plus besoin de s'assurer que l'application Tesla tourne bien en tâche de fond.
  • Express Mode : Déverrouiller sa Model 3 d'un simple geste, sans même avoir à utiliser Face ID ou un code.
  • La panne sèche évitée : Grâce à la puce NFC et à la gestion de l'énergie de l'iPhone, la clé peut fonctionner même si le téléphone n'a plus assez de batterie pour s'allumer.

La pression de la concurrence

Si Tesla finit par céder, ce n'est pas seulement par bonté d'âme. La concurrence commence à sérieusement s'organiser sur le terrain de l'intégration logicielle "native".

Rivian a récemment sauté le pas avec sa mise à jour 2025.46, offrant le support des clés numériques Apple et Google. Porsche, Toyota et même General Motors (pourtant fâché avec CarPlay) semblent suivre le même chemin. Pour Tesla, qui se targue d'offrir la meilleure expérience logicielle du marché, faire l'impasse sur une fonction aussi pratique que Car Key devenait de plus en plus difficile à justifier.

CarPlay bientôt sur Tesla ? Image générée par IA
CarPlay bientôt sur Tesla ? Image générée par IA

Pour Apple, le constat est assez paradoxale. Alors que les constructeurs font bloc ou presque contre CarPlay Ultra pour garder jalousement la main sur leurs écrans et leurs précieuses données, ils semblent se résoudre à lui confier les clés du véhicule. Cupertino n'a peut-être pas encore conquis tous les tableaux de bord, mais la marque à la pomme est bien parti pour devenir le trousseau universel de l'industrie automobile.

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iPhone Fold : le futur pliant d’Apple se déplie en vidéo

À n’en pas douter, l’iPhone Fold devrait être la star de la rubrique Rumeurs pendant les longs mois à venir. Certains ont déjà commencé à mettre les petits plats dans les grands pour imaginer ce que nous réserve Cupertino.

Alors qu’il entretient des relations toujours aussi électriques avec la Pomme, Jon Prosser a publié une vidéo particulièrement soignée mettant en scène les différentes fonctionnalités de ce futur iPhone, attendu pour le début de l'année 2026. L’occasion de faire le point sur une fiche technique qui commence sérieusement à se muscler.

Apple porte plainte contre Jon Prosser et révèle l

Apple porte plainte contre Jon Prosser et révèle l'origine des fuites sur iOS 26

Le grand défi des smartphones pliants reste cette fameuse pliure qui barre l'écran au niveau de la charnière. Là où la concurrence a fini par s'en accommoder, Apple aurait passé des années à chercher la parade. Comme d’autres, Prosser, affirme que Cupertino a trouvé la solution et proposera un écran de 7,8 pouces parfaitement lisse, sans aucune trace de "cicatrice" au centre. Une prouesse qui, si elle se confirme, placerait d'emblée l'iPhone Fold loin devant ses rivaux sur le terrain du design.

Image : Prosser / FPT

Un iPad mini dans la poche

Côté format, Apple aurait tranché pour un design « livre ». Refermé, l'appareil ressemblerait à un iPhone classique avec un écran externe de 5,5 pouces et une épaisseur contenue de 9 mm. Mais c’est une fois ouvert que la bête impressionne : la dalle de 7,8 pouces (quasiment la diagonale d’un iPad mini) s’accompagne d’une finesse record de seulement 4,5 mm. Pour capturer l'instant, l’appareil embarquerait un total de quatre capteurs photo, dont un sur la face externe et un autre dissimulé sur la dalle interne.

Le sacrifice de Face ID

Dans la rubrique des choix techniques inattendus, l'iPhone Fold pourrait marquer la fin d'un règne : celui de Face ID. Faute de place dans un châssis aussi fin ou par souci d'ergonomie, Apple ressusciterait Touch ID. Le capteur d'empreintes serait logé directement dans le bouton d'allumage, lui-même déporté sur la tranche supérieure de l'appareil. Un retour aux sources qui rappelle l’ergonomie de l'iPad Air, mais qui risque de faire grincer quelques dents chez les habitués de la reconnaissance faciale.

Modem « maison » et autonomie sous surveillance

À l’intérieur, Apple poursuivrait sa quête d'indépendance avec l’intégration de son modem de deuxième génération, le C2. Plus économe en énergie, il serait épaulé par des batteries haute densité pour tenter d'offrir une autonomie digne de ce nom à ce modèle qui devrait donner un coup de vieux à l’ensemble de la gamme.

Évidemment, la nouveauté se paiera au prix fort. La facture pourrait s’envoler entre 2 000 et 2 500 dollars. À ce prix-là, l'iPhone Fold ne sera pas seulement un smartphone, mais un luxueux laboratoire technologique réservé aux plus fortunés.

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iPhone Fold : le futur pliant d’Apple se déplie en vidéo

À n’en pas douter, l’iPhone Fold devrait être la star de la rubrique Rumeurs pendant les longs mois à venir. Certains ont déjà commencé à mettre les petits plats dans les grands pour imaginer ce que nous réserve Cupertino.

Alors qu’il entretient des relations toujours aussi électriques avec la Pomme, Jon Prosser a publié une vidéo particulièrement soignée mettant en scène les différentes fonctionnalités de ce futur iPhone, attendu pour le début de l'année 2026. L’occasion de faire le point sur une fiche technique qui commence sérieusement à se muscler.

Apple porte plainte contre Jon Prosser et révèle l

Apple porte plainte contre Jon Prosser et révèle l'origine des fuites sur iOS 26

Le grand défi des smartphones pliants reste cette fameuse pliure qui barre l'écran au niveau de la charnière. Là où la concurrence a fini par s'en accommoder, Apple aurait passé des années à chercher la parade. Comme d’autres, Prosser, affirme que Cupertino a trouvé la solution et proposera un écran de 7,8 pouces parfaitement lisse, sans aucune trace de "cicatrice" au centre. Une prouesse qui, si elle se confirme, placerait d'emblée l'iPhone Fold loin devant ses rivaux sur le terrain du design.

Image : Prosser / FPT

Un iPad mini dans la poche

Côté format, Apple aurait tranché pour un design « livre ». Refermé, l'appareil ressemblerait à un iPhone classique avec un écran externe de 5,5 pouces et une épaisseur contenue de 9 mm. Mais c’est une fois ouvert que la bête impressionne : la dalle de 7,8 pouces (quasiment la diagonale d’un iPad mini) s’accompagne d’une finesse record de seulement 4,5 mm. Pour capturer l'instant, l’appareil embarquerait un total de quatre capteurs photo, dont un sur la face externe et un autre dissimulé sur la dalle interne.

Le sacrifice de Face ID

Dans la rubrique des choix techniques inattendus, l'iPhone Fold pourrait marquer la fin d'un règne : celui de Face ID. Faute de place dans un châssis aussi fin ou par souci d'ergonomie, Apple ressusciterait Touch ID. Le capteur d'empreintes serait logé directement dans le bouton d'allumage, lui-même déporté sur la tranche supérieure de l'appareil. Un retour aux sources qui rappelle l’ergonomie de l'iPad Air, mais qui risque de faire grincer quelques dents chez les habitués de la reconnaissance faciale.

