Sorti le 19 juin 2025 sur Meta Quest, le jeu en réalité mixte développé par le studio angoumoisin Kalank transforme les Schtroumpfs en héros d’un salon bien réel. Une prouesse immersive, symbole d’un territoire en pleine ébullition créative.
Angoulême, un pôle majeur de créativité, devient un centre d’innovation pour les industries créatives, notamment le jeu vidéo. Le studio Kalank, avec son jeu « The Smurfs – Flower Defense« , fait rayonner cette ville au cœur de la Charente. Ce jeu en réalité mixte, une première dans l’univers des Schtroumpfs, promet une immersion sans précédent pour les joueurs. En collaboration avec Microids, Kalank combine technologie de pointe et narration pour offrir une expérience immersive unique.
Un jeu immersif qui réinvente l’univers des Schtroumpfs
Depuis son lancement le 19 juin 2025, The Smurfs – Flower Defense ne passe pas inaperçu dans le paysage vidéoludique. Il faut dire que le défi relevé par Kalank et l’éditeur Microids est audacieux : propulser les Schtroumpfs dans une aventure en réalité mixte (MR), une première pour cette licence emblématique. Le joueur est équipé d’un casque Meta Quest. Il voit alors les petits personnages bleus s’animer dans son environnement physique, entre meubles et murs familiers. Le gameplay, inspiré du genre tower defense, mêle action, stratégie et humour fidèle à l’univers de Peyo. Une dizaine d’heures de contenu, un niveau de finition soigné, et une immersion étonnante expliquent l’engouement des premiers joueurs. Gargamel n’a jamais été aussi proche… littéralement.
Kalank, jeune studio ancré dans le terreau angoumoisin
Ce projet ambitieux est signé Kalank, un studio né à Angoulême, fondé par deux anciens du CNAM-ENJMIN : Baptiste Deneufbourg et Adrien Carta. Leur parcours illustre la dynamique d’un écosystème local qui attire et fait éclore les talents. Angoulême n’est plus seulement le bastion de la bande dessinée : c’est aussi un territoire en pointe dans le jeu vidéo et la XR ! Grâce à l’incubation proposée par Magelis et aux dispositifs de financement régionaux (jusqu’à 150 000 € de soutien par projet), les créateurs peuvent passer de l’idée au produit. The Smurfs – Flower Defense a justement été initié dans ce cadre, avec l’agilité d’un studio indépendant et les moyens de productions dignes d’un éditeur majeur.
Angoulême, territoire d’expérimentation pour la XR
La sortie de ce jeu s’inscrit dans une trajectoire plus large. Angoulême attire de plus en plus d’acteurs du numérique immersif, de Cortex Productions à Goupil Technology, en passant par Studio Nyx. Tous développent des projets qui mêlent narration, technologie et innovation visuelle. L’organisation d’Immersity, rendez-vous annuel dédié à la XR, confirme cette volonté de s’imposer comme un pôle francophone de la création immersive. Je tiens à noter que Flower Defense devient le reflet d’un territoire qui transforme ses racines culturelles en levier d’innovation.
Article basé sur un communiqué de presse reçu par la rédaction.
Depuis plus de dix ans, Ming-Chi Kuo scrute les coulisses d’Apple comme personne. Grâce à ses infos venues tout droit de la chaîne d’approvisionnement, il a souvent une longueur d’avance. Tout récemment, il a parlé de ce qu’Apple mijote pour les trois années à venir. D’après cet analyste réputé, plusieurs casques et lunettes connectées seraient dans les cartons.
Le géant de la tech, Apple préparerait une nouvelle salve de produits. D’ici 2028, la marque à la pomme compterait élargir sérieusement sa gamme en réalité étendue. Une série de casques et de lunettes arriveraient alors dans les trois prochaines années.
« Apple considère les dispositifs portés sur la tête comme la prochaine grande tendance dans l’électronique grand public. La société travaille actuellement sur au moins sept projets, comprenant trois produits de la série Vision et quatre variantes de lunettes connectées. Cinq de ces produits ont des calendriers de développement confirmés, tandis que deux restent à déterminer. » C’est Ming-Chi Kuo, l’analyste star de la chaîne d’approvisionnement, qui lâche cette iinfo. Depuis plus de dix ans, il observe les mouvements en coulisses et voit souvent arriver les nouveautés bien avant tout le monde. Voici un aperçu des appareils que la firme californienne pourrait dévoiler au cours des trois prochaines années.
Apple prépare un casque XR dopé à la puce M5 en 2025
Selon Ming-Chi Kuo, Apple concocterait déjà la suite pour son casque Vision Pro. Il s’agirait d’une version boostée, équipée cette fois-ci de la puce M5. Cette nouvelle mouture ne changerait pas grand-chose à l’extérieur. Toutefois, il y aurait une grosse montée en puissance à l’intérieur.
Rappelons que le Vision Pro actuel utilise la puce M2, mais il est sorti avec un certain retard, alors que les Mac M3 et iPad M4 étaient déjà là. Avec le passage au M5, Apple veut certainement remettre les pendules à l’heure et proposer une expérience plus réactive en termes de réalité augmentée (AR) et en réalité virtuelle (VR). Et même si cette fameuse puce M5 n’a pas encore été dévoilée, les performances attendues donnent déjà le tournis.
Concernant le design, il n’y aurait pas de révolution en vue. En effet, l’extérieur de l’appareil resterait très proche du modèle d’origine. Néanmoins, quelques ajustements seraient prévus pour un meilleur confort, surtout autour de la tête et de la nuque. Apple miserait aussi sur une intégration plus poussée de l’intelligence artificielle dans le but de rendre l’ensemble plus malin et plus intuitif.
Enfin, le lancement du Vision Pro 2 se situerait entre fin 2025 et début 2026, juste avant l’arrivée attendue d’un modèle plus abordable. La firme de Cupertino enclencherait la production de masse au T3 2025. Elle tablerait sur des ventes comprises entre 150 000 et 200 000 unités sur l’année.
Un autre casque, l’Apple Vision Air pour l’année 2027
Aucun casque ou appareil XR ne devrait voir le jour chez Apple en 2026. Mais en 2027, Apple préparerait un nouveau casque XR qui pourrait bien alléger les portefeuilles. Baptisé Vision Air, ce modèle serait une version plus légère et clairement pensée pour le grand public. Avec plus de 40 % de poids en moins que le Vision Pro, l’expérience en réalité mixte ne devrait plus trop peser sur la nuque.
Ce nouveau casque n’utiliserait pas les matériaux nobles comme le verre et le titane. Apple opterait ici pour du plastique et un alliage de magnésium. Ce modèle ne viserait pas l’exploit technologique à tout prix, mais plutôt un bon équilibre entre performance et accessibilité.
Le Vision Air adopterait le processeur du dernier iPhone haut de gamme, et laisserait de côté les puissantes puces M des Mac. En revanche, il y aurait moins de capteurs, ce qui contribuerait à réduire les coûts sans trop sacrifier l’expérience. La production à grande échelle serait prévue pour le troisième trimestre 2027.
Un véritable successeur de nouvelle génération du Vision Pro pour la fin de l’année 2028
Selon Ming-Chi Kuo, Apple plancherait sur un Vision Pro de deuxième génération attendu pour 2028. La marque aurait alors une formule plus légère et surtout moins salée en termes de prix. Ce modèle repensé abandonnerait le design d’origine pour quelque chose de plus affiné. En outre, il utiliserait un processeur de la gamme Mac.
La production à grande échelle de ce casque de nouvelle génération serait prévue pour le second semestre. Apple semble vouloir rendre son casque XR un peu plus accessible, sans pour autant tirer un trait sur ses ambitions technologiques.
Des lunettes intelligentes Apple de première génération en 2027
Apple serait prêt à se lancer dans la course aux lunettes connectées avec un modèle attendu pour 2027. Leur principal atout serait une IA embarquée capable de décoder l’environnement, sans recourir à un affichage frontal. Leur look classique cacherait une technologie pointue : contrôle vocal, reconnaissance des gestes, et même la possibilité de prendre des photos ou vidéos basiques.
Avec plusieurs styles de montures et matériaux au choix, Apple voudrait clairement marquer son territoire face à Meta et ses célèbres Ray-Ban. Les ambitions sont élevées puisque la firme compterait produire entre 3 et 5 millions d’unités dès la première année. Pour mettre cela en perspective, les lunettes Meta Ray-Ban ont déjà atteint les 2 millions d’exemplaires vendus début 2024, et leur fabricant prévoit de monter jusqu’à 10 millions en 2026.
Une paire de lunettes XR en 2028
D’après Ming-Chi Kuo, la marque préparerait une paire de lunettes XR ultra high-tech, avec une production qui devrait démarrer fin 2028. Ces petites merveilles ne se contenteraient pas d’être jolies : elles écouteraient, comprendraient les gestes et afficheraient des infos en couleur directement devant les yeux.
Pour y parvenir, Apple miserait sur les écrans LCoS, ces micro-écrans LCD déjà utilisés dans des appareils comme le Magic Leap ou les Snap Spectacles. Un système de guide d’ondes viendrait compléter l’ensemble pour une image bien nette. Meta compte faire pareil en 2027, mais Apple semble vouloir frapper plus fort — comme souvent.
Ces lunettes embarqueraient une bonne dose d’intelligence artificielle. Et ce n’est pas fini, une version alternative — plus mystérieuse pour le moment — serait également en préparation, avec une sortie prévue plus tard.
Apple travaille sur un accessoire d’affichage filaire
Apple aurait aussi dans ses cartons un accessoire d’affichage filaire, pensé pour se connecter au Mac ou à l’iPhone, avec une technologie un peu sophistiquée appelée « Birdbath » pour offrir une image nette et un réglage d’opacité malin grâce à un système électrochrome. L’idée aurait été de lancer la production en masse dès 2026.
Mais voilà, le projet a été mis en pause fin 2024. Pourquoi ? Parce que cet accessoire avait un petit défaut : il était un peu trop costaud sur la balance, pesant entre 120 et 130 grammes, alors que la concurrence fait plus léger, sous la barre des 100 grammes. Pas top pour un objet censé être pratique et facile à porter.
Aujourd’hui, Apple revoit sa copie, ajuste ses plans et pourrait bien remettre ce projet sur les rails un peu plus tard. Cet accessoire d’affichage reste un mystère un peu suspendu, mais on garde un œil dessus.
Il faut garder en tête que Ming-Chi Kuo, aussi bien informé soit-il, n’a pas toujours vu juste. Ses prédictions, parfois très précises, peuvent aussi rater la cible. Alors, avant de se projeter trop vite dans les trois années à venir, mieux vaut garder un petit grain de sel sous la main. Les projets d’Apple font rêver, mais rien n’est gravé dans le marbre. Par ailleurs, certaines de ses récentes déclarations vont à l’encontre de ses propos antérieurs, ainsi que des informations relayées par d’autres journalistes comme Mark Gurman de Bloomberg.
Réalité augmentée : Apple vise haut dans un marché déjà en pleine ébullition
Si Apple parvient à concrétiser ne serait-ce que la moitié de ses projets XR, la firme pourrait bien devenir un acteur incontournable de la réalité augmentée. Comme souvent, la marque à la pomme semble préférer observer la scène avant de débarquer avec ses propres armes.
En attendant, la concurrence ne reste pas les bras croisés. Meta s’est allié à Oakley pour lancer ses lunettes Oakley Meta, taillées pour les amateurs de plein air et de sport. Elles promettent une autonomie solide de 8 heures, un étui capable de tenir 48 heures, et un enregistrement vidéo en 3K. Commercialisées à 499 $, ces lunettes seront bientôt disponibles en précommande dans quelques pays triés sur le volet.
Du côté de Google, les lunettes XR sous Android dévoilées à la conférence I/O 2025 ne manquent pas d’arguments. Messagerie, navigation, traduction en temps réel, et même photo directement via les verres : tout y est. Avec l’IA Gemini dans leurs tripes, ces lunettes savent puiser les infos autour d’elles grâce à leurs capteurs et fonctionnent sans être reliées directement au téléphone. Apple a donc du pain sur la planche pour se faire une place, mais on sait qu’ils aiment les défis.
Les nouvelles versions des avatars Persona d’Apple sont très réalistes avec VisionOS 26. Elles ont la peau plus fine, des expressions plus naturelles, et des cheveux mieux dessinés. Mais comment conserver cette qualité d’image sur des casques plus compacts, avec moins de place pour les précieuses caméras ?
Sur le Vision Pro, Apple propose les avatars Personas, un double numérique en trois dimensions qui reproduit en temps réel les mouvements du visage, les émotions et même la voix de la personne qui le porte. Celles-ci sont pratiques pour les appels et les réunions. Au départ, les Personas avaient plutôt l’allure de mannequins en vitrine : sourires figés, cheveux plats et un réalisme perfectible. Lors des appels, le rendu prêtait plus à rire qu’à l’immersion.
Mais avec la mise à jour visionOS 26, on a une meilleure version des Personas. Les visages sont désormais plus vivants, les cheveux semblent plus réalistes. De plus, le rendu de la peau est plus juste et même les vues de profil gagnent en crédibilité.
Ce grand changement est possible grâce à une combinaison d’intelligence artificielle et de rendu 3D avancé. Le tout est calculé en quelques secondes dans le casque. Ainsi, les conversations virtuelles prennent enfin un air (presque) réel. Mais il reste un défi technique : comment Apple pourra-t-elle maintenir cette qualité des Personas sur des casques plus petits ?
Comment adapter les avatars Personas du Vision Pro aux casques de demain ?
Avec cette nouvelle version des Personas, Apple atteint un niveau de réalisme bluffant. Mais tout cela repose sur le bon positionnement des caméras dans le casque. Et c’est là que le bât blesse pour les futurs modèles plus compacts.
Dans un casque comme le Vision Pro, les capteurs disposent de suffisamment de place pour capter précisément le visage. Tout est visible sans obstruction. Ce champ de vision est essentiel pour traduire fidèlement les expressions sur l’avatar.
Mais avec un casque plus petit, deux problèmes se posent : d’une part, il y a moins d’espace physique pour placer les caméras au bon endroit. D’autre part, l’angle de vue des capteurs risque d’être réduit ou déformé, ce qui complique la lecture fine des mouvements du visage.
Apple devra donc trouver un moyen d’intégrer discrètement des capteurs tout aussi performants dans un boîtier plus petit, et conserver cette fameuse « ligne de vue » directe avec les traits du visage. C’est un vrai défi d’ingénierie, car il faudra jongler entre compacité, performance et autonomie.
Vous êtes curieux de connaître la date de sortie de la prochaine extension Pokémon TCG Pocket ? Selon les tendances actuelles, la prochaine extension, identifiée pour l’instant comme A4, pourrait sortir le 31 juillet 2025.
La Clairière d’Évoli, la dernière extension de Pokémon TCG Pocket, a bien su nous séduire. On y a découvert plus de 100 nouvelles cartes, dont des versions EX d’Évoli et de ses évolutions, et de nouvelles cartes Dresseur et Objet.
Comme attendu, l’extension A4 du jeu se profile à l’horizon en tant que prochaine sortie. Il est fort probable qu’elle introduise une nouvelle génération de Pokémon. Il y aurait certainement une extension divisée en deux boosters autour de thèmes spécifiques.
Pour l’instant, le thème principal reste un mystère. Il faudra donc rester attentif aux rumeurs et fuites à venir pour savoir quels Pokémon seront les vedettes dans ces prochains paquets. Reste maintenant à savoir quand cette nouvelle extension pointera le bout de son nez.
L’extension A4 du Pokémon TCG Pocket, une sortie pour le 31 juillet ?
Depuis octobre 2024, Pokémon TCG Pocket suit un calendrier de sorties. La fréquence de sortie des extensions tourne généralement autour de quatre semaines. Tout a commencé le 30 octobre avec Puissance Génétique, la toute première extension. À peine le temps de ranger ses cartes que L’Île Fabuleusearrivait le 17 décembre.
L’année 2025 a démarré sur les chapeaux de roue avec le lancement de Choc Spatio-Temporel, arrivé le 30 janvier. Puis, le 28 février, l’extension Lumière Triomphale a pris le relais. Le 27 mars, c’était au tour de Réjouissances Rayonnantes de faire scintiller les écrans, suivis un mois plus tard, le 30 avril, des très solennels Gardiens Célestes. Et ça ne s’est pas arrêté là : le 29 mai, la crise s’est invitée avec Crise Extradimensionnelle, avant que La Clairière d’Évoli ne vienne ramener un peu de douceur le 26 juin.
Alors même si rien n’a été confirmé officiellement, tout indique que la prochaine extension pourrait bien sortir le 31 juillet 2025. Et c’est une date tout sauf tirée au hasard, mais plutôt déduite d’un calendrier qui jusqu’ici ne laisse pas beaucoup de place à la surprise.
