GitHub se rapproche un peu plus de l’équipe CoreAI de Microsoft. Hier, le CEO de la célèbre plateforme pour développeurs a annoncé sa démission après 4 ans à la tête de l’entreprise. Thomas Dohmke ne sera pas remplacé, et le reste de la direction de GitHub rendra désormais compte plus directement à l'équipe CoreAI de Microsoft.

Microsoft a racheté GitHub en 2018 pour 7,5 milliards de dollars, et les deux entreprises ont alors travaillé comme deux entités distinctes. Un rapprochement a été initié en 2021 quand l’ancien CEO Nat Friedman a quitté le navire pour laisser sa place à Thomas Dohmke : il rendait compte à Julia Liuson, responsable de la division développeurs de Microsoft. Celle-ci est passée sous la direction de la nouvelle équipe CoreAI au début de l’année.

L'équipe CoreAI de Microsoft est un récent groupe d'ingénieurs se concentrant sur la création d'une plateforme et d'outils d'IA pour Redmond et ses clients. Dirigée par l’ancien de Meta Jay Parikh, elle comprend notamment la division Plateforme et outils de Microsoft. Dans une interview, Parikh avait donné ses ambitions pour l’équipe CoreAI : il veut que la division développement adopte les outils d’IA et mise fortement sur les « agents », soit des IA faisant des actions à votre place.

Si GitHub n’était donc pas complètement une entité distincte, il s’agit d’un gros changement en interne étant donné que l’entreprise n’aura désormais plus son propre CEO. Thomas Dohmke restera en poste jusqu’à la fin de 2025 pour aiguiller la transition. Il a annoncé partir pour « redevenir fondateur d'une start-up ».

iOS 26 comme macOS 26 ont eu droit à une sixième bêta hier soir et parmi les nouveautés, certains utilisateurs ont eu droit à une vidéo après l’installation de la mise à jour. J’écris « certains », car ce n’est pas généralisé et d’ailleurs, ni moi, ni mes collègues qui ont installé la bêta, n’ont vu ces vidéos repérées notamment par 9To5Mac. Quoi qu’il en soit, l’animation destinée à Tahoe est intrigante, parce qu’elle représente un Mac qui n’existe pas dans la gamme actuelle.

Ce Mac portable qui affiche quelques nouveautés macOS Tahoe n’a en effet aucune encoche en haut de son écran. Que ce soit le MacBook Air ou le MacBook Pro, tous les ordinateurs portables conçus par Apple ont pourtant cette découpe pour faire de la place à la webcam et quelques autres composants. Faut-il y lire une annonce du retour des Mac portables sans encoche ? C’est peu probable, surtout quand la rumeur n’évoque pas cette possibilité avant plusieurs années : on parle d’un MacBook Pro OLED sans l’encoche pour fin 2026, voire 2027.

La meilleure hypothèse, c’est que les designers ont jugé que la vidéo était plus agréable sans l’encoche qu’avec et ont décidé de la retirer en dépit du réalisme. Si vous détestez l’encoche de votre Mac, vous trouverez peut-être un petit peu de réconfort à savoir que vous n’êtes pas le seul et que même à Cupertino, on rêve d’un MacBook sans encoche…

Avec iOS 26, Apple met le paquet sur la traduction des langues étrangères : les conversations iMessage peuvent être traduites facilement, tout comme les coups de fil grâce à Apple Intelligence. Apple ne compte pas s’arrêter là et planche visiblement sur une fonction de traduction en direct avec les AirPods. MacRumors a remarqué un nouveau visuel allant dans ce sens sur la nouvelle bêta d’iOS 26 publiée hier.

On peut y voir des AirPods avec le mot « Bonjour » dans différentes langues (anglais, portugais, allemand et français) ainsi que des ronds insinuant que la fonction s’activera en appuyant sur les tiges des écouteurs. L’image est nommée « Translate » et se trouve dans les fichiers de l’application Traduire, ce qui laisse assez peu de doute sur sa nature.

On ne sait pas encore exactement quels modèles seront compatibles, mais il semble que les AirPods Pro 2 et AirPods 4 seront sur la liste. On peut imaginer que, comme dans Messages ou FaceTime, il faudra un téléphone compatible Apple Intelligence pour en profiter. Il n’est pas exclu qu’Apple fasse de sa fonction une exclusivité de la gamme iPhone 17, ce qui expliquerait pourquoi elle n’apparaît pas officiellement dans la bêta.

Ce changement vient appuyer une théorie de Mark Gurman, qui affirmait au mois de mars que les AirPods allaient gagner une fonction de traduction en direct avec l'appui de l'iPhone. Reste à voir quand sera disponible la nouveauté, et si elle sortira avec iOS 26 ou dans une future mise à jour.