Modem « maison » et autonomie sous surveillance

À l’intérieur, Apple poursuivrait sa quête d'indépendance avec l’intégration de son modem de deuxième génération, le C2. Plus économe en énergie, il serait épaulé par des batteries haute densité pour tenter d'offrir une autonomie digne de ce nom à ce modèle qui devrait donner un coup de vieux à l’ensemble de la gamme.

Évidemment, la nouveauté se paiera au prix fort. La facture pourrait s’envoler entre 2 000 et 2 500 dollars. À ce prix-là, l'iPhone Fold ne sera pas seulement un smartphone, mais un luxueux laboratoire technologique réservé aux plus fortunés.

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Apple et Strava font équipe pour vos résolutions de janvier

Dans trois jours, c’est le grand retour des bonnes résolutions, et ce pour un mois au moins. Votre Apple Watch vous a peut-être déjà toqué au poignet pour vous avertir qu’elle vous proposera, comme chaque année, un petit trophée si vous complétez vos anneaux sept jours de suite.

Cette année, Apple va un peu plus loin et propose un challenge similaire aux utilisateurs de Strava. La Pomme invite les membres du réseau social à réaliser trois entraînements par semaine, dans la discipline de leur choix, du 1er au 31 janvier.

Capture d’écran : Strava

Si vous remplissez la mission, vous repartirez là encore avec un badge numérique, mais surtout avec la possibilité de tester gratuitement Apple Fitness+ pendant trois mois.

De nombreuses marques organisent régulièrement des concours de ce genre sur Strava pour draguer les sportifs. Si l'initiative n’a rien d’exceptionnel en soi, c’est sans doute une première pour Apple sur cette plateforme. Quoi qu’il en soit, cela confirme le rapprochement opéré par les deux sociétés depuis plusieurs mois.

Apple utilise de plus en plus Strava comme levier promotionnel pour Fitness+. Par le passé, des offres d'essai de deux ou trois mois avaient déjà été glissées dans le flux des utilisateurs. De son côté, Strava semble enfin prendre l’Apple Watch au sérieux : son application a été revue en profondeur en septembre, intégrant enfin le support (presque) inespéré des segments en direct. Au fond, ce rapprochement n'est que pur bon sens : l’Apple Watch est la montre la plus utilisée sur le réseau.

Strava se réinvente sur Apple Watch et prend en charge les segments en direct

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Strava : l’Apple Watch passe en tête des montres de sport

Strava : l’Apple Watch passe en tête des montres de sport

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Apple et Strava font équipe pour vos résolutions de janvier

Dans trois jours, c’est le grand retour des bonnes résolutions, et ce pour un mois au moins. Votre Apple Watch vous a peut-être déjà toqué au poignet pour vous avertir qu’elle vous proposera, comme chaque année, un petit trophée si vous complétez vos anneaux sept jours de suite.

Cette année, Apple va un peu plus loin et propose un challenge similaire aux utilisateurs de Strava. La Pomme invite les membres du réseau social à réaliser trois entraînements par semaine, dans la discipline de leur choix, du 1er au 31 janvier.

Capture d’écran : Strava

Si vous remplissez la mission, vous repartirez là encore avec un badge numérique, mais surtout avec la possibilité de tester gratuitement Apple Fitness+ pendant trois mois.

De nombreuses marques organisent régulièrement des concours de ce genre sur Strava pour draguer les sportifs. Si l'initiative n’a rien d’exceptionnel en soi, c’est sans doute une première pour Apple sur cette plateforme. Quoi qu’il en soit, cela confirme le rapprochement opéré par les deux sociétés depuis plusieurs mois.

Apple utilise de plus en plus Strava comme levier promotionnel pour Fitness+. Par le passé, des offres d'essai de deux ou trois mois avaient déjà été glissées dans le flux des utilisateurs. De son côté, Strava semble enfin prendre l’Apple Watch au sérieux : son application a été revue en profondeur en septembre, intégrant enfin le support (presque) inespéré des segments en direct. Au fond, ce rapprochement n'est que pur bon sens : l’Apple Watch est la montre la plus utilisée sur le réseau.

Strava se réinvente sur Apple Watch et prend en charge les segments en direct

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Strava : l’Apple Watch passe en tête des montres de sport

Strava : l’Apple Watch passe en tête des montres de sport

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Un parfum de Bondi Blue : Spigen habille le Mac mini M4

Malgré un design minimaliste, le nouveau Mac mini M4 est devenu un vrai terrain de jeu pour les accessoiristes. Spigen l'a bien compris et commercialise un support qui devrait plaire aux amateurs des premiers iMac.

Ce boîtier ne se contente pas de surélever la petite machine d'Apple. Il adopte ce look translucide si caractéristique de l'iMac G3. Au-delà du clin d'œil, Spigen apporte une réponse concrète à une problématique récurrente : l'accumulation de poussière. Le support intègre un filtre en PVC conçu pour protéger les entrées d'air du Mac mini. L'idée est de préserver les performances de refroidissement de la puce M4 sur le long terme avec un look original.

Le point fort réside dans la simplicité de l'entretien. Le filtre en maille est totalement indépendant du boîtier : il suffit de le retirer et de le rincer à l’eau claire pour redonner un coup de propre à votre installation. Autre avantage de ce support : le bouton d’alimentation devient plus accessible.

Pour s'assurer que le précieux carré d'aluminium ne se fasse pas la malle au moindre branchement de câble, Spigen a doté son support de coussinets en silicone antidérapants. Le Mac mini reste ainsi parfaitement ancré sur le bureau. Le Spigen Classic C1 est disponible en deux couleurs : bondi blue et orange. Prix : 29 €.

À titre d’information, Spigen dédie toute une gamme d’accessoires aux « nostalgiques ». La collection C1 comprend notamment une station de charge pour Apple Watch, des porte-cartes et des étuis aux couleurs du premier iMac.

Pour les amateurs de cohérence visuelle, l’accessoire s’accorde d'ailleurs parfaitement avec la série C1 de la marque, qui décline déjà cette esthétique rétro sur d'autres produits.

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Un parfum de Bondi Blue : Spigen habille le Mac mini M4

Malgré un design minimaliste, le nouveau Mac mini M4 est devenu un vrai terrain de jeu pour les accessoiristes. Spigen l'a bien compris et commercialise un support qui devrait plaire aux amateurs des premiers iMac.

Ce boîtier ne se contente pas de surélever la petite machine d'Apple. Il adopte ce look translucide si caractéristique de l'iMac G3. Au-delà du clin d'œil, Spigen apporte une réponse concrète à une problématique récurrente : l'accumulation de poussière. Le support intègre un filtre en PVC conçu pour protéger les entrées d'air du Mac mini. L'idée est de préserver les performances de refroidissement de la puce M4 sur le long terme avec un look original.

Le point fort réside dans la simplicité de l'entretien. Le filtre en maille est totalement indépendant du boîtier : il suffit de le retirer et de le rincer à l’eau claire pour redonner un coup de propre à votre installation. Autre avantage de ce support : le bouton d’alimentation devient plus accessible.

