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Ming-Chi Kuo : il y aurait de nouveaux AirPods Pro en 2025 et 2026

Plusieurs mois durant, les rumeurs sur la période de sortie des AirPods Pro 3 ont été contradictoires. D'aucunes les promettent pour le courant 2025 — cela semble désormais acquis — d'autres les renvoyant à 2026. Peut-être parce qu'Apple a prévu de renouveler cette gamme en deux temps ?

Image Apple.

L'analyste Ming-Chi Kuo comptait parmi les membres du second groupe, celui des 2026. Dans un tweet ce matin il révise son planning et s'attend à ce qu'Apple annonce des AirPods Pro 3 au second semestre 2025, donc probablement à l'occasion du keynote de mardi soir. Mais il redit aussi s'attendre à une « Mise à jour matérielle plus significative avec l'ajout de caméras infrarouge » dans un modèle en 2026.

Kuo : des AirPods avec capteurs infrarouge en 2026

Kuo : des AirPods avec capteurs infrarouge en 2026

Apple s

Apple s'est intéressée aux bagues et aux lunettes ou AirPods avec des caméras

Il s'était écoulé trois ans entre les deux premières générations d'AirPods Pro, les voir révisés en l'espace d'une année seulement paraît bien rapide. À moins qu'Apple n'ait été obligée de repousser l'ajout de ces caméras — car dépendantes d'Apple Intelligence — et que la supposée génération de 2026 soit celle qui était prévue à l'origine.

Tout savoir sur les rumeurs autour des AirPods Pro 3

Tout savoir sur les rumeurs autour des AirPods Pro 3

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La bandoulière de l'iPhone 17 : la chiffonnette d'Apple de 2025 ?

 Apple a l’art de surprendre… surtout quand il s’agit de vendre des accessoires hors de prix. Des prix auxquels les gens ont fini par s’habituer, mais qui sont choquants dès qu’on les compare. La fameuse chiffonnette d'Apple est vendue actuellement "en promo" à 20 € (une réduction de 5 € sur son prix normal. Ce prix élevé ne l'empêche pas d'avoir une note de 4,5 sur 5 chez les clients d'Amazon. À titre de comparaison, on trouve un pack de 10 pour deux fois moins cher, et il y a sans doute encore beaucoup moins cher.

iPhone 17, Apple Watch Ultra 3, AirPods Pro 3… Tout ce qu’Apple pourrait dévoiler le 9 septembre

iPhone 17, Apple Watch Ultra 3, AirPods Pro 3… Tout ce qu’Apple pourrait dévoiler le 9 septembre

Dans le même genre d'accessoires vendu hors de prix, il y a également le fameux kit de roulettes pour Mac Pro, qui est vendu actuellement 807,11 €, soit le prix d'un iPhone.

Cette année, pour gratter quelques dixièmes de points de marge, Apple a décidé, semble-t-il, de commercialiser une bandoulière décrite par Mark Gurman comme « haut de gamme et coûteuse ».

Crossbody Strap : Apple lancerait une lanière pour accrocher l

Crossbody Strap : Apple lancerait une lanière pour accrocher l'iPhone 17 et les AirPods Pro

Selon le leaker Majin Bu, ce “Crossbody Strap” prendrait la forme d’une longue lanière plate, aimantée sur toute sa longueur. Plutôt que de passer par une boucle classique, il suffirait de la replier sur elle-même pour la fermer. La sangle viendrait ensuite se fixer à l’une des nouvelles coques attendues. Des rumeurs évoquaient d’ailleurs déjà un emplacement prévu dans ces coques pour y glisser une dragonne.

Pour Apple, c'est fromage et dessert (comme toujours). Pour utiliser sa bandoulière, les clients devront acquérir l'étui qui va avec. Celui-ci, comme chacun sait, est loin d'être donné.

La grande question jusqu'à mardi, est donc de deviner le prix de cet accessoire. La bandoulière pour iPhone la plus vendue sur Amazon coûte 7 €, alors que celle qui obtient la meilleure note des consommateurs est vendue 19 €. Il va de soi que l'accessoire d'Apple sera vendu à un prix plus élevé. Rhinoshield, qui fait plutôt dans le haut de gamme, vend la sienne à 38 €. On doit sans doute doucement commencer à se rapprocher de la vérité.

Le modèle de Rhinoshield

L'autre accessoire sur lequel Apple pourrait se faire un peu de beurre, c'est sur le bumper. Né avec l’iPhone, cet accessoire se négociait alors 29 €. Dix ans plus tard, on attend avec curiosité — et un brin d’appréhension — le prix de la version 2025. L'inflation est parfois très élevée dans les bureaux de Cupertino.

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Sortie de veille : on discute des dernières rumeurs sur les iPhone 17 avant la conférence d’Apple

Toutes les semaines, écoutez Sortie de veille, le podcast hebdomadaire de MacGeneration ! On débat de l'actualité Apple et tech des derniers jours en une quinzaine de minutes.

C’est le retour de Sortie de veille ! Cette semaine, on fait le point sur les nouveautés attendues de la conférence Apple du 9 septembre : iPhone 17, Apple Watch Ultra 3… On discute aussi d’un nouveau projet déterminant pour Apple et des attentions chaleureuses de Tim Cook envers Donald Trump.

Pour écouter Sortie de veille, c'est simple :

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Bonne écoute !

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Special event iPhone 17 : le keynote comme si vous y étiez

Le jour où Apple en aura marre de tourner des keynotes, elle pourra toujours confier l'exercice à Jon Prosser. Sa dernière vidéo pourrait presque passer pour la véritable présentation.

Certaines animations sont vraiment impressionnantes. On vous recommande de gagner la courte dernière partie consacrée à l'iPhone 17 Air, qui donne une bien meilleure idée du téléphone que les différentes images publiées à ce jour.

La présentation fait la part belle à l'iPhone 17 Pro, mais fait le tour des rumeurs des produits qui devraient être présentés la semaine prochaine : iPhone 17, iPhone 17 Air, iPhone 17 Pro, Apple Watch Series 11 et Ultra 3. Le tout avec une touche d'humour qui manque à certains keynotes d'Apple.

iPhone 17, Apple Watch Ultra 3, AirPods Pro 3… Tout ce qu’Apple pourrait dévoiler le 9 septembre

iPhone 17, Apple Watch Ultra 3, AirPods Pro 3… Tout ce qu’Apple pourrait dévoiler le 9 septembre

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Anthropic signe un accord à 1,5 milliard de dollars, évitant un procès à 1 000 milliards

De nombreux procès entre les entreprises d’intelligence artificielle et les auteurs de contenus — qu'ils soient sous forme de livres, de films ou encore de musique — sont en cours. L’accord signé entre Anthropic et les plaignants, premier du genre, pourrait bien donner la mesure des choses à venir dans le domaine.

