Un nouvel évènement réunissant les plus gros acteurs de l’industrie du jeu vidéo et des technologies interactives pointe aujourd’hui le bout de son nez. Mais que peut-on en attendre ?
Alors qu’on apprenait tristement la fermeture définitive du salon de l’E3 le 12 décembre 2023 après 20 ans de service de la part de l’ESA, voici que ses anciens organisateurs nous présentent leur nouvel événement : l’Interactive Innovation Conference, ou iicon. Un rassemblement prévu pour les professionnels et dirigeants de nombreux secteurs de la technologie et du jeu vidéo, mais également du cinéma, de la télévision, de la musique ou encore de la santé. Un panel de secteurs qui se rassembleront sous le thème du divertissement interactif pour partager idées et innovations.
Introducing iicon: where visionaries and innovators from the video game industry and beyond converge to unlock the limitless potential of interactive entertainment. @theESA is convening the first-of-its kind summit. Follow us and learn more: https://t.co/mhqZqIVpX0. pic.twitter.com/BVNoApEGmy
L’événement se tiendra du 27 au 30 avril à Las Vegas, prévu pour l’année 2026. Il accueille déjà de nombreux partenaires, notamment des spécialistes des jeux vidéos, avec actuellement Epic Games, Nintendo of America, Ubisoft, Sony Interactive Entertainment PlayStation, Electronic Arts, Microsoft, Amazon Games, Square Enix, Take-Two Interactives, Warner Bros Games et Disney. L’iicon sera accessible sur invitation uniquement et se présente comme un rendez-vous essentiel pour les acteurs qui cherchent l’innovation dans tous les secteurs d’activité.
La nouvelle de l’iicon créé beaucoup d’enthousiasme de la part de ses participants, exclusivement issu du milieu professionnel. Les joueurs risquent de ne s’y intéresser que du coin de l’œil, mais il se peut que de nombreuses innovations y soient discutées et présentées. Un tel rassemblement ne risque pas de remplacer l’E3, mais il sera toujours intéressant de constater ce qui va en sortir.
Un nouvel évènement réunissant les plus gros acteurs de l’industrie du jeu vidéo et des technologies interactives pointe aujourd’hui le bout de son nez. Mais que peut-on en attendre ?
Alors qu’on apprenait tristement la fermeture définitive du salon de l’E3 le 12 décembre 2023 après 20 ans de service de la part de l’ESA, voici que ses anciens organisateurs nous présentent leur nouvel événement : l’Interactive Innovation Conference, ou iicon. Un rassemblement prévu pour les professionnels et dirigeants de nombreux secteurs de la technologie et du jeu vidéo, mais également du cinéma, de la télévision, de la musique ou encore de la santé. Un panel de secteurs qui se rassembleront sous le thème du divertissement interactif pour partager idées et innovations.
Introducing iicon: where visionaries and innovators from the video game industry and beyond converge to unlock the limitless potential of interactive entertainment. @theESA is convening the first-of-its kind summit. Follow us and learn more: https://t.co/mhqZqIVpX0. pic.twitter.com/BVNoApEGmy
L’événement se tiendra du 27 au 30 avril à Las Vegas, prévu pour l’année 2026. Il accueille déjà de nombreux partenaires, notamment des spécialistes des jeux vidéos, avec actuellement Epic Games, Nintendo of America, Ubisoft, Sony Interactive Entertainment PlayStation, Electronic Arts, Microsoft, Amazon Games, Square Enix, Take-Two Interactives, Warner Bros Games et Disney. L’iicon sera accessible sur invitation uniquement et se présente comme un rendez-vous essentiel pour les acteurs qui cherchent l’innovation dans tous les secteurs d’activité.
La nouvelle de l’iicon créé beaucoup d’enthousiasme de la part de ses participants, exclusivement issu du milieu professionnel. Les joueurs risquent de ne s’y intéresser que du coin de l’œil, mais il se peut que de nombreuses innovations y soient discutées et présentées. Un tel rassemblement ne risque pas de remplacer l’E3, mais il sera toujours intéressant de constater ce qui va en sortir.
Un bel arrivage de jeux de stratégies sur la console de Sony pour ce début d’année 2025.Xbox confirme sa volonté d’élargir les horizons du cross-play pour le plus de joueurs possibles.
C’est maintenant confirmé. Deux jeux de la licence des « Age of » vont sortir sur PlayStation 5.
Age of Mythology: Retold, annoncé pour le 4 mars.
Age of Empires II: Definitive Edition, prévu pour ce printemps.
Michael Mann, patron du studio World’s Edge de chez Xbox, se réjouit de cette annonce. Pour lui, c’est une bonne chose que les joueurs puissent profiter des jeux de la franchise sur la plateforme de leur choix.
« Jouer sur toutes les plateformes est un nouveau souffle pour notre franchise, c’est un moyen de réunir l’ensemble de notre communauté. Ce n’est pas qu’une question de convenance, c’est surtout pour faire grandir la communauté des joueurs de « Age of ». Avec le cross-play, on peut créer un champ de bataille où chaque stratégie, chaque empire et chaque joueur a de l’importance. »
Un bel arrivage de jeux de stratégies sur la console de Sony pour ce début d’année 2025.Xbox confirme sa volonté d’élargir les horizons du cross-play pour le plus de joueurs possibles.
C’est maintenant confirmé. Deux jeux de la licence des « Age of » vont sortir sur PlayStation 5.
Age of Mythology: Retold, annoncé pour le 4 mars.
Age of Empires II: Definitive Edition, prévu pour ce printemps.
Michael Mann, patron du studio World’s Edge de chez Xbox, se réjouit de cette annonce. Pour lui, c’est une bonne chose que les joueurs puissent profiter des jeux de la franchise sur la plateforme de leur choix.
« Jouer sur toutes les plateformes est un nouveau souffle pour notre franchise, c’est un moyen de réunir l’ensemble de notre communauté. Ce n’est pas qu’une question de convenance, c’est surtout pour faire grandir la communauté des joueurs de « Age of ». Avec le cross-play, on peut créer un champ de bataille où chaque stratégie, chaque empire et chaque joueur a de l’importance. »
Electronic Arts annonce son nouveau programme collaboratif pour son immense communauté de joueurs. Le but ? Avoir le plus de retours des futurs joueurs pour s’assurer de la qualité des prochains jeux Battlefield. Quatre studios majeurs ont été regroupés sous une même bannière pour concrétiser ce projet.
Battlefield Labs est le plus grand programme de playtest jamais créé organisé pour la licence, une plateforme facilitant les échanges entre les joueurs et les concepteurs. Les premiers bénéficieront d’un espace de jeu et d’explorations pour tester les différentes mécaniques proposés par les seconds. Une manière de s’assurer que les concepts proposés pour les prochains jeux Battlefield ne déçoivent pas les joueurs, comme ce fut le cas pour Battlefield 20242. C’est le début d’une nouvelle ère de collaboration pour Electronic Arts qui souhaite redorer son blason en se montrant à l’écoute de sa communauté.
Si l’aventure vous intéresse, vous pouvez vous inscrire sur le site dédié à Battlefield Labs de Electronic Arts. L’éditeur recherche tous types de joueurs. Vous y avez votre place, que vous soyez un vétéran de la licence Battlefield ou un amateur qui début sur les jeux de type FPS. Toutefois, une inscription sur le site n’est pas une garantie de participation au programme. Il faudra vous inscrire avant les premières sessions de test externe qui auront lieu dans les prochaines semaines. Il faut également savoir que les serveurs seront situés en Europe et en Amérique du Nord, il vous faudra donc y résider pour être parmi les premiers sélectionnés.