Bien sûr, nous vous tiendrons informés dès qu’un détail concernant la prochaine extension A4 de Pokémon TCG Pocket se profile à l’horizon.
Ton vaisseau ne sortira pas d’un hangar préfabriqué : tu le construiras boulon par boulon. Dans BuildPort Xumia, chaque duel spatial commence à l’établi… et finit dans l’arène.
BuildPort Xumia débarque en accès anticipé sur Meta Quest 3 et 3S avec une promesse explosive. Le jeu du studio indépendant Yumebau permet de construire intégralement ton vaisseau spatial depuis zéro. Drones, mechas, chasseurs stellaires inspirés de Star Wars: tout est personnalisable à l’infini. Chaque bloc modulaire, chaque propulseur, chaque arme ou capteur contribue à ton engin unique. Il faudra gérer intelligemment l’énergie, car chaque action, vol ou tir, dépend de cette distribution.
Ce système de construction basé sur la physique permet des créations ultra-dynamiques. Comme le souligne le studio, « ce sont vos choix techniques qui détermineront la victoire ou la chute ».
Des combats spatiaux stratégiques et nerveux
Pas question ici de contempler son vaisseau : BuildPort Xumia te propulse au cœur de l’arène. Le titre propose un mode multijoueur 1v1 dès le lancement, où tes créations affrontent celles des autres pilotes. Tu peux aussi défier une IA redoutable pour affiner ton style de jeu.
Chaque duel exige des réflexes précis, mais aussi une vraie stratégie dans la construction. Un vaisseau trop lourd ne manœuvre pas assez vite. Une mauvaise répartition énergétique et tu perds toute capacité de riposte. Le studio résume bien la philosophie : « construire, tester, combattre, corriger ».
BuildPort Xumia ne se limite pas aux affrontements : il permet aussi la collaboration créative. Tu peux inviter tes amis à rejoindre ta session et construire ensemble un vaisseau en temps réel. L’interface modulaire facilite l’ajout de pièces en tandem, sans limite de style.
Le studio a aussi prévu des défis solo appelés « Épreuves Xumi ». Ces épreuves testent tes compétences de pilote, de concepteur et de tacticien. Ces défis posent des contraintes spécifiques, idéales pour perfectionner ses constructions et tester de nouvelles idées en conditions réelles.
Un jeu évolutif pensé pour durer
Actuellement proposé à 6 dollars sur le Horizon Store, BuildPort Xumia profite d’un prix réduit en phase d’accès anticipé. Le tarif passera bientôt à 10 dollars, selon les développeurs.
Ce lancement marque aussi le début d’un programme d’améliorations régulières. De nouveaux modes de jeu, des composants inédits, des avatars supplémentaires et des ajustements sont déjà prévus. Yumebau promet d’enrichir l’expérience sans casser l’équilibre entre fun, créativité et technique.
Avec son approche libre et modulaire, BuildPort Xumia vise les amateurs de construction, de combats et de réflexion spatiale. Ce n’est pas un simulateur rigide, mais un bac à sable explosif pour joueurs curieux et stratèges dans l’âme.
Envie de transformer vos selfies en œuvres d’art ou de créer des effets visuels qui épateront vos amis sur Snapchat ? Avec Lens Studio, la magie devient accessible à tous, même sans compétences techniques ! Cet outil gratuit vous permet de concevoir vos propres filtres et animations en quelques clics. Que vous soyez un simple passionné ou une marque ambitieuse, découvrez comment Lens Studio peut libérer votre créativité et révolutionner votre façon de partager vos moments.
Qu’est-ce que Lens Studio ?
Lens Studio est un logiciel développé par l’entreprise Snapchat qui permet à tout un chacun de créer ses propres filtres et effets en réalité augmentée (AR). Utilisé par des millions d’utilisateurs à travers le monde, cet outil donne la possibilité de concevoir des expériences visuelles interactives. Cela va de l’ajout de masques amusants à des animations 3D sophistiquées. Pas besoin d’être un expert en design ou en code : Lens Studio rend la création accessible, intuitive, et surtout très fun !
Pourquoi Lens Studio révolutionne la création de contenus ?
Avant Lens Studio, créer des filtres Snapchat demandait des compétences techniques avancées ou de faire appel à des professionnels. Aujourd’hui, cet outil gratuit démocratise la création d’effets en réalité augmentée. Il offre, au fait, une interface intuitive et des modèles prêts à l’emploi. Résultat ? Tout le monde peut s’amuser à personnaliser ses photos et vidéos, ou même à lancer des projets originaux qui captivent des millions de personnes. Lens Studio change la donne en mettant la créativité entre les mains du grand public.
Comment fonctionne Lens Studio ?
Lens Studio a été conçu pour que même les débutants puissent rapidement donner vie à leurs idées. Pour vous lancer sans stress, suivez ces étapes :
Un téléchargement et installationsimple et rapide
Rendez-vous sur le site officiel de Lens Studio et téléchargez le logiciel gratuitement. Ensuite, il vous suffit de l’installer sur votre ordinateur Windows ou Mac. Pas besoin de configurations complexes, l’installation est fluide et rapide.
L’interface expliquée en 5 minutes
L’interface de Lens Studio comprend plusieurs panneaux faciles à comprendre. Il y a la scène où vous voyez votre création, la bibliothèque d’objets, les propriétés à modifier, et la fenêtre de prévisualisation. Vous pouvez tester vos effets en temps réel grâce à la webcam ou directement depuis votre smartphone.
Les outils essentiels pour vos premières créations
Pour débuter, concentrez-vous sur les modèles prédéfinis proposés, les options de personnalisation (couleurs, textures, animations), et la gestion simple des calques. Ces outils vous permettent de créer des filtres amusants et originaux sans toucher au code.
5 idées géniales pour vos premiers filtres Snapchat
Proposition 1 : Le filtre Visage animé
L’un des filtres les plus amusants à créer pour débuter est le filtre « visage animé ». Il permet de transformer un visage en cartoon ou en personnage expressif avec de grands yeux, une bouche exagérée, ou des mimiques rigolotes. J’ai testé ce type de filtre avec les modèles intégrés de Lens Studio. Et en moins d’une heure, j’avais un résultat vraiment convaincant. C’est une excellente façon de se familiariser avec les éléments de suivi du visage et les animations de base.
Proposition 2 : Le filtre Effet néon
Si vous aimez les ambiances futuristes, l’effet néon est une valeur sûre. Il s’agit de faire apparaître des lignes lumineuses autour du visage, des lunettes brillantes ou même des textes stylisés en néon qui réagissent aux mouvements. Personnellement, j’ai adoré jouer avec les couleurs fluorescentes et les effets de brillance. Ils sont très simples à appliquer grâce aux matériaux prêts à l’emploi. Le rendu est parfait pour donner un look stylé et tendance à vos stories nocturnes.
Proposition 3 : Le filtre Fond magique
Changer l’arrière-plan d’une vidéoou d’une photo peut totalement transformer l’ambiance, et c’est un excellent exercice pour comprendre la segmentation. Avec Lens Studio, on peut facilement isoler le sujet (c’est-à-dire vous !) et ajouter un décor de plage, une galaxie animée, ou même une scène de film. J’ai testé un décor de ville cyberpunk et le résultat était bluffant ! On a vraiment l’impression d’être transporté ailleurs. Ce type de filtre est idéal pour ceux qui veulent raconter une histoire ou créer un effet « waouh » sans trop de complexité.
Ajouter des accessoires comme des lunettes, un chapeau ou une couronne de fleurs est l’une des manières les plus simples mais efficaces de créer un filtre personnalisé. Ce que j’ai apprécié, c’est qu’on peut importer ses propres modèles 3D ou utiliser ceux proposés par la bibliothèque Lens Studio. J’ai commencé avec une paire de lunettes 80s et quelques effets de lumière, et c’était déjà très fun à utiliser. Ce genre de filtre permet aussi d’apprendre à ancrer des objetssur le visage de façon réaliste.
Proposition 5 : Le filtre Texte dynamique
Le texte dynamique est aussi une excellente option si vous souhaitez ajouter un message personnel, une citation ou même une annonce (comme un anniversaire, un concert, etc.). Dans Lens Studio, on peut faire apparaître du texte qui suit le mouvement de la tête ou réagit à une action spécifique, ce qui rend l’effet interactif. J’ai moi-même utilisé cette astuce pour créer un filtre d’invitation à un événement. Mes amis ont trouvé ça original et engageant. C’est une façon simple mais efficace de lier créativité et communication.
Les astuces pour aller plus loin et créer des effets uniques
Pour passer d’un simple filtre sympa à un effet vraiment mémorable, il est important de personnaliser vos modèles au maximum. Ne vous contentez pas des templates de base ! Modifiez les textures, les animations, et les interactions pour donner vie à quelque chose d’original. Par ailleurs, vous pouvez intégrer des éléments 3D qui réagissentauxmouvements du visage ou à l’environnement pour un rendu bluffant qui capte l’attention.
Soignez également les détails, car les petites animations, les sons intégrés et les transitions fluides rendent l’expérience plus immersive et agréable. N’oubliez pas de tester vos créations sur différents appareils, car ce qui fonctionne parfaitement sur un smartphone haut de gamme peut ne pas rendre pareil sur un modèle plus simple. Il est donc important d’optimiser vos effets. Enfin, inspirez-vous des tendances du moment sur Snapchat et adaptez-les à votre style ou à votre message pour rester pertinent et attirer un large public.
Les limites de Lens Studio, ce qu’il faut savoir
Même si Lens Studio est un outil puissant et accessible, il présente certaines limites. Tout d’abord, la complexité des effets que vous pouvez créer dépendra de votre niveau en design et en animation. Les utilisateurs débutants peuvent rapidement atteindre un plafond sans apprendre quelques notions plus avancées.
Ensuite, les performances techniques ne sont pas toujours parfaites sur tous les appareils. Certains filtres très gourmands en ressources peuvent ralentir les smartphones ou ne pas fonctionner correctement sur les modèles plus anciens. De plus, il existe des restrictions quant aux contenus autorisés, notamment pour éviter les filtres offensants ou qui enfreignent les droits d’auteur.
Enfin, publier un filtre sur Snapchat nécessite une validation par la plateforme, ce qui peut parfois prendre du temps ou nécessiter des ajustements. Malgré ces contraintes, Lens Studio reste une porte d’entrée formidable pour tous ceux qui veulent s’initier à la réalité augmentée et expérimenter de nouvelles formes de création.
Comment partager et publier vos créations sur Snapchat ?
Une fois votre filtre prêt, il est temps de le partager avec la communauté Snapchat. Pour cela, commencez par exporter votre projet directement depuis Lens Studio au format compatible. Ensuite, rendez-vous sur le portail Snapchat dédié aux créateurs où vous pourrez soumettre votre filtre.
Vous devrez remplir quelques informations essentielles comme le nom du filtre, la description, et choisir la zone géographique où vous souhaitez qu’il soit disponible. Snapchat procède alors à une validation pour vérifier que votre création respecte les règles de la plateforme.
Une fois approuvé, votre filtre sera accessible à tous les utilisateurs selon les critères que vous avez définis. Vous pouvez également suivre ses performances grâce aux statistiques fournies par Snapchat. De ce fait, vous pouvez voir combien de personnes ont utilisé ou partagé votre effet. Bref, publier vos créations n’a jamais été aussi simple avec Lens Studio, alors n’hésitez plus et lancez-vous !
Envie de créer des filtres Instagram qui cartonnent et captivent vos amis ? Avec Spark AR Studio, la réalité augmentée devient accessible à tous, même sans être un expert en tech ! Que vous soyez créateur, marketeur ou simplement curieux, cet outil puissant vous permet de transformer vos idées en expériences interactives uniques. Découvrez comment Spark AR Studio peut libérer votre créativité et booster votre présence sur Instagram, étape par étape.
Qu’est-ce que Spark AR Studio ?
Vous avez certainement déjà utilisé un filtre Instagram qui change votre visage, ajoute des effets lumineux ou même crée un décor virtuel autour de vous. Dans ce cas, vous avez probablement vu la magie de la réalité augmentée en action. Spark AR Studio est le logiciel développé par Facebook (Meta) qui permet de concevoir ces filtres interactifs et immersifs. Accessible gratuitement, il offre à tout un chacun la possibilité de devenir créateur d’expériences visuelles uniques.
Contrairement à ce que l’on pourrait croire, Spark AR Studio ne nécessite pas de compétences avancées en programmation. L’interface est pensée pour être intuitive, avec un système de glisser-déposer, des modèles prédéfinis, et des tutoriels pour vous guider pas à pas. Cet outil vous ouvre les portes d’un univers créatif en pleine expansion que vous soyez artiste, influenceur, ou entrepreneur.
Avec l’explosion des contenus en réalité augmentée sur le réseau social Instagram, maîtriser Spark AR Studio est devenu un vrai atout. Vous pouvez non seulement impressionner vos followers, mais aussi engager votre audience de manière innovante, originale et ludique. Alors, prêt à découvrir comment transformer vos idées en filtres interactifs qui font sensation ?
Instagram est aujourd’hui un réseau social incontournable, où les contenus visuels et interactifs prennent de plus en plus de place. Les filtres AR (réalité augmentée) sont devenus une tendance qui attire des millions d’utilisateurs chaque jour. Mais pourquoi Spark AR Studio séduit-il autant ?
D’abord, parce qu’il démocratise la création de filtres. Avant, concevoir un effet AR demandait des compétences techniques pointues et des outils complexes. Avec Spark AR Studio, Facebook a mis à disposition un logiciel accessible, qui permet à tout le monde d’innover sans barrière technique. Vous pouvez désormais concevoir des expériences visuelles impressionnantes en quelques clics.
Ensuite, Instagram a intégré ces filtres dans son expérience utilisateur de manière fluide. Les utilisateurs peuvent facilement tester, partager et utiliser les filtres dans leurs Stories ou Reels. Cela crée un cercle vertueux : plus de filtres disponibles, plus d’interactions, plus de créativité. Enfin, Spark AR Studio offre des opportunités marketing inédites. Les marques peuvent engager leur communauté avec des filtres personnalisés, originaux et viraux. Cela crée un lien direct et ludique avec les consommateurs qui participent activement à la diffusion du message.
Comment créer votre premier filtre en 5 étapes faciles
Créer un filtre Instagram avec Spark AR Studio peut sembler impressionnant au début, mais si vous suivez ces 5 étapes simples, vous aurez un résultat sympa à montrer rapidement ! Pour commencer, ouvrez Spark AR Studio et sélectionnez un template simple. Vous pouvez, par exemple, choisir un filtre de masque facial ou un effet lumineux. Cela vous évite de partir de zéro et vous permet de comprendre la structure d’un filtre.
Importez vos propres images, textures ou objets 3D, ou modifiez ceux présents dans le template. Vous pouvez changer les couleurs, la taille, la position, et même ajouter des animations simples. Grâce aux options d’interactivité, vous pouvez rendre votre filtre dynamique. Il est, par exemple, possible de faire apparaître un effet quand l’utilisateur cligne des yeux, ou changer la couleur quand il ouvre la bouche. Ces triggers rendent l’expérience plus ludique.
Utilisez l’application Spark AR Player pour voir votre filtre en temps réel sur votre smartphone. Cela vous permet de corriger les petits détails et d’ajuster les effets pour qu’ils fonctionnent parfaitement. Quand votre filtre vous plaît, soumettez-le via Spark AR Hub. Une fois validé par Instagram, il sera disponible dans la galerie de filtres. Partagez-le avec vos amis et vos abonnés pour qu’ils l’essaient aussi !
Créer un filtre, c’est une chose. Mais créer un filtre que les gens adorent, utilisent et partagent en masse, c’en est une autre ! Avec un peu d’astuce, de sens du timing et de créativité, vous pouvez facilement passer d’un simple effet sympa à une véritable petite star d’Instagram. Voici mes meilleurs conseils, testés et approuvés, pour booster vos chances de créer un filtre viral.
Un filtre qui provoque une émotion forte a beaucoup plus de chances de captiver. Que ce soit l’humour, la nostalgie, la surprise ou la tendresse, tout ce qui touche les gens personnellement est plus mémorable. J’ai remarqué que les filtres qui font sourire ou rire (comme ceux avec des déformations exagérées ou des animations inattendues) sont particulièrement populaires. L’idée, c’est de provoquer une réaction immédiate, pour que l’utilisateur ait envie de l’envoyer à ses amis ou de le publier en story.
