Ghislaine Maxwell Says She Will Ask a Court to Free Her From Prison

© Joe Schildhorn/Patrick McMullan, via Getty Images

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Starry cast, including Felicity Jones and Chloë Grace Moretz, can’t save misfiring cross between Home Alone and The Family Stone
If you’ve already over-indulged in Netflix’s brand of cheap and, overwhelmingly, cheerless Christmas movies this season, then Amazon has something a little meatier to add to your plate. Like Netflix, it also has more than enough tinnily made Hallmark ripoffs (step forward, Tyler Perry’s Finding Joy), but it’s also aiming a little higher with Oh. What. Fun. It’s a more robustly made attempt to recall something we used to see on the big rather than small screen with a cast to match, a starry cross between Home Alone and The Family Stone with an all-new soundtrack from some unusually upper-tier artists.
Given the low budget and even lower ambition of the genre, it’s easy to be blinded by the names attached. The film is directed by Michael Showalter, the trusted hand behind films like The Big Sick, Wet Hot American Summer and The Idea of You! It stars Michelle Pfeiffer, Felicity Jones, Jason Schwartzman, Danielle Brooks and Chloë Grace Moretz! There are new songs from Fleet Foxes, Gwen Stefani and Sharon Van Etten, among others! Enough experience might have shown us that even the most talented people do not tend to make the greatest films, but there’s something about the sheer effort being poured into this one that feels notable as others have seemingly given up trying. Could actual fun be on the Christmas cards?
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© Photograph: Amazon Content Services LLC/PA

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Préparez vos torches, aiguisez vos silex et attachez solidement votre casque VR : Neolithic Dawn débarque en version complète sur Meta Quest la semaine prochaine ! Après des mois d’accès anticipé et de retours passionnés de la communauté, cette aventure préhistorique en réalité virtuelle s’apprête à révéler tout son potentiel. Entre survie hardcore, artisanat primitif ... Lire plus
L’article Neolithic Dawn : la sortie complète débarque la semaine prochaine sur Quest ! est apparu en premier sur RealiteVirtuelle.com.

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Enfilez votre casque et préparez-vous à frissonner : Ghost Town arrive enfin sur PlayStation VR2 ! Ce nouveau titre immersif plonge les joueurs dans une aventure surnaturelle en pleine ville fantôme, taillée pour les sensations fortes. Juste à temps pour les fêtes, c’est clairement le cadeau de Noël parfait pour tout fan de VR. Avec ... Lire plus
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La miniaturisation des trackers VR révolutionne l’expérience immersive avec FluxPose, qui propose un système compact et performant. Finies les lourdes stations de suivi, cette technologie se fixe directement sur soi pour un tracking sans occlusion. Grâce à sa solution électromagnétique innovante, FluxPose offre une précision remarquable et une autonomie prolongée. Cette avancée entrainera-t-elle un tournant ... Lire plus
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The Indian government issued a mandate that intends to force smartphone companies like Apple and Samsung to preinstall a state-run security app called ‘Sanchar Saathi’ on phones sold in the region. The companies have 90 days to comply.
But Reuters reports Apple intends to refuse the order and will not install the app on iPhones. The company will tell the Indian government that it does not comply with such orders in any market in which it participates, due to the associated security and privacy risks.
more…La réalité virtuelle est devenue incontournable dans le domaine des loisirs numériques. Avec une multitude de casques VR disponibles sur le marché, il est parfois difficile de choisir le bon modèle, notamment à un prix abordable. Les casques VR pas cher offrent une entrée dans cet univers immersif sans nécessiter un investissement majeur. Mais alors, ... Lire plus
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Icône incontournable du gaming, Lara Croft vient d’être consacrée par le Guinness World Records comme héroïne numéro un des ventes. Un titre qui s’inscrit dans un nouvel élan pour la saga, désormais accessible aussi en réalité virtuelle, offrant une immersion totale aux fans. Lara Croft, protagoniste emblématique de la saga Tomb Raider, vient de franchir ... Lire plus
L’article Lara Croft écrase la concurrence et entre au Guinness World Records des jeux vidéo ! est apparu en premier sur RealiteVirtuelle.com.