Pour s'assurer que le précieux carré d'aluminium ne se fasse pas la malle au moindre branchement de câble, Spigen a doté son support de coussinets en silicone antidérapants. Le Mac mini reste ainsi parfaitement ancré sur le bureau. Le Spigen Classic C1 est disponible en deux couleurs : bondi blue et orange. Prix : 29 €.

À titre d’information, Spigen dédie toute une gamme d’accessoires aux « nostalgiques ». La collection C1 comprend notamment une station de charge pour Apple Watch, des porte-cartes et des étuis aux couleurs du premier iMac.

Pour les amateurs de cohérence visuelle, l’accessoire s’accorde d'ailleurs parfaitement avec la série C1 de la marque, qui décline déjà cette esthétique rétro sur d'autres produits.

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AirPods Pro 3 : des clones d’embouts déjà en vente dans le commerce

Cela n’a pas traîné. On trouve d’ores et déjà des clones d’embouts pour AirPods Pro 3 sur Amazon. C’est d’ailleurs l’un des points sur lesquels on manque encore de recul : leur durée de vie.

Quoi qu’il en soit, vous avez le choix. Apple facture 10 € le pack de 2 jeux d’embouts. Il vous faut choisir votre taille : S, M ou L. Au même prix, la concurrence propose un package de 5 tailles, allant du XXS au L, incluant un kit de nettoyage, le tout dans un étui portable.

Un autre fabricant propose un jeu de 4 embouts pour 12 €. Là aussi, ce pack est livré avec un kit de nettoyage. La seule différence tient au fait que vous pouvez choisir précisément votre taille d’embouts.

On rappellera que ces embouts sont uniquement compatibles avec les AirPods Pro 3. Un bon maintien dans les oreilles est plus que jamais indispensable, non seulement pour l’écoute de la musique, mais aussi pour une mesure précise de la fréquence cardiaque.

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Donnez une note à iOS 26

C’est l’heure des bilans. Comme chaque année, on vous propose de donner une note à iOS 26.

Les versions d’iOS se suivent et, souvent, se ressemblent. Qu’on l’aime ou qu’on ne l’aime pas, iOS 26 restera dans les annales pour au moins deux raisons : sa toute nouvelle interface Liquid Glass et sa numérotation, qui marque une vraie césure avec iOS 17, son prédécesseur.

Les nouveautés d’iOS 26 et iPadOS 26 à ne pas rater

Les nouveautés d’iOS 26 et iPadOS 26 à ne pas rater

Tout comme le flat design en son temps, Liquid Glass n’a pas que des fans. Difficile de comparer des époques et des sensibilités, mais il semble que la nouvelle expression graphique d’Apple ait été globalement mieux acceptée. Il faut dire qu’Apple n’a cessé de jouer avec les curseurs au fil des bêtas et des mises à jour pour trouver un compromis plus digeste. Autre différence avec l’époque du flat design : cette fois, les développeurs ne se sont pas rués pour adapter leurs apps. Et Apple, sur le sujet, est loin d’être irréprochable.

Image : Apple

iOS 26, ce n’est pas que Liquid Glass. Apple a entièrement revu son application Téléphone, qui protège mieux des appels indésirables. Les applications de base, comme Messages, Rappels, Photos ou encore Musique, ont elles aussi reçu leur lot de nouveautés. Enfin, iOS 26 accueille de nouvelles apps, à commencer par Jeux et Aperçu.

Alors, la question est simple : êtes-vous satisfait d’iOS 26 ? Quelle note lui donnez-vous ?

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Prévoyez un peu plus de 15 000 € pour avoir tout Spotify en local

Spotify a donc fait l’objet d’un piratage massif. Passons sur le fond de l’affaire, pourtant fort intéressant : les responsables de cette attaque affirment avoir voulu créer la première « archive de préservation » musicale au monde, entièrement ouverte. Le discours est peut-être hypocrite, mais il faut reconnaitre que c’est un vrai souci…

La base de données de Spotify aspirée par des pirates, 300 To de musique dans la nature

La base de données de Spotify aspirée par des pirates, 300 To de musique dans la nature

On a tous connu cette frustration : un morceau que l'on écoute en boucle depuis des mois devient soudainement inaccessible pour de sombres raisons de droits ou de renégociations de contrats. Dans le cloud, nous ne sommes que locataires, et le propriétaire peut changer la serrure sans prévenir.

300 To de musique dans la nature

À peu de chose près, les catalogues des services de streaming sont aujourd'hui comparables. Spotify, c’est donc quelque 86 millions de morceaux qui pèsent environ 300 To de stockage. À force d’être habitués à pouvoir tout streamer depuis le fin fond de la pampa avec une simple connexion 5G, on finit par perdre certains ordres de grandeur.

La base de données de Spotify aspirée par des pirates, 300 To de musique dans la nature

La base de données de Spotify aspirée par des pirates, 300 To de musique dans la nature

Alors, 300 To, c’est évidemment énorme comparé aux malheureux 256 Go d’un iPhone 17. Mais ce qui est amusant, c’est de se dire qu’un collectionneur un peu « frappadingue » pourrait très bien héberger chez lui toute la musique du monde, à condition d’avoir un budget stockage un peu plus conséquent que la moyenne.

Un NAS de compétition sous le sapin

Pour stocker une telle bibliothèque, la solution la plus sage est de se tourner vers un NAS 16 baies. Dans ce segment, les prix oscillent généralement entre 3 000 et 6 000 € pour le boîtier nu. On lorgnera du côté des Synology RS2825RP ou RS4021xs, ou encore du QNAP TS-1673AU-RP. Quoi qu’il en soit, prévoyez une pièce isolée : l'ensemble est particulièrement bruyant en pleine charge.

Le Synology RackStation RS2825RP

Avec 16 disques de 24 To, ce système afficherait une capacité brute de 384 To. C'est largement suffisant pour notre cahier des charges, tout en permettant une configuration en RAID 6 pour limiter les risques de perte de données si un (ou deux) disque(s) venait à rendre l'âme.

La facture grimpe vite

Le gros du budget, ce sont évidemment les disques. Et la poussée inflationniste provoquée par le boom de l’IA n’arrange rien aux affaires des particuliers. Pour remplir la bête, il faut compter 16 unités de 24 To. En choisissant des Seagate Exos X24, vendus environ 700 € pièce, on arrive à un total de 11 200 €, rien que pour le stockage.

À cela, il faut ajouter quelques barrettes de RAM supplémentaires pour le NAS, une armoire serveur pour ranger tout cela et un onduleur sérieux pour protéger l'investissement, soit environ 1 300 € de plus.

Bref, en se débrouillant bien, il faut prévoir un budget minimal de 15 500 €. N'est-ce pas un beau cadeau de Noël à faire à un audiophile radical ? Reste une dernière inconnue, et non des moindres : trouver un logiciel capable de gérer une base de données de 86 millions de morceaux sans tousser. À ce petit jeu, on ne donnerait pas cher de la peau d’iTunes !