Ouf ! Apple a finalement entendu les critiques et annulé le changement introduit avec la quatrième bêta d’iOS 26 dans l’Appareil photo. L’app a gagné un nouveau design simplifié cette année, avec deux boutons principaux pour mieux distinguer la photo et la vidéo et une sorte de roue qui contient tous les modes associés : ceux pour la vidéo à gauche (ralenti, cinématique…) et ceux pour la photo à droite (portrait, panorama…). Pour faire tourner une roue dans le monde réel, le geste naturel est inversé : on tire vers la droite pour afficher les réglages situés à gauche et vice-versa. Sauf qu’avec la quatrième bêta, Apple avait bizarrement décidé d’inverser cette logique : pour afficher les modes vidéo situés à gauche, il fallait aussi glisser le doigt vers la gauche.

Cela peut sembler cohérent en théorie, mais il suffit d’essayer pour comprendre que ce n’est pas du tout logique instinctivement et même très perturbant. Contrairement à ce que l’on entend souvent, ce n’est pas tant le skeuomorphisme qui est passé de mode depuis bien des années dans nos interfaces, c’est le photoréalisme. L’idée de se rapprocher du fonctionnement du monde réel est toujours aussi importante et le sélecteur de modes dans l’Appareil photo d’iOS 26 en est bien la preuve.

Après avoir tenté avec la bêta 5 d’ajouter une option pour restaurer un mode « classique », ce qui est une belle pique au passage, Apple a fait marche arrière avec la sixième bêta sortie hier soir. L’option a disparu des Réglages et surtout, la roue des modes fonctionne de nouveau comme elle aurait toujours dû fonctionner : on glisse le doigt dans le sens inverse, comme avec une vraie roue.

Malheureusement pour les fans du sens inversé de la bêta 4, s’il y en a, Apple n’a pas prévu une option pour le maintenir. L’Appareil photo d’iOS 26 devrait ainsi sortir en version finale avec le même fonctionnement qu’il a toujours eu pour changer de mode.

iOS 26 : prise en main du nouvel Appareil photo de l’iPhone

Amazon en Allemagne réduit de nouveau le prix de l’iPhone 16, si bien qu’on peut le recevoir en France pour moins de 800 €, un excellent prix même si on a vu mieux par le passé. Même s’ils viennent d’un autre pays, vous pouvez commander ces smartphones avec votre compte Amazon français et le site ajustera automatiquement la TVA ainsi que les frais de port pour se caler sur la législation française. Les tarifs indiqués ici tiennent compte de la différence.

Trois coloris de l’iPhone 16 de base, avec ses 128 Go de stockage, sont en promotion, quasiment au même prix : le blanc est vendu 792,47 €, le noir est affiché à 792,52 € et le bleu demande 795,56 €. Vous voulez plus de stockage ? Comptez 921,62 € pour un 256 Go noir, 938,76 € pour un vert ou 948,84 € pour un rose de même capacité. Pour les plus gourmands, deux options sur les modèles avec 512 Go de capacité : noir ou rose à 1 192,58 €.

À titre de comparaison, l’iPhone 16 est vendu à partir de 969 € par Apple, ce qui nous fait une réduction de 176,5 €. Amazon France les vend de son côté à 866 €, mais autant passer par la promotion allemande nettement plus intéressante. Reste à savoir si c’est une bonne idée d’acheter un iPhone 16 à moins d’un mois de la présentation de l’iPhone 17. Les prix ont tellement baissé que vous ne trouverez pas nécessairement mieux par la suite, en tout cas pas de façon radicale.

Et puis, l’iPhone 16 est un excellent smartphone, compatible avec Apple Intelligence et ainsi assuré d’avoir un long avenir, il intègre la même commande de l’appareil photo que les modèles pro et il est globalement excellent dans ce domaine. Les iPhone de base n’ont jamais été aussi proches des modèles « pro » et à ce tarif, ce n’est pas une mauvaise affaire.

Test de l’iPhone 16 et de l’iPhone 16 Plus : une génération intelligente

Vous vous souvenez du 56K et des modems RTC ? S'ils ont complètement disparu depuis de nombreuses années en France — Free envoyait encore les identifiants il y a quelques années, mais sans le service —, ce n'est pas le cas dans le pays de Donald Trump. Quelques opérateurs d'envergure proposent en effet encore la possibilité de se connecter en 56K, comme AOL (America Online). Mais la société va fermer le service le 30 septembre 2025.

Il est un peu difficile de connaître le nombre de personnes connectées en 56K, mais The Verge indiquent qu'ils étaient encore 265 000 en 2019. Il faut noter qu'AOL n'est pas le seul opérateur à proposer ce type de connexion et que certaines sources indiquent que 0,2 % des connexions reposent encore sur un modem analogique dans le pays, dans des régions très faiblement peuplées.

Pour ceux qui ne se souviennent pas des connexions RTC (ou qui n'étaient pas nés), la hackeuse Oona Räisänen propose un fichier qui montre comment fonctionnait une connexion standard. Les autres se remémoreront surtout des bruits stridents, des téléchargements qui avançaient kilooctet par kilooctet et des hurlements quand une personne de la maison souhaitait téléphoner et faisait sauter la connexion¹.

