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Nvidia drops Maxwell and Pascal support with new Linux 590 branch drivers

Nvidia seems to have quietly begun retiring its older Maxwell and Pascal architectures, a move signalled by the release of its latest Linux driver. The new 590 driver branch, currently available in beta as version 590.44.01, appears to have dropped support for the GeForce GTX 900 and GTX 10 series GPUs, confirming earlier reports that these cards are now entering legacy status.

Spotted by VideoCardz, the official release notes state that the 580.xx driver series is the final branch to offer full “Game Ready” support for Maxwell and Pascal. So, if you have such a graphics card running on a Linux-based system, there's a chance you may face issues with future game releases.

This transition places the GTX 900, GTX 10, and the few consumer discrete Volta cards into maintenance mode. Owners of these GPUs will no longer receive day-zero game optimisations or performance enhancements. Instead, support will be limited to quarterly security patches to address critical vulnerabilities. For gamers still holding onto these graphics cards, this effectively signals the end of the road for new driver features.

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KitGuru says: Do you own an Nvidia GTX 900 or 10 series graphics card? Are you planning to upgrade now that driver support is coming to an end?

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Booster la RAM de votre PC Linux sans rien dépenser : voici l’astuce zRAM

Saviez-vous qu'Android utilise une astuce appelée "mémoire virtuelle" pour gonfler ses fiches techniques ? Sur Linux, ça s'appelle zRAM, et c'est bien plus qu'un argument marketing. En compressant les données directement dans la mémoire vive, vous évitez d'écrire sur votre disque dur et boostez les performances.
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FEX - L'émulateur x86 financé par Valve

Dites donc, en ce moment, c’est la folie autour de Valve. D’ailleurs, en lisant mon article sur le Steam Frame , vous vous êtes peut-être demandé comme celui-ci allait réussir à faire tourner des jeux PC alors qu’il tourne sur un Snapdragon ARM ?

Hé bien la réponse s’appelle FEX , un émulateur que Valve finance en secret depuis 2018 soit en gros depuis le tout début du projet.

Pour ceux qui connaissent pas, FEX permet de faire tourner des applications x86 (32 et 64 bits) sur des processeurs ARM64 sous Linux. C’est un peu comme qemu-user ou box64, sauf que FEX utilise un recompilateur binaire avancé avec un IR custom qui génère du code plus optimisé qu’un JIT classique.

Concrètement, au lieu de traduire directement le code x86 en ARM64 (ce qui serait un bordel monstre vu les différences entre les deux architectures), FEX fait donc ça en deux temps :

  1. x86 → IR : le code x86 est d’abord converti dans un langage intermédiaire simplifié, indépendant de toute architecture
  2. IR → ARM64 : ensuite cet IR est traduit en code ARM64 natif

L’avantage c’est qu’on peut appliquer des optimisations sur l’IR (par exemple, éliminer du code mort, simplifier des opérations, réorganiser les instructions…etc) avant de générer le code final.

FEX supporte même AVX et AVX2, ce qui est quand même pas mal pour de l’émulation.

La vraie force de FEX, c’est sa capacité à rediriger les appels API vers les bibliothèques natives du système. Au lieu d’émuler OpenGL ou Vulkan (ce qui serait une catastrophe pour les performances), FEX balance directement les appels vers les versions ARM des bibliothèques. Selon Valve, on parle d’une perte de performances de seulement 10 à 20% sur certains aspects du code… et visiblement, ils arrivent à faire tourner Hades 2 en 1440p à 90 Hz sur le Steam Frame donc c’est pas dégueu.

Du coup, on a maintenant la vue d’ensemble de la stratégie Valve pour le gaming ARM : FEX pour émuler le x86 natif , Lepton pour les APK Android, et Proton pour les jeux Windows. Trois couches de compatibilité qui devraient permettre au Steam Frame de jouer à peu près tout ce qui existe. C’est la même stratégie que pour le Steam Deck, au final.

Le cache de code expérimental de FEX permet aussi de réduire les saccades en jeu, et y’a même une interface graphique (FEXConfig) pour configurer les paramètres par application. Parce que oui, selon les jeux, vous pouvez ajuster les réglages pour optimiser les perfs… genre désactiver l’émulation coûteuse du modèle mémoire si le jeu n’en a pas besoin.

