Après la Switch, Front Mission 3 : Remake arrive sur PC et consoles









Popularisées par Tesla et devenues un symbole de modernité sur les véhicules électriques, les poignées de porte affleurantes vivent peut-être leurs dernières heures de gloire. La multiplication des faits divers vient de sonner le glas d'une tendance qui privilégiait le style au détriment de la sécurité la plus élémentaire.

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© Mikhail Metzel/Sputnik via AP

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Tim Cook a sans doute reçu le cadeau de Noël dont il rêvait. Les produits en provenance de Chine ne seront pas frappés par de nouveaux droits de douane supplémentaires avant juin 2027. Une décision qui offre à Apple un précieux sursis dans un contexte géopolitique toujours aussi instable.
Sur le papier, les États-Unis vont bien appliquer de nouveaux droits de douane sur les semi-conducteurs importés depuis la Chine. Dans les faits, le taux effectif sera fixé à 0 % pendant environ 18 mois, selon un document du Federal Register repéré par CNBC.
Ce n’est qu’à partir du 23 juin 2027 que le tarif augmentera réellement, avec un pourcentage qui devra être annoncé au moins 30 jours à l’avance. Une manière élégante de repousser l’échéance sans renoncer à l’outil politique.
Pour Apple, cette décision écarte un risque à court terme : celui d’une hausse brutale des coûts d’importation sur une large gamme de puces utilisées dans ses produits.
Certes, la firme conçoit elle-même ses processeurs A et M, fabriqués par TSMC à Taïwan. Mais elle dépend toujours fortement de fournisseurs chinois pour de nombreux composants clés : circuits de gestion de l’alimentation, puces de contrôle d’affichage, contrôleurs de connectivité ou encore divers composants logiques disséminés dans l’ensemble de ses appareils. Autant d’éléments qui entreraient pleinement dans le champ des droits de douane dès que le taux cessera d’être nul.
Techniquement, le droit de douane est donc bien instauré dès maintenant. Mais un taux à 0 % agit comme un mécanisme de temporisation, plutôt que comme une suspension pure et simple.
Cette approche permet à l’administration américaine de conserver un cadre légal prêt à l’emploi pour relever les tarifs ultérieurement, tout en limitant les frictions commerciales à court terme. Elle offre aussi une meilleure visibilité aux entreprises — Apple en tête — au moment de prendre des décisions lourdes sur leurs chaînes d’approvisionnement.
Le timing est particulièrement favorable à Apple, au moment même où Cupertino redouble d'efforts pour desserrer l'étau chinois. Ces derniers mois, le groupe évoluait sous la menace de droits de douane pouvant grimper jusqu’à 100 % sur certains semi-conducteurs.
Apple va investir 100 milliards de dollars supplémentaires aux États-Unis
En août dernier, Apple a d’ailleurs officialisé un engagement massif de 600 milliards de dollars en faveur de la production et des infrastructures industrielles aux États-Unis. Ce répit obtenu jusqu’en 2027 offre une marge de manœuvre bienvenue pour avancer ses pions — sans précipitation, mais sans se bercer d’illusions sur les secousses à venir à moyen terme.
Dans ce dossier, Apple marche toutefois sur une ligne de crête. Il lui faut s'attirer les faveurs de l’administration américaine sans s'aliéner Pékin, qui demeure le second marché du groupe. Quelques jours avant Noël, Sabih Khan a d'ailleurs fait le voyage pour rencontrer Li Chenggang, le vice-ministre chinois du Commerce. Le patron des opérations d’Apple a profité de l'occasion pour faire passer un message limpide : Apple reste un partenaire de long terme. En saluant la solidité de la chaîne d’approvisionnement locale et en promettant de nouveaux investissements dans la R&D et le social, Apple tente de rassurer. Reste à savoir si ce rôle d’équilibriste pourra tenir éternellement dans un contexte géopolitique de plus en plus inflammable.
Quoi qu’il en soit, les dirigeants d’Apple ne connaissent aucun répit. Si l’horizon des droits de douane s’éclaircit temporairement, la firme doit affronter une menace plus immédiate pour ses marges : l’explosion du prix des composants, portée par la déferlante de l’intelligence artificielle. La mémoire et le stockage voient leurs coûts s'envoler, et rien n'indique une accalmie. Sur ce terrain purement marchand, le travail de lobbying des dirigeants d’Apple ne sera d’aucune utilité.
Quel pourrait être l'impact de la RAMpocalypse sur Apple ?
À compter du 1ᵉʳ janvier 2026, la grande majorité des personnes abonnées à l’offre GeForce Now de NVIDIA auront une limite de 100 heures par mois, soit une moyenne d’un peu plus de 3 heures par jour.
Cette limite n’est en fait pas nouvelle. Annoncée en 2024, elle est appliquée depuis un an à l’ensemble des nouveaux abonnés. Ce qui change, c’est bien l’application de cette limite à la quasi-totalité des autres abonnés. « Quasi », car toutes les personnes ayant une ancienne formule d’avant mars 2021 (membres Fondateurs) et ayant payé leur abonnement sans interruption gardent le même niveau de prestation, sans limite. NVIDIA promet dans sa FAQ que cet avantage sera préservé « à vie », à condition que les personnes concernées continuent de payer.
Ce plafond peut être dépassé. À la manière des forfaits téléphoniques, on peut ainsi acheter des packs d’heures supplémentaires, mais la tarification dépend de la formule d’abonnement. Si vous avez une offre Performance à 10,99 euros par mois, le pack de 15 heures est facturé 3 euros. Avec la formule Ultimate à 21,99 euros par mois, le même pack est vendu 6 euros.
Ces packs sont optionnels. Par défaut, quand la réserve de temps est épuisée, le compte utilisateur bascule sur la formule gratuite jusqu’à la date de renouvellement mensuel suivante, y compris pour les formules de plusieurs mois. À l’inverse, si le quota n’est pas utilisé, sur les 100 heures de base ou sur l’extension de temps achetée, un report peut s’opérer sur le mois suivant, dans une limite de 15 heures.

Le problème, bien sûr, est le prix des extensions. Que l’on joue une ou dix heures de plus, le prix est le même. Des abonnés mécontents se sont « amusés » à calculer l’écart de tarifs en fonction du nombre d’heures jouées par mois, dans un tableau intitulé : « Combien d’heures puis-je jouer chaque mois avant que GeForce Now ne soit plus une option viable ? ». On voit rapidement qu’au-delà de 100 heures par mois, le prix augmente rapidement. Sur un an par exemple, un très gros joueur à 200 heures par mois sur une formule Ultimate paierait près de 800 dollars par an.
La question sera donc de savoir si les 100 heures sont suffisantes aux personnes actuellement abonnées. Si plus de trois heures par jour peuvent sembler largement suffisantes, elles sont susceptibles de rapidement disparaitre via les week-ends et les périodes de repos, dans le cadre d’un service spécifiquement conçu pour le jeu. C’est d’ailleurs le type de réflexion abordé sur Reddit : il pourrait être plus intéressant d’acheter directement le matériel, même si le niveau de prestation de l’offre Ultimate est élevé.
Le changement était prévu, mais il tombe à point nommé pour NVIDIA, prise dans les filets d’une situation matérielle générale nettement plus tendue qu’il y a un an.

Surprise de fin d'année de Meta qui met la main sur la start-up IA Manus aux origines chinoises. Pour cet agent IA, le montant de la transaction serait de l'ordre de 2 milliards de dollars.

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