La justice, aveugle ? Pas tant que ça. Image libre de droits.

1,5 milliard de dollars. C’est la somme qu’Anthropic a accepté de payer aux 7 millions de plaignants s’étant réunis dans une class-action contre l’entreprise responsable de l’IA Claude, l’accusant d’avoir utilisé des versions piratées de leurs livres pour entraîner son LLM.

Sauf interdiction, Anthropic entrainera Claude avec vos conversations

Sauf interdiction, Anthropic entrainera Claude avec vos conversations

Si la somme peut paraître conséquente, il semble selon Bloomberg que l’entreprise s’en sorte à (très) bon compte : si le procès était allé jusqu’à son terme, certains spécialistes estiment qu’Anthropic aurait pu verser jusqu’à 1 000 milliards de dollars de dommages et intérêts.

La somme semble absurde, mais elle est à opposer au nombre de sources utilisées par les grands LLM pour s’entraîner et absorber de la connaissance : ces IA ont une consommation et une rapidité d’absorption telle que les contenus ne se comptent plus en centaines ou en milliers, mais rapidement en millions. Reste qu’une telle amende aurait pour conséquence, si elle devait être présentée à n’importe lequel des acteurs actuels du domaine, de lui faire immédiatement mettre la clé sous la porte. D’où le fait qu’Anthropic ait avoué avoir été « fortement incitée » à régler le conflit à l’amiable.

Cet accord n’est que le premier du genre, comme le rappellent les avocats des plaignants. Et la justice américaine fonctionnant principalement sur la jurisprudence, les autres procès en cours sur le même thème et impliquant OpenAI, Meta et bien d’autres devraient suivre la même voie. Avec des sommes encore plus conséquentes ?

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Disparition du titane pour l’iPhone 17 Pro : pourquoi repasser à l'aluminium ?

Apparu avec l’iPhone 15 Pro, le titane est appelé à disparaître la semaine prochaine avec l’annonce des nouveaux iPhone 17 Pro. Si l’utilisation de ce métal était une initiative intéressante pour remplacer l’acier utilisé dans les iPhone précédents, l’aluminium devrait reprendre sa place dans l’intégralité de la gamme. Pourquoi ce revirement ?

Le rendu final serait proche de celui-ci. Image MacRumors.

Comme indiqué par Mark Gurman et d’autres fuiteurs depuis maintenant plusieurs mois, l’iPhone 17 Pro serait entièrement fait d’aluminium et de verre, délaissant le titane après 2 ans de service dans la gamme. Si ce dernier, plus « noble » que le simple métal des cannettes de boisson donne un côté plus chic à l’iPhone, il n’est pas sans contreparties.

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur l

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur l'iPhone 17 Pro et l'iPhone 17 Pro Max

Éliminer l’effet « bouillotte »

Dès les premiers tests de l’iPhone 15 Pro, les retours concernant la gestion de la température étaient plutôt mauvais : le téléphone chauffe rapidement et, n’arrivant pas à évacuer correctement la chaleur, devient une véritable bouillotte pour l’utilisateur tout en limitant rapidement les capacités des composants, écran compris. Nombreux sont les utilisateurs au fil du temps s’étant plaints d’un écran quasiment illisible en plein soleil, tant l’iPhone 15 Pro doit réduire la luminosité pour tenter de garder ses composants à une température acceptable.

Si les choses se sont améliorées avec l’iPhone 16 Pro, ce n’est pas encore parfait : Apple a bien tenté de répartir la chaleur avec des éléments en graphite dissipant les calories émises par le SoC vers le reste du châssis, mais l’appareil reste toujours particulièrement chaud dans certains usages, et la diminution à la fois de la fréquence du SoC et de la luminosité de l’écran, bien que fortement limitée, n’a pas disparu.

Le poids l’ennemi juré du smartphone

Autre souci bien embêtant pour le prochain iPhone 17 Pro, le poids : le titane a certes bien aidé à faire diminuer la surcharge pondérale de l’appareil par rapport aux iPhone 14 Pro en acier, ce n’est pas suffisant une fois mis en face du futur iPhone 17 Air. L’aluminium étant encore plus léger que le titane, c’est le candidat idéal pour permettre à l’iPhone 17 Pro de rester dans un poids assez limité pour ne pas passer pour un pachyderme face à son svelte compagnon.

iPhone 17 Air : le point sur les rumeurs avant le keynote d

iPhone 17 Air : le point sur les rumeurs avant le keynote d'Apple

Alors certes, l’aluminium est un métal plus fragile que le titane, sans même parler de l’acier, mais Apple a appris au fil des années à travailler avec cette matière, et à choisir les bons alliages. Ainsi, les alliages de série 6000 (aluminium-magnésium-silicium) voire 7000 (aluminium-zinc-magnésium), habituellement utilisés par le sport auto et l’aviation, sont maintenant monnaie courante dans les produits Apple, permettant de maintenir un poids contenu, tout en gardant une grande résistance aux chocs et à la torsion. Gageons que même plus de 10 ans après le bend gate, Apple n’a pas envie de faire ressurgir ce souvenir.

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Plus gros constructeur de VE au monde, la Chine impose de plus en plus ses normes

Depuis le début de l’année, la Chine semble prendre les rênes de la règlementation automobile, spécialement en ce qui concerne les véhicules électriques. Il faut dire que non seulement le pays est devenu en quelques années le plus gros producteur de véhicules électriques au monde, mais en plus son marché intérieur reste le plus grand de la planète. Si le dernier serrage de vis en date paraît anecdotique, plusieurs éléments décidés en 2025 pourraient bien s’étendre au monde entier.

Les poignées affleurantes, bientôt du passé ? Image Baidu.

Une approbation officielle pour chaque mise à jour des véhicules autonomes

La première salve a commencé en février, avec la volonté de contrôler ce qui est fait dans les mises à jour des véhicules à capacité de conduite autonome, comme l’indique Reuters. Usée par les mises à jour obscures et absconses concernant les véhicules électriques et leur système de conduite semi-autonome, la Chine a décidé que chaque nouvelle version d’un logiciel de conduite devra être approuvé par le gouvernement avant d’être envoyée aux véhicules concernés.