Et comme d’hab avec eux, c’est open source et ça profite à tout le monde alors c’est cool !

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Lepton - Valve veut faire tourner vos jeux Android sous Linux et c'est pas con

Vous vous rappelez de Proton , cette couche de compatibilité magique qui permet de jouer à des jeux Windows sur Linux ?

Hé bien Valve récidive avec Lepton, qui fait exactement la même chose… mais pour Android. Et devinez quoi, c’est basé sur Waydroid , ce projet open source qui permet de faire tourner Android dans un conteneur Linux.

L’idée derrière tout ça, c’est le Steam Frame , le fameux casque VR que Valve va sortir début 2026 et contrairement au Steam Deck qui utilise un processeur AMD x86, ce bidule tourne avec un Snapdragon 8 Gen 3 et 16 Go de RAM. Oui vous l’aurez compris, c’est de l’ARM !

Du coup, plutôt que de demander aux développeurs de porter leurs jeux un par un (ce qu’ils ne font jamais, on les connait ces branleurs ^^), Valve a décidé de supporter directement les APK Android. Ainsi, les devs qui ont déjà sorti leur jeu VR sur Meta Quest pourront donc le balancer sur Steam sans effort supplémentaire. C’est pas con, hein ? (à prononcer avec l’accent ch’ti). Et d’ailleurs, Walkabout Mini Golf sera le premier jeu Android officiel sur Steam. Si vous l’avez déjà acheté sur Steam, vous aurez donc accès à la version Android le jour du lancement du Steam Frame… pas besoin de repasser à la caisse et ça c’est cool !

Et alors pourquoi ça s’appelle Lepton ?

Hé bien parce que Valve aime bien les particules apparemment. Proton, Lepton… bientôt Neutron ? En attendant, le logo est une grenouille, ce qui n’a aucun rapport avec les particules mais on va pas chipoter.

Une fois encore, ce qui me fait vraiment kiffer dans cette histoire, c’est toujours cette même stratégie de Valve qui fait exactement comme avec le Steam Deck. En gros, leur move c’est que si les studios ne veulent pas développer en natif Linux, c’est pas grave… Ils feront tourner eux-même ce qu’ils ont déjà au catalogue. Avec Proton, ils ont récupéré tout le catalogue Windows et avec Lepton, ils vont récupérer tout le catalogue Meta Quest. Et comme le GPU du Steam Frame est 25% plus puissant que celui du Quest 3 (et même 30% en pratique parce que Meta bride un peu le sien), les jeux tourneront potentiellement mieux.

Reste maintenant une question que tout le monde se pose : Est-ce que Lepton arrivera sur Steam Deck ? Bah oui, ce serait logique car le Steam Deck a un écran tactile, des contrôleurs intégrés…etc et ce serait donc parfait pour les jeux Android. M’enfin, pour l’instant, Valve n’a rien confirmé, mais franchement ce serait bête de s’en priver.

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[Vidéo] Combien y a-t-il d'ordinateurs sous Windows 10 et Windows 11 ? Le savez-vous ?

Merci à vous de suivre le flux Rss de www.sospc.name.

Question simple, certes, mais réponse difficile à trouver !

Ce n'est pas première fois que je me pose la question.

Sauf que je commence à être lassé de ne pas trouver des chiffres fiables, vérifiés et vérifiables.

Après que ce soit au niveau de Microsoft, de la Concurrence, ou des sites d'audimat, personne n'a forcément l'envie de savoir ce qu'il en est vraiment.

Chacun prêche pour sa paroisse, la véracité de l'information dans notre monde devient optionnelle !

Alors je me tourne vers vous, seules personnes à n'avoir aucun intérêt à interpréter voire de falsifier les chiffres !

J'en ai profité pour tourner une petite vidéo improvisée dont j'ai le secret.

