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Une mise à jour firmware pour le chargeur MagSafe 25 Watts

Votre chargeur MagSafe, vous pensez qu'il est sage, mais, dès que vous avez le dos tourné, il n'hésite pas à faire une petite mise à jour firmware en douce. Et pour ne rien arranger, ne comptez pas sur lui pour vous dire ce qu'il change. Siri via ChatGPT vous dira sans doute qu'il est fort possible que Safari se lance plus vite.

Plus sérieusement, Apple a sorti un nouveau firmware pour son chargeur MagSafe 25 Watts. Ce dernier a pour numéro de version 2A168, le précédent sorti l'année dernière avait lui comme numéro de version 2A146.

Rappelons qu'Apple a sorti en octobre dernier une nouvelle version de son chargeur MagSafe qui permet de charger jusqu'à 25 Watts sur les derniers iPhone. Apple ne vend plus désormais que ce modèle et les fabricants tiers sont en passe de commercialiser les premiers chargeurs Qi2 tiers aussi puissants.

Test du nouveau chargeur MagSafe 25 W : Apple accélère bien la recharge sans fil des iPhone 16

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En attendant, hormis faire une danse de la vente autour de son galet MagSafe, il n'y a aucun moyen de forcer la mise à jour. Par contre, vous pouvez vérifier le firmware en place. Branchez le chargeur à l’iPhone, rendez-vous dans Réglages > Général > Informations, puis cherchez l’accessoire dans la liste. Vous verrez s’afficher la version du firmware.

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L'Apple Watch Ultra 3 aurait un écran plus grand

La bêta 5 d'iOS 26 contient une petite surprise qui intéressera ceux qui attendent avec gourmandise l'Apple Watch Ultra 3. Aaron Perris, contributeur de MacRumors, a découvert dans cette build une image d'Apple Watch qui ne correspond à aucun modèle actuel.

Image : MacRumors

Première bonne nouvelle : il y aura donc bel et bien une nouvelle Apple Watch Ultra présentée à la rentrée. La deuxième bonne nouvelle, c'est qu'elle disposerait d’un écran légèrement plus grand, avec une résolution de 422 x 514 pixels. À titre de comparaison, l’Apple Watch Ultra 2 affiche une résolution de 410 x 502 pixels. Il est fort possible que ce modèle s'inspire de l'Apple Watch Series 10. Le boitier ne serait pas plus grand, mais Apple serait parvenu à réduire les bordures de l’écran.

Apple Watch Series 10 : mais que reste-t-il à l

Apple Watch Series 10 : mais que reste-t-il à l'Ultra ?

Avec cette génération d'Apple Watch Ultra, Apple a la pression mine de rien. Son modèle taillé pour les sportifs et les utilisateurs les plus exigeants n'a pas été mis à jour depuis deux ans. De plus, la division Autres Produits, qui inclut également les AirPods, les HomePod et le Vision Pro, est en recul constant depuis plus de deux ans.

Voilà des mois qu'il se murmure que ce modèle bénéficierait de la connectivité satellitaire, d'un écran plus lumineux avec un taux de rafraîchissement plus rapide, d'une nouvelle puce et éventuellement une nouvelle fonctionnalité dans le domaine de la santé. Elle pourrait ainsi surveiller la mesure de la tension artérielle.

Des Apple Watch 2025 pourraient avoir une connexion par satellite et un tensiomètre

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Series 11, Ultra 3 : à quoi ressembleront les Apple Watch de 2025 ?

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Reste à savoir si tout cela sera suffisant pour enclencher un puissant cycle de mise à jour chez les utilisateurs.

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Nouvelle icône AirDrop, réglage pour l’Appareil Photo : les nouveautés d’iOS 26 bêta 5

Apple a publié ce soir la cinquième bêta d’iOS 26, qui apporte quelques nouveautés. Cupertino n’a cette fois-ci pas trop touché à son Liquid Glass : tout juste a-t-elle ajouté une transparence au bouton « - » apparaissant au-dessus des icônes lorsque l’on réorganise son écran d’accueil. L’icône pour AirDrop a également été revue.

La Pomme est revenue sur un changement controversé de son nouvel Appareil Photo. De base, iOS 26 modifie le sens de défilement des différents modes en bas de l’app : le système suit la direction du doigt, soit l’inverse de ce qui se faisait sous iOS 18. Cette cinquième bêta corrige le tir avec un nouveau bouton permettant d’inverser le sens de défilement, à aller chercher dans les Réglages.

Le texte n’a pas encore été traduit dans cette bêta.

Le bouton « Sélectionner » a fait son retour au sommet de l’app Mail. Celui-ci permet de sélectionner facilement différents courriers. Sur un autre registre, de nouveaux écrans de démarrage ont été ajoutés dans différentes applications Apple comme Notes, Music ou Journal. Ils se manifesteront à la première ouverture après l’installation d’iOS 26.

On notera également une nouvelle animation au moment de taper son code de déverrouillage. L'alerte de batterie faible a également été revu.

Merci Bruno !
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GPT-OSS : OpenAI publie un nouveau modèle open source qui peut tourner localement sur votre Mac

OpenAI a décidé d’ouvrir un peu ses cuisines et vient de publier un modèle open source pouvant fonctionner en local. Baptisé GPT-OSS, il est disponible en deux versions : une première avec 120 milliards de paramètres pensée pour tourner sur une grosse carte graphique avec 80 Go de mémoire, et une seconde avec 20 milliards de paramètres pouvant être utilisé sur une machine embarquant 16 Go de RAM.