De la même manière, le pays entend lutter contre les versions sorties à la va-vite, en considérant chaque patch correctif qui sortira pour corriger une erreur commise durant la précédente mise à jour comme un rappel officiel du véhicule. Ainsi, les constructeurs comme Tesla, Nio ou encore Xiaomi qui usent et abusent des mises à jour à distance en sortant des produits au code mal finalisé se verront mis sur le même pied d’égalité que les constructeurs traditionnels, qui doivent rappeler physiquement chaque modèle ayant une imperfection dangereuse.

Concernant les systèmes de conduite autonome, ils ont maintenant interdiction d’utiliser des noms et des artifices marketing laissant penser que la voiture peut conduire toute seule sans assistance du conducteur. De plus, chaque cas de collision ou panne impliquant un de ces systèmes d’aide à la conduite devra être rapporté systématiquement au législateur.

Les batteries n’auront « plus le droit de prendre feu »

Concernant les batteries des véhicules électriques, une autre décision de cette année a visé à obliger les constructeurs à renforcer les protections contre les incendies de batterie. Jusqu’à présent, la réglementation locale indiquait que le pack batterie devait tenir 5 minutes avant de relâcher un début d’incendie dans les cellules, afin de laisser le temps aux éventuels passagers de sortir du véhicule.

À partir de juillet 2026, c’est fini : les structures de batterie intégrées dans les véhicules électriques devront faire en sorte soit de ne pas laisser sortir un emballement thermique du pack, soit d'utiliser une technologie qui n’est pas prompte à ces fameux emballements thermiques.

Ainsi, que ce soit du fait d’un choc, d’un défaut durant la recharge ou d’un accident violent, la batterie ne devra pas être un facteur aggravant. Voilà qui devrait donner une place encore plus grande à la technologie LFP, dominée par CATL et BYD, qui se veut certes moins dense que les cellules NMC, mais beaucoup plus stable en cas de choc.

Les poignées électriques interdites

Dernière décision en date de la Chine concernant les véhicules qui sont vendus sur son territoire, la Chine pourrait bien sonner la fin des poignées affleurantes sur les voitures modernes. Cette mode, lancée par Tesla et suivie par une bonne partie de l’industrie maintenant, ne plait pas au législateur chinois qui devrait bientôt l’interdire.

En cause, le fait que ces poignées rendent l’ouverture de la voiture plus complexe, que ce soit de l’intérieur ou de l’extérieur, et surtout qu’une panne ou un accident peuvent rendre impossible ou très difficile l’extraction rapide des passagers : si techniquement les ouvrants électriques sont faits pour débloquer les serrures automatiquement en cas d’accident, plusieurs cas font état de portes bloquées, notamment chez les constructeurs locaux. De la même manière, plusieurs utilisateurs, en situation de panique dans leur voiture, n’ont pas réussi rapidement à trouver le mécanisme d’ouverture de secours en cas de panne de la partie électronique.

Pour toutes ces raisons, la Chine souhaiterait le retour aux poignées mécaniques simples, ou à minima que des indications claires soient données dans les véhicules comportant un mécanisme d’ouverture d’urgence, sans avoir à sortir le manuel. Si le constructeur veut garder des poignées à ouverture électrique, il devra prouver que son système est quasiment infaillible, même en cas d’accident sévère, ce qui devrait largement refroidir les envies de fantaisie.

Quelle influence sur la production mondiale ?

Qu’on le veuille ou non, la Chine est devenue un acteur incontournable de l’automobile, que ce soit au niveau du nombre de clients potentiels dans le pays, comme pour le nombre de véhicules qui sortent des usines de l’Empire du milieu. De ce fait, il serait difficilement envisageable pour un constructeur automobile de faire un modèle qui ne puisse pas être vendu en Chine et, les économies d’échelle étant le nerf de la guerre pour combattre les constructeurs chinois, il serait peu rentable de faire des modèles différents pour la Chine et le reste du monde.

Ainsi, si jusqu’à présent les États-Unis d’Amérique et l’Union européenne étaient leaders en terme de normes et régulations à respecter dans l’automobile, il y a fort à parier que la Chine prenne le relais, et donne dans les années à venir le « la » concernant les normes de sécurité.

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Le HomePod mini gagnerait de nouvelles couleurs, le Vision Pro passerait au noir

Dans les nombreuses rumeurs sur ce qu'Apple pourrait dévoiler le 9 septembre, il y a des choses moins mises en avant mais qui trouvent parfois un public. Et un changement assez courant est purement esthétique, avec de nouvelles couleurs pour les produits. Une méthode qu'Apple emploie parfois pour relancer les ventes après quelques mois (c'était courant avec les iPhone). Selon Mark Gurman, deux produits pourraient gagner de nouvelles couleurs : l'Apple Vision Pro et le HomePod mini.

Pour le casque d'Apple, en dehors des rumeurs sur une version compacte et moins onéreuse, Gurman indique qu'une version noire a été envisagée et pourrait arriver. Apple apprécie de passer ses produits haut de gamme en noir, et tend à éviter les couleurs dans ce cas, comme pour les MacBook Pro ou l'Apple Watch Ultra 2. Un coloris minuit ne devrait pas permettre au casque de devenir d'un coup le produit le plus couru de la gamme, mais un petit changement permet toujours a minima de relancer la machine médiatique.

Un concept de Vision Pro noir. Image MacRumors.
Plus léger et plus abordable, le Vision Air arriverait en 2027

Plus léger et plus abordable, le Vision Air arriverait en 2027

De nouvelles couleurs pour le HomePod mini

Si les rumeurs bruissent et annoncent une nouvelle puce pour le HomePod mini, il y a aussi la question de la couleur. Apple a déjà ajouté deux fois de nouvelles teintes sur son enceinte : une fois pour ajouter de l'orange, du jaune et du bleu, une seconde en remplaçant le gris sidéral par du minuit (du noir, donc). Il ne s'avance pas trop sur les couleurs disponibles mais annonce du rouge.