Free envoie encore les identifiants pour le 56K alors que le service n'existe plus

Dans les années 90, Apple avait déjà des ambitions dans le domaine de la télévision, même si c'est un sujet méconnu. La société avait développé un boîtier que nous pourrions comparer à l'Apple TV, basé sur un Macintosh LC. Il était capable de lire des vidéos encodées en MPEG-1 et aurait pu permettre de connecter les foyers… en 1995. Et dans ces efforts de connexion, montrés dans une vidéo de l'opérateur BT en 1995, on peut aussi voir des jeux Nintendo. Car à l'époque, Apple avait prévu une collaboration avec le créateur de la Super Nintendo : le boîtier d'Apple aurait dû permettre de télécharger des jeux sur la Super Nintendo. Et une des cartouches nécessaires est en vente sur eBay pour environ 2 400 €.

La cartouche, qui contient 32 Mb de mémoire flash (a priori) devait se connecter avec un port série — la prise Mini DIN 8 sur la cartouche — à l'Apple Interactive Television Box. Et le boîtier d'Apple, lui, était relié à Internet. Apple et différents opérateurs ont testé le boîtier dans les années 90, en Belgique (avec Belgacom), au Royaume-Uni (chez BT) et même en France, avec Plein Câble à Issy-Les-Moulineaux.

Si le concept peut sembler un peu étonnant vu de 2025, la possibilité de télécharger des jeux sur la Super Nintendo n'est pas irréaliste : au Japon, Nintendo a proposé une solution équivalente avec une diffusion de données par satellites, sous le nom Satellaview. Le fonctionnement était proche : la connexion permettait de télécharger des données dans une cartouche équipée de mémoire flash.

La version européenne qui est en vente n'a pas été lancée officiellement, mais les tests du boîtier d'Apple et du service offert par Nintendo étaient tout de même assez larges. Officieusement, il existe 600 cartouches de ce type, mais elles sont incroyablement rares et le contenu de la ROM n'a pas été récupéré publiquement.

Notons enfin qu'une vidéo du projet de BT est en ligne (elle date de 1995 et est disponible sur Internet Archive). Si elle ne montre pas explicitement que le service est lié à Apple, le boîtier de BT est bien l'Apple Interactive Television Box, il est parfaitement reconnaissable.

Dans la pratique, Apple a abandonné le projet à un stade assez avancé. On trouve assez facilement le manuel de la version commerciale de l'Apple Interactive Television Box, et les boitiers se retrouvent de temps en temps sur eBay, dans différentes variantes qui montrent bien qu'Apple prévoyait un lancement assez large. Mais le service en partenariat avec Nintendo, lui, est peu documenté.

Alors que la version 15.6 de macOS a été mise en ligne il y a quelques jours, fin juillet, Apple propose déjà une seconde RC (release candidate) pour macOS 15.7. Une voie étonnante : cette version mineure n'est pas passée par la phase de bêtas habituelle et n'a pas d'équivalent sous iOS par exemple (il n'y a pas encore de bêta pour iOS 18.7).

Cette version n'indique qu'une courte description en anglais pour le moment, et est réservée aux développeurs : « This update provides important security fixes and is recommended for all users. ». Un bon résumé de cette phrase pourrait être « Nous avons trouvé une grosse faille dangereuse et donc nous allons mettre une mise à jour importante pour tous les utilisateurs un peu en avance », une interprétation libre du message.

Plus sérieusement, un tel empressement pour proposer une nouvelle version mineure, sans qu'il s'agisse (par exemple) d'une version 15.6.1 est assez étonnant, surtout au milieu de l'été. Il y a donc probablement un problème de sécurité important qui touche essentiellement les Mac et qu'Apple va corriger rapidement. Nous pouvons supposer qu'il ne touche pas Safari ou des composants partagés entre tous les systèmes, étant donné que cette seconde RC n'est disponible que pour macOS.

macOS 15.7 RC : Apple finalise déjà une importante mise à jour de sécurité

La bêta 6 d'iOS 26, sortie ce soir, ajoute de nouvelles sonneries aux iPhone. Comme pour celle apparue dans les premières bêtas du système d'exploitation, il s'agit de variantes de certaines sonneries… mais il y a tout de même une nouvelle sonnerie qui n'est pas une variante, qui s'appelle Little Bird en anglais.

Les six autres sont des variantes de Reflet, la sonnerie par défaut de l'iPhone, et la nouvelle sonnerie déjà remarquée dans les premières bêtas est dans la liste des six nouvelles.

iOS 26 cache une version alternative de la sonnerie par défaut

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Durant le mois d'août, Apple accélère généralement la cadence dans le développement de ses nombreux systèmes d'exploitation. Et c'est la même chose cette année : après une bêta 5 sortie au début du mois, la sixième bêta est là une semaine plus tard.

