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Un étrange bug de Spotlight bloque l’indexation d’un fichier texte s’il commence par certains caractères

Howard Oakley a découvert un bug bien étrange dans Spotlight, le moteur de recherche de macOS. Un lecteur lui a d’abord signalé qu’un fichier texte brut qui commençait par les lettres LG en majuscule n’était pas indexé par Spotlight, rendant l’intégralité de son contenu inaccessible. D’autres recherches ont prouvé depuis que ce n’était pas le seul cas de figure : le bug survient aussi au minimum lorsque HPA et même Draw sont présents en tête du fichier texte. À défaut de comprendre les raisons exactes de ce bug qui existe depuis bien des années, le développeur a réussi à identifier son origine.

Ce fichier texte stocké dans un dossier normalement indexé par Spotlight n’est pas accessible par le biais du moteur de recherche, à cause de ses deux premiers caractères. Image MacGeneration.

Concrètement, la source du problème est à chercher dans RichText.mdimporter, l’outil développé par Apple qui se charge d’ajouter le contenu des fichiers texte dans la base de données de Spotlight. On sait que la version incluse à partir de macOS Ventura (13) est touchée et c’est encore le cas sous macOS Tahoe. Pour une raison qu’il est difficile d’éludicer puisque le code source de cet outil est fermé, les premiers caractères d’un fichier texte peuvent provoquer un bug qui bloque l’indexation du contenu. Il semblerait que l’outil d’Apple considère à tort que le fichier n’est pas du texte, mais un autre format qui le conduit à ignorer ce qu’il contient.

L’hypothèse la plus probable est qu’Apple a changé la méthode pour déterminer le type d’un fichier à partir de macOS 13. Une explication pourrait être que Spotlight utilise maintenant la commande UNIX file, présente dans le système depuis Tiger, pour effectuer cette tâche. Son travail repose sur une analyse des premiers octets d’un fichier, au lieu de simplement faire confiance au système d’exploitation qui assigne un format à chaque document géré par ses soins. C’est l’inclusion de Draw qui a mis la puce à l’oreille, puisque c’est le format de fichier d’un très vieil éditeur vectoriel sorti à la fin des années 1980.

Un fichier texte qui commence par ces quatre lettres pourrait ainsi être considéré à tort comme du dessin vectoriel et non du texte brut. On imagine que LG et HPA correspondent à d’autres formats et on suppose qu’il peut y avoir d’autres séquences de caractères qui bloquent ainsi Spotlight. Comme le souligne Howard Oakley, l’opacité du moteur de recherche conçu par Apple n’aide pas à comprendre le bug, macOS ne remontant aucune information détaillée et offrant encore moins de contrôle sur le processus. Tout est censé fonctionner et si ce n’est pas le cas, l’utilisateur n’a aucun recours.

Il faut reconnaître que ce bug était bien caché : il ne fonctionne qu’avec les fichiers en texte brut, pas ceux en texte enrichi, et les caractères incriminés doivent être les premiers. Ajoutez un espace juste avant et l’indexation par Spotlight se fera normalement. Oubliez une majuscule et de la même manière, le contenu sera correctement ajouté à la base de données. Cela explique sans doute pourquoi il est passé si longtemps sous les radars d’Apple et on peut espérer qu’il sera corrigé dans une future version de macOS maintenant qu’il a été rendu public.

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Free TV : TF1 et France Télévisions s’insurgent contre le nouveau service de Free

En lançant sa grande offensive sur les services de télévision la semaine dernière, Free a pris tout le monde de court, y compris les groupes audiovisuels. Dans un communiqué commun au ton courroucé, TF1 et France Télévisions « dénoncent avec la plus grande fermeté l’initiative de Free visant à commercialiser leurs services sans aucune concertation préalable avec les éditeurs concernés. »

Application Free TV sur iPad. Image iGeneration.

Jusqu’ici, chaque opérateur se contentait de proposer son service de télévision maison à ses abonnés fixe ou mobile. Free a décidé de casser ce schéma avec Free TV, une offre de télé gratuite ouverte à tous, qui permet de regarder des dizaines de chaînes — y compris celles du service public — sur de nombreuses plateformes. Les chaînes de TF1 sont quant à elles intégrées dans Free TV+, une formule payante à 0,99 € par mois la première année.

Les deux groupes, qui ont manifestement découverts Free TV en même temps que tout le monde, évoquent « une méthode brutale et unilatérale » qui serait menée au « mépris des droits des ayants droit créateurs et acteurs du secteur audiovisuel et de leurs partenaires commerciaux. » Ils estiment que Free « s’approprie » leurs contenus, alors qu’ils poussent de leur côté leurs propres services TF1+ et France.tv.

Free lance Free TV, une offre de télé gratuite disponible pour tous

Free lance Free TV, une offre de télé gratuite disponible pour tous

Le concept de Free TV n’est pourtant pas inédit, Molotov occupe ce terrain depuis des années. Mais l’entreprise de Xavier Niel dispose d’une force de frappe bien supérieure et aurait donc lancé ce service sans prévenir personne. TF1 avait déjà eu un long contentieux avec Molotov, qui s’était soldé par le retrait de ses chaînes de la formule gratuite.

Au bout du compte, France Télévisions et TF1 appellent les pouvoirs publics et l'Arcom à se saisir du dossier, estimant que cette initiative « déstabilise l’ensemble de l’écosystème audiovisuel. »

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Créer une app pour Android en Swift est désormais possible

Le projet Swift annonce sur son blog la sortie de la première version d’un SDK pour Android. Concrètement, cela veut dire que l’on peut créer une app pour Android en utilisant Swift, le langage de développement créé à l’origine par Apple et qui sert de fondation à ses systèmes d’exploitation et ses apps. Ce n’est pas une surprise, c’est au contraire l’aboutissement d’un projet lancé il y a près de dix ans et avec la bénédiction d’Apple. C’est même en effet l’ambition de base de Swift, qui voulait être un langage open-source capable de répondre à tous les besoins.

Image Swift.

Précisons d’emblée qu’il ne sera pas possible de créer une app Android complexe uniquement codée en Swift. Cette première version pose les fondations et offre une base de travail pour qu’un développeur puisse adapter ses apps iOS vers le système d’exploitation mobile de Google. Cela dit, il faudra se passer de toutes les fonctionnalités fournies par iOS et se contenter d’une petite partie de l’écosystème Swift. Ainsi, moins de 30 % des dépendances distribuées avec Swift Package Manager sont compatibles Android et il faudra un travail de toute la communauté pour augmenter ce chiffre. La page du site officiel qui met en avant des projets indique désormais si la compatibilité Android est assurée.

Swift Package Manager, notre série au complet sur le Club iGen

Swift Package Manager, notre série au complet sur le Club iGen

Au-delà de leur propre langage, les créateurs de Swift ont prévu un projet swift-java qui sert à faire le lien avec le langage de base d’Android. C’est essentiel pour qu’une app complète puisse être créée, cela permet d’utiliser dans la même app du code en Swift et du code en Java et parvenir au résultat escompté. Le groupe de travail dédié à Android, créé au début de l’été seulement, va maintenant poursuivre son effort pour faire de Swift un langage viable sur la plateforme mobile de Google.

Swift, le langage d

Swift, le langage d'Apple, se tourne vers Android

C’est une étape de plus dans l’effort des gestionnaires de Swift de ne pas dépendre exclusivement d’Apple. Même si les développeurs sont principalement employés par Cupertino et même si la majorité des nouveautés concerne les produits pommés, Swift est aussi disponible sous Linux, Windows et maintenant Android. Au-delà de l’environnement Apple, il est surtout utilisé dans le monde des serveurs. Reste à savoir s’il sera populaire dans celui des apps Android.