Pico s’apprête à bouleverser l’univers de la réalité mixte avec un casque XR ambitieux prévu pour 2026. Doté d’une technologie d’affichage microOLED ultra-dense et d’un processeur développé en interne, ce modèle promet de réduire la latence tout en améliorant la qualité visuelle. ByteDance, la société mère, opte pour une stratégie long terme, en misant sur ... Lire plus
L’article Pico veut détrôner l’Apple Vision Pro en 2026…et voici comment ! est apparu en premier sur RealiteVirtuelle.com.
Le compte à rebours est lancé pour Vonder, la nouvelle marque qui prépare son arrivée fracassante au CES 2026. Une fuite inattendue autour d’un dépôt FCC et une page de lancement anticipent une révolution dans les lunettes AR intégrant l’IA. Cette annonce modifie d’ores et déjà la dynamique du marché en forçant une réaction rapide ... Lire plus
L’article Vonder va lancer ses lunettes VR au CES 2026 : une leak qui change tout ? est apparu en premier sur RealiteVirtuelle.com.

EarFun nous surprend une fois de plus avec un produit au rapport qualité-prix imbattable ! Les Air Pro 4+ sont équipés du Bluetooth 6.0, de l'ANC et de doubles haut-parleurs pour moins de 100 euros. Mais à un prix pareil, ces écouteurs sont-ils vraiment bons ?
Der Beitrag Test des EarFun Air Pro 4+ : des écouteurs à moins de 100 euros avec ANC, deux transducteurs & plus erschien zuerst auf nextpit.
Il est le fils du Commandant Ahmed Chah Massoud, le héros de la résistance contre l’Armée rouge dans les années 80 et symbole de la lutte contre les talibans en Afghanistan, assassiné le 9 septembre 2001. Depuis la chute de Kaboul en août 2021, Ahmad Massoud a fondé le Front national de la résistance, regroupant militaires et personnalités politiques opposées au régime taliban. De passage en France, il était l’invité exceptionnel des Rencontres de l’Avenir, le 8 novembre dernier à Saint-Raphaël où il a livré sa vision de la lutte contre l’autoritarisme. Entretien.
L'Express : Après votre père, vous poursuivez aujourd’hui le combat pour un Afghanistan démocratique et affrontez le même ennemi que lui, il y a vingt-cinq ans. Votre pays n’a-t-il pas changé depuis ?
Ahmad Massoud : Si l’Afghanistan a beaucoup changé depuis le retour des talibans au pouvoir, la réponse n’est pas unilatérale. La tyrannie est la même mais il y a tout de même des différences. Je crois même que c’est encore plus dur que du temps de mon père. Les talibans reçoivent trop de soutien au niveau international.
Par ailleurs, il n’y avait pas à l’époque de sujet de lassitude vis-à-vis de la question afghane. Peut-être est-ce trop tard pour rattraper le coup. Dans tous les cas, ce qui n’a pas changé depuis un quart de siècle, et ce malgré notre isolement, c’est que la France reste à l’avant-garde de cette lutte pour nous soutenir et pour les droits de l’homme.
Pourquoi la communauté internationale semble-t-elle fermer les yeux sur la situation actuelle en Afghanistan ?
Le problème majeur est l’incompréhension de ce qui se passe à l’intérieur. Il y a plus de vingt ans, mon père est venu en France pour porter un message. Il a parlé du terrorisme qui menaçait la société mondiale. Malheureusement il n’a pas été entendu et il a été assassiné par ces mêmes terroristes. L’intervention alliée qui a suivi ne pouvait pas résoudre tout le problème.
L’Afghanistan est un pays multiculturel et multiethnique, les derniers modèles centralisés de gouvernance ont détourné le pays de son rôle de terre internationale à la croisée des chemins vers celui d’une impasse de la civilisation et de victime des jeux géopolitiques. Dans cette situation d’abandon, le peuple a perdu ses soutiens tandis que les talibans en ont gagné. C’est décourageant mais je garde espoir.
Dans le jeu géopolitique, diriez-vous que le monde occidental aujourd’hui est trop occupé ailleurs pour s’occuper des talibans ? Qu’attendez-vous réellement du monde occidental aujourd’hui ?