Vous pouvez donc découvrir les versions pour les développeurs de macOS 26 (Tahoe), iOS 26, iPadOS 26, watchOS 26, tvOS 26 ou même visionOS 26. Dans toutes les variantes, Apple met évidemment en avant Liquid Glass, son nouveau design unifié (sauf peut-être sur les vieux modèles d'Apple TV, parce que pourquoi pas). Si Apple suit la même logique que les itérations précédentes, nous devrions avoir une septième et une huitième bêta durant le mois d'août, avec une Release Candidate début septembre, peu avant le keynote des iPhone.

Comme chaque année, certaines fonctions ne seront peut-être pas disponibles dès le lancement, mais la marque a été assez conservatrice cette année et n'a annoncé que peu de nouveautés… tout en en gardant probablement pour égayer l'année 2026 et les mises à jour mineures.

Maintenant, il y a évidemment une question que vous vous posez probablement : y a-t-il plus ou moins de transparence dans cette sixième bêta ? Nous répondrons à cette question dans la soirée, avec peut-être de nouvelles icônes moches pour macOS.

Les nouvelles icônes de macOS Tahoe continuent de créer la polémique

La Ligue 1 s’apprête à vivre un nouveau départ. Après l’échec commercial de la diffusion sur DAZN, le championnat de France va redémarrer le 15 août sur Ligue 1+, un service géré par la Ligue de football professionnel (LFP) elle-même.

Pour éviter un nouveau fiasco qui plomberait davantage des clubs aux finances déjà exsangues, la LFP a essayé de tirer les leçons du passé : ses tarifs sont plus accessibles et le service est disponible sur de nombreux canaux… mais pas via Canal+, toujours en froid avec elle.

Ligue 1+ coûte 14,99 €/mois avec un engagement d’un an ou 19,99 €/mois sans engagement sur la plupart des plateformes. Ces offres permettent de regarder les matchs sur deux écrans en simultané. Pour faire le plein d’abonnés le plus vite possible, une promo de lancement a été mise en place : jusqu’au 31 août, les trois premiers mois sont à 9,99 €/mois (avec engagement d’un an).

Les abonnements sont ouverts dès aujourd’hui sur les box de Free et de Bouygues Telecom, les téléviseurs Samsung ainsi qu’en direct sur le site Ligue 1+ et sur l’application officielle (une version Apple TV est bien au rendez-vous). Demain, Orange et SFR se joindront à la liste, et il faut aussi compter sur RMC Sport.

Amazon, qui avait acquis les droits des saisons 2021 à 2024, est de la partie avec une offre spéciale valable jusqu’à la fin du mois : sur Prime Video, l’abonnement Ligue 1+ est à 12,99 €/mois avec engagement d’un an. Et pas la peine d’être membre Amazon Prime pour en profiter, tout le monde peut souscrire cette offre.

Pas revanchard, DAZN fait également une offre particulière : jusqu’au 31 août, pour 9,99 €/mois pendant trois mois puis 14,99 €/mois, on bénéficie de Ligue 1+ ainsi que de son catalogue habituel (Serie A, Eredivisie, du basket avec la Betclic Élite, du MMA, du golf…).

Reste une petite chose à savoir : si Ligue 1+ diffuse huit rencontres par journée, beIN Sports conserve le match du samedi à 17 heures. Il faut donc un abonnement supplémentaire pour avoir l’intégralité du championnat français… Malicieux, Canal+ offre beIN Sports en tant qu’avantage fidélité à certains de ses abonnés.

Quitte à modifier en profondeur le design (du dos) de l’iPhone 17 Pro, Apple pourrait revoir la position de ses antennes. C’est du moins ce qu’avance Majin Bu, un leaker prolifique, mais pas toujours fiable.

Selon lui, les antennes vont venir entourer le gros bloc photo des iPhone 17 Pro et 17 Pro Max. Sur les iPhone 16 et les générations précédentes, elles se présentent sous la forme de petites découpes disséminées sur le cadre. En fait, Apple reprendrait une idée mise en place sur l’Apple Watch Ultra : sur la montre, les fenêtres radiotransparentes entourent l’écran — c’est cette fameuse zone en plastique qui peut se salir rapidement.

Majin Bu affirme que ce changement vise à réduire les interférences et à améliorer les connexions 5G et Wi-Fi 7. Le design s’en retrouverait également allégé, car il y aurait moins de lignes visibles sur le cadre de l’appareil. Encore faut-il que les nouvelles bandes s’intègrent harmonieusement au bloc photo. D’un point de vue esthétique, Apple peut difficilement faire pire que les antennes des iPhone 6, de toute façon.

Difficile d’évaluer la fiabilité de cette rumeur. D’un côté, Majin Bu relaie un peu tout et n’importe quoi. D’un autre côté, le design de l’iPhone 17 Pro étant manifestement appelé à changer, l’hypothèse d’un repositionnement des antennes n’a rien d’absurde.