Les deux modèles sont publiés sous la licence Apache 2.0, ce qui est un gros changement pour OpenAI : il s’agit de son premier LLM ouvert depuis GPT-2, mis en ligne il y a plus de cinq ans. Les deux sont présentés comme à la pointe du domaine. GPT-OSS-120B est vu comme un équivalent à o4-mini, là où la plus petite version serait au niveau d’o3-mini. L’entreprise n’a pas publié de benchmarks les comparant aux modèles de la concurrence, comme le Llama de Meta ou les LLM de Google.

Ces modèles pourront communiquer avec d’autres dans le nuage. Autrement dit, les développeurs pourront faire appel aux API d’OpenAI pour certaines fonctions, comme la génération d’images. OpenAI met l’accent sur la sécurité, assurant que son modèle a été testé en profondeur pour éviter de lui faire générer des contenus problématiques. Ils peuvent être téléchargés sur HuggingFace, Azure ou AWS. Vous pouvez les essayer via des utilitaires spécialisés tel Ollama, dont l’interface a récemment été entièrement revue.

Plusieurs facteurs expliquent ce retour à l’open source d’OpenAI. L’entreprise a été secouée par le succès de DeepSeek en début d’année, Sam Altman ayant déclaré avoir été « du mauvais côté de l'histoire » en ne publiant pas ses propres modèles ouverts. L’administration Trump a également demandé aux développeurs américains d’ouvrir davantage leurs modèles afin de promouvoir l'adoption d’IA alignées sur les valeurs américaines.

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Apple travaille sur un tchatbot IA pour son app Assistance Apple

Mise à jour le 5 août à 19:30 : les choses avancent pour ce nouvel assistant carburant à l’IA. MacRumors a remarqué que certains propriétaires d’iPhone avaient accès à une version « preview ». La nouveauté répond aux différentes questions qu’on lui pose sur les produits Apple, et propose une option pour parler avec un Genius quand elle coince. Il semble que la fonction sera réservée aux États-Unis dans un premier temps, Apple n’ayant pas mis à jour ses conditions d’utilisation pour les autres régions. Aucune date de sortie officielle n’a été communiquée.

Article original : Apple planche sur un tchatbot carburant à l’IA pour son application Assistance Apple. Le fouineur Aaron Perris a repéré du code mentionnant cette nouveauté et donné des détails à MacRumors. Cet assistant nouvelle génération est présent dans le code de l’app, mais n’a pas encore été activé pour le grand public. Le bot devrait pouvoir être invoqué dans une future mise à jour en appuyant sur cette nouvelle icône :

L’icône repérée dans le code d’Apple.

Comme c'est déjà le cas sur d’autres plateformes, il semble que cet assistant proposera une réponse générée par IA aux questions de l’utilisateur avant de laisser la main à un véritable agent si le souci n’est pas résolu. Le code indique que le bot « utilise des modèles génératifs » et qu'il fournira des réponses « relatives à certains produits et services Apple ». Le code fait mention d’une fonction d’envoi de document, ce qui indique sans doute qu’il sera possible de transférer des captures d’écran ou des PDF.

Apple indique travailler avec des partenaires pour cette fonction, ce qui laisse à penser que ChatGPT ou un autre modèle tiers pourrait être impliqué. Reste à voir si la nouveauté sera immédiatement disponible en français, ou dans un premier temps réservée aux clients américains. Apple prévient que sa fonction peut parfois fournir des « résultats incorrects, trompeurs, incomplets, offensants ou nuisibles », précisant même que les utilisateurs ne doivent pas se fier aux informations données par l'assistant pour remplacer les conseils d'un professionnel (ce qui est assez cocasse dans une app où l'on vient justement chercher l'aide d'un professionnel).

Cupertino cherche visiblement à ajouter de l’IA à différents niveaux de son service après vente. Début février, une rumeur voulait qu’Apple teste un équivalent à ChatGPT pour ses équipes AppleCare. Nommé « Ask », celui-ci est réservé aux agents de la Pomme : il leur permet de poser une question en langage naturel afin d’envoyer le robot fouiller les documents techniques internes d’Apple.

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La bêta 5 est disponible pour iOS 26, iPadOS 26, macOS 26, watchOS 26...

Il ne faut plus trainer ! iOS 26, macOS 26 et compagnie doivent être quasiment finalisés avant la fin du mois. Les bêtas 5 d'iOS 26, iPadOS 26, macOS 26, watchOS 26, tvOS 26 et visionOS 26 sont disponibles au téléchargement.

iOS 17 et iOS 18 ont eu le droit tous deux à 8 bêtas avant d'obtenir le statut de Release Candidate. Nous voilà donc à mi-chemin du cycle de bêta-test. En théorie, les bogues devraient être moins nombreux, les terminaux devraient moins chauffer et les changements devraient commencer à se raréfier. Comptez sur nous pour vous faire dans les plus brefs délais un récapitulatif des différents changements apportés par ces bêta 5.

  • iOS 26 et iPadOS 26 bêta 5 ont pour numéro de build 23A5308g (contre 23A5297i auparavant)
  • macOS Tahoe 26 bêta 5 a pour numéro de build 25A5327h (contre 25A5316i auparavant)
  • watchOS 26 bêta 5 a pour numéro de build 23R5328g (contre 23R5317g auparavant)
  • tvOS 26 bêta 5 a pour numéro de build 23J5327g (contre 23J5316g auparavant)
  • visionOS 26 bêta 5 a pour numéro de build 23M5311g (contre 23M5300g auparavant)

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L'Apple Watch Ultra 3 aurait un écran plus grand

Nouvelle icône AirDrop, réglage pour l’Appareil Photo : les nouveautés d’iOS 26 bêta 5

Nouvelle icône AirDrop, réglage pour l’Appareil Photo : les nouveautés d’iOS 26 bêta 5

Si vous êtes déjà sur les bêta, vous allez naturellement sauter sur cette mise à jour. Si vous n'avez pas franchi le pas, c'est peut-être le bon moment. Attention, si vous partez en vacances, assurez-vous d'avoir une bonne connexion Internet pour télécharger les mises à jour suivantes. Il est fort possible qu'à partir de cette bêta 5, on ait le droit à une mise à jour toutes les semaines !

