Il y a quelques mois, pour les cinquante ans de la société, Microsoft avait lancé une paire de Crocs aux couleurs de Windows XP. Et la marque vient de récidiver : elle vient de mettre en vente une autre paire de Crocs, cette fois aux couleurs de la Xbox 360 (enfin, plus ou moins), pour fêter les vingt ans de la console (qui est donc vintage).
Les Crocs. Image Microsoft.
Elles sont noires, valent 80 $ et sont décorées avec composants qui rappellent la manette de Xbox Series actuelles. Rappelons que la première Xbox 360, en 2005, est arrivée dans une robe blanche.
Pour décorer les Crocs — parce que c'est la mode —, Microsoft propose aussi des Jibbitz aux couleurs de franchises qui ont fait la joie des joueurs : Fallout, Doom, Halo, World of Warcraft et Sea of Thieves. Les charmes en question valent, 20 $. Pour ceux qui l'ignorent, il s'agit de petites décorations en plastique qui se fixent dans les trous des Crocs, pour les personnaliser.
Les charmes.
Il n'y a pas encore de Crocs aux couleurs d'Apple, mais la société a tout de même vendu des sneakers dans les années 90, et elles valent assez cher quelques (dizaines) d'années plus tard.
Il y a quelques mois, pour les cinquante ans de la société, Microsoft avait lancé une paire de Crocs aux couleurs de Windows XP. Et la marque vient de récidiver : elle vient de mettre en vente une autre paire de Crocs, cette fois aux couleurs de la Xbox 360 (enfin, plus ou moins), pour fêter les vingt ans de la console (qui est donc vintage).
Les Crocs. Image Microsoft.
Elles sont noires, valent 80 $ et sont décorées avec composants qui rappellent la manette de Xbox Series actuelles. Rappelons que la première Xbox 360, en 2005, est arrivée dans une robe blanche.
Pour décorer les Crocs — parce que c'est la mode —, Microsoft propose aussi des Jibbitz aux couleurs de franchises qui ont fait la joie des joueurs : Fallout, Doom, Halo, World of Warcraft et Sea of Thieves. Les charmes en question valent, 20 $. Pour ceux qui l'ignorent, il s'agit de petites décorations en plastique qui se fixent dans les trous des Crocs, pour les personnaliser.
Les charmes.
Il n'y a pas encore de Crocs aux couleurs d'Apple, mais la société a tout de même vendu des sneakers dans les années 90, et elles valent assez cher quelques (dizaines) d'années plus tard.
Lors du Black Friday1, les promotions sur les SSD externes, les SSD internes et les disques durs externes sont habituellement intéressantes, comme lors des autres grandes périodes de promotion. Mais cette année, ce n'est pas réellement le cas : les promotions sont rares et les prix assez élevés. Et pourtant, c'est probablement le meilleur moment pour acheter si vous avez besoin d'un SSD ou d'un disque dur.
Les promotions sur les SSD ne sont pas très intéressantes... et pourtant. Image Crucial.
Nous en avons déjà parlé, les serveurs dédiés à l'IA ont d'énormes besoins et les fabricants de mémoire vive, de mémoire flash et de disques durs l'ont bien compris. Une partie des chaînes de production a été allouée à des technologies rarement utilisées dans nos appareils (comme la mémoire HBM). Et pour le reste, les constructeurs préfèrent vendre à un prix élevé (variable) aux sociétés qui installent des serveurs qu'à des clients qui ont des contrats pour acheter à un prix défini à l'avance, comme les fabricants d'ordinateurs ou les sociétés qui vendent les composants à la pièce.
Le résultat est très visible depuis quelques semaines : une hausse très importante dans le domaine de la mémoire vive, des SSD et des HDD. Alors qu'il était possible il y a à peine un an de trouver des SSD de 4 To aux environs de 200 €, nous sommes nettement plus proches de 300 € actuellement… et sur les meilleures promotions.
Et pourtant, ce sont de bonnes affaires dans un sens
Mais il faut bien comprendre une chose : même si les périphériques de stockage sont plus chers qu'attendu, il ne s'agit pas pour autant de mauvaises affaires. Tous les analystes attendent de nouvelles hausses, et de nombreux fabricants anticipent des prix très nettement plus élevés que les actuels. Le patron d'OVHcloud, par exemple, a été assez clair sur ce sujet. Si vous avez réellement besoin d'acheter un SSD externe ou un disque dur externe, les promotions actuelles, même si elles semblent peu intéressantes, le sont en réalité : les prix d'ici quelques mois devraient être encore bien plus élevés.
Chez Sandisk, c'est à peu près la même chose : le modèle Extreme est à 169 € pour 2 To. D'autres marques habituées des promotions sont même absentes des étals cette année, d'ailleurs.
Un HDD externe WD.
Dans le cas des disques durs externes, la hausse n'est pas aussi récente, mais les prix restent assez élevés. Les modèles de 5 To en 2,5 pouces, qui ont parfois été vendus sous les 100 € ces dernières années, sont au mieux aux environs de 125 €. Et dans les disques durs externes de grande capacité, les promotions sont rares. Là encore, les prix sont assez élevés avec des prix qui dépassent 20 € le téraoctet, sauf à de rares exceptions, comme ce modèle de 18 To à 324 €.
Au delà du prix des composants vendus à la pièce, le prix des ordinateurs complets devrait lui aussi augmenter. Pour le moment, les fabricants qui ont des contrats annuels arrivent à peu près à temporiser les coûts élevés (pour les plus gros), mais le résultat devrait être le même à moyen terme : la hausse semble inévitable.