Certainement la situation n’est pas la même qu’il y a vingt ans. Les pays occidentaux, la communauté occidentale, ont d’autres priorités, et peut-être que ce n’est pas le bon moment pour nous. Mais nous ne savons pas combien de temps nous allons attendre notre tour. Nous devons continuer d’y croire, même si l’Afghanistan ne peut passer devant les priorités internationales. En revanche, il nous faut trouver une solution pour soutenir la démocratie. Autrement, une autre crise pourra s’installer dans cinq ou dix ans.
Cette moindre attention accordée à l’Afghanistan viendrait-elle du fait que votre pays ne fait plus peur à la communauté internationale ?
Ce n’est pas seulement la question de faire peur. Il s’agit aussi d’une volonté de partager ensemble des valeurs. Les talibans s’efforcent de présenter les choses autrement. Selon eux, 25 000 jeunes djihadistes ont été formés en Afghanistan depuis quatre ans dans le but de tuer. Imaginez la situation dans cinq ou dix ans. C’est pourquoi je considère que la lutte doit être menée maintenant. Nous sommes déjà des victimes de cette situation, c’est pour ça que je suis là pour appeler à une mobilisation commune.
Vous dites refuser une intervention militaire en Afghanistan, mais votre propre groupe de résistance est lui-même armé…
Mon père disait déjà il y a vingt-cinq ans que nous sommes capables de lutter nous-mêmes pour notre liberté. Ce que nous demandons, c’est un soutien politique autour des valeurs internationales, de la démocratie et des droits de l’homme. Nous avons essayé de parler avec les talibans, d’établir un dialogue mais en vain.
Il appartient désormais aux Afghans de se réunir pour construire un avenir commun. Ce que vous pouvez faire, c’est prendre des décisions politiques, et de notre côté, nous nous battrons quoi qu’il arrive.
Comment arrivez-vous à perpétuer l’héritage de votre père ?
Mon père n’a jamais lutté juste pour lutter, il avait toujours une raison mener son combat : la liberté contre la tyrannie. Il s’est battu contre les Soviétiques puis contre les talibans, pour faire triompher la liberté. Il a été le premier personnage politique à signer un texte sur les droits de la femme, et plus généralement il militait pour donner aux gens le droit de décider de leur avenir. Aujourd’hui, avec le Front national de résistance, nous partageons cette même vision. Pas seulement les armes, mais aussi l’idée d’un Afghanistan démocratique et multiculturel.
Ce régime en place à Kaboul transforme votre pays en prison, efface le rôle des femmes que ça soit à l’école, dans les universités ou dans les espaces publics. Selon vous, quelles seraient les trois mesures d’urgence à prendre pour lutter contre cet enfermement ?
D’abord soutenir les femmes en leur donnant accès à l’éducation. Je suis pour la fermeture des écoles pour les femmes telles qu’elles existent aujourd’hui : je ne veux pas qu’elles soient éduquées à l’école des talibans. Depuis vingt ans, l’Afghanistan a créé une structure de réseau Internet partout dans le pays. Nous pourrions lancer des cours, des écoles, des universités en ligne. Ça serait un énorme pas et une aide essentielle pour donner aux femmes des opportunités d’avenir.
Deuxième mesure, il faut que les femmes se rassemblent, qu’elles puissent avoir une vraie voix, pas seulement la mienne. Qu’il y ait une femme à mes côtés pour en parler parce qu’elles sont les victimes, elles ont été négligées et oubliées depuis trop longtemps.
Enfin, je prône des mesures de responsabilité. Les talibans ont supprimé de façon systématique les droits des femmes. Or ils voyagent partout sans être inquiétés. Nous devons lancer un mécanisme de responsabilité pour les talibans et reconnaître que les femmes subissent un apartheid de genre, une ségrégation profonde. Les témoignages sont clairs : il faut que tout le monde reconnaisse juridiquement ce qu’elles subissent. Et les responsables doivent être livrés à la justice.
Pensez-vous que l’on puisse utiliser cette notion d’apartheid de genre sur le plan juridique et diplomatique ?