Si vous êtes parmi les plus chanceux, un mail vous sera envoyé de la part de playtesting@ea.com, avec toutes les explications nécessaires pour vous préparer à votre session de test. Les développeurs attendent de vous plusieurs éléments de Game Design : boucles de gameplay, disposition des cartes, concepts innovants ou votre ressenti général sur vos sensations de jeu. Par contre, il sera hors de question d’en parler avec vos proches ou sur internet ! Un accord de confidentialité (NDA) vous sera demandé, afin de préserver les secrets de l’industrie et la découverte pour les futurs joueurs. Un discord privé entre membres du programme, joueurs et développeurs, sera mis à disposition pour échanger sur l’expérience qu’ils ont vécue.
Notez bien qu’il vous faudra remplir quelques conditions préalables en plus de votre inscription :
posséder un compte EA activé et lié à votre plateforme de jeu :
Joueur PlayStation 5 : un abonnement PlayStation Plus est requis
Pour ce projet, quatre grands studios sont maintenant réunis : DICE (créateurs de la franchise), RIPPLE EFFECT (Medal of Honors & Star Wars Battlefront), MOTIVE (Star Wars Squadrons & Dead Space) et CRITERION (Need for Speed & Star Wars). Il s’agirait de la plus grande équipe de l’histoire ayant travaillé sur les jeux Battlefield. Une réunion de développeurs ayant plus de 20 ans d’expérience, pour la plupart une décennie sur Battlefield, spécialisés dans les jeux nerveux et dynamiques, afin de proposer un prochain titre qui satisferait une communauté plus proche que jamais.
Si vous désirez apporter votre pierre à l’édifice que sera le prochain de la licence Battlefield de Electronic Arts, inscrivez-vous à cette campagne géante de test. Il est intéressant de voir que le futur du jeu vidéo se fait à présent avec une écoute attentive de la communauté.
Electronic Arts annonce son nouveau programme collaboratif pour son immense communauté de joueurs. Le but ? Avoir le plus de retours des futurs joueurs pour s’assurer de la qualité des prochains jeux Battlefield. Quatre studios majeurs ont été regroupés sous une même bannière pour concrétiser ce projet.
Battlefield Labs est le plus grand programme de playtest jamais créé organisé pour la licence, une plateforme facilitant les échanges entre les joueurs et les concepteurs. Les premiers bénéficieront d’un espace de jeu et d’explorations pour tester les différentes mécaniques proposés par les seconds. Une manière de s’assurer que les concepts proposés pour les prochains jeux Battlefield ne déçoivent pas les joueurs, comme ce fut le cas pour Battlefield 20242. C’est le début d’une nouvelle ère de collaboration pour Electronic Arts qui souhaite redorer son blason en se montrant à l’écoute de sa communauté.
Si l’aventure vous intéresse, vous pouvez vous inscrire sur le site dédié à Battlefield Labs de Electronic Arts. L’éditeur recherche tous types de joueurs. Vous y avez votre place, que vous soyez un vétéran de la licence Battlefield ou un amateur qui début sur les jeux de type FPS. Toutefois, une inscription sur le site n’est pas une garantie de participation au programme. Il faudra vous inscrire avant les premières sessions de test externe qui auront lieu dans les prochaines semaines. Il faut également savoir que les serveurs seront situés en Europe et en Amérique du Nord, il vous faudra donc y résider pour être parmi les premiers sélectionnés.
Si vous êtes parmi les plus chanceux, un mail vous sera envoyé de la part de playtesting@ea.com, avec toutes les explications nécessaires pour vous préparer à votre session de test. Les développeurs attendent de vous plusieurs éléments de Game Design : boucles de gameplay, disposition des cartes, concepts innovants ou votre ressenti général sur vos sensations de jeu. Par contre, il sera hors de question d’en parler avec vos proches ou sur internet ! Un accord de confidentialité (NDA) vous sera demandé, afin de préserver les secrets de l’industrie et la découverte pour les futurs joueurs. Un discord privé entre membres du programme, joueurs et développeurs, sera mis à disposition pour échanger sur l’expérience qu’ils ont vécue.
Notez bien qu’il vous faudra remplir quelques conditions préalables en plus de votre inscription :
posséder un compte EA activé et lié à votre plateforme de jeu :
Joueur PlayStation 5 : un abonnement PlayStation Plus est requis
Pour ce projet, quatre grands studios sont maintenant réunis : DICE (créateurs de la franchise), RIPPLE EFFECT (Medal of Honors & Star Wars Battlefront), MOTIVE (Star Wars Squadrons & Dead Space) et CRITERION (Need for Speed & Star Wars). Il s’agirait de la plus grande équipe de l’histoire ayant travaillé sur les jeux Battlefield. Une réunion de développeurs ayant plus de 20 ans d’expérience, pour la plupart une décennie sur Battlefield, spécialisés dans les jeux nerveux et dynamiques, afin de proposer un prochain titre qui satisferait une communauté plus proche que jamais.
Si vous désirez apporter votre pierre à l’édifice que sera le prochain de la licence Battlefield de Electronic Arts, inscrivez-vous à cette campagne géante de test. Il est intéressant de voir que le futur du jeu vidéo se fait à présent avec une écoute attentive de la communauté.
Kingdom Come: Deliverance II (KCD2) est la suite du premier titre éponyme qui s’était fortement démarqué sur le marché grâce à ses mécaniques réalistes, voire contraignantes, mais ludiques et immersives. Après sept années d’absence, Warhorse Studios fait son grand retour. Que vous soyez passionné de chevalerie ou amateur d’histoire médiévale, Kingdom Come Deliverance 2 réussira-t-il à assouvir votre faim et proposer une expérience plus agréable ? Il est temps de trancher cette question.
Test réalisé sur PS5 à l’aide d’une copie numérique envoyée par l’éditeur
On se remet en selle pour l’aventure !
L’histoire de Kingdom Come: Deliverance II est la suite directe du premier. Elle se situe au début du XVe siècle, au royaume de Bohême. Le roi légitime, Venceslas IV, est détrôné par son demi-frère, Sigismond de Luxembourg, roi de Hongrie et de Croatie. Ce dernier plonge le pays dans une guerre civile obligeant les nobles à choisir entre défendre le royaume de Venceslas, qui est connu pour sa mauvaise gestion et sa décadence, ou aider Sigismond qui pille la région avec l’aide de mercenaires étrangers.
Notre protagoniste est Henry de Skalice, ou Skalitz en anglais, rescapé d’un village brûlé et orphelin dont les parents ont été massacrés par des hommes de Sigismond. Il trouva refuge auprès d’un seigneur local, partisan du roi légitime, et entra à son service dans l’espoir de venger sa famille. Impressionné par les compétences d’Henry après plusieurs services rendus, ce seigneur lui confia la protection de son neveu, le jeune Hans Capon, qui est l’archétype même du noble arrogant et prétentieux. Après de nombreuses péripéties, des mésaventures communes et contre toute attente : Henry et Hans deviennent amis.
Ce deuxième opus reprend l’histoire principale au cours d’une expédition diplomatique, alors que les deux jeunes hommes doivent accomplir une mission cruciale : délivrer un important message pour un seigneur voisin partisan de Sigismond. Évidemment, rien ne se déroule comme prévu et nos compères se retrouvent livrés à eux-mêmes en terres inconnues, sans compagnons ni équipement.