Lors du Black Friday1, les promotions sur les SSD externes, les SSD internes et les disques durs externes sont habituellement intéressantes, comme lors des autres grandes périodes de promotion. Mais cette année, ce n'est pas réellement le cas : les promotions sont rares et les prix assez élevés. Et pourtant, c'est probablement le meilleur moment pour acheter si vous avez besoin d'un SSD ou d'un disque dur.
Les promotions sur les SSD ne sont pas très intéressantes... et pourtant. Image Crucial.
Nous en avons déjà parlé, les serveurs dédiés à l'IA ont d'énormes besoins et les fabricants de mémoire vive, de mémoire flash et de disques durs l'ont bien compris. Une partie des chaînes de production a été allouée à des technologies rarement utilisées dans nos appareils (comme la mémoire HBM). Et pour le reste, les constructeurs préfèrent vendre à un prix élevé (variable) aux sociétés qui installent des serveurs qu'à des clients qui ont des contrats pour acheter à un prix défini à l'avance, comme les fabricants d'ordinateurs ou les sociétés qui vendent les composants à la pièce.
Le résultat est très visible depuis quelques semaines : une hausse très importante dans le domaine de la mémoire vive, des SSD et des HDD. Alors qu'il était possible il y a à peine un an de trouver des SSD de 4 To aux environs de 200 €, nous sommes nettement plus proches de 300 € actuellement… et sur les meilleures promotions.
Et pourtant, ce sont de bonnes affaires dans un sens
Mais il faut bien comprendre une chose : même si les périphériques de stockage sont plus chers qu'attendu, il ne s'agit pas pour autant de mauvaises affaires. Tous les analystes attendent de nouvelles hausses, et de nombreux fabricants anticipent des prix très nettement plus élevés que les actuels. Le patron d'OVHcloud, par exemple, a été assez clair sur ce sujet. Si vous avez réellement besoin d'acheter un SSD externe ou un disque dur externe, les promotions actuelles, même si elles semblent peu intéressantes, le sont en réalité : les prix d'ici quelques mois devraient être encore bien plus élevés.
Chez Sandisk, c'est à peu près la même chose : le modèle Extreme est à 169 € pour 2 To. D'autres marques habituées des promotions sont même absentes des étals cette année, d'ailleurs.
Un HDD externe WD.
Dans le cas des disques durs externes, la hausse n'est pas aussi récente, mais les prix restent assez élevés. Les modèles de 5 To en 2,5 pouces, qui ont parfois été vendus sous les 100 € ces dernières années, sont au mieux aux environs de 125 €. Et dans les disques durs externes de grande capacité, les promotions sont rares. Là encore, les prix sont assez élevés avec des prix qui dépassent 20 € le téraoctet, sauf à de rares exceptions, comme ce modèle de 18 To à 324 €.
Au delà du prix des composants vendus à la pièce, le prix des ordinateurs complets devrait lui aussi augmenter. Pour le moment, les fabricants qui ont des contrats annuels arrivent à peu près à temporiser les coûts élevés (pour les plus gros), mais le résultat devrait être le même à moyen terme : la hausse semble inévitable.
Le service Amazon Leo (anciennement projet Kuiper) est une constellation de satellites en orbites basses, comme Starlink, qui va permettre de se connecter à Internet partout sur la planète. Et Amazon a de grands projets pour sa solution. La première brique de l'offre est dédiée aux entreprises et elle permet selon Amazon d'atteindre 1 Gb/s en réception et 400 Mb/s en émission, des débits dignes de la fibre optique.
Amazon Leo.
L'antenne Leo Ultra a été développée en interne et Amazon met en avant d'excellentes performances. Pour le moment, le service est en test dans une sorte de bêta privée, avec un accès plus large prévu en 2026. Le problème principal vient du nombre de satellites : il n'y en a qu'environ 150 en orbite pour le moment, et Amazon compte en envoyer un peu plus de 3 200. Comme pour Starlink, ils sont dans des orbites assez basses (590, 610 et 630 km), ce qui doit permettre d'obtenir une latence assez faible. En théorie, elle peut descendre aux alentours de 8 ms pour la partie liée à la transmission, sans évidemment prendre en compte la latence entre la station de base et le monde extérieur. Starlink, actuellement, permet d'obtenir une latence de l'ordre de 40 ms, ce qui est suffisant pour de nombreux usages.
Une antenne sur le toit d'un immeuble. Image Amazon.
Amazon met en, avant une connexion directe à son service AWS pour les entreprises, et Leo est probablement une bonne solution de repli en cas de soucis. La société met aussi en avant des connexions chiffrées et sûres, un avantage par rapport à certaines offres d'anciennes générations dans lesquelles les liaisons peuvent être interceptées.
Les trois antennes. Image Amazon.
L'antenne Leo Ultra semble assez imposante (de l'ordre de 50 x 75 cm) mais une antenne Pro plus petite (28 cm de côté) permettra d'atteindre environ 400 Mb/s) et la Nano (18 cm de côté) pourra atteindre 100 Mb/s. Reste que pour le moment, avec seulement 150 satellites, la couverture est a priori très limitée. Amazon ne donne pas de détails sur ce point, mais elle va évidemment s'étendre avec le temps et l'envoi de centaines d'autres satellites, qui rejoindront ceux de Starlink et de OneWeb (Eutelsat).
Le service Amazon Leo (anciennement projet Kuiper) est une constellation de satellites en orbites basses, comme Starlink, qui va permettre de se connecter à Internet partout sur la planète. Et Amazon a de grands projets pour sa solution. La première brique de l'offre est dédiée aux entreprises et elle permet selon Amazon d'atteindre 1 Gb/s en réception et 400 Mb/s en émission, des débits dignes de la fibre optique.