Bien sûr ! Il existe déjà des sanctions que la Cour pénale internationale peut mettre en place. Mais le nombre de crimes commis par les talibans est incomparable. J’ai la conviction que pour soutenir la démocratie et l’opposition en général, l’apartheid de genre doit être reconnu.
N’oublions pas que les talibans, depuis quatre ans, n’ont aucun projet pour le pays. Ils publient des rapports expliquant qu’ils ont résolu "58 cas de droits des femmes et retenu neuf sorcières". Ce sont des arriérés, c’en est presque risible… Et pourtant, ils semblent en être très fiers. Condamner les responsables est une priorité.
Le 3 juillet dernier, la Russie a officiellement reconnu le gouvernement taliban. Quelle est votre réponse à Moscou ?
Ce pas politique de la Russie était décevant. Ça ne change pas beaucoup de choses, mais nous considérons cela comme une faute. Ce n’est pas la reconnaissance internationale qui rend le gouvernement légitime. Il doit avoir l’accord du peuple et évoluer en fonction de lui.
Du temps de la République [NDLR : la République islamique d’Afghanistan, 2004-2021], notre pays touchait 3 milliards de dollars à travers les dons internationaux. Pour ça, l’Afghanistan avait des comptes à rendre auprès des comités internationaux. Maintenant, les talibans reçoivent presque le même montant mais n’ont aucune obligation. Par conséquent, ils financent des groupes terroristes. Si un pays essaie de reconnaître l’Etat qui se comporte de cette manière, bravo, mais le peuple local, lui, n’y consent pas.
Vous avez expliqué que le poème Quand je mourrai, de Rumi [NDLR : poète et théologien persan, 1207-1273], vous avait beaucoup aidé à surmonter vos épreuves personnelles ainsi que celles de votre pays. Pourquoi ?
Ce poème me rappelle une expérience personnelle profonde. Nous sommes aujourd’hui face à un danger important. Bien sûr que c’est une fierté de représenter mes valeurs et le peuple le plus fabuleux du monde, mais mes années sont comptées, la vie va ainsi. Rumi était un poète philosophe. Son poème dit : quand je meurs, ne me pleure pas, ne sois pas désolé. Pense plutôt à ce que j’ai fait. Quand tu m’enterreras, ne pense pas que je suis parti à jamais. Quelle graine plantée n’a pas poussé ? Ne doute pas de la graine de l’humanité. Quand j’y réfléchis, je ferme les yeux, j’attends et j’anticipe la beauté du futur. Pour moi, c’était l’explication du futur et ça me motive tout le temps. C’est important de savoir comment on vit et comment on meurt.
Est-ce que vous pensez pouvoir revenir dans votre pays ?
Je me le dis chaque jour et je pense que c’est pareil pour chaque Afghan. Nous vivons tous avec l’espoir d’un avenir meilleur. Il n’y a rien de plus important : le pays avant tout, avant ma famille, avant mes enfants, avant ma vie.
Nous avons tous la volonté de construire un pays différent, libre, en prospérité. Que les filles puissent aller à l’école et que les garçons puissent être heureux.

© afp.com/JOEL SAGET
AlternC est un projet collaboratif dont l’élément de base constitue un logiciel libre de gestion d’hébergements mutualisés pour Debian.
Ce projet (sous GPLv2+) se veut facile à installer et à utiliser, s’appuyant uniquement sur des logiciels libres.
Il contient un système d’installation et de configuration automatique, ainsi qu’un panneau de contrôle accessible par le web, pour la gestion des utilisateurs et des services orientés web.
Le projet s’adresse à un public faisant de l’administration système et souhaitant déléguer les actions de base d’un hébergement web.
On peut le comparer à des solutions telles que ISPconfig, cPanel, Plesk, Froxlor…
Après de nombreuses années la version 3.5 est arrivée début 2025 et se prépare à la suite, on se propose de rattraper ce temps perdu.
Le projet est porté par différentes structures tant associatives que professionnelles. Nous n’établissons aucune statistique, toutefois, portée à notre connaissance, on peut citer dans un désordre alphabétique :
Entre 2018 et fin 2024, la communauté a eu du mal à s’organiser pour fusionner et proposer une cohérence de développement. Durant cette période, il était alors recommandé d’utiliser une version maintenue avec grande détermination par koumbit.