Firefox a lui aussi cédé aux sirènes de l’IA. Le navigateur propose depuis plusieurs mois d’accéder rapidement à un chatbot, et dispose désormais d'un système de tri des onglets par IA. Celui-ci tente de les organiser par sujets tout en suggérant des noms adaptés. Si l’idée est bonne, elle se base sur un petit modèle qui demande pas mal de puissance. De nombreux utilisateurs du subreddit Firefox ont remarqué que la consommation de leur processeur avait grimpé en flèche depuis la mise à jour, tandis que leur batterie se vide plus vite.

La nouveauté est arrivée avec la version 141 lancée fin juillet. Firefox indique que le déploiement se fait de manière progressive, la fonction étant présentée comme expérimentale. Lors de la création d’un groupe d’onglet, un bouton suggère un nom et des éléments à ajouter. Tout est géré par un modèle d’IA local open source, mais visiblement gourmand.

« Je viens de remarquer que mon processeur tournait à plein régime sans raison apparente », témoigne un utilisateur de Firefox avant d’appeler au retrait de la fonction. « Cela fait tourner mes ventilateurs à toute vitesse. Dans le gestionnaire de tâches Firefox, l'utilisation du processeur varie entre 0,16 et 200 % », déclare un second. « Hier encore, tout fonctionnait parfaitement. Aujourd'hui, lorsque j'ouvre Firefox, cela provoque des pics rapides d'utilisation du processeur et de consommation, indique un troisième.

Mozilla aurait tout intérêt à revoir sa copie et à être plus claire dans ses changements, d’autant plus que la fondation a prévu d’ajouter d’autres fonctions liées à l’IA dans l’année. Si vous êtes concerné et que vous voulez désactiver la nouveauté, c’est assez facile. Tapez about:config dans la barre d’URL avant d’accepter le popup. Tapez browser.tabs.groups.smart.enabled dans la zone de recherche, puis cliquez dessus pour la passer sur « false ». Cela a pour effet de désactiver le gourmand processus Inference, en charge d’analyser les onglets. Les modèles d’IA utilisés par Firefox peuvent être trouvés sur la page about:addons.

Depuis 2020, une petite équipe d’une douzaine de personnes développe patiemment un service essentiel et pourtant sous-représenté : Ente, une solution de stockage, de synchronisation et de partage de photos en ligne.

Pour les utilisateurs de produits Apple, la photothèque iCloud s’impose naturellement, mais il suffit qu’une personne dans la famille dispose d’un PC ou d’un smartphone Android pour que les choses se compliquent. La solution multiplateforme la plus évidente est Google Photos, mais voilà, c’est Google. On pourrait aussi citer Lightroom « Cloud », mais le service d’Adobe vise plutôt les professionnels ou les passionnés, avec un tarif en conséquence. Dans ce paysage, Ente entend à la fois être un service simple, convivial et respectueux de la vie privée. Et il y parvient.

Sur ordinateur, Ente se consulte à travers une web app ou une app qui encapsule simplement le site web. Sur iPhone, iPad et Android, des applications natives sont proposées. À défaut de pouvoir remplacer complètement l’app Photos d’Apple, l’app iOS d’Ente permet de synchroniser automatiquement tout ou partie de la photothèque iCloud vers ses serveurs, ce qui facilite la migration et l’ajout des clichés pris avec l’iPhone.

On retrouve toutes les fonctionnalités essentielles : organisation en albums, ajout aux favoris, retouches légères, partage, affichage sur une carte… Le service conserve les fichiers originaux, sans compression, ce qui est crucial.

À l’occasion du lancement de la version 1.0 au printemps, l’équipe a ajouté l’identification des visages, la recherche en langage naturel et la création automatique de souvenirs. Des fonctions déjà présentes chez Google, mais ici mises en œuvre en préservant le chiffrement de bout en bout, ce qui garantit que l’éditeur ne puisse pas consulter les images.

Autres différences notables : l’équipe communique régulièrement et de façon ouverte sur ses travaux, et le projet est open source. On peut donc l’héberger soi-même si on ne craint pas de mettre les mains dans le cambouis.

Pour le grand public, Ente propose des offres clés en main. La formule gratuite comprend 10 Go de stockage, de quoi tester le service avec un bon paquet de photos (le partage d’albums est exclu de cette offre). Les formules payantes démarrent à 2,49 €/mois pour 50 Go, puis 4,99 €/mois pour 200 Go, 9,99 €/mois pour 1 To et 19,99 €/mois pour 2 To (tarifs avec engagement d’un an, légèrement plus élevés sans). Chaque abonnement peut être partagé avec cinq personnes au maximum. La capacité de stockage est partagée, mais chaque utilisateur dispose de son propre espace privé.

Ente n’est pas encore parfait. Parmi ses lacunes, il ne gère pas correctement tous les fichiers RAW, ses outils d’édition sont limités et la taille maximale des vidéos est fixée à 4 Go. Et c’est sans compter sur une intégration forcément moins poussée que la photothèque iCloud. Malgré tout, Ente est une alternative prometteuse et vivifiante face aux géants du milieu.

