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Article original publié sur AlloCiné
"Un jour sur ses longs pieds, allait je ne sais où, le héron au long bec emmanché d’un long cou." Nul autre que Jean de La Fontaine ne sut aussi bien décrire cet oiseau étonnant qu’est le héron. Toutefois, il n’a pas précisé le nom de son petit.



La Thaïlande et le Cambodge se sont accusés lundi 8 décembre d’avoir repris les hostilités à la frontière, où Bangkok a indiqué mener des frappes aériennes et fait état d’un soldat mort, moins de deux mois après un accord de cessez-le-feu chapeauté par Donald Trump.
Le président américain avait qualifié d'"historique" la signature d’un accord, le 26 octobre, entre les deux pays voisins d’Asie du Sud-Est, opposés de longue date sur un différend frontalier. Suspendu depuis, il devait refermer la page de cinq jours de combats en juillet, au sol et dans les airs, qui avaient fait au moins 43 morts et contraint quelque 300 000 personnes à évacuer.
Un mois et demi après seulement, les hostilités sont reparties dans la nuit de dimanche à lundi et les deux camps s’en rejettent la responsabilité. L’armée thaïlandaise affirme avoir été attaquée par le Cambodge dans la province d’Ubon Ratchathani et indique qu’un de ses soldats a été tué et quatre autres blessés. Le ministère cambodgien de la Défense a déclaré de son côté que les forces thaïlandaises avaient lancé tôt lundi matin une attaque dans les provinces frontalières de Preah Vihear et d’Oddar Meanchey, sans que ses troupes ne ripostent.
"A toutes les forces sur le front, veuillez faire preuve de patience", a demandé le président du Sénat cambodgien et ancien Premier ministre Hun Sen. "La ligne rouge pour riposter a été fixée", a-t-il ajouté.
La Thaïlande utilise des avions de chasse pour "frapper des cibles militaires" et "mettre fin aux tirs de soutien cambodgiens", a indiqué l’armée thaïlandaise. "Les frappes aériennes sont d’une grande précision et visent uniquement des objectifs militaires le long de la ligne de front, sans impact sur les civils", a précisé son porte-parole, Winthai Suvaree. Un soldat cambodgien a déclaré à l’AFP, sous couvert d’anonymat, que les bombardements thaïlandais étaient toujours en cours lundi en fin de matinée à Preah Vihear.
Selon l’armée thaïlandaise, environ 35 000 personnes ont été évacuées des zones frontalières au cours de la nuit. "Le chef du village nous a demandé de partir et après ce qui s’est passé en juillet, j’ai immédiatement obéi", a raconté à l’AFP Pannarat Woratham, évacuée thaïlandaise de 59 ans. "J’ai retenu les leçons de la dernière fois et j’avais de quoi partir au plus vite", a-t-elle ajouté. "Beaucoup d’entre nous pensaient que le conflit était enfin terminé. Ça n’aurait pas dû reprendre comme ça". Des villageois fuyaient également "pour se mettre à l’abri" de l’autre côté de la frontière, ont fait savoir les autorités d’une province cambodgienne.
L’accord de cessez-le-feu avait été signé en octobre à Kuala Lumpur, en Malaisie, sous l’égide de Donald Trump, qui avait annoncé dans la foulée de nouveaux accords commerciaux avec les deux pays. Il avait été suspendu dès novembre par la Thaïlande après l’explosion d’une mine terrestre ayant blessé quatre de ses soldats.
Bangkok accuse régulièrement son voisin d’installer de nouvelles mines le long de la frontière. Mais le Cambodge avait alors exprimé ses "regrets" et affirmé qu’il s’agissait de vestiges des conflits passés. Phnom Penh avait rappelé son engagement envers l’accord. Les deux parties s’étaient engagées à retirer leurs armes lourdes, à déminer les zones frontalières et à poursuivre le dialogue, mais rien n’avait été réglé sur le fond.
La Thaïlande et le Cambodge ont un différend ancien portant sur le tracé de certaines parties de leur frontière, longue de 800 kilomètres, effectué lors de l’ère coloniale française. Les zones disputées abritent plusieurs temples, dont celui de Preah Vihear. La Cour internationale de justice en a accordé la souveraineté à Phnom Penh, mais Bangkok refuse de reconnaître l’autorité du tribunal sur les questions territoriales.

© L'Express

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