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Alors que les assistants de code dopés à l'IA s'imposent comme des outils incontournables, une recherche met en lumière leur talon d'Achille : une classe inédite de vulnérabilités exploitant les fondations mêmes sur lesquelles ils reposent, exposant des millions de développeurs à des risques critiques.

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Un certain désenchantement. Un an après le rapport Draghi qui préconisait la mise en place urgente d’un ensemble de mesures à même de redonner de la compétitivité à l’Europe, les patrons européens estiment que le compte n’y est pas, selon le sondage bi-annuel de la Table ronde des industriels européens, un lobby regroupant une soixantaine de PDG de grandes entreprises européennes, fondé en 1983. Le climat est morose, mais légèrement moins qu’il y a quelques mois : l’indice de confiance des PDG envers l’Europe est remonté à 44 %, après être descendu à 27 % au printemps. Il demeure toutefois sous la barre des 50 % pour la troisième fois de suite, ce qui n’était jamais arrivé depuis la mise en place du sondage, en 2017.
L’un des principaux enseignements du sondage tient surtout au décrochage du Vieux Continent, qui perd du terrain sur le plan de l’attractivité au profit des Etats-Unis. Le chiffre est édifiant : seuls 8 % des PDG interrogés ont prévu d’augmenter leurs investissements en Europe par rapport à ce qu’ils projetaient six mois en arrière. 24 % pensent au contraire les baisser, et 45 % les augmenter aux Etats-Unis.
Voilà un an de cela, le rapport Draghi avait suscité une adhésion massive des PDG européens, qui assuraient pour 80 % d’entre eux que si ses recommandations devenaient réalité, ils investiraient davantage en Europe qu’ailleurs. Aujourd’hui, 76 % d’entre eux jugent que celles-ci sont restées lettres mortes, notamment dans les domaines clés que sont la simplification réglementaire, la réforme des politiques de concurrence et le coût de l’énergie. La simplification des normes recueille la quasi-totalité de leurs suffrages (90 % y sont favorables), tandis qu’une majorité juge essentiel de protéger les industries stratégiques et de revoir la législation afin d’accélérer l’adoption de l’IA et des technologies de pointe.
"Les résultats de cette dernière enquête mettent en évidence les problèmes souvent reprochés à Bruxelles : un manque de rapidité et d’attention à l’intérêt collectif européen", estime Anthony Gooch Gálvez, le secrétaire général de la Table ronde des industriels européens. […] compte tenu de la situation géopolitique et économique actuelle, l’Europe n’a pas de temps à perdre pour restaurer sa compétitivité et sa prospérité. […]. Aucun pays de l’Union européenne ne peut à lui seul faire face au climat géopolitique et économique actuel. Et le modèle européen ne pourra être maintenu que si, en tant que communauté, nous renouons avec la croissance économique."
Les institutions de l’UE, à cet égard, sont jugées sévèrement par les sondés, et notamment la Commission, qui déçoit 60 % d’entre eux. Mais les instances étatiques sont bien loin de les consoler, 74 % d’entre eux les estimant également en deça de leurs attentes. A cet égard, la situation de la France, qui tente depuis des mois d’adopter un budget sur fond d’instabilité gouvernementale, ne doit guère les rassurer.

© Justin Metz






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Un premier test FurMark de l’iGPU Arc B370 intégré au Core Ultra 5 338H Panther Lake vient d’être repéré dans la base de résultats Geeks3D. Ce score isolé, obtenu sur une plateforme Windows 11 préliminaire avec des pilotes encore en développement, offre un premier aperçu concret de la nouvelle architecture Xe3 d’Intel. Et les résultats bousculent déjà les repères établis sur le marché des iGPU.
Le benchmark provient d’un stress test FurMark OpenGL 3.2 exécuté en 2560×1440 pendant soixante secondes. La machine utilisée repose sur un Core Ultra 5 338H, une configuration Panther Lake 12 cœurs (4P + 4E + 4 LP) dont les fréquences ne semblent pas figées. Le GPU Arc B370 a maintenu une fréquence maximale proche de 2,3 GHz, avec une consommation plafonnant à 36 W. Le pilote identifié (32.0.101.8188) confirme qu’il s’agit d’une version interne non finalisée, réservée aux équipes d’ingénierie et aux testeurs partenaires.
Le score obtenu surprend par son ampleur. En 1440p, l’Arc B370 atteint 2383 points pour 39 FPS, un niveau habituellement hors de portée des iGPU actuels dans une résolution aussi élevée. La puce exploite dix cœurs Xe3 et une fréquence stable sur toute la durée du test, signe d’une architecture plus robuste que les générations précédentes dans les charges shader continues.

Ce premier résultat, bien que préliminaire, montre déjà que Xe3 corrige plusieurs faiblesses de Xe2, notamment en matière de scaling et de stabilité thermale. Les progrès sont palpables malgré l’absence d’optimisation driver poussée.
La comparaison avec les APU AMD actuels apporte un éclairage intéressant. Sous le même benchmark OpenGL, la Radeon 890M se situe entre 1886 et 2000 points en 1080p, malgré une enveloppe énergétique pouvant grimper à près de 58 W. Le B370 dépasse ces scores tout en travaillant dans une résolution supérieure de 78 % et avec une consommation GPU nettement inférieure.

Même les résultats Vulkan observés sur la Radeon 880M, pourtant mieux accordée à ce type d’API, n’inversent pas la tendance. Dans cette configuration, l’880M atteint environ 1550 points en 1080p. Ici encore, l’iGPU Panther Lake conserve une marge significative.