Une toile vivante, saisissante de réalisme
Kingdome Come: Deliverance II est une amélioration saisissante de l’univers du premier. Après sept ans de travail, le studio délivre une représentation d’un monde médiéval bien plus bluffante que dans le premier titre. On se plaît à se balader de nouveau dans des environnements aux couleurs chatoyantes et à la lumière travaillée. La musique, parfaitement orchestrée à partir d’instruments traditionnels, ne vous marquera sûrement pas, mais elle vous plongera immanquablement dans l’ambiance. C’est le genre de mélodie qu’on oublie et qu’on est incapable de siffloter, mais qui ravive de nombreux souvenirs quand on la réécoute. Les souvenirs de nos aventures en tant qu’Henry de Skalice, aventurier, guerrier ou malandrin du royaume de Bohême.
L’univers est finement représenté et crédible dans son agencement. Warhorse Studios a pensé à de nombreux détails pour appuyer cette fameuse immersion. Les menus du jeu adoptent une direction artistique travaillée, avec des illustrations et des effets dignes d’une œuvre médiévale, comme s’il s’agissait de réalisations venues de cette époque. Les paysages sont remplis d’endroits variés : on trouve des ruines dans des milieux reculés, recouverts de plantes grimpantes, des villages dans lesquels chaque PNJ organise sa vie et des hameaux reculés, habités par des parias méfiants. On se plait à explorer la carte de la région, tellement immense qu’elle peut en donner le vertige avec ses secrets attendant d’être découverts par les plus curieux et attentifs. Kingdom Come: Deliverance II possède une faune ainsi qu’une flore riche et diversifiée. La nature occupe une place omniprésente dans l’univers du jeu. Il y a toujours un animal qui se balade quelque part, que ce soit un chien se reposant ou du gibier craintif qui se cache. Seuls les chats manquent à l’appel, dommage…
Cependant, il faut bien mentionner la présence de rares bugs visuels. Il arrive que le moteur du jeu ait du mal à charger des textures, que des bâtiments au loin apparaissent d’un coup quand on s’en approche, ou que du clipping apparaisse en pleine séance d’alchimie. Heureusement, ce n’est pas aussi présent que dans le 1. Le studio prouve qu’il a évolué et utilise quelques astuces visuelles déjà employées par d’autres titres, comme l’utilisation de textures en 2D pour les fleurs ou des objets comme imprimés à même le décor. On peut par ailleurs déplorer un manque d’expression et de réalisme sur les visages, notamment quand on compare à d’autres titres plus récents, mais si vous arrivez à pardonner la faiblesse graphique du jeu, vous vous rendrez compte que Kingdom Come: Deliverance II a beaucoup de choses à raconter et à vous faire vivre.
Concernant le doublage, s’il est de qualité concernant les personnages principaux, comme Henry ou Hans, il manque cruellement de qualité pour les personnages secondaires, du moins c’était le cas lors de la rédaction de ce test. Heureusement, le studio a rapidement annoncé un réenregistrement des dialogues pour proposer une nouvelle version française de Kingdom Come: Deliverance II.
Toute action mérite réflexion
Warhorse Studios a conçu les jeux Kingdom Come: Deliverance comme des expériences quasi-réalistes de la vie d’une personne au Moyen Âge. Même si ce second titre est bien plus accessible sur de nombreux points, particulièrement sur les mécaniques de combat, il n’est pas à privilégier pour ceux qui débutent dans le milieu du jeu vidéo ou qui ne veulent pas un réalisme poussé. Les autres trouveront leur plaisir dans cette expérience aussi immersive qu’épanouissante. Kingdom Come: Deliverance II est une aventure réaliste qui impose d’oublier de nombreux codes du jeu vidéo. Ici, pas de sauvegarde facile, de ressources qui se ramassent toutes seules et d’objets qui se fabriquent instantanément. Chaque action de votre part possède toute une démarche qu’il faut prendre en compte. Par exemple, créer des potions ou une arme peut vous prendre 10 bonnes minutes, entre le fait d’aller récupérer les matériaux nécessaires à un endroit précis et la confection qui peut demander beaucoup d’attention. Sans compter que stocker trop d’objets finit par peser très lourd, et certains aliments peuvent vite pourrir dans l’inventaire.
Dans le même esprit de réflexion, le jeu propose un système de combat unique en son genre. Comme dit plus haut, Warhorse Studios est à l’écoute des joueurs et a considéré les remarques faites au premier volet. Les mécaniques de duel sont bien plus accessibles, mais toujours aussi exigeantes. Il vous faudra prendre en compte la posture de l’adversaire, son équipement et apprendre des techniques à réaliser vous-même avec un bon enchainement de touches. Les combats de Kingdom Come: Deliverance II demandent beaucoup d’endurance et de précision, la moindre erreur, la vôtre ou celle de votre adversaire, peut coûter cher. De plus, il faudra prendre soin de votre équipement pour qu’il ne se brise pas, de votre corps pour qu’Henry ne tombe pas malade et de votre apparence pour que les autres soient aimables avec vous. Kingdom Come: Deliverance II est rempli de microgestions à effectuer. Nous vous conseillons donc de ne pas vous concentrer sur un seul type de tâche, mais de diversifier vos activités au maximum pour profiter au mieux de l’expérience immersive.
Malgré tout, on sent que le titre est bien plus agréable à jouer sur un PC que sur une console de salon. Le déplacement dans les menus peut être redondant et la petite taille de nombreux textes d’explications et de descriptions nécessite de se rapprocher pour mieux lire. Il peut aussi être compliqué de faire attention à des détails sur un écran éloigné, comme certaines herbes à ramasser ou les petits objets à récupérer. Le reste des mécaniques, comme le combat ou l’équitation, ne souffre pas de ce problème de lisibilité, au contraire, l’usage de la manette est adéquat pour ces activités.
Un monde rempli de vie où les destins se heurtent et s’entremêlent
On l’a dit, le monde de Kingdom Come: Deliverance II est un monde ouvert doté d’une taille immense, où la faune, la flore et la civilisation s’épanouissent dans une routine réaliste. Les interactions et les activités varient en fonction des cycles jour/nuit et de la météo. Par exemple, les habitants ont tendance à rester chez eux en cas de pluie. Ils vont également moins vous entendre si vous vous introduisez chez eux par effraction quand l’orage gronde. Le monde réagit en fonction de votre réputation et de vos activités. La notion de choix est omniprésente dans Kingdom Come: Deliverance II. Vos actions ont des conséquences, que vous en soyez conscient ou non.
Les quêtes de Kingdom Come: Deliverance II possèdent de nombreux embranchements et il est possible de découvrir des itinéraires qui n’ont pas été mises en avant par le journal de quête, mais qui sont logiques et cohérentes. Par exemple, en allant voir un PNJ qui nous renseigne sur le chemin qu’a pris son ami, puis en revenant le voir plus tard pour l’informer de sa mort, on peut déclencher ainsi un dialogue avec des informations ou des récompenses supplémentaires. Chacune d’elles est souvent une bonne occasion pour découvrir des aspects du quotidien des gens du peuple, la façon qu’ils ont de voir la vie et les difficultés qu’ils traversent, avec simplicité et une certaine philosophie, qui exprime la richesse du scénario. Mais, ne pensez surtout pas qu’il s’agira d’effectuer de banals travaux de paysan ou de garde. Les quêtes possèdent souvent des retournements de situation et des conclusions inattendues ou surprenantes.
Afin de mieux vous immerger dans tous les contextes du jeu, ce dernier propose des codex expliquant en détail les nombreux lieux, objets et situations que le joueur découvre au fur et à mesure de son avancée. Il est tout à fait possible de s’en passer pour apprécier pleinement l’univers du jeu. Cependant, c’est un ajout fort agréable, qui peut servir à mieux comprendre l’univers de Kingdom Come: Deliverance II et à enrichir sa culture générale.