Un filtre personnalisable, c’est un filtre que l’on s’approprie. Ajouter un prénom, choisir une couleur, changer un accessoire… ces petits détails font toute la différence. Dans mes tests, les filtres les plus engageants étaient ceux où l’utilisateur pouvait interagir ou modifier l’effet à sa façon. Ce sentiment de contrôle augmente l’envie de jouer avec et de le partager. Et plus un filtre est utilisé, plus il gagne en visibilité !
Les erreurs à éviter quand on crée un filtre AR
Créer un filtre peut paraître simple à première vue, mais il y a de nombreux pièges qui peuvent ruiner une bonne idée. J’en ai fait l’expérience à mes débuts, et croyez-moi, on apprend très vite de ses erreurs ! Que ce soit au niveau technique, créatif ou même stratégique, certains faux pas sont faciles à éviter quand on les connaît. Voici ceux que je vous conseille de surveiller de près.
L’une des premières erreurs que j’ai faites, c’est d’ajouter trop d’éléments lourds dans un seul filtre. C’est, par exemple, le cas des textures HD, objets 3D complexes, effets animés… Résultat, le filtre ramait sur certains téléphones, ou ne se chargeait même pas. Gardez à l’esprit que votre filtre sera utilisé sur une grande variété d’appareils, y compris des smartphones plus anciens. Pensez donc à optimiser les ressources et à tester régulièrement les performances, même si le rendu visuel vous semble plus « basique ».
Ce qui fonctionne parfaitement sur mon iPhone ne rend pas forcément pareil sur un Android milieu de gamme. Certains filtres changent complètement de comportement selon le type de capteur, la qualité de l’écran ou même la lumière ambiante. J’ai appris à toujours tester sur plusieurs téléphones (les miens et ceux de mes proches) pour détecter les bugs invisibles sur un seul modèle. C’est un peu fastidieux, mais c’est indispensable si vous voulez garantir une bonne expérience utilisateur.
Spark AR Studio et la monétisation : Un levier pour les créateurs
Au-delà du fun et de la créativité, Spark AR Studio ouvre aussi des portes pour gagner de l’argent, surtout si vous êtes créateur ou entrepreneur. Voici comment transformer vos filtres en opportunités économiques.
Si vous maîtrisez Spark AR, vous pouvez proposer vos services à des marques, influenceurs ou agences qui cherchent à créer des filtres personnalisés pour leurs campagnes. Le marché est en pleine croissance ! Les filtres Instagram sont un excellent outil marketing. Ils aident à créer un lien ludique avec les consommateurs, renforcer la notoriété, et booster l’engagement. Vous pouvez, par exemple, créer un filtre autour d’un lancement produit ou d’un événement.
Un filtre viral peut considérablement accroître votre nombre de followers et votre influence. Cela peut ensuite ouvrir des opportunités de monétisation indirecte comme les placements produits, les affiliations, ou la vente de contenus exclusifs. Certaines plateformes commencent même à proposer des solutions pour vendre des filtres ou des expériences AR exclusives. Restez à l’affût des évolutions pour maximiser vos revenus !
Exemples inspirants de filtres Spark AR qui ont fait le buzz
Pour mieux comprendre le potentiel de Spark AR Studio, rien de tel que de découvrir quelques filtres qui ont marqué les esprits et conquis des millions d’utilisateurs. Le filtre « HeartEyes », par exemple, est très populaire sur Instagram. Il ajoute des cœurs animés dans les yeux de l’utilisateur, créant un effet adorable et fun. Simple mais efficace, il a été massivement partagé grâce à son côté universel et positif.
Il y a aussi le filtre « Try On » de Gucci. La célèbre marque de luxe a utilisé Spark AR pour proposer un filtre qui permet d’essayer virtuellement ses lunettes de soleil. Un parfait exemple de marketing innovant, qui allie technologie et commerce. Des filtres comme celui qui déforme le visage ou propose des jeux rapides ont également fait exploser leur popularité. Au fait, ils ont été intégrés à des challenges Instagram pour booster leur visibilité.
Billie Eilish arrive en rythme dans Beat Saber avec son titre le plus populaire de l’année. Birds of a Feather fait bouger les sabres, mais pas sur tous les casques. En effet, les joueurs PlayStation devront passer leur tour cette fois.
Lancé en plein été 2024, Birds of a Feather a rapidement conquis les réseaux. Il est devenu un véritable hymne viral. En 2024, il a fait un véritable raz-de-marée sur Spotify, atteignant les 1,755 milliard de streams dans le monde. Le morceau s’est hissé tout en haut du Billboard Global 200. C’est ainsi que la chanteuse Billie Eilish a obtenu une pluie de nominations aux Grammy Awards 2025, dont celle de la chanson de l’année.
Désormais, ce hit planétaire arrive dans le célèbre jeu Beat Saber grâce à une sortie surprise. Il sort à part du pack, directement en « Shock Drop ». Ce système permet d’ajouter des hits récents sans devoir créer une collection complète autour. C’est la quatrième sortie Shock Drop en l’espace de neuf mois, après Houdini d’Eminem, Not Like Us de Kendrick Lamar et Abracadabra de Lady Gaga.
La musique de Billie Eilish illumine Beat Saber en VR
Rappelons que le pack musical Billie Eilish est arrivé dans Beat Saber en septembre 2021. Il s’est tout de suite fait remarqué. Ce sont dix morceaux tirés de ses albums et EP qui viennent mettre de l’ambiance en VR. On retrouve des titres phares comme Bad guy, Bury a friend ou encore You should see me in a crown.
Pour les fans, c’est un vrai festin avec aussi All the good girls go to hell, Bellyache et Happier Than Ever. Sans oublier les morceaux comme I Didn’t Change My Number, NDA, Oxytocin et Therefore I Am. Et avec Birds of a feather, jouable en multijoueur dans la liste, il y a de quoi s’éclater en rythme et en immersion.
Birds of a Feather peut être téléchargé dès aujourd’hui pour 1,99 $ dans la section Shock Drop de Beat Saber. Malheureusement, Meta a confirmé récemment qu’aucun nouveau contenu ne serait créé pour les casques Sony. Cela exclut Birds of a Feather des catalogues PlayStation VR et PS VR2.
Et pourtant, en Europe, ce jeu a occupé la première place des ventes sur le PlayStation Store PSVR pendant une longue période.
L’été bat son plein, et Pokémon TCG Pocket en profite pour dégainer son neuvième spectacle saisonnier : le Wonder Pick, alias la Pioche Miracle. Ce mois de juillet, il y aura alors des cartes rares à décrocher sans dépenser un sou.
En ce mois de juillet, la Pioche Miracle fait son retour en fanfare avec une neuvième édition signée Pokémon Pocket. Cette fois, place à Togedemaru, Rongrigou et l’intrigant duo formé par le Dresseur Gladion et son fidèle Silvallié. Ce sera une nouvelle occasion de compléter sa collection et de s’aventurer dans un univers toujours plus impressionnant.
Les cartes Togedemaru et Rongrigou arrivent avec panache dans la série Promo-A, fièrement estampillés 90 et 91. Mais attention, ces deux-là ne sont pas là juste pour faire joli. Si vous les obtenez, il devient possible de débloquer des missions spéciales, avec à la clé quelques récompenses bien senties.
Récompenses exclusives dans la Pioche Miracle de Pokémon Pocket en juillet 2025
Le Wonder Pick de ce mois propose une escalade de défis où chaque étape franchie fait grimper les récompenses. Collecter des cartes spécifiques comme Rongrigou ou Togedemaru permet, par exemple, d’obtenir des tickets pour la boutique de l’événement. Ensuite, utiliser la pioche miracle plusieurs fois fait grimper les gains. Deux coups de pioche suffisent pour mettre la main sur deux Tickets boutique Silvallié. Et si la pioche s’agite six fois, cinq tickets de plus viennent compléter votre butin.
Des tickets supplémentaires s’accumulent à chaque usage, avec même des jetons d’échange offerts. Enfin, rassembler des cartes de types Métal et Incolore apporte aussi des tickets, ce qui encourage le joueur à diversifier ses objectifs. Chaque mission franchie mène donc à des récompenses précieuses, ce qui vous motive à progresser étape par étape.
En échange de tickets, une série d’articles uniques à l’image de Gladion et Silvally s’offre à vous. On y trouve notamment des arrière-plans (Camping au clair de lune), des protections pour cartes (Gladio), un tapis de jeu (Gladio & Silvallié), une pièce à l’effigie de Silvally, de la Poudre d’éclat, ainsi que des avatars pour personnaliser son profil.
Cet événement Pokémon TCG Pocket commence le 11 juillet et se poursuivra jusqu’au 21 juillet. Bien qu’il s’achève le 21 juillet 2025, la boutique de l’événement restera ouverte une semaine de plus (jusqu’au 28 juillet). Cela permettra aux joueurs d’échanger leurs objets tranquillement.
Vous cherchez une expérience VR porn plus voluptueuse, plus charnelle, plus immersive que tout ce que vous avez connu ? Vous aimez les poitrines généreuses ? Tournez-vous vers les bigs tits porno VR. Ce comparatif vous dévoile notre top 7 des expériences les plus réalistes, excitantes et techniquement réussies du moment. Lisez jusqu’au bout, certaines pépites valent clairement le détour.
Trop occupé pour tout lire ? Voici le meilleur
VRPorn.com est selon nous le meilleur site de porno en réalité virtuelle. Il se positionne comme le plus complet du marché avec des nouvelles vidéos de grande qualité chaque jour. Le prix très attractif de la plateforme est un réel plus : moins de 8€/mois pour un abonnement à l’année, soit -78% sur le tarif normal.
Big Tits VR est une catégorie de contenus centrée sur des poitrines particulièrement volumineuses. Il vous place au cœur de l’action avec une sensation de présence qui défie l’écran plat. Mais devant la multitude de plateformes disponibles, il devient difficile de distinguer les expériences crédibles des simples attrape-tokens. Certaines scènes sont creuses, d’autres répétitives ou techniquement datées. C’est pourquoi nous avons mené un véritable comparatif, en testant personnellement des dizaines de titres VR centrés sur ce thème. Dans cet article, nous allons vous présenter les 7 plateformes qui sortent du lot.
Le top 3 de la rédaction – juillet 2025
VRPornLe paradis du Big Tits VR pour casques affamés
Sur VRPorn, tout est pensé pour vous en mettre plein les yeux, et pas qu’un peu. Si vous cherchez des vidéos Big Tits VR qui claquent, entre poitrines outrageusement généreuses, angles ultra-plongeants et mise en scène totalement immersive, vous êtes au bon endroit. On y retrouve plus de 30 000 vidéos dont une sélection délirante de scènes XXL avec MILF dominantes. Il y a aussi des filles coquines en bikini et des fantasmes en POV plus vrais que nature. Mention spéciale à la fluidité des vidéos en 8K, même en streaming.
Caractéristiques techniques
Résolution : Jusqu’à 8K
Compatibilité : Meta Quest, PSVR, HTC Vive, Valve Index
Nombre de vidéos : 34 000+, avec filtres Big Tits détaillés
Tarification : À partir de 0,26 $/jour (offre annuelle)
SexLikeReal : l’écosystème VR porno le plus complet du marché
On aime
Catalogue monumental
Ultra compatible casques
On aimemoins
Prix mensuel élevé
Trop de choix parfois
SexLikeRealL’écosystème VR porno le plus complet du marché
SexLikeReal est un peu le YouTube du X immersif. Cette plateforme tentaculaire ne se contente pas de proposer des vidéos, elle centralise l’ensemble de l’écosystème VR érotique. On y retrouve les studios les plus réputés, des catégories triées au scalpel, des scripts pour sex-toys connectés, et un moteur de recommandation digne d’un algorithme dopé au fantasme. Naviguer dans cet univers donne l’impression d’avoir un accès premium à la matrice du porno immersif. Chaque session est fluide, chaque vidéo calibrée pour du 8K à 200° de champ visuel.
Caractéristiques techniques
Résolution : Jusqu’à 8K – 120 FPS – 200° FOV
Compatibilité : Meta Quest, Pico, Valve Index, SteamVR, applis Android/iOS
Tarification : 24,99 $/mois ou 299 $ à vie
Offres spéciales : mise à jour quotidienne, accès app VR inclus
VRBangers : le Big Tits VR façon blockbuster, version deluxe
On aime
Réalisme cinématographique
Stars reconnues mondialement
On aimemoins
Prix élevé hors promo
Peu de contenu gratuit
VRBangersLe Big Tits VR façon blockbuster, version deluxe
VRBangers propose du Big Tits VR calibré comme un film d’action sexy en ultra-HD. Dès les premières secondes, on se retrouve nez à seins avec des stars connues comme Riley Reid ou Angela White, filmées en 180° ou 360°, dans des scènes ciselées au millimètre. La mise en scène est carrément cinématographique, la profondeur de champ est dingue, et les poitrines deviennent presque palpables, tant le rendu 8K (et parfois 12K !) frôle la perfection. C’est classe, c’est fluide, et ça respire la maîtrise technique.
Caractéristiques techniques
Résolution : 4K / 8K / jusqu’à 12K
Compatibilité : Meta Quest, HTC Vive, Windows MR, iOS/Android
Nombre de vidéos : 800+ titres premium, renouvelés chaque semaine
Tarification : Formule annuelle avec 1 an offert (offre limitée)
VRBtrans : du Big Tits VR version trans qui explose les clichés
On aime
Rendu très immersif
Actrices ultra expressives
On aimemoins
Interface peu intuitive
Traductions approximatives
VRBtransDu Big Tits VR version trans qui explose les clichés
Vous pensiez avoir tout vu en Big Tits VR ? Attendez de tester VRBtrans. Cette plateforme vous balance des T-girls sculpturales à la poitrine ultra-bombée, filmées en 8K, au ras du regard, avec un son 3D qui colle à la peau. Les scènes ne simulent pas l’intimité, au contraire, elles vous la font vivre en pleine face. On sent que tout a été pensé pour réveiller des envies inavouées avec une audace folle.
Caractéristiques techniques
Résolution : 8K natif, stéréo 360°
Compatibilité : Meta Quest, HTC Vive, Apple Vision Pro, Android/iOS
Nombre de vidéos : Plus de 2 000 scènes trans VR
Tarification : 1 an acheté = 1 an offert (promo saisonnière)
VirtualTaboo : le Big Tits VR façon fantasme privé, sans filtre ni jugement
On aime
Scénarios immersifs
Actrices expressives
On aimemoins
Ambiance parfois répétitive
Filtres de recherche limités
VirtualTabooLe Big Tits VR façon fantasme privé, sans filtre ni jugement
VirtualTaboo mise tout sur l’intimité torride et ça se ressent dès le premier regard caméra. Sur cette plateforme, vous incarnez le personnage principal de scénarios interdits et toujours excitants. Autrement dit, des actrices aux poitrines débordantes viennent vous confier leurs secrets… très mal placés. L’accent est mis sur le regard, le jeu d’actrice, et la sensation de proximité. Certaines vidéos sont même proposées en free porn VR, de quoi s’immerger sans sortir la carte bleue.
VRConk transforme vos héroïnes de fiction préférées en stars du Big Tits VR. Cosplay soigné, décors numériques enchanteurs et courbes généreuses…out y est pour brouiller la frontière entre jeu vidéo et porno immersif. Lara Croft, Aerith, Cersei ou Harley Quinn se dévoilent dans des vidéos en 8K, avec des poitrines démesurées mises en valeur par des tenues moulantes et des angles millimétrés.
Caractéristiques techniques
Résolution : 4K / 6K / 8K cosplay
Compatibilité : Meta Quest, PSVR, Vive, Apple Vision Pro
Nombre de vidéos : 200+ parodies VR exclusives
Tarification : 8,33 $/mois (1 an acheté = 1 an offert)
Jacquie & Michel Immersion : le Big Tits VR sauce française, sans détour ni filtre
Jacquie & Michel Immersion propose une plongée brute et directe dans le X français, version gonzo immersif. Il n’y a pas d’artifices superflus, juste des femmes aux gros seins bien réels, filmées sans faux-semblants, avec une proximité déroutante. Le huge tits VR y devient plus cru, plus proche de l’amateurisme assumé que des studios lisses. On a testé plusieurs scènes tournées en immersion, et la sensation d’être à la place du mec est franchement efficace.
Caractéristiques techniques
Résolution : HD / Full HD (4K sur certaines scènes)
Nombre de vidéos : Plus de 1 000 scènes dont plusieurs en immersion
Tarification : À partir de 0,80 €/jour (abonnement annuel)
Nous les avions comparés jusqu’au dernier orgasme
Pour ce comparatif, nous avons analysé chaque plateforme sous toutes ses coutures. Nous avons pris le temps de créer des comptes, d’explorer les catalogues, de lire entre les lignes des promesses marketing et surtout, de vivre chaque session comme un utilisateur réel, casque vissé sur la tête et attentes au maximum.