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iOS 26 : utilisez-vous l’alimentation adaptative pour prolonger l’autonomie de votre iPhone ?

Avec iOS 26, Apple propose une nouvelle option pour améliorer l’autonomie de votre iPhone. À condition d’avoir un modèle compatible avec Apple Intelligence (à partir de l’iPhone 15 Pro), l’alimentation adaptative peut prédire quand vous aurez besoin d’une plus grande autonomie en fonction de vos habitudes et ajuster alors la consommation pour améliorer l’endurance ce jour-là.

Par exemple, si tous les dimanches vous utilisez intensément votre iPhone au point que la batterie est juste pour la journée entière, l’alimentation adaptative va réduire un peu les performances, abaisser légèrement la luminosité de l’écran et limiter l’activité en arrière-plan pour que vous ayez toujours du jus — une notification signale alors la mise en place de cette mesure.

L’option se situe dans Réglages > Batterie > Mode d’alimentation. Elle est activée par défaut sur tous les iPhone 17 et l’iPhone Air. En revanche, il faut l’activer manuellement sur les iPhone 15 Pro et tous les iPhone 16.

Utilisez-vous l’alimentation adaptative pour prolonger l’autonomie de votre iPhone ? Si oui, avez-vous noté du mieux pour la batterie ?

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Apple ne permet plus de facilement désactiver Liquid Glass sur macOS 26.1

Apple veut vraiment que vous adoptiez Liquid Glass, quitte à supprimer les bidouilles permettant de le désactiver. Le site japonais Applech2 a remarqué qu’il n’était plus possible d’utiliser l’app SolidGlass sur macOS 26.1. Lancé au début du mois, il permettait de désactiver la nouvelle interface à travers ses différents logiciels.

L'avertissement en question. Image MacGeneration

L’app affiche désormais une alerte annonçant qu’Apple a revu certaines mesures sur macOS 26.1. On peut y lire que « la nouvelle mise à jour de macOS a supprimé le drapeau système qui servait à désactiver Liquid Glass, et il n'est maintenant plus possible de désactiver cet effet ». S’il existe d’autres méthodes pour arriver aux mêmes résultats, elles nécessitent « ‌des modifications beaucoup plus complexes au sein même des applications et sont loin d'être aussi simples et rapides qu'auparavant ». Elles impliquent notamment de désactiver le mécanisme de System Integrity Protection (SIP), ce qui semble assez dangereux pour couper un simple effet visuel.

Sauf si Apple venait à remettre en place son drapeau système (com.apple.SwiftUI.DisableSolarium) ou à créer un mécanisme équivalent, l’application va être abandonnée. Elle va tout de même rester en ligne pour les utilisateurs de macOS 26 et 26.0.1, qui ne devraient pas rester disponibles très longtemps étant donné que le lancement public de macOS 26.1 est attendu au plus tôt ce soir, au plus tard dans les semaines qui viennent.

C’est un choix regrettable sans réelle justification pour un drapeau système qui était bien pratique pour récupérer un peu de lisibilité. SolidGlass prenait la forme d’une liste d’app et permettait de désactiver manuellement les effets pour chacune d’entre elles. On pouvait par exemple couper Liquid Glass dans Musique pour récupérer les contrôles de lecture en haut de l’interface sans transparence, mais garder l’effet ailleurs.

Nul doute que l’app aura un remplaçant tant Liquid Glass divise. Une bidouille avait été partagée pour le désactiver dès le mois de juin, quelques jours à peine après la WWDC. Apple a commencé à revoir sa copie et intégré une nouvelle option dans macOS et iOS 26 afin de réduire les effets de transparence. Une option de Xcode 26 permet aux développeurs de ne pas passer immédiatement à Liquid Glass, mais va disparaître à partir de l’année prochaine.

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Roborock fait chuter les prix de ses aspirateurs : le Q7 L5 à 130 €, le Qrevo Slim en promo à 749 € !

Roborock déroule le tapis rouge sur Amazon. La marque d’aspirateurs robots, devenue incontournable dans les foyers connectés, propose une large vague de promotions sur plusieurs de ses modèles. Les promotions concernent aussi bien l'entrée de gamme que le haut de gamme.

Le Q7 L5 : l’entrée de gamme à 130 €

Le Roborock Q7 L5, affiché à 130 € au lieu de 230 €, ouvre la marche. Malgré son tarif d’entrée de gamme, il conserve tout ce qui fait l’ADN de la marque : un système de navigation LiDAR précis, la compatibilité Alexa et un module serpillière intégré pour laver le sol après le passage de la brosse.

Le Roborock Q7 L5

À ce prix, il s'agit d'un modèle idéal pour quiconque voulant essayer un aspirateur robot sans se ruiner. Ce modèle a tout de même un défaut : il n’est pas compatible avec Matter. Vous ne pourrez donc pas le piloter depuis Maison.

Le Q7 L5+ : la simplicité avant tout

Ceux qui souhaitent limiter les manipulations peuvent se tourner vers le Q7 L5+, livré avec une station de vidange automatique : plus besoin de vider le bac à poussière après chaque cycle. Il est proposé à 210 € au lieu de 270 €.

Le roborock Q7 L5+

Le QV 35A : le meilleur rapport fonctions/prix

Si la compatibilité avec HomeKit est un prérequis, alors il faut vous tourner vers le QV 35A qui est proposé à 399,99 €, soit une réduction de 190 € sur son prix public.

Ce modèle milieu de gamme comblera sans doute la majorité des utilisateurs : pissance d’aspiration de 8 000 Pa, système de navigation LiDAR PreciSense capable de modéliser plusieurs étages et une station « tout-en-un » qui vide automatiquement la poussière, remplit l’eau, lave et sèche les serpillières.

Le Qrevo Slim : la puissance dans un format ultra-plat

Autre modèle à faire l'objet d'une grosse promotion : le Qrevo Slim. Il est proposé au prix de 749 €. Généralement, son prix oscille entre 800 et 900 €. D'autre part, il est possible d'obtenir 7 % de réduction en plus si votre panier dépasse les 750 €.

Le Qrevo Slim se démarque avant tout par son gabarit ultraplat — seulement 8,2 cm de hauteur — ce qui lui permet de se glisser sous les canapés, les lits ou les meubles bases inaccessibles aux robots plus hauts.  Comparé au QV 35A, qui adopte un châssis plus classique, cette finesse est un vrai gain d’accès. Ensuite, le Slim revendique une puissance d’aspiration affichée à 11 000 Pa, contre 8 000 Pa annoncés pour le QV 35A, ce qui lui donne un avantage notable pour déloger poussière et débris incrustés.  Enfin, la navigation du Slim s’appuie sur une nouvelle technologie « StarSight » (capteurs 3D, time-of-flight), qui lui permet d’éviter les obstacles et mapper avec précision, même dans des espaces encombrés.

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Apple persisterait à vouloir ajouter des publicités dans Plans

Plans d’Apple pourrait bel et bien perdre cet avantage face à Maps de Google et intégrer à son tour des publicités. C’est ce que rapporte Mark Gurman dans son infolettre dominicale, en décrivant un système très similaire à celui du géant de la recherche. Les commerces pourraient payer Apple pour pouvoir être mis en avant dans les résultats de recherche des utilisateurs, un système que la Pomme connaît bien, puisque c’est celui de l’App Store.

Plans n’a jamais affiché de publicité depuis sa création en 2012. Cela pourrait bientôt changer, en commençant par les résultats de recherche. Image iGeneration.

L’idée d’ajouter de la publicité à Plans n’est pas nouvelle. Le journaliste de Bloomberg était déjà à l’origine de la première rumeur en 2022. À l’époque, il évoquait l’ajout de publicités à Podcasts, Livres et Apple TV, en plus de Plans, afin d’améliorer les revenus du programme « Search Ads » dédié à l’App Store qui générait alors quasiment 4 milliards de dollars par an. Au passage, ce programme a été renommé « Apple Ads » au printemps, ce n’est sans doute pas un hasard.