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DMA : les AirPods vont perdre un peu de leur magie avec iOS 26.3

Sous la pression de Bruxelles, iOS 26.3 marquera une étape symbolique forte en Europe. La firme de Cupertino va devoir partager ses technologies de proximité, permettant aux constructeurs tiers d'offrir une expérience de connexion aussi fluide que celle des AirPods.

iOS 26.3 bêta 1 : découvrez toutes les nouveautés

iOS 26.3 bêta 1 : découvrez toutes les nouveautés

Sous la houlette du Digital Markets Act (DMA), la sortie d’iOS 26.3 apportera trois changements majeurs sur le Vieux Continent. Apple facilitera le transfert de données depuis ou vers Android, tandis que le système offrira une meilleure prise en charge des notifications vers d'autres montres que l’Apple Watch. Mais le changement peut-être le plus visible au quotidien concerne l’appairage simplifié : jusqu'ici jalousement réservé aux produits « maison », il s'ouvre enfin à la concurrence.

Image : Sophia Stark / Unsplash

Le « pop-up » magique pour tout le monde

Le DMA impose à Apple de fournir aux accessoires tiers les mêmes capacités et le même accès aux fonctionnalités système que ses propres produits. Avec iOS 26.3, les fabricants de wearables opérant dans l'UE peuvent désormais tester l'appairage de proximité.

Concrètement, des écouteurs de marques tierces pourront s'appairer à un iPhone ou un iPad à la manière des AirPods : il suffira d'approcher l'accessoire de l'appareil pour voir surgir la célèbre carte d'appairage en bas de l'écran. Finies les fouilles archéologiques dans les méandres des réglages Bluetooth ; un simple tap suffira.

Une mise en œuvre qui reste à confirmer

Pour que la magie opère, les fabricants de casques et d’écouteurs devront sans doute faire évoluer le firmware de leurs appareils pour prendre en charge cette fonctionnalité. Il sera intéressant de voir si les constructeurs se jetteront sur cette opportunité ou s’ils jugeront l'investissement superflu compte tenu de la contrainte géographique (l'UE uniquement).

Pour l’heure, la théorie se heurte encore à la pratique : nous avons tenté d’utiliser cette fonction avec des écouteurs Shokz sur un iPhone équipé de la bêta d’iOS 26.3, sans succès pour le moment. Rappelons que cette version est attendue pour fin janvier.

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Montres connectées : comment Amazfit grignote du terrain

Dans le paysage encombré des montres connectées, une marque grignote ses parts de marché avec une régularité de métronome. Amazfit, filiale de Zepp Health, n'est plus seulement le constructeur qui inonde le marché de modèles à bas prix. La société chinoise semble désormais vouloir jouer dans la cour des grands.

Le symbole est fort : lors de l'édition 2025 de l’UTMB, c’est avec une Amazfit au poignet que Ruth Croft a franchi la ligne d'arrivée en tête. Un signal envoyé directement aux géants du secteur. Car si la presse spécialisée n'a longtemps eu d'yeux que pour Garmin, Suunto ou Coros, l'intérêt pour l'alternative Amazfit grandit. Entre prix planchers et fonctionnalités à foison, voici comment la marque réussit son pari.

Image : Amazfit

Une ascension dans l’ombre de Xiaomi

Pour bien comprendre d'où vient Amazfit, il faut remonter à 2013. La société mère, Huami (rebaptisée Zepp Health en 2021), a été fondée par Wang Huang, un entrepreneur qui a rapidement compris que le marché des wearables ne se limiterait pas aux simples podomètres.

Si le nom de la marque a longtemps été méconnu en Occident, son savoir-faire industriel était déjà bien réel : c’est Huami qui fabriquait, dans l’ombre, les célèbres bracelets Mi Band pour le compte de Xiaomi. Forte de cette expertise massive et de volumes de production colossaux, l'entreprise lance la marque Amazfit en 2015. L'idée ? S'émanciper de son rôle de sous-traitant pour proposer ses propres montres, capables de s'attaquer au marché mondial en capitalisant sur une maîtrise totale de la chaîne de composants.

Zepp OS : le choix de l’efficacité logicielle

Dans l'écosystème des accessoires mobiles, la montre est devenue un pivot. Mais alors qu'Apple, Samsung ou Google facturent leurs modèles premium au prix fort, Amazfit mise sur une autre approche. Le secret de ce tarif contenu réside en grande partie dans la partie logicielle. Contrairement à l'Apple Watch ou aux montres sous Wear OS, qui sont de véritables extensions gourmandes du smartphone, Amazfit s'appuie sur Zepp OS, un système maison optimisé exclusivement pour son matériel.

Image : Amazfit

Cette approche logicielle permet à la marque de jouer sur deux tableaux. D’une part, les coûts de production sont drastiquement réduits : en s’affranchissant des contraintes et de la gourmandise des systèmes d’exploitation de Google ou d’Apple, Amazfit conserve une maîtrise totale sur l’optimisation de son matériel. D’autre part, cette légèreté logicielle se traduit par une autonomie record. Si Zepp OS fait l'impasse sur certaines fonctions avancées pour rester "léger", il offre en contrepartie une endurance à faire pâlir n’importe quel possesseur d’Apple Watch. Pour l'utilisateur, le sacrifice de quelques applications tierces se paye par une tranquillité d'esprit appréciable loin du chargeur.

Design et composants : l’art du compromis

Sur le plan du matériel, Amazfit joue les équilibristes. Prenez la T-Rex 3 Pro, dernier fer de lance de la marque qui vient chasser sur les terres de l'Apple Watch Ultra. À environ 400 €, elle coûte moitié moins cher que la montre de Cupertino. La différence se joue sur les détails. Là où Apple propose un design minimaliste et des matériaux nobles pensés pour la ville comme pour la montagne, la T-Rex assume un look "baroudeur" beaucoup plus brut. C'est un outil que l'on emmène en randonnée sans crainte, mais qui manque peut-être de ce raffinement "premium" qui fait le sel des produits Apple. Reste que c’est loin d’être le seul modèle de sport à qui on pourrait faire ce reproche.

Image : Amazfit

Surtout, Apple investit massivement pour obtenir des certifications médicales, là où Amazfit se concentre sur l'essentiel du suivi fitness. Cela ne l’empêche pas d’offrir la plupart des fonctions de suivi de base dans le domaine de la santé. Ces choix permettent de maintenir une facture légère sans pour autant sacrifier la solidité globale de l'appareil.

La gamme Bip : le meilleur rapport qualité-prix ?

C'est sans doute sur l'entrée de gamme que la stratégie d'Amazfit est la plus percutante. La série Bip 6, dernière née de la gamme, propose un boîtier en aluminium plutôt élégant.

Image : Amazfit

Évidemment, on n'atteint pas la fluidité d'une Apple Watch, et l'on fait l'impasse sur les capteurs de santé les plus exotiques. Mais pour celui qui cherche une montre capable de donner l'heure, de notifier ses messages et de suivre ses sessions de running sans vider son livret A, l'offre est redoutable. Ces modèles coûtent moins de 70 € !