Entre iPadOS et macOS, il faut choisir. La tablette n’accepte pas les applications pensées pour le Mac, et l’ordinateur n’embarque pas d’écran tactile. Pourtant, un autre monde est possible : le bidouilleur chinois de la chaîne ShuCanTech a réussi à créer un hybride alliant le meilleur des deux mondes. Il prend la forme d’un iPad Pro pouvant se connecter à un MacBook Air sans écran permettant de facilement alterner entre les deux systèmes.

Le bidouilleur a décapité un MacBook Air M1 afin de n’en garder que la partie avec le clavier, sous lequel se trouvent les composants essentiels. Il y a installé une charnière magnétique conçue sur mesure afin de transformer la tablette en écran. Imprimée en 3D, celle-ci utilise 12 aimants pour maintenir l'iPad Pro bien en place.

Le résultat est pratique : une fois connecté, l'iPad Pro peut devenir l’écran du MacBook Air en activant un raccourci. Tout passe visiblement par Sidecar, qui prend en charge le tactile et Apple Pencil. Une fois déconnecté, l’écran redevient un « simple » iPad Pro M4. Le MacBook peut aussi faire office de Magic Keyboard pour iPadOS grâce à un second raccourci, y reliant trackpad et clavier.

La vidéo (en chinois) montre l’envers du décor et comment le vidéaste a enlevé l’écran du MacBook Air avant de dessiner la charnière. Tout n’est pas parfait et la coque de l’iPad reste un poil petite par rapport au clavier, mais le résultat fait envie. Les MacBook sans écrans sont étonnamment faciles d’accès en Chine : nous en avions testé un à l’été 2022.

Si la majorité des utilisateurs ont abandonné le jailbreak, quelques irréductibles continuent de bidouiller le logiciel des appareils Apple. Récemment, un guide permettant de lancer le WindowServer de macOS sur un iPad a été mis en ligne. Son créateur vient de publier des photos de ses avancées, où l’on peut voir tourner des apps comme Utilitaire de disque ou Terminal sur un iPhone XS.

Duy Tran a récemment partagé le projet MacWSBootingGuide sur GitHub. Il vise à lancer WindowServer (et non macOS) sur un appareil jailbreaké. Ce composant logiciel est celui qui gère l'affichage sous macOS, qui va notamment prendre en charge les différentes fenêtres. Le résultat est encore très expérimental et nécessite quelques connaissances en reverse-engineering pour fonctionner, mais reste intéressant, d’autant plus sur un iPhone XS.

Le jailbreak est de plus en plus compliqué sur des appareils récents. palera1n prend en charge iOS 15.0 jusqu’à la 18.3.2… uniquement sur un iPhone X. Dopamine fonctionne sur des modèles plus récents, mais pas au-dessus d’iOS 16.6.1. Duy Tran a publié d’autres photos par le passé, par exemple du logiciel de récupération de macOS sur le même iPhone XS.

Petit à petit, le standard de domotique Matter comble ses manques et améliore ses fondations, c’était justement l’une des promesses de l’alliance qui se charge de son développement. Au lieu de proposer des grosses mises à jour deux fois par an, la CSA préfère multiplier les petits changements et alors que la 1.4.1 est sortie en mai dernier, place à une version 1.4.2. Pas de nouvelles catégories prises en charge cette fois, les caméras attendront, cette mise à jour estivale s’attache à améliorer le fonctionnement de l’existant.

Ainsi, les appareils connectés en Wi-Fi peuvent désormais le faire directement, sans passer par une première communication en Bluetooth. Ce changement est surtout intéressant pour les constructeurs, qui pourront créer des appareils connectés compatibles avec Matter sans la puce Bluetooth jusque-là indispensable. Plus important peut-être, c’est un frein de moins pour la bascule d’appareils vers Matter : ceux qui n’avaient pas le Bluetooth étaient bloqués sur un ancien protocole, mais ça ne sera plus le cas. Notez que ce changement implique d’avoir toute la chaîne matérielle à jour : le contrôleur Matter, une Apple TV par exemple, devra lui aussi passer à la version 1.4.2. Aux dernières nouvelles malheureusement, Apple ne semble toujours pas pressée de rester au goût du jour…

Si elle veut remplacer HomeKit par Matter, Apple ne montre pas le bon exemple

À propos de Wi-Fi, le travail pour certifier des routeurs Wi-Fi avec Matter se poursuit. Cette nouveauté a été annoncée avec Matter 1.4 l’automne dernier, mais aucun produit n’existe encore. La CSA continue en amont de préparer le terrain du côté de la norme et définit notamment les règles pour qu’un fabricant reçoive la certification. Il s’agit principalement ici de s’assurer que les performances d’un routeur ne s’effondrent pas à cause de la domotique. La puce Thread qu’il contient devra pouvoir gérer 150 appareils au minimum et être certifiée avec la norme 1.4 du protocole de communication, tandis qu’au moins cent appareils Wi-Fi doivent pouvoir communiquer en parallèle.