Amazon Leo.
L'antenne Leo Ultra a été développée en interne et Amazon met en avant d'excellentes performances. Pour le moment, le service est en test dans une sorte de bêta privée, avec un accès plus large prévu en 2026. Le problème principal vient du nombre de satellites : il n'y en a qu'environ 150 en orbite pour le moment, et Amazon compte en envoyer un peu plus de 3 200. Comme pour Starlink, ils sont dans des orbites assez basses (590, 610 et 630 km), ce qui doit permettre d'obtenir une latence assez faible. En théorie, elle peut descendre aux alentours de 8 ms pour la partie liée à la transmission, sans évidemment prendre en compte la latence entre la station de base et le monde extérieur. Starlink, actuellement, permet d'obtenir une latence de l'ordre de 40 ms, ce qui est suffisant pour de nombreux usages.
Une antenne sur le toit d'un immeuble. Image Amazon.
Amazon met en, avant une connexion directe à son service AWS pour les entreprises, et Leo est probablement une bonne solution de repli en cas de soucis. La société met aussi en avant des connexions chiffrées et sûres, un avantage par rapport à certaines offres d'anciennes générations dans lesquelles les liaisons peuvent être interceptées.
Les trois antennes. Image Amazon.
L'antenne Leo Ultra semble assez imposante (de l'ordre de 50 x 75 cm) mais une antenne Pro plus petite (28 cm de côté) permettra d'atteindre environ 400 Mb/s) et la Nano (18 cm de côté) pourra atteindre 100 Mb/s. Reste que pour le moment, avec seulement 150 satellites, la couverture est a priori très limitée. Amazon ne donne pas de détails sur ce point, mais elle va évidemment s'étendre avec le temps et l'envoi de centaines d'autres satellites, qui rejoindront ceux de Starlink et de OneWeb (Eutelsat).
Le Mac mini M4 est un ordinateur de bureau vraiment surprenant et très performant, mais il a un petit défaut : il manque un peu d'entrées/sorties. Si vous n'avez pas d'USB-C, point de salut, ou presque. Les accessoiristes l'ont bien compris et ils proposent donc des stations d'accueil pour la petite machine. Et elles sont en promotion pour le Black Friday.
La station Ugreen.
Chez Ugreen, la version que nous avons testée est en promotion à 65 € au lieu de 100 €. Elle propose cinq prises USB-A (à différents débits), deux prises USB-C, une prise USB-C pour une alimentation optionnelle, un lecteur de cartes (SD et microSD) et un emplacement M.2 pour un SSD, à 10 Gb/s. C'est un bon compromis si vous branchez un écran en HDMI ou en USB-C. Sa variante est à 60 € au lieu de 100 €, avec une connectique un peu différente ; quatre USB-A, une prise USB-C, un lecteur de cartes (SD et microSD), une sortie casque un peu inutile et une sortie vidéo DisplayPort. Ce modèle intègre aussi l'emplacement M.2 mais nécessite deux prises USB-C sur le Mac.
Chez Satechi, la station d'accueil pour Mac mini M4 est à 84 € (88 € avec un coupon à cocher) au lieu de 120 €. Elle propose une connectique un peu plus légère : deux prises USB-A (10 Gb/s), une prise USB-A 2.0, un emplacement M.2 (10 Gb/s) et un lecteur de cartes SD rapide (UHS-II). Le fond de la station est découpé pour un accès facile au bouton du Mac. Dans un autre genre, Seatchi propose aussi son boîtier USB4 pour 81 € (85 € avec un coupon à cocher). Il se place sur le dessus du Mac mini M4 et intègre un emplacement M.2 pour un SSD. Le débit est plus élevé que dans les autres : 40 Gb/s (3,6 Go/s en pratique). Enfin, la station d'accueil pour Mac mini d'ancienne génération (du 2018 au M2) et Mac Studio est à 74 € au lieu de 120 € (78 € avec un coupon à cocher). Elle intègre un emplacement M.2 pour un SSD (10 Gb/s), trois prises USB-A, une prise USB-C, une prise jack en face avant et un double lecteur de cartes (SD et microSD).
La station Satechi.
Orico, un autre fabricant habitué des accessoires, a trois modèles en promotion. La première station est à 60 € et se place sous le Mac mini M4. Elle propose deux USB-C, trois USB)A, un lecteur de cartes SD et microSD, une prise Ethernet 2,5 Gb/s (le Mac mini se limite à 1 Gb/s par défaut) et une entrée micro et une sortie casque. Contrairement aux autres, il n'y a pas d'emplacement M.2. La seconde est à 67 € au lieu de 100 €, et place le Mac mini M4 sur la tranche. Elle propose trois prises USB-A, un lecteur de cartes SD et microSD, une prise USB-C, une entrée USB-C, une sortie HDMI et une prise RJ45 (1 Gb/s, un peu inutile). Il y a aussi un emplacement M.2 sous la base.
Le Mac mini est placé sur la tranche. Image Orinoco.
La dernière est plus sur le Design que le côté pratique, avec un boîtier en forme de (mini) Mac Pro. Elle est à 97 € au lieu de 120 €. La connectique est plus réduite : un lecteur de cartes microSD et SD, deux prises USB-A et un emplacement M.2 pour un SSD.
Le Mac mini M4 est un ordinateur de bureau vraiment surprenant et très performant, mais il a un petit défaut : il manque un peu d'entrées/sorties. Si vous n'avez pas d'USB-C, point de salut, ou presque. Les accessoiristes l'ont bien compris et ils proposent donc des stations d'accueil pour la petite machine. Et elles sont en promotion pour le Black Friday.
La station Ugreen.