De la publicité bientôt dans les apps Plans, Podcasts, Livres et Apple TV+ ?

De la publicité bientôt dans les apps Plans, Podcasts, Livres et Apple TV+ ?

Dans sa dernière liste de diffusion, il indique que le choix aurait été pris de passer à l’acte avec un déploiement des publicités qui pourrait avoir lieu dès le début de l’année prochaine. Les sources de Mark Gurman suggèrent que l’interface de gestion pour les commerçants serait meilleure que celle de Google et d’autres entreprises dans le monde de la cartographie. L’intelligence artificielle serait au rendez-vous pour sélectionner des résultats « pertinents et utiles ». L’App Store n’est sans doute pas le meilleur exemple à cet égard : l’app qui s’affiche en premier est presque systématiquement une publicité désormais et c’est quasiment toujours l’inverse de ce que l’on cherche.

La publicité dans les résultats de recherche de l’App Store en deux exemples : à gauche, c’est une app de ByteDance, propriétaire de TikTok et grand concurrent d’Instagram que je cherchais ; à droite, c’est une app sur la politique américaine qui n’a rien à voir avec ma recherche de client Mastodon. Image iGeneration.

Mark Gurman souligne lui aussi qu’Apple doit faire attention à ne pas susciter des réactions négatives de la part de ses clients. La publicité s’installe de plus en plus dans ses produits et services, y compris au cœur de ses systèmes d’exploitation, et cela ne passe pas très bien auprès de sa clientèle qui a déjà payé cher pour ses appareils.

Apple abuse en envoyant une notification pour « F1 le film » aux utilisateurs américains d’iPhone

Apple abuse en envoyant une notification pour « F1 le film » aux utilisateurs américains d’iPhone

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AirPods : des boîtiers de remplacement à petit prix, mais pas sans risques

La créativité autour des AirPods ne faiblit pas. Pour un si petit objet, les accessoires — et leurs clones — se multiplient. Après les copies d’écouteurs, voici désormais un clone du boîtier de charge pour les AirPods de première et deuxième génération.

Ce boîtier de remplacement, vendu sur Amazon, fait même l’objet d’une promotion à 25 €. Nous ne l’avons pas testé, et les commentaires des premiers acheteurs n'incitent pas forcément à l'enthousiasme. Comme souvent avec ce type de produits, les fabricants ne se contentent pas de copier : ils ajoutent parfois leurs propres idées, pour le meilleur et pour le pire.

Ce modèle intègre une batterie de 600 mAh, soit environ 200 mAh de plus que celle du boîtier d’origine d’Apple. Il dispose également d’un bouton d’appairage, de la recharge sans fil, et d’une LED multicolore indiquant l’état de charge.

Ce produit n'est pas un cas isolé. On trouve des modèles similaires pour AirPods Pro 1 et 2, pour AirPods de 3e génération. Les prix varient entre 20 et 35 €. On imagine qu'il y a deux cas pour lesquels les utilisateurs se tournent vers ce type de produits. Ils ont perdu leur boitier ou si celui-ci dispose d'une batterie en bout de course. Mais, en théorie, le boitier est censé durer plus longtemps que les AirPods.

Image : iFixit

Pour les bricoleurs qui veulent redonner une deuxième vie à leur boitier, une autre solution existe : iFixit commercialise une batterie à 15 $ pour donner une seconde vie à votre boitier d'AirPods. Encore faut-il pouvoir le démonter. iFixit estime qu'il faut environ une heure de travail et considère la tache comme étant très difficile.

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Apple a revu la conception interne du MacBook Pro M5 pour légèrement simplifier les réparations

Pour la génération M5 du MacBook Pro, Apple ne s’est pas contentée de reprendre le modèle précédent et de remplacer la puce M4 par son dernier modèle. En ouvrant un exemplaire, iFixit a découvert quelques changements mineurs, qui vont toutefois dans le sens d’une réparation plus simple. Pas de bouleversement dans ce domaine et le score donné par le site à la machine reste très moyen, avec un 4/10 qui trahit un ordinateur toujours complexe à réparer, parce qu’il implique de retirer de nombreux composants pour accéder enfin à la bonne pièce.

Le MacBook Pro M5 largement démonté. Image iFixit.

Malgré tout, il y a une bonne nouvelle. Pour la première fois, la batterie d’un MacBook Pro peut être enlevée sans démonter autre chose que la partie basse du boîtier en aluminium. Jusque-là, il fallait retirer le trackpad pour accéder à la batterie et la retirer proprement. Comme le relève le site, Apple recommande toujours cette méthode dans son guide de réparation qui a d’ailleurs été publié dès le premier jour de commercialisation, une autre amélioration soulignée par iFixit par rapport aux précédents modèles. Quoi qu’il en soit, il est possible de retirer la batterie sans enlever le trackpad grâce à des découpes plus large à son niveau, un excellent point.

Le site regrette qu’Apple ne soit pas allée jusqu’à reprendre la fixation électrochimique des iPhone récents, la batterie est maintenue en place par des rubans de colle qu’il faut tirer pour les enlever. Comme c’est la pièce que l’on changera le plus souvent, cela reste un progrès bienvenu et peut-être qu’un futur MacBook Pro atteindra le niveau des smartphones en la matière. Pour le reste, on atteint vite les limites en termes de réparabilité sur la conception interne de ces machines. Mis à part le trackpad, les haut-parleurs et le capteur d’angle d’ouverture pour l’écran, l’accès aux composants reste toujours aussi compliqué.

Par exemple, tous les ports du MacBook Pro sont modulaires et peuvent être remplacés… sauf qu’ils nécessitent bien souvent de retirer la carte-mère au complet pour y accéder. C’est surtout gênant pour le ventilateur, qui pourrait bénéficier d’un nettoyage de temps en temps, et qui est lui aussi inaccessible sans enlever énormément d’autres éléments. C’est techniquement possible, toutefois iFixit note que c’est long et potentiellement coûteux, puisque l’on multiplie le risque de casser un autre composant en chemin.

Le MacBook Pro est techniquement modulaire, même s’il faut retirer un grand nombre d’éléments pour accéder à une pièce. Image iFixit.

Même si tout n’est pas positif, il faut souligner les efforts d’Apple dans ce domaine. La génération M5 du MacBook Pro fait quelques progrès pour simplifier les réparations, c’est toujours bon à prendre et on peut espérer que ses successeurs feront encore mieux.

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Nisus Writer : la fin d’un traitement de texte historique pour Mac ?

Nisus Writer, l’un des plus anciens traitements de texte pour Mac, traverse une période trouble. Créé en 1989 par Jerzy Lewak, ce logiciel de niche a toujours séduit par sa souplesse, sa stabilité et ses capacités avancées pour la rédaction multilingue et académique. Pendant des décennies, il a su conserver un petit public fidèle — auteurs techniques, enseignants, traducteurs — séduits par sa richesse fonctionnelle et son puissant système de macros.

L’application avait déjà connu une période compliquée lors du passage à Mac OS X, avant de renaître au début des années 2000 pour devenir l’un des traitements de texte les plus prometteurs sur la plateforme. C’était à une époque où Apple Pages n’existait pas encore et où Microsoft Word brillait davantage par son poids que par son intégration à Mac OS X.

Image : Nisus Writer

Plus aucun signe de vie depuis presqu'un an

Mais aujourd’hui, l’avenir de Nisus Writer paraît plus incertain que jamais. Le site web de l’éditeur a disparu à plusieurs reprises ces derniers mois, les forums sont désertés et aucune mise à jour n’a été publiée depuis novembre 2024. Plusieurs utilisateurs s’interrogent sur une possible fermeture de Nisus Software, d’autant que l’application a aussi brièvement disparu du Mac App Store.