Image Apple.
iPhone 17, Apple Watch Ultra 3, AirPods Pro 3… Tout ce qu’Apple pourrait dévoiler le 9 septembre

iPhone 17, Apple Watch Ultra 3, AirPods Pro 3… Tout ce qu’Apple pourrait dévoiler le 9 septembre

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iPhone 17, Apple Watch Ultra 3, AirPods Pro 3… Tout ce qu’Apple pourrait dévoiler le 9 septembre

Le mardi 9 septembre à 19 h (heure de Paris), Apple lèvera le voile sur ses nouveaux jouets. Comme d’habitude, Mark Gurman se fait un malin plaisir de révéler le menu de la conférence quelques jours avant sa tenue. Pas de nouvelles révélations dans les confidences du journaliste de Bloomberg, mais des confirmations… si tant est qu’il ne se trompe pas, ce qui n’est pas trop son genre.

Image Tim Cook (quel bon photographe)

iPhone 17, iPhone 17 Air, iPhone 17 Pro et iPhone 17 Pro Max

Depuis 2020, la gamme d’iPhone compte quatre modèles, et cette année encore Apple resterait fidèle à la formule. Mais changement de casting : pas de version Plus (ni de mini, snif), remplacée par un tout nouvel iPhone 17 Air. Sa particularité ? Une épaisseur record de seulement 5,5 mm, ce qui en ferait aussi l’iPhone le plus léger. Mais qui dit finesse dit concessions : il aurait une autonomie inférieure aux autres et pas de tiroir SIM.

Pour le reste, il embarquerait un écran 6,6” ProMotion, la puce A19 et un modem cellulaire C1, pour un tarif situé entre l’iPhone 17 classique et le Pro. Suffisant pour séduire ? C’est la grande question.

iPhone 17 Air : le point sur les rumeurs avant le keynote d

iPhone 17 Air : le point sur les rumeurs avant le keynote d'Apple

De son côté, l’iPhone 17 standard grandirait légèrement (6,3” contre 6,1”) et profiterait pour la première fois d’un écran ProMotion. On ignore néanmoins si toutes les fonctions avancées seront de la partie, notamment l’écran toujours allumé.

iPhone 17 : tout ce qu’il faut savoir avant le keynote

iPhone 17 : tout ce qu’il faut savoir avant le keynote

Quant aux iPhone 17 Pro et 17 Pro Max, vus de dos, ils seraient assez différents de leurs prédécesseurs. Leur bloc photo s’étendrait sur toute la largeur, à l’instar des Pixel. Si cela peut les rendre enfin stables quand ils sont posés sur une table, on prend.

Ils abandonneraient le titane au profit de l’aluminium, moins prestigieux, mais plus léger et meilleur pour dissiper la chaleur. Et puis, il y aurait une nouvelle couleur orange, histoire de se démarquer bien comme il faut. La plupart de leurs composants seraient aussi mis à niveau : puce A19 Pro, batterie plus grosse, téléobjectif 48 Mpx, objectif à ouverture variable…

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur l

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur l'iPhone 17 Pro et l'iPhone 17 Pro Max

Accessoires iPhone

Côté accessoires, Apple préparerait une remplaçante à la controversée coque FineWoven, un bumper pour l’iPhone 17 Air (mais si, souvenez-vous, un bumper) et même une bandoulière « haut de gamme et coûteuse », dixit Gurman. On n’ose pas imaginer le prix.

Apple Watch SE 3, Apple Watch Series 11 et Apple Watch Ultra 3

L’Apple Watch SE aurait droit à une mise à jour trois ans après la précédente. La montre d’entrée de gamme jouirait d’un écran légèrement plus grand et d’un processeur plus rapide. On espère également un écran toujours allumé, mais ce n’est pas gagné.

Après une Series 10 bien affinée, la Series 11 serait sans surprise très proche au niveau du design. Elle aurait essentiellement un écran plus lumineux et de nouveau coloris.

Le gros morceau, littéralement, sera de toute évidence l’Apple Watch Ultra 3. Elle aurait un écran encore plus grand — les poignets des clients sont-ils vraiment extensibles à ce point ? —, une connexion 5G et une connexion satellitaire en cas d’urgence.

Apple Watch Ultra 3 : le point complet sur les rumeurs avant le keynote

Apple Watch Ultra 3 : le point complet sur les rumeurs avant le keynote

AirPods Pro 3

Peut-on faire mieux que les AirPods Pro 2, excellents à leur lancement et encore meilleurs aujourd’hui grâce à de nombreuses améliorations logicielles ? Apple va apparemment relever le défi avec les AirPods Pro 3. Comme les Powerbeats Pro 2, les nouveaux écouteurs auraient un capteur de fréquence cardiaque. Ils auraient aussi un boitier significativement plus petit. Pas que l’actuel soit énorme, mais un peu de place gagnée dans la poche, ça ne se refuse pas.

Tout savoir sur les rumeurs autour des AirPods Pro 3

Tout savoir sur les rumeurs autour des AirPods Pro 3

Dans les semaines suivantes…

Tous les produits ne seraient pas pour le 9 septembre, d’autres suivraient dans les semaines suivantes. Voici lesquels avec leurs améliorations principales :

  • AirTag 2 : puce sans fil plus précise et portée améliorée
  • iPad Pro : puce M5 dernier cri et seconde caméra en façade
  • Vision Pro : puce M4 ou M5 en remplacement de la M2
  • Apple TV : puce A17 Pro et modem réseau maison
  • HomePod mini : puce boostée, prête pour Apple Intelligence

On vous donne rendez-vous le mardi 9 septembre à 19 h sur LeKeynote.fr pour le suivi de la conférence en direct.

Conférence Apple du 9 septembre : quel produit attendez-vous le plus ?

Conférence Apple du 9 septembre : quel produit attendez-vous le plus ?

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Jusqu'à 50 % de réduction sur les panneaux lumineux de Nanoleaf

Si vous regardez du streaming sur Twitch, vous devez connaître Nanoleaf : cette marque propose des kits de panneaux lumineux qui permettent d'obtenir un décor digne des années 80 sur vos murs. Pendant quelques jours (du 5 septembre au 8 septembre), la marque propos de nombreuses promotions, qui peuvent atteindre 50 %.

Les triangles. Image Nanoleaf.

Le kit Skylight, avec des panneaux à placer au plafond, est à -40 % : 516 € au lieu de 860 € pour douze. La version avec trois panneaux est à 155 € au lieu de 230 €. Pour ceux qui aiment les panneaux carrés, les Blocks sont à 156 € au lieu de 260 € pour dix panneaux (différentes tailles). Le kit Combo Xl est à 140 € au lieu de 200 €.

Les Line. Image Nanoleaf.