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Samsung pourrait abandonner le S26 et le S26+ en 2026

Chaque année, Samsung décline son modèle phare, le Galaxy S, en plusieurs variantes. En 2025, la marque coréenne a proposé le Galaxy S25 — le modèle de base —, le S25+ (un modèle plus grand), le Galaxy S25 Ultra (équivalent des anciens Galaxy Note) et le Galaxy S25 Edge, plus fin. En plus de ces quatre variantes, une version FE est aussi attendue cette année. Mais en 2026, ça pourrait changer, avec seulement trois modèles et l'abandon du S26… au profit du S26 Pro.

Le successeur du Galaxy S25 ne serait pas le Galaxy S26. Image Samsung.

Selon Android Authority, il faut s'attendre à un petit jeu de chaises musicales. Le Galaxy S26+ passerait à la trappe, le Galaxy S26 deviendrait un Galaxy S26 Pro, probablement pour mettre en avant le fait qu'il s'agit du meilleur smartphone de Samsung1, le Galaxy S26 Edge (plus fin) serait gardé même si le concept n'a pas nécessairement pris avec le premier modèle, et le Galaxy S26 Ultra resterait le haut de gamme. Le sort d'un éventuel Galaxy S26 FE n'est pas annoncé, mais c'est probablement un peu tôt : cette variante arrive souvent quand le modèle principal est en fin de vie commercialement.

Pour Samsung, ce serait évidemment un moyen de rationaliser un peu la gamme, notamment parce que les modèles + ne se vendent pas nécessairement bien. Qui plus est, la société dispose de plusieurs lignes de smartphones haut de gamme en parallèle, avec les modèles Z Fold et les modèles Z Flip, pliants.

Apple suit probablement la même voie

Si pour le moment les iPhone de 2025 sont attendus sous le nom iPhone 17, Apple pourrait les renommer en iPhone 26, un peu comme pour ses systèmes d'exploitation. Et les similitudes ne s'arrêtent pas là : les dernières rumeurs en date expliquent que l'iPhone 17 Air pourrait remplacer l'iPhone 16 Plus, comme l'iPhone 14 Plus avait remplacé l'iPhone 13 Mini. Si la gamme iPhone a évolué avec le temps, Apple semble se limiter à quatre modèles principaux chaque année (16, 16 Plus, 16 Pro et 16 Pro Max en 2024), avec en supplément un modèle 16e qui n'est pas nécessairement destiné à être renouvelé chaque année, comme les anciens modèles SE. Une gamme plus compliquée qu'au début des années 2010 où il n'y avait qu'un nouveau modèle chaque année, mais moins étendue que celle de Samsung.

iPhone 17 : la palette des couleurs se précise et les Pro ont belle allure

iPhone 17 : la palette des couleurs se précise et les Pro ont belle allure


  1. Vous pouvez évidemment penser que Samsung copie les noms d'Apple.  ↩︎

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Spotify : on peut enfin masquer le douteux bouton « Créer » de l’app mobile

Il y a quelques mois, Spotify a opéré un changement litigieux dans son application mobile. Après de multiples plaintes d’utilisateurs, le service donne finalement la possibilité d’annuler ce changement.

C’est du nouveau bouton « Créer » dans la barre de navigation dont il est question ici. Sur le principe, ce bouton n’est pas une mauvaise idée : il permet de créer rapidement une playlist, un mix à plusieurs ou un jam (une diffusion à plusieurs). Sauf qu’il a été placé à l’endroit où se situait le bouton « Bibliothèque ». Résultat, mémoire musculaire oblige, de nombreux utilisateurs se sont retrouvés à appuyer sur « Créer » par erreur.

Le bouton « Créer » qui fait polémique. Image iGeneration.

Depuis une mise à jour récente, on peut enfin masquer ce bouton si on le souhaite. Pour cela, il faut appuyer sur son avatar, puis sur Préférences et confidentialité > Contenu et affichage > Bouton Créer. Et voilà, le fameux bouton est retiré et on retrouve une barre de navigation comprenant seulement trois éléments. Ça valait bien une augmentation du prix de l’abonnement dans de nombreux pays.

L’option pour retirer le bouton. Image iGeneration.

Les options offertes par le bouton « Créer » sont accessibles ailleurs dans l’application.

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Des Crocs aux couleurs de Windows XP pour les 50 ans de Microsoft

Pour les 50 ans de Microsoft — la société est née un peu avant Apple, en 1975 —, les employés peuvent acheter un pack assez étonnant : une paire de Crocs (des chaussures clivantes) aux couleurs de Windows XP et de son fond d'écran si connu, Bliss.

Image The Verge.

Vendues 80 $ selon The Verge, elles sont accompagnées de petits accessoires promotionnels aux couleurs de Microsoft, qui reprennent le logo de MSN, l'icône d'Internet Explorer, celle de Clippy ou un pointeur de souris. Les Crocs sont bleues, avec les nuages du fond d'écran de Windows XP. Un sac de transport, aussi aux couleurs du fameux fond d'écran, semble fourni avec les Crocs. Nos confrères indiquent que l'ensemble est en précommande pour les employés, et qu'une annonce (avec peut-être une commercialisation plus large) devrait arriver dans les prochains jours.