Il n’est pas obligatoire de jouer au premier titre pour comprendre toute l’histoire de la licence. Des détails sont amenés naturellement au travers des dialogues et de certains objets. Kingdom Come: Deliverance II peut être perçu comme une œuvre à part entière, un film historique avec une bonne mise en scène, notamment pour la quête principale, qui possède ses moments visuellement forts et poétiques.
En parlant de son passé, il faut savoir que notre protagoniste, Henry de Skalice, est un personnage avec son propre caractère, même si nos choix peuvent orienter son comportement et son évolution. Il ne faut pas oublier qu’il est un représentant des vilains, c’est-à-dire des gens du bas-peuple. C’est un jeune homme qui a vécu une tragédie et évolue maintenant dans un monde sans pitié, soumis à des lois et des croyances moyenâgeuses. Ainsi, certains choix de dialogues et de comportements peuvent nous surprendre, tellement ils le font passer pour un sale gosse qui réagit mal, un fourbe manipulateur ou un aspirant chevalier plein de rêves, sans que l’on s’attende à une telle disproportion dans sa réaction en lisant l’option sélectionnée. Ce qui peut faire penser à des résultats d’échecs ou des coups critiques lors d’un jeu de rôle.
Kingdom Come: Deliverance II est un jeu riche qui vous propose de vivre votre aventure comme vous le souhaitez, mais en faisant preuve de réflexion et d’une certaine maturité. Non pas que le jeu vous culpabilise quand vous commettez des larcins ou si vous vous saoulez dans les tavernes, bien au contraire. Il vous faudra simplement assumer vos actes. Que ce soit gagner de l’argent, accomplir des quêtes, se battre, fabriquer des objets ou commettre un cambriolage, il faudra bien vous préparer en amont, au risque de mal gérer les situations futures. Il est conseillé de recommencer plusieurs parties afin d’accomplir des choix différents et explorer la carte au rythme de vos aventures. Nous y avons joué plusieurs dizaines d’heures pour réaliser quelques quêtes secondaires en plus de la quête principale, et l’on sent qu’il y a encore énormément de contenu à découvrir.
Verdict : 8/10
Si vous cherchez une aventure qui vous pousse dans vos retranchements pour redécouvrir les codes du jeu vidéo, Kingdom Come: Deliverance II est fait pour vous. C’est un jeu de rôle qui peut paraître exigeant, voire frustrant, mais qui procure une immense satisfaction. Si l’on peut reprocher au titre un certain manque dans l’aspect technique, notamment au niveau des détails graphiques ou de petits bugs visuels, la qualité de l’immersion nous permet de facilement lui pardonner. En acceptant le contrat tacite que le jeu nous propose, celui de vivre le jeu comme une aventure médiévale réaliste, alors KCD2 devient une expérience riche et inoubliable.
Kingdom Come: Deliverance II (KCD2) est la suite du premier titre éponyme qui s’était fortement démarqué sur le marché grâce à ses mécaniques réalistes, voire contraignantes, mais ludiques et immersives. Après sept années d’absence, Warhorse Studios fait son grand retour. Que vous soyez passionné de chevalerie ou amateur d’histoire médiévale, Kingdom Come Deliverance 2 réussira-t-il à assouvir votre faim et proposer une expérience plus agréable ? Il est temps de trancher cette question.
Test réalisé sur PS5 à l’aide d’une copie numérique envoyée par l’éditeur
On se remet en selle pour l’aventure !
L’histoire de Kingdom Come: Deliverance II est la suite directe du premier. Elle se situe au début du XVe siècle, au royaume de Bohême. Le roi légitime, Venceslas IV, est détrôné par son demi-frère, Sigismond de Luxembourg, roi de Hongrie et de Croatie. Ce dernier plonge le pays dans une guerre civile obligeant les nobles à choisir entre défendre le royaume de Venceslas, qui est connu pour sa mauvaise gestion et sa décadence, ou aider Sigismond qui pille la région avec l’aide de mercenaires étrangers.
Notre protagoniste est Henry de Skalice, ou Skalitz en anglais, rescapé d’un village brûlé et orphelin dont les parents ont été massacrés par des hommes de Sigismond. Il trouva refuge auprès d’un seigneur local, partisan du roi légitime, et entra à son service dans l’espoir de venger sa famille. Impressionné par les compétences d’Henry après plusieurs services rendus, ce seigneur lui confia la protection de son neveu, le jeune Hans Capon, qui est l’archétype même du noble arrogant et prétentieux. Après de nombreuses péripéties, des mésaventures communes et contre toute attente : Henry et Hans deviennent amis.
Ce deuxième opus reprend l’histoire principale au cours d’une expédition diplomatique, alors que les deux jeunes hommes doivent accomplir une mission cruciale : délivrer un important message pour un seigneur voisin partisan de Sigismond. Évidemment, rien ne se déroule comme prévu et nos compères se retrouvent livrés à eux-mêmes en terres inconnues, sans compagnons ni équipement.
Une toile vivante, saisissante de réalisme
Kingdome Come: Deliverance II est une amélioration saisissante de l’univers du premier. Après sept ans de travail, le studio délivre une représentation d’un monde médiéval bien plus bluffante que dans le premier titre. On se plaît à se balader de nouveau dans des environnements aux couleurs chatoyantes et à la lumière travaillée. La musique, parfaitement orchestrée à partir d’instruments traditionnels, ne vous marquera sûrement pas, mais elle vous plongera immanquablement dans l’ambiance. C’est le genre de mélodie qu’on oublie et qu’on est incapable de siffloter, mais qui ravive de nombreux souvenirs quand on la réécoute. Les souvenirs de nos aventures en tant qu’Henry de Skalice, aventurier, guerrier ou malandrin du royaume de Bohême.
L’univers est finement représenté et crédible dans son agencement. Warhorse Studios a pensé à de nombreux détails pour appuyer cette fameuse immersion. Les menus du jeu adoptent une direction artistique travaillée, avec des illustrations et des effets dignes d’une œuvre médiévale, comme s’il s’agissait de réalisations venues de cette époque. Les paysages sont remplis d’endroits variés : on trouve des ruines dans des milieux reculés, recouverts de plantes grimpantes, des villages dans lesquels chaque PNJ organise sa vie et des hameaux reculés, habités par des parias méfiants. On se plait à explorer la carte de la région, tellement immense qu’elle peut en donner le vertige avec ses secrets attendant d’être découverts par les plus curieux et attentifs. Kingdom Come: Deliverance II possède une faune ainsi qu’une flore riche et diversifiée. La nature occupe une place omniprésente dans l’univers du jeu. Il y a toujours un animal qui se balade quelque part, que ce soit un chien se reposant ou du gibier craintif qui se cache. Seuls les chats manquent à l’appel, dommage…
Cependant, il faut bien mentionner la présence de rares bugs visuels. Il arrive que le moteur du jeu ait du mal à charger des textures, que des bâtiments au loin apparaissent d’un coup quand on s’en approche, ou que du clipping apparaisse en pleine séance d’alchimie. Heureusement, ce n’est pas aussi présent que dans le 1. Le studio prouve qu’il a évolué et utilise quelques astuces visuelles déjà employées par d’autres titres, comme l’utilisation de textures en 2D pour les fleurs ou des objets comme imprimés à même le décor. On peut par ailleurs déplorer un manque d’expression et de réalisme sur les visages, notamment quand on compare à d’autres titres plus récents, mais si vous arrivez à pardonner la faiblesse graphique du jeu, vous vous rendrez compte que Kingdom Come: Deliverance II a beaucoup de choses à raconter et à vous faire vivre.