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Une rare interview/video de Linus Torvalds : Building the PERFECT Linux PC with Linus Torvalds

Linus Torvalds est invité dans cette toute récente vidéo sur la chaîne Linus Tech Tips. La vidéo dure presque une heure, ce qui est inhabituellement long pour cette chaîne, et permet de laisser s'exprimer un Linus Torvalds invité. Torvalds s'exprime sur de nombreux sujets tout en regardant un PC « idéal » être monté pour lui et ses travaux sur le noyau Linux.

Il discute du Libre, Gaming, Linux, Git, A.I., de son travail, dans une atmosphère bon enfant et avec un humour mordant.

Commentaires : voir le flux Atom ouvrir dans le navigateur

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FlyOOBE - L'outil qui installe Windows 11 sur n'importe quel PC

Vous avez un PC qui tourne encore parfaitement sous Windows 10 mais Microsoft vous dit qu’il est comme vous, c’est à dire “trop vieux” pour Windows 11 ?

Et bien, bienvenue dans le club des 240 millions de machines destinées à la casse. Woohoo ! D’ailleurs selon cette étude , si on empilait tous ces PC les uns sur les autres, la pile ferait 600 kilomètres de plus que le diamètre de la Lune. Sympa pour la planète.

Bref, face à ce gâchis monumental programmé pour le 14 octobre de cette année, date de fin du support de Windows 10 , un développeur connu sous le pseudo Belim (builtbybel sur GitHub) a créé FlyOOBE (prononcez “fly-oh-bee”, comme une petite abeille qui buzz). C’est un outil qui fait exactement ce que Microsoft ne veut pas à savoir installer Windows 11 sur n’importe quel PC, même sans TPM 2.0, sans Secure Boot, et avec un processeur de 2010. Et en bonus, il vire tous les bloatwares au passage.

FlyOOBE, c’est l’évolution de Bloatynosy devenu Flyby11, dont je vous ai déjà parlé en long, en large et en travers. C’était un simple patcher qui avait déjà permis à des milliers d’utilisateurs de contourner les restrictions matérielles de Windows 11. Mais la version 2.2 qui vient de sortir va beaucoup plus loin car au lieu de simplement bypasser les vérifications de compatibilité, FlyOOBE vous permet de personnaliser complètement l’expérience d’install et de post-install de Windows 11.

Comme ça, fini les écrans de configuration à rallonge, les applications préinstallées dont tout le monde se fout, et les paramètres de confidentialité douteux activés par défaut.

Mais avant de rentrer dans le détail, pour comprendre pourquoi FlyOOBE existe, il faut revenir sur les exigences matérielles de Windows 11. Microsoft demande actuellement pour Windows 11, un processeur de 8e génération Intel ou 2e génération AMD Ryzen minimum, 4 Go de RAM (8 Go pour une expérience correcte), le TPM 2.0, l’UEFI avec Secure Boot activé, et j’en passe.

Vous l’avez déjà compris, ce sont des exigences qui excluent automatiquement des millions de PC parfaitement fonctionnels.

Bien sûr, tout comme Retailleau ou Darmanin, Microsoft n’a qu’un seul mot à la bouche pour justifier ce massacre informatique : La sécurité. Hé oui car le TPM 2.0 est censé protéger vos données sensibles, et le Secure Boot quant à lui empêche le démarrage de malwares au niveau du bootloader.

Noble intention, j’en conviens, sauf que dans les faits, ça ressemble surtout à de l’obsolescence programmée ++ imaginée pour booster les ventes de nouveaux PC. Plusieurs personnes parlent même d’une stratégie pour augmenter les ventes de Copilot+ PC , ces nouvelles machines avec NPU intégré capable de faire tourner de l’IA en local.

Alors oui, Microsoft propose bien des Extended Security Updates (ESU) pour 30 dollars par an après octobre 2025, mais c’est juste repousser le problème. Et pour les entreprises, ces tarifs grimpent à 61 $ la première année, 122 $ la deuxième, et 244 $ la troisième. Ils abusent pas un peu là quand même ? Donc autant dire que pour beaucoup de boites, ces vieux PC ce sera direction la déchetterie.