Il y a malheureusement peu de chances qu'Apple propose des New Balance 992 aux couleurs d'Aqua…

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Le Beelink Mate mini se décline pour le Mac Studio : 80 Gb/s et deux SSD pour ajouter 16 To de stockage

Beelink, un accessoiriste, propose un nouveau modèle de boîtier externe. Le Mate Studio, qui est en précommande pour 130 $, permet d'ajouter deux SSD M.2 (NVMe) au-dessus ou en dessous d'un Mac Studio. Avec deux SSD de 8 To — un détail si vous avez déjà un Mac Studio —, il est donc possible d'ajouter 16 To de stockage au Mac tout en gardant de bonnes performances. En effet, sur un Mac Studio M3 Ultra ou M4 Max, les débits peuvent atteindre 3,6 Go/s par SSD.

80 Gb/s (mais en fait 2x 40 Gb/s). Image Beelink.

Beelink a fait un choix bizarre : le boîtier est Thunderbolt 5 (une technologie qui permet 80 Gb/s) mais les deux emplacements M.2 se partagent la bande passante. Chaque SSD dispose donc de deux lignes PCI-Express, ce qui amène une petite contrainte. Pour atteindre le débit maximal, vous devrez obligatoirement installer un SSD PCI-Express 4.0 rapide (ou un modèle PCI-Express 5.0). Avec un SSD d'entrée de gamme ou un peu ancien, en PCI-Express 3.0, vous allez être bridé et diviser les débits par deux. Et avec un Mac Studio M1 ou M2, vous n'aurez que 2 Go/s (en théorie) par connecteur.

Deux emplacements. Image Beelink.

Assez bizarrement, le Mate Studio ne propose pas de variante avec un seul emplacement M.2, comme pour le Mate mini, une voie qui permettrait des débits de l'ordre de 7 Go/s avec un SSD rapide. De même, il n'intègre que deux emplacements M.2 et une prise USB-C et c'est tout, probablement pour réduire un peu le prix. Le Mate mini, lui, ajoute deux prises USB-A, une prise Ethernet et une prise jack 3,5 mm. Par contre, il propose bien les deux ingénieux câbles Thunderbolt 5 qui permettent de placer le support sur ou sous le Mac Studio.

Mate mini : une nouvelle station d’accueil pour Mac mini M4 avec des emplacements pour SSD

Mate mini : une nouvelle station d’accueil pour Mac mini M4 avec des emplacements pour SSD

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WhatsApp : bientôt un mode invité pour discuter sans créer de compte

Bonne nouvelle si vous ne voulez pas de WhatsApp, mais que vous êtes contraint de l’utiliser : Meta planche visiblement sur un mode permettant d’envoyer des messages sans avoir de compte. L’info a été dénichée dans la dernière bêta Android par le site spécialisé WABetaInfo, qui a noté des références à des « chats invités ».

La nouveauté permet aux utilisateurs d'envoyer un lien vers une discussion, via lequel l'invité n'a pas besoin d'avoir de compte WhatsApp ou l’application sur son téléphone. Pour lancer un chat invité, l’utilisateur de la messagerie devra envoyer un lien direct à son correspondant par SMS ou par mail. On peut imaginer qu’il ouvrira une page web gérée par Meta.

Une fois cliqué dessus, il sera possible de papoter sur WhatsApp sans compte ni application. Quelques limitations seront mises en place : il faudra faire une croix sur les pièces jointes, les messages vocaux ou les conversations de groupe. Seul le texte sera pris en charge, et il ne sera pas possible de passer un coup de fil ou d’activer sa caméra. Le chiffrement de bout en bout restera de mise.

Les invités seront probablement fortement incités à se créer un compte, mais cela reste une bonne nouvelle pour les utilisateurs préférant se passer de la messagerie de Mark Zuckerberg. La fonction est sans doute développée afin de se mettre au pas du DMA, qui demande une meilleure interopérabilité entre les messageries. Les détails devraient être présentés officiellement en même temps que la fonction, que l’on s’attend à découvrir dans une prochaine grosse mise à jour.

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Alors que GPT-5 ne devrait plus tarder, OpenAI revoit certaines règles de ChatGPT

OpenAI n’avait pas prévu l’immense succès de ChatGPT et la confiance aveugle que lui donneraient certains utilisateurs. Depuis le lancement du service, les scénarios farfelus sont nombreux : certains utilisent le bot pour obtenir des conseils médicaux, comme psychologue, comme conseiller conjugal… Certaines histoires se finissent mal, avec des utilisateurs qui se retrouvent à croire des théories du complot, en dépression, en crise de nerfs ou se voyant recommander des méthodes de suicide. OpenAI tente d’agir et vient d’annoncer quelques changements à venir, améliorant la capacité du chatbot à détecter les troubles mentaux ou émotionnels.

Dans un billet de blog, l’entreprise a annoncé travailler avec des spécialistes pour améliorer la façon dont ChatGPT réagit dans les moments critiques, par exemple lors de crises émotionnelles. Elle reconnaît que son modèle 4o peut avoir du mal à reconnaître « les signes de délire ou de dépendance émotionnelle » dans certains cas. Le but est donc de faire en sorte que le service puisse « réagir de manière appropriée et orienter les personnes vers des ressources fondées sur des données factuelles lorsque cela est nécessaire ».

Le chatbot avait fait parler de lui au mois d’avril après une mise à jour l’ayant rendu beaucoup plus flatteur et agréable. Si cela peut sembler positif, OpenAI avait conclu que de telles interactions pouvaient être « inconfortables, déstabilisantes et causer de la détresse ». OpenAI avait rétropédalé quelque temps après, supprimant les changements mis en place.

Dans son billet, l’entreprise explique que ChatGPT ne donnera plus de réponse directe pour certaines questions personnelles (par exemple « Dois-je rompre avec mon partenaire ? »). Il incitera plutôt l’utilisateur à peser le pour et le contre tout en lui posant des questions. Et pour aider les utilisateurs papotant un peu trop longtemps avec ChatGPT, OpenAI va désormais afficher un pop-up proposant de faire une pause après un certain temps. Les utilisateurs pourront alors interrompre la conversation ou la continuer, mais cette alerte pourra peut-être en aider certains à regarder leur montre.