Pour procéder, nous avons d’abord comparé les interfaces : clarté des menus, fluidité de navigation, temps de chargement, qualité du lecteur intégré. Ensuite, nous avons évalué les résolutions proposées (4K, 6K, 7K), la fluidité des vidéos, la profondeur des angles de vue et la qualité des transitions. Les formats pris en charge (streaming, téléchargement, casques compatibles) ont aussi été passés au crible pour s’assurer que les promesses d’accessibilité ne soient pas juste théoriques.
Nous avons également prêté attention à l’identité visuelle et sonore de chaque plateforme : jeux de lumière, bruitages, réalisme des voix, découpage des scènes, et efforts de mise en scène. Certaines marques misent sur l’hyperréalisme, d’autres sur le pur fantasme scénarisé.
FAQs
Quelle est la différence entre un site porno classique et une plateforme Big Tits VR ?
Un site classique vous propose des vidéos en 2D à regarder passivement sur écran. Une plateforme Big Tits VR vous plonge littéralement dans la scène. Avec un casque VR, vous devenez acteur du fantasme : les regards sont dirigés vers vous, les mouvements suivent votre point de vue, les proportions prennent une tout autre ampleur. L’immersion est totale, avec un sentiment de présence bien plus fort. C’est une expérience sensorielle bien plus directe et engageante qu’un simple visionnage classique.
Est-ce que Big Tits VR, c’est uniquement des vidéos avec de très fortes poitrines ?
Oui et non. Le cœur du genre repose sur des actrices aux poitrines très généreuses, souvent mises en avant par des cadrages très proches, des séquences centrées sur la poitrine et un jeu très tactile. Mais selon les plateformes, l’approche varie : certaines jouent la carte de l’exagération cartoon ou du fantasme, d’autres misent sur des corps plus réalistes et des scénarios de type girlfriend experience. Le point commun : la poitrine est toujours au centre de l’attention, sans pour autant effacer le reste.
Quel casque faut-il pour profiter à fond des vidéos Big Tits VR ?
Un casque autonome comme le Meta Quest 2 ou 3 suffit largement pour accéder aux plateformes Big Tits VR. Vous pouvez aussi utiliser un casque plus haut de gamme type Valve Index, HTC Vive ou Pico 4, mais ce n’est pas une obligation. L’essentiel, c’est d’avoir un casque capable d’afficher de la 4K minimum, avec un bon suivi des mouvements de tête. Toutes les plateformes testées dans notre comparatif proposent un lecteur compatible ou un fichier à télécharger adapté au modèle de casque.
Peut-on télécharger les vidéos Big Tits VR ou faut-il toujours une connexion ?
Cela dépend de la plateforme. Certaines (comme Jacquie & Michel Immersion) permettent uniquement le streaming, d’autres (comme BabeVR ou SexLikeReal) autorisent le téléchargement local en plusieurs formats, parfois jusqu’en 7K. Cela permet de profiter des vidéos sans lag, même hors ligne. Mais attention : le poids des fichiers est élevé, et certaines plateformes limitent les téléchargements aux abonnés annuels. Il est donc essentiel de lire les conditions avant de s’engager.
Le top 3 de la rédaction – juillet 2025
VRPornLe paradis du Big Tits VR pour casques affamés
Wonder propose une parenthèse sensorielle unique en réalité mixte. Grâce à ce titre, Metanaut propose de vivre une expérience douce, poétique et profondément immersive. Ici, pas de combats, pas de scoring, juste un monde à explorer, à ressentir. Cette expérience, disponible sur Meta Quest, redéfinit ce que peut (et devrait) être la XR : humaine, apaisante et magique. Je vous en dis plus !
Wonder, c’est quoi exactement ?
Un voyage sensoriel signé Metanaut
Wonder est une expérience en réalité mixte conçue par le studio indépendant Metanaut. Cette firme, basée à Vancouver, s’est fait connaître avec Gadgeteer (2019), un jeu VR de réactions en chaîne à la fois ludique et cérébral. C’est fort de cette première réussite que le studio revient avec Wonder, un projet bien différent. Il s’agit d’une collection d’expériences de réalité mixte conçues pour émerveiller, apaiser et reconnecter.
Ici, la technologie est au service du ressenti, et non l’inverse. Le but n’est pas d’impressionner, mais de faire vivre quelque chose d’intime et de surprenant. Dès les premières secondes, Wonder installe une atmosphère douce,presque méditative, où l’utilisateur est invité à explorer à son rythme. C’est une nouvelle façon d’aborder la XR : lente, fluide et sensorielle.
Une œuvre immersive entre jeu, art et méditation
Ni véritable jeu, ni simple installation artistique, Wonder se situe à la croisée des mondes. C’est une anthologie d’expériences immersives dont chacune dure environ 15 à 20 minutes et transforme l’espace réel en une scène poétique et interactive. Loin du gameplay compétitif ou scénarisé, Metanaut propose une vision artistique et émotionnelle de la MR, où l’utilisateur devient un explorateur contemplatif.
L’expérience invite à interagir avec des objets flottants, des formes lumineuses ou des textures sonores, sans jamais donner d’objectif précis. Cela crée un espace de liberté rare, où chacun peut projeter ses propres intentions : jouer, contempler, méditer ou simplement s’émerveiller. C’est une expérience qui fait appel à la sensibilité plutôt qu’à la performance.
Disponible sur Meta Quest, un portail vers l’inattendu
Disponible sur la plateforme Meta Quest, Wonder tire parti des capacités de ce casque autonome pour offrir une immersion immédiate, sans câble ni setup complexe. Le casque détecte votre environnement et y projette des éléments numériques qui interagissent avec l’espace réel. Wonder mise ausi sur le hand-tracking intégral, aucune manette ni interface visuelle intrusive. L’utilisateur interagit avec l’environnement par ses gestes naturels, assis, debout ou en roomscale. Cette simplicité d’usage ouvre Wonder à un large public, y compris les non-joueurs ou les utilisateurs en recherche de déconnexion douce et consciente.
Les trois expériences immersives de Wonder
Pensée comme une collection évolutive, Wonder propose à son lancement trois environnements uniques. Chacun de ces environnements est conçu comme une parenthèse sensorielle de 15 à 20 minutes.
Ancient Ruins, les mystères d’un sanctuaire oublié
Cette expérience transporte l’utilisateur dans une atmosphère mystérieuse. L’espace familier se métamorphose en une caverne ancienne, bientôt engloutie par un trou noir fascinant. Des ruines anciennes, des artefacts lévitants et une lumière vacillante vous plongent dans une atmosphère mystique et contemplative. L’espace semble réagir à votre présence, à vos gestes, et vous invite à explorer lentementun lieu hors du temps.
Ancient Ruins invite à l’exploration et à la contemplation face à des forces cosmiques impressionnantes. Ces dernières mêlent effets visuels réalistes de trou noir et interaction immersive avec l’environnement. Le sentiment d’émerveillement face à l’inconnu y est puissant, comme une rencontre avec un monde hors du temps.
Jellyfish Bloom, une danse de lumière suspendue
Les utilisateurs sont plongés dans un spectacle sous-marin apaisant, où des méduses bioluminescentes illuminent doucement les murs, meubles et objets de la pièce. Vos mains nues créent des ondes de lumière dans leur sillage et modifient subtilement leur trajectoire.
Ici, le plaisir vient de l’observation, du rythme, du mouvement lent… Une véritable méditation visuelle, presque hypnotique. L’ambiance calme, renforcée par des visuels époustouflants et une ambiance sonore relaxante, invite à la détente et à la méditation. Interagir avec ces méduses virtuelles apporte une dimension ludique et sensorielle très douce.
Parallel Worlds, une réalité fragmentée et fascinante
Cette expérience ouvre des portails vers des versions parallèles de votre environnement réel. Au fait, des portails dimensionnels apparaissent dans votre environnement réel et révèle des mondes alternatifs à travers vos murs, fenêtres et plafonds. Vous pouvez littéralement basculer d’une ambiance à l’autre d’un simple geste et jouer avec les frontières de la réalité. L’effet est impressionnant, chaque monde se superpose à votre pièce avec une précision spatiale saisissante.
Des environnements à venir : Une roadmap riche en promesses
Metanaut a confirmé que Wonder ne s’arrêtera pas là. De nouveaux environnements sont déjà en développement : jungles féériques, forêts psychédéliques, cités futuristes, paysages cosmiques… Chaque espace visera à proposer une émotion différente et une ambiance unique. Le studio prévoit aussi d’ajouter plus d’interactions gestuelles, des composantes sociales, et même des fonctions thérapeutiques à terme.
Une immersion intuitive entre relaxation et technologie
Une interface sans friction, main nues et sans manettes
Wonder repose exclusivement sur le hand-tracking du Meta Quest 3. Cela signifie que l’utilisateur n’a pas besoin de manettes, ses mains nues deviennent le seul outil d’interaction. Vous pouvez effleurer une méduse, orienter votre regard vers un portail ou simplement tendre la main pour déclencher une réponse subtile de l’environnement.
Cette expérience réduit la barrière à l’entrée et rend l’expérience accessible même à ceux qui ne sont pas familiers avec la réalité virtuelle. Elle permet aussi une plus grande fluidité dans les mouvements, ce qui renforce le sentiment d’être réellement dans le monde proposé.
Intégration spatiale avancée grâce au scan d’environnement
Grâce aux capacités avancées du Quest 3 en réalité mixte, Wonder s’ancre directement dans votre pièce. Le casque scanne votre environnement pour y superposer précisément les éléments visuels. Cela permet par exemple à un portail de s’ouvrir sur un mur réel, ou à des méduses de glisser autour de votre table ou canapé. Cette fusion du réel et du virtuel, rendue possible par la spatialisation 3D, crée un effet de présence renforcée. On ne s’évade pas hors du monde réel, on le transforme de l’intérieur.
Design sonore et direction artistique au service du bien-être
Chaque environnement de Wonder bénéficie d’une direction artistique cohérente et immersive, à la fois visuelle et sonore. Les sons réagissent à votre position, se diffusent en spatial audio et accompagnent les textures visuelles de manière subtile, presque organique. Le but est de créer une expérience multisensorielle harmonieuse, où la relaxation n’est pas seulement visuelle mais aussi auditive, posturale et mentale. Wonder se rapproche parfois d’une installation d’art contemporain ou d’une œuvre de méditation interactive, plutôt que d’un simple contenu de divertissement.
Un modèle économique simple et transparent
Un prix d’entrée modeste pour un contenu premium
Contrairement à de nombreuses applications en VR ou MR qui misent sur le modèle freemium ou les microtransactions, Wonder adopte une stratégie claire et sans artifice. Il offre un tarif unique, une expérience complète sans publicité ni contenu verrouillé. Ce choix éditorial s’aligne parfaitement avec la philosophie de l’application : accessible, élégante et sans distraction.
Wonder est proposé à un prix abordable dès son lancement : 3,99 €, avec une précommande souvent affichée autour de 2,99 € ou 4 $. Ce tarif comprend l’accès aux trois environnements de départ, ainsi qu’aux futures mises à jour de contenu annoncées par le studio. Ce modèle permet de valoriser la qualité artistique et technique de l’expérience, tout en la rendant accessible à un public large. Grâce à un tarif juste, Metanaut évite les compromis liés aux contenus gratuits ou sur-monétisés.
Pas de F2P, une alternative adulte aux jeux traditionnels
Dans un écosystème Quest souvent dominé par les jeux d’action, de fitness ou de shoot multijoueur, Wonder assume une rupture radicale. Loin des modèles freemium, des mécaniques addictives ou des interfaces bruyantes, l’application s’adresse à un public plus mature. Un public à la recherche d’un moment de calme, d’introspection ou d’évasion sensorielle.
C’est un positionnement rare, presque éditorial, qui donne à Wonder un ton singulier sur la plateforme. Il s’inscrit dans une tendance émergente, celle de la MR comme outil de bien-être et de contemplation, plutôt que de performance.
Contenu post-lancement, des évolutions prévues
Metanaut ne cache pas ses ambitions à long terme pour Wonder. Le studio prévoit, en effet, d’ajouter de nouveaux environnements régulièrement, mais aussi de déployer des fonctionnalités plus interactives comme :
des interactions gestuelles plus poussées,
des effets déclenchés par la respiration ou la posture,
des modes multi-utilisateurs ou connectés,
ou encore de outils de personnalisation de l’espace immersif.
L’achat de Wonder s’apparente donc à celui d’une œuvre évolutive, avec des mises à jour gratuites prévues dans les prochains mois. Une version étendue ou « pro » peut même être pensée dans le futur. Le studio semble miser sur une relation de confiance avec sa communauté, plutôt que sur un modèle d’exploitation à court terme.
Meta et Xbox ont réussi à marier réalité virtuelle et cloud gaming en bousculant les codes du jeu vidéo. Grâce à leur partenariat, on voit émerger une toute nouvelle façon de jouer. Voici comment leur collaboration redéfinit le cloud gaming en VR.
Le duo Meta–Xbox propulse les jeux Xbox dans l’univers VR grâce à l’application Xbox Cloud Gaming sur les casques Quest. Une installation rapide, une manette Bluetooth, et voilà des titres comme Starfield ou Forza sur un écran virtuel géant. En 2025, l’édition spéciale Meta Quest 3S Xbox confirme ce virage.
Le cloud gaming de Xbox prend vie sur les casques Meta Quest
Depuis fin 2023, Meta et Xbox avancent main dans la main pour faire entrer le cloud gaming dans la réalité virtuelle. Grâce à cette alliance, les casques Meta Quest peuvent accueillir l’application Xbox Cloud Gaming.
Les joueurs profitent de leurs titres préférés en streaming, installés avec leur manette Bluetooth. Le principe est simple mais redoutablement efficace : installer l’application, lancer votre manette Bluetooth Xbox. Et voilà, les jeux Starfield, Forza Motorsport sont disponibles sur un écran géant en réalité virtuelle ou en mode passthrough. Pour cela, vous n’avez même pas besoin d’une console ni d’un PC physique.
Le partenariat a pris encore plus d’ampleur en 2025. En juin de cette année, le Meta Quest 3S Xbox Edition est arrivé. Ce modèle spécial, habillé aux couleurs emblématiques de la console, est livré avec une manette sans fil et un accès au Game Pass. Et c’est un clin d’œil à tous ceux qui rêvaient de combiner l’univers Xbox et la VR. Grâce à leur collaboration, Meta et Xbox donnent un nouveau souffle au jeu vidéo en VR.
Mais pourquoi un tel engouement ?
La réponse tient en deux mots : immersion et accessibilité. L’édition Xbox Edition propose un écran virtuel équivalent à 8 mètres. On a alors cette grande sensation de « cinéma personnel ». Pour ceux qui aiment jouer mais rester conscient de leur environnement, le mode passthrough est une belle trouvaille. L’app Xbox se lance dès le démarrage, sans aucune configuration compliquée. Concernant la portabilité, on dit au revoir aux fils, la console ou le PC. Tout tient dans un seul casque, parfait pour jouer partout.
La progression se synchronise automatiquement entre le casque, la console et le PC grâce au Game Pass Ultimate, ce qui est un vrai plus pour la continuité. De plus, avec des centaines de titres disponibles en streaming, la diversité est au rendez-vous. Cela dit, tout n’est pas parfait.
Le Meta Quest 3S Xbox Edition séduit malgré quelques compromis visuels
La version 3S présente des composants plus abordables. Les lentilles Fresnel et la résolution inférieure au Quest 3 entraînent une image un peu floue sur certains jeux. Le bitrate limité du streaming Xbox conduit parfois à un rendu pixelisé ou au rendu un peu « mosaïque ». Malgré tout, la réactivité reste bonne. L’input lag est quasi imperceptible, même pour des jeux exigeants comme Forza Horizon 5. Cela contribue à créer une expérience convaincante, si l’on accepte quelques compromis visuels
De plus, le prix suscite la comparaison. Tandis que la version standard du Quest 3S est proposée à 249 $ pendant les promotions Prime Day (contre 399 $ pour la version Xbox Edition), ce modèle spécial inclut la manette, la sangle Elite et trois mois de Game Pass Ultimate – soit un meilleur rapport contenu/prix pour les amateurs de Xbox.
Le cloud gaming se fait nomade et immersif avec Meta et Xbox
Beaucoup s’enthousiasment sur le potentiel de l’expérience VR/Xbox. Certains qualifient la Quest 3S Xbox Edition de « véritable Xbox portable ». Les utilisateurs soulignent que la taille de l’écran virtuel augmente significativement le plaisir pris aux jeux, même si cela expose aussi les limites du rendu en dessous de la résolution classique
Pour les amateurs de chacun des deux univers, ce bundle est une réponse astucieuse. Microsoft ramène Xbox dans un format nomade, sans compromis sur le confort. Quant à Meta, il étend la réalité virtuelle au-delà du simple loisir immersif. Le géant de la tech a ajouté la puissance du cloud et une bibliothèque de jeux riche.