Un gros accent est porté sur la standardisation des équipements connectés, pour qu’un appareil fonctionne de la même manière dans tous les écosystèmes Matter, qu’on utilise Maison d’Apple, Google Home, Alexa ou bien Home Assistant. Ainsi, les identifiants uniques associés à chaque appareil devraient vraiment rester uniques avec Matter 1.4.2, alors qu’ils pouvaient parfois changer d’un écosystème à l’autre auparavant. Du côté des robots aspirateurs, le standard définit désormais comment communiquer avec l’appareil, ce qui pouvait fluctuer jusque-là selon la marque du produit et l’écosystème utilisé. Comme toujours, tous les composants devront être à jour pour que les bénéfices de ces changements soient visibles et on sait d’expérience que c’est rarement le cas.

Comment les aspirateurs robots Matter prennent leurs quartiers dans la Maison d’Apple

Matter 1.4.2 ne s’arrête pas là, il y a des ajustements pour améliorer la communication entre appareils, ce qui passe notamment par la réduction du volume de données échangées (cela devrait aussi améliorer l’autonomie des appareils sur batterie). Les scènes Matter, un concept introduit avec la version 1.3, s’améliorent aussi avec de nouvelles fonctions (minuteurs, pour faire varier une lumière sur la durée) et un nombre réduit de commandes, ce qui devrait améliorer leur fiabilité.

Enfin, la sécurité a été renforcée, avec en particulier des mesures pour vérifier qu’un produit n’est pas contrefait et potentiellement dangereux grâce à un système de vérification de l’identifiant du fabricant. Dans le même esprit, un mécanisme a été ajouté pour bloquer automatiquement des appareils identifiés comme malveillants : c’est la même idée que XProtect d’Apple, appliquée à la domotique.

Amazon multiplie les promos sur les chargeurs sans fil. Après une ristourne sur un chargeur Qi1 ce matin, la plateforme en propose désormais sur un modèle Ugreen Qi2. Celui-ci a l’avantage de recharger à 15 W et d’être vendu pour seulement 39,99 €, contre 59,99 € habituellement. Cela représente 33 % d’économies, ou 20 € de gagnés.

Ce support sera pratique étant donné qu’il embarque également une surface pour recharger des AirPods. Son pied est réglable, ce qui permet d’ajuster l’angle de vision du téléphone afin de regarder une vidéo confortablement. Il sera aussi pratique pour profiter du mode « En veille » affichant des informations pendant la charge.

On notera que le bloc de charge n’est pas inclus dans la boîte. Ugreen propose justement un modèle 30 W avec 2 USB-C et un USB-A à -40 %. L’accessoire peut être obtenu pour 10,83 € au lieu de 17,99 € en temps normal.

Si vous n’êtes pas encore parti en vacances, voici une offre qui pourrait vous intéresser : Amazon vend un lot de quatre balises Bluetooth compatibles avec le réseau Localiser d’Apple à seulement 25,99 € (le prix affiché est de 29,99 €, mais un coupon permet d’économiser 4 € supplémentaires). Autrement dit, c’est moins cher qu’un seul AirTag, même quand celui-ci est en promo (28 €).

Ces quatre traceurs sont évidemment moins évolués que la balise officielle d’Apple : ils ne sont pas compatibles avec la localisation précise et les produits tiers ont généralement une autonomie inférieure. Néanmoins, si c’est pour glisser dans une valise ou dans un sac à dos, ces petites lacunes sont insignifiantes.

D’après le fabricant chinois, ces balises noname pas chères sont certifiées IP67, ce qui signifie qu’elles ne craignent pas la poussière ni les éclaboussures. C’est un avantage que l’on ne retrouve pas forcément sur tous les traqueurs d’entrée de gamme. Par ailleurs, elles s’alimentent avec une pile CR2032 et peuvent être accrochées facilement à un porte-clés.

iPadOS 26 cherche à rapprocher l’iPad du Mac et a pour cela apporté quelques ajouts bienvenus. En plus d’une nouvelle barre de menus couplée à des fenêtres plus souples, Cupertino a également revu son app Fichiers : on peut désormais plus simplement ouvrir un document avec une app spécifique, et faire en sorte que ce soit toujours le cas.

Sur iOS et iPadOS 26, faire un appui long sur un fichier affiche désormais un menu « Ouvrir avec » proposant différentes applications. Cela permet par exemple d’ouvrir un PDF avec avec la nouvelle app Aperçu ou de l’envoyer à un utilitaire comme PDF Squeezer pour réduire son poids. Jusqu’à maintenant, il fallait passer par le menu « Partager », ce qui pouvait être assez long. Cette option reste disponible si vous ne trouvez pas votre bonheur dans la liste des apps proposées.

Les systèmes font parfois des choix assez bizarres. Par défaut, mon iPhone cherche par exemple à ouvrir les fichiers .txt avec… l’émulateur Provenance, allez comprendre. Heureusement, les mises à jour apportent une option pour toujours ouvrir un type de fichiers avec une certaine app. Il faut pour cela appuyer sur « Lire les informations » sur un fichier, où l’on peut affiner l’app utilisée par défaut.