Joe Kissell, auteur du livre The Nisus Way et ancien chef de produit de la société dans les années 1990, a tenté de reprendre contact avec les anciens membres de l’équipe — sans succès. Le dernier développeur actif, Martin Wierschin, travaille désormais chez Apple, tandis que les figures historiques comme Mark Hurvitz ou Dave Larson ont coupé les ponts. Le fondateur, Jerzy Lewak, serait aujourd’hui retraité, tout comme son épouse Jolanta, qui assurait la gestion quotidienne de l’entreprise.

Le constat est sans appel : plus personne ne semble développer ou maintenir Nisus Writer. Sans correctifs ni adaptation aux futures versions de macOS, son sort est scellé à moyen terme. Kissell plaide pour une sortie honorable : que Nisus Software libère le code source du programme. Ce serait, selon lui, la meilleure chose à faire — une façon de remercier la communauté fidèle et de permettre à l’application de vivre autrement, comme l’ont fait d’autres petits éditeurs lorsqu’ils n’étaient plus en mesure d’assurer la maintenance commerciale de leurs produits.

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L’iPhone 18 passerait à 12 Go de RAM, comme les iPhone Pro

Le bal des rumeurs autour de l’iPhone 18 a déjà commencé depuis quelques semaines. Rappelons que ce modèle devrait suivre un calendrier plus long que d’habitude : le successeur de l’iPhone 17 n’est pas attendu à l’automne 2026, mais au printemps 2027.

C’est dans ce contexte que la dernière information publiée par le site coréen The Bell semble tout à fait plausible. Selon ce média, l’iPhone 18 embarquerait 50 % de mémoire vive en plus, soit 12 Go de RAM au total.

L’iPhone 17 reste pour l’instant le seul modèle de la gamme à se contenter de 8 Go. Apple chercherait désormais à uniformiser la quantité de RAM sur l’ensemble de la future série iPhone 18. D’après plusieurs sources asiatiques, la firme aurait demandé à Samsung, l’un de ses principaux fournisseurs, d’augmenter la production de puces LPDDR5X pour les modèles à venir.

iPhone Air, Pro et pliable : Apple prépare de grands bouleversements

iPhone Air, Pro et pliable : Apple prépare de grands bouleversements

Ces nouvelles mémoires, lancées par Samsung en 2024, ne sont disponibles qu’en versions 12 Go et 16 Go, ce qui rend peu probable le maintien d’un iPhone “standard” limité à 8 Go. Apple discuterait également avec SK Hynix et Micron pour sécuriser davantage de composants.

Parmi les autres rumeurs relatives à l'iPhone 18, on sait que ce modèle devrait embarquer une Dynamic Island plus discrète, être équipé d'un modem cellulaire Apple, et disposer d'un bouton pour commander l'appareil photo moins à cher à produire.

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Bon plan : la Sonos Era 100 à 170 € (-60 €) et la Sonos Era 300 à 339 € (-160 €)

Si vous cherchez des enceintes de qualité à un prix ultra-compétitif, c'est le moment ou jamais. Amazon Italie propose des prix canon sur les enceintes Sonos Era 100 et Sonos Era 300.

Sonos Era 100 : la compacte à 170 €

Dans le meilleur des cas, la Sonos Era 100 se négocie autour de 200 €, et son prix descend parfois un peu plus lors d’événements commerciaux comme le Black Friday. Sur Amazon Italie, le modèle noir est actuellement affiché à 197 €. À cela s’ajoute un coupon de 35 €, à activer juste avant la validation de la commande.

En tenant compte des frais de port vers la France et de l’ajustement de la TVA, la Sonos Era 100 vous revient à environ 170 €.

Image : iGeneration

L’Era 100 se présente comme une enceinte compacte et polyvalente pour un usage domestique. Avec des dimensions réduites (12 × 18,3 × 13,1 cm) pour un poids de 2,02 kg, elle s’installe facilement sur une étagère, un bureau ou une table de chevet.

Sur le plan audio, elle intègre deux tweeters latéraux pour une large scène stéréo, un mid-woofer pour les médiums et les basses, et trois amplificateurs numériques class D. Le calibrage automatique Trueplay ajuste le rendu sonore en fonction de la pièce pour garantir un équilibre optimal.

Test de la Sonos Era 100 : la petite One a bien grandi

Test de la Sonos Era 100 : la petite One a bien grandi

Côté connectivité, l’Era 100 ne fait pas de compromis : Wi-Fi 6, Bluetooth 5.3, entrée jack/USB-C, AirPlay 2, commandes tactiles et compatibilité vocale (Alexa et Sonos Voice Control). Lors de notre test, l’enceinte avait obtenu la note de 4/5 — mais elle coûtait alors 279 €.

Sonos Era 300 : le son spatial à 339 €

Et si vous visez plus haut, la grande sœur — la Sonos Era 300 — profite elle aussi d’une remise spectaculaire. Sur Amazon Italie, elle bénéficie d’une promotion directe de 20 %, ramenant le prix à 399 €, soit déjà 100 € de moins qu’en France.

Mais ce n’est pas tout : un code coupon automatique s’ajoute à la fin du parcours d’achat, offrant 71,98 € de réduction supplémentaire. Résultat : le prix final tombe à 339,19 €, soit une économie totale d’environ 160 € !

Image : iGeneration

L’Era 300 s’impose comme le modèle haut de gamme de la gamme Sonos, pensé pour l’audio immersif. Avec ses dimensions de 16 × 26 × 18,5 cm pour 4,4 kg, elle est plus imposante que l’Era 100, mais offre un tout autre niveau de rendu.

Elle embarque six amplificateurs numériques class D, quatre tweeters (dont un orienté vers le haut pour le son spatial) et deux woofers latéraux, afin de délivrer un son à 360° compatible Dolby Atmos. Sa connectivité est complète : Wi-Fi 6, Bluetooth 5.0, AirPlay 2, entrée USB-C/Line-In (via adaptateur), et compatibilité avec tout l’écosystème Sonos.

Test de la Sonos Era 300 : la première enceinte tierce compatible avec l’audio spatial sur Apple Music

Test de la Sonos Era 300 : la première enceinte tierce compatible avec l’audio spatial sur Apple Music

Pensée pour les amateurs de son immersif et de home cinéma léger, l’Era 300 brille aussi bien en écoute musicale qu’en paire stéréo ou en configuration multiroom. Lors de notre test, elle avait obtenu la note de 4/5, pour un prix de lancement de 499,99 €.

Précisons qu'Amazon Italie propose une déclinaison en anglais de son site. Il se peut que les coupons en question apparaissent une fois que vous êtes connectés.

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Un iPad bien refroidi, pliant et de la pub dans Plans : la semaine Apple

Au Mexique, c’est bientôt le Dia de los Muertos... et en France c’est le changement d’heure. Chacun son truc. Personne n’a oublié de changer l’heure sur les antiques horloges qui ne sont pas encore connectées ? Profitons-en pour faire un tour du côté de Cupertino, où l’Apple Park est rond comme un cadran avec Mark Gurman.

Rond comme un cadran, ça ferait une sacrée horloge au centre de l’Apple Park ! Image générée par IA.

Burnin’ for You (Je brûle pour toi)

L’une des nouveautés invisibles mais bien présentes et efficaces de l’iPhone 17 Pro, c’est le vapor chamber : alors que nombre d’utilisateurs depuis l’iPhone 14 Pro se plaignaient d’une montée en température très rapide de leur téléphone dès qu’ils faisaient la moindre opération, ce système de refroidissement contient maintenant les ardeurs de la puce A19 Pro. Non pas que ce soit une nouveauté spécifique à Apple (Samsung le fait depuis bien longtemps sur ses propres smartphones), mais cette intégration est bienvenue et bien pensée.

iPhone 17 Pro : un design qui refroidit… et qui raye ?

iPhone 17 Pro : un design qui refroidit… et qui raye ?