Du coup, le principe de FlyOOBE est très malin, je trouve car au lieu de modifier Windows 11 directement, il utilise une astuce découverte par la communauté il y a quelques temps. Il lance en fait l’installation en mode “Windows Server”, qui n’a pas les mêmes restrictions que la version client. Une fois l’installation terminée, vous vous retrouvez alors avec un Windows 11 parfaitement fonctionnel, mais rassurez vous, pas une version serveur.

Selon le développeur de FlyOOBE, la méthode utilise exactement le même contournement que celui documenté par Microsoft pour les environnements virtuels sauf qu’au lieu de l’appliquer à une VM, FlyOOBE l’applique à votre vraie machine. Et il a fait un boulot de dingue car tout le processus est automatisé… L’outil télécharge l’ISO de Windows 11 via le script Fido (développé par Pete Batard de Rufus ), applique les patchs nécessaires, et lance l’installation.

Pour ceux qui dormaient depuis 25 ans, OOBE signifie “Out-Of-Box Experience”. C’est cette série d’écrans à la con que vous voyez quand vous démarrez Windows pour la première fois : Création du compte, paramètres de confidentialité, connexion au Wi-Fi, tout ça. Microsoft en profite pour vous faire créer un compte Microsoft (obligatoire sur Windows 11 Home), activer la télémétrie, installer Office 365 en trial, et autres joyeusetés.

FlyOOBE vous permet donc de court-circuiter tout ça. Plus besoin de compte Microsoft, vous pouvez créer un compte local directement. Les paramètres de confidentialité sont configurés pour protéger vos données par défaut. Et surtout, l’outil peut automatiquement désinstaller toute une liste de bloatwares (traduction : logiciels à la con) comme Candy Crush, TikTok, les jeux Xbox que vous n’avez jamais demandés, Cortana, et même Teams si vous voulez.

Cette version 2.2 marque une vraie évolution puisque le développeur (qui avoue être “en guerre contre les choix de performance de Microsoft”) a bossé comme un fou pour transformer FlyOOBE en boite à outils pour Windows. Grâce à lui, on a maintenant une interface modernisée avec un mode compact élégant, des boutons qui passent en mode icônes seules quand ils sont actifs (comme les apps natives Windows 11, sauf que là ça marche bien). Le démarrage est plus rapide, la consommation mémoire réduite… Bref, c’est pas comme le menu Démarrer de Windows 11 ou l’Explorateur qui sont des monstres XAML/WinUI bourrés de bloat.

Le développeur a d’ailleurs un petit coup de gueule savoureux dans ses notes de version : “Peut-être qu’un jour Microsoft corrigera les vrais problèmes de performance au lieu d’ajouter un énième bouton Copilot lumineux. Honnêtement, ça fait mal de voir un OS qu’on a aimé être lentement ruiné par les mauvaises priorités.” On sent le mec qui en a ras-le-bol, et je le comprends…

FlyOOBE est donc passé d’un simple assistant OOBE à un véritable hub de contrôle Windows. Le moteur d’extensions a été complètement retravaillé, avec un système de catégories et de filtres. Certaines pages OOBE sont devenues de véritables mini-apps autonomes, comme Dumputer ou CoTweaker (des anciens outils standalone du même dev qui vivent maintenant leur meilleure vie à l’intérieur de FlyOOBE). Il y a aussi un nouveau tableau de bord Home qui catégorise et recommande intelligemment les options, un système de navigation avec historique complet (comme dans un navigateur), et un moniteur d’activité natif qui log les actions système en temps réel.

L’App Installer intégré propose aussi d’installer automatiquement des logiciels vraiment utiles tels que Firefox, VLC, 7-Zip, Notepad++, et autres essentiels. Pratique donc pour avoir une machine propre et fonctionnelle dès le départ, sans passer des heures à tout configurer manuellement.

Maintenant faut que je sois clair avec vous, utiliser FlyOOBE, c’est contourner les mesures de sécurité mises en place par Microsoft. Le développeur lui-même précise que les mises à jour futures ne sont pas garanties sur les machines “non supportées”. Donc si Microsoft décide de bloquer complètement les PC sans TPM 2.0 dans une future mise à jour, vous pourriez vous retrouver coincé.