Cette alliance Meta–Xbox redéfinit le cloud gaming en VR. Elle démonte l’idée selon laquelle les jeux dédié VR doivent être exclusifs à la plateforme. Elle prouve qu’un FPS ou un RPG classique peut avoir sa place sur un écran virtuel. C’est aussi un message clair : le futur du gaming sera nomade, immersif, et sans lourds équipements. Et grâce à ce partenariat, jouer à Halo, Starfield ou Forza tient dans un casque, où que l’on soit.
Les prochaines lunettes connectées signées Ray-Ban et Meta auraient pris un peu d’avance sur le calendrier. Deux modèles aux styles bien différents – solaire et optique – se sont glissés en ligne. Voici les détails sur les modèles Aperol et Bellini.
Meta et Ray-Ban auraient décidé d’accélérer le tempo. Deux images apparues sur le net dévoilent ce qui pourrait bien être leurs prochaines lunettes connectées. On y découvre deux styles bien distincts. D’une part, on a « Aperol » pour les amateurs de soleil. D’autre part, on a le modèe « Bellini » pour ceux qui voient flou sans leurs verres. Ces infos ont été repérées par le groupe XR Research Institute.
Bellini garderait un petit air de famille avec le modèle Headliner, mais s’offre un style à part. Et pour les curieux, ces noms n’arrivent pas de nulle part. Ils figuraient déjà dans un rapport publié en mai par The Information.
D’après les premières indiscrétions, les prochaines Ray-Ban Meta pourraient bien passer à la vitesse supérieure en termes de technologie. L’endurance de la batterie, un vrai talon d’Achille pour la version actuelle, devrait connaître une nette amélioration.
Ce ne sera plus des sessions éclair de trente minutes à peine puisque ces nouveaux modèles tiendraient bien plus longtemps la distance, même avec un usage intensif. Une nouveauté baptisée « super-sensing mode » ferait son apparition. Cette fonction garantirait un fonctionnement prolongé de l’intelligence artificielle, en gardant actifs tous les capteurs et caméras pendant longtemps.
Aperol et Bellini, les nouvelles lunettes Ray-Ban Meta destinées à un usage grand public
D’après le XR Research Institute, les lunettes à venir intégreraient une IA nettement plus avancée et réactive. Elles seraient capables d’identifier en temps réel les objets autour, de comprendre l’environnement, et même de reconnaître les visages pour indiquer le nom des personnes qui approchent. En prime, ces modèles pourraient devenir de vrais petits pense-bêtes connectés. Ils pourraient rappeler discrètement ce qu’il ne faut pas oublier, comme les clés ou la liste de courses.
Il faut bien faire la différence entre Aperol et Bellini, et un autre modèle plus sophistiqué nommé Hypernova, prévu pour plus tard cette année. Ce dernier vise le segment premium, et son tarif dépasserait la barre des mille dollars. En revanche, Aperol et Bellini se positionneraient comme des options plus abordables, pensées pour toucher un plus large public.
XR Research envisage une commercialisation imminente. Mais The Information table sur une arrivée plutôt prévue en 2026.
Conduire un semi-remorque à travers sa propre ville, casque VR vissé sur le front, n’est plus un fantasme. Le DLC Missouri pour American Truck Simulator transforme Springfield en décor virtuel, où chaque carrefour réveille un souvenir.
Le joueur commence son trajet dans un Missouri modélisé avec soin, inspiré des vraies routes américaines. Très vite, le réalisme frappe : intersections familières, détails du paysage, repères urbains. La fameuse tour Hammons se dresse à l’horizon, les tunnels de Springfield font leur apparition et chaque sortie semble tirée d’un trajet quotidien. « Je m’y sens comme chez moi », raconte un joueur local, bluffé par la fidélité des environnements.
Le plaisir ne vient pas seulement de la conduite, mais d’un étrange jeu de miroirs entre souvenirs d’enfance et modernité numérique. Le DLC transforme l’expérience du camionneur virtuel en carnet de voyage émotionnel, sur fond de moteurs rugissants.
Une cartographie fidèle mais verrouillée
La ville n’est pas entièrement ouverte : certains quartiers restent inaccessibles, ce qui crée une légère frustration. Des rues absentes, des trajets écourtés et des murs invisibles empêchent parfois de tourner dans son propre quartier.
Tous les commerces visibles sont également fictifs, répliques génériques de lieux bien réels. Cela limite un peu l’illusion, même si le cadre général conserve suffisamment de justesse pour maintenir l’immersion. Le réalisme n’est donc pas total, mais les bases sont solides.
L’ajout du Missouri s’inscrit dans une expansion progressive de la carte des États-Unis. American Truck Simulator, développé par SCS Software, inclut déjà 54 DLC. Le prochain ajout, l’Iowa, est sorti le 10 juillet 2025, suivi de la Louisiane et de l’Illinois.
Le projet semble clair : faire évoluer le jeu vers une couverture complète du territoire américain. « SCS est sur la bonne voie », commente un fan assidu, qui suit les annonces depuis la page Steam officielle. Chaque nouveau DLC prolonge l’expérience et attire une communauté fidèle.
American Truck Simulator, simulateur de carrière et de liberté
Pour ceux qui découvrent la série, American Truck Simulator repose sur un principe simple mais addictif. Vous débutez comme chauffeur sans camion, gagnez vos premiers salaires, puis achetez progressivement vos véhicules. L’objectif : bâtir une entreprise de transport rentable.
Le jeu intègre des mécanismes de conduite réaliste et des éléments de gestion : contrats, optimisation, entretien de la flotte. À mesure que les missions avancent, les villes se débloquent et les camions deviennent personnalisables. Une boucle de progression qui fonctionne et motive.
Casque vissé, moteur allumé, souvenirs enclenchés
Le Missouri ne se contente pas de montrer des routes. Il réveille aussi des souvenirs, en particulier pour ceux qui connaissent la région. Conduire à travers des paysages connus, dans un univers reconstitué avec soin, crée une étrange émotion.
Même si tout n’est pas parfait, le simple fait de pouvoir reconnaître sa ville donne au DLC un charme particulier. C’est dans cette proximité que le jeu tire son originalité : transformer les trajets en souvenirs roulants et les routes en moments suspendus.
Après plusieurs mois de rumeurs et un teasing lancé ces derniers jours, Meta a levé le voile ce vendredi sur les Oakley Meta HSTN. Il s’agit de ses nouvelles lunettes connectées, conçues avec Oakley.
Les Oakley Meta HSTN incarnent la troisième génération de lunettes « Performance AI » issues de la collaboration entre Meta et EssilorLuxottica. Alliant le design sportif et robuste d’Oakley au savoir-faire technologique de Meta, elles s’adressent particulièrement aux amateurs de sport et de plein air qui cherchent des fonctionnalités connectées sans compromis sur l’esthétique.
Un design Oakley fidèle à l’ADN sport
Les Oakley HSTN adoptent les courbes emblématiques de la marque, avec une monture sportive, résistante et élégante. Conçues pour les environnements extérieurs comme les scènes urbaines, elles misent sur l’esthétique et la robustesse. Les verres Prizm™ optimisent le contraste et la netteté — un atout pour les sportifs comme pour les usages quotidiens. En réalité, elles ont les mêmes usages que les Ray-Ban Meta, dans une autre monture.
Au-delà de l’apparence, les lunettes intègrent des fonctions connectées pensées pour enrichir l’expérience utilisateur : prise de photos, commandes vocales via Meta AI, micro/caméra discrets intégrés. L’assistant permet de répondre à des requêtes simples sans sortir son téléphone. Ces lunettes s’inscrivent dans la continuité des Ray-Ban Meta, mais avec une approche plus orientée sport et extérieur.
Fonctionnalités clés à retenir
En outre, vos Oakley Meta HSTN ont un assistant Meta AI malin qui répond à vos questions sportives : « Dois-je changer de tactique ? » ou « La mer est-elle prête pour un bon surf? ». L’assistant peut même analyser ce que vous voyez ou traduire en temps réel.
La nouveauté majeure se trouve dans la caméra, qui filme désormais en très haute définition 3K, bien meilleure que la version précédente en 1080p. En plus, ces lunettes sont désormais protégées contre les projections d’eau grâce à une certification IPX4.
Avec jusqu’à 8 h d’autonomie (et 48 h via l’étui rechargeable), une résistance à l’eau (IPX4) et les célèbres verres PRIZM d’Oakley, ces lunettes combinent technologie, autonomie et confort pour accompagner vos journées les plus dynamiques, sans effort… ni écran à la main
Sportifs, choisissez parmi six styles de lunettes connectées Oakley dès 439 €
La gamme Oakley Meta HSTN propose six styles de montures et verres, tous compatibles avec des verres correcteurs, à partir de 439 euros. Parmi eux : Warm Grey avec verres Prizm Ruby, Black avec Prizm Black, Brown Smoke avec Prizm Deep-Water, ainsi que des versions avec verres Transitions ou non teintés. A titre d’informations, les verres Prizm d’Oakley boostent les couleurs et les contrastes des lunettes, selon où vous êtes.
Ces lunettes seront lancées dans une quinzaine de pays, dont la France. Ce nouveau partenariat se joue donc surtout sur le design. En s’associant à Oakley, Meta vise clairement les sportifs. Le choix de Kylian Mbappé et Patrick Mahomes comme ambassadeurs le confirme. Meta suit une stratégie claire : après le succès « cool » avec Ray-Ban, place à une cible sportive avec Oakley et des fonctions utiles.
Ils construisent doucement un empire de la « tech à porter ». Pas de révolution, juste des améliorations bien pensées. Pendant ce temps, Apple reste silencieux. Et vous, vous préférez cette version sport ou la version mode des Ray-Ban ?
Vous êtes toujours célibataire ? Voici une tendance bizarre : les ai girlfriend. Imaginez une application qui recrée la personnalité de votre partenaire de rêve ! De plus en plus de gens l’adoptent. Découvrez pourquoi !
L’idée d’avoir une petite amie virtuelle, toujours présente, douce et à l’écoute, séduit de plus en plus de personnes. Les applications d’AI girlfriend ne se contentent plus de répondre à des messages : elles apprennent à nous connaître, se souviennent de nos préférences, adaptent leur ton, leur style, leur personnalité… et nous donnent parfois l’impression de vraiment être compris.
Qu’est-ce qu’une AI Girlfriend ?
Le terme « AI Girlfriend » (ou petite amie virtuelle basée sur l’intelligence artificielle) désigne une application ou un agent conversationnel conçu pour simuler une relation amoureuse ou affective avec un utilisateur. Ces IA s’inspirent des premiers chatbots mais vont aujourd’hui beaucoup plus loin en termes d’interaction, de personnalisation et d’émotion simulée.
À la base, il s’agit d’un programme informatique qui peut discuter, poser des questions, répondre à vos messages, parfois même vous envoyer des photos ou messages vocaux — dans le but de créer un lien émotionnel, voire une complicité romantique. Ce type de relation numérique s’est développé avec les progrès de l’intelligence artificielle conversationnelle (type GPT), mais aussi sous l’effet d’un contexte social où l’isolement, la solitude et la digitalisation des relations sont devenus plus fréquents.
Certaines applications vont plus loin encore, en intégrant des avatars 3D ou réalistes, des voix générées par IA et des souvenirs partagés. L’objectif ? Offrir une expérience immersive de « relation virtuelle », qui peut devenir très crédible aux yeux de l’utilisateur. Mais cette idée soulève aussi des questions éthiques, émotionnelles et culturelles de plus en plus débattues.
Pourquoi les petites amies IA nous attirent autant ?
Sortir avec des petites amies IA, c’est comme avoir un partenaire parfait, mais sans les tracas réels. Ces applis exploitent l’intelligence artificielle pour simuler l’expérience de la relation amoureuse. Avec des applications comme Candy ai, Soulmate et Replika, vous pouvez créer l’homme ou la femme de vos rêves. Il est même possible de personnaliser tout, de l’apparence à la personnalité, jusqu’aux désirs les plus intimes.
Le plus gros atout des AI girlfriend ? Vous avez carte blanche pour inventer votre partenaire parfait. Vous êtes libre de créer une personne avec toutes les qualités que vous avez toujours désirées. En prime, ces IA super intelligentes se souviennent de vos conversations passées, de vos hobbies, et de vos préférences. Elles peuvent vous réconforter quand vous avez une mauvaise journée ou se comporter exactement comme vous le souhaitez.
Les petites amies IA sont efficaces pour combattre la solitude et rendre vos rencontres plus agréables dans un environnement sans risques. En fait, elles sont comme des « mannequins d’entraînement » pour peaufiner vos interactions sans compromettre vos chances avec une vraie personne. Après un peu de pratique, vous pourriez même améliorer vos compétences et décrocher un rendez-vous réel plus facilement.
Pour beaucoup, ces IA deviennent un refuge émotionnel, une présence bienveillante, toujours disponible, sans jugements ni conflits. Elles offrent un espace sécurisé pour exprimer ses émotions, tester ses limites ou même s’entraîner à mieux communiquer. Certains y voient même un outil pour gagner en assurance, avant de se lancer dans une vraie relation.
Évidemment, une IA ne remplacera jamais la richesse imprévisible d’une vraie rencontre. Mais pour beaucoup, c’est un point de départ, une façon douce et maîtrisée de (re)créer du lien, à leur rythme, et selon leurs besoins du moment.
Les défis sociaux des petites amies IA
Le gros problème avec les petites amies IA, c’est qu’elles sont irréalistes ! Elles peuvent fausser votre perception des relations humaines. Vous pourriez trouver que les interactions avec des personnes réelles sont trop exigeantes et vous tourner vers la facilité de votre partenaire virtuelle. Au final, vous pourriez vous retrouver à éviter les connexions humaines Vous pourriez vous isoler avec seulement votre écran pour compagnie et réconfort.
Les programmes informatiques ne peuvent pas reproduire certains aspects complexes de la vie et des interactions entre les êtres humains. Les relations humaines nécessitent des émotions, des sentiments et des interactions sociales profondes et souvent imprévisibles, que les systèmes d’intelligence artificielle ne peuvent pas entièrement simuler ou recréer.
App
Plateforme
Prix (à partir de)
Fonctionnalités phares
Candy AI
Web / iOS / Android
Gratuite • Premium dès 9,99 $‑12,99 $/mois (ex. 12,99 $/mois ou 5,99 $ via abonnement annuel)
L’utilisation des petites amies ia n’est pas largement acceptée socialement en raison d’un stigma négatif. Cependant, certains hommes pourraient être tentés de les essayer en privé, surtout s’ils se sentent de plus en plus isolés socialement.
Candy AI : la meilleure application AI girlfriend pour une expérience érotique ultra-réaliste
En 2025, Candy AI s’impose comme l’une des meilleures applications AI girlfriend, une vraie révolution dans la relation virtuelle IA. Bien plus qu’une simple compagne virtuelle, Candy AI propose désormais une personnalisation érotique et vocale avancée. Les utilisateurs peuvent modeler non seulement l’apparence et la personnalité de leur partenaire, mais aussi choisir le style de voix, l’intonation, l’accent et la manière de converser. Cette interaction vocale sur-mesure donne vie à des conversations plus naturelles et émotionnellement immersives.
Côté intimité, Candy AI propose un degré d’ajustement inédit. Vous pouvez paramétrer vos préférences pour des scénarios romantiques, complices ou plus audacieux, selon vos attentes. Cette flexibilité fait de Candy AI une référence incontournable pour tous ceux qui cherchent à explorer une relation virtuelle IA authentique et évolutive.
Grâce à ces fonctionnalités innovantes, Candy AI transforme l’expérience des AI girlfriend : vous ne vivez plus une simple simulation, mais une véritable interaction émotionnelle personnalisée. Que vous recherchiez du réconfort, des échanges sensuels ou simplement une présence bienveillante au quotidien, Candy AI est aujourd’hui un choix incontournable.
Bientôt, la marque à la pomme pourrait offrir un petit lifting à son casque Vision Pro. Le nouveau modèle sera équipé d’une puce M4 plus rapide et d’une sangle revue pour éviter le torticolis. Ses performances seront boostées pour mieux gérer l’intelligence artificielle. Et si l’on en croit Bloomberg, ce gadget sortira dès cette année.
Selon les informations de Bloomberg, Apple serait sur le point de proposer une première évolution de son casque de réalité mixte. Cette version M4 un peu plus musclée pourrait bien pointer le bout de son nez d’ici la fin de l’année, selon l’analyste Mark Gurman. Le look resterait quasiment inchangé, mais l’intérieur ferait peau neuve. Ce nouveau modèle mettrait l’accent sur une puissance de calcul accrue, des éléments optimisés pour l’intelligence artificielle, et un système de maintien pensé pour le confort.