Les triangles sont à 135 € pour quinze (au lieu de 270 €) ou 135 € pour neuf (en noir) au lieu de 180 €. Les hexagones sont à 135 € pour neuf (25 % de réduction), 202 € pour quinze (contre 270 €) ou 135 € pour neuf, en noir.

Les hexagones. Image Nanoleaf.

Les modèles en forme de barrettes sont à 136 € au lieu de 180 € (neuf, en version rose), 135 € pour neuf ou 202 € pour quinze.

Les carrés. Image Nanoleaf.

Dans tous les cas, les kits sont compatibles Apple Home, avec en plus la possibilité de passer par l'app Nanoleaf pour certains réglages. En plus des offres sur les kits de démarrage, vous pourrez aussi obtenir des ampoules GU10, un interrupteur ou quelques autres accessoires avec 50 % de réduction à l'achat d'un kit.

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Le casque Bose QuietComfort Ultra gagne l'audio sans pertes en USB-C dans sa nouvelle version

Bose vient de lancer une nouvelle version de son casque QuietComfort Ultra, qui a environ deux ans. Cette nouvelle version est un peu dans la veine du casque AirPods Max, avec assez peu de nouveautés.

Le nouveau casque. Image Bose.

Le nouveau casque est attendu dès le 2 octobre 2025 pour 450 $ (contre 430 $ pour son prédécesseur, qui se déniche en pratique vers 400 € (il n'est pas disponible actuellement). Il gagne une meilleure autonomie théorique, qui passe de 24 heures à 30 heures, et un mode qui permet de couper la réduction de bruit pour gagner quelques heures supplémentaires (45 heures dans ce cas). Dans les autres petites nouveautés, on trouve un mode cinéma, évidemment optimisé pour l'écoute de films, et Bose a supprimé l'intégration des assistants vocaux dans le casque. La principale nouveauté, en dehors de l'autonomie, vient de la possibilité d'utiliser le casque en USB-C.

Le nouveau casque. Image Bose.

C'est une nouveauté aussi apparue avec la version USB-C du casque d'Apple, et elle permet de contourner la compression avec pertes du Bluetooth. Le casque de Bose peut donc être employé directement en USB-C avec un smartphone ou un ordinateur, avec de l'audio sans pertes. Bose n'indique pas les possibilités du DAC intégré dans le casque, mais beaucoup de modèles permettent a minima une fréquence d'échantillonnage de 48 kHz et une quantification sur 24 bits dans ce cas, et parfois la possibilité de monter à 96 kHz. Cette nouveauté est un ajout intéressant, surtout étant donné que le casque de Bose garde la connectique audio analogique du modèle précédent, à travers une prise jack 2,5 mm (un câble 2,5 mm vers 3,5 mm est fourni). Il propose donc de l'audio sans fil avec compression, de l'audio analogique et de l'audio numérique1.

En violet. Image Bose.

Le casque est annoncé en noir, violet, sable et blanc.


  1. Il faudra peut-être attendre la prochaine version pour de l'audio numérique sans fil.  ↩︎

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Pub en ligne : Bruxelles inflige à Google une amende de 3 milliards d'euros ( : Google répond)

La Commission européenne sanctionne lourdement Google avec une amende de 2,95 milliards d'euros, pour pratiques abusives dans les technologies publicitaires en ligne.

Nouvelle tuile financière sur la tête de Google qui écope cette semaine d'une seconde amende de grande envergure. Cette fois c'est le toit qui lui tombe sur la tête. Après la CNIL qui l'a sanctionné en début de semaine à hauteur de 325 millions d’euros pour des manquements dans la gestion des données personnelles au sein de ses activités publicitaires, c'est Bruxelles qui frappe le groupe américain d'une amende retentissante de 2,95 milliards d'euros.

Source Commission de Bruxelles.

La Commission reproche à Google d’avoir favorisé ses propres services de publicité en ligne au détriment des prestataires concurrents, des annonceurs et des éditeurs en ligne, explique le communiqué. La Commission lui ordonne de mettre fin à ces pratiques d’autopréférence et d'engager des mesures pour supprimer ses conflits d’intérêts dans toute la chaîne de ses services publicitaires.

Google dispose de plusieurs services qui servent d'intermédiaires entre les annonceurs et les éditeurs pour afficher des publicités sur des sites web ou des applications mobiles. Il utilise deux outils d’achat d’espaces publicitaires – « Google Ads » et « DV360 » ; un serveur publicitaire pour éditeurs, « DoubleClick For Publishers » (ou DFP) ; et une place de marché publicitaire —, détaille la Commission.

L'enquête ouverte sur cette activité a révélé que depuis au moins 2014 et jusqu'à aujourd'hui, Google jouit d'une position dominante — ce qui n'est pas répréhensible en soi, rappelle Bruxelles — mais qu'il en abuse de deux manières :

  • En favorisant sa propre place de marché publicitaire, AdX, dans le processus de sélection des annonces de son serveur publicitaire DFP. Par exemple, en informant AdX, à l’avance, de la valeur de la meilleure enchère d’un concurrent afin de la dépasser pour remporter l’enchère ;
  • En favorisant sa place de marché AdX dans la manière dont ses outils d’achat Google Ads et DV360 soumettaient leurs offres sur les places de marché. Par exemple, Google Ads évitait de recourir aux places de marché concurrentes et concentrait principalement ses enchères sur AdX, le rendant ainsi plus attractif que ses rivaux.

« La Commission a conclu que ces comportements visaient délibérément à donner à AdX un avantage concurrentiel et ont pu évincer les places de marché rivales. Cela a renforcé le rôle central d’AdX dans la chaîne d’approvisionnement de l’adtech ainsi que la capacité de Google à prélever des frais élevés pour son service », résume le communiqué.

Google a contesté cette décision mais sans s'attarder sur les points problématiques qui ont été mis en évidence : « La décision de la Commission européenne concernant nos services de technologies publicitaires est erronée et nous allons faire appel. » a déclaré Lee-Anne Mulholland, vice-présidente, directrice mondiale des affaires réglementaires, ajoutant : « Elle impose une amende injustifiée et exige des changements qui vont nuire à des milliers d’entreprises européennes en rendant plus difficile leur capacité à gagner de l’argent. Il n’y a rien d’anticompétitif à fournir des services aux acheteurs et aux vendeurs de publicité, et il existe aujourd’hui plus d’alternatives à nos services que jamais auparavant ».