Ne voulant s’arrêter en si bon chemin, Apple songerait à intégrer la même technologie de refroidissement dans les prochains iPad Pro, équipés du M6. Il faut dire que ces tablettes n’ont plus grand chose à voir avec de simples « smartphones géants », et se rapprochent de plus en plus d’un ordinateur sans clavier : les performances de la puce M5 de cette année sont comparables à celles du M1 Ultra, alors que l’iPad Pro est encore plus fin que l’iPad Air. Pour éviter de se retrouver coincée avec un processeur qui plafonne avec la chaleur dégagée, Apple intégrerait donc le vapor chamber vu avec l’iPhone 17 Pro.

Money Machine (Machine à cash)

Ce n’est cependant pas la seule nouveauté qui devrait arriver sur l’iPad. Vous avez déjà peur du tarif de l’iPhone Fold ? Préparez-vous : Apple aurait en prévision pour 2029 un iPad pliant. La bestiole se verrait équipée d’un écran de 18 pouces pliable, et un prix en accord avec ses prestations : autour des 3 000 dollars (donc autant dire autour des 4 000 € en Europe).

Huawei a déjà tenté l’idée avec le Matebook Fold, à 3 400 dollars. Image Huawei.

Si Apple n’a jamais été effrayée par un prix démesuré sur un appareil (les roulettes du Mac Pro ou le pied du Pro Display XDR peuvent en témoigner), le projet n’est pas pour autant assuré de sortir : des questions se posent encore sur le poids total de l’appareil, ainsi que sur son positionnement tarifaire. Cupertino regarde attentivement à ce niveau ce que donnent les ventes du Huawei Matebook Fold, proposé à 3 400 dollars par la marque.

Apple travaillerait sur un iPad pliant de 18 pouces, similaire à une tablette Huawei

Apple travaillerait sur un iPad pliant de 18 pouces, similaire à une tablette Huawei

We Gotta Get Out of This Place (Il faut qu’on sorte d’ici)

Une autre chose effraie de moins en moins Apple, et ce n’est pas forcément une bonne nouvelle : l’intégration de publicités dans ses services. Si l’entreprise a commencé avec l’App Store dès 2016 aux USA, elle s’apprêterait à étendre ce genre de réclames à d’autres services.

On y est déjà habitués par la force des choses dans l’App Store, mais ça devrait s’étendre... Image Apple.

Si l’une des prochaines victimes ne touche pas vraiment la France, Apple News n’étant pas encore proposé dans l’hexagone (et aucune idée s’il le sera réellement un jour), la suivante touchera tout le monde : Apple projetterait en effet d’ouvrir les vannes de la réclame sur Plans. Les publicités intégrées à l’app seraient sur le même format que celles vues dans l’App Store, et basées sur l’intelligence artificielle pour proposer un contenu en rapport avec la recherche. Ainsi, les restaurants, hôtels et autres boutiques devraient pouvoir payer pour afficher de la pub en rapport avec l’endroit que vous visitez, et tenter de vous faire venir dans leurs échoppes.

Don’t Fear the Reaper (N’aie pas peur de la faucheuse)

Si le futur de l’iPad promet d’être intéressant, il serait dommage qu’Apple l’assombrisse avec un système chargé de publicités. Avec des appareils payés à un prix premium, voire au-dessus, les clients de la pomme aimeraient bien être tranquilles de ce côté, et ne pas être envahis d’annonceurs. Sinon, à quoi bon mettre plus de 2 000 € pour un iPhone Fold, ou près de 4 000 € dans un iPad pliable ? L’équilibre sera difficile à trouver, et le risque grand pour Apple de rebuter certains clients. En attendant, je vous souhaite une bonne semaine, et à dimanche prochain !

  • Dis Siri, mets-moi du Blue Öyster Cult.
  • Avec un nom pareil, je vais surtout prévenir la Miviludes.
  • Mais c’est qu’il cafterait l’animal !
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MacBook Pro M5 déjà en promo, iPad Pro M5 à 919 €, iPhone Air sous les 840 € et iPhone 16e à 499 € !

Les bons plans s’enchaînent pour les produits Apple ces derniers jours. Entre le MacBook Pro M5 déjà remisé de 80 €, l’iPad Pro M5 proposé à partir de 919 €, et les iPhone 16e et iPhone Air en forte baisse sur Rakuten, il y a de quoi renouveler son matériel à prix plus doux. Voici un tour d’horizon des meilleures offres du moment.

Image : Apple

MacBook Pro M5 : 80 € de réduction et jusqu'à 200 € de cash-back

Vous avez finalement décidé de jeter votre dévolu sur un MacBook Pro M5 ? Bonne nouvelle : le nouvel ordinateur portable d’Apple bénéficie déjà d’une offre intéressante, fruit d’une collaboration entre Darty et Rakuten.

Vous pouvez ainsi profiter de 80 € de réduction immédiate à l’achat, et obtenir jusqu’à 200 € supplémentaires sous forme de cashback à utiliser lors d’une commande ultérieure. De quoi s’offrir un chargeur, une housse ou quelques accessoires pour accompagner son Mac.

La transaction est gérée par Rakuten, tandis que l’expédition est assurée par Darty. Comme nous l’indiquions récemment, la disponibilité n’est pas un problème : quelle que soit la configuration choisie, la livraison reste rapide.

Pour bénéficier de cette promotion, il vous faut télécharger l'application Rakuten, de passer commande depuis celle-ci et de saisir le code coupon APP80. Voici les configurations en promotion :

MacBook Pro M5 Prix public Prix promo Montant reversé en cash-back
16 Go / 512 Go 1799 € 1719 € 161 €
16 Go / 1 To 2049 € 1969 € 184 €
24 Go / 1 To 2299 € 2219 € 206 €
MacBook Pro M5 : quel chargeur choisir maintenant qu’Apple ne le fournit plus ?

MacBook Pro M5 : quel chargeur choisir maintenant qu’Apple ne le fournit plus ?

L'iPad Pro M5 à 919 € !

Les promotions proposées sur les iPad Pro M5 sont encore plus intéressantes. Vous pouvez obtenir la nouvelle tablette d'Apple en 11” à partir de 919 €.

Le mode opératoire est le même : il vous faut télécharger l'application Rakuten, et saisir le code coupon APP80 lors de la commande.

Deux possibilités s'offrent alors à vous : soit vous commandez un modèle en import via le vendeur OnePro. Ce dernier propose déjà la tablette d'Apple au prix de 999,99 €. Avec le code coupon depuis l'app, le prix tombe à 919,99 €. Si vous voulez jouer la carte de la sécurité, Boulanger le propose à 1119 €. Avec le même code coupon, le prix tombe à 1039 €. Dans les deux cas, vous obtenez environ 45/50 € de cash-back. À vous de voir !

Test des iPad Pro M5 : toujours plus forts, pas vraiment plus pros

Test des iPad Pro M5 : toujours plus forts, pas vraiment plus pros

L'iPhone 16e à moins et de 500 € et l'iPhone Air à 839,99€

Pendant ce temps, sans faire de bruit, le prix de l'iPhone Air continue de s'effondrer. En Apple Store, ce modèle est vendu 1229 €.

Image : Apple

Chez Rakuten, vous pouvez obtenir ce modèle pour 839 € depuis l'app avec le code APP20 et 849 € depuis le web avec le code CLUBR10. Précisons qu'il s'agit de la déclinaison américaine de l'iPhone Air (A3260). Cela ne pose dans les faits aucun problème, comme ont pu le noter les acheteurs de ce modèle dans cet article (lire les commentaires). En effet, le modèle américain gère davantage de bandes que le modèle européen. Ce sera potentiellement un meilleur compagnon si vous voyagez en Amérique.