Concernant le doublage, s’il est de qualité concernant les personnages principaux, comme Henry ou Hans, il manque cruellement de qualité pour les personnages secondaires, du moins c’était le cas lors de la rédaction de ce test. Heureusement, le studio a rapidement annoncé un réenregistrement des dialogues pour proposer une nouvelle version française de Kingdom Come: Deliverance II.
Toute action mérite réflexion
Warhorse Studios a conçu les jeux Kingdom Come: Deliverance comme des expériences quasi-réalistes de la vie d’une personne au Moyen Âge. Même si ce second titre est bien plus accessible sur de nombreux points, particulièrement sur les mécaniques de combat, il n’est pas à privilégier pour ceux qui débutent dans le milieu du jeu vidéo ou qui ne veulent pas un réalisme poussé. Les autres trouveront leur plaisir dans cette expérience aussi immersive qu’épanouissante. Kingdom Come: Deliverance II est une aventure réaliste qui impose d’oublier de nombreux codes du jeu vidéo. Ici, pas de sauvegarde facile, de ressources qui se ramassent toutes seules et d’objets qui se fabriquent instantanément. Chaque action de votre part possède toute une démarche qu’il faut prendre en compte. Par exemple, créer des potions ou une arme peut vous prendre 10 bonnes minutes, entre le fait d’aller récupérer les matériaux nécessaires à un endroit précis et la confection qui peut demander beaucoup d’attention. Sans compter que stocker trop d’objets finit par peser très lourd, et certains aliments peuvent vite pourrir dans l’inventaire.
Dans le même esprit de réflexion, le jeu propose un système de combat unique en son genre. Comme dit plus haut, Warhorse Studios est à l’écoute des joueurs et a considéré les remarques faites au premier volet. Les mécaniques de duel sont bien plus accessibles, mais toujours aussi exigeantes. Il vous faudra prendre en compte la posture de l’adversaire, son équipement et apprendre des techniques à réaliser vous-même avec un bon enchainement de touches. Les combats de Kingdom Come: Deliverance II demandent beaucoup d’endurance et de précision, la moindre erreur, la vôtre ou celle de votre adversaire, peut coûter cher. De plus, il faudra prendre soin de votre équipement pour qu’il ne se brise pas, de votre corps pour qu’Henry ne tombe pas malade et de votre apparence pour que les autres soient aimables avec vous. Kingdom Come: Deliverance II est rempli de microgestions à effectuer. Nous vous conseillons donc de ne pas vous concentrer sur un seul type de tâche, mais de diversifier vos activités au maximum pour profiter au mieux de l’expérience immersive.
Malgré tout, on sent que le titre est bien plus agréable à jouer sur un PC que sur une console de salon. Le déplacement dans les menus peut être redondant et la petite taille de nombreux textes d’explications et de descriptions nécessite de se rapprocher pour mieux lire. Il peut aussi être compliqué de faire attention à des détails sur un écran éloigné, comme certaines herbes à ramasser ou les petits objets à récupérer. Le reste des mécaniques, comme le combat ou l’équitation, ne souffre pas de ce problème de lisibilité, au contraire, l’usage de la manette est adéquat pour ces activités.
Un monde rempli de vie où les destins se heurtent et s’entremêlent
On l’a dit, le monde de Kingdom Come: Deliverance II est un monde ouvert doté d’une taille immense, où la faune, la flore et la civilisation s’épanouissent dans une routine réaliste. Les interactions et les activités varient en fonction des cycles jour/nuit et de la météo. Par exemple, les habitants ont tendance à rester chez eux en cas de pluie. Ils vont également moins vous entendre si vous vous introduisez chez eux par effraction quand l’orage gronde. Le monde réagit en fonction de votre réputation et de vos activités. La notion de choix est omniprésente dans Kingdom Come: Deliverance II. Vos actions ont des conséquences, que vous en soyez conscient ou non.
Les quêtes de Kingdom Come: Deliverance II possèdent de nombreux embranchements et il est possible de découvrir des itinéraires qui n’ont pas été mises en avant par le journal de quête, mais qui sont logiques et cohérentes. Par exemple, en allant voir un PNJ qui nous renseigne sur le chemin qu’a pris son ami, puis en revenant le voir plus tard pour l’informer de sa mort, on peut déclencher ainsi un dialogue avec des informations ou des récompenses supplémentaires. Chacune d’elles est souvent une bonne occasion pour découvrir des aspects du quotidien des gens du peuple, la façon qu’ils ont de voir la vie et les difficultés qu’ils traversent, avec simplicité et une certaine philosophie, qui exprime la richesse du scénario. Mais, ne pensez surtout pas qu’il s’agira d’effectuer de banals travaux de paysan ou de garde. Les quêtes possèdent souvent des retournements de situation et des conclusions inattendues ou surprenantes.
Afin de mieux vous immerger dans tous les contextes du jeu, ce dernier propose des codex expliquant en détail les nombreux lieux, objets et situations que le joueur découvre au fur et à mesure de son avancée. Il est tout à fait possible de s’en passer pour apprécier pleinement l’univers du jeu. Cependant, c’est un ajout fort agréable, qui peut servir à mieux comprendre l’univers de Kingdom Come: Deliverance II et à enrichir sa culture générale.
Il n’est pas obligatoire de jouer au premier titre pour comprendre toute l’histoire de la licence. Des détails sont amenés naturellement au travers des dialogues et de certains objets. Kingdom Come: Deliverance II peut être perçu comme une œuvre à part entière, un film historique avec une bonne mise en scène, notamment pour la quête principale, qui possède ses moments visuellement forts et poétiques.
En parlant de son passé, il faut savoir que notre protagoniste, Henry de Skalice, est un personnage avec son propre caractère, même si nos choix peuvent orienter son comportement et son évolution. Il ne faut pas oublier qu’il est un représentant des vilains, c’est-à-dire des gens du bas-peuple. C’est un jeune homme qui a vécu une tragédie et évolue maintenant dans un monde sans pitié, soumis à des lois et des croyances moyenâgeuses. Ainsi, certains choix de dialogues et de comportements peuvent nous surprendre, tellement ils le font passer pour un sale gosse qui réagit mal, un fourbe manipulateur ou un aspirant chevalier plein de rêves, sans que l’on s’attende à une telle disproportion dans sa réaction en lisant l’option sélectionnée. Ce qui peut faire penser à des résultats d’échecs ou des coups critiques lors d’un jeu de rôle.
Kingdom Come: Deliverance II est un jeu riche qui vous propose de vivre votre aventure comme vous le souhaitez, mais en faisant preuve de réflexion et d’une certaine maturité. Non pas que le jeu vous culpabilise quand vous commettez des larcins ou si vous vous saoulez dans les tavernes, bien au contraire. Il vous faudra simplement assumer vos actes. Que ce soit gagner de l’argent, accomplir des quêtes, se battre, fabriquer des objets ou commettre un cambriolage, il faudra bien vous préparer en amont, au risque de mal gérer les situations futures. Il est conseillé de recommencer plusieurs parties afin d’accomplir des choix différents et explorer la carte au rythme de vos aventures. Nous y avons joué plusieurs dizaines d’heures pour réaliser quelques quêtes secondaires en plus de la quête principale, et l’on sent qu’il y a encore énormément de contenu à découvrir.
Verdict : 8/10
Si vous cherchez une aventure qui vous pousse dans vos retranchements pour redécouvrir les codes du jeu vidéo, Kingdom Come: Deliverance II est fait pour vous. C’est un jeu de rôle qui peut paraître exigeant, voire frustrant, mais qui procure une immense satisfaction. Si l’on peut reprocher au titre un certain manque dans l’aspect technique, notamment au niveau des détails graphiques ou de petits bugs visuels, la qualité de l’immersion nous permet de facilement lui pardonner. En acceptant le contrat tacite que le jeu nous propose, celui de vivre le jeu comme une aventure médiévale réaliste, alors KCD2 devient une expérience riche et inoubliable.