Ces nouveautés sont mises en place alors que le déploiement de GPT-5 semble imminent. Sam Altman a partagé une image où l’on peut voir le nouveau modèle, et The Verge voyait venir un lancement dans le courant du mois d’août. De son côté, Microsoft a lancé un nouveau mode intelligent pour Copilot, probablement en préparation de l'arrivée du prochain modèle.

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Une flopée de supports pour Mac mini M4 en promotion, avec prises USB, lecteurs de cartes et emplacement M.2 pour SSD

Le Mac mini M4 d'Apple est visiblement un succès : les accessoiristes asiatiques proposent tous de nouveaux supports pour le petit ordinateur, qui tentent de pallier la connectique parfois limitée et la quantité de stockage par défaut un peu faible. Comme souvent, un seul fournisseur produit l'accessoire, qui est revendu par de nombreuses sociétés. Vous trouverez le modèle du jour à 91,99 € (82,79 € avec un coupon) chez AKKYAJAURE ou chez Qwiizlab. Gewokliy, lui, le propose à 99,99 € (89,99 € avec un coupon) et semble avoir plus de stock.

Le support. Image Amazon.

Les trois produits semblent identiques, ce qui n'est pas réellement un problème : les trois marques avec des noms aléatoires ont probablement la même source. Le support permet de placer le Mac mini sur la tranche, ce qui laisse un accès au bouton du Mac. Il intègre deux prises USB-C (10 Gb/s), une prise USB-A (10 Gb/s), deux prises USB-A 2.0 (0,48 Gb/s), une sortie jack 3,5 mm et un double lecteur de cartes. Le débit n'est pas annoncé, donc le lecteur est probablement UHS-I (104 Mo/s) et les emplacements microSD et SD a priori partagés, comme dans la majorité des boîtiers.

Le point intéressant du support est un emplacement M.2 pour un SSD NVMe, placé sous la base. Il est annoncé comme compatible 40 Gb/s, probablement à travers un contrôleur USB4. Un choix qui permet normalement des débits de l'ordre de 3,5 Go/s, quand les modèles classiques se limitent souvent à 10 Gb/s (environ 1 Go/s en pratique).

le SSD se place sous le support. Image Amazon.

Dans la même veine, Orico propose un SSD externe de 4 To dont le boîtier épouse la surface du Mac mini M4. Il est proposé pour 300 € au lieu de 376 €, mais il est annoncé comme compatible USB 3.2 Gen 2x2 (20 Gb/s), une variante de l'USB qu'Apple ne prend pas en charge. Sur un Mac mini M4, il sera donc limité à 10 Gb/s (environ 1 Go/s).

Le SSD Orico. Image Orico.
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iPhone 17 : le mardi 9 septembre se précise pour la conférence Apple

La date du special event consacré aux iPhone 17 semble s’éclaircir. Au vu des habitudes d’Apple et du calendrier, deux jours tenaient la corde : soit le mardi 9, soit le mercredi 10 septembre. D’après iPhone-ticker, ce sera le mardi 9.

Image Apple/iGeneration

Le site allemand dit tenir cette information d’opérateurs mis dans la confidence. La date comme la source de l’information paraissent crédibles, Apple étant bien obligée d’informer ses partenaires pour qu’ils se préparent à ce lancement important. Après la présentation le 9 septembre, la Pomme mettrait en place le planning habituel : ouverture des précommandes le vendredi 12, puis livraisons et ventes en boutique à partir du vendredi 19.

Tim Cook devrait présenter le 9 septembre — si c’est bien la bonne date — la nouvelle gamme d’iPhone composée de quatre modèles : iPhone 17, iPhone 17 Air, iPhone 17 Pro et iPhone 17 Pro Max. On attend aussi de nouvelles montres. L'Apple Watch Series 11 aurait une avancée en matière de santé, l'Ultra 3 une connexion satellitaire et la SE de 3e génération un écran un poil plus grand.

Il y a des doutes sur la présence des AirPods Pro 3 à cet événement, mais il pourrait y avoir une nouvelle Apple TV ainsi qu’un HomePod mini 2, à moins que Tim Cook préfère étaler la sortie de tous ces produits.

iPhone 17, 17 Pro (Max), 17 Air : prix, fiche technique, date de sortie… Toutes les nouveautés d’après les rumeurs

iPhone 17, 17 Pro (Max), 17 Air : prix, fiche technique, date de sortie… Toutes les nouveautés d’après les rumeurs

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Promo : le clavier MX Keys Mini à seulement 79,99 € (-33 %), une bonne alternative au Magic Keyboard

Vous cherchez un nouveau clavier pour votre Mac ? Bonne nouvelle : le MX Keys Mini est aujourd’hui en promo chez Amazon. La plateforme le propose pour 79,99 €, contre 119 € en temps normal. Il s’agit donc d’une remise de 33 %, ce qui permet d’économiser 39 €. Cette excellente alternative au Magic Keyboard d'Apple est vendue et expédiée par Amazon.

MX Keys Mini et Magic Keyboard. Image MacGeneration

Ce clavier AZERTY est livré en version « pour Mac ». Autrement dit, la disposition des touches est pensée pour macOS sans symboles évoquant l’écosystème Windows. Le produit est proposé en blanc et est rétroéclairé. Il se recharge en USB-C, sachant que Logitech vante 5 mois d’autonomie en coupant les lumières.

Le MX Keys Mini embarque trois touches (F1/F2/F3) permettant de facilement alterner entre 3 appareils connectés en Bluetooth. Cela sera pratique si vous ne voulez qu’un seul clavier mais que vous alternez souvent entre votre Mac et un PC Windows. Nous avions testé ce modèle en 2021 et notions une frappe agréable pour un produit de qualité. N'hésitez pas à relire notre test pour plus de détails.