Chez Ugreen, la version que nous avons testée est en promotion à 65 € au lieu de 100 €. Elle propose cinq prises USB-A (à différents débits), deux prises USB-C, une prise USB-C pour une alimentation optionnelle, un lecteur de cartes (SD et microSD) et un emplacement M.2 pour un SSD, à 10 Gb/s. C'est un bon compromis si vous branchez un écran en HDMI ou en USB-C. Sa variante est à 60 € au lieu de 100 €, avec une connectique un peu différente ; quatre USB-A, une prise USB-C, un lecteur de cartes (SD et microSD), une sortie casque un peu inutile et une sortie vidéo DisplayPort. Ce modèle intègre aussi l'emplacement M.2 mais nécessite deux prises USB-C sur le Mac.
Chez Satechi, la station d'accueil pour Mac mini M4 est à 84 € (88 € avec un coupon à cocher) au lieu de 120 €. Elle propose une connectique un peu plus légère : deux prises USB-A (10 Gb/s), une prise USB-A 2.0, un emplacement M.2 (10 Gb/s) et un lecteur de cartes SD rapide (UHS-II). Le fond de la station est découpé pour un accès facile au bouton du Mac. Dans un autre genre, Seatchi propose aussi son boîtier USB4 pour 81 € (85 € avec un coupon à cocher). Il se place sur le dessus du Mac mini M4 et intègre un emplacement M.2 pour un SSD. Le débit est plus élevé que dans les autres : 40 Gb/s (3,6 Go/s en pratique). Enfin, la station d'accueil pour Mac mini d'ancienne génération (du 2018 au M2) et Mac Studio est à 74 € au lieu de 120 € (78 € avec un coupon à cocher). Elle intègre un emplacement M.2 pour un SSD (10 Gb/s), trois prises USB-A, une prise USB-C, une prise jack en face avant et un double lecteur de cartes (SD et microSD).
La station Satechi.
Orico, un autre fabricant habitué des accessoires, a trois modèles en promotion. La première station est à 60 € et se place sous le Mac mini M4. Elle propose deux USB-C, trois USB)A, un lecteur de cartes SD et microSD, une prise Ethernet 2,5 Gb/s (le Mac mini se limite à 1 Gb/s par défaut) et une entrée micro et une sortie casque. Contrairement aux autres, il n'y a pas d'emplacement M.2. La seconde est à 67 € au lieu de 100 €, et place le Mac mini M4 sur la tranche. Elle propose trois prises USB-A, un lecteur de cartes SD et microSD, une prise USB-C, une entrée USB-C, une sortie HDMI et une prise RJ45 (1 Gb/s, un peu inutile). Il y a aussi un emplacement M.2 sous la base.
Le Mac mini est placé sur la tranche. Image Orinoco.
La dernière est plus sur le Design que le côté pratique, avec un boîtier en forme de (mini) Mac Pro. Elle est à 97 € au lieu de 120 €. La connectique est plus réduite : un lecteur de cartes microSD et SD, deux prises USB-A et un emplacement M.2 pour un SSD.
Il y a quelques jours, Apple a totalement fait disparaître la série Apple TV The Hunt (Traqués), façon 1984. Les bandes-annonces, communiqués et pages dédiées à la série française avec Mélanie Laurent et Benoît Magimel ont disparu, avec des erreurs 404 en pagaille. Elle devait pourtant être mise en ligne à partir du 3 décembre 2025, et cette disparition était donc assez étonnante. Selon le spécialiste des médias Clément Garin, Apple a une bonne raison : la série serait un plagiat.
Il explique que Cédric Anger, le réalisateur, créateur et scénariste, aurait omis d'indiquer que la série — un thriller — était en réalité une adaptation d'un roman de Douglas Fairbairn, publié en 1973. Shoot a d'ailleurs été traduit à l'époque (en 1974) sous le nom La Traque. La série, tournée en France en 2024, reprend visiblement la structure du roman, avec un groupe d'amis qui part chasser et se fait attaquer par un autre groupe de chasseurs. Lors de cette attaque, une des personnes est blessée, mais le groupe décide de ne rien dire et reprend sa vie. Ensuite, dans la série comme dans le livre selon Clément Garin, ils se sentent traqués et observés. Le roman a par ailleurs été porté à l'écran en 1976.
Traqués. Image Apple.
Le spécialiste des médias indique que les acteurs n'ont pas le droit de parler de la série, et qu'Apple et Gaumont (qui a produit la série, et qui a visiblement aussi tenté de supprimer toutes traces de cette dernière) envisagent une action en justice contre le réalisateur.
Il y a quelques jours, Apple a totalement fait disparaître la série Apple TV The Hunt (Traqués), façon 1984. Les bandes-annonces, communiqués et pages dédiées à la série française avec Mélanie Laurent et Benoît Magimel ont disparu, avec des erreurs 404 en pagaille. Elle devait pourtant être mise en ligne à partir du 3 décembre 2025, et cette disparition était donc assez étonnante. Selon le spécialiste des médias Clément Garin, Apple a une bonne raison : la série serait un plagiat.
Il explique que Cédric Anger, le réalisateur, créateur et scénariste, aurait omis d'indiquer que la série — un thriller — était en réalité une adaptation d'un roman de Douglas Fairbairn, publié en 1973. Shoot a d'ailleurs été traduit à l'époque (en 1974) sous le nom La Traque. La série, tournée en France en 2024, reprend visiblement la structure du roman, avec un groupe d'amis qui part chasser et se fait attaquer par un autre groupe de chasseurs. Lors de cette attaque, une des personnes est blessée, mais le groupe décide de ne rien dire et reprend sa vie. Ensuite, dans la série comme dans le livre selon Clément Garin, ils se sentent traqués et observés. Le roman a par ailleurs été porté à l'écran en 1976.