Le loup est dans les détails

Le tableau n’est toutefois pas idyllique : dès que l’on s’aventure sur le terrain de la rigueur biométrique, Amazfit montre ses limites techniques. Si la marque a fait des pas de géant sur la précision du signal GPS (bien qu’elle reste un ton en dessous des ténors historiques dans les environnements difficiles), le cardiofréquencemètre avoue ses faiblesses dès que le rythme s’emballe. En fractionné, les capteurs accusent souvent un retard de phase, peinant à suivre les variations brutales là où les références du secteur font preuve d'une réactivité chirurgicale. Ce manque de finesse se répercute sur les algorithmes de santé : entre un suivi du sommeil parfois fantaisiste et des indicateurs de récupération manquant de perspective, la marque privilégie encore l’affichage de données brutes à une véritable analyse de performance.

L’autre grief majeur réside dans la pauvreté de l’écosystème, encore trop en retrait par rapport aux plateformes plus matures. L’application Zepp, labyrinthique et encombrée par des traductions approximatives, accuse un net retard d’ergonomie face aux standards de la concurrence. Surtout, la montre peine à devenir un compagnon polyvalent au quotidien, plombée par un catalogue d’applications tiers famélique qui la cantonne à un usage strictement sportif. C’est là tout l’arbitrage d’Amazfit : offrir une autonomie insolente et un tarif plancher, au prix d'une expérience logicielle qui manque encore cruellement de liant et de maturité. Mais pour combien de temps encore ?

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Sécurité : Apple abandonne iOS 18 sur les terminaux compatibles iOS 26

C’est un rituel immuable du côté de Cupertino : lorsqu’Apple déploie une nouvelle version d'iOS, elle cesse de « signer » la précédente généralement sous une dizaine de jours. Si vous avez franchi le pas vers iOS 26.2, par exemple, impossible de faire machine arrière pour revenir à iOS 26.1. Mais au-delà de ce mécanisme bien connu, une stratégie plus stricte est à l’œuvre depuis quelques années : Apple réserve désormais les correctifs de sécurité des anciennes branches aux seuls terminaux techniquement incapables d'installer la version supérieure.

Apple arrête de signer iOS 26.1

Apple arrête de signer iOS 26.1

La mise à jour forcée, sans le dire

Depuis le lancement d’iOS 26, la Pomme a pourtant joué le jeu de la maintenance en publiant trois mises à jour de sécurité pour iOS 18. Mais il y a un loup : si votre iPhone est parfaitement capable de faire tourner iOS 26, ces correctifs ne vous sont plus proposés. Certains utilisateurs, restés volontairement sous iOS 18, s’étonnaient de ne voir apparaître que l'invitation à migrer vers iOS 26 au lieu du traditionnel correctif de sécurité « de secours ».

Toujours sur iOS 18 ? Apple place désormais iOS 26 au premier plan

Toujours sur iOS 18 ? Apple place désormais iOS 26 au premier plan

Ce phénomène n’est pas nouveau. Apple avait déjà procédé ainsi lors du passage à iOS 16, cessant très rapidement de patcher iOS 15 pour les modèles compatibles. L’objectif est limpide : réduire la fragmentation et pousser le parc installé vers le système le plus récent, quitte à forcer un peu la main des plus prudents.

Les mises à jour d

Les mises à jour d'iOS 15 maintenant réservées aux iPhone non compatibles avec iOS 16

Fin de la récréation pour les profils bêta

Certains pensaient avoir trouvé la parade : installer un profil bêta pour forcer le téléchargement de la « Release Candidate » d’iOS 18.7.3. Une astuce qui permettait de sécuriser son terminal sans subir les changements profonds d’iOS 26. Mais Apple vient de bloquer cet accès.

Cette décision est sans doute pragmatique : ces versions de transition n’ont probablement pas été testées de manière intensive sur les modèles les plus récents. Plutôt que de risquer une instabilité logicielle, Apple préfère couper les ponts et renvoyer tout le monde vers la branche principale.

L’ombre de Liquid Glass

Pourquoi cette politique fait-elle couler autant d'encre cette année ? La raison est double. Le contexte lors de la sortie d’iOS 18 était différent. Tous les terminaux pouvaient migrer sans distinction vers cette version.

Image : Apple

Ensuite, il y a le facteur Liquid Glass. Cette nouvelle interface, qui mise sur la fluidité et les effets de transparence dynamique, ne fait pas l'unanimité. Qu'il s'agisse de craintes sur l'autonomie ou d'une simple allergie ergonomique, une partie non négligeable d'utilisateurs traîne les pieds. Pour eux, le choix est désormais cornélien : adopter Liquid Glass ou naviguer avec un système vulnérable.

Des menaces bien réelles sous le capot

Car il ne s'agit pas d'une simple question d'esthétique. La salve de mises à jour sortie en début de mois (iOS 26.2, macOS Tahoe 26.2) n'est pas là pour faire joli. Elle vient colmater deux failles « zero-day » (CVE-2025-43529 et CVE-2025-14174) particulièrement critiques.

Sécurité : Apple comble deux failles « zero-day » avec iOS 26.2 et macOS 26.2

Sécurité : Apple comble deux failles « zero-day » avec iOS 26.2 et macOS 26.2

Situées dans WebKit et le moteur ANGLE, ces vulnérabilités permettent l'exécution de code arbitraire via le simple affichage d'une page web malveillante. Apple a d'ailleurs reconnu que ces failles ont pu être exploitées dans le cadre d'attaques « extrêmement sophistiquées », visant des cibles précises. C’est le profil type des logiciels espions d’État.

Avec déjà sept failles de ce type patchées depuis le début de l'année 2025, la sécurité de nos données n'a jamais été autant mise à l'épreuve. Si votre iPhone (11 ou plus récent) vous propose iOS 26.2, on ne saurait trop vous conseiller malgré tout de ne plus attendre. A vous de voir…

iOS 26 : comment atténuer les excès de Liquid Glass et pour quel résultat

iOS 26 : comment atténuer les excès de Liquid Glass et pour quel résultat

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MacGeneration : le point sur la santé économique du site

Ce 18 décembre, le Club iGen a fêté son sixième anniversaire. L’occasion pour nous de faire, une nouvelle fois, le point avec vous.

Que dire, si ce n’est que 2025 aura été l’une des années — si ce n’est l’année — la plus mouvementée de l’histoire de MacGeneration. Elle nous a réservé bien des surprises (souvent mauvaises), nous a forcés à nous remettre en question et à repartir de l’avant.

Soyons clairs : sans votre formidable soutien à la rentrée, nous ne serions plus là, en tout cas pas dans cet état. Votre fidélité nous a donné le temps nécessaire pour nous restructurer, poursuivre notre réflexion, faire des choix difficiles et, enfin, rebondir.

Est-ce que MacGeneration est tiré d’affaire ? J’imagine que c’est à cette question que nombre d’entre vous espèrent une réponse claire. Hélas, il est encore difficile d'être tranché. Ce que l’on peut affirmer avec certitude, en revanche, c’est que les indicateurs passent au vert, à tous les niveaux.