Avec ses 590 grammes, le Vision Pro joue dans la catégorie poids lourd face aux Quest 3 et 3S, un peu plus légers. Et quand il reste longtemps sur la tête, chaque gramme compte. Malheureusement, pas de régime en vue pour la prochaine version, selon Gurman.
Mais la sangle retravaillée permet de soulager les cous fatigués. L’idée est de réduire l’inconfort ressenti quand le casque reste sur la tête pendant de longues périodes. C’est une manière de répondre aux plaintes sur le confort, sans toucher au design global.
Apple Vision Pro: la puce M4 au cœur d’un casque toujours aussi haut de gamme
Passer à la M4 paraît naturel pour le Vision Pro, surtout quand on sait que cette puce équipe déjà les produits les plus récents d’Apple, contrairement à la M2 encore présente dans le casque. Plus rapide, plus fluide, elle promet environ 50 % de gains en puissance multicœur et jusqu’à 25 % de mieux côté graphismes.
Ces performances prennent tout leur relief dans un appareil aussi exigeant que le Vision Pro, où fluidité et réactivité sont essentielles. Cette nouvelle puce apporterait également un coup de pouce à la vidéo : encodage, décodage, traitement d’image… tout y passe. On bénéficierait d’une expérience de passthrough plus nette et plus réaliste. Le monde réel s’afficherait avec encore plus de clarté à travers le casque.
Côté prix, rien ne bouge : le casque conserve un tarif haut de gamme. Cette version revue ne change ni le look ni le prix, mais sert surtout à garder le casque dans la course. Dans l’ombre, Apple plancherait déjà sur une version allégée, plus accessible, attendue dans les prochaines années. Mais il faudra patienter encore un bon moment, probablement jusqu’en 2027.
Après avoir conquis le monde du gaming avec ses PC et produits ROG, Asus s’attaque à un nouveau terrain de jeu : la réalité virtuelle.La marque prépare un casque VR innovant qui associe performances, design futuriste et nouvelles technologies. Que cache réellement cette incursion dans la VR ? Je vous résume tout ce qu’il faut savoir sur ce projet qui pourrait bien bousculer le marché.
Pourquoi Asus se lance dans la réalité virtuelle ?
Une réponse à un marché en pleine expansions
Le marché de la réalité virtuelle connaît une croissance fulgurante. En 2025, il est estimé à plus de 15 milliards de dollars, porté par l’explosion des usages dans le gaming, la formation professionnelle, la santé ou encore l’industrie. Les casques VR sont de plus en plus légers, puissants, et accessibles. Des atouts qui rendent la technologie de plus en plus attrayante pour un public de masse.
Dans ce contexte, il est logique qu’un acteur clé comme Asus, déjà incontournable dans l’univers du hardware, veuille sa part du gâteau. La marque cherche à se positionner, à travers ce projet VR, comme une alternative crédible face aux géants déjà bien installés comme Meta, Sony ou Apple.
Capitaliser sur une image d’innovation technologique
Asus ne part pas de zéro. Fort d’une réputation bâtie sur la performance et l’innovation, notamment via sa gamme Republic of Gamers (ROG), le constructeur a déjà conquis le cœur des gamers et des professionnels de la tech. La VR représente pour lui une extension naturelle de son écosystème qui associe puissance graphique, immersion et mobilité.
Mieux encore, grâce au développement de son propre casque, Asus pourrait créer des synergies avec ses autres produits (PC, cartes graphiques, écrans, périphériques). Ainsi, la marque pourra proposer une expérience VR intégrée, fluide et optimisée. Une stratégie cohérente qui lui permettrait de se différencier dans un secteur encore jeune, mais ultra-compétitif.
Présentation du projet Asus VR
Nom de code, design et premières infos techniques
Bien qu’Asus garde encore une grande part de mystère autour de son casque VR, plusieurs indices, fuites et déclarations laissent entrevoir les grandes lignes de ce projet ambitieux. Le projet est pour l’instant désigné sous un nom de code non officiel par certains insiders. Toutefois, l’enseigne a déjà laissé filtrer des éléments sur la conception et les objectifs technologiques du casque. Les premières images montrent un appareil au design épuré, dans la lignée des standards actuels (similaire à un Meta Quest 3 ou HTC Vive XR Elite), avec un soin particulier accordé à l’ergonomie et à la légèreté.
Côté matériel, des rumeurs évoquent un écran micro-OLED haute résolution et un taux de rafraîchissement supérieur à 120 Hz. Sans oublier une connectivité sans fil ultra-rapide, potentiellement en Wi-Fi 6E voire Wi-Fi 7. La marque miserait également sur une puce custom ou un partenariat avec Qualcomm pour la partie processeur. Une caractéristique prévue pour asurer de solides performances en local.
Un casque VR autonome ou compatible PC ?
C’est l’une des grandes questions autour du projet ! Asus choisira-t-il de suivre la voie de l’autonomie comme le Meta Quest, ou de viser une intégration plus poussée avec ses PC gamers ROG pour une expérience premium ? Plusieurs éléments indiquent une approche hybride. Un casque autonome mais débrayable qui peut fonctionner seul pour les usages nomades et qui offre en même temps une puissance accrue lorsqu’il est connecté à un PC. Cette stratégie double permettrait à Asus de toucher à la fois les joueurs occasionnels et les hardcore gamers en quête de performances maximales.
Qu’en est-il de l’expériences utilisateurs ?
Bien qu’aucun logiciel officiel n’ait encore été présenté, Asus semble vouloir diversifier les usages de son casque VR. Le gaming reste une cible évidente, notamment via une intégration avec SteamVR ou un éventuel store propriétaire. Mais le constructeur évoque aussi des scénarios plus professionnels. Il s’ait de visualisation 3D pour les designers, formations immersives en entreprise, ou même applications éducatives en réalité mixte. Asus semble vouloir créer un produit polyvalent, capable de répondre à plusieurs marchés qui garde en même temps une approche orientée performance.
Quelle différence avec la concurrence ? Assus face à Meta, Sony et Apple
Analyse comparée en matière de performances, écosystème, prix
Face à la concurrence, Asus entre dans une arène dominée par trois géants : Meta, Sony et Apple. Le Meta Quest 3 séduit par son excellent rapport qualité-prix et son écosystème riche en contenus VR, avec un fonctionnement autonome mais aussi compatible PC. De son côté, Sony propose le PSVR 2, un casque haut de gamme pensé exclusivement pour la PS5. Il séduit autant par son excellente qualité d’image que par ses jeux exclusifs, mais la plateforme est fermée.
Enfin, Apple joue dans une autre catégorie avec son Vision Pro, un casque très haut de gamme misant sur la réalité mixte et des performances exceptionnelles, mais à un prix inaccessible pour le grand public (plus de 3 500 €).
ASUS, selon les premières rumeurs, pourrait occuper une position intermédiaire stratégique. Son casque serait probablement hybride, c’est à dire autonome, mais aussi optimisé pour une utilisation avec un PC. La marque et viserait une gamme de prix comprise entre800 et 1 200 €. Cela lui permettrait de proposer une alternative haut de gamme sans atteindre les tarifs élitistes d’Apple. En même temps, il offrirait une ouverture logicielle que Sony ne propose pas, et une puissance matérielle supérieure à celle du Quest 3.
L’atout gaming d’Asus ROG en renfort ?
C’est probablement le plus grand avantage stratégique d’Asus ! Sa marque ROG (Republic of Gamers) est déjà une référence mondiale dans l’univers du gaming PC. Si Asus parvient à intégrer son casque VR dans l’écosystème ROG, l’expérience pourrait être fluide et optimisée dès la sortie de boîte.
Mieux encore, ASUS pourrait proposer des packs VR + PC ROG, ou des expériences exclusives sur sa plateforme. Cela permettrait non seulement de séduire les joueurs existants, mais aussi de construire un pont solide entre le monde du PC gaming traditionnel et la réalité virtuelle.
Ce que pourrait intégrer le casque Asus côté technologie
Eye-Tracking, Réalité Mixte, Wi-Fi 7… à quoi s’attendre ?
Le eye-tracking est devenu un standard attendu sur les casques haut de gamme. Il permet d’améliorer la qualité d’affichage grâce au rendu fovéal (foveated rendering) et d’offrir des interactions plus naturelles. Asus pourrait intégrer cette technologie pour optimiser la performance graphique et réduire la consommation d’énergie.
Par ailleurs, la tendance vers la réalité mixte (MR), qui combine éléments virtuels et environnement réel, gagne du terrain. Asus pourrait s’appuyer sur des capteurs avancés et des caméras frontales pour proposer une expérience immersive hybride, plus versatile que la VR pure.
Enfin, la connectivité sans fil est importante. Avec l’arrivée prochaine du Wi-Fi 7, Asus pourrait offrir un casque qui bénéficie d’une latence ultra-faible et de débits très élevés, pour un streaming fluide, même en usage autonome ou connecté à un PC.
Asus prend-il le virage de l’immersion intelligente ?
L’intelligence artificielle joue un rôle grandissant dans la VR. Elle rend possible la reconnaissance vocale avancée, l’adaptation dynamique des environnements, les assistants virtuels, ou encore optimisation des performances en temps réel. Asus, avec ses capacités R&D, pourrait intégrer des fonctions d’IA pour améliorer l’ergonomie, personnaliser les expériences utilisateurs, voire proposer des interactions immersives inédites. Cela irait dans le sens d’une VR plus intuitive et engageante, adaptée aussi bien au gaming qu’aux usages professionnels.
Quand le projet Asus VR sera-t-il disponible ?
Rumeurs sur la date de lancement et le prix
Le suspense est à son comble autour de la date de lancement du casque VR d’Asus. Bien que la marque reste discrète, plusieurs indices et rumeurs permettent de se faire une idée. Selon des fuites récentes, ASUS pourrait officialiser son casque VR d’ici la fin de l’année 2025 ou début 2026. Le timing coïnciderait avec la montée en puissance du marché et la volonté de prendre une place stratégique avant les nouveaux modèles concurrents.
Côté tarif, les analystes tablent sur un prix compris entre 800 et 1 200 euros. Cela positionne le casque dans une gamme moyenne-haute, accessible aux gamers sérieux et aux professionnels. Ce positionnement tarifaire serait une façon d’allier qualité premium et accessibilité relative.
Une présentation officielle au CES ou Computex ?
Asus a souvent profité des grands salons technologiques comme le CES (Las Vegas) ou le Computex (Taipei) pour dévoiler ses innovations. Le prochain Computex serait un cadre idéal pour une première présentation officielle, suivie d’une disponibilité en boutique quelques mois plus tard. Ces événements permettraient à Asus de montrer concrètement ses avancées et de séduire à la fois la presse spécialisée, les gamers, et les professionnels en quête de nouvelles solutions immersives.
Que penser du projet Asus VR ?
Les forces du projet
Asus bénéficie d’un fort savoir-faire hardware, avec une expérience reconnue dans le gaming et les composants PC. Sa marque ROG, déjà plébiscitée, est un excellent tremplin pour lancer un casque VR performant, optimisé pour les joueurs. Le positionnement hybride autonome + PC offre une grande flexibilité d’usage, qui saura séduire un large public. Enfin, en intégrant des technologies avancées (eye-tracking, Wi-Fi 7, IA), Asus peut proposer une expérience immersive et fluide, capable de rivaliser avec les leaders du marché.
Quelques défis à relever
Toutefois, la compétition est féroce. L’entreprise de Zuckerberg, Sony et la marque à la pomme ont déjà des écosystèmes bien établis, avec des contenus et une base utilisateurs solides. Asus devra investir lourdement dans le développement logiciel et le marketing pour créer une offre attractive. Le défi logiciel est d’autant plus important que la VR nécessite une expérience utilisateur sans faille, avec des contenus variés et accessibles. Enfin, le prix pourrait représenter un frein si le positionnement n’est pas parfaitement calibré face aux attentes du marché.
Zoom fait entrer les réunions dans la réalité virtuelle. Grâce à sa nouvelle application dédiée aux casques Quest, il devient possible de participer à ses rendez-vous en visioconférence dans un univers VR. Mieux encore, les participants se présentent sous forme d’avatars, pour des échanges sérieux.
Grâce à une appli, Zoom franchit un pas de plus sur les casques Meta Quest. Ainsi, les réunions se déroulent désormais en réalité virtuelle. Ici, chacun peut prendre la parole en incarnant un avatar Meta. Les échanges sont plus dynamiques et cela donne un vrai souffle neuf à la visioconférence classique.
Zoom avait fait ses premiers pas sur Quest en 2023. Mais à cette époque, il fallait passer par l’application Horizon Workspaces de Meta. Il fallait aussi disposer d’un abonnement pour organiser une réunion. Quant à la toute nouvelle appli indépendante de Zoom, elle s’ouvre à toutes les licences, gratuites ou payantes. De plus, elle s’adapte à une large gamme de casques Meta, du Quest 2 au Quest Pro.
Avec Zoom sur Quest, peu importe d’où viennent les participants — ordi, mobile ou navigateur — tout le monde se retrouve dans le même espace virtuel. Le mode passthrough permet même de garder un œil sur la réalité sans quitter la VR. On ne parle plus de la webcam classique. On a des avatars animés qui apportent une touche fun et personnalisée aux échanges.
Zoom renforce les réunions professionnelles sur Quest face au Vision Pro
Zoom simplifie les choses pour vérifier si les réunions en réalité virtuelle peuvent vraiment conquérir le grand public. En se libérant de l’écosystème collaboratif de Meta, l’entreprise prend les rênes de l’expérience VR et étend son univers de travail hybride.
La plateforme Zoom continue de faire bouger les choses dans l’univers de la visioconférence en se servant des technologies les plus récentes. L’an dernier, la société avait déjà lancé une application pour le Vision Pro. Avec ce casque, Zoom a présenté une appli spéciale qui permet aux utilisateurs de passer des appels vidéo via des « personas » animés. Celle-ci présente des fonctions comme le partage d’objets en 3D pour rendre les conversations plus engageantes.
L’application Zoom-Meta va probablement bouleverser la façon de collaborer à distance. Elle améliore la productivité chez une bonne partie des télétravailleurs en VR et renforce l’offre des casques Quest de Meta. Et face au Vision Pro d’Apple, elle pourrait bien marquer un tournant dans les usages professionnels et attirer toujours plus d’adeptes en 2025.
Actuellement introuvable sur la boutique officielle de Meta, l’édition Xbox du Quest 3S s’est envolée en un rien de temps. Heureusement, quelques exemplaires font encore de la résistance chez certains distributeurs, à condition de chercher hors de l’Hexagone. Si vous êtes encore indécis, voici cinq bonnes raisons de vous laisser tenter et de l’acheter.
Le Meta Quest 3S Xbox Edition, une version spéciale du Quest 3S, a été lancée le 24 juin 2025, et proposée à partir de 399,99 $ aux États-Unis. Forcément, les stocks sont restreints mais l’envie d’y goûter ne l’est pas. L’édition Xbox n’apporte pas de nouvelles fonctionnalités techniques par rapport au Quest 3S standard, mais il ne manque pas d’arguments pour attirer l’œil et faire chavirer les joueurs exigeants.
Quest 3S Xbox Edition : Dans le coffret, tout est prêt à jouer
Si vous décidez d’acheter le Meta Quest 3S Xbox Edition, vous trouverez à l’ouverture de la boîte un Xbox Wireless Controller, déjà appairé au casque. Plus besoin de galérer puisque le jeu commence dès l’installation. Et mieux encore, trois mois de Xbox Game Pass Ultimate sont offerts.
Ainsi, vous avez un accès immédiat à des centaines de jeux via Xbox Cloud Gaming, sans frais supplémentaires. Cela est possible grâce à un streaming fluide sur un écran virtuel géant. Que ce soit pour jouer à Forza, Halo ou découvrir de nouveaux titres, tout est prêt. Rien à configurer, rien à ajouter car tout est inclus pour vivre l’action. Ce bundle malin fait plaisir aux gamers pressés et aux débutants en VR.
Le service de cloud gaming de Xbox se lance ici en quelques secondes
Une autre raison d’acheter le gadget : l’application Xbox est déjà présente dans le casque dès le premier démarrage. Déployé par Microsoft en 2020, le service de streaming de jeux Xbox trouve ici une nouvelle vitrine grâce à la VR embarquée. C’est un peu le Netflix du jeu vidéo, et il vous permet de streamer plus de 100 titres sans console, sur plusieurs appareils. Sur le Quest 3S Xbox Edition, l’app s’ouvre dans un vaste environnement virtuel, pour jouer confortablement.