Google a 60 jours pour informer la Commission des changements qu'il entend mettre en place. Cette dernière souligne au passage que cette enquête révèle des agissements qui ont été constatés également aux États-Unis, où le Département de la Justice doit ouvrir un procès contre Google le 22 septembre prochain. Le groupe ne pourra guère plaider un harcèlement venu exclusivement de l'Europe.

Mise à jour : Google a communiqué sur cette amende, voici la réaction de Lee-Anne Mulholland, responsable chez Google.

« La décision de la Commission européenne concernant nos services de technologies publicitaires est erronée, et nous allons faire appel. Elle impose une amende injustifiée et exige des changements qui nuiront à des milliers d’entreprises européennes en rendant plus difficile pour elles de générer des revenus. Il n’y a rien d’anticoncurrentiel à fournir des services aux acheteurs et aux vendeurs d'espaces publicitaires, et il existe plus d'alternatives que jamais à nos services. »

Google explique par ailleurs que cette affaire ne concerne pas les annonces liées au moteur de recherche, mais l'activité de publicité tierce de la firme, qui aide ses clients à générer des revenus. Selon eux, la Commission européenne a une vision erronée du secteur des adtech et cette amende de 3 milliards d'euros est injustifiée et est vue comme une attaque disproportionnée de l'Europe envers une entreprise américaine.

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Firefox 115 restera mis à jour pour les macOS de 2016 à 2018

Les utilisateurs de vieilles versions de macOS peuvent toujours compter sur Firefox qui va continuer de recevoir des mises à jour de sécurité.

macOS Sierra, High Sierra et Mojave, sortis entre 2016 et 2018, peuvent toujours recourir à Safari, Chrome ou Firefox si ce n'est que les deux premiers ont cessé de recevoir des mises à jour de sécurité sur ces systèmes. Apple en a encore distribué cette année, mais pour le Safari 18 utilisable dans Ventura (macOS 13, 2022) tandis que Chrome peut descendre jusqu'à Monterey (macOS 12, 2021).

Image Mozilla.

À l'inverse, Firefox version 115 (la dernière en date est la 142) qui fonctionne sur les trois systèmes cités en introduction a vu son bail prolongé. Il s'agit d'une version dite "ESR" pour "Extended Support Release". Initialement, la fondation Mozilla avait prévu d'arrêter de fournir des patchs de sécurité pour ce Firefox en septembre 2024. Puis la date limite avait été repoussée à 2025.

Elle l'est de nouveau avec une échéance cette fois en mars 2026. Et ce ne sera pas forcément la fin de l'histoire, une évaluation est prévue en février pour décider de la suite (on peut supposer que Mozilla fera le compte à ce moment-là des instances de ce Firefox détectées sur le web).

Dans le même temps, Mozilla recommande tout de même de passer autant que possible sur des systèmes plus récents et capables de faire fonctionner des versions plus robustes du navigateur. Sans parler de sites web qui ne sont pas toujours accessibles à des navigateurs trop anciens.

Cette extension du délai vaut également pour Firefox 115 sur Windows 7, 8 et 8.1.

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Backdrop 2 anime l'écran verrouillé du Mac avec vos vidéos

La seconde version de Backdrop propose d'afficher une vidéo comme illustration de fond pour l'écran verrouillé de macOS. Le système propose déjà quelque chose de similaire, mais Backdrop 2 est plus souple. On peut piocher des animations et vidéos dans une ample collection intégrée au logiciel ou sélectionner des vidéos parmi son propre stock et la version 2 étend son action à l'écran verrouillé du Mac.

La galerie intégrée dans Backdrop. Image MacGeneration.

Les clips choisis peuvent être en 4K, on dispose d'un petit outil d'édition pour sélectionner une partie dans une vidéo trop longue. Il permet d'incruster un texte et de choisir une autre vitesse de lecture, plus lente ou accélérée (mais pas dans la version démo).

L'éditeur pour préparer sa vidéo. Image MacGeneration.

L'interface est soignée — mais on aurait aimé pouvoir choisir une vidéo dans Photos directement depuis le logiciel au lieu de devoir l'exporter — et le résultat est conforme aux attentes. Si vous utilisez plusieurs écrans, ils pourront chacun avoir une vidéo différente. Pour l'avoir essayé sur un MacBook Air M3 branché à un écran externe 4K, il n'y a pas de ralentissement perceptible lors de l'utilisation d'autres logiciels en parallèle.

L'éditeur explique que son shareware s'attache à utiliser tout ce qui peut fluidifier son fonctionnement (accélération par le GPU, adaptation en fonction de la charge du système, mise en pause lorsqu'on a une app affichée en plein écran, etc.). On a noté un petit bug — à moins que ce ne soit une limitation — avec les widgets sur le bureau. Ils sont transparents avec Liquid Glass dans macOS 26, mais on ne voit pas la vidéo passer en dessous, le fond de ces modules reste figé, à l'inverse du fond transparent du Dock qui laisse voir ce qui passe en dessous.

Le logiciel peut être testé pendant quelques jours ensuite il passe sur un abonnement (1,99 $/mois, 14,99 $/an) ou sur une licence perpétuelle (29,99 $)

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Un adaptateur secteur USB-C de 96 W et un MagSafe 2 de 85 W en promotion

Si vous avez un MacBook Pro, vous avez peut-être parfois besoin d'un second adaptateur ou — si vous avez eu un problème — vous devez remplacer celui d'origine. Bonne nouvelle : Amazon propose des promotions sur deux adaptateurs secteur Apple. Le premier est un modèle USB-C de 96 W, fourni sans câble et adapté à tous les Mac portables sortis depuis de 2015 environ. Il est à 68 € au lieu de 85 €, une réduction de 20 %. Sa puissance suffit pour tous les modèles, même si quelques MacBook Pro récents sont fournis avec une variante de 140 W.

Le chargeur USB-C. Image Apple.

Le second cible les anciens Mac, les modèles vendus entre 2012 et 2015 environ. C'est en effet un bloc de 85 W en MagSafe 2. La promotion est la même : il est à 68 € au lieu de 85 €, cette fois avec le câble, qui est intégré directement au chargeur.

Le chargeur MagSafe 2. Image Apple.

Nous en profitons pour rappeler que les copies de chargeurs Apple, spécialement les modèles MagSafe, sont souvent de mauvaise qualité et n'intègrent pas les mesures de sécurité basiques nécessaires pour éviter les accidents. C'est aussi le cas des (nombreux) adaptateurs MagSafe 2 qui permettent d'utiliser un chargeur USB-C : ils sont dangereux par conception.