Le Club iGen n’a jamais eu autant d’abonnés qu’actuellement. La fréquentation de nos sites est en progression continue depuis plusieurs mois. Les revenus (publicité, affiliation…) repartent dans le bon sens. Quant aux coûts engendrés par la restructuration et le licenciement économique, ils ont été quasiment payés dans leur intégralité, sans que nous ayons eu besoin de solliciter un emprunt bancaire.

Depuis la rentrée, nous avons le sentiment de progresser, mais MacGeneration est encore convalescent pour quelques mois encore dans le meilleur des cas. Notre objectif à court et moyen terme est de reconstituer une trésorerie capable d’encaisser les futurs coups durs. La situation demeure fragile : le moindre grain de sable peut encore enrayer la machine.

Club iGen : la campagne de réabonnement est en cours

C’est pour cela que nous avons plus que jamais besoin de vous. Pour beaucoup d’entre vous, le 18 décembre marque la date anniversaire de votre abonnement au Club iGen. Pensez à vérifier que vous n’avez pas reçu de mail de notre part indiquant un échec de paiement. Le cas échéant, vous pouvez mettre à jour vos informations de paiement à cette adresse. Comme d’habitude, notre support (support@mgig.fr) est à votre entière disposition en cas de souci.

On attend 2026 avec impatience. D'une part, pour repartir définitivement du bon pied. D'autre part, parce que ce ne sera sans doute pas une année comme les autres : Apple fêtera son 50e anniversaire. D’ici là, prenez soin de vous ! Nous serons bien évidemment sur le pont pendant toutes les fêtes de fin d’année.

Et si vous êtes à la recherche d’une idée cadeau de dernière minute, n'oubliez pas que vous pouvez toujours offrir une carte cadeau d’un an au Club iGen !

Comment nous soutenir ?

La meilleure manière de nous soutenir reste l’abonnement au Club iGen. En nous accompagnant sur la durée, vous nous donnez les coudées franches pour nous concentrer sur notre cœur de métier : une information de qualité. Pour 5 € par mois (ou 45 € par an), vous profitez d'un confort de lecture total avec des sites et applications sans publicité, l'accès à nos articles exclusifs, notre serveur Discord ou encore un flux RSS personnalisé. Notez qu'une offre à moitié prix est également disponible pour les étudiants et les demandeurs d’emploi.

Si l’abonnement ne vous tente pas, vous pouvez toujours nous donner un coup de pouce via Tipeee, selon vos moyens. Nous réfléchissons d'ailleurs à instaurer des contreparties, comme la réduction de la pression publicitaire sur nos supports si les contributions récurrentes franchissent certains paliers.

Enfin, si vous avez des emplettes de dernière minute à effectuer, vous pouvez passer par nos liens affiliés. Amazon, Boulanger, Darty ou encore la Fnac. En passant par l’un de ces liens, nous toucherons une petite commission.

Plusieurs choses pour finir :

  • Nous avons souhaité concentrer ce billet uniquement sur la santé financière de MacGeneration, car vous étiez nombreux — à juste titre — à nous demander des nouvelles. Mais rassurez-vous, nous avons encore bien d’autres choses à partager avec vous dans les jours et les semaines à venir.
  • On vous voit venir : oui, il y a un souci avec l’application iPad. Une mise à jour arrive très vite. Ce sera aussi l'occasion de vous faire quelques annonces de ce côté-là.
  • Si vous avez des questions, n’hésitez pas à nous en faire part dans les commentaires. On y répondra soit sous forme de FAQ, soit dans un podcast.
  • Une dernière fois, un immense merci à tous. Notre avenir dépend de votre soutien et nous essayons, chaque jour, d’être à la hauteur de cet engagement. Joyeuses fêtes à tous !
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Santé : Bevel fait sa révolution et devient (presque) gratuit

Dans l’écosystème de l’Apple Watch, c’est un petit événement. Bevel, l'une des applications de suivi de santé les plus complètes du moment, change radicalement de modèle économique. La quasi-totalité de ses fonctions est désormais gratuite.

Image : Bevel

Bevel fait partie de ces applications qui vont plus loin que l’app Santé d'Apple. Elle comble ce qui manque cruellement à la solution native : une véritable analyse des données pour offrir une batterie d’indicateurs quotidiens. Au-delà du simple tableau de bord, Bevel se comporte comme un journal de bord où l’on consigne son activité et ses repas. Entre le coach sportif et le nutritionniste de poche, l'app tente de couvrir tous les angles de la forme physique.

Le « Whoop » de l'Apple Watch

Son interface et sa philosophie s’inspirent ouvertement de Whoop, ce bracelet sans écran qui mise tout sur la récupération et la charge cardiaque. Sur le plan matériel, une Apple Watch dispose pourtant de capteurs similaires. La différence se joue sur le traitement logiciel, et c'est précisément là que Bevel intervient pour transformer la montre d'Apple en un véritable outil de santé et de coaching.

Jusqu’à présent, cette expertise se payait au prix fort : 59,99 € par an. Mais l’éditeur a décidé de changer son fusil d’épaule. Désormais, l’immense majorité des fonctionnalités sont gratuites.

L’IA comme seule frontière payante

Dans la vidéo d’annonce, Bevel insiste lourdement sur un point : si le service devient gratuit, ce n’est pas vous le produit. L’éditeur martèle qu’il n’a aucune intention de vendre vos données de santé à des tiers. Alors, comment l'entreprise compte-t-elle se rémunérer ?

La réponse tient en deux lettres : IA. Les seules fonctions qui restent payantes sont regroupées sous le label Bevel Intelligence. C'est elle qui génère des plans d’entraînement personnalisés ou des analyses prédictives. Ce choix est pragmatique : l'exécution des modèles d'IA coûte cher en serveurs, contrairement au traitement local des données de santé qui, lui, devient gratuit.

Depuis son lancement fin 2023, Bevel a énormément évolué, mais l'ambition ne s'arrête pas là. L’éditeur travaille activement sur une version 3.0 prévue pour 2026, qui promet de « bousculer à nouveau l'industrie ».

En devenant en grande partie gratuite aujourd'hui, Bevel veut s’imposer comme la référence absolue sur un marché de la santé ultra-dynamique. C'est aussi une manière d’étoffer considérablement sa base d'utilisateurs avant l'arrivée programmée pour l’année prochaine de Health+, le service d’Apple qui pourrait rebattre les cartes.

Health+ : le service de santé d

Health+ : le service de santé d'Apple attendu pour 2026

Bon à savoir : Si vous êtes déjà abonné, ne résiliez pas forcément tout de suite. L'éditeur a précisé que les abonnés actuels bénéficieront d'un statut privilégié.

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Un tout nouveau Raycast prévu pour 2026

En l’espace de quelques années, Raycast est devenu l'un des utilitaires les plus populaires sur Mac. Il s’agit d’un lanceur dans la lignée d’Alfred, de LaunchBar ou encore de Quicksilver. Mais par rapport à ses concurrents historiques, Raycast se distingue par son ouverture vers les services tiers et mise énormément sur l’intelligence artificielle.