Traqués. Image Apple.
Le spécialiste des médias indique que les acteurs n'ont pas le droit de parler de la série, et qu'Apple et Gaumont (qui a produit la série, et qui a visiblement aussi tenté de supprimer toutes traces de cette dernière) envisagent une action en justice contre le réalisateur.
Si les distributions GNU/Linux sont très courantes sur les cartes de développement, comme les Raspberry Pi et tous les produits du même type, les ordinateurs portables et de bureau, eux, résistent. Dans le monde Apple, Asahi Linux est un projet intéressant, mais qui reste singulièrement limité : il ne fonctionne pas sur les puces M3 à M5, par exemple. Et dans les PC, c'est visiblement un peu la même chose : si les puces Snapdragon X de Qualcomm fonctionnent bien avec Windows, ce n'est visiblement pas trop le cas avec les distributions GNU/Linux.
Le prototype de Tuxedo Computers, abandonné. Image Tuxedo.
La société Tuxedo Computers, qui avait annoncé un PC portable équipé d'un système sur puce Snapdragon X Elite en juin 2024, a abandonné ses travaux. Un prototype équipé de la version Elite du système sur puce (douze cœurs), de 32 Go de RAM et d'un écran de 14 pouces avait été montré, mais il n'a visiblement pas convaincu.
Dans un communiqué, la société explique que malgré les efforts des développeurs, l'autonomie sous GNU/Linux est significativement plus faible que sous Windows. De plus, la gestion du firmware empêche les mises à jour simple, ainsi que le contrôle du ventilateur. Ils indiquent aussi que la virtualisation est compliquée sur la puce, et que les débits en USB4 sont moins élevés qu'attendu. Enfin, l'accélération vidéo passe visiblement par des API qui limitent la compatibilité dans de nombreux cas.
Ils expliquent donc que le PC en question serait arrivé trop tard — les puces Snapdragon X2 ont été annoncées et devraient arriver début 2026 — et avec trop de contraintes.
Ils concluent tout de même en expliquant que la puce Snapdragon X2 Elite est en cours d'évaluation et que si les résultats sont bons sous GNU/Linux, il devrait être possible de réutiliser une partie du travail effectué sur la première génération. Mais le constat reste assez amer tout de même, et Qualcomm n'aide visiblement pas plus le monde du libre qu'Apple.
Si les distributions GNU/Linux sont très courantes sur les cartes de développement, comme les Raspberry Pi et tous les produits du même type, les ordinateurs portables et de bureau, eux, résistent. Dans le monde Apple, Asahi Linux est un projet intéressant, mais qui reste singulièrement limité : il ne fonctionne pas sur les puces M3 à M5, par exemple. Et dans les PC, c'est visiblement un peu la même chose : si les puces Snapdragon X de Qualcomm fonctionnent bien avec Windows, ce n'est visiblement pas trop le cas avec les distributions GNU/Linux.
Le prototype de Tuxedo Computers, abandonné. Image Tuxedo.
La société Tuxedo Computers, qui avait annoncé un PC portable équipé d'un système sur puce Snapdragon X Elite en juin 2024, a abandonné ses travaux. Un prototype équipé de la version Elite du système sur puce (douze cœurs), de 32 Go de RAM et d'un écran de 14 pouces avait été montré, mais il n'a visiblement pas convaincu.
Dans un communiqué, la société explique que malgré les efforts des développeurs, l'autonomie sous GNU/Linux est significativement plus faible que sous Windows. De plus, la gestion du firmware empêche les mises à jour simple, ainsi que le contrôle du ventilateur. Ils indiquent aussi que la virtualisation est compliquée sur la puce, et que les débits en USB4 sont moins élevés qu'attendu. Enfin, l'accélération vidéo passe visiblement par des API qui limitent la compatibilité dans de nombreux cas.
Ils expliquent donc que le PC en question serait arrivé trop tard — les puces Snapdragon X2 ont été annoncées et devraient arriver début 2026 — et avec trop de contraintes.
Ils concluent tout de même en expliquant que la puce Snapdragon X2 Elite est en cours d'évaluation et que si les résultats sont bons sous GNU/Linux, il devrait être possible de réutiliser une partie du travail effectué sur la première génération. Mais le constat reste assez amer tout de même, et Qualcomm n'aide visiblement pas plus le monde du libre qu'Apple.
Pendant le vendredi noir, deux adaptateurs assez pratiques sont en promotion : ils permettent de connecter de vieilles enceintes grâce à AirPlay 2, la solution de diffusion sans fil d'Apple.
L'adaptateur Belkin.
Le premier est le Belkin SoundForm Connect, qui est en promotion à 60 € au lieu de 100 €. C'est un petit boîtier noir qui se relie en Wi-Fi à votre réseau (2,4 GHz ou 5 GHz). Il propose une compatibilité AirPlay 2 et deux sorties audio, à relier à l'entrée de vos enceintes ou de vos équipements. Il s'agit d'une sortie jack 3,5 mm analogique classique et d'une sortie numérique optique S/PDIF, en Toslink. Le boîtier s'alimente en USB-C, même s'il est livré avec un adaptateur secteur USB-A.
L'adaptateur Eve.
Le second est l'Eve Play, en promotion à 120 € au lieu de 150 €. Son prix peut se justifier par la connectique un peu plus complète. Il est Wi-Fi (dans la bande des 2,4 GHz et 5 GHz) mais intègre aussi une prise Ethernet, pour plus de stabilité. Pour les sorties, il propose des sorties analogiques en RCA (deux prises coaxiales séparées) et une double sortie numérique S/PDIF. La première est en optique avec une prise Toslink, la seconde en coaxiale.