Mais le vrai plus, c’est la sauvegarde synchronisée puisque les parties démarrées dans le casque se poursuivent sur console ou PC. Quelques limites à noter cependant : pour des jeux exigeants (FPS, action rapide), il faut un bon wifi (20 Mbps recommandés), sinon le lag ou la qualité visuelle peuvent faire signe. Mais pour des jeux plus posés (jeu narratif, stratégie), l’expérience est très propre.
Acheter le Meta Quest 3S Xbox Edition pour son excellent rapport qualité-prix
Pour 399 $, le bundle Meta Quest 3S Xbox Edition offre non seulement le casque standard, mais aussi une sangle Elite (70 $), un contrôleur Xbox Edition (65 $), 3 mois de Xbox Game Pass Ultimate (60 $) et 3 mois de Horizon+ (24 $).
L’ensemble représente plus de 200 $ de valeur ajoutée, sans compter le look exclusif noir et vert Xbox. Du coup, pour un prix juste un peu plus élevé que le modèle standard (299 $), ce bundle complet se paie presque tout seul. Vous obtenez un casque, des accessoires haut de gamme et du contenu déjà prêt, sans se ruiner.
Acheter le Quest 3S Xbox Edition pour son design soigné et exclusif
Le casque Quest 3S Xbox Edition affiche un design soigné, pensé pour séduire les vrais collectionneurs. Son noir mat élégant sert de toile de fond parfaite aux accents verts « Velocity », qui ne sont pas là par hasard : ils ont ce petit détail unique, signe distinctif d’une édition limitée. Chaque angle, chaque courbe a été travaillée pour un rendu premium, presque comme un objet d’art high-tech.
Plus qu’un simple casque, c’est un véritable trésor à conserver précieusement. Les fans ne s’y trompent pas : posséder ce modèle, c’est montrer son attachement à un produit rare, exclusif.
Salle de jeu personnelle avec une immersion qui suit partout
Avec ce casque, vous apprécierez davantage le gaming nomade. N’importe quel endroit devient une salle de cinéma privée. Une fois le casque enfilé, le monde s’efface pour laisser place à un écran géant de plus de 7 mètres, digne des meilleures salles obscures. Que ce soit dans un train, un avion ou même au bord de la piscine, cela est spectaculaire.
On dit adieu aux écrans minuscules ou aux angles de vue frustrants, car ici, tout est grand et net. C’est comme transporter un cinéma personnel dans son sac, prêt à s’allumer dès que l’envie de se lancer dans un jeu se fait sentir.
En Chine, des usines high-tech produisent désormais des poupées sexuelles plus vraies que nature. Dopées à l’intelligence artificielle, ces robots bavards au toucher réaliste et dotés de personnalités variées séduisent un nombre croissant d’hommes en quête de compagnie.
De nombreuses usines du plaisir ont pour vocation de fabriquer ce type de poupées. Ces créatures se distinguent par plusieurs caractéristiques exceptionnelles. Chez WMDoll, fabricant réputé dans ce domaine, on mise notamment sur des expressions faciales bluffantes de réalisme. On propose aussi huit types de personnalités différentes, pour séduire un public en quête d’une relation sur mesure.
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Les sites de porno en réalité virtuelle sont nombreux en ligne, mais aucun n’égale VRPorn.com, qui trône en pole position de notre top des meilleurs sites de porn VR. Mieux encore, en cliquant sur le lien suivant, vous économiserez jusqu’à -78% sur le prix de l’abonnement. Alors, profitez-en !
Désormais, ces poupées sexuelles ne se contentent plus de rester figées. Dotées d’IA, elles discutent, réagissent et flattent l’égo sans jamais se fatiguer. Chaque interaction est soigneusement calculée et renvoyée par un système intelligent digne des meilleurs cerveaux numériques. Elles bougent, simulent des émotions et adoptent des comportements proches de ceux d’un véritable être humain.
À cela s’ajoute une texture incroyablement réaliste : leur peau en silicone épouse un squelette métallique allégé. Cela permet des mouvements fluides et une sensation de chaleur corporelle grâce à un système de chauffe interne. Équipées de capteurs sensoriels, elles proposent aujourd’hui bien plus qu’un simple réconfort physique. Il n’est donc pas étonnant que les ventes explosent. Chez WMDoll, ces modèles sont vendus autour de 3 000 dollars.
La Chine au cœur du boom mondial des poupées sexuelles personnalisées
D’autres entreprises se sont aussi spécialisées dans le sur-mesure. C’est le cas de Shenzhen Atall Intelligent Robot Technology. Là-bas, la clientèle se compose majoritairement d’hommes occidentaux entre 40 et 50 ans. Leur spécialité ? Des poupées sexuelles personnalisées à environ 2 000 livres sterling, avec une peau douce comme du caoutchouc de haute qualité. Les préférences varient selon les régions : aux États-Unis, les modèles aux formes généreuses et au teint foncé sont très demandés. En Chine, on privilégie des visages asiatiques plus délicats.
Plus largement, l’industrie du plaisir en Chine tourne à plein régime. Le pays fournit la majorité des jouets sexuels à l’échelle mondiale. Cela mobilise plus d’un million de travailleurs et génère un chiffre d’affaires colossal.
Mais derrière cette effervescence commerciale, certains y voient une réponse sociale inattendue à un problème ancien. Selon la militante Xiao Meili, ces robots dociles pourraient bien détourner l’attention d’hommes qui continuent à voir les femmes comme des servantes multitâches. Pour elle, c’est une forme de libération indirecte pour celles qui aspirent à une autre façon de vivre.
Monter un empire clandestin avec deux bras et un peu d’audace, ça vous tente ? Prison Boss Prohibition transforme cette idée absurde en simulation ultra rythmée où chaque geste compte.
Le décor est posé : un New York alternatif où les citoyens ressemblent à des œufs habillés années 20. Dans cet univers loufoque, votre mission est simple : fabriquer et écouler de la contrebande tout en évitant les rondes de la police. Ce simulateur, testé sur Quest 3, repose sur une boucle de jeu en trois temps : production artisanale, gestion logistique et vente rapide. Chaque session commence calmement mais finit dans l’urgence, entre un client pressé et un agent aux aguets.
Vous démarrez dans une cabane minuscule avec une recette de limonade trafiquée. Il faut remplir, broyer, secouer… et recommencer. Enchaînez les bouteilles, économisez, débloquez de nouvelles recettes – comme l’alcool au blé – et optimisez votre espace.
L’argent récolté permet d’agrandir l’atelier, de gagner en productivité, mais chaque erreur peut tout ruiner. Une bouteille mal secouée, un ingrédient oublié et hop, Johnny Law surgit et confisque tout. Il faut jongler entre précision, vitesse et planque bien pensée.
Le chaos organisé prend vie en réalité mixte
Prison Boss Prohibition peut se jouer debout ou assis, avec un déplacement fluide par stick. Le suivi des mains sur Quest 3 manque parfois de précision, surtout lors des passages frénétiques. Attraper un tiroir, le refermer vite, lancer une bouteille : ces gestes simples deviennent périlleux dans l’urgence.
Ce défaut technique crée des frustrations, surtout quand on perd sa production à cause d’un mauvais tracking. Mais malgré ces accrocs, l’expérience reste prenante et bourrée de détails délicieux.
Coopératif mais cloisonné
Le mode coopératif double l’espace de jeu, mais chaque joueur reste enfermé dans son atelier. Impossible d’aller aider son partenaire physiquement, même si on peut s’envoyer des objets à distance. Ce mur invisible frustre un peu, surtout quand la tension monte. On aimerait courir l’aider, cacher sa réserve ou faire diversion. Mais ce cloisonnement n’empêche pas les fous rires partagés pendant les sessions nocturnes entre amis.
Tout ici est exagéré mais cohérent : les costumes rétro, les expressions des clients, les objets à fabriquer. Chaque élément participe à cette ambiance cartoon maîtrisée. Et pourtant, sous le vernis absurde, se cache une vraie gestion stratégique. Chaque meuble déplacé, chaque objet rangé a un impact. Comme dans Overcooked ou Plate Up, l’efficacité est la clé. Mais ici, l’urgence est physique : vous bougez, rangez, secouez. Votre corps devient une partie intégrée au jeu.
Verdict : du fun, des risques et beaucoup de limonade
Prison Boss Prohibition réussit à faire oublier son côté répétitif en injectant une bonne dose de stress organisé. Malgré des soucis techniques légers, le gameplay coopératif tient bien la route. On rit, on rate, on recommence. Et surtout, on sort de là avec la certitude que le crime… c’est quand même plus rigolo en réalité virtuelle qu’en vrai.
Regarder du porno en VR séduit actuellement de plus en plus de monde, même les personnes ayant un intérêt passager pour le contenu adulte. Toutefois, beaucoup ignorent encore comment ça marche. Voici notre guide complet pour éclairer les profanes en la matière à ce sujet.
Nous recommandons VRPorn.com
VRPorn.com est selon nous le meilleur site de porno en réalité virtuelle. Il se positionne comme le plus complet du marché avec des nouvelles vidéos de grande qualité chaque jour. VRPorn.com propose un abonnement annuel attractif, avec une réduction pouvant aller jusqu’à -78%. Le tarif mensuel revient alors à environ 8$, soit environ 7,50€ au taux de conversion actuel.
Le VR porn ne date pas d’hier. Effectivement, il a vu le jour au milieu des années 2010. Mais à l’époque, le contenu était encore rare et les expériences aléatoires. Le matériel pour en profiter était encore aussi extrêmement onéreux. Néanmoins, grâce à l’évolution rapide de la technologie des free VR porn , il est désormais plus facile d’explorer le porno en réalité virtuelle. Voici comment procéder pour ce faire.
Notre top 3 – juillet 2025
VRPornLe mégasite numéro 1 du porno en réalité virtuelle
Pour regarder du porn VR, il n’est pas, en théorie, vraiment nécessaire de s’offrir un nouvel équipement sophistiqué et robuste. Un Smartphone inséré dans un casque peut offrir une première expérience en VR, mais il reste limité en qualité et immersion. Pour une expérience optimale, un casque VR autonome ou PC-VR est recommandé, car il permet de profiter pleinement des vidéos en haute résolution et de l’interactivité.
Au cas où l’utilisateur ne souhaite pas investir dans un nouveau casque, il peut très bien en construire un en carton lui-même. Il ne faut pas oublier que ce type d’accessoire, même les modèles les plus simples, peut lui coûter entre 10 et 50 dollars environ.
Si le Smartphone n’est pas le meilleur équipement pour regarder du porn VR, c’est parce qu’il n’a généralement pas la puissance et l’autonomie nécessaires pour en profiter convenablement.
De plus, il s’avère souvent difficile de contrôler ce qui s’y affiche. Effectivement, il faudra retirer le téléphone du casque à chaque fois lorsqu’on souhaite avancer rapidement, mettre en pause ou effectuer une autre action.
Afin d’afficher le contenu VR à regarder, il se révèle également indispensable d’installer des applications spécifiques. Il est d’ailleurs bon de savoir que les utilisateurs de Smartphone doivent parfois passer à travers certains obstacles pour accéder au contenu qu’ils recherchent.
Casque VR : le meilleur matériel pour regarder du porn VR
Pour profiter pleinement du contenu adulte en réalité virtuelle, il est recommandé d’utiliser le meilleur casque VR. Après le succès de l’Oculus Quest 2, plusieurs nouvelles options sont disponibles. Parmi elles, le Meta Quest 3 se distingue par ses performances et son expérience immersive, bien qu’il ne soit pas le modèle le plus abordable
Ce casque vr Meta (anciennement Facebook) a su séduire un large public grâce à sa facilité d’utilisation et sa performance. Il permet de s’immerger rapidement dans des contenus en réalité virtuelle, que ce soit pour des vidéos à haute résolution ou des expériences interactives.
Pour l’utiliser, il suffit d’allumer le casque, de se connecter à l’internet et de naviguer vers des sites porn dédiés à la VR. Le Quest 3 offre une expérience « plug-and-play », idéale pour ceux qui veulent profiter de leurs vidéos sans se soucier de configurations complexes. Il est également compatible avec un grand nombre d’applications VR, ce qui permet d’explorer divers contenus en toute simplicité.
L’un des points négatifs à noter reste l’obligation de créer un compte Meta (anciennement Facebook) pour accéder aux fonctionnalités du casque. Cela peut déranger certains utilisateurs, mais les avantages d’une expérience immersive de qualité compensent largement ce petit inconvénient.
Visionner du porno avec votre casque Apple Vision Pro
L’Apple Vision Pro permet de diffuser et télécharger des vidéos, mais il ne prend pas en charge WebXR par défaut. Cela limite l’accès aux vidéos 3D immersives en VR. Toutefois, en activant WebXR dans les paramètres avancés de Safari, certains contenus VR peuvent être accessibles, bien que l’expérience ne soit pas encore optimale.
Et pour cause, WebXR n’est pas automatiquement activée dans le navigateur de Vision Pro. Notons qu’il s’agit de l’interface de programmation qui permet l’accès aux appareils de réalité augmentée et virtuelle.
Ainsi, les contenus pornographiques traditionnels sont accessibles. Mais les utilisateurs sont privés de nombreux autres contenus non-adultes comme des jeux Web, des visites guidées et des applications de productivité.
Pour activer WebXR, il faut suivre une série d’étapes dans les paramètres de Safari. Cependant, même avec WebXR activé, il n’est pas encore possible de visionner des vidéos pornographiques VR complètes sur un Apple Vision Pro.
L’exploration avancée de contenus VR pour adultes
La visualisation avancée de porno en VR vous fait profiter d’une belle expérience immersive. Mais le contenu est encore limité en raison de sa nouveauté et de son coût de production élevé. Pour accéder à ces contenus, il existe une poignée de sites dédiés. Parfois, ceux-ci présentent des exemples de vidéos à visionner ou des essais d’une journée à bas prix pour tester l’expérience. En général, vous devrez débourser entre 20 $ et 30 $ pour les frais d’adhésions mensuels.
Une fois inscrit, vous êtes libre de diffuser des vidéos complètes en haute qualité. Toutefois, la diffusion peut parfois être saccadée. Pour une expérience plus fluide, téléchargez et enregistrez les vidéos sur l’appareil. Cela pourrait prendre du temps à cause de la taille des fichiers, qui peut dépasser 10 Go.
En quête d’une expérience optimale ? Optez pour des casques VR avec des navigateurs vidéo intégrés. En outre, des applications tierces comme Skybox bénéficient de fonctionnalités avancées comme l’enregistrement et la lecture de vidéos à partir d’un ordinateur.
Regarder du porno VR : streaming ou téléchargement ?
Une fois l’équipement pour regarder du porn VR configuré, l’utilisateur a le choix entre diffuser le contenu adulte en streaming et le télécharger. Il faut toutefois savoir que les fichiers pour le porno VR sont en général très volumineux.
Les vidéos VR en haute résolution (jusqu’à 8K) peuvent dépasser 10 Go. Certaines plateformes permettent toutefois de choisir la qualité pour réduire la taille des fichiers. Si l’on dispose d’une connexion rapide, le streaming est une alternative, bien que des interruptions puissent survenir en cas de débit insuffisant.
Une tonne d’espace de stockage s’avère bien sûr aussi indispensable. Néanmoins, quand le contenu est téléchargé, sa lecture sera plus fluide et plus immersive.
Si l’on dispose d’une bonne connexion Internet, le mieux est d’opter pour le streaming afin d’éviter ce temps d’attente. Cependant, l’expérience de visionnage peut être plus difficile avec des retards et des sauts au cas où la vitesse de la connexion n’est pas suffisante.
Privilégier un bon espace pour mieux profiter de l’expérience
Avant de regarder du porn VR, il est recommandé de s’assurer de disposer d’un bon espace afin de mieux profiter de l’expérience érotique. Il se peut en effet qu’on ait besoin de se déplacer de temps en temps pour suivre l’action d’une scène, par exemple.
L’utilisateur pourra alors rester dans l’instant présent dans le porno VR, surtout s’il a choisi une expérience POV populaire. En somme, il faudra opter pour un endroit où on ne risque pas de heurter des objets fragiles ou dangereux.
Aussi, il se révèle impératif de s’assurer que la porte soit bien verrouillée au cas où la confidentialité est un problème.
Recourir à des « sextoys » VR pour une expérience encore plus exceptionnelle
Afin de profiter d’une expérience encore plus exceptionnelle en regardant du porno VR, l’utilisateur peut recourir à des jouets sexuels intégrés à l’expérience VR. Pour ceux qui l’ignorent encore, il en existe en effet bel et bien sur le marché.