À la découverte de Raycast, le puissant lanceur multifonctions pour le Mac

À la découverte de Raycast, le puissant lanceur multifonctions pour le Mac

Pour les aficionados du logiciel, la courte vidéo mise en ligne par l’éditeur a suscité une certaine effervescence. Si le teaser reste mystérieux, il laisse entrevoir une interface repensée pour se fondre encore davantage dans macOS. L'éditeur semble avoir concocté un mode compact encore plus minimaliste. L’esthétique, plus fine et épurée, adopte les codes visuels récents d'Apple : l'objectif est clairement de proposer un outil qui sait se faire oublier visuellement tout en restant immédiatement accessible sous les doigts.

Mais la véritable "killer feature" suggérée par ces quelques secondes concerne l'audio. Raycast semble prêt à intégrer la dictée vocale avancée directement au cœur du lanceur. Il ne s'agirait plus seulement de lancer des commandes à la voix, mais bien de dicter du texte avec la puissance de l'IA, à la manière de ce que proposent aujourd'hui des utilitaires spécialisés comme MacWhisper ou Wispr Flow. En intégrant nativement une telle fonction, Raycast pourrait bien "sherlocker" quelques applications tierces et s'imposer définitivement comme le centre névralgique de la productivité sur Mac.

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AirPods Pro 3 : les grésillements font de la résistance

Lancés il y a quelques mois, les AirPods Pro 3 figurent sans doute parmi les meilleurs produits lancés par Apple cette année. Toutefois, tout n'est pas parfait pour autant : depuis leur commercialisation, plusieurs dysfonctionnements persistent et n'ont toujours pas été corrigés malgré l'enchaînement des mises à jour.

Comme nous le notions déjà fin octobre, un problème de grésillement — s'apparentant à de l’électricité statique — vient régulièrement perturber l’écoute. Le phénomène est particulièrement audible lorsque la réduction active du bruit (ANC) est activée, mais qu'aucun contenu n’est diffusé. Plus irritant encore, certains utilisateurs rapportent des sifflements aigus intermittents. En ce qui nous concerne, nous avons expérimenté ce bug à deux reprises le même jour ; il ne s'est fort heureusement plus manifesté depuis.

AirPods Pro 3 : un bug sonore qui fait grincer des oreilles

AirPods Pro 3 : un bug sonore qui fait grincer des oreilles

AirPods Pro 3 : certains utilisateurs se plaignent d’un bruit blanc constant

AirPods Pro 3 : certains utilisateurs se plaignent d’un bruit blanc constant

Des mises à jour sans grand effet

Apple est pourtant au travail, du moins sur le papier. Depuis l'émergence des premiers témoignages, deux mises à jour ont été déployées. La dernière en date, la B30 sortie il y a une semaine, permet notamment d’accéder à la traduction en direct en Europe.

Un nouveau firmware pour les AirPods Pro 2 et 3

Un nouveau firmware pour les AirPods Pro 2 et 3

Pourtant, le constat reste le même : les retours sur les forums d’assistance indiquent que ces nouveaux micrologiciels n’ont pas corrigé le tir. Les bruits de friture persistent, avec ou sans musique, et de nouveaux griefs font leur apparition, notamment concernant la latence et des problèmes de synchronisation audio lors de la lecture de vidéos.

Un défaut d'ordre logiciel ?

C’est toute la question qui anime la communauté. Certains clients ont tenté le passage en Apple Store pour un échange standard, mais la déception est souvent au rendez-vous : les écouteurs de remplacement présentent parfois les mêmes symptômes. Cela laisse planer un doute sur la nature du problème : s'agit-il d'un bug profond dans le traitement du signal ou d'un défaut de conception matérielle ?

Fidèle à ses habitudes, Apple reste peu loquace. Les notes de version se contentent de vagues « corrections de bugs et autres améliorations », sans jamais nommer précisément le problème de l'ANC. Pour une paire d'écouteurs vendue à ce prix, le silence de Cupertino finit par devenir aussi assourdissant que les grésillements qu'ils sont censés corriger.

Test des AirPods Pro 3 : un vrai coup de cœur

Test des AirPods Pro 3 : un vrai coup de cœur

Quoi qu’il en soit, n’hésitez pas à nous faire part de vos témoignages dans les commentaires si vous rencontrez également ces problèmes !

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Apple Plans : fin de voyage pour les visites guidées Flyover

Début septembre, nous nous étonnions de la disparition soudaine des visites guidées Flyover dans de très nombreuses villes. Ces survols automatisés n’étaient plus au programme, que ce soit sous iOS 18 ou sous les bêtas de son successeur.

Image : iGeneration
Image : iGeneration

Trois mois plus tard, comme le souligne MacRumors, cette fonction est toujours aux abonnés absents. On peut désormais acter la décision d’Apple : la firme a discrètement débranché une fonctionnalité qui, si elle n'était sans doute pas la plus utilisée, restait l'un des fleurons visuels de son application de cartographie.

Un vestige de l'ère iOS 8

Il ne faut pas confondre la technologie Flyover (la vue 3D), lancée en grande pompe en 2012 avec iOS 6, et les City Tours (les visites guidées). Ces derniers ne sont arrivés qu'en 2014, avec iOS 8 et OS X Yosemite. L'idée était séduisante : utiliser la richesse de l'imagerie aérienne pour proposer une découverte scénarisée des grandes métropoles.

Pendant une décennie, il suffisait de tapoter sur l'icône Flyover lors de la recherche d'une ville pour lancer le guide. Aujourd'hui, l'option a tout simplement été rayée de la carte. Un ménage de printemps avant l'heure, probablement justifié par des statistiques d'utilisation proches du néant.

La 3D reste, le pilote automatique s'en va

Que les amateurs de tourisme virtuel se rassurent : seule la visite automatisée disparaît. L’imagerie Flyover reste disponible dans plus de 350 villes à travers le monde. Vous pouvez toujours admirer les monuments, les parcs et les gratte-ciel avec cette vue plongeante si particulière.

Pour rappel, Apple utilise des clichés capturés par de petits avions pour modéliser ces environnements avec une précision chirurgicale. Une technologie impressionnante qui explique aussi pourquoi certaines zones restent désespérément "plates" pour des raisons de sécurité nationale ou de confidentialité.

En somme, Apple fait table rase pour laisser toute la place à l'expérience « Détails de la ville » (Detailed City Experience). Lancée avec iOS 15, cette cartographie « nouvelle génération » est autrement plus ambitieuse qu'une simple vidéo en boucle : elle propose une modélisation chirurgicale du relief, des marquages au sol précis, des passages piétons en 3D et des monuments dessinés à la main qui s'illuminent délicatement une fois la nuit tombée.

Au printemps, Apple a pris en charge Monaco. Avant / Après
Au printemps, Apple a pris en charge Monaco. Avant / Après

Il serait toutefois de bon ton qu’Apple mette maintenant un sérieux coup d'accélérateur sur le déploiement de cette fonctionnalité. Si le résultat est bluffant, il reste encore trop souvent l'apanage de quelques métropoles triées sur le volet. En France, Paris fait toujours cavalier seul et reste la seule ville à offrir cette expérience complète.