N'oubliez pas l'AirPort Express
Si vous avez un vieux boîtier AirPort Express dans un tiroir — le modèle dont le format est celui de l'Apple TV —, n'oubliez pas qu'Apple avait mis à jour le boîtier pour amener AirPlay 2. L'appareil propose de l'Ethernet et du Wi-Fi dans la bande des 2,4 et 5 GHz, et une sortie jack 3,5 mm. Elle est analogique mais aussi numérique (optique) en Mini Toslink.
Pendant le vendredi noir, deux adaptateurs assez pratiques sont en promotion : ils permettent de connecter de vieilles enceintes grâce à AirPlay 2, la solution de diffusion sans fil d'Apple.
L'adaptateur Belkin.
Le premier est le Belkin SoundForm Connect, qui est en promotion à 60 € au lieu de 100 €. C'est un petit boîtier noir qui se relie en Wi-Fi à votre réseau (2,4 GHz ou 5 GHz). Il propose une compatibilité AirPlay 2 et deux sorties audio, à relier à l'entrée de vos enceintes ou de vos équipements. Il s'agit d'une sortie jack 3,5 mm analogique classique et d'une sortie numérique optique S/PDIF, en Toslink. Le boîtier s'alimente en USB-C, même s'il est livré avec un adaptateur secteur USB-A.
L'adaptateur Eve.
Le second est l'Eve Play, en promotion à 120 € au lieu de 150 €. Son prix peut se justifier par la connectique un peu plus complète. Il est Wi-Fi (dans la bande des 2,4 GHz et 5 GHz) mais intègre aussi une prise Ethernet, pour plus de stabilité. Pour les sorties, il propose des sorties analogiques en RCA (deux prises coaxiales séparées) et une double sortie numérique S/PDIF. La première est en optique avec une prise Toslink, la seconde en coaxiale.
N'oubliez pas l'AirPort Express
Si vous avez un vieux boîtier AirPort Express dans un tiroir — le modèle dont le format est celui de l'Apple TV —, n'oubliez pas qu'Apple avait mis à jour le boîtier pour amener AirPlay 2. L'appareil propose de l'Ethernet et du Wi-Fi dans la bande des 2,4 et 5 GHz, et une sortie jack 3,5 mm. Elle est analogique mais aussi numérique (optique) en Mini Toslink.
Dans un communiqué laudatif d'Apple sur la technologie d'Apple mise en place pour la fabrication des Apple Watch, on apprenait que le module qui contient la prise USB-C de l'iPhone Air est imprimé en 3D. iFixit en a profité pour se pencher sur le sujet. Ou plus exactement, pour publier sur le sujet, car le communiqué d'Apple a confirmé leur analyse.
La pièce, au centre. Image iFixit.
Dans l'article, iFixit explique donc que la prise USB-C (au sens large, le module de connexion) est imprimée en 3D, à partir de poudre de titane et avec un procédé additif : la pièce se compose de différentes couches de titane. Ils rappellent ce qu'Apple indique par ailleurs : cette solution réduit les déchets par rapport à la technique classique, qui consiste à forger le métal. C'est donc intéressant d'un point de vue économique et écologique.
Le titane, zoomé. Image iFixit.
Une vue au microscope de la pièce montre une structure assez étonnante, qui ressemble aux maillons d'une chaîne. Nos confrères indiquent que c'est le résultat de l'usage de plusieurs lasers par Apple, et que la technique a notamment été employée pour ajouter des propriétés antibactériennes au titane dans des prothèses. Ce n'est pas le cas ici (ni a priori sur les Apple Watch) : les maillons de 30 µm sont trop gros.
Le cas du titane d'Apple
Apple parle de titane de qualité aérospatiale sur son site, mais ce n'est pas une spécification réellement employée dans l'industrie. L'alliage employé par Apple est selon eux du Ti-6Al-4V qui n'est habituellement pas employé dans le domaine spatial. Un expert indique que sa composition suggère qu'Apple récupère les déchets de sa propre production et ajoute du ferrochrome pour produire l'alliage employé pour l'impression 3D, qui est donc 100 % recyclé.
Les avantages selon Apple. Image Apple.
Nos confrères, spécialisés dans le domaine de la réparation, pointent une chose : Apple met en avant l'impression 3D, mais ce n'est pas celle à laquelle vous pensez. La solution d'Apple n'est pas là pour permettre à une personne d'imprimer ses pièces en 3D, Apple ne fournit pas les plans et la technologie est totalement différente de ce qu'une personne peut avoir chez elle. C'est une prouesse technique intéressante, mais elle ne change rien à la réparabilité des iPhone.
Dans un communiqué laudatif d'Apple sur la technologie d'Apple mise en place pour la fabrication des Apple Watch, on apprenait que le module qui contient la prise USB-C de l'iPhone Air est imprimé en 3D. iFixit en a profité pour se pencher sur le sujet. Ou plus exactement, pour publier sur le sujet, car le communiqué d'Apple a confirmé leur analyse.
La pièce, au centre. Image iFixit.
Dans l'article, iFixit explique donc que la prise USB-C (au sens large, le module de connexion) est imprimée en 3D, à partir de poudre de titane et avec un procédé additif : la pièce se compose de différentes couches de titane. Ils rappellent ce qu'Apple indique par ailleurs : cette solution réduit les déchets par rapport à la technique classique, qui consiste à forger le métal. C'est donc intéressant d'un point de vue économique et écologique.
Le titane, zoomé. Image iFixit.