À quelques jours de sa sortie, les informations se bousculent pour Kingdom Come Deliverance II. Le studio officialise plusieurs nouvelles : l’optimisation sur une autre console que celles annoncées, les heures de sortie à travers le monde, ainsi qu’une refonte complète du doublage français.
Suite aux premiers retours des testeurs francophones, nombre d’entre eux se sont plaints de la qualité du doublage, le jugeant souvent insipides et décevants. Et à raison ! Les acteurs n’avaient aucune idée de l’identité des personnages, ni du contexte. Mis à part pour les principaux qui reprenaient des rôles déjà connus, beaucoup d’entre eux étaient sans guidance. Difficile de s’immerger dans un monde médiéval qui se veut historique, si ses habitants semblent perdus, dénués d’âme ou incohérent avec l’action qui se déroule autour d’eux. Une erreur qui va couter cher pour Warhorse Studios.
À la surprise générale, le studio a déclaré une refonte totale du doublage français, prenant le problème à bras-le-corps avec beaucoup de réactivité. Une première dans le monde du jeu vidéo ! L’enjeu est d’autant plus colossal, quand on apprend la taille impressionnante de son script. Il est par contre certain que cette refonte ne sera pas pour tout de suite, même si le doublage à refaire ne concerne surement que des personnages secondaires. À quelques jours de la sortie du jeu, ce sera forcément pour un patch post-lancement.
À ce propos, Warhorse Studios informe sur les heures précises de la sortie de Kingdom Come Deliverance II à travers le monde. Encore plus intéressant, le message précise également les dates de pré-téléchargement du jeu. Elles sont différentes en fonction de votre console.
Xbox Series X|S : le 28 janvier pour 17:00 heure
PlayStation 5 : le 2 février pour 17:00 heure
Steam : le 3 février pour 17:00 heure
Prepare for #KCD2 in advance of launch. Preload times:
Xbox Series X|S: 28 Jan, 8am PST / 5pm CET PlayStation 5: 2 Feb, 8am PST / 5pm CET Steam: 3 Feb, 8am PST / 5pm CET
Check the map for exact times when the game goes live in your region on 4 February. pic.twitter.com/veu8pC1H7j
Et afin de vivre l’ambiance médiévale depuis votre plus beau trône ou depuis un chariot sur les routes du royaume des francs, le studio annonce officiellement que Kingdom Come Deliverance II sera jouable sur le Steam Deck.
Take Henry's journey on the go and experience medieval Bohemia wherever you may roam. #KCD2 is officially playable on Steam Deck. pic.twitter.com/ZXMvJb9kib
Expérimentez une vie réaliste d’aventurier à travers les terres de Bohème et accomplissez votre destin de la manière qui vous convient. Kingdom Come Deliverance 2 est prévu pour le 4 février, en édition classique et Gold avec de nombreux bonus en jeu.
Malgré la présence de scènes violentes dans de nombreux mangas et séries animées, le Japon est connu pour censurer facilement les jeux vidéos. Bien que se déroulant dans le pays du soleil levant, Assassin’s Creed Shadows n’échappe pas à la règle, et on vous explique pourquoi.
Assassin’s Creed Shadows souffre d’une censure localisée de la part du système de classification japonais. En effet, le CERO (Computer Entertainment Rating Organization) lui a octroyé la classification CERO Z, qui est l’équivalent de notre PEGI 18. En conséquence, le jeu va devoir atténuer sa représentation d’actes violents pour sortir au Japon, notamment les scènes de démembrement et de décapitation.
Cela semble fortement déplaire aux joueurs puisque pour le reste du monde, c’est une option désactivable à tout moment. Supprimer intégralement cette fonctionnalité est donc un choix discutable qui remet en cause l’intérêt de la classification CERO pour le public japonais. En effet, ce n’est pas la première fois que l’organisme fait preuve d’inconsistance et d’incohérence sur la classification des jeux. Certains titres comme Callisto Protocol ont été bannis du territoire, tandis que d’autres comme Ghost of Tsushima sont acceptés. Stellar Blade est cité comme un des jeux ayant échappé à cette censure, car les personnages démembrés sont des androïdes ou des monstres, une façon de jouer avec le principe d’être vivants soumis à des actes gore. Une chance que n’avait pas eue Metal Gear Rising Revengeance, qui avait vu le sang de ses cyborgs être remplacé par un liquide blanchâtre.
On peut citer encore de nombreux jeux vidéos ayant modifié une partie de leur contenu pour satisfaire les exigences, souvent intransigeantes, du CERO. Cette implacable volonté de préserver le public japonais aurait pour origine un tragique accident survenu en 1997 : l’affaire de l’enfant tueur de Kobe. Un acte effroyable qui avait laissé une terrible marque dans la conscience collective japonaise et avait fait grand bruit dans la presse nationale puisque des enfants avaient été assassinés et démembrés par un mineur de 14 ans. À l’époque, les politiciens avaient jugé que l’auteur des crimes avait été influencé par la présence d’actes violents dans les films et séries populaires. Ce qui avait amené à renforcer considérablement la censure sur les actes violents dans les jeux vidéos. Un média qui touche les plus jeunes et dont l’évolution des technologies et des graphismes permettent toujours plus de réalisme. Tous ces éléments réunis expliquent sûrement la rigueur dont fait preuve le CERO.
Assassin’s Creed Shadows est prévu pour le 20 mars 2025. En espérant qu’il s’agissait là de la dernière problématique que pouvait subir le studio concernant leur titre phare de l’année.
Il y a des moments où la passion prend tellement le pas sur le reste de la vie qu’il faut savoir s’arrêter un peu pour se ressourcer et ne pas avoir de regrets. C’est le choix de Johan Pilestedt, l’homme connu derrière le jeu Helldivers 2.
C’est ce 28 janvier que Johan Pilestedt informe sa communauté de joueurs, les grands défenseurs de la démocratie militaire spatiale, qu’il compte se prendre un temps de repos pour mieux se recentrer sur des valeurs importantes : la famille, l’amitié et l’amour. Des piliers qui l’ont soutenu pendant plus d’une décennie à créer et développer les jeux de la série Helldivers et en faire les succès qu’ils sont aujourd’hui. Une manière pour lui de les remercier avec gratitude, avant de commencer un nouveau projet avec Arrowhead Game Studios.
Hey everyone!
I am gonna do a sabbatical for a while!
I know a lot of you are going to think "por qué?" – well, while you have enjoyed @helldivers2 for almost a year, I have been living it since early 2016, and with @HelldiversGame – its since 2013.
Ma vie tourne autour de @Helldivers 2 depuis début 2016, et concernant les jeux @Helldivers, c’est depuis 2013.
11 ans à uniquement travailler tous les jours sur la même franchise m’a amené à consacrer moins de temps à ma famille, mes amis et ma fantastique femme… ainsi que moi-même.
Je vais maintenant prendre un peu de temps pour les retrouver et les remercier de m’avoir soutenu pendant plus d’une décennie.
Durant ce temps, je suis certain que mes amis à @ArrowheadGS vont donner le meilleur d’eux-mêmes pour faire des trucs incroyables pour @Helldivers2
À mon retour – Je commencerai à bosser sur le prochain jeu d’Arrowhead.