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macOS Tahoe : un bug agaçant fait clignoter le Studio Display

C’est une vieille connaissance que l’on aurait préféré ne pas revoir. Depuis le lancement de macOS Tahoe en septembre dernier, le Studio Display semble pris d’une soudaine passion pour le stroboscope. Un bug agaçant qui, loin de se résorber avec les dernières mises à jour, semble au contraire gagner du terrain.

Un bug qui joue les prolongations

Le problème n'est pas totalement inédit. Comme le rapporte MacRumors, les témoignages d'utilisateurs excédés s'accumulent sur les forums de support. Si des phénomènes de scintillement avaient déjà pointé le bout de leur nez sur de précédentes versions du système, macOS Tahoe semble avoir définitivement ouvert la boîte de Pandore : ce qui n'était qu'un incident isolé par le passé devient, avec cette mouture, un défaut récurrent.

Nous avons d'ailleurs pu constater le phénomène directement à la rédaction : l'un de nos Studio Display est touché par ces clignotements intempestifs. Et le constat est sans appel : les versions 26.1 et 26.2 de Tahoe n'ont absolument rien réglé à l'affaire. Il est à noter que, selon certains témoignages, ce bogue frapperait également des moniteurs d’autre marque.

Photos et Vidéos dans le viseur

Si le bug peut frapper de manière aléatoire, il semble avoir une prédilection pour les contenus multimédias. Le scintillement se manifeste plus souvent lorsque de la photo ou de la vidéo est en jeu. De mon côté, le déclencheur est presque systématique : il suffit de lancer l'application Photos pour que l'écran se mette à vaciller, surtout lors du passage entre des interfaces sombres et des fonds très clairs.

Une piste pour calmer le jeu

En attendant qu'Apple se décide à publier un correctif — probablement via une mise à jour du firmware de l'écran — une solution de fortune semble porter ses fruits. Chez moi, le problème a été en grande partie résolu par une manipulation simple dans les Réglages Système : décocher l'option « Régler la luminosité automatiquement ».

Il semblerait que le capteur de luminosité ambiante et la gestion logicielle de Tahoe ne fassent plus bon ménage, provoquant ces ajustements brutaux qui ressemblent à des flashs. Ce n'est certes pas une solution idéale pour un écran de ce prix, mais cela permet au moins de retrouver un confort de travail acceptable en attendant des jours meilleurs.

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Crucial écoule ses stocks de SSD Externe : 1 To dès 80 €, 2 To dès 133 €, 4 To dès 240 €

RAM, SSD, stockage… Il est devenu difficile de faire de bonnes affaires, la faute à la frénésie d’achats causée par le boom des intelligences artificielles génératives.

On ignore si ces promotions sont liées au fait que Crucial va bientôt fermer rideau, mais elles sont intéressantes.

Les Crucial X10 Pro à partir de 99 €

Si vous êtes à la recherche d’un peu de stockage, on vous recommande de jeter un œil à ces SSD externes de Crucial. Il est possible de faire l’acquisition du X10 Pro 2 To pour 150 €, soit 45 € de moins que son prix public. Le modèle 4 To est proposé pour sa part à 295 €. Le modèle doté de 1 To de stockage est vendu depuis peu à 99,99 €, grâce à un coupon de 10 € automatiquement appliqué au moment de l’achat.

Les Crucial X10 Pro font partie des SSD externes haut de gamme sortis en 2023 : avec des débits annoncés jusqu’à 2 100 Mo/s en lecture et 2 000 Mo/s en écriture, ils visent ceux qui manipulent de gros fichiers au quotidien — vidéo, photo, bibliothèques de projets, sauvegardes rapides. À l’intérieur, on trouve de la mémoire 3D TLC en NVMe (bus PCIe), reliée en USB 3.2 Gen2x2 Type-C, et un chiffrement matériel AES 256 bits pour sécuriser les données sans plomber les performances. Le tout tient dans un boîtier en aluminium très compact (65 × 50 × 10 mm, 42 g) et conçu pour encaisser : IP55 (poussière/éclaboussures), résistant aux chocs, et annoncé comme hydrofuge.

Test des Crucial X9 Pro et X10 Pro, deux SSD externes compacts et rapides

Test des Crucial X9 Pro et X10 Pro, deux SSD externes compacts et rapides

Les Crucial X9 à partir de 80 €

Les Crucial X9 jouent une partition plus simple que les X10 Pro : ce sont des SSD externes compacts et faciles à emporter, pensés avant tout pour augmenter rapidement l’espace de stockage et déplacer des fichiers sans prise de tête. Ils misent sur un format discret, un boîtier conçu pour résister à la vie nomade et une connexion USB-C pour fonctionner aussi bien avec un Mac qu’avec un PC ou certains appareils mobiles. Ils offrent jusqu’à 1 050 Mo/s en lecture, et à peu près autant en écriture. En clair : une solution sobre et pratique pour des sauvegardes, des bibliothèques photo/vidéo, ou du stockage d’appoint au quotidien.

Bref, des SSD moins performants, mais des prix encore plus doux :

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Déstockage de bracelets Apple à partir de 15 € !

Mise à jour 25/12 — C’est trop beau pour être vrai ? Eh bien non ! Certains doutaient de l’authenticité des bracelets au vu des prix proposés. Certains lecteurs avaient passé commande et nous avaient confirmé qu’il s’agissait bien de bracelets authentiques. Histoire d’en être certains à 200 %, nous avons commandé un modèle. Il s’agit bel et bien d’un modèle Apple. Les promotions sont toujours en cours, alors profitez-en !

Article original — 

Quoi qu’il en soit, le site e-commerce Ploonk casse les prix sur un grand nombre de bracelets pour Apple Watch. Avant toute chose, précisons que les bracelets mis en avant sont présentés comme des Produis Apple d’origine.

Parmi les produits mis en avant, il y a un grand nombre de bracelets Boucle Unique. Entre les tailles, les modèles pour Apple Watch et les couleurs, les références sont très nombreuses. En fonction des générations, ces bracelets sont vendus soit 14,99 € ( ce qui correspond à une réduction de 35 € sur le prix public.) soit 19,99 € pour les modèles les plus récents.

Encore plus intéressant, Ploonk propose des bracelets Solo tressé pour Apple Watch pour 24,99 €. Là encore, vous disposez d’un large choix : couleurs, taille, dimension du cadran… Vous trouverez forcément votre bonheur et ferez des économies. Sur l’Apple Store, ces mêmes bracelets sont vendus 99 € !

Des bracelets pour l’Apple Watch Ultra à -50 %

Ploonk fait également de belles offres sur les bracelets pour Apple Watch Ultra. On trouve certains bracelets boucle Trail à 49,99 €, soit une remise de 50 % ! Autre bracelet phare de l’Apple Watch Ultra : le bracelet Alpine Loop proposé à 69,99 € au lieu de 99,99 €. Enfin, le bracelet Ocean est vendu 79,99 €, soit une remise de 30 €.

Parmi les autres modèles en promotions, on trouve :

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