Une vue au microscope de la pièce montre une structure assez étonnante, qui ressemble aux maillons d'une chaîne. Nos confrères indiquent que c'est le résultat de l'usage de plusieurs lasers par Apple, et que la technique a notamment été employée pour ajouter des propriétés antibactériennes au titane dans des prothèses. Ce n'est pas le cas ici (ni a priori sur les Apple Watch) : les maillons de 30 µm sont trop gros.
Le cas du titane d'Apple
Apple parle de titane de qualité aérospatiale sur son site, mais ce n'est pas une spécification réellement employée dans l'industrie. L'alliage employé par Apple est selon eux du Ti-6Al-4V qui n'est habituellement pas employé dans le domaine spatial. Un expert indique que sa composition suggère qu'Apple récupère les déchets de sa propre production et ajoute du ferrochrome pour produire l'alliage employé pour l'impression 3D, qui est donc 100 % recyclé.
Les avantages selon Apple. Image Apple.
Nos confrères, spécialisés dans le domaine de la réparation, pointent une chose : Apple met en avant l'impression 3D, mais ce n'est pas celle à laquelle vous pensez. La solution d'Apple n'est pas là pour permettre à une personne d'imprimer ses pièces en 3D, Apple ne fournit pas les plans et la technologie est totalement différente de ce qu'une personne peut avoir chez elle. C'est une prouesse technique intéressante, mais elle ne change rien à la réparabilité des iPhone.
Pour le Black Friday, quelques claviers pour iPad sont en promotion, et ils sont bien moins chers que les Magic Keyboard d'Apple. Le premier est le Combo Touch de Logitech, pour les iPad Air 13 pouces (M2 et M3). Compte tenu du format, il devrait aussi fonctionner sur les iPad Pro 13 pouces M1 ou M2. Il est à 191 € en promotion au lieu de 260 €. Ce clavier se rabat sur l'écran et intègre un trackpad, très pratique. La version pour les iPad M2 et M3 ainsi que les iPad Air précédents est à 160 € au lieu de 230 €.
Le Combo Touch.
Toujours chez Logitech, le Combo Touch pour les iPad de 10e et 11e génération (l'actuel) est à 118 € au lieu de 180 €. Pour les iPad plus anciens (de la 7e à la 9e génération), il existe aussi un Combo Touch. Il n'est pas en promotion stricto sensu, mais Amazon le vend 140 €, contre 180 € en prix public. Pour les iPad 10 et 11, le Logitech Slim Folio — sans trackpad — est en promotion à 74 € au lieu de 120 €. Il suffit soit d'utiliser l'écran tactile, soit de connecter une souris Bluetooth.
On peut aussi noter que le Magic Keyboard pour les iPad Air 11 pouces et les iPad Pro 11 pouces (avant les M4) est en promotion. Mais même dans ce cas, le prix reste élevé : 287 € au lieu de 350 €.
Pour le Black Friday, quelques claviers pour iPad sont en promotion, et ils sont bien moins chers que les Magic Keyboard d'Apple. Le premier est le Combo Touch de Logitech, pour les iPad Air 13 pouces (M2 et M3). Compte tenu du format, il devrait aussi fonctionner sur les iPad Pro 13 pouces M1 ou M2. Il est à 191 € en promotion au lieu de 260 €. Ce clavier se rabat sur l'écran et intègre un trackpad, très pratique. La version pour les iPad M2 et M3 ainsi que les iPad Air précédents est à 160 € au lieu de 230 €.
Le Combo Touch.
Toujours chez Logitech, le Combo Touch pour les iPad de 10e et 11e génération (l'actuel) est à 118 € au lieu de 180 €. Pour les iPad plus anciens (de la 7e à la 9e génération), il existe aussi un Combo Touch. Il n'est pas en promotion stricto sensu, mais Amazon le vend 140 €, contre 180 € en prix public. Pour les iPad 10 et 11, le Logitech Slim Folio — sans trackpad — est en promotion à 74 € au lieu de 120 €. Il suffit soit d'utiliser l'écran tactile, soit de connecter une souris Bluetooth.
On peut aussi noter que le Magic Keyboard pour les iPad Air 11 pouces et les iPad Pro 11 pouces (avant les M4) est en promotion. Mais même dans ce cas, le prix reste élevé : 287 € au lieu de 350 €.
Le codec HEVC (H.265) fait encore parler de lui : après Synology qui a décidé de ne plus payer la licence pour certains NAS, c'est au tour de HP et Dell de s'en passer sur certains de leurs PC portables. Par défaut, le codec est désactivé, tout comme l'accélération matérielle, car les deux marques ne veulent plus payer la licence pour le codec de la famille MPEG.
Pas de HEVC pour Dell et HP.
Le codec HEVC est géré par l'association MPEG LA et les fabricants de matériels doivent payer une licence pour décoder les vidéos dans ce format. En 2025, il est malheureusement largement employé, notamment par les services de streaming, et si vous n’avez pas le nécessaire sur votre ordinateur, vous pouvez donc vous retrouver avec une page blanche (enfin, une image noire).
La pratique habituelle (c'est celle d'Apple) est de payer la licence et de préinstaller les fichiers nécessaires. Si vous avez un PC de grande marque que vous avez réinstallé, il est en général possible de (ré)installer la version spécifique du codec sur le Microsoft Store, mais ce n'est pas le cas avec les PC Dell et HP récents, donc. Si vous avez monté votre PC ou si le fabricant n'a pas payé la licence, il faut soit payer le codec — il vaut 1 € — soit passer par un logiciel qui intègre un décodeur HEVC, comme VLC. Mais dans ce cas, vous n'aurez pas accès aux vidéos encodées en HEVC dans un navigateur.