De nombreux correctifs ont été proposés dans leur bifurcation amicale. C’était de fait la version la plus avancée et active de ces dernières années. On peut noter également que d’autres membres de la communauté disposaient de branches locales. Par exemple, Octopuce maintenait une version 3.3 avec un portage partiel pour fonctionner sur les anciennes versions de Debian.
Sans être exhaustif dans tous les développements épars, on peut dire qu’on s’était tous un peu dispersé. Il était difficile de répondre à des besoins opérationnels immédiats et de prendre le recul nécessaire pour une intégration communautaire saine.
On était arrivé à une situation de déperdition de temps, d’énergie, d’envie conséquente.
Au fil des années, l’objectif principal de la 3.5 a fortement évolué. De l’apport initial d’innovations diverses nous nous sommes recentrés sur l’essentiel. C’est-à-dire :
La communauté AlternC, pour diverses raisons, a fortement tardé pour absorber tout ce retard. Au cours de ces douze derniers mois, on notera les évolutions suivantes :
awstats, maintenir les configurations DKIM/SPF ;Il est prévu d’autres versions mineures pour prendre en compte les erreurs restantes.
Toutes ces versions ont été diffusées sur le dépôt officiel AlternC ou bien directement sur le dépôt github
Sans faire une liste à la Prévert, notons les points suivants :
Les nouveautés ne sont pas le cœur de cette version, on a principalement travaillé sur la stabilisation et la mise en place de correctifs divers et variés commme :
AlternC ne se résume pas à un projet avec une structure monolithique. Il s’agit d’un écosystème avec nombre de plugins.
La version 3.5 apporte de nouveaux plugins, pour faciliter leur évolution. Certaines fonctionnalités ont été extraites ou adaptées en ce sens :
AlternC est maintenant fourni avec un générateur automatique de paquets Debian.
Ainsi on facilite l’arrivée de nouvelle proposition sous forme de plugin. Il est n’est pas nécessaire d’intervenir sur l’intégralité du projet AlternC et on peut se concentrer sur une fonctionnalité donnée.
Dès l’intégration du depot dans l’organisation AlternC, le plugin sera automatiquement pris en compte et ses paquets Debian prêts à l’emploi via :
Au-delà d’AlternC en soi et des plugins listés avant, on peut trouver à différents niveaux de maturité :
On peut trouver l’ensemble des plugins AlternC depuis son dépôt : https://github.com/AlternC/
D’autres outils sont mis à disposition également sur la forge communautaire du projet
Si vous avez déjà un AlternC 3.3.x et que vous voulez migrer vers la 3.5.x, faites une sauvegarde complète et suivez la documentation fournie sur notre aide en ligne
Il est important de prendre en compte les informations suivantes :
Le cycle de la 3.6 n’est pas encore planifié. Parmi les idées en reflexion nous avons :
L’ensemble du code du projet est actuellement hébergé chez github.
Toute personne est la bienvenue. Vous pouvez proposer un nouveau projet de code, remonter des bogues, suggérer des améliorations, traduire, communiquer…
Nous profitons également de cette nouvelle version pour utiliser le nommage “main” pour la branche principale. C’est plus en adéquation avec notre code de conduite informel et donne également une cohérence sur l’ensemble des projets.
Toutes personne souhaitant traduire dans sa langue est la bienvenue. Vous pouvez participer via le service weblate. Nous gérons actuellement principalement trois langues : le français, l’anglais et l’allemand. Nous avons d’autres langues disponibles pour lesquelles un peu d’amour est nécessaire.
En complément, le projet AlternC met à disposition divers services à la communauté. Le principal est le service de DNS secondaires disponible sur le site dédié https://www.alternc.net/
Ce service permet de synchroniser ses zones sur deux DNS secondaires depuis ses instances AlternC.
Un autre service est disponible en mettant à disposition des serveurs virtuels jetables pour tester des développements sur différentes distributions Debian (de Jessie à Trixie).
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