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Les nouvelles icônes de macOS Tahoe continuent de créer la polémique

Mise à jour le 5 août à 21:50 : la cinquième bêta de macOS 26 inaugure un nouveau changement : l’icône Macintosh HD représentant un disque dur est remplacée par un nouveau modèle ressemblant plus à un SSD. Cela peut se comprendre étant donné qu’Apple ne commercialise plus de Mac à disque dur depuis des années, mais cette modification va sans doute en faire bondir plus d’un.

Article original : Avec la nouvelle interface de macOS Tahoe, Apple a redessiné de nombreuses icônes historiques, qui étaient présentes parfois depuis des dizaines d'années. Et ces changements crispent visiblement une partie des utilisateurs de macOS, habitués à l'esthétique de certaines icônes. Nous avions parlé de l'icône du Finder, inversée, qu'Apple a finalement corrigée après la première bêta, et la quatrième bêta a aussi amené une nouvelle icône pour certains disques, avec un rendu étonnant. Mais ce ne sont pas les seules. Voici quelques exemples d'autres icônes qui font polémiques sur les réseaux sociaux.

La plus visible est probablement celle de l'Utilitaire de disque. C'est une app employée de façon régulière pour formater des volumes, et la nouvelle version est très différente de l'ancienne, qui n'avait pas tellement évolué depuis le lancement de Mac OS X, comme le montre Mr. Macintosh sur X.

La nouvelle icône de l'Utilitaire de disque.
L'ancienne icône de l'Utilitaire de disque.

Mais nous avons remarqué d'autres icônes avec des changements plus ou moins importants, qui pourraient énerver ceux qui n'aiment pas le changement.

Le Finder change de face sur macOS Tahoe

Le Finder change de face sur macOS Tahoe

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Tesla accorde 29 milliards de dollars d’actions à Elon Musk pour l’« inciter à rester »

Elon Musk a beau avoir terni l’image de marque de Tesla ces derniers mois — au point qu’une partie de ses employés a demandé sa démission —, il n’est pas prêt de quitter l’entreprise. Au contraire, le conseil d’administration a pris une décision qui doit dissuader son CEO d’aller voir ailleurs. Le milliardaire peut racheter 96 millions d’actions Tesla pour seulement 23 dollars l’unité, alors que le titre s’échange actuellement à plus de 300 dollars. En définitive, sa récompense s’élèvera à environ 27 milliards de dollars, en prenant en compte sa dépense pour le rachat des actions à tarif préférentiel.

Image MacGeneration/Tesla.

« Le comité spécial et le conseil d’administration ont délibéré avec soin sur la décision d’octroyer cette récompense intérimaire dans un contexte marqué par la guerre des talents en intelligence artificielle, de plus en plus intense, et par la position critique de Tesla à un point d’inflexion crucial », a justifié Tesla sur X. « Bien que nous reconnaissions que les activités commerciales, les intérêts et les autres exigences potentielles d’Elon en termes de temps et d’attention soient vastes et variés […] nous sommes convaincus que cette attribution incitera Elon à rester chez Tesla », poursuit le fabricant de voitures et de batteries.

La rémunération d’Elon Musk est en fait l’objet d’une bataille judiciaire depuis des années. Un plan voté en 2018 devait lui octroyer pour 56 milliards de dollars d’actions, mais celui-ci a été annulé par une juge, saisie par un actionnaire, début 2024. Le prix sacrifié de 23 dollars par action auquel il a droit maintenant correspond au prix d’exercice de 2018. Avec ces nouvelles actions, Elon Musk détiendra près de 16 % de Tesla, renforçant son statut de principal actionnaire individuel.

Lors du dernier trimestre, Tesla a annoncé un chiffre d’affaires de 22,5 milliards de dollars légèrement au-dessus des attentes des analystes, mais en recul de 12 % sur un an. Le constructeur prévoit une nouvelle baisse pour le trimestre en cours. Tesla reste rentable avec un résultat net de 900 millions de dollars, mais celui-ci est en baisse de 42 %.

Tesla : une crise qui pourrait durer jusqu

Tesla : une crise qui pourrait durer jusqu'à fin 2026

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TSMC licencie des employés soupçonnés d’avoir divulgué des informations sur la production de puces 2 nm

La tension monte chez TSMC. Selon Nikkei Asia, le fondeur a viré plusieurs employés ayant tenté d'obtenir des informations top-secrètes sur le développement et la production de puces à 2 nanomètres. TSMC a confirmé avoir récemment détecté « des activités non autorisées au cours d'une surveillance de routine, ce qui a conduit à la découverte de potentielles fuites de secrets commerciaux ». Deux des suspects étaient des employés de TSMC au moment de l'infraction présumée, tandis qu’un troisième était un ancien salarié.

Image MacGeneration

L’entreprise a déclaré avoir pris « des mesures disciplinaires strictes à l'encontre du personnel impliqué » et avoir engagé des poursuites judiciaires. L’affaire n’est pas à prendre à la légère, car TSMC est le leader mondial en matière de gravure : la technologie 2 nanomètres est la plus avancée au monde. De premières fournées de tests sont sorties l’année dernière, et la production de masse devrait commencer l’année prochaine. TSMC dispose de 4 usines dédiées et a prévu une production mensuelle d’environ 60 000 wafers.

Difficile de dire quelles technologies sont concernées par la potentielle fuite. TSMC n’a rien confirmé, et l’enquête va tenter de déterminer où les informations ont été récupérées. L’affaire fait l'objet d'une enquête gouvernementale étant donné qu’elle relève de la loi taïwanaise sur la sécurité nationale de 2022, visant à protéger les technologies sensibles des adversaires.