Comme l'explique Ars Technica, ce n'est pas une erreur mais bien un choix de la part de Dell et HP. Les deux fabricants se passent du codec sur une partie de leurs PC portables pour éviter de payer la licence, comme Synology. Selon nos confrères, elle est de 0,24 $ par appareil au-delà de 100 000 ventes. D'un côté, il semble un peu ridicule de brider les utilisateurs pour 0,24 $ sur des ordinateurs à plusieurs centaines de dollars, mais de l'autre Dell et HP vendent des millions de PC chaque trimestre (environ 10 millions pour le premier et à peu près 15 millions pour le second) et donc le coût de la licence commence à être bien visible dans les comptes des entreprises.
Dans la pratique, les deux sociétés laissent surtout les utilisateurs régler la note à leur place. Et ce problème montre que la voie choisie par l'AV1, qui est un codec open source qui ne nécessite aucune licence, est probablement la bonne. Elle évite aux utilisateurs de se retrouver le bec dans l’eau parce qu'un fabricant a décidé de faire des économies de bouts de chandelle.
Si vous passiez au tapis de bureau grâce au Black Friday ? Depuis quelques années, le tapis de souris ne se trouve plus uniquement sous la souris, mais aussi sous le clavier. Les tapis modernes, en tissus, sont bien adaptés aux modèles optiques et servent aussi de surface antidérapante pour les claviers. Il y a de nombreux modèles en promotion, pour tous les goûts.
Dans un registre un peu différent, le Satechi XXL ne mesure « que » 68 x 32 cm, mais propose un rendu un peu plus luxueux. Il existe en bleu, marron et noir pour 34 €.
Le Satechi, plus luxueux.
Et si vous aimez les loupiottes RGB, le Goliathus Extended Chroma de Razer est en promo à 42 € en rose. Il a besoin d'un câble pour ses LED et mesure 92 x 30 cm. Il existe aussi en gris et aux couleurs de Fortnite au même prix, et est à 47 € en noir (au lieu de 75 €).
Il y a de nombreuses manettes en promotion pour le Black Friday — la DualSense est d'ailleurs à 55 € en promotion — et si vous en avez une sur un Mac, vous avez peut-être pesté sur un point, surtout depuis macOS Tahoe : une pression sur le bouton PlayStation ou le bouton Xbox (ou l'équivalent chez d'autres fabricants) lance l'app Jeux apparue avec macOS 26 (sur les anciens systèmes, c'est le LaunchPad qui est lancé). Apple ne propose pas d'option dans l'interface pour désactiver ce comportement, mais il y a une solution en ligne de commande.
Le bouton PlayStation lance l'app Jeux. C'est énervant.
Il faut lancer le terminal de macOS (dans Applications > Utilitaires) et taper la ligne suivante. Ensuite, il faut fermer la session et la rouvrir (ou redémarrer)
Pendant le vendredi noir, les constructeurs de casques audio proposent souvent de (très) belles promotions. Commençons par le très bien noté Soundcore Space One Pro de chez Anker. Ce casque Bluetooth à réduction de bruit est en promotion à seulement 130 € (au lieu de 200 €) et certains comparatifs le mettent même au niveau des AirPods max d'Apple. Il existe en noir ou en blanc. Dans la même marque, le Soundcore Space One est à 70 € au lieu de 100 € et existe en quatre couleurs. C'est un modèle d'entrée de gamme mais qui garde la réduction de bruit, qui est peu courante à ce prix.
Image Anker.
Beats, la filiale d'Apple, propose de très belles réductions sur deux casques. Premièrement, le Studio Pro est à 190 € au lieu de 400 € à sa sortie. C'est un casque d'excellente qualité, bien intégré dans l'écosystème Apple (sans casser la compatibilité avec Android) et nous l'avons apprécié lors de notre test. Il existe en plusieurs couleurs. Le second est le Solo 4, qui est en promotion à seulement 113 € au lieu de 230 €. À ce prix, les reproches de notre test — comme l'absence de réduction active du bruit — sont caducs et c'est un bon produit en dehors de cette absence.
Si vous aimez Sony pour l'aura de la marque japonaise, le WH-1000XM5 est en promotion à 280 € (il a été lancé à 420 €). Il s'agit d'un bon modèle, qui a été bien noté et qui offre une bonne intégration sous iOS ou Android. Il est disponible en quatre couleurs différentes. La promotion sur le WH-1000XM6 est plus faible, il est à 400 € au lieu de 450 €. Ce n'est pas énorme, mais le casque de Sony offre une excellente réduction de bruit.
Image Sony.
Pour les amateurs de la marque Bose, deux modèles ont retenu notre attention. Le premier est le QuietComfort SC. Ce modèle Bluetooth à réduction de bruit (encore) est à 190 € au lieu de 290 €. Une belle réduction sur un modèle solide et apprécié. Si vous avez un budget plus large, le QuietComfort Ultra est à 300 € au loieu de 500 € en prix public. C'est un modèle avec une réduction de bruit très performante.
Image Bose.
Trois autres marques connues proposent aussi de belles promotions. D'abord, le Bowers & Wilkins Px7 S2e : lancé à 430 €, il est à seulement 220 € en promotion. Comme les autres, c'est un modèle haut de gamme, Bluetooth et doté d'une réduction de bruit efficace. Le premier casque de Sonos, que nous avons apprécié dans notre test, est à 300 € en noir au lieu de 500 € au lancement. La version blanche du Sonos Ace est à 310 €. Enfin, le Sennheiser Momentum 4 Wireless Special Edition est à seulement 185 €, au lieu de 400 €. Et comme les autres, il combine du Bluetooth et une réduction de bruit active efficace.