Il y a aussi le cas du POPCNT, une instruction CPU que FlyOOBE ne peut pas contourner donc si votre processeur ne la supporte pas (généralement les CPU d’avant 2010), Windows 11 ne fonctionnera tout simplement pas, même avec FlyOOBE. L’outil intègre d’ailleurs un “compatibility checker” pour vérifier ce point avant l’installation.

Notez qu’ en février dernier, Microsoft Defender a commencé à flaguer Flyby11 comme “Win32/Patcher” , le classant comme application potentiellement indésirable. Le développeur a alors contacté Microsoft et la version actuelle n’est plus détectée, mais ça montre que Microsoft n’apprécie pas vraiment ce genre d’outils.

Maintenant pour utiliser FlyOOBE, pas besoin d’un tuto à rallonge car c’est ultra simple. Vous téléchargez l’exécutable depuis les releases GitHub , vous le lancez, et vous avez quatre options :

  1. Upgrade : Pour passer de Windows 10 à 11 sur une machine incompatible
  2. Install Only : Pour une installation propre avec personnalisation OOBE
  3. Experience : Pour configurer Windows après installation
  4. Apps : Pour gérer les bloatwares et installer des apps utiles

Si vous choisissez l’upgrade, FlyOOBE téléchargera automatiquement l’ISO de Windows 11, appliquera les patchs, et lancera le processus. Comptez alors environ 30 minutes à 1 heure selon votre machine et votre connexion internet. Rassurez-vous, l’outil gardera vos fichiers et tous vos programmes car c’est une vraie mise à niveau, et pas une réinstallation. L’Autopilot intégré a d’ailleurs été amélioré pour vous guider de manière encore plus autonome pendant l’installation.

Petite note pour ceux qui cherchaient le script ConsumerESU (pour les mises à jour de sécurité étendues) : il a temporairement disparu de GitHub, probablement un faux positif qui a fait suspendre le repo, comme c’est déjà arrivé au profil de Belim lui-même. Les joies de la modération automatique…

Maintenant, pour ceux qui veulent aller plus loin, il y a même des builds “Nightly” mis à jour régulièrement avec les dernières fonctionnalités expérimentales. L’ancien Flyby11 3.0 “Classic” existe toujours mais est désormais marqué comme deprecated, donc le dev recommande de passer à FlyOOBE. Notez aussi que FlyOOBE n’est pas le seul outil pour contourner les restrictions de Windows 11. Rufus permet aussi de créer une clé USB d’installation sans les checks TPM/Secure Boot . Il y a aussi les méthodes manuelles avec des modifications du registre pendant l’installation. Ou carrément passer à Linux, comme le suggèrent certains barbus qui veulent entrainer encore plus de monde dans leur galère… Roooh, ça va, je rigole !

Mais FlyOOBE c’est mon préféré parce qu’il a plusieurs avantages. D’abord, c’est tout-en-un : bypass les restrictions, personnalisation OOBE, et debloating. Ensuite, c’est portable (moins de 400 Ko !), donc pas besoin d’installation et surtout, c’est maintenu activement avec des mises à jour régulières pour s’adapter aux changements de Microsoft. Le dev mentionne d’ailleurs son autre projet CrapFixer , une sorte de CCleaner 2.0 de l’époque dorée de Windows XP, si vous êtes nostalgiques.

Alors Microsoft va-t-il bloquer définitivement FlyOOBE et les outils similaires ? C’est possible car ils ont déjà resserré la vis plusieurs fois, mais les devs trouvent toujours de nouvelles méthodes de contournement. Et c’est encore pire pour activer Windows…

Bref, si vous avez un PC sous Windows 10 qui ne passe pas les vérifications de compatibilité Windows 11, donnez une chance à FlyOOBE. Au pire, vous perdez une heure et au mieux, vous donnez une seconde vie à votre machine et vous évitez de participer à la montagne de déchets électroniques que ça va provoquer.

Et ça, c’est déjà une petite victoire.

Source

Article publié initialement le 4 septembre 2025. Mis à jour le 1 décembre 2025. Merci à Lorenper.

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