Une annonce bien accueillie par la communauté qui lui souhaite le meilleur. Il montre un bon exemple du milieu du travail dans l’industrie des jeux vidéos. Cela peut faire rêver, mais c’est un milieu qui souffre encore de nombreuses critiques, notamment dans sa gestion des employés, aussi bien dans l’exécutif que dans la création. Les heures de travail ne se comptent plus pour les acteurs passionnés qui souhaitent aussi bien satisfaire les directions que les joueurs. Johan Pilestedt fait le bon choix en prenant un temps de repos, même si on peut questionner le fait qu’il le fasse au bout d’une décennie de dévotion.
Après le succès d’Helldivers 2, le prochain jeu d’Arrowhead Game bénéficie d’une certaine attente de la part des fans. Il faut maintenant faire preuve de patience, car c’est avec des employés heureux qu’on fait des jeux merveilleux.
Un an après sa sortie sur PlayStation 5, le titre du studio Team Ninja s’offre un superbe portage PC pour son quasi-anniversaire. Découvrez les exclusivités propres à cette nouvelle version.
Rise of the Ronin est prévu pour le mardi 11 mars 2025, ce qui est maintenant la norme pour les portages de jeux édités en premier lieu pour une console. Mais on peut dire que l’attente en vaut la peine, tant le titre profite d’une belle optimisation pour cette nouvelle plateforme.
Voici les nouvelles fonctionnalités exclusives pour la version PC de Rise of the Ronin :
Résolution 8k
DirectX 12 Ultimate
Compatibilité avec les moniteurs ultra-larges et super-ultra-larges
120 images par seconde
Ray tracing
Audio 3D
Commandes clavier et souris personnalisables
AMD Fidelity FX Super Resolution
NVIDIA DLSS et Reflex
Menu de l’interface avec possibilité de cliquer avec la souris
Technologie graphique Intel XeSS
Rise of the Ronin est déjà disponible en précommande sur Steam. Tous les joueurs qui achèteront le jeu en accès anticipé recevront un bonus de précommande : quatre styles de combat, ainsi que le set d’armure et le katana Iga Ninja.
Riche d’un gameplay vous permettant de manier de nombreuses armes différentes, telles que le katana, la lance ou le pistolet, ainsi que de nombreuses possibilités de customisation, Rise of the Ronin nous plonge au cœur des bouleversements de l’ère Bakumatsu. Une importante période où le Japon subit de nombreux changements dû aux guerres de nobles et aux arrivées de navires occidentaux. Vous y incarnez un rônin, un samouraï sans maître, et ferez la rencontre de nombreuses figures historiques. Avec de multiples fins disponible, Rise of the Ronin vous met face à des choix qui détermineront le destin du pays.
Pour rappel, Rise of the Ronin sera disponible le 11 mars 2025 sur Windows PC via Steam. On vous conseille de faire attention à vos composants pour profiter d’une expérience de jeu optimale.
À peine la Switch 2 a été dévoilée, que le CEO de Xbox Games Studios communiquait déjà avec celui de Nintendo pour parler des futurs portages Xbox possibles. La concrétisation d’anciennes rumeurs ?
Une information révélée lors d’une interview pour le média Gamertag Radio. Phil Spencer aurait échangé quelques mails avec le président de Nintendo juste après la révélation de la Switch 2, le félicitant et donnant ses appréciations positives sur cette nouvelle console, ainsi que la recherche constante de Nintendo pour l’innovation.
Le patron de Xbox Games Studios apprécie tout particulièrement la future console de Nintendo. Il prévoit le portage de jeux récents, tels que Diablo 4, Halo: The Master Chief Collection, Microsoft Flight Simulator, Starfield, mais aussi et plus surprenant : des jeux Call of Duty.
La puissance accrue de cette nouvelle Switch va surement permettre d’avoir un catalogue bien plus large pour les jeux de type FPS qui devraient profiter de la fameuse technologie infrarouge des Joy-Cons, mais ce n’est qu’une supposition.
Une confirmation du parti pris de Xbox Games Studio de s’ouvrir davantage au portage de ces jeux sur les consoles concurrentes, et cela fait suite aux rumeurs survenues durant le mois de février 2024, où il était question d’un portage imminent pour les jeux Hi-Fi Rush et Sea of Thieves. Le premier avait eu une évaluation de sa classification pour les consoles de Nintendo, la catégorisant en M pour Mature à cause de sa violence fantastique. Sea of Thieves avait quant à lui dévoilé un mystérieux message sur X mentionnant plusieurs types d’embarcations de couleurs différentes. Vert et Blanc seraient les plateformes Xbox et Steam, sur lesquels le jeu serait déjà sorti à l’époque, tandis que Rouge et Bleu auraient été Nintendo et PlayStation. Une semaine plus tard, Sea of Thieves était annoncé cette dernière. Il était peut-être uniquement question de puissance de console pour que les jeux mentionnés abordent les couleurs rouges Nintendo ? Cela devrait maintenant être possible avec cette Switch 2 bien plus puissante que sa grande sœur.
Rowboats are red, And sometimes they're blue, Other times they're green, Occasionally they can be white…
D’autres surprises étonnantes risquent d’arriver dans les mois qui suivront. La Switch 2 attire tous les regards des géants de l’industrie, il est certain que son arrivée va provoquer son petit bouleversement dans le paysage vidéoludique.
Disponible dès maintenant sur le site de Bethesda Gear International, DOOM: The Dark Ages présente une édition collector avec une statue exclusive et d’autres accessoires qui devraient ravir les fans de la licence.
Annoncé pour le 15 Mai 2025, DOOM: The Dark Ages présente les composants de son édition collector, disponible en pré-commande pour les versions PC, PS5 et Xbox Series X.
Version physique et numérique du jeu pour PS5 et Xbox Series X. En clef Steam pour PC.
Une statuette du DOOM Slayer haute d’une trentaine de centimètres, avec ses armes amovibles et une cape en fausse-fourrure.
Un boitier standard et un boitier SteelBook
Une réplique de la « Red Key Card ».
Du contenu prémium : DLC de la campagne, un Artbook numérique avec des illustrations et concept art, de nouvelles apparences avec le Divinity Skin Pack pour le DOOM SLayer et la bande-son du jeu sous forme numérique.
Découvrez le Lot collector de DOOM: The Dark Ages ⋆ Une statue de 30 cm du DOOM Slayer ⋆ Jusqu'à 2 jours d'accès anticipé au jeu ⋆ Le DLC de campagne à venir et bien plus ! #DOOM
Il sera également possible de jouer à DOOM: The Dark Ages avec deux jours d’accès anticipé. Si vous passez commande avant fin avril, vous pourriez être livré pour le 12 mai.
DOOM: The Dark Ages sort le 15 mai 2025.
Précommandez l'Édition Premium pour profiter de 2 jours d'accès anticipé sur XboxGamePass + Xbox Series X|S + PC + PlayStation 5
Pour les joueurs PC, on vous conseille de faire attention à vos composants matériels, il se peut que de nombreuses machines ne puissent faire tourner facilement le prochain jeu de Id Software. Découvrez les configurations techniques conseillées pour profiter au mieux de votre expérience de jeu.
DOOM: The Dark Ages est prévu pour le 15 mai, mais si vous possédez cette édition collector, les portes de l’enfer vous seront ouvertes dès le 13.
Présenté durant ce Developer_Direct de Xbox ce mercredi 23 janvier, Clair Obscur: Expedition 33 dévoile de nouveaux éléments de son univers, ainsi que le jour de sa sortie. Une nouvelle très attendue par la communauté des amateurs de RPG à la recherche d’un vent de fraicheur.
Nous le savons désormais, Clair Obscur: Expedition 33, le prochain jeu de jeu du studio français Sandfall Interactive, annonce une date de sortie prévue le jeudi 24 avril 2025. Il sera disponible également sur le Game Pass le jour même.