Enfin, comme c'est le cas depuis plusieurs jours maintenant, il est aussi possible d'acquérir l'iPhone 16e pour 499,99 € en saisissant le code CLUBR20.

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Liquid Glass a-t-il un impact sur l'autonomie de votre iPhone ?

Liquid Glass a-t-il un impact sur l'autonomie de l'iPhone ? Et si oui, est-il important ? C'est la question à laquelle MacRumors a essayé de répondre avec la dernière bêta d'iOS 26.1. Cette dernière sortie en début de semaine, ajoute rappelons-le, un nouveau réglage "Teinté" qui augment l'opacité et ajoute du contraste. C’est l’apparition de ce réglage qui a donné à Juli Clover l’idée de se lancer dans ce test.

La quatrième bêta d’iOS 26.1 ajoute une option pour réduire la transparence de Liquid Glass

La quatrième bêta d’iOS 26.1 ajoute une option pour réduire la transparence de Liquid Glass

Quatre configurations testées

Pour se faire une idée, la journaliste a mené quatre séries d’essais avec un iPhone 17 Pro Max, en veillant à conserver des conditions identiques d’un scénario à l’autre. L’objectif : mesurer l’impact des différents réglages de l’effet Liquid Glass sur l’autonomie.

Voici les quatre configurations utilisées :

  • Liquid Glass réglé sur Transparent (transparence maximale)
  • Liquid Glass réglé sur Teinté
  • Liquid Glass en mode Teinté avec les options Réduire la transparence et Augmenter le contraste activés dans Accessibilité.
  • Liquid Glass avec Réduire la transparence, Augmenter le contraste et Réduire les animations activés

Une méthodologie chronométrée à la seconde

La testeuse a suivi le même protocole minutieux pour chacune des quatre sessions, chronométré à la seconde près. Chaque essai durait 2 h 30, réparties en cinq séquences de 30 minutes :

  • 30 minutes sur TikTok, en faisant défiler le fil sans interruption.
  • 30 minutes sur YouTube, à enchaîner les vidéos.
  • 30 minutes sur Instagram, entre navigation et Reels.
  • 30 minutes sur Safari, en consultant le site de MacRumors et quelques pages internes.
  • 30 minutes sur Plans, avec un itinéraire affiché vers la même destination (sans déplacement réel), pour maintenir l’interface de Liquid Glass active en continu.

Pendant chaque segment, elle a ouvert quatre fois le Centre de notifications et quatre fois le Centre de contrôle, soit 20 interactions de ce type par test, espacées d’environ 3 minutes 30.

Le passage d’une application à l’autre suivait également un protocole précis : fermeture complète de l’app, retour à l’écran d’accueil, balayage vers le bas pour lancer la recherche, saisie du nom de l’application suivante et ouverture manuelle.

Les tests ont été réalisés sur deux jours, l’un commencé vers 15 h, l’autre à 17 h 30. Entre chaque session, l’iPhone était rechargé à 80 %, puisque la testeuse limite volontairement la charge maximale de sa batterie.

Les seules variables non contrôlées concernaient la nature des notifications reçues et le contenu affiché sur TikTok et Instagram, impossible à reproduire à l’identique d’un test à l’autre.

Des résultats quasi identiques

Avant de procéder à ces essais, Juli Clover pensait que la réduction des animations ou de la transparence aurait un impact visible sur l’autonomie. Comme le montrent les résultats, cet impact est quasi nul..

Autonomie de l'iPhone Liquid Glass sur Transparent Liquid Glass sur teinté Liquid Glass en mode Teinté avec les options Réduire la transparence et Augmenter le contraste Liquid Glass avec Réduire la transparence, Augmenter le contraste et Réduire les animations activés
Après 30 mn de TikTok 79 % 78 % 78 % 79 %
Après 30 mn de YouTube 77 % 75 % 76 % 78 %
Après 30 mn d'Instagram 74 % 72 % 73 % 74 %
Après 30 mn de Safari 72 % 70 % 70 % 72 %
Après 30 mn de Plans 70 % 69 % 69 % 70 %

À noter : la testeuse a inversé par erreur YouTube et Instagram dans une session, mais cela ne change rien à la tendance générale. Les différences observées sont marginales, voire insignifiantes.

Des limites, mais une conclusion claire

Le protocole a évidemment ses limites : les applications utilisées (TikTok, Instagram, YouTube, Safari, Plans) n’exploitent pas toutes intensivement les effets de Liquid Glass, ce qui réduit leur impact potentiel sur la batterie. Et le test a été mené sur un iPhone 17 Pro Max, un appareil suffisamment puissant pour gérer ces effets sans broncher. Quid de l'impact avec un téléphone plus limité en matière de processeur.

Image : iGeneration

Mais pour l’heure, la conclusion est limpide : Liquid Glass n’a aucun effet notable sur l’autonomie. Autrement dit, inutile d’activer les options Teinté ou Réduire la transparence dans l’espoir de gagner quelques minutes d’usage : elles ne changent rien, sinon l’aspect visuel.

Pour conserver une bonne autonomie, les vieilles recettes restent les plus efficaces : mode économie d’énergie, mode sombre et luminosité réduite.

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Non, ceci n'est pas un HomePod

Non, l’image que vous voyez n’est pas celle d’un HomePod mal retravaillé par une IA. Cet appareil est en fait un mini-PC. Comme l’explique Pierre Lecourt de MiniMachines.net, à l’origine de cette trouvaille, il s’agit d’une création noname comme on en croise souvent sur les catalogues asiatiques. Le concept est simple : une usine conçoit un design original et le revend à qui veut y apposer son logo. Sur le papier, la machine n’est pas hors de prix — moins de 330 € HT en version 16/512 Go à la sortie de l'usine —, ce qui la rend presque tentante.

Un air de HomePod, un cœur de PC

Au niveau des dimensions, ce cylindre de 16,7 cm de haut pour 11,2 cm de diamètre est légèrement plus compact qu’un HomePod (16,8 × 14,2 cm). De loin, on pourrait s’y méprendre.

Mais il suffit de faire pivoter l’EX1 pour se rendre compte qu’on a bien affaire à un ordinateur complet : un port USB4, un port HDMI 2.1, un DisplayPort 2.1, un Ethernet 2.5 Gb/s, un port USB 2.0 et trois ports USB 3.2. Tout y est ! À l’intérieur, l’engin embarque un Ryzen 7 8745HS (huit cœurs Zen 4, 16 threads, GPU Radeon 780M), jusqu’à 32 Go de DDR5 et du stockage NVMe. L’appareil dispose aussi d’un module Wi-Fi 6 et Bluetooth 5.2.

Le constructeur a d’ailleurs imité Apple sur tous les points du design des HomePod, même les moins appréciables : il prévient qu’on ne peut pas démonter la machine sans la casser.

Une enceinte qui ne chante pas si bien

Reste la partie audio, censée justifier la forme d’enceinte. Deux haut-parleurs stéréo de 5 W et un mystérieux ampli 24 bits — probablement plus ambitieux sur le papier que dans la réalité.

Pour ceux qui veulent tout de même tenter l’expérience, la machine se trouve sur AliExpress pour un peu moins de 750 € — mais à ce prix-là, mieux vaut peut-être un vrai HomePod… et un vrai MiniPC (ou même un Mac mini).

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Cyberpunk 2077 : le MacBook Pro M5 explose le MacBook Air M4

Souvent, entre un MacBook Air et un MacBook Pro d’entrée de gamme, le cœur balance. Le premier est plus léger, moins cher et presque aussi performant que le second — de quoi faire pencher la balance pour la majorité des utilisateurs. Mais un nouveau bench pourrait bien faire réfléchir certains, notamment les joueurs.