Les nombreux dangers des adaptateurs USB-C vers MagSafe pour les anciens MacBook

Les nombreux dangers des adaptateurs USB-C vers MagSafe pour les anciens MacBook

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Les rumeurs concernant la mort de X11 sont très exagérées : Gnome retarde son abandon

Il y a quelques mois, la fin de X11, un serveur graphique historiquement employé sous UNIX, semblait actée. X11 a été remplacé par Wayland (un serveur graphique plus moderne) dans pas mal de distributions GNU/Linux, et Gnome 49 devait commencer à clouer le cercueil du vénérable X11, qui date tout de même des années 80. Cette version devait commencer par désactiver X11, avant une suppression totale dans Gnome 50. Mais la release candidate (RC, la version de test qui précède la version finale) de Gnome 49 a changé les plans, comme l'indique Next : finalement, X11 n'est pas désactivé.

Ubuntu 25.10 devrait donc garder X11.

9to5 Linux donne une explication : visiblement, la solution choisie au départ était trop compliquée. Elle devait permettre de continuer à permettre de lancer une session X11 — via XWayland, une solution qui émule X11 à travers Wayland — tout en désactivant X11 dans l'environnement de bureau. Cette tâche a finalement été trop ardue et donc X11 reste pour le moment présent et utilisable dans Gnome. Malgré tout, la fin de X11 demeure prévue : les développeurs veulent toujours se débarrasser du vieux serveur graphique. Mais ce ne sera probablement pas pour Gnome 50 et il n'y a pas de plans officiels pour le moment. Ce changement dans Gnome touche évidemment de nombreuses distributions, étant donné que l'environnement de bureau est couramment utilisé. La version 25.10 d'Ubuntu, par exemple, doit normalement intégrer Gnome 49.

X11 disparaît peu à peu sous GNU/Linux, remplacé par une solution proche de XQuartz

X11 disparaît peu à peu sous GNU/Linux, remplacé par une solution proche de XQuartz

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SFR pourrait être racheté par Orange, Free et Bouygues, avant un partage

SFR, le joyau d'Altice — qui est dans la tourmente —, pourrait être racheté par un consortium composé d'Orange, Bouygues Telecom et Iliad (Free). Selon La Lettre, c'est une voie vue d'un bon œil par le gouvernement mais qui va nécessiter un peu de travail et de garanties pour être validée par l'Autorité de la concurrence.

Le logo de la société française du radiotéléphone.

Le projet Python, son nom de code, permettrait aux trois opérateurs de racheter le quatrième, avant de se le partager. SFR est valorisé à environ 28 milliards d'euros et est trop gros pour être racheté par un seul opérateur français. Mais en découpant l'opérateur et en séparant les activités mobiles de celles liées aux connexions fixes, il devrait être possible d'incorporer SFR dans les autres opérateurs sans subir les foudres de l'Autorité de la concurrence. Les trois opérateurs pourraient aussi amener chacun environ un milliard d'euros en plus du prix du rachat, pour prendre en charge le volet social : une intégration de SFR dans les trois opérateurs va en effet probablement amener des licenciements dans les 8 000 salariés de SFR, avec des postes en doublon.

Pour le moment, aucune offre concrète n'a visiblement été proposée, mais c'est une solution qui aurait l'aval du gouvernement selon nos confrères, car elle permettrait de garder SFR sous pavillon français. Les autres voies possibles passent par un rachat de SFR par des acteurs étrangers, ce qui pose des soucis de souveraineté. Et étant donné la taille de SFR, il y a peu de chances qu'un acteur français puisse débourser la somme nécessaire pour entrer dans le domaine très fermé des opérateurs de téléphonie mobile ou de l'accès à Internet.

Altice France : tout se met en place pour une possible vente de SFR

Altice France : tout se met en place pour une possible vente de SFR

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Atlassian achète les navigateurs Arc et Dia pour les envoyer en entreprise

Après 5 années en solo, The Browser Company, créatrice des navigateurs Arc et Dia sur Mac, est achetée par Atlassian, un éditeur d'outils de collaboration en entreprise.

Pour 610 millions de dollars en cash, Atlassian s'est offert l'intégralité de The Browser Company of New York: ses deux fondateurs, ses développeurs et ses navigateurs Arc et Dia. Le profil de l'acheteur fait que Dia va s'orienter dans une nouvelle direction, celle des utilisateurs en entreprise.

Lancé en 2022, développé sur Chromium, Arc avait pris le parti de revoir les traits caractéristiques d'un navigateur web pour proposer une nouvelle approche avec une interface largement repensée. Au printemps dernier, changement de pied chez The Browser Company, Arc a un petit frère. Baptisé Dia, il est né sous les auspices de l'intelligence artificielle. C'est ce credo de la navigation assistée par l'IA que promeut The Browser Company.

Dia : le successeur d

Dia : le successeur d'Arc mise tout sur l'IA

Les navigateurs classiques ont été conçus pour chercher du contenu de manière passive, la nouvelle génération veut rendre le navigateur plus actif, capable d'agréger des informations et données réparties dans plusieurs onglets, comme si chacun était une application. Si vous avez un agenda ouvert dans l'un, une messagerie dans un autre et un gestionnaire de projets dans un troisième, Dia saura récupérer et traiter leurs contenus en fonction de vos requêtes.

Dia, interrogé sur une page web. Image MacGeneration.

Ça sentait le sapin pour Arc qui était passé en mode de maintenance, les propos rassurant de son éditeur à son sujet ne rassurent que modérément. Josh Miller et Hursh Agrawal, les cofondateurs de The Browser Company assurent, que Arc et Arc Search vont continuer d'exister, leur avenir sur le long terme sera détaillé prochainement. On pourrait imaginer un partage des rôles, avec Arc pour le grand public et Dia pour les professionnels et l'entreprise, mais cela voudrait dire continuer d'investir dans le premier alors que cette acquisition a pour but de donner de nouveaux moyens à Dia.

The Browser Company va continuer de miser sur l’IA et délaisser Arc

The Browser Company va continuer de miser sur l’IA et délaisser Arc

Pour justifier cette vente, Miller et Agrawal expliquent qu'Atlassian, qui a ses entrées dans les grandes entreprises du Fortune 500, va permettre à Dia de toucher un plus large public dans des délais bien plus courts. En tout cas sans commune mesure avec ce qu'ils auraient pu faire en continuant tout seuls. Mais ils ne font pas mystère que la cible logique et prioritaire de Dia est bel et bien celle de l'utilisateur au bureau.