Difficile également d’évaluer l’ampleur des dégâts. Par le passé, le CEO de TSMC a expliqué que les technologies de TSMC étaient difficiles à copier étant donné qu’elles demandent des connaissances précises et un savoir-faire complexe. Actuellement, seuls le coréen Samsung et le japonais Rapidus sont dans la course pour une gravure à 2 nanomètres.

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Astuce : utiliser Exporter pour faire une sauvegarde du contenu de l’app Notes

L’application Notes d’Apple est bien fichue, mais pas très pratique pour faire des sauvegardes. S’il existe des utilitaires pour exporter tout le contenu de l’app, ils ne sont pas forcément très grand public. Heureusement, le développeur Chintan Ghate a créé Exporter, un petit utilitaire gratuit permettant de faire une sauvegarde sous des formats ouverts. Il peut être téléchargé depuis le Mac App Store pour peu que votre Mac fasse au moins tourner Catalina.

Nous l’avions déjà évoqué en 2023, mais il est toujours bon d’en remettre une couche si vous n’avez pas fait de sauvegarde depuis un certain temps. L’interface du logiciel est très simple : une fenêtre vous indique le nombre de notes détectées, et un gros bouton permet de lancer la manœuvre. On peut choisir si l’on veut exporter le tout au format HTML ou Markdown, ce qui sera pratique pour les intégrer à d’autres apps.

L’app garde la structure des dossiers et exporte également les pièces jointes. Il est possible d’ajouter un en-tête pour les documents Markdown. Attention toutefois, car elle ne gère pas les sous-dossiers ou les hyperliens. Tout est traité en local, et l’application est simple d’utilisation. Un achat in-app facturée 6 € permet d’exporter seulement certains dossiers.

Apple ne propose à l’heure actuelle aucune solution pour exporter ses notes, ce qui fait que celles-ci pourraient bien se retrouver bloquées ou illisibles en cas de pépin. Sur Mac, toutes les données sont stockées dans ~/Library/Group Containers/group.com.apple.notes/. Il est possible de les récupérer avec Time Machine ou Carbon Copy Cloner. L’application iMazing peut également être utilisée pour exporter les notes d’un iPhone. Notons qu'il est possible d'exporter facilement ses notes en Markdown ou en PDF avec macOS 26, attendu en septembre.

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Comment prendre une capture d’écran de CarPlay… ou éviter d’en prendre à tout bout de champ

Avant de voir apparaitre le Liquid Glass d’iOS 26 sur l’écran de votre voiture, vous voudrez peut-être garder un souvenir de l’interface actuelle de CarPlay. Mais comment faire une capture de CarPlay ? C’est plus simple qu’il n’y parait : quand votre iPhone est connecté (avec un câble ou en Bluetooth) à votre véhicule, prenez une capture d’écran sur votre iPhone, et cela aura pour effet de prendre simultanément une capture de CarPlay. Cette image sera alors disponible instantanément dans l’application Photos, aux côtés de la capture d’iOS.

CarPlay sur iOS 26 avec les icônes transparentes activées. Image iGeneration.

Pour rappel, pour prendre une capture d’écran sur un iPhone équipé de Face ID, il faut appuyer simultanément sur le bouton qui sert à augmenter le volume et sur le bouton latéral qui sert à verrouiller le terminal. Sur un iPhone Touch ID, il faut appuyer sur le bouton Touch ID et sur le bouton latéral.

Cette astuce est pratique… sauf quand on ne veut pas spécialement prendre de capture de CarPlay alors que l’on est dans sa voiture. C’est pour cette raison qu’Apple a ajouté une option dans iOS 26.

Nouvelle option dans iOS 26. Image iGeneration.

Dans Réglages > Capture d’écran, on peut désormais choisir si une capture d’écran de CarPlay doit être effectuée ou non quand on prend une capture sur iPhone et que celui-ci est connecté au véhicule. Cette option évitera ainsi des captures superflues pour certains utilisateurs.

iOS 26 comprend beaucoup d'autres nouveautés pour CarPlay : Liquid Glass, widgets, activités en direct… Vous pouvez découvrir tous ces changements dans notre prise en main :

CarPlay se modernise avec iOS 26 : on fait le tour de toutes les nouveautés

CarPlay se modernise avec iOS 26 : on fait le tour de toutes les nouveautés

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Linux améliore sa compatibilité avec le HFS et le FireWire… qu'Apple abandonne

Dans la prochaine version du noyau Linux, la 6.17, deux technologies largement liées à Apple vont être corrigées. Et ce sont surtout deux technologies largement abandonnées par Apple : le système de fichiers HFS et le FireWire.

Dans le cas du système de fichiers, la correction remarquée par Phoronix touche le HFS — abandonné par Apple depuis Catalina — et HFS+. Le second est encore pris en charge par Apple, mais a été remplacé par l'APFS depuis quelques années. Les modifications touchent essentiellement des bugs qui peuvent corrompre le système de fichiers (et qui sont donc présents dans la version actuelle du noyau).

La seconde correction (toujours via Phoronix) est liée au FireWire, alias IEEE-1394. La technologie a été mise en avant par Apple de la fin des années 90 jusqu'au début des années 2010. Elle a commencé à être abandonnée il y a quelques années, mais macOS Tahoe va planter les clous du cercueil : le système d'exploitation ne prend plus du tout en charge le FireWire, même à travers un adaptateur Thunderbolt vers FireWire. Du côté du noyau Linux, Takashi Sakamoto est le mainteneur officiel et il espère s'occuper de la technologie au moins jusqu'en 2029. La correction dans le noyau 6.17 est importante : elle remplace les tasklet par une implémentation moderne pour le mode asynchrone du FireWire.

Le logo du FireWire.