Apple a ajouté Aperçu à iOS et iPadOS, ce qui est parfois un peu contraignant : pourquoi changer de fenêtre quand on veut juste rapidement consulter un fichier ? Cupertino a heureusement intégré « Coup d’œil », par exemple si l’on veut éviter que les PDF s'ouvrent dans Aperçu. Il se trouve au-dessus du bouton « Ouvrir avec ».

DigiTimes évoque à son tour le MacBook d’entrée de gamme qu’Apple envisagerait de lancer si l’on en croit les informations remontées à la base par Ming-Chi Kuo, puis quasiment confirmées par du code déniché sur les serveurs d’Apple. Le site taïwanais exploite ses propres sources dans la chaîne de production asiatique pour corroborer les rumeurs précédentes et ajouter une information supplémentaire. D’après la publication, le prix de base visé par Apple pour ce nouveau Mac portable pourrait être de 599 $ aux États-Unis.

Plus exactement, Digitimes envisage un prix de départ entre 599 et 699 $. Ce serait malgré tout une excellente surprise et une belle baisse par rapport au MacBook Air, qui débute actuellement à 999 $ de l’autre côté de l’Atlantique. Du moins, ça c’est le prix en Apple Store, car il y a souvent des promotions qui baissent la note finale. 599 $, c’est aussi le prix du MacBook Air M1 qu’Apple continue de produire pour Walmart, un accord spécifique qui serait certainement rendu caduque par la sortie d’un MacBook au même prix. Avec l’avantage d’une disponibilité plus large, même s’il faut s’attendre comme toujours à un chiffre bien plus élevé une fois la conversion en euros effectuée.

Comment Apple va-t-elle parvenir à un tel tarif ? C’est toute la question et DigiTimes n’a pas réellement de nouveaux détails à donner. La puce A18 Pro coûte certainement moins à produire que la M4 des actuels Mac ou la future M5, mais ça ne sera sans doute pas suffisant. Le site évoque un écran légèrement plus petit (12,9 pouces contre 13,6 sur le MacBook Air) et on suppose qu’il sera aussi de moins bonne qualité. L’absence de Thunderbolt est probable, le SoC venu de l’iPhone ne gérant pas cette norme.

MacBook : jusqu’où Apple ira-t-elle pour casser les prix ?

Le site ajoute que la production de masse devrait commencer au quatrième trimestre 2025 chez Quanta, un des sous-traitants d’Apple. La sortie aurait lieu en toute fin de cette année ou au début de la suivante. DigiTimes s’attend à un gros succès, avec une production annuelle de 5 à 7 millions d’unités. Le nombre total de Mac vendus chaque année pourrait même croître de 30 à 40 % rien qu’avec ce nouveau MacBook pas cher, toujours d’après le site.

C’est l’heure des promos chez Amazon, qui propose aujourd’hui une bonne ristourne sur un chargeur Qi de Belkin. Ce modèle tombe à 22,67 € au lieu de 36 € en temps normal, soit tout de même 37 % d’économies. Il est livré avec un câble USB-C et un bloc d’alimentation 20 W. L’accessoire est vendu et expédié par Amazon.

Le petit galet embarque un voyant LED indiquant si le téléphone est bien placé. Il s’agit d’un accessoire Qi1 assurant une puissance de 7,5 W pour un iPhone, 15W pour le reste. On pourra donc également l’utiliser pour remplumer une paire d’AirPods ou des smartphones Android.

Si vous cherchez quelque chose d’un peu plus poussé, on notera qu’Ugreen propose un modèle 2 en 1 pour quelques euros de plus. Celui-ci a l’avantage d’être inclinable et plutôt discret. Une prise est présente pour y ajouter son chargeur d’Apple Watch.

Apple cherche à recruter des utilisateurs de Fitness+ et propose désormais de suivre certains cours même sans être abonné. Sur iOS 26, la Pomme offre en effet quelques vidéos chaque mois à tous ceux passant une tête dans l’app Forme. Une section « Sélection gratuite du mois » a fait son apparition tout en bas de la page Résumé, permettant d’accéder à 5 cours variés. Elle est également mise en avant dans l'onglet Fitness+.

Ce mois-ci, il est possible d’essayer un exercice de gainage, de fractionné, de yoga ou de méditation. Un épisode de la série « Marcher » est également offert, dans lequel on pourra écouter (en anglais) Adam Scott de Severance. Chaque cours peut être consulté une seule fois gratuitement. Il n’y a pas de limitation particulière, les playlists étant présentes tout comme l’intégration avec l’Apple Watch.

Cette nouveauté n’est disponible chez nous que sur des iPhone et iPad équipés d’iOS 26, où une petite bannière peut apparaître en haut de l’app incitant à découvrir le contenu gratuit. En attendant le lancement officiel des nouveaux systèmes, rappelons qu’il est possible d’obtenir jusqu’à trois mois d’abonnement gratuits via Strava.