Durant cette présentation, la petite équipe de Montpellier aborde de nouveaux éléments propre à cet univers et revient sur les points les plus importants du jeu pour eux : la réinvention d’un système de combat qui allie le fun et l’exigence. Et un univers immersif qui donne ce sentiment d’exploration que devrait avoir une véritable expédition.
Déjà mis en avant lors des précédents trailers, Clair Obscur: Expedition 33 propose aux joueurs une mécanique dynamique qui vous permet de contrer et d’esquiver les attaques ennemies et de renforcer les vôtres en appuyant sur les bonnes combinaisons de toucher au bon moment. Tout cela alors que le jeu est en tour-par-tour. Un gameplay intéressant qui permet de se préparer avant d’entamer des séquences intenses après avoir choisi ses stratégies. Cette nouvelle présentation met en avant les mécaniques propres aux personnages. Chacun aura un arbre de compétences en lien avec son rôle, ses thèmes et son caractère.
Les développeurs ont déjà prévu une beaucoup de combinaisons possibles à partir des capacités des personnages, mais les possibilités deviennent gargantuesques avec l’ajout des « Pictos », des améliorations qui s’acquièrent avec les combats pour devenir des bonus passifs qui pourront être personnalisés pour chacun des personnages. À l’instar de beaucoup d’anciens RPGs, l’équipe sait que vous êtes capables de casser le jeu. Elle espère que vous le ferez et vous donne tous les outils pour trouver vos combinaisons préférées.
De nouveaux personnages, ont été introduits : Monoco et Esquie. Ce sont des habitants de ce monde baroque inspiré par l’art nouveau, des Gestrals. Leurs comportements loufoques détonnent au milieu de cet univers qui semble si sombre au premier abord, mais ils apportent un vent de gaieté et remettent en question la perception que peut avoir les personnages sur ce qui les entoure. Monoco est une sorte de philosophe combatif qui vous servira de guide et aura la capacité de se transformer en certains ennemis affrontés. Esquie est plus doux, c’est un compagnon qui vous servira de monture pour arpenter l’immensité des territoires proposés par Clair Obscur: Expedition 33. Sandfall Interactive en profite également pour dévoiler une mécanique propre aux anciens JRPG, qui semblait abandonnée depuis plusieurs années : l’exploration à travers une carte en 3D représentative ! À la manière des anciens Final Fantasy ou des Golden Sun, il vous sera possible d’arpenter l’univers à pied ou à dos d’Esquie pour en découvrir les secrets, les nouvelles régions et les boss cachés.
Comme le dit cet article sur le Xbox Wire, Claire Obscur: Expedition 33 confirme son amour pour les classiques du RPG en leur rendant hommage, mais c’est celui que donne Sandfall Interactive à la communauté des joueurs qui pourrait faire de lui une référence pour les générations futures.
Clair Obscur: Expedition 33 est prévu pour le 24 avril 2025. Préparez-vous à embarquer pour une nouvelle aventure pleine de magies et de couleurs, qui vous rappellera surement les classiques de votre enfance et vous marquera pour longtemps.
Le service en ligne SEGA Account est en partenariat avec Nintendo, PlayStation, Xbox, Steam et Epic Games, prévu pour une mise en ligne le 17 février 2025.
Actuellement, les seuls bonus proposés sont : un skin exclusif au jeu Like a Dragon: Pirate Yakuza in Hawaii, si vous activez votre compte avant le 7 mars 2025. Ainsi qu’une ribambelle de bonus pour le jeu en ligne Phantasy Star Online 2 New Genesis, comme des gemmes étoiles et animations.
Deux titres uniquement son mis en avant pour ce service, dont l’un d’eux qui semble disponible uniquement pour le marché japonais. Mais comme l’annonce la page du service, il y aura également un système d’archives que l’on pourra consulter pour connaître son historique de jeux, ainsi que d’autres titres qui seront ajoutés.
C’est encore bien maigre comme avantages pour vraiment motiver les joueurs à s’enregistrer encore une fois à un service en ligne. Alors que Sonic est utilisé comme visuel pour promouvoir le service, aucun jeux avec lui en vedette n’est mis en avant. Et mis à part pour le MMO PSO2 NG, cité plus haut, le skin proposé pour le spin-off de Yakuza: Like a Dragon n’est pas non plus assez original et thématique.
Cette annonce est assez discrète, vu son manque de poids pour représenter un réel intérêt. Il peut s’agir d’une première démarche pour tester la fonctionnalité du service avant d’y investir plus de moyens. Il reste cependant assez difficile d’y voir un réel intérêt pour le joueur moyen si le service se contente d’y faire des annonces qui seront relayées par des services plus connus ou de proposer des contenus anecdotiques pour les jeux. Qui sait, peut-être aurons-nous droit à un jeu service estampillé SEGA et ATLUS dans les mois qui suivront ? Il faudra par contre travailler la communication, qui rime mal avec discrétion.
Une annonce bien maigre, mais qui possède du potentiel pour l’avenir de SEGA. On vous encourage à vous y inscrire si vous aimez les jeux de ces éditeurs. Vous pourrez y toujours avoir de belles surprises !
Annoncé le jour de l’anniversaire de sa sortie en Early Access, Palworld dévoile une feuille de route avec d’intéressants ajouts à son contenu. Une annonce chargée en révélations importantes qui risque de faire suer Big N.
Au programme : de l’histoire et des améliorations !
Future Roadmap We've been updating the game since the start of Early Access, and we'll continue to update Palworld as we prepare for the official release!
The future roadmap includes the following: -CO-OP Crossplay -World Transfers for Pals -Final Boss / Ending Scenario… pic.twitter.com/k8UuMhg5r1
Coopération entre les joueurs sur PC et sur consoles.
Échange de Pals à travers le monde.
Une fin au scénario avec son boss final.
Possibilité d’améliorer et de renforcer les Pals
Une variété de nouveaux contenus, comme de nouveaux Pals et de nouvelles technologies.
Collaborations avec d’autres jeux (comme Terraria)
Amélioration du placement d’objets dans le monde.
Amélioration des Pals déjà présents.
Amélioration de l’optimisation.
Amélioration de l’expérience utilisateur (UX).
Cette feuille de route se sépare en deux types d’annonces : les mises à jour majeures, comme les nouveaux événements. Et les améliorations du jeu de base. Comme aucune date n’est annoncée sur cette feuille de route, il n’est pas possible de savoir quelles sont les priorités du studio. Mais comme toutes fondations, il est plutôt certain que Pocket Pair prévoit d’améliorer la base de Palworld, qui est encore en Early Access, on rappelle. Et oui, malgré 25 millions de joueurs présents le mois de son lancement et les centaines de milliers encore actif sur Steam, Palworld n’est pas encore un jeu complet. Mais ça ne saurait tarder !
On peut imaginer que l’ensemble de ces mises à jour auront surement lieu courant 2025 et pourront se terminer lors du second anniversaire du jeu, en janvier 2026, afin de marquer le coup. Dans le but de célébrer cet événement avec sa communauté et les fans de Pals, Pocket Pair vous propose de voter pour votre ou vos petites créatures favorites (ou humains favoris ? Bizarre…) Un joli moyen de garder la hype, tout en permettant à chacun de comparer ses choix sur les réseaux et avec le résultat final une fois qu’il sera dévoilé.
Alors que l’on pouvait s’attendre à un enlisement dans une tourmente sans fin pour Pocket Pair et Palworld avec des problèmes juridiques, la licence affiche un état de santé plus que prometteur. De quoi ravir les amateurs de chasses aux créatures fantastiques.