De façon schématique, le mode asynchrone envoie les données dès leur arrivée, sans que l'intervalle entre deux paquets soit fixe. Une solution efficace, mais qui a le défaut de nécessiter un traitement assez rapide de la part du processeur. L'ancienne méthode, à base de tasklet, consistait essentiellement à récupérer les données et les traiter le plus rapidement possible mais pas nécessairement directement. La nouvelle permet un traitement plus rapide, et les tasklet avaient déjà été supprimés des traitements isochrones dans un précédent noyau. En résumé, c'est mieux.

Apple abandonne le FireWire

Apple abandonne le FireWire

Il faut noter que si la prise en charge dans le noyau Linux est plus longue que dans macOS, elle repose tout de même sur peu de mainteneurs, ce qui implique que le développement peut s'arrêter du jour au lendemain.

Le support du FireWire sous Linux. Image xkcd.
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Cloudflare accuse Perplexity de moissonner les sites web bloquant l’accès aux bots IA

On le sait, les IA génératives ont besoin d’énormément de données (textuelles, vidéo) pour se former et s’améliorer. Certaines entreprises sont suspectées de se servir sans demander la permission des auteurs, et le navigateur par IA Perplexity n’est pas en reste. Le géant Cloudflare l’accuse aujourd’hui de moissonner des sites ayant explicitement indiqué qu’ils refusaient d’être analysés par l’IA.

Image Cloudflare

Le papier des chercheurs explique qu’en temps normal, Perplexity fouille le web avec un agent utilisateur déclaré, c’est-à-dire une sorte de signal indiquant à un site web l’identité d’un visiteur. Les propriétaires de sites peuvent bloquer ceux qu’ils considèrent comme indésirables, et notamment les plateformes d’IA. Or, lorsque c’est le cas, Perplexity semble masquer son identité en modifiant son agent utilisateur pour contourner les restrictions.

« Nous constatons que Perplexity modifie régulièrement son agent utilisateur et ses ASN sources afin de dissimuler son activité d'exploration, et qu'il ignore les fichiers robots.txt, voire ne les récupère pas », explique Cloudflare. « Robots.txt » est un fichier indiquant aux moteurs de recherche et aux sociétés d’IA quelles pages peuvent être indexées et celles qui ne doivent pas l'être.

Cloudflare indique avoir reçu des plaintes de plusieurs utilisateurs ayant bloqué Perplexity mais tout de même remarqué que la plateforme parcourait leur site et pouvait répondre à des questions sur leurs contenus. « Cette activité a été observée sur des dizaines de milliers de domaines et des millions de requêtes par jour. Nous avons pu établir l'empreinte de ce crawler en utilisant une combinaison d'apprentissage automatique et de signaux de réseau », ajoute Cloudflare.

Perplexity n’a pas tardé à répondre aux accusations dans un communiqué bien remonté. Elle y affirme que son service analyse les pages pour répondre aux demandes des utilisateurs, sans réutiliser son contenu à des fins d’entraînement. Les pages seraient uniquement consultées lorsqu’un utilisateur demande des informations sur le sujet qu’elle contient, et Perplexity ne récupérerait que les informations nécessaires.

Cette controverse révèle que les systèmes de Cloudflare sont fondamentalement inadaptés pour faire la distinction entre les assistants d'IA légitimes et les menaces réelles. Si vous ne pouvez pas distinguer un assistant utile d'un scraper malveillant, vous ne devriez probablement pas prendre de décisions sur ce qui constitue un trafic web légitime.

Le billet accuse Cloudflare de ne pas avoir répondu aux questions de Perplexity sur la méthodologie employée et d’avoir simplement cherché à se faire un coup de pub. L’entreprise d’IA dénonce de grosses erreurs dans le travail de recherche, avec des diagrammes techniques éloignés de la réalité. Cloudflare n’a pas encore répondu à ces accusations.

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Les iPhone américains sont peut-être assemblés en Inde, ils restent des produits chinois

La majorité des iPhone vendus aux États-Unis sont désormais produits en Inde, c’est un changement majeur repéré la semaine dernière par Canalys et directement lié à la guerre commerciale menée par l’administration de Donald Trump. Pour autant, est-ce la fin de l’ère du « Made in China » ? Pas si vite, note Patrick McGee sur X : l’auteur du livre Apple in China a tenu à remettre les pendules à l’heure, en rappelant qu’il s’agissait davantage d’un assemblage final que d’une véritable production. Sans la Chine derrière, l’Inde ne pourrait assurément pas produire les millions d’iPhone vendus chaque trimestre aux États-Unis.

Image iGeneration, photo de base Jamie Street sur Unsplash.

La chaine de production d’Apple dépend toujours autant de la Chine pour créer tous les composants qui viennent former l’iPhone final. Le journaliste indique ainsi que c’est plus de mille éléments différents qui restent produits en Chine par jusqu’à trois millions de personnes par an et qui sont envoyés en Inde pour assembler chaque smartphone. Ce n’est que la toute dernière étape, l’assemblage final et la mise en carton, qui est ainsi effectuée dans un autre pays et Apple ne pourra pas tout basculer du jour au lendemain.

Si l’entreprise de Tim Cook voulait vraiment abandonner la Chine, cela lui coûterait des dizaines de milliards de dollars et surtout, cela lui prendrait des années, comme le rappelle Patrick McGee. Dans l’équation, il n’y a pas que des aspects techniques et financiers, la politique joue aussi et Apple se mettrait inévitablement à dos le gouvernement chinois et pourrait même potentiellement perdre son accès à l’immense marché local.

En attendant, l’assemblage d’iPhone en Inde a bien aidé Apple jusque-là, même si c’est une stratégie plutôt à court terme. D’autant que le Président des États-Unis n’apprécie pas du tout l’astuce imaginée par Tim Cook et pourrait taxer l’Inde tout autant, voire plus, que la Chine.

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