Sorti depuis quelques années mais porté depuis peu sur Mac, Cyberpunk 2077 va remplacer Tomb Raider comme référence pour les tests de performances graphiques sur Mac. Tom de la chaine Youtube The Tech Chap a testé ce jeu sur un MacBook Air M4 et un MacBook Pro M5. La différence de performances est saisissante.

Le MacBook Air M4 chauffe trop vite

Quand l’option Ray Tracing est allumée, le MacBook Pro M5 réussit à montrer 58 images par seconde, alors que le MacBook Air M4 ralentit à 20 images par seconde. Le ray tracing est rappelons-le une technique de rendu qui simule le comportement réel de la lumière pour produire des effets d’éclairage, d’ombres et de reflets beaucoup plus réalistes dans les jeux et applications 3D. Apple a introduit cette fonctionnalité avec la puce M3, présentée en octobre 2023.

Mode de test MacBook Pro M5 MacBook Air M4 Différence
Cyberpunk 2077 (ray tracing activé) 58 FPS 20 FPS +190 %
Cyberpunk 2077 (ray tracing désactivé) 75 FPS 48 FPS +56 %

En désactivant ce mode, l'écart est un peu moins important : 75 FPS pour le MacBook Pro M5 contre 48 FPS pour le MacBook Air M4.

Revue de tests du MacBook Pro M5 : une évolution convaincante qui souffre du manque de Wi-Fi 7

Revue de tests du MacBook Pro M5 : une évolution convaincante qui souffre du manque de Wi-Fi 7

La boîte du MacBook Pro M5 est plus fine, car Apple a retiré le chargeur et son emplacement

La boîte du MacBook Pro M5 est plus fine, car Apple a retiré le chargeur et son emplacement

On le sait, Apple a beaucoup insisté sur les performances du M5 notamment au niveau du GPU, mais cela n'explique pas tout. Dans le cas présent, c'est le mode de refroidissement thermique qui handicape le MacBook Air. Dépourvu de ventilateur, le portable d'Apple chauffe très vite et contraint le système à brider les performances.

On regrettera que, dans ce test, Tom de The Tech Chap ne mette pas également face à face un MacBook Pro M4 et un MacBook Pro M5 pour mesurer précisément le gain de performances dû au GPU lui-même. Quoi qu'il en soit, cette démonstration rappelle qu’en matière de performances, le refroidissement passif peut avoir ses limites. Le MacBook Air reste une machine redoutable au quotidien, mais pour les tâches intensives — et encore plus pour le jeu — le MacBook Pro garde une solide longueur d’avance.

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Sortie de veille : à peine lancé, l’iPhone Air est-il déjà condamné ?

Toutes les semaines, écoutez Sortie de veille, le podcast hebdomadaire de MacGeneration ! On débat de l'actualité Apple et tech des derniers jours en une quinzaine de minutes.

L’iPhone Air ne pèse pas lourd, et pas seulement sur la balance. Ses ventes seraient vraiment légères, au point de devoir réduire radicalement sa production. Après l’échec de l’iPhone mini et de l’iPhone Plus, l’iPhone Air est-il déjà condamné ? On en discute dans cette émission.

Au programme également, le Vision Pro a un concurrent sérieux, OpenAI lance son navigateur qui intègre ChatGPT et Free fait une grande offensive sur les services de télévision.

Pour écouter Sortie de veille, c'est simple :

  • Vous êtes abonné au Club iGen ? Rendez-vous sur cette page pour accéder à nos podcasts complets et aux flux RSS qui vont bien.
  • Vous n'êtes pas membre du Club iGen ? C'est dommage, mais vous pouvez écouter Sortie de veille en vous y abonnant sur Apple Podcasts ou Spotify. Ou alors écoutez l’émission directement dans ce lecteur :

Bonne écoute !

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iOS 26.1 : les apps photo pourront enfin correctement sauvegarder en arrière-plan grâce à PhotoKit

Pour certains, cela pourrait bien être la principale nouveauté d'iOS 26.1. Apple travaille sur un nouveau framework qui permettra aux applications photo tierces de sauvegarder les images de manière plus fiable.

Alors qu’Apple est sans doute dans la dernière phase de développement d’iOS 26.1, la société vient de publier un article dans lequel elle explique comment les développeurs pourront activer la sauvegarde de photos en tâche de fond grâce à PhotoKit. Voilà comment Apple présente son fonctionnement :

À partir d’iOS 26.1, PhotoKit propose un nouveau type d’extension appelé Background Resource Upload, qui permet aux applications photo d’offrir une expérience de sauvegarde cloud fluide. Le système gère les téléversements pour le compte de votre application et les traite en arrière-plan, même lorsque l’utilisateur passe à une autre app ou verrouille son appareil. Le système appelle votre extension lorsqu’il est temps de traiter les envois, et gère automatiquement la connectivité réseau, la gestion de l’énergie et le calendrier d’exécution afin d’assurer un traitement fiable.

On imagine que les différents services à commencer par Google Photos ne tarderont pas à prendre en compte cette fonctionnalité. Certains aspects de ce dispositif nécessiteront le consentement explicite de l’utilisateur, tandis que d’autres fonctionneront automatiquement une fois l’extension activée. Apple précise également que plusieurs éléments du framework sont encore en version bêta, ce qui signifie qu’ils sont susceptibles d’être modifiés avant la version finale destinée aux développeurs.

Une autre API pour faciliter les transitions avec Android

Les ajouts dans PhotoKit ne sont pas les seuls changements de taille pour les développeurs. iOS 26.1 et iPadOS 26.1 introduisent AppMigrationKit, une nouvelle API pensée pour faciliter le transfert de données entre applications lors d’un changement de plate-forme. Contrairement à ce que son nom pourrait laisser penser, elle n’est pas conçue pour les migrations internes à l’écosystème Apple, mais pour les transferts entre iOS/iPadOS et Android. Les développeurs pourront ainsi offrir à leurs utilisateurs un passage plus fluide d’un iPhone ou iPad vers un appareil Android, ou inversement.

iOS 26.1 propose aux développeurs une méthode pour transférer les données d’une app depuis et vers Android

iOS 26.1 propose aux développeurs une méthode pour transférer les données d’une app depuis et vers Android

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Le MacBook avec puce iPhone peut-il sortir d'ici la fin de l'année ?

Il y a un mois, on se demandait si le Mac en avait déjà fini avec 2025, après la sortie de macOS Tahoe 26. Finalement, Apple a déjoué les pronostics en dévoilant il y a quelques jours les nouveaux MacBook Pro M5. La question revient aussitôt : la Pomme a-t-elle encore des nouveautés dans ses cartons pour la fin de l'année ? MacRumors veut y croire et parie sur un dernier coup d’éclat : le lancement du fameux MacBook d’entrée de gamme avant le passage à 2026.

Le MacBook SE en guise de one more thing pour 2025 ?

Cette rumeur a pris de la consistance en juin, lorsque Ming-Chi Kuo avançait qu’Apple travaillait sur un MacBook « plus abordable », qui aurait la particularité d’embarquer une puce d’iPhone. L’analyste évoquait alors l’utilisation d’une A18 Pro, le processeur que l’on retrouve aujourd’hui dans les iPhone 16 Pro.

Apple lancerait en 2026 un MacBook avec un processeur d

Apple lancerait en 2026 un MacBook avec un processeur d'iPhone

Un MacBook avec une puce A18 Pro repéré dans du code d’Apple

Un MacBook avec une puce A18 Pro repéré dans du code d’Apple

À vrai dire, tout comme les MacBook Pro M5, cette machine était plutôt attendue pour 2026. Ming-Chi Kuo, très discret sur le sujet, évoquait en juin dernier une entrée en production au dernier trimestre 2025 ou au tout début de 2026.