Dia : le successeur d’Arc gagne un abonnement Pro à 20 $ par mois

Dia : le successeur d’Arc gagne un abonnement Pro à 20 $ par mois

Dans une interview chez The Verge, Josh Miller le dit sans détour lorsqu'il fait référence aux exemples d'usages qui prévalaient jusque-là pour décrire les capacités de ses navigateurs : « Nous avons beaucoup parlé de shopping, de réservations, de recherche d'horaires de spectacles. Tout ça va être écarté de nos priorités. ». Le co-fondateur observe que les gens ont déjà tendance à confier directement ces tâches à ChatGPT et les autres. Les amener en plus vers un nouveau navigateur semble une tâche trop chronophage, alors qu'adossé à un éditeur spécialisé, de nouvelles portes peuvent s'ouvrir plus vite avec d'un coup plus de monde derrière.

Cet appui d'Atlassian va ainsi permettre de lancer plus rapidement Dia sur d'autres plateformes de bureau et mobiles — Arc est arrivé sur Windows après la version Mac, Dia n'est que sur Mac et sur invitation pour le moment. L'objectif ultime est de faire de cette application un « navigateur multiplateforme assimilable à un OS ».

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Une édition 2025 pour la ScanWatch 2 de Withings, qui analyse votre santé avec l'IA

Withings vient d'annoncer une ScanWatch 2… qui succède à la ScanWatch 2 lancée en 2023. Cette nouvelle version, dotée du système maison HealthSense 4, embrasse la technologie à la mode, l'IA, pour analyser les données liées à la santé. Comme les versions précédentes, la montre ressemble à un modèle classique — cadran rond, aiguilles, etc. — et le côté connecté est donc peu visible, à travers un petit écran OLED monochrome. Un choix qui a un gros avantage : Withings annonce une autonomie de 35 jours pour sa montre, contre en général un à deux jours pour un modèle connecté classique.

La nouvelle ScanWatch 2, identique visuellement à la précédente. Image Withings.

La montre propose de nombreux capteurs : suivi de la température, ECG, fréquence cardiaque, suivi du sommeil, mesure de la saturation en oxygène, suivi d'activités, accéléromètre, etc. La principale nouveauté de cette édition 2025 est donc une analyse par IA, qui ajoute notamment un score de Vitalité, qui combine différentes mesures liées à votre cœur, votre respiration, votre activité physique ou la qualité de votre sommeil. Des notifications proactives générées par l'IA permettent de déterminer votre niveau de fatigue (avec des conseils) et elle peut aussi détecter des risques de grippes ou d'infection. Pour les femmes, la montre est aussi capable de détecter le début du cycle menstruel, assure le fabricant, même en cas de cycle irrégulier. Notons que l'indice de Vitalité est réservé aux utilisateurs abonnés au service Withings+.

Les nouveautés. Image Withings.

La nouvelle version est vendue 350 € sur le site de Withings dès aujourd'hui, avec un mois d'abonnement à Withings+, le service de la marque qui ajoute un suivi plus complet et la possibilité de faire analyser certains résultats par un cardiologue. Withings ne précise pas directement si les fonctions de la nouvelle ScanWatch 21 lui sont réservées. C'est un peu dommage, et une mise à jour n'aurait pas été inédite. Les fonctions ajoutées au Sleep Analyzer (la détection de l'apnée du sommeil) avaient par exemple été ajoutées après quelques mois au Sleep classique, sans surcoût. Nous avons contacté la marque pour des détails sur ce point. Enfin, elle existe en version 38 et 42 mm, en plusieurs couleurs, dont un nouveau coloris bleuté.


  1. Vous vous souvenez du « nouvel iPad » ?  ↩︎

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Conférence Apple du 9 septembre : quel produit attendez-vous le plus ?

Plus que quelques jours avant la conférence de rentrée d’Apple ! On ne vous divulgâche rien en vous disant que de nouveaux iPhone — les iPhone 17 — sont attendus et qu’il y aura également de nouvelles Apple Watch. Si vous voulez vous rafraichir la mémoire, vous pouvez lire nos différents récap des rumeurs : iPhone 17, iPhone 17 Air, iPhone 17 Pro et 17 Pro Max, Apple Watch Ultra 3.

Image Apple/MacGeneration

C’est moins certain, mais Tim Cook pourrait aussi présenter d’autres produits inédits le mardi 9 septembre. On pense notamment aux AirPods Pro 3, au HomePod mini 2, aux AirTags 2 et à l’Apple TV 4K A17 Pro. Ça fait beaucoup pour un seul événement, donc une partie de ces nouveautés sortiront plus sûrement au cours des prochains mois.

Vous pourrez suivre comme d’habitude l’événement en direct sur notre site spécial LeKeynote.fr. Toute l’équipe de MacG sera mobilisée pour couvrir les multiples annonces.

Quel produit susceptible d’être annoncé le 9 septembre attendez-vous le plus ?

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Apple réfléchit à une nouvelle génération de Taptic Engine plus durable

Apple réfléchit à un nouveau système de Taptic Engine plus résistant. La Pomme s’est récemment vu accorder un brevet intitulé « Dispositif électronique doté d'un moteur haptique résistant aux chocs » (n°12405667). Il décrit un Taptic Engine intégrant un système de ressorts protégeant ce composant interne délicat en cas de chute ou de collision.

Le Taptic Engine d’un iPhone 15 Pro, décortiqué par iFixit.

Le Taptic Engine consiste en une petite masse qui peut bouger. Sur cette nouvelle génération, des ressorts seraient intégrés directement dans le couvercle. Ils auraient une épaisseur variable et des extrémités meulées en biais. Quand tout fonctionne normalement, la masse vibrerait pour donner un retour tactile. En cas de chute, elle irait taper vers les nouveaux ressorts progressifs : ceux-là absorberaient le choc en étalant la force sur une durée plus longue.

L’idée serait qu’ils puissent réagir en douceur lors de petits chocs, mais qu’ils se raidissent sous les charges lourdes pour mieux absorber et répartir la force. Ils pourraient être incorporés à un téléphone comme à une montre et pourraient réduire le risque de défaillance du composant. Difficile de dire si ce brevet sera un jour mis en pratique, mais il montre bien l’intérêt de la Pomme pour une révision moins sensible aux chutes.

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