Ces mesures ne reflètent pas l’ensemble des usages et ne préjugent pas des performances en jeux DirectX 12 ou Vulkan. Elles indiquent en revanche qu’Intel a franchi un cap majeur en OpenGL, un domaine où les iGPU AMD s’appuient sur des pilotes historiquement moins affinés sur Windows.
Au-delà des chiffres bruts, l’Arc B370 se distingue par son comportement énergétique. Avec un plafond à 36 W pour la partie graphique seule, il reste dans une enveloppe compatible avec des châssis fins, sans contrainte thermique excessive. À l’inverse, les APU AMD mobilisent une consommation unifiée CPU+GPU généralement plus élevée pour atteindre leurs meilleures performances.
| iGPU | API | Score | Résolution | FPS | Consommation |
|---|---|---|---|---|---|
| Intel Arc B370 | OpenGL | 2383 | 2560×1440 | 39 | 36W |
| AMD Radeon 880M | Vulkan | 1552 | 1920×1080 | 26 | 27W |
| AMD Radeon 890M | OpenGL | 2000 | 1920×1080 | 33 | 58W |
Cette efficacité ouvre la voie à des machines plus silencieuses, plus froides et capables de conserver des fréquences stables sur de longues charges. Pour les fabricants de laptops gaming ultracompacts ou de consoles portables Windows, c’est un argument déterminant.
Ce benchmark marque l’arrivée effective de l’architecture Xe3 dans une configuration mobile. Intel conserve la désignation B-Series pour des raisons de cohérence industrielle, mais la micro-architecture est bien nouvelle. Avec dix cœurs Xe3 dans sa version B370, Panther Lake occupe le milieu de gamme graphique. Les modèles supérieurs grimperont à douze cœurs Xe3 selon les références attendues.

Les pilotes encore jeunes laissent entrevoir une progression supplémentaire d’ici la commercialisation. L’expérience Arc A770 a démontré que les optimisations successives pouvaient améliorer de 20 à 30 % les performances dans certains workloads. Rien n’exclut une évolution similaire pour Xe3 dans les mois précédant le lancement.
Depuis deux ans, AMD dominait largement le segment des iGPU performants grâce aux Radeon 780M, 880M et 890M. Les XBOX ROG Ally, Legion Go 2 et autres consoles Windows s’appuyaient presque exclusivement sur ces architectures. L’Arc B370 remet aujourd’hui cette dynamique en question. Si ses performances se confirment en pratique, l’offre des consoles portables gaming pourrait se rééquilibrer dès 2026.
Lire aussi : Onexplayer X1 : première console avec Core Ultra 5 338H Panther Lake en fuite
Le prochain rendez-vous d’AMD sur le segment mobile ne sera finalement pas RDNA 4, mais Gorgon Point, un raffinement de Strix Point prévu pour 2026. Cette génération conservera les cœurs Zen 5 et l’iGPU Radeon 890M sous architecture RDNA 3.5, avec un gain CPU modéré et un NPU XDNA 2 renforcé. En l’état, aucune évolution graphique majeure n’est annoncée avant RDNA 4, ce qui laisse à Intel une fenêtre favorable pour imposer Xe3 dans les machines ultraportables.
MSI a déjà montré les premiers laptops Panther Lake en démonstration privée, confirmant que la plateforme Core Ultra 300 entre dans sa phase finale avant lancement. Plusieurs prototypes Prestige 13, 14 et 16 pouces ont été présentés début décembre à New York, avec des configurations fonctionnelles basées sur les iGPU Arc B-Series. Les tests publics restent sous embargo jusqu’au CES, mais les premières impressions indiquent une nette progression en efficacité et en performances graphiques.
Dans ce contexte, l’arrivée commerciale des machines Panther Lake ne relève plus de la projection. Les premiers modèles devraient être officialisés au CES 2026, puis mis en vente rapidement dans le courant du premier trimestre. Le B370 n’est donc plus un concept technique mais un composant déjà intégré dans des plateformes de présérie, en voie de validation finale.
Ce premier stress test FurMark deu GPU ARC B370 intervient au moment où les constructeurs finalisent leurs machines Panther Lake. Le comportement observé, entre stabilité thermique, efficacité énergétique et montée en puissance de Xe3, laisse entrevoir un changement concret pour les ultraportables en 2026. Si un modèle intermédiaire comme le B370 atteint déjà ce niveau avec des pilotes provisoires, les déclinaisons plus complètes d’Intel, notamment l’Arc B380 destiné aux consoles portables, pourraient s’avérer particulièrement compétitives.

Le B380 est conçu autour de douze cœurs Xe3 dans une configuration optimisée pour le gaming mobile, avec un CPU allégé afin de maintenir un coût raisonnable et une enveloppe thermique adaptée aux châssis compacts. Si la base technologique observée sur le B370 se confirme dans un environnement orienté jeu, cette variante pourrait devenir la première véritable alternative aux Ryzen Z2 d’AMD dans les machines portables hybrides attendues pour fin 2025 et 2026.
L’enchaînement des signaux est clair : machines MSI déjà visibles, performances préliminaires convaincantes, gamme B-Series élargie. Panther Lake marque la nouvelle offensive d’Intel sur le segment mobile, cette fois avec une plateforme CPU-GPU cohérente. Reste à mesurer les performances finales en jeu réel, mais Xe3 semble déjà en mesure de redistribuer les cartes dans l’univers des ultraportables et des consoles PC.

© SAJJAD HUSSAIN/AFP

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Avoir ses règles dans l'espace est un problème plus ou moins pris en considération depuis les débuts de la conquête spatiale. Une expérience menée par une équipe de chercheuses américaines implique l'utilisation d'une coupe menstruelle, une solution prometteuse, mais encore imparfaite.

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