600 $ pour un Mac portable. Du jamais-vu ou presque

Il se murmure que ce MacBook SE serait proposé autour des 600 $, un tarif assez inédit pour un Mac portable, à l'exception de quelques promotions. S’il est bien équipé d’une puce A18, il n’aurait absolument rien à envier à un Mac M1, selon nos extrapolations. Un tel positionnement pourrait faire mouche auprès de ceux qui jugent le Mac trop cher pour une première expérience

Une puce A18 Pro pourrait-elle battre une M1 dans un MacBook « SE » ?

Une puce A18 Pro pourrait-elle battre une M1 dans un MacBook « SE » ?

Qu’est-ce qui pourrait pousser Apple à sortir cette machine coûte que coûte avant la fin de l’année ? Une explication s’impose : la fin de la prise en charge de Windows 10. Cette échéance ouvre une fenêtre d’opportunité unique pour séduire les entreprises et les particuliers en quête d’alternatives. Un Mac d’entrée de gamme, abordable et performant, rendrait l’écosystème Apple plus attractif que jamais.

La fin de Windows 10 donne un coup de fouet aux ventes de Mac

La fin de Windows 10 donne un coup de fouet aux ventes de Mac

Reste à savoir quand Apple appuiera sur le bouton. Une telle machine pourrait faire un carton immédiat, encore faut-il en avoir les stocks. Un lancement précipité, à seulement quelques semaines de Noël, pourrait à court terme se révéler contre-productif.

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Anker MagGo 3-en-1 : le chargeur MagSafe ultra-compact à seulement 67 €

Bonne affaire du jour sur Amazon : le chargeur MagGo 3-en-1 d’Anker passe à 67 € seulement, contre 100 € en temps normal. Un tarif très intéressant pour un accessoire capable de recharger trois produits Apple à la fois sans occuper tout l’espace sur une table de chevet ou un bureau.

Avec ses 115 grammes et son design pliable, le MagGo 3-en-1 est un modèle de compacité. Il tient littéralement dans la paume de la main une fois replié, au point qu’on peut le glisser dans une trousse d’accessoires ou une poche de sac sans y penser. Déplié, il offre trois zones de charge : une base magnétique MagSafe pour l’iPhone, un petit socle pour Apple Watch et une surface dédiée aux AirPods. L’ensemble repose sur une charnière robuste qui permet d’incliner l’écran du téléphone à la verticale ou à l’horizontale, parfait pour regarder une vidéo ou utiliser le mode En veille d’iOS 17.

Ce modèle est certifié Qi2, la norme soutenue par Apple et le Wireless Power Consortium. Résultat : les iPhone compatibles se chargent en 15 watts. La montre et les écouteurs sont alimentés en parallèle, sans baisse de performance.

Anker fournit un bloc secteur 40 W et un câble USB-C de 1,5 m, un bon point quand on voit combien d’accessoires similaires arrivent nus.

Un compagnon de voyage idéal

À la rédaction, on l’utilise régulièrement depuis un bon moment déjà : le MagGo 3-en-1 fait exactement ce qu’on attend de lui. Silencieux, stable, efficace, il s’intègre aussi bien sur une table de nuit qu’à côté d’un MacBook dans un open space. Sa légèreté et son format minuscule en font un compagnon de voyage parfait, d’autant qu’il se plie en un clin d’œil. Pas besoin de trimballer trois câbles et deux adaptateurs : un seul suffit.

Disponible en noir, blanc, vert ou rose, ce petit chargeur a toutes les qualités pour être un excellent compagnon de voyage.

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Réparer des photos anciennes, floues ou bruitées avec Aiarty Image Enhancer (licence à vie à -45 %)

Vous avez sans doute déjà retrouvé de vieilles photos de famille dans un carton, pour constater qu'elles étaient délavées ou floues. Ou peut-être avez-vous pris une photo de nuit avec votre téléphone, qui s'est révélée granuleuse à l'écran. Beaucoup d'outils d'intelligence artificielle promettent des corrections instantanées, mais le résultat manque souvent de naturel : peau cireuse, textures aplaties, surfaces trop lissées.

Aiarty Image Enhancer fonctionne différemment. Qu'il s'agisse de retoucher des clichés du quotidien ou de raviver d'anciens souvenirs, il préserve le caractère authentique de vos images tout en les rendant plus nettes et plus belles. Il améliore la clarté, diminue le bruit, restaure les détails fins, ravive les photographies anciennes et redimensionne les images pour obtenir des résultats imprimables, le tout en local, ce qui garantit la confidentialité de vos fichiers et vous permet d'en garder le contrôle absolu.

Une licence à vie : posséder l'outil, pas le louer

Les abonnements mensuels, c'est terminé. Avec Aiarty, une Licence à vie à 79 € (45 % de réduction) vous permet d'utiliser le logiciel sur trois Mac ou PC, d'accéder à toutes les futures mises à jour et de bénéficier d'une politique de remboursement de 30 jours. Vous installez une fois, vous améliorez vos photos indéfiniment, sans tracas et sans souci.

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Restaurer d'anciennes photos : revivre vos souvenirs

Aiarty peut redonner vie à d'anciennes photographies estompées ou légèrement abîmées avec une précision remarquable. Il restaure intelligemment les traits du visage, les textures et les tonalités, tout en réparant les rayures ou les zones adoucies.

Pour les photos dont les visages sont flous ou peu nets, vous pouvez recourir à la restauration faciale par intelligence artificielle afin de faire ressortir la clarté du visage. Choisissez une amélioration douce pour les portraits modernes ou une correction plus marquée pour les images d'archives fortement endommagées.

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Redimensionner les photos pour l'impression et le recadrage

Vous souhaitez imprimer de grandes photos ou effectuer un recadrage serré sans perdre en qualité ? Aiarty agrandit les images jusqu'à 8× leur taille d'origine, en prenant en charge les sorties 4K, 8K et même 16K ou 32K. Chaque détail demeure net et réaliste, ce qui convient parfaitement aux tirages ou au recadrage créatif.

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Supprimer le bruit tout en préservant les détails

Les photos granuleuses sont frustrantes, surtout en faible luminosité. Aiarty réduit le bruit tout en conservant les détails naturels de vos images. La texture réaliste de la peau, les contours nets dans les paysages et l'architecture, ainsi que les transitions tonales fluides restent intactes, sans aspect surtraité.

Affiner et retrouver la netteté

Un léger tremblement de l'appareil ou une erreur de mise au point mineure ne doivent pas gâcher votre cliché. Aiarty applique un affûtage sensible aux contours et une récupération du microcontraste, ce qui permet de retrouver la clarté de manière naturelle. Vos photos semblent avoir été parfaitement prises, et non retouchées numériquement de façon excessive.

Des modèles d'IA adaptés : des résultats parfaits en un clic

Chaque photo est différente, et Aiarty s'adapte automatiquement pour que chacune d'entre elles soit au mieux de sa forme. Grâce à cinq modèles d'intelligence artificielle spécialisés, vous pouvez améliorer vos clichés sans effort, sans paramètres compliqués. Par exemple :

Real-Photo convient aux photographies du quotidien : portraits, paysages, photos de produits et même restauration de vieilles images. More-detail GAN v3 fait ressortir les textures fines comme les cheveux, la fourrure et les détails architecturaux. AIGCsmooth v3 est conçu pour les images générées par intelligence artificielle ou stylisées, en maintenant des surfaces lisses tout en améliorant la clarté.

C'est simple : vous glissez votre photo, vous choisissez le modèle, et Aiarty nettoie votre image en préservant son caractère authentique.

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