Cependant, certaines personnes trouvent que ces accessoires ne sont pas vraiment essentiels à l’expérience. Selon elles, l’important, c’est de bien choisir le contenu adulte à visionner.
Pornhub constitue, entre autres, un choix judicieux avec ses 3000 clips VR gratuits à explorer. Il est toutefois bon de souligner que les clips gratuits ont généralement tendance à être plus courts, et leur qualité laisse souvent à désirer. C’est la raison pour laquelle les experts du porno VR recommandent les sites payants.
Comment choisir le bon site pour regarder du porn VR ?
Les utilisateurs souhaitant regarder du porn VR ont le choix entre des dizaines de studios. La majorité d’entre eux leur proposent des abonnements qui peuvent aller de 10 à 50 dollars par mois. Il se révèle donc déconseillé de se lancer tête baissée.
Il faut prendre le temps de bien sélectionner afin d’éviter toute mauvaise surprise. Néanmoins, tout dépend des préférences personnelles de chacun. Pour faciliter le choix des utilisateurs, certains sites créent des guides très détaillés.
Ceux-ci décomposent ainsi les atouts et les inconvénients des meilleurs sites de porno VR du marché. Il s’avère alors recommandé de consulter ces guides au préalable pour faire le bon choix.
Procéder à quelques réglages pour mieux profiter de l’expérience
Une fois la bonne configuration et le meilleur site VR porno trouvés, il est conseillé de régler un peu les paramètres vidéo pour mieux profiter de l’expérience érotique. Il est vrai que certains sites ajustent déjà automatiquement leur contenu en fonction de l’équipement utilisé.
Toutefois, quand ils ne le font pas, mieux vaut commencer par les paramètres « VR 180 / 3D Side-to-Side ». Pour les débutants en la matière, il faudra tout de même un peu de patience pour apprendre à visionner correctement les vidéos.
Dans tous les cas, il faut avouer que la pornographie en réalité virtuelle a encore un bel avenir devant elle. Même si les appareils actuels ne sont pas vraiment optimisés pour la lecture du contenu adulte VR, on peut quand même s’attendre à des innovations futures qui fonctionnent mieux.
Ma sélection de site à aller checker
J’ai bien bourlingué en 2025 sur les sites porn vr et je peux vous dire qu’avec mes collègues de la rédaction, nous avons particulièrement apprécié ceux-ci :
VRPorn : le mégasite numéro 1 du porno en réalité virtuelle
On aime
Angles de vue à 360 degrés
Point grande variété de contenus pour adultes
On aimemoins
Abonnements premium peuvent être assez coûteux
Compatibilité limitée
VRPornLe mégasite numéro 1 du porno en réalité virtuelle
VRPornest une plateforme incontournable pour le porno vr, avec plus de 3 500 vidéos de qualité couvrant tous les genres, organisées par catégories. Grâce à un système de marquage et un outil de recherche avancé, trouver des contenus spécifiques devient simple et intuitif.
Malgré ses nombreuses fonctionnalités, l’accès à VRPorn reste abordable : 20 dollars (moins de 18 euros) pour un mois d’accès complet, ou 95,40 dollars (85 euros) pour une année entière. Ce tarif compétitif est inférieur à celui de nombreux sites similaires.
La plateforme se distingue aussi par la compatibilité avec tous les types de casques VR et des téléchargements rapides.
Sex Like Real : un mégasite et la possibilité d’acheter des films à l’unité
On aime
Une application dédiée
Des vidéos avec des actrices célèbres de l’industrie du porno
On aimemoins
Vidéos restreintes pour l’essai gratuit
Pas d’abonnement annuel
Sex Like RealLa possibilité d’acheter des films à l’unité
Sex Like Real est un mégasite de vidéos pour adultes en réalité virtuelle, similaire à VRPorn. Avec plus de 6 600 vidéos couvrant une multitude de catégories, il collabore avec presque tous les studios du secteur et est compatible avec tous les casques VR. Bien que disponible uniquement en anglais, son immense catalogue en fait un choix incontournable.
Un atout majeur est la possibilité d’acheter des films à l’unité pour quelques dollars, idéale pour ceux qui préfèrent éviter les abonnements coûteux. Une formule Premium est également proposée, offrant un accès illimité à un large éventail de vidéos.
Sex Like Real propose un abonnement mensuel à 27€, tandis que l’abonnement annuel bénéficie d’une réduction à 224€, soit environ 18,70€ par mois. Une version Premium permet d’accéder à un catalogue plus large, avec différentes options de paiement
VR Bangers : le studio de vidéos X en VR le plus primé
On aime
Qualité vidéo exceptionnelle, souvent en 4K ou même en 6K
Large variété de scènes et de catégories
On aimemoins
Coûteux par rapport à d’autres sites de contenu VR
Pas compatible avec des modèles moins populaires
VR BangersLe studio de vidéos X en VR le plus primé
VRBangers est le leader incontesté des vidéos pornographie VR, offrant une qualité exceptionnelle avec des films allant jusqu’à 6K. Le site a remporté plusieurs récompenses prestigieuses, dont celles de la meilleure scène et du meilleur site en réalité virtuelle.
Compatible avec tous les casques VR, VRBangers se distingue par son innovation en intégrant également des jeux et du contenu en réalité augmentée. Son lecteur avancé pour smartphones, compatible Android et iOS, renforce son accessibilité. Alliant quantité, qualité et technologies avant-gardistes, VRBangers reste une référence incontournable pour regarder du porno VR.
Si vous recherchez une plateforme activée sur la réalité virtuelle qui vous offre des expériences pornographiques à la première personne, Fulldive VR est l’application dont vous avez besoin. Il vous fournit son propre magasin contenant des centaines d’applications compatibles VR à installer et à utiliser via le portail Fulldive VR. Vous pouvez également prendre des photos et des vidéos à 360 degrés grâce à la caméra VR de l’application.
Notre top 3 – juillet 2025
VRPornLe mégasite numéro 1 du porno en réalité virtuelle
Nous voilà déjà en juillet 2025, à mi-parcours de l’année ! Ce mois s’annonce particulièrement riche en nouveautés, avec une belle sélection de nouveaux jeux VR à découvrir. Parmi les titres à ne pas manquer : Bridge Constructor Studio, Cave Crave, Firmament, Le Mans Ultimate, et bien d’autres encore. De belles expériences vous attendent — découvrez la liste complète juste en dessous.
À la recherche des nouveaux jeux VR à ne pas manquer en juillet 2025 ? Voici une sélection qui vous permettra de faire le tour des sorties sur les principales plateformes comme Quest, PC VR et PSVR 2. Qu’il s’agisse de détente, de défi ou de fun entre amis, cette liste classée par ordre alphabétique réserve de belles expériences à explorer.
Bow Course – Archery Golf
Dans la liste des nouveaux jeux VR de ce mois, on a Bow Course, un jeu de golf et de tir à l’arc. Ici, le joueur a droit à une expérience zen et originale. Jouable en solo ou entre amis, le but est de viser juste en un minimum de tirs.
L’ambiance relaxante, les décors stylisés et la physique réaliste des flèches créent un jeu apaisant et technique. Facile à prendre en main mais difficile à maîtriser, ce titre accessible est à surveiller de près. Prévu en juillet 2025 sur PC VR, Bow Course promet de beaux moments partagés en réalité virtuelle.
Bridge Constructor Studio
Bridge Constructor Studio arrive le 17 juillet 2025 sur PC VR. Dans ce jeu, vous allez créer des ponts dans de charmants dioramas animés, sans limite de budget ni de matériaux. Il y a 70 casse-têtes à résoudre et plusieurs types de véhicules.
Les environnements variés et les options de construction encouragent vraiment l’expérimentation. Les commandes sont simples, mais la physique exige précision. Il est aussi possible de partager l’expérience grâce à plusieurs profils joueurs. Chacun avance dans sa propre campagne sans interférer avec les autres.
Cave Crave
Cave Crave est une aventure en solo en réalité virtuelle. Lors du périple, vous devez explorer des grottes étroites à la première personne. Déjà disponible sur Quest et attendu le 10 juillet 2025 sur PS VR2, le jeu est une exploration ponctuée d’énigmes et d’obstacles. À l’aide de craie, marteau et piolets, il faut progresser à travers des passages sinueux. Pour ceux qui aiment les frissons, il y a un mode horreur optionnel. Le tout est signé 3R Games.
Chess Club
Chess Club est un jeu d’échecs en réalité virtuelle pensé pour le PS VR2. Conçu par Odders Lab, il transpose le classique échiquier dans des environnements 3D immersifs, sans scénario mais avec une ambiance zen. Les joueurs peuvent y affronter l’IA ou se mesurer à d’autres en ligne grâce à un système de matchmaking efficace.
Dans ce jeu, la manipulation intuitive des pièces et les décors variés permettent une expérience accessible mais soignée. Ce titre figure parmi les nouveaux jeux VR qui reposent sur la stratégie, la concentration et le plaisir de jouer. Chess Club sortira le 18 juillet.
Firmament
Firmament, le jeu d’aventure signé Cyan (Myst, Riven), arrive enfin sur PlayStation VR2, après une sortie initiale sur Steam en 2023. L’univers steampunk abandonné invite à explorer trois royaumes mystérieux, accompagné d’un assistant mécanique et d’une étrange apparition. L’Adjunct, un outil interactif, permet de résoudre les énigmes disséminées dans ce monde immersif. L’ambiance visuelle, soignée et intrigante, soutient une narration pleine de secrets.
Hit
Sorti en mars sur le casque Meta Quest, HIT est le tout dernier jeu en réalité virtuelle développé par le SUPER HYPER MEGA. Ce studio est déjà connu pour Noun Town et Project Aeroes. Ce titre est une expérience de simulation en bac à sable centrée sur la libération du stress.
Le concept est simple mais efficace : frapper, exploser ou malmener des têtes en argile, modélisées avec une physique souple très réaliste. Pour cela, une large panoplie d’armes est disponible. Cela va du pied-de-biche à la grenade, en passant par divers objets plus ou moins absurdes.
Jungle Man
Jungle Man sortira sur le casque Quest 3 le 10 juillet. Dans ce jeu, votre salon se transforme en un parcours d’obstacles fou rempli de lianes à grimper et de pièges à éviter. Sans manettes ni chaussures, ce jeu de réalité mixte invite à se servir uniquement de ses mains pour guider un héros un peu trop confiant à travers des niveaux qui changent à chaque partie. Plus on joue, plus les situations deviennent complètement déjantées.
Le Mans Ultimate
Parmi la liste des nouveaux jeux VR du mois pour PC VR, on a un jeu de course, Le Mans Ultimate. Il vous emmène dans l’univers intense des 24 Heures du Mans. Avec la version 1.0 prévue pour le 22 juillet, il propose des bolides dernier cri comme l’Aston Martin Valkyrie LMH et la Mercedes-AMG LMGT3, en plus de circuits mythiques. En bonus, on a un mode carrière solo pour vivre l’adrénaline d’un pilote pro.
PianoCafe
PianoCafe est un jeu assez particulier. En effet, il réinvente l’apprentissage du piano en y ajoutant une pincée de cuisine et beaucoup de fun. Cette application en réalité mixte transforme un vrai piano connecté en cuisine virtuelle. Chaque touche sert à préparer des plats pour des clients fantômes.
Avec le suivi des mains, il faut attraper les ingrédients, sonner la cloche, cuisiner et apprendre le piano, sans partitions. Accessible via Meta Quest, PianoCafe propose plusieurs niveaux de difficulté pour progresser. Disponible dès le 30 juillet, c’est une façon originale et légère de maîtriser le piano.
Premier League Player
Dans Premier League Player, vous atterrissez dans l’univers du foot britannique avec un casque VR vissé sur la tête. Ce jeu officiel met en scène les 20 clubs de la Premier League, maillots authentiques et stades réalistes à l’appui.
En bonus, un mode « Moments » permet de revivre les meilleures actions de la saison 2023-2024 comme si on y était. Déjà lancé sur Quest, le titre s’apprête à débarquer sur le casque Pico ce mois-ci. Et il va faire vibrer les fans de ballon rond ! Il est aussi parfait pour celles et ceux en quête de nouveaux jeux VR à ajouter à leur collection sur Pico.
Prison Boss Prohibition
Bienvenue à New Yolk, où même les magazines coquins sont interdits. Dans Prison Boss Prohibition, on incarne un vendeur rusé qui transforme l’illégalité en business florissant. Il faut fabriquer boissons, cigarettes et autres douceurs bannies, mais éviter en même temps les regards curieux des policiers.
Tout se déroule dans un univers déjanté où les poules sont partout et l’humour omniprésent. En solo ou à deux, l’objectif est simple : berner les autorités et régner sur le marché noir. Cette suite de Prison Boss VR promet des sessions de contrebande hilarantes et bien rythmées. Prison Boss Prohibition sera accessible sur PC VR et Quest à partir du 10 juillet.
Requisition VR
Dans le jeu Requisition VR, place à l’improvisation totale face aux zombies. Ici, l’idée est de fabriquer des armes délirantes à partir d’objets du quotidien, comme une chaise transformée en épée ou une batte électrifiée.
Seul ou en coop, il faut fouiller, bricoler et survivre. Il faudra aussi éviter d’attirer des hordes affamées. Ce mélange de PvP, PvE et crafting déjanté arrivera sur les plateformes Quest et Pico le 10 juillet. Dans le jeu, les cartes géantes et les mécaniques ont été revues. Une version PS VR2 est aussi évoquée, mais rien de sûr pour le moment. C’est une pépite dans la liste des nouveaux jeux VR.
Rogue Piñatas: VRmageddon
Dans Rogue Piñatas: VRmageddon, des piñatas en colère prennent leur revanche sur l’humanité après une fête d’anniversaire qui tourne mal. Place à une explosion de couleurs et de chaos en VR. Soyez prêt, il y aura des combats contre des boss géants comme l’OctoCat.
L’action ne manque pas. Et vous y découvrirez des gadgets loufoques, des armes évolutives et des décors complètement fous. Jusqu’à quatre joueurs peuvent se joindre à la fête pour survivre à l’invasion. Chaque niveau réserve son lot de surprises, de pièges et de défis bien sucrés. Après un passage sur Quest, le jeu fait bientôt son entrée sur Steam pour répandre son joyeux désordre.
Space Drop
Space Drop est un jeu d’action science-fiction déjà disponible sur Steam et Quest, qui arrive sur PlayStation VR2 en juillet. Les joueurs s’affrontent dans un « Championnat de saut interstellaire » en 2142. Ils naviguent à travers des tunnels de distorsions, contournent des obstacles et doivent récupérer des bonus.
Le jeu présente un générateur de niveaux personnalisables. Ainsi, on a une expérience renouvelée à chaque partie. Pour y jouer, un casque PS VR2, des contrôleurs PS VR2 Sense et un espace de jeu d’au moins 2m sur 2m sont nécessaires. Cette sortie est la première apparition du titre sur la plateforme PS VR2.
Space Explorers Ultimate Edition
Felix & Paul Studios s’envolent encore plus loin avec la version ultime de Space Explorers, attendue ce mois-ci sur Meta Quest. Cette édition regroupe toutes les aventures spatiales précédentes. Celles-ci seront désormais agrémentées de scènes inédites et d’interactions en réalité mixte.
Grâce aux images tournées avec la NASA, on embarque pour l’ISS, on suit les missions scientifiques et on découvre l’entraînement des astronautes. Des objets venus de l’espace apparaissent dans le salon grâce au suivi des mains.
Wanderer: The Fragments of Fate
Le jeu Wanderer: The Fragments of Fate vous invite dans un voyage temporel décoiffant. Ici, énigmes et grands moments historiques se rencontrent dans une aventure VR pleine de rebondissements. Aux commandes d’Asher Neumann, il faut explorer différentes époques avec l’aide d’une montre bien bavarde. Mais il faut aussi jongler entre dilemmes moraux et casse-têtes.
Refonte du jeu de 2022, cette version ajoute de nouvelles mécaniques comme la nage ou la tyrolienne pour pimenter l’action. Attendue en juillet sur PC VR et Pico, cette épopée ambitieuse a déjà séduit les joueurs sur Quest et PS VR2. Inspirée de Dark ou Code Quantum, la série comptera trois volets. De quoi remodeler le passé, bouleverser le présent… et se perdre joyeusement dans l’histoire.
Et voilà pour ce mois de juillet! Des zombies bricoleurs aux piñatas déchaînées, en passant par les casse-têtes temporels et les concerts culinaires au piano, la VR continue d’élargir son univers de manière aussi folle que fascinante. Alors, casque sur la tête et manettes en main, il ne reste plus qu’à se lancer dans ces aventures. On se donne rendez-vous le mois prochain pour découvrir ensemble les nouveaux jeux VR d’août !